Légitime défense politique.

Elina Garanča, ma providentielle déesse enchanteresse du bel canto.


Partout l’incantation vibrante de ta douce voix, la grâce émouvante de tes gestes, de l’exquise séduction amène de ton visage si rayonnant, conserveront ton charme céleste de la féerique splendeur, Elina Garanča, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto fill me with rapture more and more…

 

002 Elïna O Dreamt

ttps://youtu.be/1pSdVuIgQdI

 

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Elïna Garanča 7 Kommt mit mir Texte

Elina Garanča  and Charles Castronovo sing the Zarzuela duet « El duo de la Africana » by M.F. Caballero at a concert in Gottweig, Austria 2009. Conductor: Karel Mark Chichon.

Elina, meine sublime, bezaubernde Göttin des Bel Canto, komm mit mir! (Vienne avec moi!).

– Für immer und in der Ewigkeit. (- Toujours et dans l’éternité.)

Pour le concert de plein air près du monastère de Gottweig en Bas Autriche en 2009, le chef d’orchestre Karl Mark Chichon a adapté avec son génie ibérique de Gibraltar, magnifiquement dirigée et exécutée par l’orchestre, un extrait de l’opérette espagnol burlesque « Le Duo de l’Africaine » à l’ambiance autrichienne en exploitant l’extraordinaire virtuosité vocale de mezzo-soprano de sa sublime Dulcinée enchanteresse blonde du bel canto, son épouse Elina Garanča aux grands yeux d’un bleu fascinants, dans un extrait à la musicalité bien choisie pour la représentation dans ce cadre rustique. (En 2005 ce duo fut chanté avec une autre séduisante mise en scène Elina Garanča avec le ténor Marcelo Álvarez dans les splendeurs sélectes du Gala concert de l’Opéra de Wien).

Le ‘Zarzuela duet El duo de la Africana’ de M.F Caballero, publié le 13 mai 1893, à l’Apollo Theater à Madrid, est une opérette théâtrale de grand succès populaire d’une durée d’une heure. D’un milieu affairiste, l’amusant mélodrame met en scène les intrigues amoureuses, passionnelles et conflictuelles d’un jeune homme (ténor) de bonne famille, follement amoureux d’une innocente jeune femme riche et gracieuse de l’Andalousie (mezzo-soprano).

 Dans le merveilleux arrangement en Autriche, l’héroïne folklorisée est scénarisée en modeste, l’innocente villageoise autrichienne nommée pour l’ambiance « Elina », cette cantatrice mezzo-soprano d’une poignante grâce incantatoire. Costumée, en vertueuse villageoise autrichienne, elle chantante en espagnol son candide dédain des avances audacieux de l’élégant soupirant, mimant l’émotion des gestes avec son exquise perfection, en harmonie avec l’expressivité des couleurs modulées de sa voix exercée à la perfection.

La participation du fringuant soupirant est chantée par le ténor Charles Castronovo, déployant tout le talent de séduction virile avec son art vocal, des impressionnantes tonalités expressives de sa voix virile d’un typique macho espagnol : – « Je vais dire à mon charme, Je vais vous dire mon amour, Je vais dire à ma gloire, Je vais dire à mon ciel…, » pour lui ordonner en allemand d’un enthousiasme exubérant : « Elina viens avec moi ! ».

 Elina, si ardemment convoitée dans ce duo d’amours et querelles aux sonorités de belles harmonies, après avoir chanté sa participation en espagnol, se détourne outrée de cette audace, lance au ténor en allemand haute et claire à la tête : « Jamais ! »

Elle est venue avec moi dans l’Histoire, avec son « Cavalier de Prose » inspiré et enchanté » Peter.

Elïna Garanča 8 prière.

https://youtu.be/0DO6S60OaE4

Elina, meine sublime, bezaubernde Göttin des Bel Canto kommt mit mir. (Vient avec moi).

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023 Manon - Anna Netrebko & Roberto Alagna

https://youtu.be/1fyytF2xsio

Manon – Anna Netrebko & Roberto Alagna – Act 2 (Opera by Jules Massenet).

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Ô magie, ma douce et tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or. Ô magie, de ton regard captivant de la pureté du saphir d’un bleu céleste, du sommet radieux de la sphère du génie de l’auguste art musical.

 Ma douce et tendre Rossignol, Elina, ma sublime déesse enchanteresse, pénètre mon âme meurtrie du rayonnement de ta sublime magie vocale, réchauffe mon âme meurtrie immergé dans un vil abîme de dissonance hypocrite.

Trille tendre Rossignol ! Trille tendre Rossignol en crescendo du sommet radieux de la sphère du génie de l’art musical. Laisse résonner la magnificence des doux timbres de l’incomparable magie de ta vocalisation du ravissement musical. Du lutteur solitaire, remue en vibrato son cœur meurtrie dans sa gangue d’acier, Elina, ma sublime déesse enchanteresse.

Brille tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or ! Brille à l’Opéra tendre Rossignol, oh ! oh ! Surprise, ravie en sublime Compagne virtuelle de charme dans le cheminement de mon escapade dans l’Histoire de l’Humanité à la recherche éperdue de Grands Hommes.

Laisse briller le suprême l’éclat du Bel Canto, sur ce solitaire finaud de Voleur aux anges, quelques rayons de ton céleste halo. Brille tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or ! Brille, Elina, ma sublime déesse enchanteresse, cède de bon cœur au lutteur solitaire de toutes les audaces un peu d’éclats de ta brillance céleste dans les ténèbres de son vil abîme de dissonance hypocrite.

Elïna Garanča 9 Blanche

HAUTE TRAHISON DE L’HUMANITÉ : Académie française, É.N.A. Nazis, C.I.A., Rotary, Maçons, Sectes, Mafias, Cinglés…

https://docs.google.com/document/d/1DuEmhGHrnixvgstzTh2EVEkpAIzvWwNaSQkYQ_zh_M4/edit

https://youtu.be/qpRTQ8tBeIo

ELÏNA GARANČA DANS L’ARIA DE CHARLOTTE DU DRAME LYRIQUE WERTHER à quatre actes de Jules Massenet présenté à l’Opéra national de Paris du 20 janvier au 4 février 2016. En extraordinaire mezzo-soprano dramatique et lyrique dans le rôle de Charlotte, l’opéra Werther fait partie du grand répertoire Elina Garanča, présenté par elle dans les plus prestigieuses maisons d’opéras dans le monde. Les arias et récitatifs aux merveilleuses expressivités émouvantes des couleurs lyriques sont enregistrées dans ses magnifiques albums CD : ARIA CANTILENA et ELÏNA GARANČA ARIA FAVORITE.

Mon association consentie en virtuelle, bien réelle, avec la merveilleuse mezzo-soprano Elina Garanča de la Lettonie, a produit des ravageuses jalousies politiques passionnelles, car cette sublime blonde nordique au regard fascinant de ses prunelles aux aspectes de deux saphirs hypnotisant, ‑par lesquels elle m’a conquis‑ , la ravissante déesse du bel canto a marché sur les plates-bandes d’une autre blonde, d’une jalouse cabotine vulgaire, mais avec des ambitions combien démesurées de conquérir le pouvoir en France pour changer le monde par les Nazis à l’aide de la subtilisation de mon prestige de la bravoure militaire et de la rayonnante science universitaire.

 Au surplus, sont marqués par le chiffre 13, tout le déroulement de l’impressionnante carrière de l’extraordinaire cantatrice Elina Garanča, ainsi que notre insolite connexion par sa captivante musique du lyrisme vocale. Ce chiffre, chez les forces occultes qui s’affrontent sans merci dans les coulisses politiques, selon leur ésotérisme, occultisme et l’astrologie, présentent une force magique très importante, notamment le jour du vendredi 13. Pour les forces occultent jouant sur les cases noires de l’échiquier politiques, ‑Elina et moi affrontons à présent en associées‑, le chiffre 13 est chargé de la malchance, de l’échec, de la malédiction destructrices. Pour les forces occultes jouant sur les cases blanches de l’échiquier politique, c’est un chiffre constructif de bonheur, de la chance, de la réussite. Inconsciente, avec le rayonnement de son captivant aura féminin, la sublime Elina Garanča est devenue une vedette internationale extrêmement dangereuse, pour changer le cours de l’histoire, qu’il fallait coûte que coûte s’éloigner de mon chemin fatidique marqué par le chiffre 12.

Ce chiffre 12 présiderait au changement du cours de l’histoire pour les occultistes nazis et de l’intégrisme catholique notamment. Le sortilège de cette force surnaturelle est pris au très sérieux par les mages noirs de l’occultisme et astrologie, si bien qu’il a motivé, entre autres curiosités historiques, l’empoisonnement en 1939 du Pape PIE XI (11) pour le faire remplacer par le Pape nazi PIE XII (12), instigateur de la Deuxième Guerre mondiale avec ses cardinaux et évêques manœuvrés par la « Santa Mafia » du Vatican, une sorte de franc-maçonnerie hermétique. (Elle finissait de se faire connaître récemment par des sandales financiers et meurtres en série, liées à l’assassinat du député et secrétaire d’État Jean DE BROGLIE, ses accointances compromettants avec l’ancien président de la République Valérie Giscard d’Estaing, la secte Opus Dei…).

Le 12 août 1944 (mon anniversaire), par une opération homicide des services secrets en Angleterre, le lieutenant John Kennedy, pilote de l’US Navy, a été éliminé d’une intervention destinée au spectacle de médiatisation. Par son éclat médiatique, le fils de papa aurait dû être élevé dans l’histoire au Zénith de l’extraordinaire et mémorable héros de la Deuxième Guerre mondiale. Son père, le traitreux diplomate Joseph Kennedy, s’est enrichie sans vergogne par la haute trahison de la collaboration à l’organisation de la Deuxième Guerre mondiale avec le « mage noir » (sic !) Adolf Hitler et son adepte sectaire, l’ex-roi d’Angleterre Éduard VIII, le duc de Windsor. À cette époque, Joseph Kennedy, par le trafic d’influence et corruption, envisageait faire passer son fils ainée John, Président des USA pour préparer la Troisième Guerre mondiale, déjà projetée à la réunion en 1943 à Strasbourg en France par des sommités nazies, de l’Église, de l’aristocratie des « homme-dieux » germaniques, des super-industriels et de la grande finance internationale. Tous les pions ont été mis en place sur l’échiquier mondial sur lequel la divine Elïna Garanča et moi ont été introduits et joués sur les cases blanches de l’échiquier mondial par les belligérants de l’Ombre, nous associant indivisiblement jusqu’à la fin de l’Histoire.

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Déjà lors des préparatifs de la Deuxième Guerre mondiale par la grande finance internationale et leurs grands industriels, les « hommes-dieux » de l’aristocratie germaniques, le Feu et le Glaive de l’Église, avec le Vatican, le haut commandement de la Marine des États Unis a été totalement acquis au nazisme. (Celui de la France aussi, comme le prouve la tentation avortée par Churchill de l’opération navale combinée avec la marine allemande « Seelöwe » (Lion de Mer) pour remettre sur le trône d’Angleterre Éduard de Windsor avec son épouse Wallis Simpson comme reine). Ce militantisme s’est manifesté par la construction de l’impressionnant immeuble du quartier général de l’US Navy en forme de la Croix gammée. (Toujours existant).

Les services secrets de l’US Navy ont fait former leur agent secrète, la stérile madame Wallis Simpson, à la séduction dans des bordels de luxe de Hong Kong et du Kaire en Égypte. Bien rodée dans sa mission au Pékin avec des agents de Mussolini, elle fut lâchée sur le Roi Éduard VIII d’Angleterre. Mordu de la vipère, a préféré d’abdiquer que de lâcher cette irrésistible séductrice salie du sacrilège du divorce.

Dès lors, l’agent secrète de l’US Navy Wallis Simpson devenait une alliée importante de la Haute trahison de l’ex-roi, Éduard de Windsor, inspecteur des troupes franco-britanniques derrière la Ligne Maginot. Avec ses fidèles généraux et officiers supérieurs de l’état-major britanniques et français, totalement acquis comme lui au Nazisme, il préparait la défaite de la France par la guerre éclair en contact direct avec son ami intime Adolf Hitler : le « magicien noir » (sic !) de la secte des « surhommes d’origine extraterrestres », dont il a été un adepte passionné avec Rudolf Hess, numéro deux du régime nazi. (Cet émissaire de Hitler craché en Angleterre, chargé d’éviter l’ouverture d’un deuxième front avant l’envahissement de l’Union soviétique… c’est encore une autre sombre histoire dont la vérité est occultée par l’ONU).

Charles Bedaux, citoyen français, ‑liée à la haute finance, leurs industriels et services secrets nazis‑, le plus important ingénieur-conseil du Duc de Windsor et de son épouse Wallis Simpson de l’organisation de cette haute trahison des Alliés, s’est fait surprendre par le débarquement de l’armée US en 1943 lorsqu’il a été en mission en Algérie. Après des longues hésitations, la justice français s’est finalement décidée de le faire arrêter et incarcérer. On comprend à présent pourquoi les gaullistes l’ont fait extrader dare-dare aux États Unis, alors que la France avait sur lui des droits judiciaires prioritaires. (De cette gente judiciaire du complot d’Alger, je retrouve des illustres noms (Moatti…) dans mes procédures truquées à Paris).

Par l’assassinat en prison aux États-Unis de Charles Bedaux, camouflé en suicide, l’histoire a été privé d’intéressantes éclaircissement. Le chef du l’F.B.I., Edgar Hoover a été constamment et parfaitement informée des manigances de la haute trahison et des occultations judiciaires. Avant la catastrophe, il a même déclaré publiquement que le duc Éduard de Windsor devrait être depuis longtemps en prison. En faites vous-même la déduction logique qui s’impose.

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Avec la magie incantatoire de la gracieuse Elina Garanča‑13, la prestigieuse étoile de l’Opéra à mes côtés de l’historien, juriste calé en droit pénal et psychosociologie, les forces noires sur l’échiquier mondial craignent sérieusement que l’histoire prenne une tournure fatale pour leurs sombres projets de la purification raciale massive des génocides. À l’insu des hommes-masses aveuglés par la manipulation médiatique et de la falsification systématique de l’histoire, dans le monde réel, ces fous hallucinés chercheront et recourront aux moyens les plus extrêmes pour l’empêcher, car c’est par irrationalité des élucubrations des superstitions de l’ésotérisme, de la magie et de l’astrologie des assoiffés irresponsables du Pouvoir invisible aux communs des mortels, de l’immémoriale folie humaine, nous sommes en fait gouvernées vers la conflagration de l’apocalypse wagnérienne prophétisée par leurs chimériques « voyants extra-lucides ».

Il reste encore quelques mystères du l’attentat meurtrier à Paris, combiné avec ma cardinale et percutante action judiciaire devant l’ONU, publiée ensuite sur mes sites Web. (Ma « Direction » m’a bloqué jusqu’au magique vendredi 13 la transmission à l’ONU de l’exposé achevé depuis longtemps, ‑espionné, connu et exploité de tous les canailles‑). L’action terroriste de riposte précédait de deux mois la représentation Elina Garanča à l’opéra nationale de Paris. En signe d’avertissement mademoiselle Lucy Dietrich a été abattue à coups d’armes de guerre. Le sensationnalisme médiatique des attentats toujours plus sanglants avait pour l’effet recherché d’éclipser dans les médias les scandales des grandes affaires des monumentales escroqueries économiques et financiers ruineuses pour l’économie française, de faire passer doucettement en justice ces grands criminels de la haute avec des incriminations tout à fait insignifiantes, tels que des simples voleurs d’étalage, les faire laver plus blanc par la complaisance des juges prévaricateurs corrompus de père en fils, avec en prime des flatteuses reportages des médias, propriétés des holdings omniums profiteurs Lagardère, Bouygues et compagnie, anticipant la loi de leur amnistie déjà en projet devant le Parlement.

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 (Pour un psychosociologue, cette opération du camouflage par l’immense écran de fumée du sanglant vendredi 13, dressé par des terroristes, avec ses vicieux instigateurs qui tirent les ficelles, le but et les effets médiatiques ont été atteints avec mon élimination judiciaire criminelle, comme naguère par l’occultation du trucage de l’affaire du général Pinochet du Chili, et, de l’affaire judiciaire subversive « Sang contaminé » contre le gouvernement, suivie ensuite de mon élimination judiciaire dans les affaires des escroqueries astronomiques des titres spéculatifs toxiques « Subprime ».

 L’opération terroriste du vendredi 13, est donc parfaitement comparable à l’imputation a priori à l’adjudant-chef Pierre Chanal innocent, les meurtres sadiques en série des jeunes soldats autour de leur garnison de Mourmelon. Avec l’écran de fumé d’une intensive médiatisation sensationnaliste devant mes exposés édifiants, mon élimination du discrédit par ricochet, de la manipulation de l’opinion par « l’association psychologique des idées », a été aussi réalisée de cette façon scélérate.

Lorsque je fus dirigé par les services secrets de l’Armée, en faisant appel au témoignage en faveur de l’adjudant-chef Pierre Chanal de mon ancienne amour Carole, (se faisant appeler Karin), dans cette garnison, pour désamorcer mes constructions juridiques irréfutables, l’adjudant-chef Pierre Chanal a été assassiné dans la cellule de haute sécurité de la prison. La méthode employée pour simuler le suicide a été justement montrée aux grands écrans du cinéma.

L’opération terroriste du vendredi 13, est aussi parfaitement comparable avec le massacre inexpliqué du Conseil municipal de Nanterre en délibération publique dans l’Hôtel de ville. Il a été exécuté de façon surprenante par M. Richard DUM, maître en sciences politique, licencié d’histoire, trésorier de la Ligue des Droits de l’Homme, détenteur d’un permis de porte d’armes officiel, délivré par le Préfecture. Richard Dum, non entravé, a été défenestré du quatrième étage de la célèbre Brigade criminelle de Paris. Quant à moi, l’évadé de Cadillac, deux farouches gaillards avec une ambulance de la Protection civile m’ont sérieusement menacé de la capture lors de mes entraînements quotidiens des courses à pied dans le Parc de La Courneuve.

Cette autre riposte à mes interventions judiciaires contre les trucages des procédures a notamment été organisé contre mon intervention judiciaire dans l’affaire de la catastrophe de l’explosion à Toulouse de l’usine AZF des négligentes compagnies pétroliers Elf Aquitaine et Total. Ces deux importants corrupteurs politiques, profiteurs et financiers du Deach, sont des instigateurs du terrorisme de l’État Islamique pour atteindre le même but des attentats précités : l’occultation de ma savante existence, ma suppression avec les dossiers édifiants, présentés contradictoirement sans être contredit aux audiences publiques à Paris et Lyon : dossiers, preuves à l’appui, irréfutés et irréfutables en justice qui compromettent sérieusement leurs intérêts commerciaux nationaux et internationaux. Comme l’ONU n’en veut rien savoir de l’escalade du terrorisme meurtrier de cette coalition de la haute finance des comploteurs contre la sûreté de l’État de la France (et au-delà), on tremble pour tout l’opéra national de Paris construit par François Mitterrand sur le Place de la Bastille qu’ils maudissent, quand Elina Garanča‑13 s’y représentera mi-juillet 2017).

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Le choix par les islamistes du vendredi 13 est invraisemblable, ne peux pas s’expliquer par leurs croyances. Ce chiffre n’a aucune signification pour les terroristes Deach de l’État islamique. Ce chiffre magique a seulement une très importante signification pour leurs « complices », ­‑ épousant leur criminalité au sens du droit pénal‑, qui les instrumentalisent et financent ouvertement. En est un d’eux notoirement connu, le multimilliardaire du holding des marchées d’armes, immobilier, médias etc. LAGARDÈRE. Le gros gros malin a dans son conseil de surveillance de la société anonyme en gros actionnaire, entre autres de ses hautes collèges truqueurs et falsificateurs, le Président de la Cour d’appel de Paris Jean-Claude Magendie, franc-maçon affairiste de la Grande Loge nationale de France de couleur d’extrême droite. Ce haut tripoteur de la Justice cumule ses fonctions judiciaires en France avec la présidence de l « ’Association pour la Coopération juridique et judiciaire internationale » : des avocats très coopérants, payés à un million/dollars heures pour m’anéantir à l’ONU par la corruption et trafic d’influence du lobbying mafieux. Avec de tels « juges et parties » corrompus de père en fils, du bouclier judiciaire de protection du crime organisé des trafiquants et assassins de haute volée, on tremble pour ma gracieuse reine Elina Garanča du bel canto.

Il reste aussi mystérieux par quels moyens les services spéciaux de l’armée ont pu s’arranger que des fusils d’assauts et grenades à main destinés à massacrer ma ravissante Fée Elina Garanča, soient saisis par la police à Muniche en Allemagne où elle chantera en 2016 et 2017 à l’opéra. Vu l’enjeu international, l’opéra WERTHER chanté à l’Opéra nationale de Paris en 2016, présente donc l’événement le plus marquant dans la carrière artistique de la sublime Diva Elina Garanča. Pour la dissuasion, je suis absolument tenu de commenter brièvement sa saisissante participation avec ARIA DES LETTRES WERTHER, WERTHER, de la diffuser dans le monde entier sur mes sites Web pour préserver ma sublime déesse salvatrice des nouveaux attentats assassins ou même du redouté rapt de ses deux filles par les fous la lier des sectes. Dans la guerre psychologique internationale qui se livrent sur l’échiquier mondial depuis des siècles des superpuissances de l’Ombre, la douce et candide Elina, seule en mon associée, pèse à présent plus lourd que toute l’Armée française en défilé à la Fête nationale du 14 juillet. Heureusement, ma sublime Fée salvatrice Elina Garanča bénéficie d’une protection en rapport de son radieuse importance.

L’adaptation du roman de Goethe à la scène lyrique relate la malheureuse l’histoire d’amour impossible entre Werther (ténor), le rêveur, et Charlotte (mezzo-soprano), promise au mariage par son père à Albert (baryton), estimant que le solide réaliste ferait un marie idéal pour elle. Lorsque les enfants de sa famille s’exerçaient au chant de Noël, Werther apparaît devant la maison, est émerveillé de l’atmosphère du bonheur dans un gracieux récitatif et air : « ‑au nature plein de grâce ». Au bras de Charlotte réticente, habillée juste pour aller au bal, Werther lui avoue son amour. Mais l’idylle est perturbée par l’annonce à haute voix de la famille de Charlotte du retour d’Albert. Werther apprend que sa subite flamme de cœur Charlotte est déjà fiancée à Albert, le mari souhaité par la mère pour sa fille. Séducteur passablement perturbé, Werther s’écrie désespérée : « ‑Un autre ! son époux ! »

Deux de leurs amis boivent en joyeux vivants à l’auberge. Après trois mois de mariage heureuse Charlotte et Albert entre dans l’Église. Werther les aperçoit et dans un monologue se plaint de ne jamais pouvoir épouser Charlotte : « ‑un autre est son époux ». D’adoration exaltée pour Charlotte, il s’effondre sur une chaise de l’auberge : « ‑ Dieu de bonté…, si tu m’avais permis de marcher dans la vie avec cet ange à mon côté… ». Albert inquiet de ses extravagances se met près de lui, cherche une explication à ses soupçons de la liaison amoureuse avec son épouse troublée. Werther finit de l’assurer de sa loyauté envers lui et son épouse Charlotte.elina-garanca-52-dans-laria-de-charlotte-du-drame-lyrique-werther-de-jules-massenet

Leur dialogue est interrompu par la joyeuse Sophie (soprano), la sœur délurée de Charlotte, chantant le bonheur de son cœur léger dans une frivole ariette. Charlotte, soucieuse de ne pas compromettre sur un coup de tête son ménage, demande à Werther de partir et ne plus revenir, surtout pas avant Noël : « ‑Eh bien, puisque à jamais le destin nous sépare, éloignez-vous, partez, partez ! » Werther l’assure de ne plus jamais revenir, lui confie que son seul désir est de la voire heureuse.

Mais à Noël, Charlotte a compris que son cœur éprouvait pour Werther une incompressible attirance sentimentale. Elle est de plus en plus bouleversée par la relecture de ses lettres d’amour enflammées, chante l’air « des Lettres ». Dans ce saisissant monologue chantante, lente et soutenu d’une scène de puissante et virtuose expressionnisme du lyrisme théâtral, la Diva Elina Garança fait montre de son éminent talent de la vocalisation colorature dans son admirable registre des émotions. Avec cette finesse des nuances, toutes les émotions de la perturbation de l’esprit humaine par la passion son exprimés dans trois phases évoluant de l’éveil de la passion amoureuse refoulée de la femme soucieuse de l’intégrité conjugale, vers le relâchement chanté par des inflexions de la joie nostalgique, se muant ensuite aux souffrances du désespoir tenaillantes du sacrifice de l’amour avec Werther.

 Préludé aux courtes et sombres sonorités magnifiquement expressives de l’orchestre soulignent un climat oppressif dans le salon du mari Albert. Charlotte assise près de la table, sort avec mainte hésitations les lettres. Avec l’admirable perfection de son art lyrique, Elina Garanča articule en parfait français avec précisons l’amplification de l’émotion passionnelle en relisant ces lettres de Werther qu’elle n’avait pas à cœur de détruire : l’envahissant crescendo expressif, très lente de la tonalité de la libération d’une passion refoulée dans sa conscience de la femme mariée séduite, son abandon aux impulsions de l’âme bouleversé : « ‑Werther, Werther…

Une courte rupture de l’hésitation, marque de la passion refreinée, Charlotte de plus en plus perturbée enchaîne de la vocalisation lente sur les sonorités en symphonie basse des cordes : « ‑qui aurait dit la place que dans mon cœur il occupe aujourd’hui… ». Son retenu morale du mariage vaincu par la passion, un chant saccadé, ponctué par des coups de timbales, marque la rupture de la résistance à tentation funeste de relire ces lettres sorties du tiroir de son meuble au lieu de les détruire. Dans une lente mélopée traînante en symbiose expressive de l’orchestre, en l’ondulation harmonieuse, le chant de lecture accroit son saisissement sentimental, sa compassion de la situation de Werther seul, abandonnée.

Charlotte s’insurge attendri d’une intonation brusque aux aigus, poursuit à la chantante diction mouvementée de sa tendre compassion, avec des courtes transitions instrumentales de renforcement de l’expressivité vocale appuyée : « ‑Ah ! personne auprès de lui !… Pas un seul témoignage de tendresse… ou même de pitié ! poussée aux aigues lentes : « ‑Dieu, comment m’est venu ce triste courage d’ordonner cet exil et cet isolément ! » en faisant alterner les mouvements ascendants et descendants de la mélodie pétrie de regret et tristesse.

Des magistraux soutiens et appuies sonores de l’orchestre, les brefs interludes expressives de la variation dramatique des motifs des émotions, les timbres et le lyrisme des chacune des instruments en symbiose avec la magnifique vocalisation nuancée, valorisent la précision de l’intonation verbale de la relecture des lettres de Werther. Sur son remarquable registre des émotions d’une infinie délicatesse mélodieuse, la divine Elina Garanča chante très lentement avec l’expression d’un phrasé virtuose, appuyé sur des notes liées, ondulantes des hautes aux basses, en decrescendo de l’émouvante sonorité expirante : « ‑je vous écris de ma chambre… un ciel gris, et lourde de décembre pèse sur moi comme un linceul… et je suis seul, toujours seule… !

Charlotte rassérénée avec le motif de la lecture des heureux souvenirs de Werther lors du court l’idylle commun, chanté au rythme sautillant des notes aigues des sonorités magnifiquement perlés des sensations de la joie. C’est une magistrale démonstration de l’extraordinaire souplesse de la tessiture de la sublime cantatrice Elina Garanča.

À la lecture du suivant des lettres d’amour de Werther, la mélodie de Charlotte retombe dans l’abattement de la tragique consternation. Ce poignant monologue au lyrisme appuyé aux inflexions particulièrement tristes de la tragédie expira par la lecture de l’épilogue pathétique de Werther dans sa lettre. Charlotte est épouvantée de l’abattement de son bienaimé au désespoir : «   ‑mais si je ne dois réapparaître au jour fixé devant toi (Noël), ne m’accuse pas, pleure-moi ! ne m’accuse pas pleure-moi ! ‑Oui, de tes yeux si pleins de charme, ces lignes tu reliras, tu les mouilleras de tes larmes ! ô Charlotte, et tu frémiras, tu frémiras ! tu frémiras ! » Lentement en ondulant doucement aux médians, soupirante des nuances tristes avec des envolés aux aigus de la détresse, la vocalise des expressions des tourmentes moraux déchirants est amplifiée par le roulement des timbales, et de la symphonie des cuivres. Le chant d’abandon de Charlotte expire lentement dans le decrescendo appuyé par l’orchestre, finalisé des lentes sonneries du glas, allongées en pianissimio des cors.

 L’appréhensif monologue du sinistre pressentiment de Charlotte sur la fin fatale de Werther est interrompu de l’arrivée joyeuse de Sophie. Sa sœur est affolée ensuite par l’air des larmes de Charlotte perdue des troubles passionnels.

En vain, sa jeune sœur Sophie exubérante recherche la réconforter par le récitatif des gaies câlineries. Charlotte ne pouvait plus se retenir, avoue son amour secret pour Werther dans son pathétique arioso et récitatif : « ‑va, laisse couler mes larmes. Elles font du bien ma chérie ».

 Charlotte seule, dans son puissant et convaincant air des Larmes, prie Dieu pour qu’il aide, exhibant un délectable raffinement vocal dans sa supplication : « -ah mon courage m’abandonne […] Seigneur Dieu, Seigneur […] Prends pitié de moi. Soutiens ma faiblesse…Viens à mon secours. Entends ma prière… ».

 Werther surgit brusquement, surprenant Charlotte dans son appartement en plein désarroi. En communions d’amoureux, le couple regardait des livres qu’ils lisaient autrefois. Werther chante un célèbre air d’amour tragique qui y est conté, pousse la voix aux émotions bouleversantes : « ‑Pourquoi me réveiller ». Elle succombe au charme de l’atmosphère inattendue, trahissait ses sentiments refoulés dans son for. Avec tendresse, il sert dans ses bras son amour conquis Charlotte.

Son époux Albert les surprend et blâme Werther des troubles des agitations sentimentaux apportées à son épouse perturbée. Après avoir lu le message de Werther éloigné : « ‑je pars pour un lointain voyage, voulez-vous me prêter vos pistolets », Albert les fait remettre au messager par Charlotte qui songe avant tout de sauver le ménage.

Dans l’acte finale débordant d’exhalaison de tendresse, Charlotte trouve dans son cabinet de travail Werther mortellement blessé par les pistolets de son marie qu’elle lui a fait remette. Résigné, il l’empêche de chercher de l’aide. Tandis qu’on entend les enfants célébrant Noël dans la maison, Werther expire dans les bras de Charlotte, heureux par son aveu consolateur d’une tendresse maternelle, qu’elle l’avait aimé dès leur première rencontre. Comme un enfant malade, dans son élan de tendresse, elle rassure le mourant de son amour.

Peter, le « Cavalier de Prose », en adoration devant l’exquise art dramatique et lyrique de sa belle et gracieuse reine blanche du bel canto Elina Garanča.

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D’une extraordinaire beauté, chantée par Elina Garanča d’une vocalisation phénoménale élevée au plus haut degré de la perfection lyrique, la romance « D’amour, l’ardent flamme » de Margueritte, l’l’héroïne malheureuse dans l’Opéra « La Damnation de Faust » de Hector Berlioz provient une pièce de théâtre de Goethe (1789-1832), adaptée par Gérard de Nerval. Le scénario est modifié par Hector Berlioz (1803-1869) faisant écho de ses propres conflits moraux de la jeunesse. (L’ALBUM ROMANTIQUE au thème « Entre amour et désespoir » de la fabuleuse mezzo-soprano lettonne Elina Garanča est dirigé magistralement par le maestro Yves Abel et accompagné de l’orchestre philharmonique communale de Bologne. ‑Le rôle de la Marguerite, la femme de l’amour de rêve de Faust damné est chantée dans son intégralité dans l’opéra par Elina Garanča en 2008 au Grand Théâtre de Genève en Suisse‑. De cette représentation, je n’ai pu m’en procurer qu’une ravissante photo d’elle dans la revue « Avant-Scène Opéra » n° 22 (éd. Paris) avec l’analyse savante et détaillée du musicologue Gérard Condé).

Elïna Garanča 47 Faust, Romance de Margeritte.

La légende dramatique de l’’opéra, ici brièvement narrée, est la dramatisation des conflits moraux du Bien et du Mal engendrés des aberrations des superstitions du Moyen Age ; après d’une haute civilisation détruite, émergeant lentement de l’obscurantisme mortifère de l’hérésie d’une secte chrétienne par la « Renaissance » au quinzième siècle, par la redécouverte freinée par l’Inquisition du clergé halluciné, dans la littérature arabe de la civilisation gréco-romaine « préscientifique » (Nietzsche).

 Le docteur Faust s’ennuie dans le confort de son bureau, se lamente de sa morne existence morale appauvrie. Après avoir avalé une drogue hallucinogène, dans sa rêverie pieuse sur la renaissance du Christ, le suppôt du diable Méphistophélès lui apparaît, lui propose en échange de son âme, de lui offrir tous les plaisirs de ce monde. Plaisirs orgiaques qui se réalisent dans des vulgaires ivrogneries avec des débauchés.

 Dans un rêve Faust est saisie d’un amour passionnel par la vision obsessionnelle d’une femme merveilleuse. Par la magie noire du suppôt du diable Méphisto, Faust rencontre sa merveilleuse créature de rêve en réel dans son appartement à son « chevet virginal ». Ensemble, envoutés par Méphisto, les amoureux s’adonnent aux plaisirs des péchés de la chair, scandalisent le voisinage avec leurs gémissements.

 Alors que Faust est entraîné précipitamment aux enfers par Méphisto pour servir le Diable au terme de son pacte, ‑contracté pour sauver son amour d’une accusation capitale de parricide‑, le profond abattement et l’affliction de Margueritte de la cruauté du sort de cette séparation dramatique résonne dans cette saisissante romance d’une déchirante désolation. C’est une des partitions solistes dans laquelle la sublime mezzo-soprano Elina Garanča peut mettre en illustration toutes les finesses de son immense talent dans les variations des expressions des sentiments et émotions avec le jeu virtuose de son registre étendu de la colorature dramatique de sa tendre vocalisation. Vraiment dommage de ne pas pouvoir aussi se réjouir de cette impressionnante actrice, ‑ de mon amour de rêve à moi ‑, sur scène la mimique dramatique, des geste et contorsions figurées des tiraillements dans du cœur brisé de Marguerite, scénario chargé des plus bouleversantes émotions. Sublime par la grâce de sa beauté et par l’élégance et noblesse de la douce sonorité magnifiquement expressive de sa voix, Elina Garanča en est une des plus admirables enchanteresses lyriques.  

La romance introduite, entremise et finalisée en tragique par les lentes et mélancoliques tonalités des cors superposées aux ondulations sonores basses de l’accompagnement instrumental, Margueritte abandonnée au désespoir chante sa lamentation par la projection passionnée de la vibrante voix Elina Garanča : « D’amour l’adente flamme – Consume mes beaux jours. – Ah ! la paix de mon âme – A donc ! fui pour toujours ! A donc fui pour toujours ! Son départ, son absence, – Sont pour moi un cercueil, – Et loin de sa présence, – Tout me paraît en deuil. – Alors ma pauvre tête – Se dérange bientôt ; – Mon faible cœur s’arrête, – Puis se glace aussitôt. – Sa marche que j’admire, son port si gracieux. – Sa bouche au doux sourire, – Le charme de ses yeux ».

La tragédie de l’opéra, aux rôles essentiellement masculins, se dénoue en final par l’accueil au Paradis de Marguerite : « l’âme naïve que l’amour égara », « pardonnée par l’Éternel dans sa vaste clémence ».

24/04/2017. Peter, « Cavalier de Prose » Elina Garanča, enchanté par ses caresses vocales de la séduction mélodique.

 

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Elina Garanča dans LA FAVORITE, opéra en langue française en quatre actes de Gaetano Donizetti, donné en concert à Salzburg et dirigé par le maestro Roberto Abbado.

LEONOR de Guzman, Elina Garanča, mezzo-soprano. FERAND, Juan Diego, ténor. Roi ALPHONSE VIII de Castille, Ludovic Tezier, baryton. BALTHASAR, supérieur du couvent de Saint-Jacques de Compostelle Carlo Colomba, basse. DON GASPAR, ministre du roi, David Portillo, ténor. Inès, confidente de Léonor, Eva Liebau, Soprano. Chœur philharmonique de Wien, Orchestre de Radio de Muniche.

Dans une époque de l’attristant obscurantisme spirituel du catholicisme rigoriste ayant au cinquième siècle détruit la totalité de la civilisation gréco-romaine et le christianisme authentique par les barbares d’outre-Rhin, des monarchies féodaux de rois sacrés érigés en « hommes-dieux », Fernand, un nobliau sans fortune, rentre en novice dans les ordres. En contact liturgique dans la chapelle avec la belle inconnue de haute rang aristocratique, avec Léonard en prière, les deux sont surpris par l’éclair de l’indomptable passion d’amour.

Par sa turpitude de la fausse promesse de mariage du roi Alphonse adultère, la princesse Léonor avait été réduite à sa maîtresse « maudite » par le supérieur Balthasar, voyant en son novice aimé Fernand le successeur. L’ingénu Fernand, avouant à son supérieur Balthasar son amour par sa prenante romance blasphématoire « une vierge, ange de Dieu (*) Una vergne, un agio di Dio)) », sur des lentes vocalisations ondulantes d’un phrasé claire et précis du bas montant aux plus hautes exclamations du ténor, implorant avec lenteur le Ciel pour le pardon de son infidélité obsessionnelle aux serments : ‑ c’est qu’elle se trouve toujours en mon cœur.

Le supérieur du monastère Balthasar est placé devant le cruel dilemme de laisser partir du couvent Fernand avec Léonor ou d’envoyer son protégé aimé, « possédé de la malédiction », au bûché expiatoire avec la langue blasphématoire arrachée, son amour Léonor avec pour sorcellerie d’envoûtement. Le rusé diable intriguant Balthasar, ‑informé sur l’infamie de Léonor, mais liée par le secret du confessionnal‑, prédisait à Ferrand un cauchemar bien arrangé par ses tours de magicien pour le faire revenir dans la bergerie du monastère, brisé par le destin, une cabale qu’il lui réservait par son irrésistible pouvoir spirituel sur la puissance temporel des rois incultes.

(*) Est vraiment dommage, cette coupure dans un passage si mélodieusement évocatrice de ma passion spirituelle à moi pour la miraculeuse apparition en associée dans mon combat sans fin pour le Bien de l’irrésistible Diva Elina Garanča, sublimée en déesse du Bel Canto par sa voix éthérée de ‘virginale’ beauté d’incantation magique).

Dans ce magnifique concert sans enregistrement vidéo à Salzburg, dirigé par le maestro Roberto Abbado avec son panache expressif, la dramaturgie d’un lyrisme tonique, vigoureusement rythmé, la tragédie s’écoule en lentes et fascinantes symphonies musicales et vocales. Les scènes se fondent dans un éblouissant fleuve musical des conflits de l’amour passionnelle, la mégalomanie de la soif du pouvoir, de l’honneur chevaleresque, enveloppés des mystères du sacrée des croyances de cette de l’époque ravagée des naïfs mysticismes qui font toujours recette : des liaisons dangereuses pour la société entre les intrigues politique, la magie des sotties des superstitions et les indomptables passions de l’amour, de la jalousie, de la haine. La déclaration d’amour du roi de la tessiture baryton en duo avec Léonor mezzo-soprano, ou en ondulante et lente unisson, amenant le lyrisme au point culminant des tessitures hautes et moyennes pour résonner d’une émouvante expressivité.

La scène débute dans la cour du monastère avec la psalmodie spirituelle des moins cultivant la mortification de la chair à l’accession des âmes purifiées aux félicités du Paradis. Le novice Fernand, sortie du couvent par l’amour aveugle de Léonor, est venu au sommet de la gloire militaire par l’influence de cette maîtresse du roi. Le roi Alphonse adultère est mis aux abois par Balthasar avec la menace de l’anathème du Pape. Par le mariage avec Léonor, Fernand est piégé par la turpitude de l’amoureux roi Alphonse avec les machinations de son ministre Don Gaspar. Dessillé, Fernand repousse Léonor et rejoint l’ordre monacale, se fait consacrer par le vœu. La tragédie se termine avec un scénario d’une splendide polyphonie du spirituelle dans la scène de la mort sacrificielle de Léonor à la vertu de son amour Ferrand, chancelant devant son irrésistible aura de la pureté de son âme suppliciée.

La vertueuse Léonor abusée à subir le sort des stupides superstitions du crédo religieux hérétique de l’époque sinistrée de analphabétisme d’un clergé ordinaire, de l’aristocratie et même des Saintes ; de la désolation de l’Occident par l’inculture et la crétinisation collective par la destruction de tous les livres, même les Bibles, l’extermination massive des lecteurs, les judéo-chrétiens au Ve siècle par le sacrée à Reims du Roi franc Clovis I (idole de Hitler), avec ses hordes barbares cannibales ramenés de l’outre-Rhin dans cette Gallo-Romaine parvenue à un stade culturel préscientifique. « Une apocalypse guerrière comme le soleil n’a jamais vu sur terre » (Nietzsche) engendrée de la paranoïa d’un évêque d’une secte hérétique des hallucinés, « pour détruire avec des Allemands tout ce qui a de noble sur Terre (même le chant et la musique instrumentale). Boucheries, massacres et destructions se répétant jusqu’au dix-neuvième siècle : le sale rêve de l’Église (Nietzsche), que le Vatican a bien failli de renouveler avec les barbares nazis, adorateurs encore du dieu de guerre Wotan et des déesses Walkyries (de la sublime beauté céleste Elina Garanča) ; des barmaids dans l’au-delà Walhalla des braves guerriers tombés au combat. Toujours vivante, cette mythologie débilitante des sectes nazies, la décadence spirituelle, est mise en musique par le génie maléfique de Richard Wagner (Nietzsche).

De l’opéra d’une bien meilleure inspiration de Donizetti, avec cette magnifique concertation de la musique instrumental et vocale, des remarquables passages dans la partition ont permis à la sublime Diva Elïna Garanča de donner toute la mesure de son immense talent de la cantatrice de grande classe internationale. Le génie de maestro Abbado avait poussée au Zénith de la gloire dramatique et lyrique cette cantatrice lettonne dans plusieurs remarquables représentations enregistrées sur DVD.  

Après la menace de la destitution par l’anathème du Pape, apportée par Balthasar, le trio du roi Alphonse, de Léonor et Fernand, d’une richesse de timbres et harmonies, est d’une expressivité vocale jamais si proche de ma sensibilité du combattant solitaire en lutte jusqu’à son dernier souffle, tenu à l’écart de l’enviable bonheur de l’amour.

 Amorcé d’un prélude instrumental d’annonce de la dramatique d’un lyrisme poignant, sur les lente et douces sonorités de l’accompagnement d’une tendresse extrême des violons, le roi Alphonse vocalise la mélodie vibrante d’amertume et tristesse de l’abandon forcée de sa maîtresse à Fernand, son chef de guerre sauveur : « Pour tant d’amour ne soyez pas ingrat, lorsqu’il aura que vous pour seul bonheur avertit-il Léonor. En courte phases expressives de l’heureuse surprise dans les aigus de la tessiture de Léonor et Fernand : « Est-ce une erreur, est-ce un songe qui flatte… »

Lorsqu’avec des splendides récitatifs et airs, le roi Alphonse finissait d’accorder la main de Léonor à Ferrand, Elina Garanča entonna d’une émouvante sensibilité lyrique la célèbre cantabile empreint de la mélancolie douloureuse et d’appréhension funeste sur un accompagnement de harpe et trombones, en piano, des douces sonorités frottées des cordes « Ô mon Fernand, tous les biens de la terre, pour être à toi mon cœur eût donné, mais mon amour, plus pur que la prière, au désespoir, hélas est condamné… »

 Dans ce poignant air se développe tout l’immense talent de la sublime diva Elina Garanča dans les expressions de craint et désespoir de son large et souple registre vocal, glissant sans efforts d’une tonalité, d’un tempo, d’une couleur à l’autre avec clarté et précision, en roulant délicieusement les « R » dans un français ravissant. Préludé des lentes sonorités tragiques des trombones et notes pincés d’expression d’amour de la harpe, la pieuse Léonor implore Dieu de la faire mourir pour lui épargner l’épreuve d’apporter dans ce mariage son dot d’infamie qui lui échappera, par la découverte son ingénu amant si le découvrira. Ses harmonies saisissantes, la musique de ce passage est admirablement éloquente et d’une grande beauté.

La pieuse Léonor maudite par l’intriguant Balthasar, chassée de la cour du Roi Alphonse menacé de l’anathème pour adultère, elle apparaît épuisée, déguisée en novice dans la chapelle du couvent. Dans une déchirant complainte mélodieuse, Léonor implore le pardon de son amant Fernand dont elle venait d’entendre les vœux de la consécration. En duos ou lamentations à l’unisson, repoussant son épouse d’abord, subjugué de l’incantation du souffle pathétique de sa voix, Fernand soupire en subtiles couleurs lyrique de l’accentué à l’adoucie du ténor : ‑ Fuyons le monastère.

 Pour le préserver du blasphème, vertueuse, elle se laisse mourir dans ses bras. Avec ses dernières forces elle le dissuade du sacrilège : ‑ Dieu me protège… sois sauvé par ma mort.

Balthasar satisfait du résultat de ses diaboliques intrigues constate la mort, console son protégé par le bonheur qu’il attende dans une vie éternelle du vide de la pureté de l’au-delà, conjure les moines de prier pour l’âme de Léonor et continuer de « vivre comme des cadavres » (Nietzsche) en creusant leurs tombes. L’âme en peine, las de cette vie monastique dénuée de sens, Fernand soupire : demain vous prierez aussi pour moi.

Peter, le ‘Cavalier de Prose’ Elina Garanča, ravie de la magie incantatoire de l’aura du de sa sublime déesse Bel Canto.

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Dans son nouvel album « Revive Elina Garanča », l’ingénieux maestro Roberto Abbado, par l’enregistrements studio d’un choix astucieux des chants, a bien réussi de mettre en relief ses exquises qualités vocales, poussant l’exceptionnel talent lyrique de la diva Elina Garanča au sommet de sa beauté vocale avec le soutien harmonique des plus talentueux instrumentalistes des orchestres de grande réputation.

 C’est que ma Fée lettonne adorée Elina Garanča, une séduisante diva de beauté fascinante, brille aussi par son remarquable talent d’actrice de la dramaturgie musicale. Cette beauté féerique est si attrayante que je préfère pour l’instant au magnifique enregistrement studio, l’enregistrement vidéo de l’aria d’Eboli « Ô don fatale et détesté » de l’acte IV du long et complexe opéra de Guiseppe Verdi. Dans le concert en plein air, dirigé par le maestro Karel Mark Chichon, avec la verve de son subtil génie britannique d’une élégance stylisée lors du fameux concert « Klassik unter den Sternen », le lieu de leur pèlerinage annuel à Göttingen en Basse-Autriche, en époux comblé Elina Garanča est bien placé pour valoriser au mieux son incomparable talent de virtuose du bel canto.

 Maîtresse du Roi et dame de compagnie de la Reine, la princesse Eboli est pris d’une amour folle de l’héritier du trône d’Espagne Don Carlos ; mais lui est éperdument amoureux de la Reine. Pour mettre fin à la guerre entre l’Espagne et la France en 1559, la princesse française Élisabeth de Valois lui a été destinée, mais son père, le roi Philipe II, a préféré de marier lui-même cette jeune et éclatante beauté.

Pour éliminer sa rivale, la Reine Élisabeth, par une machination diabolique, Eboli jalouse a contribué de livrer son amour Don Carlos à la condamnation à mort par la cruauté insensée de l’Inquisition contre les hérétiques de la Flandre protestante dont il enviait la régence.

Bannie de la cour par la reine bafouée, Eboli prise de remord, conscient des tragiques effets de sa jalousie, elle déplore son triste sort dans cet air, les effets désastreuses de sa beauté sur elle-même et sa compagnie chérie.

Dans l’aria magnifiquement composée, chargée d’émotions douloureuses d’Eboli déchirée des regrets, le brio lyrique Elina Garanča rende vivant, avec des prodigieuses variations tonales, le tragique de son état d’esprit bouleversé par la cruauté du destin suscitée des néfastes effets de sa grande beauté.

Elina Garanča est sublime dans sa représentation, plus séduisante que jamais avec sa mèche blonde flottant sur son délicat front dans la brise du soir, vêtu dans le costume traditionnel des campagnes de la Basse-Autriche. Son chaste décolleté laisse apparaître, avec la maîtrise absolue de sa respiration, l’impressionnant jeu de sa musculature parfaitement synchronisé de la gorge, des faciès et des lèvres de la modulation et articulation des sonorités avec virtuosité, en harmonie des gestes expressifs en accord avec les paroles du prenante tragique de l’air de la traitreuse Eboli repentante, avant de se faire mortifier sous la voile dans le couvent.

Divisé en trois motifs dramatiques contrastés, cet sublime air d’Eboli alterne ses vagues émotionnelles modulées et articulées avec virtuosités du désarroi de l’amertume de son immoralité, de la repentance aux accents tendres envers la Reine, sa victime, terminant avec un brusque sursaut de la volonté passionnée dans son dernier jour au sauvetage de son amour Don Carlos : trois splendides motifs dramatiques vocalisés d’une émouvante vivacité par les inflexions de la voix d’une merveilleuse souplesse sur son vaste registre mezzo-soprano, de variations de l’intensité des tonalités, du tempo, du rythme de la divine vitrosité d’Elïna Garanča.

Un bref prélude explosif scandé des dissonances, ponctué des percussions de l’orchestre donne le ton de l’orage des agitations morales dans ses derniers moments de la liberté d’Eboli, déchue par la malédiction de sa beauté dévastatrice.

Descendant aux plus graves timbres scandés de son registre aux expressions dramatiques appuyées, ponctuées par des courts éclats secs des trompètes et trombones, Elina entonne, forte, de sa souple tessiture veloutée aux sonorités endurcies, mime avec virtuosité l’influence du bouleversement d’Eboli sur l’intonation en martelant les notes de ses amères reproches à soi-même : « Ô don fatal et détesté, Présent le ciel en sa colère ! Ô toi qui rende une femme si fière, je te maudis ô ma beauté… Tombez, tombez, larmes amères ! Mes trahisons et mes fortraits, mes souillures et mes misères, vous ne les laverez jamais ! » Poussés aux hautes ondulantes avec le fluide glissement vocal d’une hauteur de note à l’autre et finalisant le passage en vocalise diminuante d’une splendide précision de l’élocution phrasée :« Je te maudis, ô ma beauté ! » (En italien dans cette version).

Espacées, les notes pincées, enchaînés des mélodieuses lignes frottées des contrebasses marquent la transition de l’état émotionnel par la variation du tempo et du mouvement lente du motif vers la vocalise de la tragédie pathétique des notes merveilleusement liées en variations ondulantes du plus grave aux plus aigüe du registre de la voix pleine et souple Elina, imprègne une poignante douceur au cantilène d’Eboli attristée, de ses adieux saisissants à sa Reine Élisabeth doublement trahie. « Adieu, Reine victimes pure de mes déloyales et folles amours ! Dans un couvent et sous la bure, je m’ensevelis pour toujours ! »

Au motif final de la tragédie, du tempo et rythme varié de l’accéléré à la lenteur, la volonté d’Elodie reprend le dessus de l’abattement, les flammes de son tempérament, sa passion folle pour Don Carlos : « Et Carlos ? Oui ! Demain peut-être, il tombera sous le fer sacré ! Ah ! un jour me reste ! »

 Par des exclamations appuyées d’un élan d’espoir d’une divine vitalité, « Je le sauverai », des répétions de la ligne mélodique « Béni ce jour ! » et, en exclamations finales poussées au plus forte de sa tessiture aigue parfaitement flexible : « Je le sauverais ! », est une poignante vocalise phrasée d’une magnificence harmonique ; la tension expressive maximalisée par du roulement des percussions et sonorités polyphoniques appuyées et énergiques des cordes et bois et cuivres d’un art de direction orchestrale porté aux extrêmes de la perfection. Bravo maestro Chichon !

Par sa dernière action, l’héroïque Elodie soulève le peuple, tente de faire fuir de la prison son grande amour Don Carlo, le sauver des cruels supplices de l’Inquisitions.

Peter, le ‘Cavalier de Prose ‘, éblouie de la beauté physique, morale et vocale, de l’éminent talent de sa déesse enchanteresse Elina Garanča.

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Elina Garanča dans l’aria « Io son l’umile ancella » (je suis l’humble servante), de l’Opéra en quatre actes ‘Adrienne Lecouvreur’ de Francesco Cilea.

Ce thème de l’aria du concert dirigé par le maestro Karel Marc Chichon est vraiment bien choisi, car cet ingénieux époux britannique de Gibraltar combine au talent hors commun de l’actrice tragédienne française Adrienne Lecouvreur (1692-1730), le contemporain talent hors commun de son épouse, de la sublime mezzo-soprano Elina Garanča, en y ajoutant tout naturellement le sien. Ce grand magicien de la polyphonie orchestrale et vocale fait chanter dans les aigus à la soprano, sa magnifique perle blonde Elïna Garanča, découverte à l’opéra national de Riga, en lointaine Lettonie, pour valoriser sa large, souple et captivante tessiture mezzo-soprano. L’impact expressif ondulatoire sur tout l’étendue de sa tessiture d’un charme captivant dans l’aria, dénote une parfaite virtuosité dans la lente vocalise poétique, dans les notes ondulées sur une seule syllabe, des extraordinaires nuances appuyées sur les syllabes, des variations rapides d’une tonalité, d’une couleur à l’autre.

Sa jolie silhouette moulée avec élégance dans sa belle robe rouge décolleté, son visage clair au dessin harmonique d’une beauté nordique éclatante avec sa chevelure dorée, ses yeux du bleu saphir captivante, l’aménité la plus exquise de ses manières, de sa mimique figurée, s’accordent à merveille à la représentation sur la scène lyrique d’une des plus grandes figures historiques de la Comédie-Française.

Adrienne Lecouvreur a été une des plus célèbres actrices tragédienne de la Comédie française. Lors d’une représentation théâtrale, un amour passionné se noue entre elle et le Comte de Saxe Maurizio (Maurice), un séducteur et vaillant soldat du roi Louis XV, futur maréchal de France. À son départ, Adrienne Lecouvreur lui assure de ne jouer que pour lui, vende ses bijoux pour le secourir de l’humiliante ruine financière. Pour fleurir sa boutonnière, elle lui donne des violettes. (Les fleurs Violettes s’appellent en allemand « Vergissmeinnicht », traduit « Ne-m’oublie-pas »).

La princesse de Bouillon, sa rivale de la grande noblesse, est une autre conquête du Comte pour profiter de son influence auprès de la Cour royale. La princesse aussi est passionnément amoureuse et jalouse du Comte Mauricio. Lors d’une réception, elle remarque ces violettes, ravie demande au menteur éhonté si ces fleurs sont bien pour elle. Dans un rendez-vous dramatique organisé chez elle, la princesse de Bouillon reconnaît par la voix sa rivale, l’actrice du plus grand renommé Adrienne Lecouvreur.

 Dans l’acte final de l’opéra, à la fête de son anniversaire au théâtre, Adrienne Lecouvreur reçoit un panier dans lequel se trouvent fanées et flétries les violettes qu’elle avait donné au Comte Maurizio. Au désespoir, les prenant pour le signe de la rupture de leur liaison amoureuse, elle pleure, embarrasse ces fleurs. Maurizio arrive pour lui offrir sa main en reconnaissance de ses sacrifices faites pour le sortir de l’opprobre de l’impasse financier. Affichant avec effusion la sincérité de son amour, il la console avec la plus grande tendresse, la rassure que ces fleurs ne proviennent pas de lui. Trop tard. Adrienne Lecouvreur s’évanouit et meurt dans ses bras. Par vengeance, la princesse de Bouillon, avec ces fleurs, avait empoisonné sa rivale de la roture intruse.

Avec le bref prélude de l’orchestre, dans ce chant, chaque figure est annoncée par des notes pincés de la harpe, des violons, hautbois et cors. Le raffinement orchestral avantage la primauté de l’intensité sonore à la voix de la cantatrice pour bien mettre en relief le brio de son extraordinaire virtuosité et sa tessiture aux ultimes perfectionnements de la diction mélodique, rapide et syllabique du chant poétique.

Déployant une gamme extraordinaire d’un phrasé de finesse et précision, des nuances d’une syllabe à l’autre, ondulant sur tout la fluide gamme de sa tessiture, Adrienne répond à ses adorateurs, attaque l’air (en italien) avec la tessiture élevée, douce et d’une caressante féminité : « -Vous voyez », descendant aux graves lentes et ondulantes, « -je respire à peine ». (Avec simplicité), d’une grande agilité vocale, la ligne mélodique sinueuse montée aux aigus extrêmes, est ponctuée par des notes délicatement pincées de la harpe, « -du Génie créateur » ; redescende à la médiane en alternant les mouvements ascendants et descendant, « ‑il m’offre les paroles » ; la mélodie s’envole ondulant aux aigus avec une admirable emphase, « ‑je les transmet aux cœurs ».

Après une brève rupture remplie de notes liées des cors anglais et cordes, Adrienne reprend, « ‑de la poésie, je suis la voix ; le chant s’élève note par note, parfaitement timbrée aux hautes, « ‑l’écho du drame humain », jusqu’aux aigus variant, au lento, « ‑obéissant à la main », terminant la phrase par des sons lents des cors, suivis des tendres notes pinces de la harpe.

La ligne vocale syllabique soutenue s’envole par paliers vers l’aigu, Adrienne accentue la voix ondulante, « ‑douce, joyeuse », infléchissant la ligne vers les médians ondulées aux aigues, « ‑cruelle », puis, « ‑je m’appelle Fidélité », en vibrantes notes ondulées prolongées. Comme un signe prémonitoire exprimé d’un charme et facilité si délicieuse, au ton tragique ondulant sur ses timbres graves et veloutés, « ‑Ma voix n’est qu’un souffle ».

Ce passage lente aux intonations d’une douceur tragique, les inflexions vocales redeviennent soudain graves, « ‑qui mourra au nouveau matin » ; variant aux plus aigües du fond de sa gorge au mouvement ondulant lento dans les moyens, et, envole en fortissimo tenus d’une voix puisement projetée, « ‑mourra » : verbe expressif annonciateur de la tragédie, appuyé avec une splendide assurance vocale au plus forte de la sonorité aigue, la note tenue à l’extrême de son délicieux souffle ; lentement les notes s’évanouissent pour finaliser la mélodie par les belles sonorités  expressives des cordes. 

Une merveilleuse orchestration arrangée pour mettre en valeur la magnifique technique vocale de la plus haute perfection dans un chant sur le registre de la poésie, pour monter au sommet de sa beauté, élever au sublime la merveilleuse voix Elina Garanča. Bravo maestro Chichon.

Peter, le ‘Cavalier de Prose’ Elina Garanča, émerveillé de l’inoubliable poésie vocale de sa sublime Reine du Bel Canto.

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Elina Garanča – Opéra en deux actes : Lucrezia Borgia. Aria « Il segreto per esser felici » (Je connais pour l’avoir prouvé, le secret du bonheur), de Gaetano Donizetti sous la direction du maestro Roberto Abbado avec chœur et l’orchestre du Théâtre communale de Bologne. Ici, la merveilleuse mezzo-soprano Elina Garanča chante avec une brillante virtuosité dans le rôle masculin de Maffio Orsini, la célèbre balade prévue pour contralto, voix féminine basse, qui exige un registre vocal exceptionnellement étendu et où les plus célèbres cantatrices de toutes les tessitures se sont distinguées.

Cet opéra avec des remarquables passages orchestrales et vocales, ‑de la dynamite politique‑, est mise en scène avec précaution, déjà censuré à mainte fois depuis sa naissance en 1833 à la Scala de Milan. Non seulement à cause des oppositions des prétendus, lointaines membres de la famille Borgia, mais encore parce que cet opéra mette en scène le modèle du machiavélisme politique tout à fait contemporain, ces combines meurtrières qui ne cessent de se perfectionner. À bien failli d’en faire les frais ma sublime déesse Elina Garanča, ciblée d’un attentat lors de sa représentation de l’opéra Werther de Paris en 2015. On ne laissera jamais à son génial maestro Roberto Abbado, représenter à Paris cet opéra en intégral avec sa Diva favorite, la cantatrice lettonne Elina Garanča, miraculée d’un coup de commando aux fusils d’assaut et de grenades à main saisis par la police à Muniche, en Allemagne, où elle rechantera à l’opéra en 2017 LA FAVORITE de Donizetti.

 Le drame Lucrezia Borgia à trois actes a été écrit par Victor Hugo pour le théâtre selon la vision romantique de l’époque : « à la chose la plus hideuse, mêlez une idée religieuse, elle deviendra sainte et pure », à l’instar des campagnes électorales contemporaines perturbées par l’auréole transcendent de mon féerique associée Elina Garanča. Mais en réalité, Lucrezia Borgia n’a été que l’instrument faible et docile des combinaisons politiques du clan le plus pervers des jouisseurs assoiffés du pouvoir que le Vatican a vu prospérer dans son sein des intrigants : le redoutable clan des Borgia, engendré du pape Calixte III (1455-1448). Loués par Machiavel dans son célèbre opuscule LE PRINCE, un grand classique des sciences politiques, les procédés canailles des Borgia ont fait école dans l’histoire, même dans le Vatican contemporain, comme en témoignent l’empoisonnement des deux papes témérairement chrétiens : Pie XI en 1939 et Jean-Paul I en 1978.

Dans le scénario, par méprise pour les Borgia qu’il tenait en haine, lors d’une réception à Ferrare, le capitaine Gennaro a insulté leur blason. En y arrachant le « B », il devenait « Orgia ». Il ignore encore qu’il est le fils de cette Lucrèce qui de loin, veillait sur lui. Intervenant auprès du Duc, son époux, Lucrèce Borgia parvient à soustraire Gennaro à sa première vengeance par l’antidote au poison administré de force en punition de l’injure. Pourtant, à la deuxième attaque contre ce groupe d’opposants tout entier, le jeune capitaine poignarda Lucrèce et périra empoisonnée, refusant de prendre l’antidote tenu par sa mère qui se fit reconnaitre, si ses compagnons devraient mourir dans le même attentat. Après s’avoir fait poignarder par lui en représailles, dans son dernier souffle Lucrèce informa son amoureux Gennaro, que c’est elle sa mère tant recherchée.

La balade d’Orsini, est celle d’un groupe de gentilshommes vénitiens d’insolentes contestataires, dans une beuverie entre amis piégés chez Lucrèce Borgia, avant de se faire empoisonner par elle pour les punir des injures : « ‑Je connais pour l’avoir prouvé le secret du bonheur, et l’enseigne à mes amis. ‑Que le ciel soit serein ou nuageux, que le temps soit froid ou chaud, je m’amuse et je bois, et je raille les insensés qui pensent au lendemain, ah. ‑Qui connaît ce qui peut arriver demain, alors que vous pouvez jouir de la vie aujourd’hui ».

C’est une voluptueuse ballade d’un impertinent luron insouciant, répétée plein entrain sur un rythme gai et sautillant, préludé et soutenu, avec un bref interlude expressif, aux mêmes mouvements de la joie exubérante d’une fête, par l’orchestre et des passages harmoniques du chœur.

 En final de la strophe, dans cette interjection expressive marquant le sentiment de plaisir et d’insouciante « ah », sur une mélodieuse linge étirée et prolongée en tendres ondulations de satisfaction du jouisseur des libations, rien n’annonce la suite dramatique à l’euphorie de l’ivresse, du dramatique moment des lendemains qui déchantent. Leur fatal cauchemar est annoncé dans la pièce voisine par l’hymne chorale funèbre qui leur est destiné avec malice de la perverse Lucrezia offensée : « la joie des profanes est une fumée passagère… ».

Cependant, pour un air à boire d’un joyeux luron, l’admirable interprétation par la sublime voix d’une caressante féminité de la talentueuse mezzo-soprano Elina Garanča, ne présente pas la moindre intonation masculine imitée par une cantatrice contralto prévu par le compositeur Donizetti.

 Non plus ses photos d’illustrations, celle ou ma gracieuse Fée Elina est vêtue d’un joli pull noir au col roulé, montrant son plus ravisant profil, les cheveux blonds tirés en arrière, la délicatesse de son teint clair, son regard rêveur avec les paupières baissées. Cette ravissante présentation musicale et vocale est totalement sortie du contexte tragique de l’opéra par le génie de maestro Roberto Abbado, pour faire valoir seule la virtuosité captivante et les couleurs féminines marquantes, propres aux vocalises tendres de ma sublime Fée Elina Garanča dans l’interprétation de la ballade avec sa voix agile, claire et résonnante, des expressions jubilatoires d’une gaité communicative.

Peter, le ‘Cavalier de Prose’ Elina Garanča, enchanté de la féminité gracieuse de sa ravissante sculpture galbée et de sa voix d’une caressante et captivante veloutée.

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Elina Garanča dans l’aria de Sarah « All’ afflitto è dolce il pianto » (Les larmes sont douces à qui souffre…) de l’opéra « Roberto Devereux », en trois actes de Gaetano Donizetti ‑en italien, paroles traduites ici en français‑. (La célèbre aria de Sarah fait partie du vaste répertoire de la Diva Elina Garanča et est enregistrée dans son merveilleux Album des plus belles sonorités de sa voix exquise d’harmonie et de beauté BEL CANTO, sous la direction de maestro Roberto Abbado).

En 2016, les moments émotionnels extrêmes des saisissantes passions, mis en scène à l’opéra Métropolitain à New York, sont exécutés avec un extraordinaire brio par ce qu’on trouve parmi les plus fameux artistes lyriques sur la scène internationale de la dramaturgie lyrique :  Sandra Radvanovsky, soprano, en ÉLISABETH I, reine d’Angleterre. Mariusz Kwiecien, baryton, en DUC DE NOTTINGHAM. Elina Garanča, mezzo-soprano, en SARAH, la duchesse de Nottingham. Mattew Polensky, ténor, en ROBERTO DEVEREUX, comte d’Essex ; sous la magistrale direction orchestrale et vocale de maestro Maurizio Benini.

Élisabeth I, la reine d’Angleterre (1533-1603) du célibat endurcie, vieille, laide, d’une coquetterie du dernier ridicule est d’une jalousie possessive pour son amant Roberto Devereux, Comte d’Essex, un jeune homme courageux, probe et pleine de charme. Avant son départ pour la répression de la rébellion irlandaise, la reine donne à son favori Roberto une bague en gage de son amour et qui devrait lui garantir toujours la sécurité.

Mais en même temps, un amour passionnel s’est noué entre Roberto Devereux et Sarah, les deux éperdument éprise. Lorsque son père est décédé, la reine Élisabeth avait exigé contre sa volonté qu’elle épouse le Duc de Nottingham. Cet ami intime de Roberto ignore la secrète liaison amoureuse avec son épouse aimée comme une ange Sarah, s’interrogeant sur l’origine de ses souffrances morales.elina-garanca-51-dans-laria-de-sarah-all-afflitto-e-dolce-il-pianto-les-larmes-sont-douces-a-qui-souffre

Roberto Devereux revient en vaincu de sa campagne en Irlande. Il est accusé d’avoir pactisé avec les rebelles et passe en justice. Le Parlement le condamne à mort malgré la plaidoirie passionnée de son ami, le Duc de Nottingham. D’abord, la reine refuse de signer la sentence, mais par un malentendu à l’audience, Roberto Devereux trahit maladroitement à la reine sa passion qu’il éprouve pour une autre amour. La reine convaincue de sa trahison, signe l’arrêt de mort après la participation du talentueux ténor Mattew Polensky de sa vocalisation énergique d’une projection virile des protestations, exprimant avec une belle vigueur ses amères ressentiments. Suivie de la tendre caresse des doigts de la reine sur la joue barbue de son favori, se produit la rupture explosive de la charmante idylle par la magistrale gifle de la reine offensée, d’une scène d’un art dramatique accomplie. Le conflit de l’amour mal assortie des deux, c’est mué en aversion exprimée, superbement, dans l’enchaînement à l’unisson du magnifique duo de révolte réciproque.

 Pour accuser Sarah d’infidélité, Roberto la retrouve secrètement dans son appartement. Elle s’en défende avec véhémence, lui reproche de porter la bague de la reine. Il l’arrache de son doigt et la jette à elle sur sa table. Pour le protéger de l’accusation, Sarah lui remette l’écharpe bleu en gage de son amour qu’elle avait brodé devant son mari le Duc de Nottingham, inquiet de l’incompréhensible tristesse de son épouse adorée.

Devant la reine, Nottingham implore à ce que la grâce soit accordée à son ami Roberto. Pour le convaincre de l’infidélité de son ami, la reine courroucée leur présent l’écharpe bleu, saisie à l’arrestation sur le corps de Roberto. Nottingham, frappé à la vue de cette écharpe bleue, croit reconnaitre la traîtreuse liaison adultère de son ami, tire l’épée pour se jeter sur lui. Roberto, lui, refusant à la reine de relever le nom de son aimée, elle le fit arrêter par les gardes, signe sa sentence de mort devant la cour.

Par une lettre dans son cachot dans la Tour de Londres, Roberto supplie Sarah de remettre à la Reine sa bague salvatrice, de lui rappeler sa promesse de sécurité. Nottingham arrache la lettre à son épouse, tente de l’enfermer jusqu’à ce que la peine capitale de Roberto soit exécutée. Dans ce troisième acte, c’est la scène chargée d’une telle force des émotions dramatiques et lyriques qu’elle m’envahit des sensations des plus fortes : l’émouvante scénarisation du dialogue musicale agité entre le baryton Mariusz Kwiecien en DUC DE NOTTINGHAM, amèrement révolté de la trahison de son ami et de son angélique épouse Sarah ; ses suppliques chantées par la sublime voix Elina Garanča, s’efforçant d’apaiser la rage meurtrière de son époux, de le convaincre avec des effusions de tendresses de son immaculée fidélité conjugale, avec de l’amitié restée intacte de son ami Roberto.

La reine Élisabeth tenaillée des remords est à la recherche d’une solution au drame, est disposée de pardonner. Survient alors Sarah, lui apportant la bague, lui avoue que ce soit elle sa rivale. La reine ordonne le sursis à l’exécution au moment même où le coup de canon annonce l’exécution de Roberto par le bourreau. Effondrée, la reine Élisabeth en perdit la raison, est agitée des effroyables hallucinations, des visions sanglantes obsédantes ; abdique de la royauté et meurt dans une scène délirante en pressant sur ses lèvres la bague qu’elle avait donné à Roberto en gage de son amour.

 Dans cette scène finale, précédé de son magnifique aria du pardon accordé à Roberto incarcéré, « Vivi ingrato, a lei d’accanto. Il moi core a te perdona. Ah ! si celi questo pianto… » (Vis, cruel, et abandonne-moi. Pour toujours à mes regrets. Ah ! cachons mes larmes…), l’extraordinaire soprano colorature Sandra Radvanovsky, aux suprêmes perfectionnements de la mimique dramatique et les couleurs de l’expressionnisme vocale, a su transfigurer avec virtuosité, la laideur de la vieillesse accentuée de la coquetterie grotesque et la jalousie morbide, en caractère humain touchant, de grandeur d’âme de la reine Élisabeth I expirante : le plus remarquable monarque de l’histoire du royaume d’Angleterre.

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 Roberto Devereux, le comte d’Essex rentre de l’expédition militaire d’Irlande et passe devant la justice du Parlement. Les scènes de plus grande force dramatique débutent dans l’impressionnant décor de la grande gallérie du Palais de Westminster ; la scène splendidement éclairée par des raffinements témoignant d’une très haute technicité des éclairagistes pour marier la magnificence du spectacle de l’art plastique, des fastueux costumes d’une magnificence et d’une somptuosité des gaspillages de l’aristocratie du moyen-âge, de l’expressionnisme gestuelle et de la physionomie en harmonie du dramatisme lyrique des chanteurs et chanteuses, soutenus de la merveilleuse harmonie orchestral. L’impressionnante opéra Métropolitaine de New York, le Mecque de l’art du dramatisme lyrique avec ses 3800 places, ­‑dans les onze millions dollars de bénéfices d’une saison‑, dispose des moyens financiers des plus importants pour offrir à l’auditoire le nec plus ultra des effets scéniques et musicaux : grandioses représentations numérisées, traduites en plusieurs langues et diffusées dans le monde entier.

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Le premier acte amorcé par un bref accord sonore de l’orchestre, un vivant rythme harmonique accompagne la solennité cadencée de l’entrée de Sarah dans la grande gallérie du palais de Westminster. Au visage pensive, attristé, elle est vêtue dans le splendide apparat princier des robes évasées à cerceau, suivie de peu du chœur des dames de la cour. Livre à la main, son attrayant visage peiné reflétant toutes les nuances des sentiments tourmentés, Sarah lit la triste histoire de l’amour tragique de Rosamonde, ne parvient pas à dissimuler ses larmes aux dames de la cour.

 Touchées, elles s’en inquiètent en chœur mélodieux de sa tristesse : ‑ Elle souffre !… Une pâleur mortelle se lit sur son visage ! Une profonde douleur est sûrement enfouie dans son cœur ; s’approchant avec délicatesse : ‑Sarah ? Duchesse ! Oh ! Reviens à toi… D’où vient ta tristesse ? » Puis dansant gracieusement autour d’elle en chantant, tentant de lui dérober le livre qui la rende si triste, insistent qu’elle leur confie par amitié son douloureux secret. À la chorale séductrice des dames de la cour, Sarah réplique en solo de la vocalise adorablement mutin, cherche à dissimuler le secret de son amour torturé par des notes aigues prolongées du dédain, « Moi Triste !… Moi ?… Non… Je suis tout à fait heureuse » … ; troublée, simulant la gaité d’une mélodieuse ariette au ton léger, ‑J’ai lu une histoire douloureuse, Rosemonde m’a fait pleurer.

Les yeux remplis de larmes, Sarah tourne le dos aux dames de la cour surprises, entonne en aparté son célèbre aria chargée de saisissantes émotions de la tragique tristesse. Les projecteurs sont résolument focalisés sur le ravisant visage Elina Garanča, mettent en relief son inoubliable expressionnisme du dramatique au tragique en harmonie avec des mélodieuses paroles chantées de Sarah affligée, sur une musique des cordes ondulantes pleine de charmes, surmonté de l’accompagnement en vagues aux sonorités hautes d’une lenteur expressive des flutes. C’est l’amorce de la triste mélodie d’un irrésistible charme pathétique, articulée avec précision sur tout l’étendue du captivant registre Elina Garanča aux inflexions adoucies, ‑Les larmes sont douces pour l’affligé… c’est la seule joie qui lui reste, faisant alterner les fluides mouvements ascendants et descendants des vocalises poignantes.

Sa voix ondulante d’un lent expressionnisme de la tristesse pathétique dans sa tessiture veloutée basse et moyenne du phrasé emphatique d’un tendre charme enveloppant, des poussés sur l’aigue du tragique, ‑ Ma funeste étoile m’interdit même cette consolation ! … Sarah, de la mimétique gestuel des supplices moraux tenaillantes poursuit la triste ligne mélodique, lente, ondulante du grave avec de remontées vibrantes à l’aigu. La saisissante grâce mimétique du ravissante visage torturé et l’expressionnisme vocale mettent en relief la partie hautement virtuose des paroles de la nostalgie affligée par la voix d’expressivité extraordinaire de la diva Elina Garanča.

Ô que mon sort est plus cruel que le tien Rosemonde ! phrase poussée aux vocalises emphatiques les plus hautes en notes liées de sa tessiture vibrante, ‑Tu as subi la mort qu’une fois !… Sa voix gagne des sommets d’intensité dramatique en terminant la lamentation de la cruauté de son sort, ‑ Je dois l’endurer tout ma vie. La ligne ondulante du piano au forte est accentuée brillamment du haut en bas de la gamme de son registre colorature d’une fascinante magie.

 Les déclamations syllabiques sont magnifiquement appuyées par la captivante voix Elina Garanča sur les tourments intérieurs de Sarah. Une coulée en vagues ondulantes des sonorités magnifiquement expressives des mesures vibrantes du désarroi. Son registre des émotions aux inflexions d’une poignante tristesse communicative de la mélodie de Sarah avec son émouvante attitude figurée de l’abandon au désespoir, en cachant son visage dans les mains des gestes de beauté et d’adresse, tout enveloppé dans une lumière splendide, atteignent le sublime avec la finalisation du passage d’intensité sonore diminuée des pleurs du désespoir d’un renversant air de tristesse, souligné des douces ondulations piano, frottés en polyphonie frémissante des cordes en un ensemble  harmonique d’une extrême beauté et d’un grande tendresse.

Peter, le ‘Cavalier de Prose’ enchanté de l’extraordinaire grâce dramatique et lyrique de sa douce Muse inspiratrice Elina Garanča, de sa sublime reine du Bel Canto.

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Elina Garanča, de ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, son souffle lyrique de la magie vocalique, comme le doux vent du printemps vibrant d’émotion qui fait renaître la nature de son sommeil hivernal, elle me réchauffe l’esprit assombrie, chasse mes préoccupations pour m’élever dans les merveilles du monde du suprême art musical du bel canto. L’esprit excité du charme sublime de sa virtuosité vocale, de sa parfaite élocution dans tous registres de ses couleurs sonores, soutenu d’une mimique gestuelle harmonieuse de la grâce de l’éternelle féminité, c’est le transport du rêve aux vibrantes fantasmes à la douce extase spirituelle, des arias comme celles de Bellini, de Mozart un ravissement caressant me pliant les genoux sous vagues de son divin souffle chargé d’immenses émotions. Peter son « Cavalier de Prose » enchanté.

Elīna Garanča 36 B Deh, per questo istante solo & prose

Ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, Elina Garanča, ma tenue encore sous le charme de son poignante virtuosité expressive avec l’aria de la plus splendide beauté de ses couleurs vocales qui suggèrent la féminité de ses expressions dramatiques des bouleversantes passions tragiques.  « Deh per questo instant solo » ­‑Ah, durant cet instant seulement, rappelle toi l’affection d’autre fois…‑, dans la magnifique musicalité de l’opéra « La Clémence de Titus » de Mozart, d’une mise en scène bien extravagante à Wien en mai 2012. Elïna ma sublime déesse enchanteresse, a été délicieusement émouvante dans ce rôle masculin du traitre naïf Sextus par la conservation, cette fois, de la sculpture d’une beauté à ravir du naturel de son visage et de sa chevelure d’un blond filigranés d’or et d’éclat lumineux argentins, juste tiré en arrière. Ô mélodieuses fantasmes de l’allégorie androgynes : douée d’une grande agilité vocale, dans ma vision à moi, Elina s’est appliquée avec sa divine grâce féminine d’une céleste sylphide des plus sensuels rêves. Sa parfaite mimique gestuelle masculinisée assortie de sa physionomie expressive n’a qu’amplifiée la magie de la virtuosité expressive de sa délicieuse voix mezzo-soprano douée des puissantes vibrations incantatoires dans la mise en scène musicale de la tragédie de l’amour insensé, du débordement des passions d’un amant aveuglé vers la faiblesse coupable de la trahison d’un cher ami, les tourmentes de repentance d’une passion ravageuse et le cheminement vers la peine capitale libératrice des tenaillements moraux, doublés une abnégation d’amour dans le désespoir infini pour sa fatale séductrice.

Dans cet aria aux accents tragiques et douloureuses Elina exprime de sa captivante voix, avec la vivacité communicante, des timbres émus et mouvants des merveilles sonores, vocalise le chant du désespoir du naïf Sextus, avec une grande aisance, tout un clavier d’émotions pathétiques des sentiments contraires, entraîne mes impressions dans une spirale de la magie lyrique envoutante.

 Dès l’attaque du récital d’une poignante lenteur avec les couleurs ondulantes dans ses hauteurs implorantes, des médians appuyés riches en sensations fortes du bouleversement émotionnel, d’emblée me tient sous son charme, chauffe mon âme, fait vibrer mon cœur sous mon blindage. Descendant dans les douceurs des notes graves d’amertume de la souffrance lyrique enveloppée de tendresse avec des pointes de la voix poussée jusqu’à la plainte, s’élève parfaitement timbrée à des d’implorations mélodieuses de la grâce, des crescendos aux sonorité clairs, un vibrato allongé aux saisissantes sons plaintifs, des ruptures émouvant de silence et de tristesse du raffinement mozartien de l’accompagnement du rythme et modulations des violons : de l’orchestration de l’aria d’une telle merveille lyrique saisissante, devant laquelle, irrésistiblement, je suis pris de la tentation de ployer les genoux.

Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.

Elīna Garanča 37 B ANNA BOLENA, Anna Netrebko.

Mise en scène à la Wiener Staatsoper du 5 avril 2011, sous la direction du chef d’orchestre Felino Pidó, la scène de l’Opéra ‘Anna Bolena’ de Gaetano Donizetti aux décors sombres avec des variations géniales d’un éclairage fantastique a mise en relief émouvant des costumes d’un raffinement exquis, des physionomies et mimiques en harmonie avec des expressions musicales du mélodrame romantique de la fin tragique de la reine ‘Anna Bolena,’ réunifiant sur le plateau des plus talentueux acteurs, actrices, choristes et instrumentalistes, mariait les splendeurs des beautés sonores dans une féerie picturale d’une irrésistible fascination.

Dans la mise en scène de l’opéra les turpitudes du roi Henri VIII d’Angleterre, dévoreur de huit femmes successives, le superbe baryton basse Ildebrando D’Arcangelo, par la vigueur expressive de sa voix grave et virile, de sa mine et de son parfaite mimique gestuel, présentait sur la scène toutes les qualités d’emploi de ce beaux brut, se débarrassant de son deuxième épouse Anna Bolena, sa reine mis en scène par Anna Netrebko, pour convoler sa troisième victime, la candide Jane Seymour, l’amie intime et demoiselle d’honneur à la cour, mise en scène par la mezzo-soprano Elina Garanča.

Mais mon affinité musicale m’a évidemment orientée vers les scènes des duos et dialogues vocalisés avec brio entre mes deux sublimes grandes favorites adorées du monde de l’opéra : mon ravisant étoile Anna Netrebko et ma déesse du bel canto Elina Garanča, bien que la sérénade et les récitals de passion au timbre particulier de la jeune alto ou mezzo Elisabeth Kulman, travestie en page Smeton amoureux de la Reine, a bien agréablement flatté la sensibilité de mon ouï masculin par sa voix douce, d’une caressante féminité.

Rivales aux émotions exacerbées dans le scénario musicalisé, la belle brune soprano Anna Netrebko au timbre russe d’une cristalline pureté vocale polie à la winennoise et la captivante blonde mezzo-soprano Elïna Garanča de mon cœur, d’une étonnante agilité vocale, se sont livrés à des sublimes rivalités de finesse et précision de vocalisation à l’unisson, dans des duos ou dans des dialogues passionnés valorisant leurs tessitures très larges, aux éblouissantes couleurs dans l’aigu en variant dans le grave. Leur virtuosité dramatique atteignait le sublime dans l’éloquence des mélodies : un fascinant et vibrant expressionnisme lyrique, imprégnant l’émotion sur les intonations, des gestes de tout beauté, de grâce et d’adresse, des chants dans toutes les raffinements des puissances des tonalités émouvantes de l’anxiété, de l’embrasement dévastateur des sentiments d’amour, de dépit de la trahison, de lamentations, plaintes déchirantes, du pardon, des prières saisissantes, de la pitié poignante au dénouement vers la folie et la mort tragique de la reine. Un chef d’œuvre émouvant, inoubliable. Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté Elina.

Elïna Garanča 1 avec son époux

Concert open-air « classique sous étoiles » dans la fondation Göttenweig, Elïna Garanča avec son époux Karel Marc Chichon.

https://youtu.be/Oy_3nLMpHLo

008 Elīna Garanča & Karel Mark Chichon im Interview

Elīna Garanča 24 & Karel Mark Chichon Baden-Baden

L’éblouissant maestro Karel Mark Chichon, en chef d’orchestre dans ses fameux concerts donnés au « Festspielhaus », au Maison de concert, de Baden-Baden en 2008, s’est appliqué avec succès de transformer les émotions de sa propre passion pour son irrésistible dulcinée conquise pour la vie Elina Garanča en féeries musicales transcendants : l’interprétation allégorique de ses propres perceptions amoureuses sublimées, de sa conquête de  l’amour épanouie en émotions fortes qui, dans la salle de spectacle, submergent les sensations du cœur et de l’âme des spectateurs mélomanes par des vagues d’harmonie successives.

Le magicien de symphonie d’un orchestre le plus varié des grands talents instrumentistes, des airs d’opéras célèbres, des arias de la passion d’amour composés des sommités de la musique classique, charmant l’ouï et la vue de tous les goûts du public averti des raffinements musicaux.

Il s’est donné rendez-vous dans la grande salle bondée de la Maison de musique à Baden-Baden pour assister à l’extraordinaire spectacle donné par le suprême tallent de ma sublime déesse enchanteresse Elïna Garanča en cantatrice soliste ; spectacle dont les plaisirs de l’assistance en direct me sont à jamais prohibés avec mon armure du gladiateur solitaire. « Absence makes the heart grow fonder » et me laisse quelques loisirs aux envolées littéraire d’adulation de ma reine blanche idéale sur l’échiquier.

Pour la représentation, cet éblouissant maestro Karel Mark Chichon dirigeant en grand amoureux inspiré, s’est fixé à une variété des arias d’opéras baroques et romantiques émouvants, à une sélection bien choisie au divertissement du public dans le largueur du répertoire extraordinaire Elina, de sa flamme bien aimée.

Sélection dans laquelle ce magicien de symphonie a permis devant le public à sa diva à la corole d’or Elïna de donner toute la mesure de la flexibilité de son talent de vocalisation lyrique et de sa virtuosité de chanter sur toute la vaste palette sonore des couleurs enchanteurs de sa voix aux ultimes perfectionnements, sur toutes les octaves de sa tessiture de mezzo-soprano d’une douceur féminine aux caresses captivantes : du modérato des souffles pathétique des basses mélancoliques aux tourbillons exaltantes des trilles jubilatoires des hautes passionnées.

L’émotionnel du spectacle musical est intensifié sur la scène somptueuse devant le brillant orchestre par le plaisir visuel de la mimique des passions d’amour par des ravissements de son physionomie d’enchanteresse, des gestes gracieuses, son corps ondoyant de la divine Naïade blonde parée d’une longue tunique rouge chatoyante à la romaine collant sur sa silhouette souple en mouvance assurée ; le port en écharpe laissant nues les charmes des galbes délicates, du buste des épaules et des bras. L’ensemble sélecte cette magie scénique en parfaite harmonie, exalte l’enthousiasme irrésistible d’un public des mélomanes averties.

Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.

Elīna Garanča 39 Texte Ave Maria William Gomez.

Elina Garanča, Ave Maria (William Gomez). Christmas in Vienna 2007. Dirigent Karel Mark Chichon.

Sous la direction de haute volée de son génie d’épouse Karel Mark Chichon, ‑leurs cœurs d’amoureux battant à l’unisson‑, les arias et chants spirituels sont les participations scénarisées par Elïna Garanča avec un charme exquis et d’une facilité vraiment délicieuse. Élevé toujours plus haut au degré de la perfection par l’arrangement orchestral de son talentueux maestro, l’Ave Maria de William Gomez, après le prélude des ravissantes notes pincées de la harpe, sur le fond du raffinement orchestral, les sonorités douces, caressantes de l’enchanteresse Elina fait vibrer les âmes des effets harmonieux célestes les plus éthérés, des émouvantes couleurs expressives modulées sur son large registre tonal.

La sublime Elina souffle du fond de sa délicate gorge de virtuose enchanteresse, sa voix parfaitement flexible : souligné de sa gracieuse mimique gestuelle, pleine d’aménité évocatrice du sacrée, cette riche mélodie, merveilleusement douce semble couler sans effort de ses lèvres de Fée fascinante, déchaîne à l’écho tout un jeu d’harmonie d’une religiosité lumineuse. Ses strophes d’une chaude intonation se diffusent, remuent à leur rythme les sentiments de son auditoire recueille, l’enivre des plus douces voluptés spirituelles avec un ensemble polyphonique de merveille.

Peter, son Cavalier de Prose enchanté.

Elïna Garanča 2

Elina Garanca 41 Texte La Reine de Sabat

Echo Classic 2013. Elina Garanča au Konzerthaus de Berlin : le récital du cantique « Plus grand dans son obscurité » de l’opéra (Paris 1862) « La Reine du Sabbat » de Charles Gounod. (La légende de Balkis d’après Gérard de Nerval).

L’entrée solennelle de l’aménité la plus exquise de la divinité du bel canto Elina Garanča, précédée de l’éclat de l’aura de son renom, est ovationné chaleureusement des deux côtés du couloir central par un auditoire des gens de grand talent de la musique classique. Dans cette salle d’une architecture stylisée des somptuosités modernes de la Maison de Concert de Berlin, la pléiade internationale des étoiles de l’opéra s’est donnée-là rendez-vous en auditoire avertie des récitals accompagnés de l’orchestre pour l’attribution du prestigieux trophée très prisé de « La Cantatrice de l’année ».

Digne de la Reine de Sabbat mise en scène musicale, la couleur assortie de la robe d’apparat longue et ample, le tendre bleu clair métallisé, accentue de cette amour Elina la féerique fascination de l’expression des grands yeux aux éclats des saphirs bleus du bel visage au teint d’une blancheur satinée, auréolé de sa couronne des splendides cheveux blonds. Majestueusement enjambé les cinq marges pour monter au plateau, à Elina, la sublime Déesse du Bel Canto, un accueil chaleureux est réservé par le Roi d’Israël de la symphonie et de la polyphonie instrumentale et vocale, par le maestro Omer Meir Weber.

 Le talent de l’éminente figure de la musique classique Omer Meir Weber s’est illustré avec l’aussi brillante cantatrice Elina Garanča dans la présentation du cantique dramatique du troisième acte de l’opéra tombé dans l’oubli : la tragédie lyrique de la légende de La Reine de Sabbat. Pris d’amour du bâtisseur venant de l’étranger pour la construction du temple du roi des Juifs Salamon, l’opéra est la scénarisation dramatique des intrigues de la passionnelle amour adultère, de la séduction, jalousies, lutte d’influence des ouvriers, vengeance, délation, avec en final la désolation de la destruction et mort tragique de l’amant dans des confuses scènes de la mythologie et magie orientale de la haute antiquité. Pour les initiés, une sorte d’allégorie scénarisée des rites maçonniques.

En donnant toute la mesure de son divin talent, la sublime Elina entonne de la Reine adultère le cantique d’une musicalité raffinée, jouant en virtuose accomplie sa gamme infinie des nuances et variations vocales de la finesse de sa perfection transcendent : « Me voilà, seul enfin ! ‑De quelle ardente flamme, brillait les yeux de ce fier étranger, ‑Son orgueil, son courage en face du danger, ‑Ont su toucher mon âme !… ‑Pour être reine, hélas ! ‑Cesse-t-on d’être femme ? ‑Plus grand dans son obscurité, ‑Qu’un roi paré du diadème, Il semblait porter en lui-même, ‑Sa grandeur et sa royauté ! ‑Funeste serment qui me lie ! ‑Résigne-toi, mon cœur, oublie ! ‑L’oublier, lui que j’ai pu voir, ‑De son bras dominant l’espace, ‑Du Roi braver le vain pouvoir, ‑Et l’effrayer par son audace ! ‑L’oublier, quand hier encore, ‑Au caprice de son génie, ‑Ses mains, dans le porphyre et l’or, ‑Créaient la forme et l’harmonie !… ‑Aux lueurs d’un ciel embrasé, ‑Je l’admirais domptant la flamme ! ‑ A mes pieds je l’ai vu brisé, ‑Et l’amour envahit mon âme ! »

De l’infidélité de la Reine de Sabbat aspirant à la liberté, la mise en musique de la succession des bouleversants états d’âmes, les stades émotionnels de l’admiration de l’amant à la révolte contre le destin, l’abattement, la consternation à la désolation, protestations, des lamentos au dédain et résignation, sont exprimées d’une haute perfection de la magnifique synchronisation des paroles chantés avec l’éloquence des gracieux gestes, de la poignante expressivité de la mimique faciale. Préludée des lentos des bassons et flutes, c’est l’accomplissement merveilleux de la vocalisation dramatique du pathétique et du tragique.

Vocalisées de toutes les variations de son registre mezzo-soprano étendu aux hautes de sa voix frisant le perlée du soprano, pour descendre aux bas caressants du contralto, l’effet émotionnel la révolte chantée contre la Morale est accru de l’orchestration raffinée des attaques fortes du motif des cordes, passages saisissants ponctués du tact des timbales. Cet émerveillement des exclamations d’une sonorité vibrante des protestations des contraintes du sort, enveloppe d’émotions l’auditoire. Une représentation de polyphonie orchestrale et vocale de très grande classe dans cet univers de la musique vocale classique de Berlin.

(La cantique de la Reine de Sabbat, du répertoire classique du couple bien assortie, Elina Garanča et son époux, le chef d’orchestre Karel Mark Chichon, a déjà fait des succès dans des concerts en Allemagne, Autriche, France, Suisse…).

Peter, ‘Le Cavalier de Prose’ enchanté Elina.

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Elïna Garanča 3 G

Elina Garanča, de ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, son souffle lyrique de la magie vocalique, comme le doux vent du printemps vibrant d’émotion qui fait renaître la nature de son sommeil hivernal, elle me réchauffe l’esprit assombrie, chasse mes préoccupations pour m’élever dans les merveilles du monde du suprême art musical du bel canto. L’esprit excité du charme sublime de sa virtuosité vocale, de sa parfaite élocution dans tous registres de ses couleurs sonores, soutenu d’une mimique gestuelle harmonieuse de la grâce de l’éternelle féminité, c’est le transport du rêve aux vibrantes fantasmes à la douce extase spirituelle, des arias comme celles de Bellini, de Mozart un ravissement caressant me pliant les genoux sous vagues de son divin souffle chargé d’immenses émotions. 

Peter son « Cavalier de Prose » enchanté

Elïna Garanča 4 N

Elïna Garanča 5 B

https://youtu.be/sllhVK2_Gug

Elïna Garanča 11 Méditation.

La splendeur musicale du summum du vocalisme classique de la virtuosité de la voix.

Elïna Garanča 40 prose Méditation

Avec son album MEDITATION, arrangé par le magicien de symphonie, son époux Karel Mark Chichon, à sa talentueuse Dulcinée Elina Garanča, le maestro a fait atteindre le summum de la perfection du chant des arias immortels aux accents religieux, des plus belles mélodies sacrées, des longues médiations des airs chargés d’émotion de la liturgie. Déjà commentés, des chefs d’œuvres musicaux tels que l’Agnus Dei de Georges Bizet et la liturgie de Paque « Regina caeli, laetare, alleluia » (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), ont valu à la divine Elina le prix du chant sacré bien mérité de Dresde, dans un décor d’une magnificence architecturale extraordinaire des lieux de culte de la ville allemande reconstruite.

Dans les studios, les salles de concerts et d’opéras, tels l’opéra nationale de la Lettonie à Riga, sa ville natale, des magnifiques arrangements du lyrisme d’une rare beauté de la voix Elina d’une mélodicité fascinatrice, sont créées des prodigieuses variations des douces coulées d’harmonie éthérée dans l’atmosphère enchantée de la spiritualité, des brises poignantes du plein épanouissement de sa beauté vocale, enveloppée dans des mystères du sacré.

Avec son admirable virtuosité de l’art lyrique du raffinement des couleurs, avec la sublime tonalité de sa tessiture, la divine Diva Elina produit des effets de l’harmonie les plus célestes du sublime par la modulation des notes élevées de son registre : des souffles lyriques coulant de sa gorge comme des douces brises des notes liées ondulatoires ou perlées en vibrations. Une polyphonie féerique inoubliable, des émotions vibrantes, saisissantes avec la splendide résonance de l’accompagnement chorale et instrumental, s’enroulant autour de son aura pour ajouter encore plus d’intensité de spiritualité à son suprême expression vocale.

Peter, son « Cavalier de Prose » émerveillé.

Elïna Garanča 6 Sol

https://youtu.be/K2snTkaD64U

Elïna Garanča 15.Aqarius aus Hair - Elina Garanca & alle

https://youtu.be/JyXYrrokKu0

Aqarius aux Hair – Elina Garanča & alle.

Elïna Garanča 16.Elina Garanca - Victor Herbert - Art is Calling for Me

Elina Garanča – Victor Herbert – Art is Calling for Me

https://youtu.be/SeqWX84LGlo

Elïna Garanča 14 Habanera la conquérante.

https://youtu.be/kXs2VAfy4ew?list=RDFH4v7ghJnZo

Elïna Garanča 14 Habanera la conquérante &Prose.

https://youtu.be/kXs2VAfy4ew?list=RDFH4v7ghJnZo

Elina Garanča, vidéo-fiction, « Habanera, L’amour est un oiseau rebelle ». Opéra « Carmen » de George Bizet.

Je retrouve avec quelque peine ma sublime déesse enchanteresse Elina Garanča du bel canto, dans l’aria de George Bizet « l’amour est un oiseau rebelle » de son album « Habanera », sur des thèmes des chansons tsiganes. La Naïade des contrées chantantes de son pays nordique, la douce divinité éthérée des sources et rivières à la chevelure dorée flottante, ondulée sur les épaules gracieusement galbées, avec son étonnant brio de virtuosité des douceurs vocales et de son adresse de mimique des gestes de la comédienne lyrique accomplie s’est transmuée dans la mise en scène de vidéo-fiction dans une affectueuse Carmen séductrice d’une autre planète.

Le scénario de la vidéo-fiction avec le magnifique solo dépasse même en fantastique et imaginaire ses classiques mise en scène avec chœur et orchestre, les plus turbulentes des audaces fatales de l’aguicheuse dévergondée Carmen, une gitane passionnée de l’opéra de George Bizet. Volage et capricieuse, chanteuse et danseuse, la tsigane Carmen enjôle des militaires pour jeter le chaos dans la garnison la ville Séville en Espagne, finit par se faire poignarder par son court amour impulsif, par le caporal José, jaloux amoureux passionné, ensorcelé par le chant de Carmen à la désertion, puis délaissé pour les attraits virils d’un beau toréador.

La voilà vidéo-fiction Elina transfigurée en sorte tsiganes sauvage, sortant au son de flamenco de la guitare espagnol de la brillance nébuleuse d’un halo solaire tel un mirage fabuleux, éblouissant les yeux d’un jeune-homme subjugué. À présent avec la voix de mezzo-soprano d’attaque d’une suite de timbres dynamisés d’une belle amazone des champs arides d’Espagne, la séductrice émette en graduel de ses magnifiques hautes ciselés des chants scandés d’oiseau mystique.  Chevauchant un cheval aussi sauvage, coiffée une tignasse blonde ébouriffée, des yeux bleus hypnotisantes de tigresse, avec un délectable raffinement vocal, fulminent des éclairs de chasseresse d’une fugace aventure amoureuse.

Galvanisé, son jeune prince rustique est conquis d’un amour éphémère, amour s’envolant tel l’oiseau inapprivoisable en battant les l’aile pour s’évanouir comme un bel songe au sens allégorique de l’aria. « Si tu n’attends plus l’amour, elle est là, elle vient et s’en va, l’amour est un oiseau rebelle, nul ne peut l’apprivoiser…, » chante la sublime rossignole aux oreilles émerveillées de sa jeune proie paralysée du charme du moment de félicité. Précédée d’une danse rituelle écervelée de l’irrésistible enchanteresse tsigane, le jeune homme surpris dans la solitude de sa grange, captivé en proie langoureuse aux anges de la rossignole fugitive, s’abandonne sur un tas de paille à ses subtiles caresses et à la provocation féminine de la voix de mélodieuse incantation pour voire l’amazone s’évanouir dans les mystères comme elle est venue.

Le texte et la mise en scène fantastique de vidéo-fiction de cette aria, ne correspond peut-être pas à la vision propre des coutumes tsiganes en Espagne de son époux de Gibraltar, l’éblouissant maestro Karel Mark Chichon Carel. Elina, elle, les a étudiées de près sur place Espagne pour parfaire son art de l’imitation sur les scènes où elle brille dans plusieurs versions de la turbulente Carmen dans les plus grandes maisons d’Opéra du monde, dont la fameuse Met de New-York. Le maestro Karel Mark Chichon Carel, ce magicien de l’orchestration des opéras-galas a mis en scène cette belle aria de provocation féminine à sa manière de chef d’orchestre génial dans des grandes salles des concerts avec des décors somptueuses et des orchestres prestigieux, devant un nombreux public enthousiaste. Y est représenté plus classique le tempérament Elina en tsigane espagnol, séductrice effrontée aux longues cheveux sombres, séductrice indomptable par son amant enflammé jusqu’à la faire périr dans les turbulences de passion du drame sanglant de jalousie de de haine.

Mais le mélomane ne peut que se laisser emporter par le charme de absolument admirable mise en scène ingénieuse avec les effets spéciaux en vidéo-fiction originale du texte français de la musique George Bizet, interprété par la talentueuse cantatrice Elina Garanča. Cette diva phénoménale de vocalisation lyrique des passionnes et des fantasmes amoureux d’une amazone à cheval, répande autour d’elle l’aura des mystères tsiganes d’un fugace amour insaisissable avec un issue de l’idylle de tendresse nostalgique. Je le préfère au scénario authentique militarisé. Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.

Elïna Garanča 11 Prince Strauss

Ces séduisants échos de l’Opéra de Wien de Strauss, capital du pays de la branche maternelle de ma famille, aurait mis en extase divine ma mère si elle était encore là ‑ cette l’incomparable beauté de ta voix mezzo-soprano, s’adaptant avec bonheur à l’interprétation du rôle du charmant prince dans un décor somptueux à l’autrichien. Ma sensibilité musicale est cependant ravie à l’extrême par la magie enchanteresse de tes cantates et cantiques aux résonnances du sacrée dont MÉDITATION paraît à la sensibilité de mon ouï le couronnement de ta prestigieuse virtuosité de la voix féminine.

Elïna Garanča 11 Prince Strauss dessin

https://youtu.be/jRcTFA463qU

Elina Garanča, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, Reine blanche sur l’échiquier des belligérants de l’ombre.

Elīna Garanča 38 Nobel Peace Prize ceremony 2007. Prose

https://youtu.be/S7OyQf90WNc

De l’opéra « Le Barbier de Séville » le plus connu de Gioacchino Rossini, Diva doublée d’une talentueuse actrice, Elina Garanča pastiche d’une extraordinaire virtuosité d’humour la célèbre l’aria de la Rosine amoureuse « j’ai attendu une voix » (‘Una voce poco fa’). L’accompagnateur, le plus brillant de la Norvège, au piano Håvard Gimse en pimente l’inattendue présentation humoristique de l’aria d’amour avec l’attaque du récital de sa touche audacieuse au rythme entraînant.

Avec le plein épanouissement de sa beauté vocale du lyrique, Elina finit par moduler les couleurs douces de sa voix dans les sonorités du coquin moqueur aux intonations tendres. L’exquise grâce du mimique faciale et l’élégance des gestes d’une grande actrice accomplie, harmonise avec les surprenantes expressions coquines de sa merveilleuse voix aux inépuisables adaptions, modulations et variations.

Humour surprenant dans le décor stylisé de la digne cérémonie du Prix Nobel de la Paix de 2007, devant un public sélect du grand monde cultivé ! Noblesse obliges. En chantant dans le style à ravir d’une coquine moqueuse, Elina toujours vêtu en concert d’une élégance témoignant de son goût raffiné en harmonie de la souplesse de la ravissante sculpture de sa délicate féminité galbée d’une beauté expressive, radiant vers l’auditoire choisi la chaleur d’une extraordinaire déesse du bel canto. Jeune-fille, Elina rêvait devenir une princesse. Aujourd’hui, la sublime déesse rentre dans l’Histoire en Reine. Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.

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https://youtu.be/cFJJ1zFBWgY

En extase scénique, l’étoile de l’opéra, la splendide soprano Anna Netrebeko, l’amie inséparable de Elina Garanča, de ma sublime déesse enchanteresse du bel canto. (La Traviata « Sempre libera »).

 

Anna Netrebeko BEST.

029 La rosa y el sauce - Anna Netrebko (RUSIA)

https://youtu.be/vN4Zrng-UIM

La rosa y el sauce – Anna Netrebko (RUSIA)

Anna Netrebko 34 - Donizetti, Lucia, Regnava nel silenzioans titre

https://youtu.be/–WH9j11q8Y

Anna Netrebko – Gala Concert St. Petersburg – Arias  – Donizetti, Lucia, Regnava nel silenzio.

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Une des plus ravissantes représentations d’Anna Netrebko.

https://youtu.be/KScPMs8YlDA

Anna Netrebko – Ruslan and Lyudmila de Mikhail Glinka.

Elïna Garanča 12 Nicht nachdenken

« Ne réfléchissez pas sur Elina », commente la prodigieuse Diva sous son portrait d’une l’irrésistible séduction féminine, après son magistrale interprétation à l’opéra des chants masculins. Du regard pénétrant du bleu de saphir du visage aux traits harmonieux, les lueurs hypnotisent les plus blasés des mélomanes.

Ne plus réfléchir sur le merveilleux ? « La musique ‑ surtout la magie de la virtuosité de son chant d’Elf nimbée à la corolle des pailles d’or ‑ radoucit les cœurs les plus farouches », dit le proverbe. Avec la séduction féminine par sa nouvelle image, ma réflexion et mon allant sportif risquent d’être perturbée pour un bon moment par les fantasmes du rêve.

Elïna Garanča 10 Schuhe

Traduction tu Titre : LE VRAIMENT IMPORTANT, CE SONT LES (***).

Elina, la ravissante mezzo-soprano, étonnante polyglotte en guerre contre l’Académie française : «  …Et je ne le trouve donc pas correct qu’on écrit en français huit lettres mais en prononce seulement trois ou quatre… » 

 

Marly SO MA BE 2015

20/03/2015. 10 km à Marly la Ville. Région Paris. Association SO MA BE ouvrant pour l’amélioration des conditions des enfants du Benin en Afrique.

Le visage suave et doux Elina Garanča, de ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, ses yeux d’une pénétration fascinante de l’éclat pure du saphir bleu, ce bel dessin métaphorique de sa beauté et de la séduction de la virtuosité vocale incomparable, saisira d’émotion agréable les lecteurs de ma morne prose savante des institutions juridiques nationaux et internationaux dont elle est devenue la Reine blanche sur un rude échiquier des enjeux internationaux majeurs.

 

Elïna Garanča 13 Reine blanche sur l'Echiquier des béligérants de l'ombre.

https://youtu.be/jRcTFA463qU

Elina Garanča, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, Reine blanche sur l’échiquier des belligérants de l’ombre.

Anna Netrebeko arrosage.

https://youtu.be/cFJJ1zFBWgY

En extase scénique, l’étoile de l’opéra, la splendide soprano Anna Netrebeko, l’amie inséparable de Elina Garanča, de ma sublime déesse enchanteresse du bel canto. (La Traviata « Sempre libera »).

Bois de Boulogne. Foulées Assurance 2015

29/03/2015. Les Foulées de 10 km de l’Assurance. Paris. Bois de Boulogne, Chemin du Lac intérieur.

115 Bel Canto. Elina Garanča, Roberto Abbado, V. Bellini

Bel Canto. Elina Garanča (Künstler), Roberto Abbado (Künstler), V. Bellini (Komponist), G. Donizetti (Komponist), G. Rossini (Komponist) Format: Audio CD. Amazon.de.

https://youtu.be/1U2m5nsyWNM

Ma gracieuse déesse enchanteresse Elina Garanča, dans l’intégrale de son Album ‘Bel Canto’ m’offre les plus vives émotions par les merveilleux récitatifs des cantates et arias immortelles, accompagnés des plus illustres étoiles du firmament chantant de l’opéra, embellies par l’orchestration d’une musique chorale et instrumentale des captivantes polyphonies savoureuses. De la diva Elina, la sublime et fluide voix mezzo-soprano bien meublée dans tout sa large tessiture, du haut cristallin de soprano, ondule ou vibre dans les bas de contralto aux sonorités tendrement veloutées, dans des tempos d’une fascinante souplesse et variations raffinées dans expressivité dramatique, dans les couleurs lyriques. La fascinante beauté de sa virtuosité vocale élevée aux divins splendeurs sonores offre des moments d’intenses émotions, sublimes en solo, en duo ou trio d’une fascinante et poignante sensibilité par la captivante harmonie de la soprano et du ténor et du baryton de grande classe.

Peter, le Cavalier de Prose Elina émerveillé.

116 Elïna - The Best of Elïna Garanča. Elïna (Mezzo-soparno), Bellini

Elina – The Best of Elina Garanča. Elina (Mezzo-soprano), Bellini (Komponist), Bizet (Komponist), Donizetti (Komponist), Mozart (Komponist), Saint-Saens (Komponist). Format Audio CD.

117 Romatique. Elïna Garanča (mezzo-soprano)

Romatique. Elina Garanča (mezzo-soprano), Yves Abel, (Künstler), Donizetti, (Komponist), Saint-Sean (Komponist), Gounod (Komponist), & mehr. Format: Audio CD.

Elina Garanča. L’album ROMANTIQUE, ENTRE AMOUR ET DESESPOIR. Dirigé par le chef d’orchestre de renommée Yves Abel.

Ces neuf arias et cantates choisis avec grande adresse et goût pour donner toute la mesure de l’excellence du talent de la sublime Déesse du Bel Canto Elina Garanča, de sa virtuosité de vocalisation de de la magie évocatrice du mystique pathétique, des polyphonies en solo accompagné des effluves mystiques et spirituelles des célèbres contes et légendes dramatiques.

[1] L’émouvant Album est introduit de la saisissante aria « O mon Fernando » de la magnifique opéra LA FAVORITE de Donizetti : les déchirantes lamentations mélodieuses du désespoir d’amour insensé de Leonora, la maîtresse méconnue du roi, épris d’un candide novice séduit au monastère. Un chef d’œuvre extraordinaire est attendu par la remise en scène de l’Opéra le 29 octobre 2016 à Munich en Allemagne sous la direction du maestro Karel Marc Chichon. L’heureux époux Elina Garanča, ce magicien de symphonie avec son élégance du style britannique sait le mieux valoriser toutes les ressources de son immense talent.

Les arias « Samson et Dahlia » de Saëns, « Sapho » de Gounod, « Faust » de Siebel, « La Damnation de Faust » de Berlioz, ce sont les grands classiques du répertoire qui ont permis à la jeune cantatrice Elina Garanča de la lointaine Lettonie d’accéder au Zénith des Déesses des plus prestigieux l’opéras du monde par les extraordinaires couleurs de son fluide lyrisme, du timbre captivant d’une voix ample à la fois caressante et veloutée, de la technicité du Bel Canto d’une perfection absolue.

[3] Un bref et vigoureux prélude orchestral du style de Tchaïkovski, martelé aux timbales, donne plus d’intensité à l’expression de l’exclamation accentuée de la peur de la mort surmontée de LA PUCELLE D’ORLEANS. Capturée, la guerrière héroïque du Roi franque, ressaisie de l’abattement du désespoir en se remettant à la grâce de Dieu, poursuit par son chant d’adieu chargé de tristesse des lentes ondulations lyriques des médians Elina d’une expressivité magnifiquement phrasée. La polytonalité avec les sonorités appuyées de l’orchestre, les ravissantes notes pincées de la harpe, rende vivant la poignante scène historique sur le buchée expiatoire : des caresses vocales de la Jeanne D’Arc à ses compagnons d’armes privés de son commandement, à ses gens, à ses contrées qui ne la verront plus jamais. Elina Garanča, des motifs musicaux le tragique sont poussés à l’extrême de la magie lyrique, par son fabuleux souffle du chant pathétique, ondulant aux tempos variés sur tout l’étendue de son registre modulé aux couleurs fascinantes.

[6] De l’opéra en italien de légende JULIETTE ET ROMEO, de Nicola Vaccai, l’aria est chanté d’une sensibilité émouvante de la formidable assurance lyrique Elina Garanča. Le tragique de la scène est rendu vivant du sublime la vocalisation de son registre bien meublé, du velouté suave du médian aux hautes de la tristesse insondable de ROMEO au désespoir extatique devant la vision de la dépouille de son grand amour dans la sépulture : « la mort et belle sous ses traits… », du visage la Juliette éteinte. Des lamentations aux notes liées, s’écoulent en ondulations harmonieuses de sa gorge, des ondulations d’une exquise sensibilité de la tristesse lyriques évoquant le dramatique de l’intensité de la douleur humaine pressant au suicide. La tension émotionnelle du vibrant solo est accentuée avec brio des merveilleuses notes pincées de la harpe, de l’accompagnement musical de l’Orchestre Philharmonique du Théâtre Municipal de Bologne (Italie).

[8] De l’opéra de Eduard Lalo, dans l’aria de folie de la fille Margared du ROI D’YS, ville antique de la légende bretonne (Fr), le prélude aux vigoureuses tonalités apocalyptiques des coups de tonnerre des timbales, accompagnés des lents passages des clarinettes et cordes marque le climat tragique de la guerre vengeresse déclenchée par le roi ennemi offensé Karnac. Margared forcée de l’épouser auparavant pour mettre fin à la guerre l’a répudié dans son indomptable amour passionnel pour Mylio. Mais lui est épris de sa sœur Rozenn. Avec une jalousie démentielle, Margared, dans l’espoir folle de conquérir son fantasme, finit à s’allier à Karnac, le tue et fait sombrer sa ville bretonne assiégée. En vocalisant dans l’aria dramatique le tumulte des émotions contraires de Margared, Elina Garanča fait preuve d’une magistrale souplesse vocale, d’une technique et maîtrise absolue de la vocalisation lyrique, allant du plus grave accentué de son registre aux plus aigu limpide et agile par des sauts magnifiquement scandés ou ondulés entre les expressions tonales de l’espoir et de la haine, de ses insondables mystères de la démence : sensations rendues éloquentes de ses lignes vocales d’une suprême élégance, haussées à une extraordinaire intensité par les effets musicaux de l’orchestre.

[9] A la fin de son inoubliable Album ROMANTIQUE, la sublime aria LA REINE DU SABBAT, de ses protestations de la fatalité de la cruauté sort de la femme enchaînée par la Morale, le merveilleux lyrisme sur l’intonation vocalisant l’influence mystique sur toutes les émotions, par son expressivité du phrasé vocale extraordinaire, Elina Garanča n’a pu qu’emporter en 2013 à Berlin son premier Trophée Echo Classic. L’ovation d’admiration d’un auditoire critique des plus prestigieux talents internationaux de l’art lyrique, je l’ai déjà commentée.

Peter, le ‘Cavalier de Prose’ enchanté du talent prodigieux de sa déesse Elïna Garanča.

 

118 Aria Cantilena. Elïna Garanča mezzo-soprano

Aria Cantilena. Elina Garanča mezzo-soprano, Fabio Luisi (Künstler), Staatskapelle Dresten & mehr. Format: Audio CD.

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Elina Garanča – Arie Favorite. Elïna mezzo-soprano, Alexandrs Vilumanis (Künstler), Lettisches Nationalsymphieorchester & mehr. Format: Audio CD.

ELÏNA GARANČA. ALBUM ARIA FAVORITE avec l’orchestre symphonique national de la Lettonie, dirigé par Alexandrs Vuilumains.

De son premier enregistrement CD (Ondine) en 2001 en Lettonie, dans les lointaines contrées de sa charmante ville natale Riga, par le choix adroit de ces dix arias, ariettes et sérénade de Mozart, Rossini, Bellini, Donizetti, Massenet, la rayonnante diva Elina Garanča excelle dans la virtuosité lyrique polie d’une poignante douceur de sa voix veloutée des modulations d’expressions de l’amour dans les plus extraordinaires manifestations des passions d’amour. Quand elle entonne Mozart, dans ces quatre premiers accords accompagnés de l’orchestre, je l’ai déjà écrit pour son aria ‘La Clémence de Tito’ [3+4], les premières harmonieuses mesures célestes des plus éthérés de la magie de ses variations lyriques, me font ployer les genoux, m’arrache des trivialités de la terre, transfiguré m’emportent en rêve dans ce monde enchanté des résonnance divines de son lyrisme captivant.

[1+2] En vocalisant le chant du Cherubin de l’opéra ‘La noce de Figaro’ de Mozart avec des mélodieuses sautillements mozartiens, des phrases exclamatives dans la tessiture haute cristalline de la jeunesse, des frémissements argentins sur tout l’étendue de son registre de la fantasmagorie nocturne du jeune garçon peiné, dissimulant son indomptable amour pour la grande comtesse. Le lyrisme des coloratures raffinées Elina Garanča, avec la vibrante musicalité de l’accompagnement instrumental, rende bien vivant les palpitations du pauvre cœur du garçon désemparé chaque fois qu’il voit une belle femme ; ses tortures mêlées du bonheur le poussant à la déclaration d’amour à son grande adorée dans une touchante sérénade.

[7] L’air de Romeo de l’opéra de Bellini ‘Le Barbier de Séville’ de la légende Roméo et Juliette, (commenté pour la version italienne de Vaccai), [9] et l’air de Seymour de la magnifique opéra ‘Anna Bolena’ de Donizetti, (déjà commenté), ont contribués au succès éclatant de la toujours plus merveilleuse Diva Elina Garanča. Ces opéras d’un captivant charme, produits avec l’aussi ravissante soprano Anna Netrebko à Paris et à Wien, avec ces deux divas du top niveau mondial du dramatique et lyrique, c’est l’aboutissement à l’apothéose dans la musique vocale par l’orchestration de toutes les deux déesses du Bel Canto. D’une tessiture, d’un physique et d’une personnalité différente, sur scène ces deux resplendissantes étoiles d’opéra s’harmonisent dans les duos et à l’unisson avec un irrésistible charme féérique de la polyphonie. Dans l’opéra ‘Anna Bolena’ produit en 2011 à Wien en Autriche, ces deux sublimes vedettes complémentaires du Bel Canto se surpassent en talents de virtuosité dans un décor et éclairage du superbe mirobolant.

[10] Avec l’Opéra ‘Werther’ de Massenet, l’enregistrement du CD s’achevé par l’air de l’amour tragique d’un charme mélancolique de la Charlotte. De sa captivante voix veloutée aux intonations tendres du registre mezzo-soprano coloratur, la Diva Elina Garanča vocalise avec son parfaite adresse artistique des espoirs pathétiques de profonde mélancolie « je vous écris de ma petite chambre », des exclamations aux tonalités tragiques de Charlotte inquiète, lorsque, marié à un homme réaliste, découvre tardivement son amour pour le rêveur Werther à la lecture et la relecture à la veille de Noël de ses lettres. L’opéra et l’aria fait partie du répertoire de prestige Elina Garanča, demandé à être présenté dans les plus prestigieux opéras du monde ; souvent à la MET à New York et à Paris où en 2015 des menaces d’attentat meurtrier m’avaient tenu à distance de son irrésistible séduction.

 [8] L’aria française du lyrisme du désarroi sacrificiel de LA FAVORITE dans l’opéra de Donizetti, « O mon Fernando », je n’ai pas eu à cœur de commenter ce Chef d’œuvre sans la réjouissance du spectacle de l’éloquente mimique de ses gracieuses faciès et gestes expansives, synchronisés avec la mélodie et les paroles chantées de la LEONARO. Maîtresse du roi, plongée par ses malices dans les malheurs de l’infamie, elle subit son funeste destin avec son grand amour FERANDO, candide novice qui dans l’aveuglement passionnel abandonne le monastère pour la suivre jusqu’à sa mort sacrificielle pour le préserver du sacrilège du vœu de la consécration. J’attends avec impatience l’enregistrement vidéo de la magnifique Opéra des arias et participations chargées des tensions émotionnelles électrisantes les plus poignantes, rendues par le brio des artistes de grande renommée internationale. Ce chef d’œuvre d’opéra française de Donizetti sera dirigé par Karel Marc Chichon le 29 octobre 2016 à Munich en Allemagne, par l’époux comblé Elina Garanča.

 [5] De l’opéra ‘Le Barbier de Séville de Rossini, l’aria aux charmes démonstratives des sonorités d’espoir de l’amoureuse Rosine, séquestré par son tuteur, « Una voce poco fa » (J’ai entendu une voix), a obtenu une signification tout à fait particulière. Le séduisant récital d’amour pastiché d’une fantastique technique dramatique et lyrique accompagné au piano, a été présenté en 2007 à la cérémonie de la remise du Prix Nobel de la Paix, s’est fait commenter ensuite par moi. Avec son incommensurable gentillesse de s’engager dans un combat des insoupçonnables périls pour le BIEN, m’accompagner dans l’Histoire de l’humanité en apportant son assistance significative par son rayonnant aura féminine d’une star d’opéra d’envergure mondiale, cette amour Elina Garanča, devenue une vraie Reine divine, ma Reine providentielle, mériterait la remise du Prix Nobel de la Paix bien plus d’un ces distingués récipiendaires.

[6] De l’opéra ‘La Cenerentola’, l’air l’d’Angelina (Cendrillon) a produit la joyeuse hilarité à travers le monde, l’aphorisme de la suave ligne mélodieuse traduit « FOR HER INNONCENCE » avec son gracieuse image évocatrice de la flagornerie à l’opéra MET : à genou les yeux pieusement fixés au ciel, une chaussure tenue à la main, le maniement avec une si charmante dextérité de la brosse à reluire. Scénarisée par le rayonnement angélique de la voix et gestes Elina Garanča : des sensations excitantes vraiment impayables dans ce contexte de la guerre psychologique internationale sans merci dans l’obscurité ; impayable l’évocation lyrique de la miséricorde pour les méchants de la candide Cendrillon chantonnant les douces et fluides mesures de cette suave mélodie pour leur innocence, plaidée à deux millions/dollars heure.

Aux anges son fervent adorateur Peter, le ‘Chevalier de Prose’ de la sublime enchanteresse Elina Garanča.

 

Elina Garanca 43 La Favorita 2014 Prose 1.

https://youtu.be/7unMMyFS4n4

Elina Garanča dans LA FAVORITE, un opéra du lyrisme italien, un chef d’œuvre en langue française de Donizetti Gaetano. Salzburger Festspiele 2014.

Les actes forts de la mise en scène lyrique sur la passion amoureuse insensée sont portés par les voix du novice religieux FERNANDO (Juan Diego Flórez, ténor), épris la courtisane LEONARO DI GOUSMAN (Elina Garanča, mezzo-soprano), la favorite du ROI adultère Alfonse XI de Castille (Ludovic Tezier, baryton), menacé des sanctions du Pape par la voix du supérieur du monastère BALTHAZAR (Carlo Colombara, basse).

Dirigé par le chef d’orchestre Roberto Abbado avec panache, développant avec adresse tous les ressources de l’art lyrique et instrumental, les enchaînements subtilement rythmés, des intervalles de suspense, dans tous les mouvements et développements musicaux des scènes par des cantilènes, arias, dialogues lyriques, à voix nues, à l’unisson, accompagnés par les chœurs et l’orchestre, imprégnant aux paroles chantés une vivacité incantatoire remarquable : du lent cheminement graduel des illusions de la joie, des plaisirs, de la gloire militaire vers la fatalité du désastre sentimental induit de la turpitude du ROI ; tragédie finalisée par la mort sacrificielle de LEONARO dans les bras de son grand amour éphémère FERNANDO, moine juste consacré et pris de la tentation du sacrilège en face de sa captivante beauté.

Mais le vrai sacrilège de cette magnifique exécution de l’opéra réside dans le péché de ne pas avoir réalisé d’un tel chef d’œuvre de la tragédie lyrique un enregistrement vidéo valorisant les mélodies des paroles chantés par les gestes et mimiques éloquents des plus brillants chanteurs et chanteuses, doublés du talent des grands acteurs dramatiques.

L’exécution avec un magistral brio est la scène finale chargée des plus fortes sensations émotionnelles, préludée par l’accent du sacré d’un émouvant air d’orgue, alterné par des cordes, des cuivres et des courtes phrases du chœur des moines. Les duos ou lamentations à l’unisson du moine FERNANDO avec sa récente mariée dans le déshonneur militaire LEONARDO, rejetée puis retrouvée dans le monastère sous le déguisement d’une novice, est d’une déchirante sonorité pathétique d’un dialogue musical à briser les cœurs.

 La déesse du bel canto, Elina Garanča, y a déployée toute la virtuosité de son large registre vocale, la fluidité et la finesse des ravissantes couleurs lyriques. Avec souplesse, elle module en dehors du fond de sa gorge les notes de ses caressantes basses veloutées, avec des brillantes transitions de sa captivante voix, aux hautes vibrantes de la détresse morale de LEONARDO mourante. Un grand chef d’œuvre bien trop subtile pour le résumer en quelques lignes, sans la vision d’une vidéo de la direction, des exécutants et du décor la scénarisation.

Peter, le ‘Cavalier de Prose’ Elina, qui sera encore bien plus enchanté par un enregistrement vidéo complet.

119 Mozart Opera & Concert Arias. Elina Garanca.

Mozart Opera & Concert Arias. Elina Garanča, mezzo-soprano, Langree (Künstler), Camerata Salzburg, Wolfgang Amadeus Mozart (Komponist)  Format: Audio CD.

 

Die Operngala der Stars-Live aus Baden Baden. Anna Netrebeko soprano, Elïna Garanča mezzo-soprano, Ramon Vargas (Künstler), Armiliano (Künstler), Soswr (Künstler),  I. Delibes (Komponist) & 4 mehr. Format: Audio CD.

Elïna Garanča - Di tanti palpiti. Album 'Bel Canto', GET IT.

https://youtu.be/tXaCzkBeH44

Elina Garanča – Di tanti palpiti. Album « Bel Canto », GET IT!!!

Elina, Elina, ô comme tu remues encore mon âme sous son armure par la force incantatoire de l’admirable chant des notes perlées, par la suave harmonie de ta voix enchanteresse aux colorations des expressions de toutes les nuances de l’émotion.

Ô ma déesse enchanteresse du bel canto, comme par magie de la virtuosité vocale tu éveille en moi encore mille et un songes tendres, la douce nostalgie suggestive par le regard du bleu azuré de tes iris fascinants, des longs cheveux dorés ondulés tombant délicatement sur ton corps du charme de l’éternelle féminité. « Ne pensez plus à Elïna » …, à ses cantates des délices sonres de la perfection de la vocalisation : en rêvez, fantasmez…

041 Elïna Garanča - Laudate Dominum

https://youtu.be/NeEwd5ogjKo
Elina Garanča – Laudate Dominum.

Ton album des merveilles sonores « Méditations », par la douce atmosphère de la sublime euphonie du sacrée de ta cantate « Laudate Dominum Vesperae solennes de confessore » de Mozart, de ta voix exquise de tendresse et de beauté créée une si divine atmosphère d’enchantement attendrissant même dans le recueillement des esprits les plus endurcis. La douceur exquise de la modulation des timbres hautement élaborés de virtuose vocale produit dans ma chair et dans mon âme ces rares frémissements de plaisir transcendant d’une telle intensité pour me confesser : Elina, mon amour n’a plus qu’un nom, ‑ l’incantation de tes inoubliables arias, cantates, oratorios…

https://youtu.be/gEGcAiHUrQM

Charles Gounod – La Reine de Saba « Plus grand dans son obscurité » (Elīna Garanča). The very beautiful VOICE of MY DIVA Elīna Garanča. La très belle VOIX de MA DIVA Elīna Garanča. ECHO KLASSIK 2013 – Konzerthaus Berlin.

Elīna Garanča, 'Art is calling for me!' ('The Enchantress').

https://youtu.be/-9RA8O21A2o

Elina Garanča: « Art is calling for me! » (« The Enchantress »), fragment: Elīna Garanča sings « Art is calling for me! » (I want to be a Primo Divo!) from the Broadway Comic Opera « The Enchantress ».

Elïna Garanča 15 Laudate Dominum

https://youtu.be/NeEwd5ogjKo

From Elina Garanca’s gorgeous new album « Meditations », this heavenly piece written by Mozart from the composition « Vesperae solennes de confessore »

Avec la magie sonore de  Laudate Dominum de Mozart (mon préféré) dans ton incomparable Album Méditation, une jouissance infinie des sensations exquise m’emporte vers toi, Elina, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto. Le plein épanouissement de ta sublime beauté vocale dans cette divine cantate éthérée, délicate, surnaturel fait élever mon âme au-dessus des choses terrestres : du faux monde de mon sombre existence. Devient prière en montant vers la voûte du ciel, de ces géniales féeries musicales de l’harmonie de l’orchestre et du chœur, le timbre émouvant de ta vocalisation ondulante des sonorités vibrantes de ton gracieux souffle chargé d’émotion. Ta magnifique voix polie au suprême lyrisme éveille en moi des songeries mélancoliques et me transportent par le ravissement dans l’émerveillement d’une dimension de la rêverie et d’une nostalgie caressante.

Elīna Garanča 16 - Agnus Dei, Georges Bizet

https://youtu.be/OY0ZmFFy5PM?list=PLi7DPEcT89cJvCxX8cTfMlCEc7v0p5aTp

Elīna Garanča – Agnus Dei, Georges Bizet. Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014. Kammerchor der Frauenkirche – Sächsischer Staatsopernchor Dresden. Pablo Heras-Casado : DIRIGENT

Restera imprégné dans les souvenirs des mélomanes les plus délicats, un concert spirituel telle la prestigieuse représentation d’Avent dans « l’Église des Femmes » de Dresde par la force incantatoire de la tessiture mezzo chaude de ma déesse enchanteresse Elina ; diva aux ultimes perfectionnements de la vocalisation, aussi splendides en lyrique qu’en dramatique.

De la concertation géniale de l’« Agnus Dei » de Georges Bizet, de la basse vibration des instruments de cuivre aux sonorités pathétiques émerge la vocalisation sublime de sa voix d’un éventail de timbres émus, accompagnée des sonorités tamisées et des bassons, et des cors anglais, et des hauts bois, et de l’euphonie raffinée des instruments à corde et de percussion.

Sa voix s’étire du bas poignant de sensibilité, se prolonge aux hauteurs évocatoires de la vénération divine. La résonance ébranle l’atmosphère, fait vibrer l’air sous le haut ciel vouté d’arcs en pierres taillées, fait vibrer avec l’air du magnifique oratorio en symbiose les fibres intimes des âmes du public tant ému par les splendeurs de son émouvante voix chaude, douce et pleine d’affections tendres, des sons d’une infinie délicatesse du sacré : mouvants du décrescendo au crescendo ondulatoire ou poussés avec une grande agilité du fond de sa gorge, des passages prenantes, modulées par sa langue et ses lèvres d’un visage d’une beauté féminine exquise dans la dévotion.

Sous la direction fabuleuse de Pablo Haras-Casado, dans le transfert vouté de l’Église, se répande de son délectable raffinement vocal une inoubliable résonnance mirifique, une divine atmosphère d’harmonie et du recueillement avec la virtuosité des instrumentalistes de grand talent de l’orchestre.

Elīna Garanča 40 Prose Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche

https://youtu.be/KjhuGv-CTQM

Elïna Garanča: Regina caeli, laetare, alleluia, Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche – Sächsischer Staatsopernchor. Dirigent Pablo Heras-Casado.

La monumentale Église de Femmes de Dresde, reconstruite par une architecture d’une fabuleuse beauté du style gothique, réalise un univers sonore inouï aux chants sacrés de la liturgie en latin.  Aussi dans de cette grandiose représentation de l’oratorio de Paques « Regina caeli, laetare, alleluia », (Reine du ciel, réjouis-toi, alléluia), sur la joie de la résurrection du Christ, (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), le remarquable ensemble de l’orchestre, chœur et solistes est dirigé avec la finesse extraordinaire du brio magistral du talentueux chef d’orchestre Pablo Haras-Casado.

Le prélude des sonorités éthérées de l’orgue suivie de la réponse chorale raffinée alterne des voix graves des hommes avec les voix hautes des femmes. L’ensemble choisi de toutes les beautés sonores des tessitures et colorations s’estompe et remonte en éblouissant graduel. Ces accords vocaux chargés de force dramatique de la prière créent un fond sonore ondoyant de spiritualité avec l’harmonie des bois, des cuivres jointes des cordes de l’orchestre en formation circulaire dans le transept d’une magnificence architecturale et somptuosité de l’art décorative. Le roulement appuyé des timbales avec des passages fortissimos des violons accroit l’harmonie du dramatique par l’extraordinaire effet de l’émotionnel.

 De cet admirable fond orchestral de l’hymne de Paques du XIIe siècle de la piété mélodieusement polyphonique, se détache avec une poignante virtuosité en solo les sublimités vocales mezzo-soprano de la ravissante cantatrice Elina Garanča. L’imploration la grâce salvatrice de la puissance céleste par ses hauts vocaux est d’une pureté digne d’une soprano colorature. Son chant émerveillant se répand, se réverbère dans la magnifique structure des colonnes, monte vibrante aux galeries circulaires jusqu’aux voûtes et arcades, fait naître dans l’auditoire des irrésistibles émotions attendrissantes.

 Sa voix parfaitement flexible, la mesure paraît couler comme un fleuve enchanteur de sa gorge déployée, sans effort visible et sans limite possible, modulée avec une exquise sensibilité dans les cavités sonores de sa bouche, synchronisé à ravir du jeu des muscles du buste, du cou et de la face, des mimique et geste expressives de toute beauté en harmonie de l’exquise mélodie des mystères de l’incantation du spirituel.

 D’un port de tête de charme altier de la prodigieuse reine du lyrisme colorature Elina incarne, le paroxysme de l’émotion spirituelle de l’oratorio de Pâques est produit par un majestueux crescendo du motif de prière à la Saint Marie par l’élévation vocale en finale de l’alléluia de la supplication, « Sois dans la joie et l’allégresse », pour parvenir aux félicités de la vie éternelle… son regard d’extase fixé vers le ciel.

Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté Elina, de sa sublime Reine.

Elïna Garança 17 dans « Ah ! quando all’ara sorgemi ans titre

https://youtu.be/hMJdB4Dxa4g

Sur l’Elïna Garança dans « Ah ! quando all’ara sorgemi – Ah dal ciel discenda un raggio, d’Anna Stuarda », drame lyrique de Gaetano Donizetti.

Des suprêmes symphonies de l’accompagnement de l’orchestres et du chœur » du drame lyrique de Gaetano Donizetti jaillit une caresse lyrique jubilante, évoluant aux plus tendres sons d’une aria de l’amour spirituelle. Elina ma sublime déesse enchanteresse du bel canto expose à mes oreilles encore et encore d’autres miracles de vocalisation : ici des délices lyriques d’un fascinant rythme mélodieux des sonorités toutes plus belles les unes que les autres.

La virtuosité de son brio de la splendeur mezzo-soprano m’emporte irrésistiblement vers son art de l’émerveillement de sa vocalisation exquise d’harmonie et de beauté ; éveillent en moi des songeries mélancoliques et tendres. « Ne pensez pas à Elina », déclame-t-elle sous son image de la divine jetset Naïade des confins chantants du cercle polaire ; magnifique diva éblouissante à la corolle chatoyants aux pailles d’or, ondulantes sur des courbes gracieuses de ses épaules d’une peau fine des douceurs blanches. Avec la captivante résonnance incantatoire de la fantastique virtuosité de sa belle voix, l’enchanteresse m’hypnotise aux envolés littéraires de ses prunelles aux iris de deux saphirs enflammés d’un bleu du plus bleu. Comment pourrais-je encore, dans ma solitude du spartiate aux aguets, autrement réfléchir dans mes rêves et fantasmes suggérées par les charmes des résonnances de son délectable raffinement des couleurs vocales ?

Elïna Garanča 20 - Les feuilles mortes. & Ah! quel diner!

https://youtu.be/i09bik5rO9A
Elina Garanča – Victor Herbert, Les feuilles mortes. Arte Lounge.
https://youtu.be/rK0aDqWnNPs
Elina Garanča – Victor Herbert, – Jacques Offenbach – Ah! quel diner ! Aria de l’Opérette « La Perichole » de Jacques Offenbach. Arte Lounge.

Produite par la télé ARTE LONGUE, dans ce récitatif télévisé, accompagné au piano dans l’ambiance jeune et bon enfant d’un café-concert Elina ma sublime déesse du bel canto s’est muée en reine des chansons classiques avec une étonnante souplesse vocale en harmonie de la mimétique en tous genres des caractères et tempéraments : une magistrale démonstration de son étonnant talent de polyglotte autodidacte dans des chansons françaises, des lieder allemands et des songes anglais.

Dans son interprétation des « Les feuilles mortes » de Jacques Prévert, un grand classique pathétique de la chanson française, Elina Garança n’a rien à envier aux meilleurs chansonniers et chansonnière francophones natifs de naguère avec son brio lyrique d’une grande aisance : les basses et les médianes feutrées des couleurs d’une délicate douceur féminine de sa voix, son élocution française impeccable, surprend et émerveille les jeunes du public décontracté.

Dans l’aria « Ah quel diner ! » de l’opérette « La Perichole » de Jacques Offenbach, accompagné de son jeune et jovial pianiste Victor Herbert à la touche pittoresque digne de l’ambiance enjouée, Elïna galvanise son jeune public décontracté jusqu’à l’extase par le passage du lyrisme pathétique au lyrisme comique avec une parfaite mimique du chant bachique d’une joyeuse fêtarde saoulée. Si ce n’était pas de l’exquise comédienne la maîtrise parfaite de ses gestes évocatrices et l’euphonie des lallations volubiles finement articulées d’ivrogne en goguette de sa voix adaptée aux plus incroyables variations du genre vocale, un spectateur superficiel aurait pu croire se trouver en présence de cette drôlesse Elina, chantante devant le piano avec un grand coup de champagne dans le nez pour de vrai.

Elina Garanca 22 - Victor Herbert - Art is Calling for Me

https://youtu.be/SeqWX84LGlo

 Elīna Garanča – Victor Herbert – Art is Calling for Me

Elïna Garanča 21Le concours international de chant Mirjam Helin

https://youtu.be/gO5LSQar9qM

Elīna Garanča. Johannes Brahms « Von ewiger Liebe » (De l’amour éternel).

https://youtu.be/gO5LSQar9qM

13/08/2015. Elīna Garanča. Johannes Brahms « Von ewiger Liebe » (De l’amour éternel).

Le concours international de chant Mirjam Helin en Finlande 1999, c’est Elina Garança « la grande messe de divinisation » en cantatrice d’envergure internationale. Au jury des grands professionnels chevronnés du chant et de la musique, doués d’une ouï de finesse extraordinaire, du plus raffiné qu’on puisse trouver, pas la moindre dissonance, pas le moindre contretemps ou d’hésitation d’expression, pas la moindre arythmie n’échappe. Sans effets spéciaux de sonorisation, dans ce récital de chant accompagné de piano des ambitieuses cantatrices du monde entier en concours, seule la qualité de vocalisation lyrique et de la virtuosité est magistralement appréciée. S’y présentant en tenue presque monacal, pour remporter le premier prix tant convoité, Elina fit jouer avec une grande maitrise ses brillantes qualités de modulation vocale par le seul jeu des sonorités expirées de sa gorge dans les cavités de résonance buccales et nasales, modulant avec le sublime jeu des muscles faciales, de sa langue et de ses lèvres des plus fines sonorités expressives du lyrisme, toutes les subtiles nuances et colorations d’émotion du timbre de la voix douce et d’une caressante féminité  qu’exige ce Lied du plus important compositeur du romantisme allemand Johannes Brahms « Von ewiger Liebe »  (De l’amour éternel).

Elïna Garanča 23 - Europa Galante, Fabio Biondi

https://youtu.be/XXcIBb5_EVg

Elina Garanča, dans les arias de Vivaldi avec Europa Galante, Fabio Biondi, Patrizia Ciofi, Vivica Genaux, Marijana Mijanovic… « La sorte mia spietata. Quel ciglio vezzosetto. Spesso tra vaghe rose » et autres arias de « Bajazet ».

Elïna Garanča 14 Habanera la conquérante &Prose.

https://youtu.be/kXs2VAfy4ew

Elina Garanča, vidéo-fiction, « Habanera, L’amour est un oiseau rebelle ». Opéra « Carmen » de George Bizet.

Je retrouve avec quelque peine ma sublime déesse enchanteresse Elina Garanča du bel canto, dans l’aria de George Bizet « l’amour est un oiseau rebelle » de son album « Habanera », sur des thèmes des chansons tsiganes. La Naïade des contrées chantantes de son pays nordique, la douce divinité éthérée des sources et rivières à la chevelure dorée flottante, ondulée sur les épaules gracieusement galbées, avec son étonnant brio de virtuosité des douceurs vocales et de son adresse de mimique des gestes de la comédienne lyrique accomplie s’est transmuée dans la mise en scène de vidéo-fiction dans une affectueuse Carmen séductrice d’une autre planète.

Le scénario de la vidéo-fiction avec le magnifique solo dépasse même en fantastique et imaginaire ses classiques mise en scène avec chœur et orchestre, les plus turbulentes des audaces fatales de l’aguicheuse dévergondée Carmen, une gitane passionnée de l’opéra de George Bizet. Volage et capricieuse, chanteuse et danseuse, la tsigane Carmen enjôle des militaires pour jeter le chaos dans la garnison la ville Séville en Espagne, finit par se faire poignarder par son court amour impulsif, par le caporal José, jaloux amoureux passionné, ensorcelé par le chant de Carmen à la désertion, puis délaissé pour les attraits virils d’un beau toréador.

La voilà vidéo-fiction Elina transfigurée en sorte tsigane sauvage, sortant au son de flamenco de la guitare espagnol de la brillance nébuleuse d’un halo solaire tel un mirage fabuleux, éblouissant les yeux d’un jeune-homme subjugué. À présent avec la voix de mezzo-soprano d’attaque d’une suite de timbres dynamisés d’une belle amazone des champs arides d’Espagne, la séductrice émette en graduel de ses magnifiques hautes ciselés des chants scandés d’oiseau mystique.  Chevauchant un cheval aussi sauvage, coiffée une tignasse blonde ébouriffée, des yeux bleus hypnotisant de tigresse, avec un délectable raffinement vocal, fulminent des éclairs de chasseresse d’une fugace aventure amoureuse.

Galvanisé, son jeune prince rustique est conquis d’un amour éphémère, amour s’envolant tel l’oiseau inapprivoisable en battant les l’aile pour s’évanouir comme un bel songe au sens allégorique de l’aria. « Si tu n’attends plus l’amour, elle est là, elle vient et s’en va, l’amour est un oiseau rebelle, nul ne peut l’apprivoiser…, » chante la sublime rossignole aux oreilles émerveillées de sa jeune proie paralysée du charme du moment de félicité. Précédée d’une danse rituelle écervelée de l’irrésistible enchanteresse tsigane, le jeune homme surpris dans la solitude de sa grange, captivé en proie langoureuse aux anges de la rossignole fugitive, s’abandonne sur un tas de paille à ses subtiles caresses et à la provocation féminine de la voix de mélodieuse incantation pour voire l’amazone s’évanouir dans les mystères comme elle est venue.

Le texte et la mise en scène fantastique de vidéo-fiction de cette aria, ne correspond peut-être pas à la vision propre des coutumes tsiganes en Espagne de son époux de Gibraltar, l’éblouissant maestro Karel Mark Chichon Carel. Elina, elle, les a étudiées de près sur place Espagne pour parfaire son art de l’imitation sur les scènes où elle brille dans plusieurs versions de la turbulente Carmen dans les plus grandes maisons d’Opéra du monde, dont la fameuse Met de New-York. Le maestro Karel Mark Chichon Carel, ce magicien de l’orchestration des opéras-galas a mis en scène cette belle aria de provocation féminine à sa manière de chef d’orchestre génial dans des grandes salles des concerts avec des décors somptueuses et des orchestres prestigieux, devant un nombreux public enthousiaste. Y est représenté plus classique le tempérament Elina en tsigane espagnol, séductrice effrontée aux longs cheveux sombres, séductrice indomptable par son amant enflammé jusqu’à la faire périr dans les turbulences de passion du drame sanglant de jalousie de la haine.

Mais le mélomane ne peut que se laisser emporter par le charme de absolument admirable mise en scène ingénieuse avec les effets spéciaux en vidéo-fiction originale du texte français de la musique George Bizet, interprété par la talentueuse cantatrice Elina Garanča. Cette diva phénoménale de vocalisation lyrique des passionnes et des fantasmes amoureux d’une amazone à cheval, répande autour d’elle l’aura des mystères tsiganes d’un fugace amour insaisissable avec une issue de l’idylle de tendresse nostalgique. Je le préfère au scénario authentique militarisé.

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Elïna Garanča 10 Schuhe 2

La couverture du livre autobiographie Elina Garanča « LES CHAUSSURES SONT VRAIMENT IMPORANTS, traduit par moi de l’allemande en française, avec son implication en « reine blanche sur l’échiquier des belligérants de l’ombre », me confère une côte terrible chez certains participants et spectateurs lors des compétitions des courses à pied. Je porte cette image sur l’arrière de mon sac à dos et épinglé sur la cuisse droite de mon collant de sport

Dans le Métro de Paris déjà, un vieux violoniste de l’opéra eu de la peine de se retenir pour me sauter au cou pour m’embarrasser. Dans une des courses, une jeune nana a foncé, traversée la barrière, est rentrée avec sa bagnole au milieu des coureurs pour me lancer des baisers avec des grandes gestes des mains. Que, abandonné de tous, j’ai fait appel à une cantatrice d’envergure internationale pour patronner mes travaux académiques d’importance aussi internationale, à défaut d’un de ces grandiloquents mandarins universitaires ou d’un intarissable tribun politique, ça plait évidemment beaucoup aux adolescentes et jeunes femmes enthousiasmées, m’applaudissent chaleureusement au passage.

Mais là où la couverture du livre Elina a plus de succès, c’est chez les toutes petites et petites filles. Elles ne cessent de s’en extasier, s’évertuent parfois d’imiter avec application, juste à côté de ma cuisse, les grimaces comiques Elina sur la couverture de son livre. Les mamans feront bien de profiter de l’attraction du moment, de lire ce livre de valeur éducative générale sur le chemin laborieux de la réussit et du succès à leurs petites filles, ou les faire lire aux plus grandes.

Lors des courses à pied des photographes amateurs, ravis par Elina, cadrent leurs prises de vue sur ma cuisse droite où est épinglée la photo d’elle avec ses grimaces comiques, au risque de couper sur l’image ma tête. Ça m’amuse. Mais il y a des photoreporters qui sont chargés par leurs employeurs de ne me cadrer que jusqu’à la ceinture. J’ai averti un d’eux en courant : « N’oubliez pas Elina ! » Par le chiffre magique 13, l’action de nous deux est liée jusqu’à la fin de l’Histoire et la publicité dans une telle extraordinaire affaire mondiale est pour une artiste très importante. Si les prises de vues publiées étaient amputées, de défendre dans une salle d’audience d’un tribunal d’une si courageuse et ravissante artiste comme Elina, pour un avocat ce serait comparable au rôle d’une Prima Donna dans une représentation d’opéra au Met de New York.

Elïna Garanča La Cenerentola Caussures

https://youtu.be/SYdpnWRQUH0

Elina Garanča – Rossini: La Cenerentola (Excerpts 1)

Dimanche 18 octobre 2015 : Muco-Trail du Mont Sarrazin 22 km. Saint-Pierre les Nemours 77.

Éloigné de Paris et mal desservis par le train, il a fallu me lever de très bonne heure pour prendre le premier métro matinal allant vers le garde de Lyon. Après mon arrivé au stade, le départ du trail de 22 km a été reporté d’une demi-heure. Au lieu de partir de 9h30, on partait à 10 heures 15 minutes après le trail de 10 km.

C’était un magnifique parcours tout-terrain, en majorité sur des étroites et difficiles pistes dans une forêt rocailleuse. Pas question de faire de la vitesse si bien que je courrais en agréable compagnie des jeunes. La photoreporter s’est planquée à une pente raide d’une profonde couche de terre calcaire poussiéreuse. Elle me prenait en photo à la descente acrobatique et au retour, à la montée pénible, toujours en compagnie des jeunes gens.

Il y courrait un petit groupe d’une jeune femme et d’un jeune homme. Le troisième qu’avaient des difficultés de les suivre et resté derrière, je n’ai pas pu l’examiner. Pour que les gens puissent la regarder sans me dévisager, j’avais accroché derrière à ceinture la photo Elina Garanča. Le compagnon, son époux sans doute, et la jeune femme de ce groupe, d’un corps de sportive parfaitement moulé dans son collant de coureuse, une belle tête au front haute, des longues cheveux blonds coiffés en queue de cheval, a dû se rendre-compte qu’elle ressemblait vaguement à Elina.

Son compagnon a décroché à la fin de course, nous devançait. Je ne sais pas très bien lequel de nous deux s’est arrangé d’approcher ensemble la ligne d’arrivée, moi à côté, légèrement derrière cette beauté. Le photographe nous mitraillait d’abord tous les deux, mais après, il a focalisé son objectif sur ma belle compagnie, pour la prendre seule. Je crains bien pour elle, qu’elle n’aura jamais la photo de nous deux ensembles, moi avec le teeshirt jaune avec la tête de mort coiffé d’un béret vert dans le triangle de l’insigne du 2° RÉP.

Une photo pareille pourrait bien se faire monnayer par la presse internationale. Un peu retouché, on pourrait faire courir avec moi Elina Garanča en forme olympique des semi-marathons.

.Elīna Garanča 36 Deh, per questo istante solo

https://youtu.be/Ss4pjkS0EPs

https://youtu.be/ZZ6OBlWEbas

Elīna Garanča – Deh, per questo istante solo.

Ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, Elina Garanča, ma tenue encore sous le charme de son poignante virtuosité expressive avec l’aria de la plus splendide beauté de ses couleurs vocales qui suggèrent la féminité de ses expressions dramatiques des bouleversantes passions tragiques.  « Deh per questo instant solo » ­‑Ah, durant cet instant seulement, rappelle toi l’affection d’autre fois…‑, dans la magnifique musicalité de l’opéra « La Clémence de Titus » de Mozart, d’une mise en scène bien extravagante à Wien en mai 2012. Elina ma sublime déesse enchanteresse, a été délicieusement émouvante dans ce rôle masculin du traitre naïf Sextus par la conservation, cette fois, de la sculpture d’une beauté à ravir du naturel de son visage et de sa chevelure d’un blond filigranés d’or et d’éclat lumineux argentins, juste tiré en arrière. Ô mélodieuses fantasmes de l’allégorie androgynes : douée d’une grande agilité vocale, dans ma vision à moi, Elina s’est appliquée avec sa divine grâce féminine d’une céleste sylphide des plus sensuels rêves. Sa parfaite mimique gestuelle masculinisée assortie de sa physionomie expressive n’a qu’amplifiée la magie de la virtuosité expressive de sa délicieuse voix mezzo-soprano douée des puissantes vibrations incantatoires dans la mise en scène musicale de la tragédie de l’amour insensé, du débordement des passions d’un amant aveuglé vers la faiblesse coupable de la trahison d’un cher ami, les tourmentes de repentance d’une passion ravageuse et le cheminement vers la peine capitale libératrice des tenaillements moraux, doublés une abnégation d’amour dans le désespoir infini pour sa fatale séductrice.

Dans cet aria aux accents tragiques et douloureuses Elina exprime de sa captivante voix, avec la vivacité communicante, des timbres émus et mouvants des merveilles sonores, vocalise le chant du désespoir du naïf Sextus, avec une grande aisance, tout un clavier d’émotions pathétiques des sentiments contraires, entraîne mes impressions dans une spirale de la magie lyrique envoutante.

  Dès l’attaque du récital d’une poignante lenteur avec les couleurs ondulantes dans ses hauteurs implorantes, des médians appuyés riches en sensations fortes du bouleversement émotionnel, d’emblée me tient sous son charme, chauffe mon âme, fait vibrer mon cœur sous mon blindage. Descendant dans les douceurs des notes graves d’amertume de la souffrance lyrique enveloppée de tendresse avec des pointes de la voix poussée jusqu’à la plainte, s’élève parfaitement timbrée à des d’implorations mélodieuses de la grâce, des crescendos aux sonorité clairs, un vibrato allongé aux saisissantes sons plaintifs, des ruptures émouvant de silence et de tristesse du raffinement mozartien de l’accompagnement du rythme et modulations des violons : de l’orchestration de l’aria d’une telle merveille lyrique saisissante, devant laquelle, irrésistiblement, je suis pris de la tentation de ployer les genoux.

Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.

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Elïna Garanča 29 Elïna Garanča - crescenco magasine

Elïna Garanča 29 Elïna Garanča - crescenco magasine interw

https://youtu.be/OpOzLMsCV9o

ECHO Klassik 2015 | Talk | Elīna Garanča

Elïna Garanča 30 Elïna Garanča - 13

Elina Garanča vient d’une famille de musiciens. Elle étudia à l’Académie de Musique de sa ville natale Riga en Litanie. Sa carrière mezzo-soprano a commencé le 13 février 1999 à l’opéra de Meiningen en Allemagne et se poursuivra à Francfort et Vienne et sur les scènes du monde. À la percée internationale au Festival de Salzbourg de 2003, Elena Garanča a été honorée avec plusieurs prix et en 2013 est officiellement agrée cantatrice d’opéra autrichienne. Parmi ses rôles les plus célèbres aux côtés de rôles mozartiens se trouve aussi Carmen de Georges Bizet.

Elïna Garanča 29 Elïna Garanča - crescenco magasine interw avec récomense

https://youtu.be/ej5i4sMcqJU

Echo2015. Am 18. Oktober berichtet www.crescendo.de live von der Verleihung des ECHO-Klassik aus dem Konzerthaus Berlin.

Toujours plus magnifique sur scène avec tes représentations éblouissantes, ma sublime Elina Garanča adorée à la passion, ô mon Rossignol au beau visage auréolé des chatoyantes cheveux dorés, tes hymnes aux sonorités exquises et gracieux ébranlent des doux frémissements mon âme granitique.

Ô mon Rossignol obsédant, tes yeux grands et bleus d’éclats transfigurateurs, ô mon Oiseau du lointain paradis musical, Oiseau de mes mirages de tendresse et fantasmes d’amour spirituelle : enivrant mirage doré des mille et un décors des splendeurs mirifiques, des souffles du suprême lyrisme enchanteur du bel canto frémissant, vibrant de captivantes émotions.

 Peter, ton Cavalier de Prose enchanté.