Légitime défense politique.

Elina Garança au plein épanouissement vocal dans le psaume LAUDATE DOMINUM.

Posted in Magouille by Dietrich13 on 21 avril 2018

Elina Garança au plein épanouissement vocal dans le psaume LAUDATE DOMINUM.

Elina Garança au plein épanouissement vocal dans le psaume LAUDATE DOMINUM.

Avec la magie sonore de l’oratorio Laudate Dominum de Mozart, dans ton incomparable Album Méditation sur DVD, dirigé par ton génial époux, le maestro Karel Mark Chichon, une jouissance infinie des sensations exquise m’emporte vers toi, Elina, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto.

La puissance incantatoire des raffinements lyriques, le plein épanouissement de ta sublime beauté vocale dans cette divine cantate éthérée, délicate, surnaturel, fait élever mon âme au-dessus des choses terrestres, du faux monde de ma sombre existence. La chaleur du timbre de ta magnifique voix veloutée est si délectable, qu’il prend des résonances magnifiques dans ta ravissante gorge déployée.

Devient prière en montant vers la voûte en solo, la vocalise de ton timbre veloutés, poussée vibrant dans les hauteurs du soprano, se détache en vagues successives pour s’élever par les longues caresses des notes liées au-dessus de ces poignantes féeries musicales des lentes harmonies de l’orchestre et du chœur des femmes.

Avec ta magnifique voix polie au suprême lyrisme ondulant, ton gracieux souffle, chargé de merveilleuses émotions, tes mesures chantées atteignent une beauté si céleste, qu’ils éveillent en moi des douces songeries mélancoliques et me transporte par le ravissement dans l’émerveillement d’une dimension de la rêverie inspiratrice et d’une nostalgie caressante. Affectueusement, Peter, ton amoureux « Cavalier de Prose » enchanté.

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C’est une des sublimes perles des autres magnifiques perles compilées dans son incomparable Album MÉDITATION, magistralement dirigé du chef d’orchestre Karel Mark Chichon. De ce génial orchestrateur d’un univers sonore inouï du sacré, le talent culmine dans une apothéose de la polyphonie avec le plus extraordinaire raffinement des arrangements orchestraux et chorals du Deutsche Radio Philharmonie Saarbrücken Kaiserslautern du chœur de la Radio Lituanien.

Composé par Wolfgang Amadeus Mozart en 1780, les « VESPERÆ SOLENNES DE CONFESSORE », les Vêpres solennelles, ‑ à savoir en grand oratorio ‑, d’un confesseur de la foi, se réfère aux cinq psaumes de l’Ancien Testament, magnifiés par l’Évangile de Saint Luc. Le terme ancien « Vêpres » désigne l’heure de l’office divin du soir ou de l’après-midi de la liturgie de catholique.

Le psaume LAUDATE DOMINUM est le plus bel de l’ensemble des psaumes dans le grand oratorio d’une longueur de vingt-cinq minutes des louanges par tous les peuples, invitant Israël et toutes les nations de louer l’Éternel.

PSAUME 117 : LAUDATE DOMINUM en deux strophes chantées en solo et suivi du refrain de tous les psaumes.

‑ Laudate Dominum omnes gentes Laudate eum, omnes populi.

‑ Quoniam confirmata est Super nos misericordia eius, Et veritas Domini manet in aeternum.

Refrain des psaumes chanté par le chœur :

‑ Gloria Patri et Filio et Spiritui Sancto. Sicut erat in principio, et nunc, et semper. Et in saecula saeculorum. Amen ».

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Traduction française :

‑ Gloire au Seigneur, pour tous les gens, Gloire à Lui pour tous les peuples.

 ‑ Puisse-t-Il faire ce qu’Il nous a promis, Et porter sur nous sa miséricorde, Et la vérité du Seigneur reste pour l’éternité.

Refrain des psaumes chanté par le chœur :

‑ Gloire au Père, au Fils et à l’Esprit Saint, Comme au début, maintenant, et toujours pour les siècles des siècles. Amen »

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Mozart a composé ces divins psaumes pour la voix soprano soliste à la tonalité cristalline claire pour maximaliser intensité lyrique de l’émotionnel du registre spirituel de ce chant sacré d’une insurpassable beauté musicale. Le maestro britannique Karel Mark Chichon, en ralentissant encore quelque peu le tempo déjà lent de l’oratorio, en magicien de l’orchestration instrumentale et vocale, a su faire sourdre en solo mezzo-soprano de la ravissante gorge de sa blonde dulcinée de rêve Elina Garança les plus vibrantes brises des couleurs vocales polies aux ultimes perfectionnements.

De ses intonations vocales finement nuancées des hautes de sa ravissante tessiture aux sonorités d’une clarté soyeuse, de ses basses aux poignantes caresses vocales veloutées d’une infinie tendresse de dévotion, l’extraordinaire voix de la déesse lettonne du bel canto Elina Garança gagne dans le plus parfait des phrasés mélodieux des sommets du lyrisme incantatoire du chant liturgique.

Après le prélude pathétique des expressives envolées célestes des violons, ponctués des longs accords feutrés des violoncelles et contrebasses, ‑ poursuivis en soutien instrumental sur toutes les merveilleuses lignes de la mélodie ‑, Elina Garança entonne en soliste les deux strophes du psaume presque à voix nue d’une virtuosité resplendissante.

Par la mélodieuse péroraison de la poésie lyrique, de ses accents nobles du timbre vocale ému et mouvant d’une splendide virtuosité syllabique, par ses ravissantes modulations et articulations au plus précis des vocables accentués d’une infinie douceur, par la gradation vibrante d’émotion des coulés harmoniques, ses mesures chantées atteignent ainsi une des plus impressionnantes beautés de la sublimation musicale.

Ses éblouissantes mesures étirées de la pathétique ondulation vocale évocatrice de la piété, ses poignantes envolées sonores vers les aigus éthérés de l’explosion lyrique, répandent des irrésistibles sensations frémissantes de la profonde ferveur de la foi.

Ses douces sonorités des glissements vocaux emphatiques des notes tenues en volutes d’une hauteur à une autre, intercalés des palpitants passages en notes perlées, cette magie des sonorités caressantes, ses enveloppants vagues émotionnels, suscitent même dans les âmes des auditeurs les plus exigeants des irrésistibles frissonnements du début jusqu’à la fin de cet inoubliable chant incantatoire du psaume de la musique éternelle de Mozart.

Par une bouleversante polytonalité empathique de pure merveille, s’enchaîne à la magnificence de l’orchestration stylisée d’un génie le chœur mixte des sopranos, altos, ténors et barytons, le refrain sur un fond sonore du même accompagnement orchestral, rythmé en sourdine des accords en harmonie pulsé des contrebasses et violoncelles.

Du plus sublime épanouissement de son lyrisme incantatoire, poussant de sa voix limpide et résonnante des soyeux aigus les plus vibrants d’émotion en longues et fluides ondulations des notes liées, la prodigieuse diva Elina Garanča achève le psaume d’une exaltante vocalise au superlatif. Au sommet de son épanouissement vocal, cette prodigieuse Fée enchanteresse, par des sonorités du merveilleux exaltant remue âmes de ses plus délicieux mouvements ondulatoires du registre sacré de la transfiguration.

Une longue tenue vocale à faire fondre les âmes d’émotion, Elina Garanča, la reine du bel canto, enveloppe de son divin rayonnement l’auditoire du dernier vocable. De ses lèvres vibrantes s’exhale une longue brise crescendo, modulée en déclinant en cascatelles l’intensité sonore de la magique emphase sur l’AMEN.

22/04/2018. Subjugué du sublime épanouissement du lyrisme de sa providentielle Fée salvatrice Elïna Garanča, son « Cavalier de Prose » Peter, en adoration. http://dietrich13.com

Elïna Garanča 11 Méditation B.jpg

 

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L’apothéose lyrique de la diva Elina Garança dans l’Ave Maria de William Gomez.

Posted in Magouille by Dietrich13 on 5 avril 2018

L’apothéose lyrique de la diva Elina Garança dans l’Ave Maria de William Gomez.

Le compositeur espagnol William Gomez a été un ami du chef d’orchestre britannique Karel Marc Chichon, l’époux comblé de sa merveilleuse blonde “classy lady” lettonne du bel canto Elïna Garança. Par la magie de ses merveilleuses symphonies, le maestro, par l’enchantement musical, a fait généreusement transmigrer l’âme de son divine épouse à mon secours sur l’ « Échiquier du Diable » en Reine blanche et en mon Ange protecteur des maléfices, au risque de se faire massacrer avec elle en 2016 à l’Opéra nationale de Paris avec toute sa compagnie d’artistes lyriques.

Pour écrire son dernier et saisissant œuvre, son célèbre AVE MARIA, William Gomez s’est retiré à Gibraltar juste avant de mourir. À leur résidence, le compositeur et guitariste s’est lié d’amitié avec le fabuleux maestro Karel Marc Chichon et de son divine épouse : cette exquise et prodigieuse cantatrice lettonne Elina Garança. Ce couple merveilleusement bien assorti des plus grands génies de l’art lyrique et dramatique, s’est sentimentalement très attaché au chant de l’Ave Maria de leur ami William Gomez, décédé avant même de le pouvoir entendre.

Le saisissant œuvre de l’apothéose spirituelle de la Sainte Marie par le lyrisme a contribué à l’attribution du prix du chant sacré à Elina Garança à Dresde en Allemagne, figure dans son magnifique album MEDITATION, et est souvent représenté de partout dans le monde lors des inoubliables concerts ou oratorios sous la magistrale direction du grand magicien de symphonie, du génial maestro Karel Marc Chichon.

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Strophes en espagnol.

“Ave ave Maria, llena llena eres de gracia Bendita eres tu entre todas las mujeres Y bendito es el fruto de tu vientre Jesús,

Ave ave Maria llena llena eres de gracia Bendita eres tu entre todas las mujeres Y bendito es el fruto de tu vientre Jesús,

Ruega por nosotros pecadores ahora y en la hora de nuestra muerte, amen,

Uuuuuu uuuuuu, bendita eres tu entre todas las mujeres Y bendito es el fruto de tu vientre Jesus”.

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Traduction littérale en français.

« Ave Ave Maria, pleine pleine de grâce, vous êtes bénie parmi toutes les femmes et béni est le fruit de votre ventre Jésus,

Je vous salue Marie pleine pleine de grâce, vous êtes bénie parmi toutes les femmes et béni est le fruit de votre ventre Jésus,

Priez pour nous les pécheurs. Ah ! Priez à l’heure de notre mort, Amen,

Mmmm mmmm, Béni sois-tu parmi toutes les femmes et béni soit le fruit de ton ventre Jésus ».

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Dans cet oratorio liturgique, la soyeuse voix caressante Elina Garança développe avec une saisissante virtuosité des sonorités pathétiques dans toute la splendeur la mélodieuse supplique d’intercession d’un mourant à Saint Marie, de prier à sa mort pour la grâce de son âme par Jésus.

Après un bref prélude des tendres sons pincés de la harpe, suivi par le soutien instrumental de tout l’orchestre, en mimétique du pieux recueillement, avec le pouvoir séducteur de tout son être la sublime diva Elina Garança enchaîne par des exquises variations du phrasé et emphases harmoniques, répande par des douces vagues de sa tessiture moyenne dans l’auditoire le souffle spirituel d’une atmosphère mystique du sacré.

L’inoubliable représentation est synchronisée de ses plus gracieuses mimétiques faciales et gestuelles de la profonde piété ; amplifie le climat sacré de sa rayonnante aura féminine, si exquise de son élégance et de sa beauté.

Elïna Garanča, 39 Ave Maria (William Gomez). Christmas in Vienna 2007. Dirigent Karel Mark Chichon.

Ondulant en crescendo des sonorités hautes, en douces ruptures, redescend la ligne en decrescendo au basse implorante la grâce, puis hausse les tonalités du merveilleux exaltant de son registre en louanges appuyées à la Saint Marie, mère de Dieu, avec la terminaison mélodique de la strophe en poignantes vibrations lyriques.

Sur un fond piano de l’orchestre, ponctué par les tendres sons pincés de la harpe, le fredonnement de sa vibrante tonalité nasale de l’mmmm s’étiré tel un bourdonnement éthéré des ailes vibratoires d’un ange. La féerique Elina Garança reprend la strophe finale de l’apothéose par le mourant de la Sainte Marie et de sa bénédiction ; termine l’air par des douces mesures allongées des notes liées de « l’Amen » d’une piété allant droit au cœur.

Dans les chants sacrés, la ravissante tendresse caressante des couleurs lyriques des vocalises d’Elïna Garanča parvient à susciter des mystères de l’atmosphère d’enchantement, imprégnant dans leur recueillement l’assistance de l’impression émotionnelle du surnaturelle.

05/04/2018. Conquis par le charme rayonnant de son lyrisme et la grâce de sa beauté et de son aménité, Peter, le ‘Cavalier de Prose’ d’Elina Garança.

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