Légitime défense politique.

Artifices criminelles d’occultation des responsabilités de la haute société françaises des crimes contre l’humanité .


« Les idées folles se prennent comme les maladies et celui qui en attrape une, les attrape généralement toutes. » Nietzsche.

008 Elïna Garanča La Cenerentola Caussures Casamayor

27/03/2016. Doctrine Nazie illégalement dissimulé dans les procès relatifs aux crimes contre l’humanité avec l’Académie française.

27/01/2017. Le roman historique de Rober MERLE « LA MORT EST MON METIER », est un intéressant exemple de la façon par laquelle l’histoire est falsifiée par la justice avec le recours à des talentueux écrivains de bonne volonté. En 1978, j’ai été par hasard attiré par ce livre, à la recherche de la bibliographie de mon professeur en droit et procédure pénale, l’avocat et professeur d’université de Toulouse Roger Merle. Sa doctrine avec son professeur associé André Vitu faisait autorité en matière de la compétence légale des juridictions pénales est rapportée à la page 1 de mes blogs. Psychologiquement hyper-profilé par des meilleurs spécialistes des parties adverses pour prévoir mes réactions, mes projets dirigés par les services spéciaux de l’armée ont été savamment analysés et déjoués par l’arrestations illégale et la mise en fuite.

Ainsi, les comploteurs contre la sûreté de l’État ont déjoué mon intervention avec la doctrine Merle et Vitu auprès du juge d’instructions Pierre Michel à Marseille pour faire envoyer par lui toute cette association de malfaiteurs du Service d’Action Civique, et les membres du gouvernement qui les dirigent, devant la Haute Cour de Justice. Relégué dans une niche de chiens dans la région parisienne où je fus déporté par les amis du « juge rouge » Jacques Bidalou, j’ai été empêché de perturber la mascarade de la Commission d’enquête parlementaire saisie frauduleusement de l’affaire, au lieu et la place de l’audience publique devant le Parlement de la procédure préliminaire du renvoi devant la Haute Cour de justice.

 L’examen rétrospective de l’évolution de la guerre judiciaire et psychologique démontre sans équivoque que les assassinats du juge Pierre Michel et la Tuerie d’Auriol avec les victimes fourvoyées par l’avocat félon Gilbert Collard, ont été motivés par le risque de mon apparition dans la procédure pénale à Marseille avec mon déclinatoire de compétence au profit exclusive de la Haute Cour de Justice. Les comploteurs contre la sûreté de l’État m’ont fait séquestrer auprès de Bordeaux pour que j’apprenne à cette gente judiciaire incompétente la doctrine Merle et Vitu qu’ils finissaient d’appliquer à tort et à travers pour annuler l’affaire Papon, sauver des poursuites judiciaires les plus dangereux criminels contre l’humanité, enrichis sans vergogne et parés de plus hautes distinctions honorifiques.

Mais par la même manipulation criminelle, moi aussi j’ai été branché sur l’affaire Papon. Évadé de la forteresse psychiatrique de Cadillac, je m’y suis constitué partie civile intervenant pour donner à ces escrocs judiciaires quelques leçons sur l’histoire falsifiée en me servant aussi du livre de Robert Merle LA MORT EST MON METIER, édité en 1952 par les éditions Gallimard. Robert Merle a écrit son roman historique en se basant sur l’expertise de la psychiatrie légale, auteur INDIQUÉ PAR LE SEUL PRÉNOM GILBERT, effectuée lors du procès de Nuremberg sur l’officier supérieur de S/S Rodolf Hoess, commandant du Camp d’Extermination d’Auschwitz. Mais le psychologue américain n’a lui a pas dû communiquer tout le dossier, car l’aspect le plus significatif de la vie et de la mentalité de cet officier supérieur de l’S/S est sciemment occulté : la machination de la manipulation psychologique par la propagande des délires structurés des paranoïaques pour transformer des demeurés en tueurs de masse exaltés, par des exercices spirituels hallucinantes, des dogues euphorisantes et hallucinogènes dont les Nazis ont été des grands addicts, y compris Hitler, Himmler, Goering etc. (Notons que le tueur de masse à Oslo Andreas Breivik de l’extrême droit nazie, né 13 février 1979, a adopté le profil identique des drogués SS et est comme Herman Goering le numéro trois du régime, a fait ses débuts à la Franc-maçonnerie nous relève seulement son expertise psychologique fait au procès de Nuremberg).

Contrairement à ce que la jurisprudence truquée et les historiens faussaires cherchent à accroire au public, le nazisme n’est pas un simple partie politique. C’est la vitrine de la religion sectaire de l’arianisme de la Société Thulé des surhommes nietzschéenne d’origine extraterrestre ; religion sectaire qui a un crédo et la doctrine de la conflagration apocalyptique de la guerre totale conduisant à la purification de leur rase noble par l’extermination des sous-hommes hybridés par l’accouplement des animaux et des surhommes. Le jeune catholique Rodolf Hoess, d’une éducation la plus primitive, s’est évadé chez de sa famille des serves à l’âge de 15 ans pour rejoindre le front contre les Français en 1915, fut renvoyé chez sa maman. La troisième tentative a réussi et il s’est trouvé engagé dans les combats au proche Orient. Démobilisé, il travaillait comme manœuvre, s’est fait entraîner par la propage délirante dans le parti nazi, se fait remarquer par sa son organisation de l’assassinat d’un simple forgeron opposant dans un village, devient sous-officier de l’S/S pour former une espèce de brigade de la mort, passe du grade de sous-lieutenant à l’officier supérieur, commandant du Camp d’extermination d’Auschwitz.

Sa biographie romancée par Robert Merle ne fait aucune référence à la formation obligatoire des S/S à leur mystique de la paranoïa délirante de l’arianisme dans une haute école spécialisée fondée par Heinrich Himmler, au Château de Wewelsburg en Allemagne, aujourd’hui transformé ne musée éloquent de la moralité l’S/S. « Des surhommes nietzschéens d’une formation psychologiques des élites, des croisés des temps modernes… », les accréditent les néonazis de France, l’Occident, l’Ordre nouveau, le Front national… pour faire impunément l’apologie des crimes contre l’humanité qu’ils comptent de reproduire par la Troisième Guerre mondiale.

 Le psychologue américain INDIQUÉ PAR LE SEUL PRÉNOM GILBERT qui lui a remis des informations sur la mentalité du Sturmbandführer Rodolf Hoess non-plus : Ces vérités historiques connues depuis bien avant 1920 établissent l’instigation de la Deuxième Guerre mondiale par des spéculateurs catholiques comme Joseph Kennedy, le recel des crimes et criminels contre l’humanité de son clan qui a remis à l’I.G. Farben (Hoechst AG), les fortunes mis sous séquestre judiciaire aux États-Unis. I.G. Farben durant la guerre est une des grandes entreprises qui ont financé la mise au pouvoir de 1992 des Nazis pour s’enrichir par des usines directement placés dans le camp d’extermination Auschwitz sous le commandement du Sturmbandführer Rodolf Hoess. De combien d’action dispose le clan Kennedy dans les filiales de l’I.G. Farben ? Une question que j’aurais posée au procès Papon si je n’avais pas été évincé par le crime judiciaire organisé.

Ces vérités historiques occultent l’instigation du Vatican par le Pape PIE XII et son Cardinal du Saint Office, ‑la police secrète de l’Église‑, monseigneur Aloïse Hudal, réconciliant le catholicisme avec le national-socialisme par son traité « Die Grundlagen des Nationalsocialismus.  Ideengeschichte untersuchung ». (Les bases du national-socialisme. Un examen de l’histoire des idées. Réconciliation du catholicisme avec le nazisme). Le Cardinal nazi a dédicacé le livre à Hitler, le nommant « Siegfried », le prince immortel des Nibelungen (base historique du nazisme), mis à musique par les opéras de Wagner, musique sacrée des Nazis, si cher au Cardinal. Plus de précisions apportées à l’ONU sont exposés sur les pages 4 et 14 de les blogs et les plus espoustouflantes sur le blog Dietrich13. WordPress. Com, article Elïna Garanča.

27/03/2016. Doctrine Nazie illégalement dissimulé dans les procès relatifs aux crimes contre l’humanité.

24/01/2017. En matière du procès pénal, est obligatoire sous peine de fraude rendant nulle le jugement, l’enquête sociale sur les auteurs du crime, leur motivation, leur philosophie, leur psychologie ou mentalité et religion, leur entourage. En commando d’action spéciale C***, j’ai été largué sur quatre université de droit pour le faire rapporter au procès Maurice Papon à Bordeaux. Vigoureusement combattus par des actions du grand banditisme du crime organisé, l’accès direct à la justice m’a été verrouillé, si bien que ma rhétorique savante est exposée à l’ONU et aux juridictions nationales et internationale d’une manière fragmentaires, interrompue par des attaques criminelles diligentés par des ministres de l’Intérieur et des Finances, mes blogs sabotées par des cyberattaques.

L’essentiel, le plus important qui est occulté dans les procès des crimes contre l’humanité est leur caractère de croyance sectaire mystique, lié à l’histoire falsifié du sacrée de l’allemand franque Clovis I au cinquième siècle. Depuis ce date-là, l’Église a substitué les Allemands en peule élue par Dieu aux Juifs. L’aristocratie allemande, le glaive et le feu de l’Église sont élevé au rang des « Hommes-Dieux appelé de dominer le monde entier, réduire en leurs serves les populations. L’Action française est une formation de combat politique, le fascisme le partie politique défendant ce crédo basé sur des falsifications historiques par des « paranoïaques » qui par des « délires structurés » et leurs demeurés exaltés ont détruit pour dix-siècles toute la haute culture gréco-romaine, l’Occident réduit à des analphabètes crétinisés. Depuis la révolution française de 1789, depuis la révolution française de 1789, l’aristocratie allemand franque fomente des hautes trahisons pour faire établir en France leur hégémonie des « Hommes-Dieux ».

La partie nazie est la vitrine des sectes dont la plus importante est la Société Thulé dont Hitler a été le gourou noir. Le Pape Pie XII, ses Cardinaux et ses Évêques ont été des fervents soutiens des Nazis, comptaient par la Haute trahison remettre au thon le roi britannique Éduard VIII, Duc de Windsor, ami intime de Hitler, faire de l’Angleterre la base de départ de la domination du monde, et l’extermination des races non germaniques.

Pour le mysticisme de la secte nazie, les ariens du nord de l’Europe sont des peuples origine extra-terrestres. Installé sur le CONTINENT ATLANTIS proche du pôle nord, les ariens auraient dans une période préhistorique apporté à la sous-humanité terrestre toute la culture scientifique. ‑L’ÎLE ATALNTIS engloutie, rapportée par Platon est situé dans la Mer d’Égée, au sud de la Grèce‑. La sous-humanité terrestre sont des espèce hybrides produits par l’accouplement des animaux et des surhommes. Ces sous-hommes dont dangereux même en état pacifique car par leur sexualité ils polluent les races nobles des surhommes. De ce fait, ces homme-animaux doivent être exterminés sans ménagements selon la doctrine nietzschéenne, une compilation de quelques phrases extrait de son œuvre « Ainsi parlait Zarathoustra » concluant « avec le sang et le courage allemande, l’Église a détruit tout ce qui est de noble sur terre ».

 Alors que la philosophie travestie de Nietzsche a été la philosophie officielle des Nazis, dans aucun procès des crimes contre l’humanité, ou de l’apologie des crimes contre l’humanité, la consistance a été divulgué, comme le l’ai rapporté des décennie plus tard aux  juridictions nationales et internationale, pour la simple raison qu’elle établit sans équivoque l’instigation de  la Deuxième Guerre mondiale par la grande finance internationale et l’Église, la réorganisation par eux de la Troisième Guerre mondiale.

Les SS, mentalement conditionnés par une propagande intensive n’avaient jamais la conscience de massacrer des humaines. Dans les mentalités manipulées par la propagande et la consommation intensive de l’amphétamine le plus puissante « Pervitine », comme tout le peuple allemand depuis 1933, se prenaient pour des sauveteurs de l’humanité du parasitage bestiale de l’espèce.

https://docs.google.com/document/d/1KFkBnp4wxnni6Q96rmeaBFkb6JebDXoOe1C-6H7S5wA/edit?usp=sharing&invite=CMDXroAI

Ridiculisés à jamais: Universitaires, juges, procureurs, avocats,  littéraires, politiques <NU

Mis à quia devant l’ONU, les comploteurs de la haute finance organisent les attentats terroristes électoraux qu’ils financent à la manip.

Réplique à Mediapart 2 avril 2016: une soirée pour «Penser ce qui nous arrive»

Pour penser de ce qui nous êtes arrivé, qui nous arrive et nous arrivera, la condition première est de se débarrasser des œillères culturelles, connaître les vérités de l’Histoire qui selon Nietzsche se répètent continuellement et avais déjà pensé que l’Église nous remettra ça, « son sale rêve » de l’anéantissement « de tout ce qui est noble sur terre » par des barbares stupides du genre des Francs du sacré Clovis I, l’idole de Hitler et ses nazis, des cathos intégristes, le Leitmotif des opéras de Wagner de la conflagration apocalyptique de la guerre totale. Or, un roi de France (?) a fait détruire dans la bibliothèque royale tous les ouvres historiques, philosophique et fait réécrire l’histoire par le clergé conforme au mythe de la chevalerie chrétienne, en réalité destructeur de la civilisation gréco-romaine des chrétiens primitifs et eux exterminé avec.

Et aujourd’hui encore dans l’école publique et privés, dans les universités même, ces mythes sont enseignés comme vérités historiques… Si on n’ignore le plus important crime contre l’humanité de l’Histoire par le baptême et le sacré de Clovis I, on ne comprendra jamais rien à l’œuvre maitresse de Nietzsche « Ainsi parlait Zarathoustra », travesti par les Nazis y ironisés pour en faire leur philosophie politique des surhommes ariens dénués de tous scrupules humanistes à l’égard du sous-homme dont il faut purifier la terre par l’extermination en commençant par les juifs, les gaulois en priorité ensuite pour le repeuplement (Himmler) par la race germanique.

Nietzsche fait parler ainsi Zarathoustra pour ironiser l’Histoire des « hommes-dieux fabriqués par le sacrée des barbares mérovingiens du roi Franc Clovis I, accuse Richard Wagner d’avoir plagié pour en faire une sorte de musique religieuse caricaturale des Nazis. « Par le séisme sont révélées des sources neuves. Du séisme des vieux peuples surgissent des sources neuves. […] O mes frères ! Pour tout avenir humain où est donc le plus grand péril ? N’es ce pas chez les gens de bien et chez  les justes ? […] Et quelques dommages que fassent les méchants, le dommage que font les gens du bien est le plus dommageable des dommages. […] Leur bonne conscience tient captif leur esprit. D’une insondable  prudence est la sottise des gens du bien. […]Devenez dur ! […] O mes hommes supérieurs, avec vous je  veux parler à l’allemand et sans ambages : ce n’est vous que j’attendais dans la montagne. (Caricature de l’évêque hérétique de Reims « Remi » qui a fait appel à lui pour exterminer les chrétiens primitifs en 496 ?). […] Mais qui m’appartient ne peut avoir des os robustes et également des pieds légers ‑ être d’attaque pour guerroyer et festoyer… […] Dieu est une pensée qui rend tordu tout ce qui est droit et fait tourner tout ce qui debout se tient. […] les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point. […] Aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres […] la guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour du prochain. […] J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, – il faut savoir aussi qui sabrer ! […]Brisez, me brisez donc le gens du bien et les justes. […]  Rébellion ­‑ c’est distinction des esclaves. Que votre distinction soit d’obéir ! Que votre commandement lui-même soit obéissance ».

Nietzsche Friedrich. « Wagner répète la même chose tant de fois que l’on n’en peut plus, que l’on finit par y croire. Ps 21-22. La scène Wagnérienne n’a besoin qu’une chose : des Teutons… ! Définition du Teuton : de l’obéissance et des bonnes jambes. P.44.  C’est le plus sombre obscurantisme qu’il cache dans les voiles lumineux de l’Idéal, Il flatte tous les instincts nihilistes( bouddhistes) et les travestis en musique, il flatte toute forme de christianisme, toute forme religieuse qui exprime la décadence […] la grande imposture de la transcendance et de l’au-delà, a trouvé dans l’art de Wagner son plus sublime avocat […] en s’adressant à la sensualité, qui a son tour, épuise et brise l’esprit… ». Postscriptum p. 47. Le Cas Wagner, traduction par Jean-Claude Hémery. Œuvres philosophiques complètes. Éditions Gallimard Paris 1974, tome VIII, volume 1.

(Les opéras de Wagner, une musique socialement pathologique qui ont rendu fou Hitler à 16 ans par la mise en musique géniale, accumulent les pires sottises de toutes les superstitions les plus abêtissantes de la sorcellerie, de la magie blanche contre la magie noire, des hérésies chrétiennes du Moyen-âge, des fables stupides des Niebelungen associés aux Chevaliers du Graal, à la lance magique qui a achevé Jésus sur  la croix, des sirènes maléfiques combattus par les preux chevaliers germains pour le salut d’une pure princesse, finissant dans l’apocalypse guerrière du dieu Wotan avec l’au-delà avec  les Walkyries. De la mise en  musique d’un envoutant raffinement de Wagner de la mythologie germanique, la secte Thule en a fabriqué son crédo religieux combiné à la dénaturation de la philosophie de Nietzsche caricaturant le « Surhomme » germanique et l’Église dans œuvre « Ainsi parlait Zarathoustra », sans tenir compte des autres œuvres définissant comme vrais surhommes le pharisiens juifs ayant assuré la cohérence du peuple, et les Arabes en « race de maîtres » pour avoir sauvé de la folie chrétienne destructrice la culture gréco-romaine).

Étant donné qu’en matière pénale, sous peine de nullité pour fraude de la procédure, est obligatoire l’enquête sociale pour la présentation les motivations morales et politiques des criminels aux juges dans l’audience publique. Or, de ma connaissance, dans aucun procès relatif aux crimes contre l’humanité, le doctrine des Nazis ci-dessus résumé n’a été évoqué comme de droit ; car cela aurait mis en évidence la responsabilité du grand capital et de l’Église, eux parfaitement informés avant le déclenchement de la Guerre mondiale avec leur vraie complicité pénale des instigateurs. Échappé de plusieurs assassinats, comptant de la présenter notamment dans l’affaire Papon à Bordeaux et Touvier à Versailles, le régime scélérat a failli de me faire lobotomiser, a même fait voter par le parlement une loi pour la faciliter sans autre forme de procès avec une capture psychiatrique.

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31/03/14. Artifices criminelles d’occultation des responsabilités de la  haute société françaises des crimes contre l’humanité dans le trucage de la poursuite de l’ancien ministre Maurice Papon, secrétaire sous l’occupation nazie à la préfecture de Bordeaux.

Rallonge au ministère public de la contribution à l’enquête sociale obligatoire en matière d’instruction criminelle, enquête sociale supprimée dans  la totalité des escroqueries judiciaires en France, procès relatifs aux simulacres des poursuites des collaborateurs coupable de l’intelligence avec  l’ennemi dans la préparation, exécution et exploitation économique et financiers des crimes contre l’humanité, du recel des magots. Ce qui n’est pas écrit n’existe pas pour la Justice. Essai de résumer l’accumulation des faits et causes de trente ans d’obstructions criminelles de la justice française.

À notre époque 2013, après mes révélations aux historiens allemands de la suppression criminelle lors des tripotages judiciaires à Bordeaux du livre documentaire de l’historien E.R. Carmin « Guru Hitler » avec moi, le commentateur et rapporteur passé sous silence en France, sont poursuivi en Allemagne les derniers survivants exterminateurs de la division Waffen SS « Das Reich », et quelques anciens gardiens subalternes des camps d’extermination en Allemagne retrouvés tout à fait au fond les oubliettes de l’histoire. Or, ces vieillards-là aujourd’hui, à l’époque des crimes leur imputés, ne comptaient guère plus de dix-huit ans, sont plus victimes du conditionnement mental par le matraquage propagandiste dans l’enfance que coupables devenu adolescents savamment formatés en  surhommes ariens missionnés par des fantômes de l’Au-delà à l’épuration raciale des méprisables sous-hommes selon le crédo d’une secte des mystiques frapadingues. Hitler, le « magicien noir » a été le gourou pontife de la secte Société Thule des prétendus surhommes de souche extraterrestre, au-dessus des méprisables lois des nuisibles parasites terrestres : « les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point ». E.R. Carmin, page 4 des blogs.

Voici un aperçu très condensé des non-dits devant les cours de justice en France, usurpant la compétence exclusive des deux Hauts Cours de  justice 1944 et 1958, de ces écœurants galimatias mystiques, ayant formaté les esprits malades des mystiques à des génocides. La société Thulé fondée par un aristocrate obnubilé de la métaphysique des visionnaires désaxés, n’a pris naissance qu’en 1918. Le crédo confus et incohérent de la secte syncrétique est bricolé par un incroyable fouillis des élucubrations glanées dans les superstitions insensées  des sectes et ordres plus anciens. Ces élucubrations biscornues ont été déjà ironisées par Nietzsche en 1881 dans son chef d’œuvre de la philosophique « Ainsi parlait Zarathoustra », analysé sommairement dans la page 4 de mes blogs. Un grand classique de la philosophie parfaitement connue par  le club littéraire française de Charles Maurras et de ses prétentieux compères de l’Académie française : « au porc tout devient porc »,leur propre caricature, par la dénaturation de la lettre et de l’esprit de l’œuvre du grand Nietzsche, exécrant l’occultisme des devins et astrologues, est proclamé idéologie officielle des Nazis. Mais écrit-il : « C’est la bonne guerre qui sanctifie toute cause », même les plus aberrants, atteste l’histoire de l’humanité.

Les idées force de la société Thulé pratiquant toutes les divagations de l’occultisme,  l’astrologie, l’ésotérisme, télépathie et d’autres fariboles de cette veine, sont inspirées d’un amalgame d’anciens mythes scandinaves et tibétaines débiles sur l’origine extra-terrestre de la race aryenne des surhommes blonds aux yeux bleus, immigrant sur la Terre d’une planète gravitant autour d’un « soleil noir ». Les frapadingues de la société Thule croyaient à la venue du Messie de l’Ancien testament, apportant à la race germanique la gloire et une nouvelle culture. Et voici leur tombe du ciel Hitler, magicien noir de l’Ordre nouveau.  La persécution et l’extermination prioritaire des Juifs, bref, est justifiée par l’Évangile de Mathieu 21,43 : la déchéance du peuple chéri, élu de Dieu, aurait été prononcée par l’anathème du doux Jésus agonisant sur la croix. Par les fabulations sur les dernières soupirs du doux Jésus, les mystiques substituent aux Juifs en peuple sacrée, des aryennes blonds, aperçus par ce Sauveur Jésus de la haute de la croix, en vaillants mercenaires des Légions romaines. C’est ainsi les mystiques écrivent l’histoire.

 Auparavant en 1909, l’artiste peintre Hitler, initié par un libraire occultiste de Wien, fut à  l’âge de 20 ans déjà un grand adepte du mysticisme délirant. À l’aide des cocktails de drogues hallucinogènes, du peyotl au Strychnine notamment, l’apprenti sorcier s’imaginait déjà avoir atteint des niveaux de conscience supérieurs pour forger les bases de sa vision future du monde… pour rater sa carrière artistiques… pour atterrir en clochard dans les bouges nauséabonds de la ville.

Comme pour bien des détraqués de cette espèce, engagés volontaires tolérés faut de mieux pour combler le vide les rangs de la chair à canons ayant subis des pertes énormes, la discipline militaire et la souffrance de la guerre les remette à l’aplomb. Invalidée par le gazage de combat, le caporal Hitler s’est fait exercer son art oratoire captieux en tant qu’instructeur politique à l’endoctrinement des bidasses dans un régiment. Juste après la Grande Guerre, a été tôt reconnue par le général Erich Lüdendorf, la magie fatale de l’éloquence électrisant la foule de son petit caporal gringalet Hitler. Lüdendorf, ce plus grand criminel de guerre impénitent et revanchard de la Première Guerre mondiale, auteur du traité stratégique éloquent « La Guerre totale » à réorganiser, n’a jamais été inquiété par la justice.

 Disposant les fonds nécessaires dans l’Allemagne aux finances asséchées, cet éminent stratège employait à ses débuts « la grosse gueule autrichienne » en agent subversif dans des tournés des brasseries et comptoirs des gargotes pour déstabiliser le régime démocratique du gouvernement Weimar avec son slogan « le poignard dans le dos » de l’armée victorieux par des politiciens corrompus. Convaincu des talents du fascinateur des foules de ce rare spécimen de magicien noir, Lüdendorf, le stratège dénué de tout scrupules, a su persuader des financiers de parvenir à ses fins avec une certaine amélioration de la culture primaire de son miracle de caporal délirant et de la rectification de son allemande rudimentaire aux charmantes intonations autrichiennes.

Ainsi, l’histoire officielle avec la justice, en imputant à la magie oratoire seule d’Hitler la responsabilité fatale de la Deuxième Guerre mondiale, mystifie les primordiales influences académiques et littéraires structurant son délire idéologique passablement incohérent. Sont masqués les fournitures des moyens financiers et médiatiques : forces du pouvoir économique des industriels et de la haute finance internationale, forces des financements occultes massifs, œuvrant en coulisse à la couverture judiciaire, diplomatique et journalistique de la liquidation meurtrière de l’opposition, souligne l’historien allemand E.R. Carmin. Jamais la position politique dominante n’eût pu être conquise par le gourou halluciné Hitler avec sa secte des dégénérés de la haute société civile et militaire. Le magicien noir reconnu irresponsable par ses promoteurs, est le pur produit d’une conspiration combinatoire de l’aristocratie de sang et du fric, se servant des artifices des littéraires et journaleux.

Cette providentielle psychose du gourou accueillie en Messie envoyé de Dieu, psychose aux effets morbides de la fascination subjuguant, hypnotisant les hommes-masse, a été parfaitement reconnaissable de la psychiatrie clinique de l’époque, notamment par la psychiatrie légale lors de son incarcération après le putsch manqué de Muniche de 1923, fomenté par le général Lüdendorf. Emprisonné à la prison Landsberg durant 264 jours, sa culture délirante fut structurée par l’intelligentsia nazie : des professeurs d’université, des médecins, écrivains, journaleux, devins…

C’est en prison lui a été enseigné par un professeur d’université la notion « Lebensraum », (espace vitale), dont une race supérieure dispose du droit naturel de conquérir par la force exterminatoire des races inférieurs résidents ; par « l’extirpation » comme des mauvaise herbes surenchérit l’agronome raté Himmler.  « Des créatures ne valant pas plus que celles des poulets », harangue ce Himmler à ses troupes d’exterminateurs assermentés des Waffen SS, dont des français.

 Il est incontestable, en 1924, ces idées directrices du crédo politique des nazis « du nouvel ordre social », sont exposées au monde entier par le best-seller « Mein Kampf », traduit en plusieurs langues. Nos doctes écrivassiers inspirés par le cercle Maurras de l’Académie française, derrière eux les financier, industriels et politiques vendus, ont été suffisamment lucide pour se rendre-compte du désastre humanitaire de leur adhérence à cette doctrine de la folie galopante ou de l’exploitation pour amplifier les marges des bénéficiaires de leurs investissement dans l’industrie de guerre.

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Cependant, ni le crédo de la secte Société Thule, ni le programme politique du parti nazi officialisé sans ambages par la profession de foi d’Hitler « Mein Kampf » a été admissible à  l’époque par le peuple germanique, en majorité des chrétiens croyants, bornés sur les questions de la foi, intolérants à l’égard des drôleries de l’hérésie et dont l’intelligentsia lucide se gaussait ouvertement. Elle regrettait dans les camps de concentration, avant d’expirer, affamés, sous des volées des coups de triques des SS, d’avoir sous-estimé le pouvoir de fascination sur « les pauvres d’esprit » par des habilles mises en scène des médias des délires des fous : les pires des élucubrations  bien présentées sont accréditées. En est une preuve historique éloquente du rejet majoritaire de la fantasmagorie gesticulante du tribun Hitler, le titre complet du ministre du Reich « de l’éducation du peuple » et de la propagande du Dr Josef Goebbels avec sa thèse de doctorat de philosophie  « Sang et Honneur ».

Les savants doctrinaires nazis, éclairés par la philosophie de Nietzsche et les préceptes pervers du damné jésuite Weishaupt, ont réalisé des effets fatals de la scénarisation du délire des fous à lier par des médias sur les esprits crédules du menu peuple allemand de l’époque, notamment par l’utilisation massive des nouvelles procédés de la fabrication de l’opinion publique par la manipulation psychologique: la propagande radiophonique et de la sonorisation électronique tapageuse des lieux publics. À partir de 1933, le matraquage propagandiste de nazification des esprits d’un peuple crédule fut réalisé par la sonorisation des grandes rues des villes.  Par l’assassinat des tribuns contradicteurs de l’opposition totalement liquidée en 1933, l’homme de la rue moyen finissait par prendre comme monnaie courant des élucubrations contagieuses des fous à lier inspirés du « Mein Kampf », bouquin mis bien visible dans sa bibliothèque, si ce n’est que pour se prémunir d’une inspection domiciliaire du Service de Sécurité de  l’SS, suivie de la rééducation musclée dans un camp de concentration.

Dès les années 1924, la grande finance internationale, dont de la France, pourvoyait en fonds secrets ce parti micro-minoritaire des fous à lier, alimente les caisses des propagandistes délirants, de ces mercenaires de la littérature sous la haute direction du Docteur Goebbels, ministre du Reich d’éducation du peuple de propagande et avec les idées assassins de sa thèse universitaire de philosophe « Sang et Honneur » (Blut und Ehre). Graduellement imprégné des idées folles de la magie noire, le peuple allemand, finissait de voir dans Hitler un envoyé providentiel du Ciel, le thaumaturge apte de hausser « les balayeurs de race germaniques en rois » dans le « Lebensraum » conquise par la nouvelle guerre mondiale exterminatrice sous la direction des élites du parti nazi, des surhommes SS « sans cœurs » (Nietzsche) aux uniformes noirs, « portant sur le devant de leurs casquettes l’insigne de la mission que « le Ciel attend d’eux » : la tête de mort. Dans les années 1880, le grand Nietzsche voyait déjà arriver ce désastre, en maudissant la manipulation journalistique d’un peuple bêtement discipliné, « un peuple cavicorne », d’un horizon intellectuel bornée par le journalisme débilitant de l’époque et par la consommation excessive de  la bière. (Le général De Gaulle émit des gentillesses semblables sur son cher peuple des « beaufs » apérophile, se délectant de renifler les miasmes putrides des médias scatologiques).

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Or, par les violences de mon élimination criminelle dans les procédures judiciaires trentenaires contre Maurice Papon à Bordeaux, a été mise en scène la substitution criminelle en témoin à charge, un de ses illustres collègues, ministre au gouvernement gaulliste. Le Baron Olivier Guichard, un jeune homme d’alors, en secrétaire d’un criminel contre l’humanité d’une autre envergure que l’ancien préfet de Bordeaux René Savatier, chef hiérarchique de son zèle secrétaire Papon avec sa manie d’inspecter les graffitis antinazi dans les chiottes de la Préfecture. À l’instar de l’ancien ministre gaulliste tripoteur Papon, le Baron Olivier Guichard, ancien ministre et maire déprédateur des finances de la ville La Baule, a été en même temps justiciable par la Haute Cour de justice 1958.

 Vous pouvez vous dispenser de chercher sur internet la biographie de son glorieux papa, du capitaine de Corvette Louis Guichard. Presque toutes les informations significatives sont nettoyées. Sur Wikipédia le 23 mars 2014, l’illustre officier de carrière de la Marine nationale est diminué en insignifiant homme politique de province, un pétainiste repentie, un de ces nombreux caméléons venant même voler au secours de  la victoire par des actes de résistance de la dernière heure. Par les artifices des mascarades judiciaires, maint de ces traitres criminels s’est retrouvé décoré, tels que Maurice Papon placés au sommet de l’administration et du gouvernement. Comme maint rejeton pistonné du gratin de la magistrature se trouve souvent placé dans la situation personnelle ou familiale similaire, leur sage justice estime toujours innoncents la dissimulation du prestigieux officier supérieur, de son passé du grand capitaine de la Marine, menant les électeurs et justiciables magistralement en bateau en homme politique double, quêteur infatigable des suffrages à l’aide des financements inavouables de ses tromperies.

Ainsi, la magistrature prévaricatrice a rendu possible au noble fiston, de faire redorer le noble blason familial en témoin à charge devant les assise à Bordeaux. À Saint Nazaire en 1994 aussi, a été supprimé mon déclinatoire de compétence au profit de la Haute Cour de justice version 1958 par  la juge d’instruction Mme Gwegola Joly et le ministère public. Le ministre-maire Baron Olivier Guichard du Rotary fut là-bas poursuivie du détournement de plusieurs millions de fonds publics. On comprend le refuse par des juridictions à procéder à l’enquête sociale obligatoire sur son sombre passé durant l’occupation nazie, quand on sait que des constatations, « aussi faible soient les charges », exigeaient ipso facto la saisine « sans délais » de la Haute Cour de justice.

 Or, en même temps, avec l’empressement zèle, ces magistrats assermentés n’ont pas hésité de me diminuer en procédurier par la référence faite aux procédures en Suisse de mon irréprochable père Paul Dietrich, et sans se soucier des objets et causes de ces procédures : un intéressant conflit avec des officiers déserteurs de l’Armée suisse, passé dans la Waffen SS pour revenir au pays sans en être inquiétés. J’ignore si les actes de procédure, si elles existent encore par miracle chez l’avocat de mon père et dans les archives des cours de justice de Winterthur et de Zürich, relatent la tentative d’assassinat par les nazis suisses furieux de mon père avec moi enfant dans l’année 1943, en « excursion d’éducative » sur une embarcation touristique naviguant sur le Rhin.

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Revenons à la culpabilité pénale de l’adolescent d’alors et à leur conditionnement mental par le journalisme ordurier des médias d’alors, dans les mains, en Allemagne comme en France des spéculateurs effrénés de la grande finance ou de l’industrie. En France, un peu moins qu’en Allemagne, les esprits simplistes des hommes de la rue ont été conditionnés à l’acceptation du régime scélérat des nazis par un matraquage médiatique systématique. Insidieusement, des Français ont été conditionnés mentalement à souhaiter la trahison et la collaboration et aux crimes contre l’humanité par les procédés de désinformation et de l’intox. Il suffit de lire les sublimes littéraires stipendiés de l’époque du cercle des promoteurs des « surhommes élitistes » Charles Maurras et Léon Daudet, (soutenus par des fonctionnaires et militaires de haut rang), leur morale rétrograde condamnée par quelques prélats catholiques marginalisés par le Vatican du Pape Pie XI. Ces prélats imputaient à ces mégalomanes pernicieux de l’Action française « vouloir faire rétablir l’esclavage  des imbéciles d’hommes non-lettrés dégénérés » par « l’élite des hommes instruits », car, «  la morale naturelle prêche la seule vertu qui est la force… ». (L’  « Action Française et  le Vatican. Pièces d’un procès. Préface de Charles Maurras et Léon Daudet. Édition Ernest Flamarion 1927). Coopté pour compléter les rangs des illustrissimes membres snobinards, les bousiers de l’Académie française jalouse de ses effluves miasmatiques, à la libération l’Académicien Maurras, l’apologue des crimes contre l’humanité, s’est tiré par condamnation pour intelligence avec l’ennemi à la réclusion criminelle à perpétuité.

Quand on a des poils dans la main et des ménages altérés par l’alcoolisme et la toxicomanie, quand on n’a que la plume acérée pour vivre, on est bien contraint de se débarrasser de tout sens critique, hurler avec la meute des loups du journalisme vénal appointé des magnats des cartels de la finance et de l’industrie, propriétaires omnipotent de  la quasi-totalité des médias en France. Se conformant à leurs vœux, ces scribouillards salonards aux belles plumes préconisant d’en finir avec la République dans le plus pure style du gangstérisme nazi, dressaient l’opinion public contre les juifs, allant jusqu’à leur imputer les sinistres du débordement de la Seine lors des pluies diluviens (sic). Par cette littérature putride des salons de la belle compagnie nantie, des esprits médiocres du régime politique et de l’armée ont été insidieusement   engoués de la haute trahison, rejoignant de gaité de cœur les rangs de la cinquième colonne, dont la « Cagoule ».

Cette organisation clandestine d’action révolutionnaire nationale, dirigée par des littéraires hallucinés, comprenait les grands commis de  l’État, des hauts magistrats de  l’ordre judiciaire et administrative, rejoints des sommités de l’Armée, endoctrinés à la haute trahison par le cercle  littéraire salonard et journalistique des manipulateurs mercenaires accrédités par le faux brillant aveuglant de l’Académie française.

 Une partie des « cagoulards » s’est adhérée au régime de Vichy, formant les sections spéciales des tribunaux sévissant contre les résistants. L’autre partie à rejoint l’Angleterre pour se rendre utile à l’invasion par l’opération combinée « Lion de Mer » avec  la participation de la marine française dans le dessein sacré de hisser de nouveau au trône de l’empire britannique le duc Éduard de Windsor, ami intime de Hitler et adepte de sa secte des hallucinés toxicomanes. L’organisation de la subversion et du sabotage de la défense nationale des cagoulards fut massivement soutenus par le financement des industriels français. Le plus intéressant connu est sans doute l’industriel richissime Schueller de cette société Oréal dont les propriétaires milliardaires ont arrosé aussi l’avocat, le maître fripon Nicolas Sarkozy, derechef miraculé de la justice en faisant casser les reins à la juge d’instruction de Nanterre intègre Isabelle Prévost-Desprez par la Cass.

En France occupée, toute cette bande des écrivassiers mercenaires travaillait les esprits gobe-tout pour les formater à la collaboration militaire et politique du crédo de l’extermination des juifs et les météques, sans que la justice ait sérieusement cherché à la victoire de déraciner les fondements du mal des mystificateurs militants. À peu près seul, Robert Brasillach, le plus illustre d’entre eux, payait pour apaisement de la vindicte publique. Après avoir tiré des bénéfices, comme ses homologues, de sa belle plume captieuse de la subversion de la troisième République, et œuvré à l’appel louangeur au thaumaturge Maréchal Philipe Pétain, sous la direction du ministre du Reich de l’éducation du peuple et de propagande Dr Goebbels, l’habille journaliste couvrait en ex-Union soviétique les exploits assassins de la Légion des Volontaires françaises et de la Waffen SS, réunis ensuite dans la Division SS Charlemagne paradant avec le drapeau de la France.

 Avec leurs belles plumes captieuses, des écrivains journalistes de la farine moisie de Robert Brasillach, travaillait les esprits primitifs des français pour les subjuguer psychologiquement, les excitant de massacrer les résistants français sans égard du sexe ou de l’âge, à s’engager massivement dans la Waffen SS ou dans la Légion des Volontaires français glorifiés pour perpétrer des massacre dépassant largement le massacre en France d’Oradour-sur-Glane. Brasillach est un de rares ensorceleurs des masses qui fut fusillé le 6 février 1945 au fort de Montrouge. De son homologue toxicomane « Céline », miraculé de la justice avec son appréciable fortune après son extradions, de lui ou de ses éditeurs, de ma connaissance aucune victime de sa littérature pernicieux a obtenu réparation par l’allocation judiciaire des dommages et intérêts. Un autre de la pléiade nazie de la littérature capiteuse, après la libération, fut même admis à l’Académie française. Or, ce sont ces prétentieux esprits détraqués, soudoyés des financiers, qui se trouvent, avec eux, à la source même des crimes contre l’humanité des nazis.

Addendum rectificatif. La philosophie politique de Charles Maurras de « l’ordre spirituel, garantie nationalisme intégrale de l’Église catholique romaine », fut condamnée par le Vatican Pie XI et réhabilitée en 1939 du pontificat de Pie XII. Néanmoins, écrivain et journaliste théocrate subversif hors-pair, l’antisémite Maurras, fut un des principaux pères spirituels passionnés de la préparation les esprits salonnards mondains à la haute trahison de la France aux Nazis.

 L’invalide Maurras, dépourvu de toute culture scientifique, peut être défini en génial sophiste mystique, divaguant d’une contradiction à l’autre, critiquant des systèmes politiques par une des raisonnements spécieux et terminologies équivoques pour finir les faire approuver par ses émules ; critique en système « césarien » le système du despotisme mystique de l’Hitlérisme délirant dont il devient un de ses suppôts.

 Pour Maurras, apologue de l’ancien régime monarchique dont le  pouvoir est basé sur l’hérédité d’une successions de bons rois sacrés, « le serf avait sa glèbe et l’esclave sont maître ». Le prolétaire « n’est qu’un sauvage, un vagabonde sans titre », sans scrupules de l’avenir des gens, « appliquant son effort à gagner beaucoup en travaillant peu ». Les juifs, eux, il faut les mettre à bas, parce qu’ils sont montés beaucoup trop haut chez nous.

Le visionnaire morbide prophétise ce qu’il a pu constater déjà en Allemagne par la montée délirant du nazisme dans les années 1923, ce qui s’est produit ensuite en France sous l’Occupation pour se poursuivre dans le régime gaullien en 1958 jusqu’à présent: « l’heure arrivera où les classes ignorantes auront seules les représentants du pouvoir. […] Ce qui est illégitime sera légal, ce qui est antisocial sera à la tête de la société. Les ennemis de  l’ordre public commanderont la force publique. Les brigands occuperont le Ministère de la justice et nommeront la magistrature. Les voleurs auront à leurs ordres la gendarmerie… »  « Rien n’est fini. Et si tout passe, tour revient ».

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S’est manifeste en Autriche, par le Front national patriotique du régime bancal des années 1934/38, avec le symbole de la Croix potencée, le même courant de la philosophie politique rétrograde, réalisait la suppression pacifique des partis politiques, dans le but de restaurer les privilèges aristocratiques, ecclésiastiques et corporatistes de l’ancien régime du Saint Empire germanique. Des plus malins des forces oppositionnelles dissoutes et passés dans l’anonymat, le régime despotique d’Autriche en est infiltré doucettement et manipulé de l’intérieur. À l’annexion au Troisième Reich millénaire,  les cadres de ce régime bizarroïde de la gauche et de la franc-maçonnerie furent déportés manu militari et sans autre forme de procès dans les camps de concentration et exterminés, toutes les tendances confondus. Comme auparavant en Allemagne, de l’extermination de juifs, les Nazis ne se préoccupaient qu’après l’anéantissement des forces politiques de l’opposions germanique.

Le prétendant frustré du saint impérium germanique d’Autriche, le Archiduc Otto von Habsbourg, fut un des célèbres « copains et coquins » du Rotary club du régime des pervers de la France : «Dans cette assemblée de ruffians, d’escrocs de trafiquants et de barbouzes […] on y rencontrait aussi des hommes politiques qui faisaient de la politique pour faire du commerce et tous ceux qui donnaient dans l’espionnage, le renseignement et le trafic d’influence». (Jean Larteguy).

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Extrait des principes de direction politique universellement appliqués du Chanoine jésuite Adam Weishaupt, professeur en droit, principes ici matérialisés: « Le premier secret pour diriger les hommes et d’être maître de l’opinion publique est de semer la discorde, le doute et créer des points de vue opposés, le temps nécessaire pour que les hommes, perdus dans cette confusion, ne s’y retrouveront plus et soient persuadés qu’il est préférable de ne pas avoir d’opinion personnel quand il s’agit des affaires de l’État ».

Repassons au sujet relatif des scribouillards captieux enrichis avant et pendant l’occupation nazie par leurs sponsors friqués pour retenir parmi eux le talentueux jeune homme Robert Hersant. Dans son torchon « Au Pilori », publié sous l’occupation nazie, ce journaleux ambitieux a dénoncé à la Gestapo maints valeureux opposants et résistants française, ainsi que des juifs nantis à plumer. Combien a-t-il fait trucider par sa plume dans les camps de concentration ? Comme bien d’autres de ses congénères, le journaleux Hersant a été épargné d’une condamnation appropriée par la Justice, se voyait accorder des circonstances atténuantes de son jeune âge.

 Un jeune talent pareil de manipulation  journalistique de l’opinion, sacrebleu ! ça se récupère ! Grace à des subventions publics et prêts à fonds perdus, Hersant a réussie de construire un empire de presse, lançait dans l’arène politique jeune avocat Me Jean-Marie Le Pen en leader du parti néo-nazi « Front national ». La presse Hersant fut en premier ligne pour me diminuer à Toulouse par l’escamotage dans ses articles de la rubrique des chiens écrasés, par la dénaturation subtile la vérité des événements exposés à la cour en audience publique. En réalisant la perspective des profits à tirer de la conspiration du silence sur mes interventions congrue dans l’affaire Papon, la presse Hersant aussi a été une de celles qui masquait mon existence par l’inondation des interminables et énormes reportages à ne plus finir des clichés rebattus et recycles. A fait ses preuves, la désinformation par la surinformation du rabâchage ennuyant, trop rébarbatif pour être suivi par les communs des lecteurs écœuré.

Par la magie des injures à mon adresse, combinée à la désinformation, l’intox fut organisé en coulisse mon éloignement des grands procès médiatiques, tripotées aux fins de la propagande politique, tels que celui des massacreurs SS d’Oradour-sur-Glane. En suscitant mon isolement social par d’autres procédés plus criminels encore, ces fabricateurs de l’opinion, (le père Bouygues se targuait même de fabriquer les futurs chefs d’État), ont couvert les crimes de suppression de mes actes de procédures régulièrement et contradictoirement produits dans ces grands procès spectacle. Ces fabricateurs pernicieux de l’opinion de mes proches, m’ont réduit durant plus de vingt ans en solitaire mise à l’index et auquel tout le monde tournait le dos, refusait de lui adresser la parole. Ces fabricateurs pervers de l’opinion ont réussi de stériliser ma science congrue dont pas un maître au palais, même pas mon prof du Droit de l’Académie française, n’osait de controverser de crainte de se faire ridiculiser.

Pour m’éclipser, réduire mes lumières en veilleuse menaçante, sont concerté par les ministères des actions combinatoires dosés selon les besoins de la situation particulière en présence : des harcèlements tout azimut de la Poste même cherchant à l’aide de mon compte mis en sommeil obtenir mon interdiction bancaire ; sous la direction et l’égide de son ministre des Finances, assignées sans contredits devant la Section du contentieux du Conseil d’ État, furent machinés des exactions avec violation de mon domicile du fisc menaçant, produisant illégalement la vidange de mon compte à la Banque Crédit Lyonnaise.

 « Il est une espèce de bonnes gens qu’on appellerait bêtes, mais à qui il ne faut pas le dire, parce qu’on peut tirer quelque avantage de leur sottise »… Extrait des principes de direction politique universellement appliqués du Chanoine jésuite Adam Weishaupt, professeur en droit.

 De son côté, « le juge rouge » Bidalou, instrumentalisé par des ministres de l’Intérieur tels que Pasqua, l’avocat Debré junior… ; des ministres de la Justice tels que Peyrefitte, Chalandon, Toubon, Méhaignerie…  mobilisait contre moi ses troupes des associations de défense des victimes de la Justice. Des abrutis amadoués, fourvoyés, affluant de partout de la France, allant jusqu’à des rassemblements nocturnes de la vindicte de lynche dans ma sphère de vie à la ville La Courneuve, me harcelant par des insultes dans le parc tout au long de mes exercices sportifs du coureur.

 Selon les déclarations du « juge rouge » Bidalou, intervenant dans la procédure correctionnelle contre le général de la Gendarmerie nationale Christian Prouteau, ce dernier aurait fait suivre cette opération criminelle par des écoutes téléphoniques de lui-même et ses groupies, des avocats et des ministres. Le « juge rouge » Bidalou l’a durement ressentie par ma mobilisation à la dernière minute à l’aide des procédés détournés pour anéantir son opération de déstabilisation médiatique du président de la République François Mitterrand en compagnie du malfaiteur, le lieutenant-colonel Yves Chalier, instrumentalisé lui aussi contre moi à Bourges par le ministre de  l’Intérieur Charles Pasqua après l’attribution du fameux « vrai-faux passeport » le conduisant l’ancien officier des services secrets au Brésil dans le giron éducative de la mafia.

 Autant des motifs militants pour l’interruption de délais de prescription et des nullités des actions policières concomitants, des décisions juridiques de toute cette immense masse des procédures truquées, viciées par la fraude collusoire des « fonctionnaires » au sens large du terme du droit pénal : une authentique association de malfaiteurs concertant « en bande organisé » contre les lois et contre l’exécution des lois. Ce sujet est loin d’être épuisé.

 L’opération combinatoire fut interrompue par la mise à sac de mon domicile par les Ripoux dirigés par le ministre d’Intérieur Sarko-les-pots-de-vin, de ma capture, séquestration et tortures me réduisant durant des mois à l’inactivité en état de la semi-hébétude. N’empêche, selon la thèse développée dans mon projet pour le doctorat, « le dommage aléatoire par la perte d’une chance et de la création fautive d’un risque », je n’ai  pas perdu une chance, j’ai perdu un droit ouvrant le droit à la réparation intégrale d’un dommage certain, si bien que l’indemnité due est celle l’activité habituelle : jour et nuit sans désemparer à l’aide d’une mnémotechniques spéciale.

 Sont aussi admis de réclamer en justice la réparation intégrale de leurs préjudices subis par ricochet, des innombrables victimes de la neutralisation de mes actions, de l’assassinat de mon porte-parole, l’ingénieur général Samy Albagli (***), de mon compagnon Louis Baylé dans le Tarn avec maintes autres. Des victimes, il y a un beau paquet… La thèse avortée pour le doctorat au sujet de la responsabilité civile pour création fautive de risques par action ou abstention coupable ayant produit des pertes de droits, ouvre à cette masse des plaignants couillonnés des voies de recours contre une masse de débiteurs du beau monde des profiteurs solvables. Des détails ont été expliqués dans mon précédent exposé.

 La présentation de la thèse pour le doctorat fut déjouée par mes professeurs d’université de droit « Panthéon-Sorbonne », dont un avocat, dignitaire de l’Académie française.  Devant des juridictions statuant manifestement hors-la-loi, le prestigieux notable n’a pas pu résister aux sirènes du fric. Appelé de la partie adverse en défenseur de leur cause pour neutraliser virtuellement son propre enseignement universitaire référencié par moi à la Cour dans les poursuites judiciaires des fraudeurs et corrupteurs des filiales de Bouygues, associées au dernier survivant du gang des proxénètes et truands Zemmour et aux juges de la clique du substitut J.P. Marchi, appointés par la pègre parisienne.

 Si les détenteurs des pouvoirs réels ne m’ont pas carrément éliminé par l’assassinant, c’est que moi, avec ma science amplement documenté, dans les conciliabules de l’arrière-boutique de la politique des couloirs présente une monnaye de échange d’une valeur actuellement difficile à apprécier : décorations, avancements, portefeuilles ministériels, fonctions gouvernementaux, financements occultes des élections, pots-de-vin, blanchissements judiciaires des criminels de la haute…, modification de la loi réprimant l’escroquerie, disparition des dossiers afférant dans le palais de justice de Paris… De nouvelles découvertes et révélations n’ont pas finir de surprendre.

Par une interprétation a fortiori de l’article 7 notamment de la Déclaration des droits de l’homme de 1789, Préambule, (pour combien de temps encore ?) de  l’actuel constitution, tout membre du gouvernement, tout magistrat de l’ordre judiciaire et administrative, tout fonctionnaire est tenu de réparer personnellement les dommages intentionnellement causées aux victimes, dont le contribuable. La substitution légale par le fonds publics aux débiteurs de la responsabilité pénale, viole déjà allégrement le droit fondamental de la République égalitaire.

Tel un cheveu sur la bonne soupe, me voyant arriver télécommandé avec mes gros rangers du juteux para dans leur arrière cuisine judiciaire, sauter  carrément pieds joints dans les plats au beure de la corruption judiciaire omniprésente, les magistrats tripoteurs de Cour de cassation se sont tartiné doucettement une jurisprudence de principe contra-legem : la création d’une l’immunité des crimes des magistrats fraudeurs, escrocs et faussaires, s’ils sévissent en formation collégiale, en raison du secret des délibérations, fabulent-ils sans être controversés. La victime est admis de poursuive au pénal le juge faussaire unique, mais non si les tripatouilles se mettent à trois ou plus dans l’exécution des crimes de forfaiture. « Liberté, Egalite, Fraternité ». C’est logique ? Non ?

Or, la collégialité des formations des jugements est une disposition légale protectrice des justiciables contre les forfaitures, et certainement pas une disposition protectrice insensée des magistrats prévaricateurs contre les plaignants des crimes manifestes. Cette grotesque disposition de la jurisprudence de principe, viole visiblement le sacro-saint principe républicain, garantie par le droit constitutionnel, de l’égalité des citoyens devant la loi et de la justice. C’est la raison pour laquelle, l’immunité pénale légale ne protège exceptionnellement que le Chef d’État durant l’exercice de ses fonctions. L’égalité des citoyens devant la loi exige qu’à ces magistrats aussi s’applique les circonstances aggravantes du droit commun des crimes perpétrés collégialement, « en bande organisé », et, des circonstances encore bien plus aggravantes par des  « fonctionnaires coalisés concertant contre les lois et contre l’exécution des lois ». Dans un État de droit, il devrait être risible pour un juriste digne de ce nom, de voir apparaître une immunité jurisprudentielle de principe pondue des magistrats accusés des forfaitures criminelles notoires, une immunité contra legem pour forte que celle de la Constitution accordée au Président de la République.

Extrait des principes de direction politique universellement appliqués du Chanoine jésuite Adam Weishaupt, professeur en droit, principes ici matérialisés: « Il faudra choisir les futurs chefs d’État parmi ceux qui sont serviles et soumis inconditionnellement aux Illuminés et aussi parmi ceux dont le passé est entaché d’un coin de secret. […] Ainsi, il sera possible aux Illuminés de contourner les lois et de modifier les constitutions ».

Ainsi baves citoyens éblouis, ne comptez surtout pas sur les fantoches du Conseil constitutionnel pour faire respecter vos droits fondamentaux de  la République. Preuve, jamais a été examiné cette évidence d’ordre publique ci-dessus exposée. Les érudits « Bouffons de la République » préférèrent de loin se livrer aux crimes de suppression des actes de procédure explicatifs, falsifier les décisions en niant l’existence de ces actes régulièrement présentés, ou, par des crimes de faux en écriture authentique par omission gardant la silence sur le contenu auquel la loi les oblige de répondre.

Comment voulez-vous faire respecter vos droits par cette juridiction, gardienne du droit constitutionnel, peuplée des canailles et de leurs obligés ? Comment voulez-vous faire préserver vos droits fondamentaux par les plus caricaturaux violeurs de la légalité, usurpateurs des fonctions publiques à l’aide du crime organisé ? Comment voulez-vous  obtenir justice des malfaiteurs ostentatoires, pour la plupart miraculés naguère par la Haute Cour de justice, sabordée de cette canaille de la haute pour éviter d’en être poursuivie, jugé et condamné ? Auriez-vous espéré la fermeture de leurs prospères bordels clandestins par les proxénètes du gang Zemmour eux-mêmes ? (*) Le Conseil constitutionnel, cette Cour des miraculés est enrichie par le miracle Sarko-les-pots-vins, fanfaronnant en ce moment sur tous les médias sa victoire aux victimes abattues du complot judiciaire de sa coterie des conjurés scélérats contre les droits fondamentaux de la France.

 (*) Le recel des produits du proxénétisme est incriminé comme le proxénétisme lui-même, mais jamais appliqué, comme de droit, aux sources polluées du financement politique, non plus à la corruption des juges.

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Par l’active contribution propagandiste aux élections des victimes estampées de la Justice, un nouveau grand capitaine menant les français en bateau est placé aux commandes de la barre du système en dérive. N’empêche, le mièvre tribun bonasse ayant mystifié la foule, est forcé faire montre de beaucoup-beaucoup de doigté, souplesses et connivences. Sa rombière de salonarde attifée ambitionne se faire coopter à l’Académie française avec ses tristes navets par sa fripouille escroc des faussaires et trafiquants : du gibier de potence de la jaquette verte, enjolivé des broderies argentés, malfrats notoires aux belles manières, justiciables par cette Haute Cour de justice dont la mise en mouvement de l’action ils ont subrepticement paralysée par les machinations du crime organisé dans toutes ses cas de figure.

Le feu négrier Alain Peyrefitte, en ministre de justice, n’a-t-il pas fait endiguer le cours normal de la justice en éliminant dans mes voies jusqu’à la cass, par les crimes de suppression des actes de procédures et faux en écriture publique la présentation des documents édifiants, tels que le fameux livre documentaire de 1973 : DOSSIER D COMME DROGUE, LE MILIEU ET LA POLITIQUE, LES GROS BONNETS, LES FINANCES ET LES FILIÈRES EN FRANCE. (Edition Alain Moreau). Les journaleux du torchon LIBÉRATION ont prêté main fort à ce négrier de l’Académie française, pour faire occulter le complot criminel justiciable de la Haute Cour de justice d’un des plus illustres académiciens stigmate dans les pages édifiantes du livre ci-dessus : Michel Debré du Rotary, le commandant en ministre de Défense et ensuite Premier ministre de l’organisation et des opérations de la tristement célèbre « French connexion » du trafic de drogue par tonnes.

 Alors qu’un de ses braves colonels des services secrets de l’armée, de la S.D.E.C.D., s’est fait pincer aux État unis en service commandé avec sa camionnette bourré d’héroïne de qualité des chimistes marseillais, pourrit dans ces geôles là-bas, grâce aux bonnes offices de la magistrature française, le Caïd Debré a réussi d’éliminer du partage du magot planqué en Suisse par le trucide de trois de ses ministres initiés : Boulin, franc-maçon de la G.L.M.F., D’Ornano du Rotary, Fontanet… L’affaire Boulin, ô ironie du sort ! encore une autre rocambolesque affaire soustraite de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice par l’empêchement de mon intervention congrue. Les turpitudes traitresses de l’avocat félon des victimes y ont beaucoup contribuées : Me Jacques Verges, starisé par les médias en appât-gogos, mon propre avocat marchandant ma science au milieu associé au Rotary.

L’autre intouchable malfrat comploteur de l’Académie français, justiciable alors de Haute Cour de justice, est le sublime littérateur et journaliste Michel Droit, « la fine fleur de la pègre française avec tout le clan Zemmour et les barbouzes de Pasqua », rapporte AGORA VOX, le média citoyen du 26 mars 214. Par ses poursuites judiciaires tripotées, est arrivé l’heure de gloire « des Bouffons de la République ». La gloire des superbes Bouffons s’est surtout manifestée dans l’affaire Cogedim à Paris et à Créteil dans l’affaire des « fausses factures de l’île de France », associant l’ancien comptable Choukroum du gang Zemmour aux sociétés arroseurs des principaux hommes politiques vendus en vue de la région. Le substitut auprès de la Cour d’appel  J.P. Marchi et des magistrats de la cour de Paris appointés par le  milieu parisien, avec toute cette bonne compagnie politique délinquante du gratin parisien, sont soustrait frauduleusement des poursuites de la Haute Cour de justice à l’aide des crimes magistraux de la suppression de mes actes de procédures en présence subornatrice du « juge rouge » Bidalou. Simultanément, la procédure régulière d’un juge d’instruction irréductible de Paris sur les crimes de ces magistrats soudoyés de la bande Marchi est anéantie d’une l’annulation de complaisance à l’aide de la récupération grotesque par le président Christian Le Gunehec de mes constructions juridique aussi escamotées dans l’affaire des fausses factures de Bouygues et compagnie dans l’Île-de-France.

 L’artiste de toutes les forfaitures à la Chambre criminel de la Cass est le président Christian Le Gunehec, futur président de la Cour fantoche de Justice de la République, d’une création d’une caricaturale illégalité par ceux ci-dessus miraculés des poursuites de la feue Haute Cour de justice. La C.J.R. remplace la Haute Cour de justice sabordée, devant laquelle les comploteurs de la magistrature ont été justiciables avec la pègre de haut et bas étage. La réduction de sa compétence juridictionnelle de la C.J.R., n’autorisait plus la poursuite des complices du complot criminel contre la sûreté de l’État des membres du gouvernement, leurs grands commis de l’État tous associés au spectacle de l’audience public à la pègre la plus infâme du type des truands du gang Zemmour. Dormez tranquille, la science du juriste Dietrich est mortifiée.

 Du littéraire salonard et journaliste Michel Droit de l’Académie français, de l’escroc minaudier de toutes les turpitudes du favoritisme et corruption pour faire passer subrepticement les médias dans les mains des fricoteurs droitiers, retenons un seul de ses hauts faits dans la Commission nationale de la Communication et des Libertés (CNCL), fortement marqué à droite avec un parfume antisémite. En 1986,  la belle plume participa à  l’attribution à l’escroc immobilier de premier plan Bouygues, un autre miraculé de la Haute Cour de justice, la télévision publique privatisée TF 1 pour le montant de 4,5 milliards de francs. Encore des procédures desquels je fus éloignée avec ma science congrue par des assassinats judiciaires, fiscales, psychiatriques, policières, machinations combinées au sommet du pouvoir politique sur commande des empereurs des finances et de l’industrie, rejoints par le bétonneur interlope Bouygues. En raison de la paralysie des institutions judiciaires, de l’arriviste dénué de tous scrupules, le clan est érigé en inexpugnables empereurs des médias et de la télécommunication. Des désintégrations nationales qui se sont ensuivies de mon élimination au Mans des procédures sabotées des preux juges de la clique subversive du juge d’instruction Thierry Jean-Pierre avec leur cher « juge rouge » Bidalou, voire l’amorce de la catastrophe nationale : Pean P. et Nick CH. « T.F. 1, Un Pouvoir. Ed. Fayard 1997.

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Le Baron Olivier Guichard aussi doit une fière chandelle à l’empereur Bouygues de l’empire des médias, en concert avec  l’empire de la presse Hersant. Car, si la justice héroïque de la dernière heure se prend à des anciens gamins allemands endocrines, victimes du lavage de cerveaux méthodique par les médias des empereurs internationaux de finance et de l’industrie, comment refuser aux victimes français des crimes contre l’humanité, la mise en cause du jeune Baron Olivier Guichard ? Le psychisme des  gamins allemands dans la Waffen SS a été rétréci par une discipline militaire de fer de l’obéissance inconditionnellement partisane aux dogmes nazis.

 Mais le gamin d’alors, le nobliau Guichard, lui choyé dans le coton aristocratique d’un richard, ne peut certainement pas se  prévaloir de cette circonstance atténuant de la responsabilité pénale. Or, si les vérités historiques sont enfin prises en considération sur la haute trahison de la France par sa haute société des finances et de l’aristocratie, Guichard aussi, à l’instar de Papon, a été un secrétaire complice d’un criminel contre l’humanité d’un bien autre envergure que ceux récemment tenaillés par la justice française. Mais dans les placards de la justice et archives de l’armée, sont enterrés des exemples bien plus révoltants, car le capitaine de corvette Guichard n’a été qu’une courroie de transmission subalterne entre le commandement allemand et celui des oubliés de l’état-major de la Marine nationale.

Demeurent toujours sans répliques admissibles, mes exposés contradictoires au sujet sur la culpabilité pénale du papa Guichard et de son fiston secrétaire en complice des crimes contre l’humanité. A été détaillé jusqu’à l’Assemble plénière de la Cour de cassation et au Conseil d’État, le sujet sur la culpabilité pénale du papa Guichard dans le cadre de  la fameuse opération combinée Seelöwe, (traduction sensée « Lion de Mer » et non « Otarie »), de la marine nationale avec la marine de guerre allemande, trop faible pour affronter la Royal Navy britannique.

 À l’époque, la puissance de la marine française été la 4° du Monde. La collaboration française avec les nazis et les fachos visait de remettre sur le trône de l’empire britannique l’ancien roi Éduard VIII, destitué. Ce grand ami intime de Hitler et adepte de sa secte des « surhommes ariens », jurait à son Gourou la destruction de fond en comble la France, à l’instar des hordes barbares sous le commandement de Clovis I sacrée, anéantir, comme son supposé ancêtre, « tout ce qui a de noble sur terre », selon l’expression de Nietzsche. Le « Leitmotif » du couple infernal, en l’espèce leur « motif de conduite » de leur concert, est le leitmotif de la  apocalyptique conflagration de la guerre totale, scénarisée par des opéras  de Wagner. Cette musique sacrée et extatique des Nazis, plongeant Hitler dans un état second.

 Si les victimes d’Oradour-sur-Glane sont admis de poursuivre des gamins d’alors, hypnotisés par la magie noire phénoménale du Gourou Hitler, à plus fort raison, une Justice égalitaire et équitable doit se pencher de prime abord sur la responsabilité pénale de ceux qui ont œuvrés à la racine de l’évolution maléfique du cataclysme guerrier de la Deuxième Guerre mondiale, de leurs motivations profondes. Pour la motivation et les mobiles des mystiques hallucinés, pas de problèmes, non plus pour les spéculateurs disposés de faire immoler par des fous à lier quelques millions d’humains sur l’autel de leurs ambitions démesurés de réaliser des superprofits par le double jeu.

En ce qui concerne les aristocrates et ecclésiastiques de l’intégrisme catholiques, la motivation morbide se place dans le domaine rétrograde de la restauration de leurs privilèges des anciens régimes impériaux ou royaux, le régime absolutiste du « Sabre et du Goupillon ». Pour cette frange obnubilée de la haute société, est blasphématoire l’idéologie de la république d’une démocratie égalitaire, l’accès égalitaire de la rase maudite des juifs à toutes les activités culturels, économiques et politiques. Depuis le sacrée de Clovis I, la race germanique a été substitué en peuple élu par Dieu à la race juive par les sortilèges meurtrières du Vatican. La fantasmagorie délirante des nazies n’en est qu’une pâle imitation. Aussi dingue cette affirmation puisse paraitre aux contemporains tenus dans l’ignorance, ce crédo insensé des mystificateurs est pourtant toujours d’actualité dans les cercles discrets. Ces dogmes d’arrière-fond culturel et politique déterminent la motivation profonde des aristocrates et prélats, voyant eux aussi en Hitler l’envoyé de Dieu chargé de rétablir l’ordre des ancêtres sur des hécatombes des procédés d’exterminateurs ayant si bien réussis à Clovis I, chef de guerre idolâtré des hordes des barbares cannibales d’outre-Rhin.

Ainsi recadré la philosophie politique historique, les aristocrates allemands, britanniques, français… collaboraient par conviction innée au loufoque œuvre céleste de Hitler (Mein Kampf). Le père, du capitaine de Corvette Baron Louis Guichard, fringant officier de carrière, c’est enrichi par l’adoption par le mariage dans les familles richissimes de la Région où il est ratatiné en un homme politique de seconde zone. Tout en continuant sa prometteuse carrière d’officier supérieur de  la Marine nationale, à l’invasion allemande de la France, il s’est replié avec son unité en Angleterre. Faisant fi à l’appel du général De Gaule, il rentre France. Après avoir participé à l’appel du Maréchal Pétain en thaumaturge à la Présidence de ce qui restait de la République, le Baron Olivier Guichard, en capitaine de corvette reprit des services militaires, assisté comme secrétaire particulier de son fils Olivier à déniaiser. Jusqu’à la destruction de la flotte française à Mers-el-Kebir par la Royal Navy sur ordre de Churchill informé de la haute trahison britannique et française, le capitaine de corvette œuvrait en officier zèle de liaison entre le haut commandement de la Marine française et celui de la Marine de Guerre allemande. En raison de l’assermentation de Churchill et ses agents du MI 5 et MI 6 à la royauté britannique, et, des désastreuses conséquences psychologues sur l’Armée d’une divulgation de ces faits historiques inavouables, les autorités hantées procédèrent à l’enterrement sans cérémonie dans l’oubliette des bas-fonds du donjon monarchique, en France dans les placards verrouillés à double tour.

Redevenu disponible, le Baron Louis Guichard, capitaine de corvette et son secrétaire Baron Olivier Guichard rentrent dans le cabinet de l’Amiral François Darlan, ministre des affaires civiles, qui englobent naturellement les juteuses affaires juives du gouvernement de Vichy. À ma connaissance, le but de sa pérégrination pernicieuse dans la France occupée accompagné de son jeune secrétaire Olivier n’a jamais été élucidé, ni par la justice lui infligeant juste une éphémère dégradation civique, ni par les historiens peu curieuses. Le capitaine de corvette Baron Guichard, refusant de rejoindre l’Amiral Darlan en fuite à Alger, continue sa mission secrète, probablement jusqu’au jour où elle est devenue inutile. Son fils est planqué lors de la libération sur une péniche du Rhin pour le soustraire de la vindicte des résistants. Il est encore impossible de savoir dans quel mesure le traitre Guichard a aussi fonctionné comme officier de liaison avec les forces d’occupation pour faire empêcher la  flotte française la rejoindre à Alger les forces de la France libre selon les injonctions de l’Amiral Darlan, fermer aux bâtiments le port militaire Bizerte en Tunisie, pour finir la faire saborder dans la rade de Toulon par l’explosion démesurée, ravageant une partie de la ville,  au lieu, à la rigueur pour la préserver à la France, faire simplement couler en silence les bâtiments par l’immersion.

Mais la voile jeté sur ces événements historiques de la haute trahison combinée des états-majors britannique et française dans le but de remettre sur le trône le roi d’Angleterre Éduard VIII dérangé par des drogues du Dallai Lama et des charmes de son irrésistible épouse Willis Simpson, agent d’espionnage et hétaire de manipulation des services secrets de l’armée des États-Unis. Avec des convictions nazies bien arrêtée, l’enjôleuse expérimentée fut rodée à la séduction dans des bordels de luxe de Hong Kong et du Caire. La criminalité de mon élimination avec mes argumentaires des procédures judiciaire en France et des cours de justice de l’Europe, la paralysie criminelle de mes études et de mes recherches durant des années, démontrent que l’histoire militaire et politique officiel de la Deuxième Guerre mondiale reste à revoir.

Quoi qu’il en soit, si on se prend à l’SNCF et aux adolescents allemands, victimes du matraquage psychologique des médias déchaînés par des mystiques fous à lier, alors il est inéquitable de la part  de la justice française d’ignorer le degré de responsabilité de la complicité aux crimes contre l’humanité par conviction Guichard de la caste d’aristocrates. Il est franchement criminelle l’escroquerie constant de le faire défiler devant les assise de Bordeaux comme témoin à charge Baron Guichard, cet échantillon grotesque de la caste d’aristocrates, au lieu et à la place  du juriste contestataire avisé Dietrich avec ses exposés congrus, plus ou moins dirigés en coulisse par des barbouzes de la Muette.

 En éliminant ce méchant Dietrich des procédures d’importance telles que Papon par le crime organisé, privant subrepticement ce juriste avisé de ces moyens financiers, de sa liberté de déplacement et de sa réputation par des injures journalistiques, fut déjoué ses interventions dans des procédures connexes et indivisibles. En ont aussi fait les frais les plaignants des massacres d’Oradour-sur-Glane par les Waffen SS. Il fut déjoué le rappelle aux juges du remplacement sur le théâtre opérationnel à l’Est des exterminateurs de la Waffen SS allemand par les Waffen SS français, de répéter l’introduction dans la procédure le livre documentaire de E.R. Carmin « Guru Hitler » : la démonstration complémentaire de l’entière responsabilité française.

Commentaires fermés sur Artifices criminelles d’occultation des responsabilités de la haute société françaises des crimes contre l’humanité .

Massacre nazi à Oradour-sur-Glane: Dissertation récapitulative inachevée pour la démystification des justiciables.


Les idées folles se prennent comme les maladies et celui qui en attrape une, les attrape généralement toutes. » Nietzsche.

27/03/2016. Doctrine Nazie illégalement dissimulé dans les procès relatifs aux crimes contre l’humanité avec l’Académie française.

Le véritable surhomme de Nietzsche par Zarathoustra :  « La vérité qui ne s’insinue qu’en des fines oreilles, (les mouches de la place publique, la populace), il la nomme mensonge et néant. En vérité, qu’il n’a foi qu’en des dieux qui dans le monde mènent grand tapage. […]  À l’écart de la place publique et de la renommée se fait tout grand œuvre ; à l’écart de la place publique toujours vécurent ceux qui inventent des nouvelles valeurs. […] Oh mon ami, fuis dans ta solitude ; des mouches venimeuses je te vois assaillie. […] Que rien en conte, ne rien vous endoctrine. […] Vous les hommes supérieurs, voici ma leçon : sur la place publique personne n’accorde créance aux hommes supérieurs. […]  Vous les hommes supérieurs, fuyez la place publique !».

27/01/2017. Le roman historique de Rober MERLE « LA MORT EST MON METIER », est un intéressant exemple de la façon par laquelle l’histoire est falsifiée par la justice avec le recours à des talentueux écrivains de bonne volonté. En 1978, j’ai été par hasard attiré par ce livre, à la recherche de la bibliographie de mon professeur en droit et procédure pénale, l’avocat et professeur d’université de Toulouse Roger Merle. Sa doctrine avec son professeur associé André Vitu faisait autorité en matière de la compétence légale des juridictions pénales est rapportée à la page 1 de mes blogs. Psychologiquement hyper-profilé par des meilleurs spécialistes des parties adverses pour prévoir mes réactions, mes projets dirigés par les services spéciaux de l’armée ont été savamment analysés et déjoués par l’arrestations illégale et la mise en fuite.

Ainsi, les comploteurs contre la sûreté de l’État ont déjoué mon intervention avec la doctrine Merle et Vitu auprès du juge d’instructions Pierre Michel à Marseille pour faire envoyer par lui toute cette association de malfaiteurs du Service d’Action Civique, et les membres du gouvernement qui les dirigent, devant la Haute Cour de Justice. Relégué dans une niche de chiens dans la région parisienne où je fus déporté par les amis du « juge rouge » Jacques Bidalou, j’ai été empêché de perturber la mascarade de la Commission d’enquête parlementaire saisie frauduleusement de l’affaire, au lieu et la place de l’audience publique devant le Parlement de la procédure préliminaire du renvoi devant la Haute Cour de justice.

 L’examen rétrospective de l’évolution de la guerre judiciaire et psychologique démontre sans équivoque que les assassinats du juge Pierre Michel et la Tuerie d’Auriol avec les victimes fourvoyées par l’avocat félon Gilbert Collard, ont été motivés par le risque de mon apparition dans la procédure pénale à Marseille avec mon déclinatoire de compétence au profit exclusive de la Haute Cour de Justice. Les comploteurs contre la sûreté de l’État m’ont fait séquestrer auprès de Bordeaux pour que j’apprenne à cette gente judiciaire incompétente la doctrine Merle et Vitu qu’ils finissaient d’appliquer à tort et à travers pour annuler l’affaire Papon, sauver des poursuites judiciaires les plus dangereux criminels contre l’humanité, enrichis sans vergogne et parés de plus hautes distinctions honorifiques.

Mais par la même manipulation criminelle, moi aussi j’ai été branché sur l’affaire Papon. Évadé de la forteresse psychiatrique de Cadillac, je m’y suis constitué partie civile intervenant pour donner à ces escrocs judiciaires quelques leçons sur l’histoire falsifiée en me servant aussi du livre de Robert Merle LA MORT EST MON METIER, édité en 1952 par les éditions Gallimard. Robert Merle a écrit son roman historique en se basant sur l’expertise de la psychiatrie légale, auteur INDIQUÉ PAR LE SEUL PRÉNOM GILBERT, effectuée lors du procès de Nuremberg sur l’officier supérieur de S/S Rodolf Hoess, commandant du Camp d’Extermination d’Auschwitz. Mais le psychologue américain n’a lui a pas dû communiquer tout le dossier, car l’aspect le plus significatif de la vie et de la mentalité de cet officier supérieur de l’S/S est sciemment occulté : la machination de la manipulation psychologique par la propagande des délires structurés des paranoïaques pour transformer des demeurés en tueurs de masse exaltés, par des exercices spirituels hallucinantes, des dogues euphorisantes et hallucinogènes dont les Nazis ont été des grands addicts, y compris Hitler, Himmler, Goering etc. (Notons que le tueur de masse à Oslo Andreas Breivik de l’extrême droit nazie, né 13 février 1979, a adopté le profil identique des drogués SS et est comme Herman Goering le numéro trois du régime, a fait ses débuts à la Franc-maçonnerie nous relève seulement son expertise psychologique fait au procès de Nuremberg).

Contrairement à ce que la jurisprudence truquée et les historiens faussaires cherchent à accroire au public, le nazisme n’est pas une simple partie politique. C’est la vitrine de la religion sectaire de l’arianisme de la Société Thulé des surhommes nietzschéenne d’origine extraterrestre ; religion sectaire qui a un crédo et la doctrine de la conflagration apocalyptique de la guerre totale conduisant à la purification de leur rase noble par l’extermination des sous-hommes hybridés par l’accouplement des animaux et des surhommes. Le jeune catholique Rodolf Hoess, d’une éducation la plus primitive, s’est évadé chez de sa famille des serves à l’âge de 15 ans pour rejoindre le front contre les Français en 1915, fut renvoyé chez sa maman. La troisième tentative a réussi et il s’est trouvé engagé dans les combats au proche Orient. Démobilisé, il travaillait comme manœuvre, s’est fait entraîner par la propage délirante dans le parti nazi, se fait remarquer par sa son organisation de l’assassinat d’un simple forgeron opposant dans un village, devient sous-officier de l’S/S pour former une espèce de brigade de la mort, passe du grade de sous-lieutenant à l’officier supérieur, commandant du Camp d’extermination d’Auschwitz.

Sa biographie romancée par Robert Merle ne fait aucune référence à la formation obligatoire des S/S à leur mystique de la paranoïa délirante de l’arianisme dans une haute école spécialisée fondée par Heinrich Himmler, au Château de Wewelsburg en Allemagne, aujourd’hui transformé ne musée éloquent de la moralité l’S/S. « Des surhommes nietzschéens d’une formation psychologiques des élites, des croisés des temps modernes… », les accréditent les néonazis de France, l’Occident, l’Ordre nouveau, le Front national… pour faire impunément l’apologie des crimes contre l’humanité qu’ils comptent de reproduire par la Troisième Guerre mondiale.

 Le psychologue américain INDIQUÉ PAR LE SEUL PRÉNOM GILBERT qui lui a remis des informations sur la mentalité du Sturmbandführer Rodolf Hoess non-plus : Ces vérités historiques connues depuis bien avant 1920 établissent l’instigation de la Deuxième Guerre mondiale par des spéculateurs catholiques comme Joseph Kennedy, le recel des crimes et criminels contre l’humanité de son clan qui a remis à l’I.G. Farben (Hoechst AG), les fortunes mis sous séquestre judiciaire aux États-Unis. I.G. Farben durant la guerre est une des grandes entreprises qui ont financé la mise au pouvoir de 1992 des Nazis pour s’enrichir par des usines directement placées dans le camp d’extermination Auschwitz sous le commandement du Sturmbandführer Rodolf Hoess. De combien d’action dispose le clan Kennedy dans les filiales de l’I.G. Farben? Une question que j’aurais posée au procès Papon si je n’avais pas été évincé par le crime judiciaire organisé.

Ces vérités historiques occultent l’instigation du Vatican par le Pape PIE XII et son Cardinal du Saint Office, ‑la police secrète de l’Église‑, monseigneur Aloïse Hudal, réconciliant le catholicisme avec le national-socialisme par son traité « Die Grundlagen des Nationalsocialismus.  Ideengeschichte untersuchung ». (Les bases du national-socialisme. Un examen de l’histoire des idées. Réconciliation du catholicisme avec le nazisme). Le Cardinal nazi a dédicacé le livre à Hitler, le nommant « Siegfried », le prince immortel des Nibelungen (base historique du nazisme), mis à musique par les opéras de Wagner, musique sacrée des Nazis, si cher au Cardinal. Plus de précisions apportées à l’ONU sont exposés sur les pages 4 et 14 de les blogs et les plus époustouflantes sur le blog Dietrich13. WordPress. Com, article Elina Garanča.

24/01/2017. En matière du procès pénal, est obligatoire sous peine de fraude rendant nulle le jugement, l’enquête sociale sur les auteurs du crime, leur motivation, leur philosophie, leur psychologie ou mentalité et religion, leur entourage. En commando d’action spéciale C***, j’ai été largué sur quatre université de droit pour le faire rapporter au procès Maurice Papon à Bordeaux. Vigoureusement combattus par des actions du grand banditisme du crime organisé, l’accès direct à la justice m’a été verrouillé, si bien que ma rhétorique savante est exposée à l’ONU et aux juridictions nationales et internationale d’une manière fragmentaire, interrompue par des attaques criminelles diligentés par des ministres de l’Intérieur et des Finances, mes blogs sabotées par des cyberattaques.

L’essentiel, le plus important qui est occulté dans les procès des crimes contre l’humanité est leur caractère de croyance sectaire mystique, lié à l’histoire falsifié du sacrée de l’allemand franque Clovis I au cinquième siècle. Depuis ce date-là, l’Église a substitué les Allemands en peule élue par Dieu aux Juifs. L’aristocratie allemande, le glaive et le feu de l’Église sont élevé au rang des « Hommes-Dieux appelé de dominer le monde entier, réduire en leurs serves les populations. L’Action française est une formation de combat politique, le fascisme le partie politique défendant ce crédo basé sur des falsifications historiques par des « paranoïaques » qui par des « délires structurés » et leurs demeurés exaltés ont détruit pour dix-siècles toute la haute culture gréco-romaine, l’Occident réduit à des analphabètes crétinisés. Depuis la révolution française de 1789, depuis la révolution française de 1789, l’aristocratie allemand franque fomente des hautes trahisons pour faire établir en France leur hégémonie des « Hommes-Dieux ».

La partie nazie est la vitrine des sectes dont la plus importante est la Société Thulé dont Hitler a été le gourou noir. Le Pape Pie XII, ses Cardinaux et ses Évêques ont été des fervents soutiens des Nazis, comptaient par la Haute trahison remettre au thon le roi britannique Éduard VIII, Duc de Windsor, ami intime de Hitler, faire de l’Angleterre la base de départ de la domination du monde, et l’extermination des races non germaniques.

Pour le mysticisme de la secte nazie, les ariens du nord de l’Europe sont des peuples origine extra-terrestres. Installé sur le CONTINENT ATLANTIS proche du pôle Nord, les ariens auraient dans une période préhistorique apporté à la sous-humanité terrestre toute la culture scientifique. ‑L’ÎLE ATALNTIS engloutie, rapportée par Platon est situé dans la Mer d’Égée, au sud de la Grèce‑. La sous-humanité terrestre sont des espèce hybrides produits par l’accouplement des animaux et des surhommes. Ces sous-hommes dont dangereux même en état pacifique car par leur sexualité ils polluent les races nobles des surhommes. De ce fait, ces homme-animaux doivent être exterminés sans ménagements selon la doctrine nietzschéenne, une compilation de quelques phrases extrait de son œuvre « Ainsi parlait Zarathoustra » concluant « avec le sang et le courage allemande, l’Église a détruit tout ce qui est de noble sur terre ».

 Alors que la philosophie travestie de Nietzsche a été la philosophie officielle des Nazis, dans aucun procès des crimes contre l’humanité, ou de l’apologie des crimes contre l’humanité, la consistance a été divulgué, comme le l’ai rapporté des décennie plus tard aux  juridictions nationales et internationale, pour la simple raison qu’elle établit sans équivoque l’instigation de  la Deuxième Guerre mondiale par la grande finance internationale et l’Église, la réorganisation par eux de la Troisième Guerre mondiale.

Les SS, mentalement conditionnés par une propagande intensive n’avaient jamais la conscience de massacrer des humains. Dans les mentalités manipulées par la propagande et la consommation intensive de l’amphétamine le plus puissante « Pervitine », comme tout le peuple allemand depuis 1933, se prenaient pour des sauveteurs de l’humanité du parasitage bestiale de l’espèce.

https://docs.google.com/document/d/1KFkBnp4wxnni6Q96rmeaBFkb6JebDXoOe1C-6H7S5wA/edit?usp=sharing&invite=CMDXroAI

Ridiculisés à jamais : Universitaires, juges, procureurs, avocats, littéraires, politiques <NU

Mis à quia devant l’ONU, les comploteurs de la haute finance organisent les attentats terroristes électoraux qu’ils financent à la manip.

Réplique à Mediapart 2 avril 2016 : une soirée pour « Penser ce qui nous arrive »

Pour penser de ce qui nous êtes arrivé, qui nous arrive et nous arrivera, la condition première est de se débarrasser des œillères culturelles, connaître les vérités de l’Histoire qui selon Nietzsche se répètent continuellement et avais déjà pensé que l’Église nous remettra ça, « son sale rêve » de l’anéantissement « de tout ce qui est noble sur terre » par des barbares stupides du genre des Francs du sacré Clovis I, l’idole de Hitler et ses nazis, des cathos intégristes, le Leitmotif des opéras de Wagner de la conflagration apocalyptique de la guerre totale. Or, un roi de France (?) a fait détruire dans la bibliothèque royale tous les oeuvres historiques, philosophique et fait réécrire l’histoire par le clergé conforme au mythe de la chevalerie chrétienne, en réalité destructeur de la civilisation gréco-romaine des chrétiens primitifs et eux exterminé avec.

Et aujourd’hui encore dans l’école publique et privés, dans les universités même, ces mythes sont enseignés comme vérités historiques… Si on n’ignore le plus important crime contre l’humanité de l’Histoire par le baptême et le sacré de Clovis I, on ne comprendra jamais rien à l’œuvre maitresse de Nietzsche « Ainsi parlait Zarathoustra », travesti par les Nazis y ironisés pour en faire leur philosophie politique des surhommes ariens dénués de tous scrupules humanistes à l’égard du sous-homme dont il faut purifier la terre par l’extermination en commençant par les juifs, les gaulois en priorité ensuite pour le repeuplement (Himmler) par la race germanique.

Nietzsche fait parler ainsi Zarathoustra pour ironiser l’Histoire des « hommes-dieux fabriqués par le sacrée des barbares mérovingiens du roi Franc Clovis I, accuse Richard Wagner d’avoir plagié pour en faire une sorte de musique religieuse caricaturale des Nazis. « Par le séisme sont révélées des sources neuves. Du séisme des vieux peuples surgissent des sources neuves. […] O mes frères ! Pour tout avenir humain où est donc le plus grand péril ? N’es ce pas chez les gens de bien et chez les justes ? […] Et quelques dommages que fassent les méchants, le dommage que font les gens du bien est le plus dommageable des dommages. […] Leur bonne conscience tient captif leur esprit. D’une insondable prudence est la sottise des gens du bien. […]Devenez dur ! […] O mes hommes supérieurs, avec vous je veux parler à l’allemand et sans ambages : ce n’est vous que j’attendais dans la montagne. (Caricature de l’évêque hérétique de Reims « Remi » qui a fait appel à lui pour exterminer les chrétiens primitifs en 496 ?). […] Mais qui m’appartient ne peut avoir des os robustes et également des pieds légers ‑ être d’attaque pour guerroyer et festoyer… […] Dieu est une pensée qui rend tordu tout ce qui est droit et fait tourner tout ce qui debout se tient. […] les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point. […] Aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres […] la guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour du prochain. […] J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, – il faut savoir aussi qui sabrer ! […]Brisez, me brisez donc le gens du bien et les justes. […] Rébellion ­‑ c’est distinction des esclaves. Que votre distinction soit d’obéir ! Que votre commandement lui-même soit obéissance ».

Nietzsche Friedrich. « Wagner répète la même chose tant de fois que l’on n’en peut plus, que l’on finit par y croire. Ps 21-22. La scène Wagnérienne n’a besoin qu’une chose : des Teutons… ! Définition du Teuton : de l’obéissance et des bonnes jambes. P.44.  C’est le plus sombre obscurantisme qu’il cache dans les voiles lumineux de l’Idéal, Il flatte tous les instincts nihilistes(bouddhistes) et les travestis en musique, il flatte toute forme de christianisme, toute forme religieuse qui exprime la décadence […] la grande imposture de la transcendance et de l’au-delà, a trouvé dans l’art de Wagner son plus sublime avocat […] en s’adressant à la sensualité, qui a son tour, épuise et brise l’esprit… ». Postscriptum p. 47. Le Cas Wagner, traduction par Jean-Claude Hémery. Œuvres philosophiques complètes. Éditions Gallimard Paris 1974, tome VIII, volume 1.

(Les opéras de Wagner, une musique socialement pathologique qui ont rendu fou Hitler à 16 ans par la mise en musique géniale, accumulent les pires sottises de toutes les superstitions les plus abêtissantes de la sorcellerie, de la magie blanche contre la magie noire, des hérésies chrétiennes du Moyen-âge, des fables stupides des Nibelungen associés aux Chevaliers du Graal, à la lance magique qui a achevé Jésus sur  la croix, des sirènes maléfiques combattus par les preux chevaliers germains pour le salut d’une pure princesse, finissant dans l’apocalypse guerrière du dieu Wotan avec l’au-delà avec  les Walkyries. De la mise en  musique d’un envoutant raffinement de Wagner de la mythologie germanique, la secte Thule en a fabriqué son crédo religieux combiné à la dénaturation de la philosophie de Nietzsche caricaturant le « Surhomme » germanique et l’Église dans œuvre « Ainsi parlait Zarathoustra », sans tenir compte des autres œuvres définissant comme vrais surhommes le pharisiens juifs ayant assuré la cohérence du peuple, et les Arabes en « race de maîtres » pour avoir sauvé de la folie chrétienne destructrice la culture gréco-romaine).

Étant donné qu’en matière pénale, sous peine de nullité pour fraude de la procédure, est obligatoire l’enquête sociale pour la présentation les motivations morales et politiques des criminels aux juges dans l’audience publique. Or, de ma connaissance, dans aucun procès relatif aux crimes contre l’humanité, le doctrine des Nazis ci-dessus résumé n’a été évoqué comme de droit ; car cela aurait mis en évidence la responsabilité du grand capital et de l’Église, eux parfaitement informés avant le déclenchement de la Guerre mondiale avec leur vraie complicité pénale des instigateurs. Échappé de plusieurs assassinats, comptant de la présenter notamment dans l’affaire Papon à Bordeaux et Touvier à Versailles, le régime scélérat a failli de me faire lobotomiser, a même fait voter par le parlement une loi pour la faciliter sans autre forme de procès avec une capture psychiatrique.

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L’évolution internationale, l’actuel occultation judiciaire des instigateurs nazis du massacre d’Oradour-sur-Glane (Fr) rend nécessaire une nouvelle information de l’amplification de ma récapitulation inachevée des occultations des procédures nationales et internationales sur le complot contre la sûreté de l’État, la Haute trahison et les crimes contre l’humanité en France et l’ajout de documents de conviction. Blogs pages 4, publié sur Facebook.

 

« Tout tentative de crime qui aurait été manifestée par un commencement d’une exécution […] est considérée comme le crime lui-même ».

Article 2 du Code pénal 1806, seul valide.

« Apprenez donc que tous les (régimes) ont les mêmes fictions pour origine ; elles sont également toutes fondés sur le mensonge, l’erreur, la chimère, l’imposture. […] Souvenez-vous que la fin sanctifie les moyens ; que le sage doit prendre pour le bien tous les moyens du méchant pour le mal […] Il faut combattre les fortes personnalités qui sont le plus grand danger. Si elles font preuve d’un esprit créatif, elles ont plus d’impact que des milliers d’hommes laissés dans l’ignorance. » Adam Weishaupt, chanoine jésuite, professeur en droit allemand.

Pour neutraliser subrepticement l’argumentaire irréfutable d’un juriste Peter Dietrich sur le complot contre la sûreté de l’État, la Constitution a été modifiée en silence par le petite comité des vendus, la Haute Cour de justice passée à la casserole ; manigancé un nouvel Code pénal de dépénalisation insidieuse, assortie d’une mutilation tendancieusement du Code de procédure pénale par les parasites commensaux irresponsables, soudoyés du grand banditisme politique des déprédateurs de la haute finance internationale. Par l’astuce funeste du financement occulte de l’argent sale des combines du trucage des élections, la hypermafia multinationale fit passer en Chefs d’État et en gouvernants leurs propres avocats appointés, des parrains de la Mafia, les maçons mystificateurs, rapaces combinards  de la Grande Loge nationale de France, les rusés coquins du Rotary avec leurs apanages des escrocs fricoteurs…, des néo-nazis fiers de leurs grotesques clowns, agitateurs starisés de la République spectacle : ces soushommesques clébards matinées des cerbères de pure race nazie surhommesque, veilleurs assassins des superprofits des spéculateurs irresponsables par la revanche Wagnérienne, l’apocalypse prophétisée de la « guerre totale ».

 Une vérité historique essentielle des tenants et aboutissants du massacre d’Oradour-sur-Glane aussi, une vérité taboue de laquelle les plaignants et le grand public sont laissés avec constance dans l’ignorance, tandis qu’en 2013/14, les facéties perfides de diversions des bouffons propagandistes des instigateurs défrayent la chronique de tous les médias en France. Tabou demeure la révélation de l’exploitation spéculative de la haute finance internationale, des industriels, marchands, ‑ des Nababs française en première ligne (Oréal…) ‑, de la folie du délire mystique de la secte Thoulé du gourou en chef Hitler. Le Crédo de ces toxicos illuminés élève au-dessus des lois des vulgaires « sous-hommes » terrestres, les surhommes nazis de la divine souche extra-terrestre (Sic). Dès le bas âge, les enfants aryens sont dressés en bestiaux tueurs effrénés, tortionnaires de jouissance, vus à l’œuvre au massacre du village Oradour-sur-Glane.

 À l’aide de la corruption généralisée, tous les leviers de commande du système étatique gangréné sont passée dans les mains sales jusqu’au coudes de leur cortège des Grands Commis d’État, dignitaires de la Légion d’honneur et détenteurs des comptes secrets bien garnis à l’Étranger, (M. Couve de Murville), préservés d’impôts et investigations judiciaires ; des séides dirigeant l’action sous-terrain de leurs polices parallèles des proxos et truands, patentés pour tous les ignobles trafics. Le contribuable berné, sans cesse décavé, est forcé de subventionner encore par le Fisc leur pernicieuse propagande manipulatrice de l’opinion ainsi instrumentalisé, jobardisé par des besogneux, zèles brosses à reluire du journalise laudateur des prospères médias, propriétés des multimilliardaires enrichis, s’enrichissant de plus en plus du crime organisé… en toute impunité.

 Voilà donc le vrai visage de la fable, « la France le pays des droits de l’homme »: un tissu inextricable de mensonges du malfaisant l’intox infantilisant. Plus que des spectacles simiesques reflètent une idiotie détractrice des opposants, plus ces scandaleuses insinuations médisantes font la Une des médias ; plus ces vaudevilles de propagande politique procurent aux prospères guignols les attraits d’une notoriété de justiciers héroïques avec des bénefs énormes, générant l’imitation grotesque sur la place publique des groupies abrutis, demeurés et stupides. Rien n’est laissé au hasard. Tout est calculé, tout est organisé par des savants professionnels de haut niveau, par des metteurs en scène anonymes dans les coulisses car, « Dans le monde où chacun triche, c’est l’homme vrai qui fait figure de charlatan. » Gide. Et en avant la musique ! L’histoire se repasse toujours les plats !

Blogs remis à jour :

http://dietrich13.wordpress.com|| http://dietrichp13.wordpress.com|| http://dietrich13.kazeo.fr(saboté et supprimé parce qu’utilisé pour la propagande nazie||http://dietrich13.blogspot.fr || http://dietrichpeter.blogspot.fr|| bloqués, et volés.

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Les Klépto-démocratistes tirent encore et encore les rideaux : AFP le 26/12/2013. Mort d’Arafat : les experts russes écartent la thèse de l’empoisonnement.

Comme avec l’exhumation en Allemagne du cadavre du faux Rudolf Hess, incinéré, les cendres dispersées pour empêcher des expertises de l’ADN, on tire les rideaux dès que le méchant Dietrich clarifie une mystification politico-crapuleuse. On ne parlera plus de l’ancêtre nazi de Yasser Arafat, du Grand Mufti Hadj Amin al-Hussein de Jérusalem associé à Hitler à Berlin pour réaliser l’extermination des juifs avec sa 13° Division musulman Handschar de Montagne de la Waffen SS ; son sauvetage de la condamnation à la pendaison du Tribunal militaire international de Nuremberg par la France aux frais du contribuable. Dietrichpeter.blogspot.com||page 4. Juriste DEA. Criminologie. Sciences pénales.

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Intro page 4 des blogs Kazeo, (saboté par les antisionistes et supprimé), et Blogspot non censurés. En raison des informations judiciaires en cours, publication de la dissertation récapitulative inachevée pour la démystification des justiciables continuellement blousés par les robins combinant avec les médias des multimilliardaires engagés.

 Pour pouvoir apprécier la portée réelle de faits historiques, le rapporteur avisé doit s’efforcer de se servir des définitions ayant eu cours officiel à l’époque. En dehors des remarquables romans documentaires de Sven Hassel, rescapé des unités disciplinaires, nous avons relevé chez aucun historien ou journaliste les distinctions nazies des combattants dans l’arène politique et guerrière : le vocabulaire « Surhommes et Sous-hommes » est absolument indispensables à la compréhension de l’élément moral des crimes contre l’humanité. L’omission volontaire est déjà une falsification de l’histoire ou un trucage judiciaire.

 « Les idées folles se prennent comme les maladies et celui qui en attrape une, les attrape généralement toutes. » L’aphorisme de Nietzche est d’une brûlante actualité constante dans la littérature, dans les discours et dans les faits politiques. D’une façon spectaculaire les idées folles font surface à l’instar de la tuerie en Norvège le 22 juillet 2011 par le jeune mollasson repu Breivik. Cet illuminé, drogué pour se donner du courage de passer à l’acte dans un uniforme de Rambo d’opérette, ouvre le feu sur un rassemblement pacifique des femmes et des enfants. « Ne valaient pas plus que des poulets » (Himmler), la vie des 70 morts, atteste la gesticulation théâtrale du méchant abruti, passé en héros médiatique, ovationné par ses condisciples. Se prévalant, assisté d’un avocat de la même farine, de la légitime défense politique contre les sous-hommes, le surhomme starisé le fit savoir implicitement durant son procès avec le poing levé devant les photographes avide du sensationnalisme.

De la même inspiration criminelle sont les déclarations en 1988 de l’avocat-général de la Cour de cassation Alain Terrail. Ouvrait ses pages au propagandiste intouchable, le torchon subventionné de son association professionnelle des juges néo-nazis accumulés au Palais de justice de Bobigny. Proche de mon domicile, de cet antre de charognards dépendait le sort de mes actions en justice, ­‑ dont celles produits à Toulon ‑, sabotées et paralysées par leurs membres militants de l’extrême-droit. De sang-froid, ce magistrat du pinacle de la hiérarchie préconise « le four crématoire » pour éliminer le substitut Albert Lévy. Auprès de palais de justice de Toulon, la vilaine balance dénonçait la disparition dans son service du ministère public la liste nominative de personnalités stipendiées par la mafia ; des documents probatoires déposé la veille de son assassinat par la députée Yann Piat.

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En deuxième année des études universitaires du droit, l’étudiant apprend que l’incrimination pénale se divise en trois éléments. 1° l’élément matériel : les actes et faits perpétrés. 2° l’élément légale : la qualification restrictive par le droit écrite. 3° L’élément moral : grosso modo, l’état psychologique de l’auteur, l’intention criminelle, le mobile (le Pourquoi), son degré de lucidité et les facteurs de l’entourage sociale, déterminant l’étendu de sa responsabilité pénale. C’est en passant derrière un écran de fumée les éléments moraux, l’idéologie et les superstitions des crimes contre l’humanité, la conviction des juges et du monde des observateurs a été méthodique trompés par l’investissement important dans la fabrication académique, judiciaire et journalistique des fausses nouvelles des demi-vérités tendancieuses. L’époque de l’avènement des nazis hitlériens a été marquée par la contamination de la haute société et des artistes toxicomanes par les pratiques sectaires du mysticisme, du spiritisme, de la magie et sorcellerie, la télépathie et autres enfantillages d’illumination dont Hitler a été un des gourous extralucides « infaillible » comme le Pape. La haute hiérarchie des surhommes nazie, notamment Himmler, pratiquaient des messes de spiritisme en groupe autour des médiums drogués.

D’Hitler, de Hess et autres visionnaires illuminés, toutes les décisions aberrantes ont été produites dans leur cerveau détraqué par des drogues par des hallucinations prise pour la télépathie avec les Aryens de la planète éloignée dans l’Univers. Ses crises hallucinatoires du délirium trémens sont interprétées par ses fidèles adeptes, docteurs par-ci, docteurs par-là, en « combat des dieux ». (E.R. Carmin cité). Mais, la prophétie sectaire Thoulé, annonce la purification de la Terre polluée des sous-hommes et des bêtes humanoïdes (*) que par la Troisième Guerre mondiale, si bien que les adeptes l’ont déjà organisé avant même que le Deuxième ratée soit terminé. Dans les procès à l’époque, comme aujourd’hui, il est impensable que les magistrats fassent état dans cette communauté mondiale de détraqués des membres de l’aristocratie de sang et du fric avec tout leur cortège d’académiciens, magistrats, hautes fonctionnaires, ecclésiastiques, les grandes familles, dont la descendance détient quasiment tous les pouvoir aujourd’hui pour rêver à la revanche. Or, l’obligatoire enquête sociale en France en matière criminelle sur la moralité des accusés et de leurs fréquentations, aurait mise en évidence les complicités par « instigation, par aide et assistance, fourniture des moyens… ». Impossible et toujours impossible, car l’impossible dépasse les mœurs françaises, de faire tomber les têtes de la haute société, et, encore plus ceux des receleurs des crimes contre l’humanité.

{(*) La caractérisation des gens de couleur en bêtes humanoïdes provient d’une exégèse abracadabrante des saintes missionnaires en Afrique, pour faire résigner les autochtones ignorantes à la chosification de vils esclaves : Caïn, selon la fable Genèse IV, fils ainé des premiers hommes Adam et Ève, a assassiné son frère Abel. Condamné à la fuite éternelle sur la Terre, en manque des compagnes féminines, le satyre s’est accouplé avec les femelles des grands signes, des Bonobos, Chimpanzés, Gorilles pour donner naissance en Afrique de la race noire ; avec les femelles Orang-Outan la race jaune en Asie, des races humanoïdes chargés du péché capital héréditaire d’Abel. (Pour prouver la véracité de ces fables hallucinatoires, des gynécologues nazis pratiquaient chez des jeunes filles des fécondations ou implantes bestiales dans les camps de concentrations). Nous retrouvons explicitement ou implicitement dans l’actualité ces convictions dans les attaques politicardes, médiatisées contre la Madame la ministre de la Justice Christiane Taubira.

La stérilisation des Fruits mélioratifs de l’amour métissés de l’occupation par des militaires noirs des Alliés, après leur victoire en 1918, de la semence ayant « souillée la race allemande », a été le premier objectif de Hitler en 1933. Nous retrouvons le même objectif assassin «de l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs, les Mongols », chez des ministres néonazis de l’Ordre nouveau  de l’Occident, faufilés dans des gouvernements successives  à l’aide des financements occultes : le giscardien Alain Madelin et autres, en « lutte contre la pourriture démocratique », associé au capo di capo Charles Pasqua, chef des truands du Service d’action civique; Gérard Longuet, en ministre de la Défense dans le régime de Sarko-les-Pots-de-Vin, sans que le juge d’instruction ait procédé à l’enquête sociale obligatoire dans l’information des financements occultes venant de la Suisse, ni les magistrats saisis ensuite dans l’affaire Papon et autres affaires qui en succédaient. De la tentative des crimes contre l’humanité, de l’apologie, la magistrature ne veut rien savoir.}

Ainsi, avec les détails, référenciés sur les pages 4 des blogs, nous voilà au cœur de toutes les maquillages, tripotages et falsifications judiciaires agencées dans les principaux états occidentaux pour assure l’impunité aux plus dangereux criminels contre l’humanité (Casamayor), dont en France l’apothéose des clowns la plus marquante de l’affaire Papon à Bordeaux avec toutes ses répercutions ultérieures. Dans une information pénale sérieuse contre des crimes, surtout s’ils sont collectifs, comme pour l’historien, le facteur fondamental consiste dans la définition de la définition rationnelles de la psychologie ou de la morale des actions incriminées pour en déduire les mobiles qui en l’espèce de l’organisation de la Deuxième Guerre mondiale se précisent par le crédo de la Secte Thulé des surhommes Aryens d’origine extraterrestre , ‑ dont Hitler a été un des « Grands Magiciens noirs » avec Rudolf Hess ‑, des préceptes récupérés tendancieusement par « les araignes porte-croix » dans la philosophie ironiste de Nietzsche, déclamés notamment par le chef des SS à ses formations et à ses troupes.

Sont toujours actuelles des préceptes de la caricature d’anticipation de ce Nietzche dénigré par une certaine intelligentsia stupide ; aphorismes cyniques dénaturées aux usages académiques des thèses des érudits nazis. Après le putsch de Munich, à la prison de Landsberg, a été procédé à l’éducation du tribun hypnotiseur phénoménal des masses, au conditionnement en meneur (Führer) « l’irresponsable » caporal Hitler ; « paranoïaque » authentique instrumentalisé à l’organisation de « La Guerre totale » du théoricien et stratège de la conflagration wagnérienne, le général Erich Lüdendorf. Ce criminel de guerre d’envergure aigri de la Première Guerre mondiale, est épargné des poursuites judiciaires des Alliés, juste pour lui permettre de faire remettre ça en plus perfectionné en se servant des élucubrations mystiques de la secte Thule:

 « Populacier salmigondis, où tout est pêle-mêle avec tout, saint et gredin, et hobereau et juif, et tout le bétail sorti de l’Arche de Noé. De bonnes manières ! Tout chez nous et faux et pourri… C’est la canaille que nous avons fuie, tous ces braillards et ces mouches à viande scribouillardes, la boutiquière puanteur, l’ambitieux frétillement, la fétide haleine, ‑ parmi la canaille fi donc de vivre (…) Et j’ai tourné le dos aux gouvernants, lorsque je vis ce qu’ils nomment à présent gouverner : trafic et marchandage du pouvoir ‑ avec la canaille ». (In Ainsi parla Zarathoustra). « Vous les hommes supérieurs, voici ma leçon : sur la place publique, personne n’accorde créance aux hommes supérieurs…. (…) À l’écart de la place publique et de la renommée se fait tout grand ouvre ; à l’écart de la place publique et de la renommée toujours vécurent ceux qui inventèrent des nouvelles valeurs. » Par définition de la philosophie de Nietzche, la qualification « surhommes » est radicalement exclue aux Nazis, purs produits de rebut culturel, stigmatisés par lui la décadence des artifices journalistiques : effets spéciaux grimaciers des mises en scènes médiatiques des manifestations grandguignolesques pour abrutir le grand public crédule, propagande abrutissant de matraquage, massivement subventionnés par la canaille spéculatrice de la grande finance internationale.

– Pour la théocratie des gourous de l’Empire occulte Thule, « les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point ». Déjà en 1924, Hitler et ses initiateurs et mentors académiques, dont des psys, dans sa fameuse profession de foi Mein Kampf (Mon combat), annonçait au monde avisé, militant ou opposant, ses intentions comme il n’a pas plus claire : « Nous devons porter sur notre visière le signe distinctif (tête de mort) de que le Ciel même attend de nous ». Dans le combat des dieux en devenir, l’élite de reproduction et machine à tuer, la SS ne devait non seulement donner le matériel de la reproduction pour l’homme nouveau, elle devait aussi être la cellule reproductrice d’une future société d’orientation magico-païenne, la cellule reproductrice d’une nouvelle religion.

« La meilleure arme politique est la terreur. Tout ce qui relève de la cruauté impose le respect. Qu’on nous aime, ça n’a guère d’importance, pourvu qu’on nous respecte. Qu’on nous haïsse même, tant pis, pourvu qu’on nous craigne ». Reichsführer Heinrich Himmler. Dans son discours aux Waffen SS étrangers, dont les « sous-hommes » français de la Brigade SS Frankreich et de la Division SS Charlemagne incluant les volontaires du lieutenant-colonel (Obersturmbann Führer) SS français Jacques Doriot de la Légion des Volontaires françaises contre le Bolchevisme et de Miliciens du général SS français Joseph Darnand : « Là où nous combattons, chacun devra savoir que tuer un homme ne compte pas plus pour nous que tuer une poule. C’est la voie sûre vers la puissance totale ». (Sven Hassel).

  « Tolérance et humanité sont signes de faiblesse. L’homme qui ne se sent pas capable de trancher la gorge de sa mère ou de castrer son père est un faible. […] Que le sang pour vous ne soit pas plus pénible à voir que l’eau.  Jouissez de l’assassinat des traîtres, des intellectuels, détruisez les rêveurs livresques, brûlez leurs ouvrages, écrasez tout cela ! L’État national-socialiste compte trois ennemis : les prêtres, les juifs, les intellectuels. Si vous ne trouvez aucun reproche à leur faire, inventez les reproches ; ne les lâchez pas… […] Ceux qui entrent vivant derrière les barbelés de nos camps en sortiront morts, mais laissez-leur d’abord le temps d’apprécier le séjour que nous leur réservons… » Discours du 1° octobre 1933 au cours de l’installation du KZ de Dachau, inspecteur général de K.Z. Standartortenführer (colonel encore du sinistre Régiment Tod, (Mort) Théodor Eicke.

– Dans la philosophie ironiste de Nietzche, philosophie officialisée par le parti nazi, dans « Ainsi parla Zarathoustra », les nazis se sont identifiés en peuple des arrivants, des géants blonds de la belle race ayant dans une beuverie « tué et enterré Dieu » pour partir ensuite en surhommes à la conquête du Monde : « Aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres (…) la guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour du prochain. (…) J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, – il faut savoir aussi qui sabrer ! […] Brisez, me brisez donc les gens du bien et les justes, (…) Rébellion ­‑ c’est distinction des esclaves. Que votre distinction soit d’obéir ! Que votre commandement lui-même soit obéissance. Retenaient les Nazis de la prophétie cinglée de Zarathoustra Retenaient les Nazis de la prophétie cinglée de Zarathoustra, interprète des idées de Nietzche, pour en faire le fondement essentiel de leur idéologie politique.

Avec l’occultation de ces informations judiciaires préliminaires, par une magistrature de paillassons ouvertement militantes syndiqués et « subventionnés » en douce à la direction des institutions, en se prenant pour des surhommes, les humbles justiciables pour des sous-hommes à rouler dans la farine, est consommée la défiguration de la totalité des procès nationaux ou internationaux contre les Nazis. Avec le maquillage de l’Histoire, l’observateur impartial ainsi démystifié constate par les requalifications ci-dessous des escroqueries judiciaires le jeu pervers concertiste entre accusateurs et révisionnistes : coupeurs de cheveux en quatre rivalisant de leurs mises en scènes et artifices coupables consistant de concert, par un étouffant raz-de-marée d’argumentaires artificieuses, oiseuses de laisser le grand public dans l’ignorance totale des tenants et aboutissants des crimes contre l’humanité. Allégués en hypothèse désinformatrice par les révisionnistes, l’argumentaire de Jean-Jacques Fouché (*), « les SS ont construit leur justification du massacre avant même de le perpétrer » est un fait d’une évidence qui saute aux yeux même d’un aveugle. Le dynamisme des victimes enragée et leurs associations de défenses est exploité méthodiquement dans des parodies de justice s’efforçant de maintenir l’écran de fumée devant la responsabilité des organisateurs, exploiteurs, profiteurs-receleurs des crimes contre l’humanité de la Deuxième Guerre mondiale. Les preuves irrévocables dans l’affaire Papon étendue dans une grande partie des juridictions en France, ne constituent des échantillons tirés d’une indécrottable pratique généralisée. ((*) Oradour. La politique et la justice, Éditions Lucien Souny, 2004).

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Chez les membres inscrits au parti nazi des surhommes, comme pour leurs acolytes sous-hommes du parti fasciste, à plus forte raison pour les SS assermentés à l’exécution du génocide de purification raciale, annoncé par une littérature sans équivoque, diffusée à tambour battante et planifié au vu et au su de la société internationale, l’exigence légale et judiciaire de la France de l’individualisation de l’élément morale relevait après la Deuxième Guerre mondiale de la pure utopie humanitariste : l’acquiescement collectif sans réserve est intrinsèque à leurs engagement enregistré, accompagne de leur militantisme violent, meurtrier pour la conquête et pour la mise aux mains des criminels vantards le pouvoir despotique absolu et sans partage: « Emparons du pouvoir. Nous ne le rendrons jamais quelque soient les moyens pour le conserver ». 3 janvier 1932, Joseph Goebbels, ministre de la Propagande et de l’Éducation du Peuple.  « C’est le pouvoir que je veux. Lorsque nous l’aurons obtenu, nous le garderons. Personne ne nous l’arrachera plus ».  Discours d’Hitler à Munich le 30 novembre 1932. « Nous jurons de ne jamais épargner le sang. Que ce soit le nôtre ou celui des étrangers, si la Nation le réclame ». Himmler, article du Volskischer Beobachter, 17 janvier 1940.

Les Nazis, c’est l’Ordre nouveau des surhommes de souche extraterrestre avec leur religion rocambolesque du gourou extralucide Hitler. Les Fachos, c’est l’ordre ancien du Saint empire germanique : l’hégémonie spirituel de l’Église, l’absolutisme temporel des régents germaniques sacrés, les privilèges de l’aristocratie au sang bleu, secondée de la noblesse de robe (robins), du corporatisme et le servage du menu peuple taillable et corvéable à merci ; la conservation du pouvoir à l’aide des autodafés individuels et collectifs. Inquisition par des détraqués spirituels, jugements de Dieux, tortures rituelles précédant des mises à mort par le supplice sur le bûcher et d’autres boucheries judiciaires en grand spectacle sur la place public de ce genre fantasmatique des intermédiaires d’un Dieu imaginaire. Pour les nostalgiques cathos du fascisme, Hitler et ses « barbares » sont des envoyés de Dieu comparable à Clovis I, sacré par l’Évêque hérétique Remi de Reims. Avec sa sorcellerie incantatoire fut détruit pour dix siècles en Occident avec les hordes de pillards, violeurs et cannibales « tout ce qui a été noble sur Terre », mise en musique par Wagner : « La Crépuscule de Dieu » qui s’achève dans une orgie de feu et de destruction, selon la prophétie Zarathoustra, ironisée par Nietzche.

 Pour le Nazis, c’est la légende sacrée Nibelung, leitmotif de la musique de Wagner, la lutte pour maintenir la civilisation des Goths, chrétiens cultivés, contre les Francs païens victorieux, instrumentalisés par une secte des hérétiques chrétiens se servant des superstitions des adorateurs du dieu de la guerre Wotan, son paradis des guerriers Walhalla, les déesses Walkyrie, convoyeuses des âmes des guerriers tués, leurs concierges, hôtesses et barmaids dans l’imaginaire Au-delà derrière les nuages.

Certes, parmi les premières victimes des camps de concentration ont été des valeureux ecclésiastiques et religieux cathos et protestants à côté des Allemands de principes intransigeants, à éliminer en priorité, en raison de leurs convictions de de Justice et de l’humanitarisme. Néanmoins, un grand nombre des saints hommes avec le Pape, en Allemagne comme à l’étranger, voyant en Hitler le Sauveur providentiel, proclamant haute et fort la nécessité d’éliminer massivement les Juifs et la restauration du Saint Empire germanique pour extirper les idées du matérialisme historique, le venin athéiste du juif Karl Marx. Et comme le sauvetage divin ne pourrait s’accomplir par la Troisième Guerre mondiale, selon la prophétie des télépathes de la secte Thoulé, après le débâcle militaire, l’Église fut le premier protecteur des pires de criminels contre l’humanité, fit procéder clandestinement par leurs filières monastiques et la Croix rouge à l’exfiltration des criminels avec leurs capitaux spoliés. (Détaillé par E.R. Carmin cité).

En France, à partir de 1941, le père spirituel et instigateur selon la terminologie pénale de la collaboration militaire fut la nazie assermentée à la fois à Hitler et au Pape, Monseigneur de la curie romaine Jean, Compte de Mayol de Loupé, nommé en 1941 lieutenant-colonel SS par ordre spéciale du Reichsführer Heinrich Himmler. D’un compte du Saint empire germanique, ne coule pas dans ses veines le sang bleu des valeureux ancêtres, compagnons d’armes de Clovis I, de Charlemagne et de leurs successeurs aux tares héréditaires se manifestant périodiquement au cours de l’histoire ? Il est permis de s’interroger si ce traître de l’armée française ne fit pas partie du club des aristocrates du roi déchu Éduard VIII d’Angleterre ayant livré la France à leur conjuré Hitler. Par son ascendant sur les croyants, sa sainteté a envoyé à la mort en ex-Union des milliers des Français de la Légion Volontaire Français et des Brigade et Division Waffen SS. Hélas, le sacré protège les religieux de la condamnation blasphématoire à pendaison par leurs coreligionnaires de la magistrature. Des victimes de son ascendant spirituel furent fusillées. Sa sainteté des anges noirs aux têtes de mort a écopé dix ans d’emprisonnement en France. Mais beaucoup de ses homologues en Europe continuaient d’user et d’abuser de leurs néfaste influence spirituelle dans leurs activités criminelles, notamment des évêques en Suisse. En tout impunité.

Lors du procès de Nuremberg, les groupes du genre SS ont été reconnus comme organisation criminelle. : « Tous les individus appartenant à cette formation ou à ce groupe peuvent être considérés comme coauteurs… Chez les Nazis, est intrinsèque et implicite leur participation, selon la portée des articles 59 et 60 du Code pénale 1806. Or, selon une saine logique juridique conforme aux droits fondamentaux, quand le lien de responsabilité de coactivité ou de complicité s’établi au rang social du bas, à plus forte raison, il s’établit au rang social du haute.

Sur le plan du droit pénal, la responsabilité de cette catégorie d’évêques, des membres « aideurs et assistants » du gouvernement de Vichy et des officiers français ou étrangers des Waffen SS internationaux des sous-hommes ne se limite pas aux crimes perpétués en ex-Union soviétique. L’envoie massive des sous-hommes des unités Waffen SS étrangers en ex-Union soviétique a rendu disponibles l’unité authentiques des surhommes Waffen SS Das Reich pour les massacres tels qu’ils ont été perpétrés en Oradour-sur-Glane. Ainsi, selon les dispositions des articles 59 et 60 du Code de pénal 1806, seul valide encore aujourd’hui, les membres du gouvernent de Vichy, coauteurs sans équivoque des crimes contre l’humanité, devrait être tenu comme responsable des massacres perpétrés en France comme à l’étranger. (Dans le Code pénal 2012, « politiquement illégitime et constitutionnellement illégale », par des dépénalisations astucieuses, les criminels comploteurs de la haute société, coauteurs, complices et receleurs, déjà engagés dans les tentatives criminelles de revanche, ne peuvent plus être sérieusement inquiétés. Depuis 25 ans, mes dissertations juridiques et exposés judiciaires sont immédiatement suivies des modifications de lois pour les désamorcer).

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Après des massacres en beaucoup plus grande échèle en ex-Union soviétique, le massacre des 648 victimes du petit village française d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944 a fait objet pour crimes de guerres des procès devant le Tribunal militaire spéciale à Bordeaux en 1951, créée par une ordonnance de 1944 et dont les dispositions se sont toujours trouvées en vigueur jusqu’en 1990 dans le Code pénal 1806. Tribunal composé en partie d’anciens résistants et de Force françaises libres. (Notons la présentation sur le Grand écran de Paris dans les années 1995 un film saisissant sur le massacre bestial et les viols sadiques perpétrés dans un village en Biélorussie par les Waffen SS).

Les massacres furent perpétués par la Division Waffen SS Das Reich. Ce ne sont pas des militaires de l’armée régulière de l’Allemagne d’alors. Il s’agit de l’unité armée des militants politiques du parti nazi, en dehors et supérieur à l’armée régulière, de la Wehrmacht, SS commandés au sommet par la terreur de Reichsführer SS Heinrich Himmler, hiérarchiquement au-dessus des chefs militaires de l’Armée. Le crédo connu de leur idéologie, il est absolument inconvenant traiter des exterminateurs assermentés devant les juridictions comme des volontaire militaires. Pour rentrer dans l’SS, il fallait au candidat apporter d’abord la preuve de sa pureté raciale jusqu’au huitième degré de la généalogie, ensuite, la preuve de l’acquiescement totale à l’idéologie du conquêt du Lebensraum par la méthodique extermination des sous-hommes, des bêtes humanoïdes et des bâtards. (En 1933, Hitler réalisait son premier objectif : la stérilisation des souillures de la race, des fruits d’amour des allemands avec les « bêtes humanoïdes » de l’armée d’occupation de la Première Guerre mondiale). Ils s’en suivent, par le raisonnement du droit pénal français, les SS, à l’instar de tous les promoteurs, ne doivent pas seulement répondre des crimes personnellement perpétrés, ils doivent répondre de leur participation coupable à l’organisation préalable des génocides et boucheries dans les camps de concentration.

 « Qui veut le but, veut les moyens », mêmes inconnus par les complices, selon la jurisprudence française appliquée aux petits gangsters du droit commun. Impossible d’appliquer le droit strict aux millions de monstres illuminés ou ensorcelés par le mysticisme délirant de la secte Thoulé, ayant débuté d’étendre sur la terre entière le cataclysme du mythe aryen, de l’apocalypse mise en musique par Wagner. En droit français, la tentative criminelle est punissable comme le crime lui-même, avec la complicité par instigation, aide et assistance, fourniture des moyens… à la réalisation de la prophétie Thoulé, dont l’acquisition de la victoire finale ne se réalisera par la Troisième Guerre mondiale. Ainsi, dans le droit strict appliqué aux criminels du droit commun, les massacreurs d’Oradour-sur-Glane seraient ténus non seulement des crimes accomplis, mais encore de ceux qui ont déjà tentés d’accomplir dans le cadre de l’idéologie de leur parti des fou furieux. Impossible ! Où trouver les juges impartiaux en nombre suffisant avec la corruption élevés à la hauteur des institutions gouvernementales par la Légion d’honneur et des pots-de-vin ?

Le procès de Nuremberg a accouché l’incrimination « Crimes contre l’humanité » et le principe appliqué aux auteurs SS, reconnus comme organisation criminelle, « la responsabilité collective ». La dernière incrimination est reprise par le droit français en 1948, après les révélations au gouvernement du sinistre d’Oradour-sur-Glane. Or, si on estime que, selon le droit fondamental, le droit est égal pour tous, les poursuites ne peuvent pas se limiter aux condamnations de quelques individus symboliques en sous-ordre. La Morale républicaine, l’éthique judiciaire exigerait à ce que soient poursuivis de prime abord les instigateurs de la haute société politique et économique, des instigateurs, aideurs et assistants, fournitures des moyens financiers, industriels, politiques, judiciaires…. les receleurs de crimes contre l’humanité, continués par des crimes politiques et de guerre de l’actualité. Avec leurs larbins, tels que Papon, aux leviers de commande du régime, les criminels cardinaux se foutent à présent du tiers et du quart avec leurs momeries des hypocrites vu tout au longueur des procès référenciés aux blogs : de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation, du Conseil d’État, de la feue Haute Cour de justice, de la Cour fantoche de la République de la substitution, de la Cour européenne des droits de l’homme, de la Cour pénale de la communauté européennes et même des deux Comités de l’O.N.U.

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Au courant mouvementé des manifestations littéraires, (essentiellement celles des auteurs édités par Alain Moreau et de l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné), sur la concertation de la criminalité politico-judiciaire, par les besogneux scribouillards appointés de la canaille multimilliardaire, a été planté un immense arbre de désinformation devant tout une jungle des crimes impunis du grand banditisme international : des truands, maître-chanteurs, escrocs, proxos, trafiquants, faux-monnayeurs, voleurs, sombres spéculateurs et receleurs du Service d’Action civique, suppôts des anciens ministres des gouvernements des régimes d’après de De Gaule. Après mon implantation dans le système funeste, contre leurs intouchables protégés mouillés dans les criminels contre l’humanité de la Deuxième Guerre mondiale, furent joué dans mes mains, anonymement, une documentation édifiante à l’usage d’analyse et de la présentation à la Justice. (Une grande partie a disparu lors de mon arrestation illégale à Castres en 1981).

« L’incompétence peut être soulevée par toutes les parties, dont la seule partie civile à tous les stades de la procédure, même pour la première fois en cassation », est le principe posé par la jurisprudence de principe de la Cour de cassation citée dans tous les recours. Dans les procédures indéfiniment traînées en longueur à l’aide des artifices des forfaitures prévaricatrices d’excès des pouvoirs des juges faussaires légalement incompétents, a été verrouillée hermétiquement l’extension des poursuites légale du complot qualifié aux personnalités statufiées de la Haute société politique et du fric, aux usurpateurs des pouvoirs publics des régimes successives. Contre ces « gangsters d’État » (au profil marqué de l’ennemi de l’intérieur), pas à pas, furent produites les références judicieusement commentées des ouvrages édifiants des historiens dont des magistrats noyautés refusent illégalement et obstinément de prendre connaissance dans l’enquête sociale obligatoire par la loi, de l’établissement de l’élément moral pour les répressions des crimes dans toute leur étendu.

Le départ dans les années 1977 à Castres et à Toulouse, a été donné par l’ouvrage d’Alain Jaubert « D… Comme drogue » éd. 1973, établissant les accointances et connexions internationales du milieu politique avec la canaille proxo et trafiquante, ­‑ comme les définissait Nietzche déjà ­‑, avec le crime contre l’humanité de la collaboration nazie et fasciste en France. Par cette fin compilatrice d’Alain Jaubert, renseigné de services de polices nationales et étrangers, est établi le prolongement historique des crimes de l’antenne SS de la rue Lauriston à Paris. Son fabuleux trésor des spoliations nazies transité à travers du dispositif militaire des Alliés, s’est trouvé à la source des trafics de drogue de la French connexion, d’alimentation les comptes secrets en Suisse des anciens ministres avec en tête Michel Debré avec ses « copains et coquins » (Ponia) du Rotary placés à tous les leviers de commandes de la République.

Dans les compilations d’Alain Jaubert, (un best-seller produisant un scandal à l’époque), sont relevés aux magistrats du ministère public, plus tard à la commission parlementaire d’enquête sur le grand banditisme de la police parallèle « Service d’Action civique », le sort des détenteurs des secrets d’État au gouvernement : les trucides des ministres Boulin (franc-maçon de la Grande Loge Nationale française), Fontanet-la-balance, D’Ornano du Rotary, sous l’égide du Sénat, intouchable escroc  de haute vole bien marqué. Par leurs proches circonvenus, les procédures truquées font toujours objet de contestations médiatiques truquées : des demi-vérités par l’omission des facteurs principaux. En isolant dans les interminables mystifications journalistes les faits indivisibles du contexte général, les mystères sont conservés intacts pour les communs des contribuables et électeurs illusionnés de la désinformation.

Avec moi en passager clandestin, le train d’enfer politico-judiciaire fonçait vers les trucides d’autres détenteurs des preuves de ces compromissions criminelles des flambeurs de la Haute aux belles manières, plein aux as par le crime organisé.  Mais harcelé sans répit à Toulouse, j’ai raté le train pour Marseille vers l’affaire de la tuerie d’Auriol dans laquelle succombèrent l’inspecteur de police Jacques Massié, torturé et massacré avec femmes et enfants pour la récupération de ses microfilms des comptes secrets en Suisse et les noms de leurs augustes bénéficiaires. J’ai été empêché de prendre le train en marche pour intervenir dans les procédures du juge Pierre Michel pour qui « tout est lié », assassiné à Marseille : moralement par sa hiérarchie des voleurs, physiquement par des killers de la Brise de Mer soufflée par l’environnement la pègre des trafiquants de drogue de Charles Pasqua. Ce n’est qu’après l’évasion de la haute sécurité psychiatrique, il m’a été rendu possible de reconstituer ma documentation, d’inclure ces affaires indivisibles dans les procédures débutées. Crim. N° 84 95‑707 du 20 juin 1985. Berthiau homologue les obstructions de justice par des faux en écriture de la Chambre d’accusation d’Aix-en-Provence.

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À Nice, la capitale de la Mafia, selon l’écrivain des romans d’espionnage Grahame Green, maudissant ses princières blanchisseries de l’argent sale, s’est agglutinée toute une faune criminelle allant de la Franc-maçonnerie déviante, du Rotary aux sociétés secrets vermoulues de l’extrême droit facho-nazie, alliés à celles de la Chevalier de Malte de la coterie du Comte et grand-maître Licio Gelli de la maçonnerie déviante du Vatican. Avec mon déclinatoire de compétence, je me suis fait mouiller dans cette pas drôle salade judiciaire à la sauce niçoise par l’exigence du renvoi en bloc devant la Haute Cour de justice les concertistes du combinard de ministre-maire Jacques Médecin de la Giscardie. De sang-froid, à Paris, une clique nombreuse des membres du Conseil d’État, manifestait dans la salle d’audience de la Section du contentieux contre la poursuite judiciaire renvoyé de Nice du célèbre parrain, au lieu de révéler la violation ostensible pour eux de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice.

 Repenti dans sa retraite au Paraguay, stigmatisant en honnête home abusé, son entourage de Nice en manipulateurs pourris, le frétillant ex-ministre-maire Jacques Médecin, en excellente forme, claque d’une manière surprenante dans les mains de ses médecins. Il se trouvera bien un écrivain qui fera son affaire de la suite du feuilleton des légendes de Grahame Green, de conjecturer sur mystères de la disparition au parquet de Nice de la liste nominative des illustres détenteurs des impressionnantes comptes numérotés dans les banques suisses.

De l’épopée d’Albert Spaggiari, dans les comptes rendus du casse du siècle en France du coffre forte de la Société générale à Nice du 17 au 18 juillet, le faux des vrais est difficilement à démêler pour un particulier placé en dehors du système tordu de la municipalité de Nice. Ancien para vidée de l’Armée en Indochine en raison d’une condamnation criminelle, Spaggiari s’accoquine avec le grand banditisme. En militant dans l’Organisation d’Armée Secrète (O.A.S.), il s’est fait créer le profil d’un aventurier mégalo à la sensibilité à l’extrême droite, plutôt qu’un véritable gangster du bas-fond sans foi ni loi des bandes de la pègre du ministre d’État Charles Pasqua. En dernière analyse, le butin du casse du siècle aurait été destiné à financer les machinations secrètes de l’association d’entraide néonazi-fasciste « Caténa » (Chaine). La légende et le profil laisse supposer l’imbrication de cette association secrète, semblant à la « Kameraderie » allemande, à l’organisation pseudo-maçonnique du Vatican de Licio Gelli, grand dignitaire fricoteur aussi de l’Ordre de Malte. Toute est lié dans ce complot international contre la démocratie et les droits de l’homme.

Les familiarités de Spaggiari avec milieu politico-crapuleux de Nice de Jacques Médecin et de son adjoint Christian Estrosi, futur ministre-maire de Nice, explique le spectaculaire d’organisation de son évasion le 10 mars 1977. Tandis qu’à moi, les juges me firent mettre des menottes au poignet et aux chevilles, le gangster Spaggiari non entravé saute de la fenêtre du bureau du juge d’instruction. Sept mètres plus bas, une voiture est garée sur le trottoir pour amortir la chute. Par l’avocat de Spaggiari, maître Jacques Peyrat, futur maire de Nice, militant de l’extrême droite, le sacré champion « motodidacte » Estrosi, son rival, est accusé d’avoir été le pilote de la moto ayant pris en charge la fuite sensationnelle du Palais de Justice.

Tandis que des complices de Spaggiari sont assassinés par des killers, les documents déclassifiés du C.I.A. attribuent à cet aventurier des accointances au Chili avec la junte du général Augusto Pinochet, ses compromissions dans l’assassinat l’ex-ministre de Salvador Allende : Orlando Letelier. Dans ses périples en Argentine, les commentateurs attribuent encore au mercenaire Spaggiari des accointances avec les sommités militaires d’Argentine, impliquées dans le narcotrafic international. Les jalons sont placés aux amateurs de poursuivre de ce feuilleton, car mon élimination judicaire avec le déclinatoire de compétence dans les procédures traficotées à Nice fait obstacle à l’acquisition de la prescription, même à la validité des jugements radicalement nulles pour fraude et incompétence légale, de la suppression de mes actes de procédures, et, à l’application des autoamnisties. (Fin page 3 des blogs).

En 2007, l’aspect allégué de l’organisation criminelle à Nice prend un autre aspect par la publication du livre « Beaux Voyous », (éd Fayard) de Thierry Colombie, historien du crime organisé en France, et, du livre en 2010, « La Vérité sur le casse de Nice », de Jacques Cassandri, alias Amigo, compagnon d’Albert Spaggiari. Ce dernier prétende que Spaggiari n’a jamais été le cerveau de l’organisation du casse du siècle, se targue de cette gloire. Quoi qu’il en soit, pour s’orienter dans les souterrains de la ville, faire creuser un tunnel en ligne droit vers la chambre des coffres de la Banque, quel est le gangster dans le cercle du ministre-maire Jacques Médecin et de Spaggiari, disposant la compétence technique ?

 L’autre historien, Marcel Caille, s’oriente judicieusement vers l’homme le plus efficace en matière de travaux publics et du banditisme de l’extrême droite : le discret et efficace feu Michel Falicon, conseiller et guide de Jacques Médecin à la Marie de Nice et au gouvernement, son copain dans le Rotary. L’ancien para et judoka Falicon est réputé pour son amour des manières fortes et son égide judiciaire sans défaillance. Cet ancien des nazis de l’Occident, flirtait avec le S.A.C., puis préside le Cercle niçois du Club de l’Horloge de l’élite intellectuelle de la droite nationale, pour cultiver des prometteuses alliances électorales avec les minus habens du Front national de l’avocat Jean-Marie Le Pen : « Mon crédo, c’est celui qui a imprégné tout histoire de la France depuis le baptême de Clovis I ». En claire, pour cet étron crotté par Marianne cocufiée sur les fauteuils du Parlement européenne, grâce aux relations de bon voisinage entretenues avec le Président Christian Le Gunehec, le crédo c’est, voire infra, l’anéantissement tout ce qui est de noble sur Terre avec l’extermination des sous-hommes gaulois à l’aide des barbares d’outre-Rhin. Ce baveux avec son confrère Me Gilbert Collard crotté sur les fauteuils de l’Assemblée nationale, ses abrutis de partisans sont des typiques excroissances dépravantes, à en croire à leur philosophie chérie de Nietzche travesti.

Échappé miraculeusement des poursuites judiciaires de ses abus de confiance et escroqueries, avant le fameux casse du siècle la Société générale à Nice, Michel Falicon se rende avec Spaggiari à Milan au congrès facho-nazi de l’Ordre noire…. aurait été révélé aux juges d’instructions par l’orientation obligatoire de leurs enquêtes sociales dans la direction des intouchables du système « de la république des copains et des coquins, (stigmatisé à l’époque par l’ancien ministre de l’Intérieure Michel Poniatowsky). Ces braves parjures intéressés du palais de justice de Nice ont de loin préféré de me menacer des poursuites judiciaires, si j’oserais de ramener encore ma fraise dans leurs salades niçoise du nouveau blanchissement de Michel Falicon avec ses copains du sublime Rotary amalgamé à des sociétés, cercles ou clubs secrets. Pour relaver plus blanc le récidiviste feu Falicon accusé derechef d’escroqueries et détournements de fonds, il fallait laisser trucider par cette association de malfaiteurs cet intrus impertinent de juriste Dietrich osant de leur mettre les points sur les « i ».

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Plus moyen de débarquer du train d’enfer avant sa bifurcation vers Toulon sur les mystifications judiciaires de l’assassinat de la Député Yann Piat ; à Draguignan sur celles l’assassinat des frères barbouzes Fernand Saincené. Ensuite la machine infernale me déportait à Lyon et à Grenoble pour taquiner la clique des ministres vendus Carignon, Léotard, Noir et autres gros légumes dans le jardin de leurs juteuses combines mafieuses propres à la République des copains et les coquins (Ponia). Même l’observateur myope et borgne, n’y pouvait manquer de constater des compromissions du fertile frère Charles Giscard d’Estaing, et, bien sûre, l’incontournable avocat des cartels multinationales : maître Sarko-les-Pots-de-Vin. En décollage rapide sur son tremplin politique construit amoureusement par le bétonneur Télé-Bouygues et, dans la magistrature des revenants de la Grande Loge Nationale de France d’obédience catho-chambordiste, légitimiste de de la dynastie Clovis I, lignée bâtardisée par le capteur Charlemagne. « Tout est lié ».

Lance sur orbite la nouvelle star de la République spectacle Sarko-les-Pots-de-Vin, cette coterie gangrénée des grands commis d’État hautement emmédaillés, des cumulardes appointées en tâcherons au noir des conseilleurs juridiques des astuces des combines ou des procédés de fripouilles tortueuses pour éviter les poursuites judiciaires, souvent même des administrateurs dans la société des milliardaires trafiquants. (Le tripatouilleur Président Jean-Claude Magendie du T.G.I de Paris, maçon de la GLNF dans le conseil de surveillance d’une société de Télé-Lagardère, marchand d’arme). Sarko-les-Pots-de-Vin, cette ancienne calamité des ministères et de la Banque de France sinistrés, est hisse sur pavois de la Présidence de la République à l’aide des financements occultes des élections. Sa séduisante maitresse des « fellations » audiovisuelles, placée en tête du ministère de la Justice. Les juges d’instructions incorruptibles dessaisis des dossiers brûlantes, insultés de ses ministres postiches.  Dans ce gouvernement des fantoches usurpateurs de pouvoirs publics, ce flambeur des fonds publics, Sarko-les-Pots-de-Vin, en baladin de comédie dans son cortège de laudateurs, a su faire trouver chez les mafieux les moyens de me faire régler définitivement le compte par la mobilisation de ses affidés du Milieu connecté aux ripoux de la police et d’une organisation encore inconnue.

 Est encore une autre histoire dans ce feuilleton sur la Côte d’Azur, les machinations affairistes dans le système pourri du ministre de la Culture puis de la Défense François Léotard. Bazardant à la mafia la base aéronavale de Fréjus, l’honnête homme chagriné se trouve mise en cause à l’opération des services secrets de l’Armée de l’exécution de l’assassinant de la députée Yann Piat à Toulon : « des Assassins au Cœur du Pouvoir », narrés au juge d’instruction de Draguignan par André Rougeot et Michel Verne, journalistes du Le Canard enchaîné. Offusqué et vindicatif, cet autre usurpateur de pouvoirs légaux de la Haute Cour de justice, fonce à Paris, tracasse les journalistes pour ternir l’éclat de leurs lumières par l’intimidation des émules.

 À qui a profité les détournements des fonds destinés à l’indemnisation des victimes de Fréjus la rupture du barrage de retenu d’eau… ? Pour noircir ma bonne réputation par la provocation et ramassage des calomnieuses ragots et commérages intéressées par les psys de Toulouse et de Cadillac, près de Bordeaux, l’enquête sociale illégale en France à l’aide de subornation et retournements des familiers en bonne intelligence, a impliquée même mon irréprochable défunt père en Suisse (*), jadis un modeste entrepreneur. De son implication inconsidérée, fantasque, la fripouille française ne pouvait s’imaginer des conséquences inopinées en perspective.

Finalement les procureurs et juges, sous le coup de leurs dirigeants d’arrivistes, carriéristes dénués de tout scrupules, mercantis et spéculateurs de la Grande Loge Nationale Française, du Rotary… firent dérailler le train d’enfer dans la voie de garage des juridictions à Bourges, Bobigny, Créteil et Paris. Ces pérégrinations à travers les principales juridictions putréfiées de la France sont plutôt comparables à la croisière d’une benne à ordures télécommandée aux balayages, ramassages et aspiration des déchets institutionnels : un bahut surchargé de la pourriture contagieuse, mise en panne sèche par les exactions vindicatives du Fisc, les pneus crevés par les voyoucrates du ministère public, irrémédiablement encastrée dans le mur du silence de la conspiration politico-mafieuse friquée de la honorable haute société hors soupçon.

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Avec les poursuites du fringuant ministre du Budget Maurice Papon, un monument d’arrivisme dévergondé de la clique des conjurés contre les droits fondamentaux de la France, il a été dans la logique de l’évolution judiciaire, l’embarquement au diabolique train de enfer cette vidure faisandée du régime canaille, mêler la vidure à l’aspiration de tout ce tas pourriture dans la benne à ordures avec la procédure ouverte à Bordeaux en 1981 contre ce prétendu complice des crimes nazis et fachos contre l’Humanité.

L’ouvrage essentiel référencié et commenté aux juridictions successives fut celle de l’historien Carmin E.R. « Guru Hitler » (ISBN 3-7263-6446-3 en allemande, épuisé et refondu DAS SCHWARZE REICH, éd. Nicol 2011). L’auteur y lève le voile sur les dissimulations judiciaires du caractère mystique et spiritiste du nazisme : un fait changeant totalement la nature et les caractères de l’étendu de l’élément moral de leurs crimes contre l’humanité… Après les révélations de la boucherie des sous-hommes gaulois d’Oradour-sur-Glane par les surhommes aryens de la Waffen SS, aux coauteurs du Régime de Vichy est applicable l’extension juridique sans équivoque, dans le temps et l’espace, de la responsabilité collective légalisé en France seulement en 1948. Au lieu d’en faire droit aux revendications avisées, comme en Allemagne, à leurs homologues d’impénitents assassins de masses, en 1958, cinq ans après le procès d’Oradour-sur-Glane, tous les condamnés sont libres. Pour remettre ça, financés par des industriels dans les coulisses, protégées de la Justice, les rescapés des Waffen SS français projettent même de renverser la IV° République par le Complot du Plan bleu, en compagnie des camelotes du Roi et autres zèbres de l’extrême droite. Encore une autre affaire étouffée par la connivence judiciaire effacée de la petite Histoire de France.

 Or, si, à la Libération de 1944, la loi et la justice sont redevenues égales pour tous par le déterrement du cadavre de la Déclaration des Droits de  l’homme et du Citoyen de 1789, la responsabilité collective s’applique logiquement, en toute égalité, à tous les composants du crime organisé du passé, du présent et du futur, au niveau inférieur comme au niveau supérieur des partisans : aux marionnettistes qui dans leurs pantoufles tirèrent les ficelles dans le confort douillet de l’ombre, comme aux marionnettes de leurs troupes de crétins ou crétinisés, bien comparables aux hordes SA du terrorisme initial de Hitler, têtes rasés en uniformes soldatesques, bottés, abrutis du matraquage haineuse de leur propagande délirante, de l’intox calomnieux et leur désinformation infantilisant visant de laminer au plus mince les idées reçues, les préjugés des hommes-masses.

De l’organisation au sommet des crimes contre l’humanité, l’ouvrage référencié d’historien américain John Costello dévoile ensuite l’opération de sauvetage de l’Occident par Wilson Churchill et ses services secrets MI 5 et MI 6. Malencontreusement ces agents sont tenus au silence par assermentation au régime de la Monarchie, amputant ainsi le dévoilement complet du complot international dont fit aussi partie le traitre vendu Joseph Kennedy et ses affidés aux États Unis. Est dissimulé à la Justice, l’organigramme de la conspiration de la Haute société internationale s’apprêtant à livrer l’Angleterre à Hitler, l’annuaire du « Right club », redécouvert dans le coffre-fort de leur avocat après son décès.

Le voile sur le complot international de l’aristocratie de l’Église, du sang et du fric ne fut levé qu’après la faillite d’une banque anglaise. Le célèbre écrivain des romans d’espionnage Ian Fleming, ancien officier supérieur des services secrets anglais, y avait déposé dans le coffre loué son manuscrit à tenir secret durant cent ans pour ménager la royauté du scandal. Les héritiers furent des citoyens américains. Se croyant rentré en possession d’un manuscrit de valeur d’un nouveau best-seller sur la légende de James Bond 007, ils ne revenaient pas de leur surprise de trouver dans leurs mains les récites détaillés de la haute trahison du roi déchu Éduard VIII, adepte drogué, accoquiné de longue date avec ses gourous Hitler et Hess, lui livrant avec ses créatures dans l’état-major interallié les secrets de la défense occidentale, politiquement minée et militairement sabotée auparavant avec les services secrets Nazis (SS/SD) et celles de l’Armée allemande (Abwer).

De son côté, l’historien anglais Martin Allen divulgue les détails de la haute trahison militaire dans son ouvrage « Le Roi qui a trahi », la dissimulation par la justice française à Alger en 1943, avec celles des USA ensuite, des trahisons et sabotages combinés en concert avec des autorités françaises.

C’est avec la suppression criminelle de ces informations fondamentales, avec la suppression du présentateur constitué partie civile par voie d’intervention, fut mené tambour battant les tripatouillages du procès Papon et les procès juridiquement connexes et indivisibles de ses grands acolytes laissés en repos. Au cours de plusieurs audiences publiques, des noms des heureux bénéficiaires du crime judiciaire organisé, (avec les détails de leur méfaits), ont été nominativement et contradictoire présentés aux juges, et aux procureurs et aux avocats et à la presse soudoyée.

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Michel Slitinsky, en jeune homme échappé de la rafle policier des juifs par le toit et rentré dans la Résistance, à la Libération en justicier s’est penché sur les archives poussiéreuses de la Préfecture de Bordeaux, y recherche les responsables de la déportation de sa famille, de l’extermination dans les camps de mort de la Deuxième Guerre mondiale. Il y a découvert les documents signés par l’ancien secrétaire de la préfecture Maurice Papon, un carriériste dénué de tous scrupules, oublié et récupéré des années plus tard en ministre du Budget dans le gouvernement de ses compères mafieux, promis aux plus hautes fonctions de l’État.

 

Néonazis Cour européenne

 

Papon faux Cour europeenne Droit de l'homme

Malencontreusement pour l’ignorant Michel Slitinsky des subtilités du droit et des procédures, en droit français, la complicité du deuxième degré n’est pas pénalement punissable. En toute évidence, en considérant la totalité des membres du gouvernement de Vichy en coauteurs des crimes contre l’humanité, le secrétaire de préfecture Papon, n’est tout de même qu’un simple complice du préfet Savatier ; ès qualité de son secrétaire, qu’un complice du deuxième degré du Régime de Vichy. Les motifs de la contestation de leur compétence légale par des exposés écrits aux magistrats jugeurs de Bordeaux ont été même compris et récupérés à leurs besoins par des nombreux profanes. (Mais, aux fins d’indemnisation des victimes, leur responsabilité civile doit être retenue. Papon et ses héritiers se seraient trouvés en calçons par la mise en œuvre de cette action toujours recevable).

En tant que secrétaire de son Préfet, à Papon, complice du deuxième degré, les crimes contre l’humanité du régime de Vichy lui n’ont donc pas été imputables. Mais il en allait tout à fait autrement pour ce compte Olivier Guichard du Rotary. L’hypocrite politicard, avec ses momeries et simagrées exercés pour la télé, s’est présenté sans vergogne en témoin contre Papon pour profiter du super-spectacle des Assises à Bordeaux, alors que le noble fiston a été un tout jeune assistant et secrétaire d’un authentique complice galonné des crimes contre l’humanité, et un des traitres des plus redoutables encore.

Mais comme Papon, en ministre,  a été simultanément justiciable de la Haute Cour de justice 1958 dans le cadre du complot contre la sûreté de l’État de ses homologues du grand banditisme international, le cachotier, avec la corde au cou, trouvait tout intérêt de jouer le perfide jeu. Les affidés de la Cour européenne des Droits de l’Homme n’ont pas manqué de récompenser par une indemnisation substantielle, par un jeu de faux en écriture et par la suppression de mon intervention dans la procédure à Strasbourg, son persévérance jusqu’au dernier souffle. Le magistrat, représentant la défense de la France devant la cour, comment s’est-il comporté en face d’une escroquerie judiciaire patente dans cette procédure truquée ? Quelles ont été les directives de son ministre ? Mystère. À fait longue feu, ma plainte à la Cour pénale européenne de Luxembourg contre ces crimes judiciaires. Pour empêcher la communication aux juges de la cour, la plainte a été interceptée et bloquée au greffe. (Preuves frappantes fin page 4 des blogs). {Images juges nazis européens}.

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Avec l’amplification de la récrimination «complice des crimes contre l’humanité » aux crimes politiques déjà jugés de l’ancien chef de la police française René Bousquet par la Haute Cour de justice 1944, parions, les voyoucrates du ministère public ne se sont rendu-compte que tardivement du scandal que je ne manquerais pas de déclencher avec ma science à l’audience publique devant la Cour d’assise de Paris. Si on qualifie ce fonctionnaire subordonné « complice », on qualifie par ce fait même ses supérieurs du gouvernement auteurs ou coauteurs, leurs autres proches collaborateurs,  complices du premier degré punissables. L’ancien ministre pétainiste Marcel Déat, un des traîtres clefs de la haut trahison de la France en tant que ministre de l’Air de la III° République, exfiltré et protégé par le Vatican, a trouvé refuge en Italie avec sa tirelire. Par la réussite du complot du Plan bleu, Déat s’apprêtait tout bonnement de revenir au gouvernement de la France. Pour dissimuler les attentats de ce genre-là  contre la sûreté de l’État de la Haute société qui les finance en douce par des fonds secrets, les magistrats des cours de justice en France, gaspillaient en toute impunité des sommes insensées du contribuable dans des ruineuses sabotages judiciaires, dans des lamentables mascarades des poursuites contre ses créatures du niveau inférieur dans l’accomplissement des crimes contre l’humanité. Ils se plaignent des surcharges de travaux. Comme nous le présentons ici, pour fabriquer des interminables mascarades judiciaires annulables d’office, ces maquignons trouvent tout le temps nécessaire.

Lorsque le 13 octobre 2000, s’en est rendu compte de la portée réelle de ma nouvelle intervention en référé d’ordre public, le Président du Tribunal de Grande Instance de Paris. M. Jean-Claude Magendie, maçon affairiste notoire du GLNF du T.G.I. de Paris, ce grand pote serviable de Sarko-les-Pots-de-Vin, a vite fait de faire disparaître la procédure relevant d’office de sa compétence ; son procureur de la République d’oublier les poursuites frelatées du cadavre de l’officier SS Aloïs Brunner, d’abandonner celle contre l’SNCF pour complicité aux crimes contre l’humanité (sic).

 Dissuadé par la traque des sbires des ministres de l’Intérieur de présenter mon argumentaire incontesté aux Assise de Lyon dans l’affaire les poursuites de l’SS Gestapo Klaus Barbi, l’argumentaire incontesté est présenté contre Brunner à Paris, personnellement à Magendie en référé. Dans l’exposé est précisé que les criminels allemands des forces d’occupation, sous peine de nullité générale et substantielle, ne peuvent être poursuivis que par le tribunal militaire spéciale, composé en partie par des membres de Forces française d’Intérieur et par des Résistants selon l’ordonnance du 28 août 1944 et la loi du 15 septembre 1948, figurant dans le Code de procédure pénale, encore en vigueur. Les guignols de juges, éliminaient dans la procédure les constitutions de parties civiles des Résistants, victimes du tortionnaire, alors, selon la loi, leurs représentants auraient dû faire partie de la Cour du jugement.  La belle affaire! Le rétablissement de la situation légale en France exige à ce que cette procédure des Assise de Lyon soit aussi annulée d’office dans l’intérêt de la loi.

Répétons-le, lors du procès de Nuremberg, les groupes du type SS ont été reconnus comme organisation criminelle indivisible : « Tous les individus appartenant à cette formation ou à ce groupe peuvent être considérés comme coauteurs… ». Chez les Nazis, indubitablement, est intrinsèque et implicite leur participation matérielle et morale, même s’ils n’ont pas été personnellement présents sur le terrain ou zone du crime. Telle est la portée des articles 59 et 60 du Code pénale 1806 et la jurisprudence de principe. Contre un malfaiteur de droit commun emprisonné, a été retenue par la Cass la complicité de son pote en liberté utilisant des moyens ignorés par son associé en taule pour d’autres délits. « Qui veut la fin accepte les moyens », est l’aphorisme qui a dirigé cette jurisprudence de principe. Et comme, paraît-il aux crédules, selon le droit fondamental rétabli par la Libération de 1944, tous sont égaux devant la loi et la justice… Donc, selon une saine logique juridique conforme aux droits fondamentaux, quand le lien de responsabilité de coactivité ou de complicité s’établit au rang social du bas, à plus forte raison, compte tenu de l’élément moral, il s’établit au rang social du haute.

 L’activité et la coactivité aux crimes contre l’humanité est une évidence qui saute aux yeux déjà par la coupable tolérance en 1941, légalisé en 1943, de ce gouvernement fantoche de laisser le lieutenant-colonel (Obersturmbann Führer) SS français Jacques Doriot et d’autres officiers SS récupérés parmi les truands dans les prisons, de recruter en France des citoyens diminués en « sous-hommes », pour former la Légion des Volontaires, intégrée dans la Division Waffen SS Charlemagne. Endoctrinés et mus de l’idéologie nazie, tous placés sous le haut commandement des officiers supérieurs et généraux SS pour la réalisation du génocide glorifié par la propagande.

Allant encore plus loin dans cette logique de  la Collaboration, ce gouvernement des auteurs et coauteurs zélateurs de Vichy, fit rentrer dans son sein le général SS Joseph Darnand en chef suprême des toutes les polices, gendarmerie, milice ; lui donne l’aval et la bénédiction du bien-fondé morale au recrutement des sous-hommes françaises pour constituer la Brigade d’assaut SS Frankreich, souvent par des membres de la Milice ou des professionnels de l’Armée française, démobilisée après l’occupation de la Zone libre par les troupes allemands.

*      *       *

Allons ! Allons ! Un peu de déductions logiques. Le père Edmond Giscard, un haut fonctionnaire du Ministère des finances, faisant ses preuves auprès du gouvernement des auteurs et coauteurs de Vichy, fut décoré par la breloque « Francisque », la plus haute distinction du régime du Maréchal Pétain. Sa spécialité : l’escroquerie de haute vole consistant de détourner à son profit des indemnités accordées aux filiales françaises sinistrées par la guerre d’Indochine, de réinvestir le magot dans l’immobilier. Devant le Conseil d’État, le pognon n’a pas d’odeur non plus. C’est le doux lubrifiant qui mobilise la mécanique de l’anoblissement par la récupération d’une particule aristocratique tombé en déshérence. Noblesse oblige, quand on s’est inventé chemin faisant vers l’élévation, l’instillation in-utéro dans la circulation des Vilains, de quelques gouttes du noble sang royal.

Les Giscard, c’est toute une histoire. Il leur fallait la création de l’Ordre national du Mérite pour parer à l’inflation galopante de l’Ordre de la Légion d’honneur par des récompenses attribuées à la pelle aux pires des ignominies de la corruption institutionnalisée. Par ce chapitre beaucoup trop vaste pour être résumé par mes moyens matériels limités, nous rentrons dans les récites incomplètes de l’historien allemand E.R. Carmin sur l’organisation nazie et néonazie combinant avec l’Église, et, de l’historien espagnol Jesus Ynfante sur « Les Crimes sous Giscard » : L’affaire de Broglie, l’Opus Dei, Santa Mafia, Matesa…

Allant de pair de l’atavisme d’escrocs de haute vole affligeant les Giscard, leur affinité spirituelle est très marquée avec les tenants de la restauration du Saint-Empire germanique fondé par le baptême du calamiteux exterminateur barbare Clovis I. Cet élément moral explique leurs accointances et acoquinages avec la Santa Mafia, les gladiateurs de la captation des âmes en peine de Dei (œuvre de Dieu), de la Loge maçonnique déviante du Vatican, de de la loge maçonnique néo-fasciste Propaganda Due (P2). La Commission d’enquête parlementaire en Italie l’a qualifié « organisation criminelle secrète ».  Que dire de leurs biens pires apanages en France ?

Dans ce contexte aussi, sont confirmés les révélations de E.R. Carmin, dans sa littérature documentaire escamotés dans les procédures de l’affaire Papon par les crimes de suppression des actes : l’établissant des relations internationales clandestines facho-nazies avec l’Argentine sous la présidence du général Juan Perón, (officier formé en Allemagne), de certaines personnes suspectées d’être liées à la CIA et à la Mafia sicilienne. Ces filières protégées du plus haut niveau du Pouvoir, procédaient à l’exfiltration des capitaux de la Reichsbank (Banque de l’Empire nazi) en 1943/44 avec ; en 1945, des têtes criminelles les plus dangereuses du régime hitlérien. Carmin en accuse le noble comte, grand-maître Licio Gelli de la maçonnerie déviante, (« excommuniée » du Grand Orient d’Italie), et commandeur des chevaliers de Malte, être une des personnalités clefs, avant même l’éclatement du scandale mémorable de la faillite de la Banco Ambrosiano, dont la Banque du Vatican était le principal actionnaire. Du détournement des milliards de lires, le magot est découvert dans les Bahamas en 2007. Le journaliste David Yallop attribue à cette conspiration néonazie-fasciste et mafieuse, en raison de sa préparation de la réforme des finances du Vatican, l’assassinat du pape Jean-Paul Ier le 28 septembre 1978, soit 33 jours après le début de son règne.

Qu’on cesse enfin de nous rebattre les oreilles par ce bastringue actuel de la désinformation sur le décès de Gestapo Müller en 1944, l’enterrement choquante de son cadavre dans une fosse commune du cimeterre juif à Berlin, rapporté par la pesse d’Allemagne, elle aussi, constamment en crise de manque d’une sensation pour maintenir ses tirages. Heinrich Müller, ancien chef de la Gestapo, publiaient depuis longtemps des historiens bien informés des services secrets avisés, a survécu dans le confort à la chasse aux nazis après la capitulation pour devenir un des chefs clandestins les plus importants en Allemagne de la réorganisation internationale du néonazisme, de l’organisation de l’association nazie « Kameraderie », chargée de l’exfiltration des chefs nazis les plus essentiels par la filière des monastères et cloitres. Pour reprendre une confortable vie nouvelle sous une honorable identité, les méthodes des sbires SS a été très simple pour des pervers de leur espèce. En raison du tatouage sous le bras du groupe sanguin, on repérait parmi les SS de rang inférieur un individu de stature semblable. On le bousillait pour laisser découvrir par les témoins le macab revêtu de leurs uniformes et avec leurs papiers dans les poches. Allez faire dans les ossements d’une fosse commune une analyse anatomique par les médecins légistes ! L’analyse génétique fut inimaginable à l’époque.

 Avec Adolf Eichmann, est passé en Argentine par la « Kameraderie », par l’organisation clandestine commandée des associés friqués du réseau international du Gestapo Müller, avant qu’il soit capturé par des commandos juifs. Parmi ses compagnons de marque des voyages organisés vers en Argentine, on trouve aussi « le, en 1945 « défunt » Martin Bormann. C’est l’adjoint et l’exécuteur testamentaire d’Hitler, à savoir le préparateur de l’organisation de la Troisième Guerre mondiale prophétisée par les oracles de la secte Thoulé. L’histoire attribue à cet ancien adjudant-chef les placements en Suisse de colossales fortunes personnelles, spoliées partout dans les pays occupés des nazis. Au lieu et à la place des fausses nouvelles scandalisant la foule crédule, les victimes aimeraient mieux de savoir pourquoi n’ont pas été inquiétés par une justice, les complices-receleurs de ce deuxième personnage du régime nazi, de ce magicien noir Bormann. Mais c’est toujours par ces raz-de-marée de fausses nouvelles spectaculaires, les médias stipendiés dissimulent aux citoyens et électeurs les vérités historiques essentielles. L’affaire Papon en France n’en est qu’un exemple éloquent parmi bien d’autres.ONU RecpetionNouvelleLetre Laborde

Dans la communauté de ces célébrités nazies « décédées », telles que Bormann ou le Gestapo Müller resté tranquillement dans son pays, des célébrités exfiltrés par les réseaux des monastères, exerçait dans le luxe la médecine pour eux en Buenos Aires, sous la protection personnelle du président Juan Perón, le docteur Mengele du Bureau de la Race et du Repeuplement. Un sous-fifre SS comparé à l’ingénieur général SS Dr Karl Franz Kemmler. À la fin de la guerre, ce le troisième dans la hiérarchie nazie, a été « l’homme le plus capable et plus doué », selon l’appréciation de Himmler. Celui-là a été exfiltré avec son colossale fortune par ODESSA, le réseau du CIA spécialisé de la récupération des savants et ingénieurs nazis. Kemmler, SS ingénieur spécialiste de l’installation des armes secrètes nazies ‑ les fusées et la bombe atomique en cours de réalisation à Jonastal ‑ fut aussi le concepteur des camps d’extermination. La CIA s’est rapidos débarrassée de ce monument des crimes contre l’humanité, l’ont fait cadeau au président Perón d’Argentine. Il en avait besoin pour la réalisation dans le Tucumán de ses sinistres projets avec la collaboration de tous d’un réseau de hauts nazis manquant à l’appel des cours de justice.  Le Dr Heinrich Dorge, conseiller du Dr Schacht, ministre des Finances de Hitler, en ancien directeur de la Reichsbank, assurait le financement, par la gérance en Argentine, des fonds astronomiques détournés en Allemagne, laissée exsangue dans les ruines, et, recelé dans des planques à Zürich. (E.R. Carmin). Si la justice a réussi d’extraire de ce réseau nazi ces sous-fifres, le gazier SS Adolf Eichmann et le Gestapo capitaine Klaus Barbi de Lyon, c’est parce que, ils s’agissaient des enfants pauvres, désargentés, et, en tout manière sans importance pour la prospère organisation néo-nazie. Et, l’occultation de ces faits historiques capitaux a été organisé par le rallongement à l’extrême des sabotages de l’affaire Papon à Bordeaux, recels des malfaiteurs et de leurs capitaux couverts par la Cour européenne des Droits de l’homme et de la Cour pénale de la Communauté européenne de Luxemburg, alors que l’affaire relevait en exclusivité de la compétence du Comité des droits de l’Homme de l’ONU, bien auparavant saisie par Dietrich et par son intermédiaire M. Éric Laborde-Hondet.

Papon Touvier Barbi

ONU Papon Conseil d'Etat.

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En ministre encore, Valérie-le-Surdoué (sic), attesté aux fins de propagande électorale par une savante littérature psy subventionnée, il s’est servi des intrigues au ministère des Finance en tremplin de décollage à la Présidence de la République. Sont légendaires les accointances avec toutes ces sombres combines du Rotary, de la Santa Mafia, Opus Dei, les combines en Espagne avec le régime du général Franco, un grand compagnon d’arme du Maréchal Pétain dans la guerre du Riff. Complice à l’ambassade de France à Madrid, notre grand homme idoine, officiait en intercesseur dans les banques à Genève à la récupération pour le compte des facho-nazis des fosses communes, des dépôts mise en sécurité par le régime républicaine légitime, démocratiquement élu en Espagne. Tenant compte de la proportion des surfaces respectives de l’Espagne franquiste et du reste de l’Europe sinistrée par les nazis, il est fort à parier qu’est bien plus élevée le pourcentage des exterminés en Espagne à l’aide des unités nazis de Hitler et de celles des fachos de Mussolini. Ce secret d’État d’autres crimes contre l’humanité est jalousement préservé de la curiosité par la persécution des juges actuels à Madrid.  Les fosses communes, telles inspectées à Katyn en Russie, en Espagne, elles sont très nombreuses, disséminés sur tout le territoire : des humbles électeurs et électrices trouvés sur des listes électorales des circonscriptions dans lesquelles la gauche républicaine a été gagnante.

De Giscard, l’ancien financier des campagnes électorales, l’agent de change Xavier de La Fournière, avec un gouffre de 50 millions dans ses comptes disparus aussi, s’est fait suisci-trucider en prison selon la veille tradition pénitentiaire. Le 17 décembre 1992, par voie d’intervention dans la procédure, en conformité aux dispositions de l’article 87 et 203 du Code de procédure pénale, j’ai honoré le juge d’instruction de Paris Jean-Marie Charpier d’une constitution de partie civile par voie d’intervention. Lui ont été exposé les détails du complot contre la sûreté de l’État, le régime légal de l’exclusivité de la compétence de la Haute Cour de justice. À l’instar de l’affaire Chaumet/Chalandon, le dossier remonte au complet à la Cass, en passant par la Cour d’appel de Paris, avec la mise en cause nominative les membres du gouvernent (Papon, Chalandon, Pasqua…). À la Chambre criminelle Christian Le Gunehec, le président placé sur mon chemin depuis le départ pour tous les tripatouillages, a mis un terme à la procédure par des faux en écriture et des crimes de suppression des actes de procédure. (Crim. 11 avril 1994, B N° 94-83. 959.D||Crim. 7 juin 199 n° D 94-80.097, Dupont). Grandie du prestige de la chevalerie de la Légion d’honneur, ce vieil gagneur par des falsifications de toute sortes, a fonctionné derechef en juge et partie déjà mise nominativement en cause dans la qualification criminelle « Complot contre la sûreté de d’État ». « On n’est jamais mieux servi que par soi-même ». (Preuves incontestées et références produites dans les blogs).

Pour apporter encore un peu de l’eau au moulin de la révision de l’Histoire, les justiciables éconduites pourraient aussi se souvenir des tas de diamants volés à Bangui à leur brillant Empereur sacrée Bokassa du Centre-Afrique, inestimable fortune subtilisée par les agents de ses chers amis, des inventifs promoteurs en France du régime bizarroïde ; de l’attentat propagandiste électorale à Ajaccio ayant bousillé dans l’explosion des touristes suisses.

 De Valérie, en plongé rapide dans les sondages, l’éminence grise présumée a été Jean Riolacci. Il s’est déjà distingué en préfet du département Tarn 81 (1972/75) dans tous les secteurs du crime organisé : les faux certificats de conformité délivrés aux les intouchables escrocs immobiliers de haute vole, des fausses cartes de grises à l’industrie des voleurs de voitures, des escroqueries, exactions et concussions du Percepteur de Castres Jean-Paul Scoffoni, un des séides du SAC du capo di capo Pasqua. Ensemble, stipendiés par les laboratoires Fabre de Castres… la conjuration s’est concertée pour en finir l’élimination judiciaire du juriste battant Dietrich, de ce battant de para devenu justicier qualifié, implanté dans le système véreux du crime organisé du Potard multimilliardaire, de « l’empereur » du Tarn, à travers du 8° Régiment de Parachutistes de l’Infanterie Marine, stationné à Castres.

Feu Jean Riolacci, cette splendeur de préfet de la région Corse, passe aussi chargée de mission à l’Élysée (1977 et 1981). Là, l’éminence grise copine avec l’énarque Philippe Aucouturier, conseiller technique à l’Élysée avantageusement connu de Valérie, apprécié par son épouse. C’est l’influent et prospère fils du notaire spoliateur Me Jean Aucouturier, ­‑ escroc associé secrètement aux juges spéculateurs ‑, officiant dans la circonscription électorale de M. Maurice Papon. Depuis le 27 juillet 1992, le notaire avec ses copains du Rotary bénéficie du blocage de l’instruction, comparable à Papon à Bordeaux, par la violation de la compétence légale des juges d’instruction du droit commun, organisée par des ministres de la Justice et de l’Intérieur successifs à l’aide des taupes implantées à Bourges: Juge rouge Bidalou en instance de la récompense de réintégration ; le Lieutenant-colonel Yves Chalier, malfaiteur extradé du Brésil où il s’est réfugié auprès de  la mafia avec le vrai-faux passeport du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Blog p. 5 et 6.

À Bourges, après des décennies de tracasseries et harcèlements des victimes sous l’égide d’une succession de juges d’instruction usurpateurs de leurs pouvoirs légaux sous l’effet du trafic d’influence des ministre du régime de Valérie Giscard d’Estaing et de ses successeurs, les pouvoirs publics se sont résignés pour la propagande électorale de lever les obstruction de la justice, de faire passer aux Assises de Bourges, sans ses coauteurs et complices, le notaire affuble des circonstances psychiatriques atténuantes sa responsabilité pénale, adoucissantes le régime pénitentiaire propre aux VIP. Les plus grands partis du magot a passé dans une des paradis impénétrables.

Roccard Toit Castres Giscard Vuillemin

 Les injures humiliantes du 10 mars 1994, des journaleux de la feuille de choux du lieu « La Nouvelle République du Centre-Ouest » (Blogs p. 11) engendraient mon exclusion par le discrédit ;  ont permis la substitution à mes écrits édifiants, des effets de manche stériles du médiatique l’avocat félon Gilbert Collard, l’indécrottable édredon du Front national encrassant à présent un fauteuil de l’Assemblée nationale. Le terrorisme à mon domicile des ministres de l’Intérieur de Charles Pasqua à Sarko-les-Pots-de-Vin, empêchait ma présentation aux Assise de Bourges en véritable conseiller confirmé de l’association de défense des victimes du notariat ; la présentation aux jurées le déclinatoire de compétence supprimé à tous les stades de la procédure. (Pages 5 et 6 des blogs). Ne sont pas encore rapporté tous les procédés fripouilles de ces machinations d’élimination combinées à la La Courneuve, manigancés ou couverts par le ministre de l’Intérieur, l’avocat Me Claude Guénant, secrétaire générale à la présidence de la République de Sarko‑les‑Pots‑de­‑vin et bien entendu maçon de la Grande Loge National de France qui est un de ses promoteurs et composant de son régime.

Du temps des camouflages et maquillages de l’assassinat du ministre Robert Boulin Franc-maçon du GLNF, impliqué dans le trafic de drogue de la French connexion, on trouve Jean Riolacci (1977‑81) au Cabinet du ministre de l’intérieur, Christian Bonnet, en chargé des problèmes de défense. Son acolyte : « Quelle rôle a joué Claude Guénant dans l’affaire Boulin », se pose toujours la question la presse ? (*) Ce faux-frère de la GLNF devenu l’éminence grise à l’Élysée de Sarko-les-Pots-de Vin. Et surtout, quel rôle a-t-il joué dans l’élimination du juriste Dietrich ayant mis les lumières dans l’obscurantisme concerté, en a même transmis aux fins de la saisine de l’Assemblée nationale 1981 le député Michel Rocard (futur Premier ministre) avec un dossier éloquent, mettant même en cause l’ancien ministre des Finances Valérie Giscard d’Estaing. ((*) Médiapart, documentaire d’Antoine Perraud (« Affaire Boulin : une bassesse française ») mis en ligne le 28 janvier 2013).

{Légende de l’image : Une des publications du contenu du dossier ayant précédée l’arrestation illégale de Dietrich, manigancée à Castres par le procureur de la République J.L. Vuillemin, son envoie d’abord  la maison d’arrêt près de Bordeaux, ensuite à la forteresse psychiatrique de Cadillac. Applicables dans l’information à décharge contre les magistrats de Castres mises en causes pour forfaitures d’excès des pouvoirs, les constructions juridiques du juriste Dietrich sur les violations des dispositions d’ordre public des articles 679 et suivantes du Code de procédure pénale furent détournées par les autorités de Bordeaux pour faire annuler illégalement la procédure d’information de l’ancien ministre Maurice Papon, en réalité justiciable par la Haute Cour de justice 1944, et, concomitamment de la Haute Cour de justice 1958, avec ses anciens comploteurs contre la sûreté de l’État au gouvernement}.

 Ajout du 11/12/13. Du temps des camouflages et maquillages de l’assassinat du ministre Robert Boulin Franc-maçon du GLNF, impliqué dans le trafic de drogue de la French connexion, on trouve Jean Riolacci (1977‑81) au Cabinet du ministre de l’intérieur, Christian Bonnet, en chargé des problèmes de défense. Son acolyte : « Quelle rôle a joué Claude Guénant dans l’affaire Boulin », se pose toujours la question la presse ? (*) Ce faux-frère de la GLNF devenu l’éminence grise à l’Élysée de Sarko-les-Pots-de Vin. Et surtout, quel rôle a-t-il joué dans l’élimination du juriste Dietrich ayant mis les lumières dans l’obscurantisme concerté, en a même transmis aux fins de la saisine de l’Assemblée nationale 1981 le député Michel Rocard (futur Premier ministre) avec un dossier éloquent, mettant même en cause l’ancien ministre des Finances Valérie Giscard d’Estaing. ((*) Médiapart, documentaire d’Antoine Perraud (« Affaire Boulin : une bassesse française ») mis en ligne le 28 janvier 2013).

Dans le « star-système de la République spectacle », (Prof. Schwarzenberg), la super médiatique juge d’instruction Eva Joly (non qualifié des titres universitaires nécessaires pour être admise dans la magistrature), associée après coup avec l’autre bien qualifiée celle-là, a retrouvé avec celui de Charles Pasqua, aussi le nom de son acolyte de Nice Jean Riolacci parmi les illustres bénéficiaires du détournement des fonds de la société nationalisée Elf Aquitaine international. Cette nouvelle résurgence des combines mafieuses de la canaille de la haute finance n’est forcément que le prolongement de l’escroquerie monumentale du temps où le ministre de la justice Albin Chalandon a été le directeur d’Elf avec son invraisemblable invention des « Avions renifleurs » (des fonds publics à détourner). C’est une certitude qui saute aux yeux d’un observateur moyennement doué : la nouvelle affaire Elf Aquitaine sur les détournements massifs des fonds, n’a pu se produire grâce à l’élimination du plaignant intervenant Dietrich dans l’affaire Chaumet/Chalandon aux correctionnels de Paris : la suppression criminelle de son déclinatoire de compétence bien étudié et sérié, présenté à l’audience publique, contradictoirement,  l’argumentaire savant de la  revendication de la saisine sans délais la Haute Cour de justice. (Page 3 des blogs).

Dans les années 1995, pour ne plus susciter des voies de recours dispendieuses contre les forfaitures indécrottables de la prévarication d’excès des pouvoirs des juges carriéristes, le juriste DEA vacciné a transmis à la Joly-Joly juge d’instruction, à titre de « témoignage », (non éliminable sous peine du crime de suppression des actes), les dossiers précités.  Ce monument de corruption Eva Joly, cette idole trompeuse du juge incorruptible de l’épate des télé-gogos-spectateurs s’en est fait son affaire à elle de la précieuse marchandise à la quelle Dietrich a été réduit depuis ses débuts à la sortie de l’Armée. Au lieu de faire preuve de son héroïsme d’emprunte par la provocation de la saisine de la Haute Cour de justice, l’accapareuse du filon d’or à la médiatisation de ses charmes, s’est acharnée durant des années sur un homme de paille, le dressant en paravent devant le beau linge de l’haute du pavée politique.

Pas besoin d’être licence en droit pour réaliser que l’ex-sergent-chef para Alfred Sirven, des dirigeants, n’a été, que le mercenaire des missions et des commissions occultes sans pouvoir de décision dans la société Elf-Aquitaine. Les 3 ans de cavale de la tête de turc aux Philippines, n’a été mise en scène que pour entretenir le roman-feuilleton de suspense devant les abjections de la réalité : l’organisation méthodique des détournements des fonds publics vers des célébrités politiques en vue. En épargnant la coterie friquée, incluant Valérie Giscard d’Estaing, Charles Pasqua avec leurs fidèles malfrats, les médias de multimilliardaire  ont construit à la jugette idolâtrée le tremplin à l’élévation à la députation au Parlement européenne. Cette farce médiatico-judicaire à l’apothéose d’une séductrice d’un rejeton boutonneux du grand monde influente la carrière insensée d’une ancienne starlette sexe-roulure norvégienne, combien a-t-elle contribuée à la ruine de l’économie française ? Vous donne une idée l’historien Roger Vincent Aiello : « Dans les coulisses d’Elf Aquitaine ». Manuscrit.com. Dans ces détournements des fonds public, y avait de quoi pour renflouer le trou de la Sécurité sociale creusé par les combines de cette intouchable coterie mafieuse, ces malfaiteurs déprédateurs coalisés de haute vole qui mettent la France en coups regelés n’y payant même pas leurs impôts.

Avec les accointances vermoulues de Valery avec le superpréfet Jean Riolacci, tous les chemins reconduisent ainsi à Castres à ses compromissions avec le Rotary dans les escroqueries immobilières de haute vole, vers le talon d’Achille du monstre de la dépravation des institutions républicaines. Astucieusement, sans m’en rendre compte au départ, je fus embarqué dans cette funeste galère, vite jeté par-dessus bord par le procureur Jean-Louis Vuillemin du Rotary, gazé en détention provisoire par ses Ripoux, écrasé par des forfaitures d’excès des pouvoirs de ses juges aux ordres, séquestré, torturé, pris chasse par des tueurs lors de l’interminable cavale.

L’organisateur initial, déplacé de Castres à Perpignan pour saboter en 1992 l’instruction des détournements des fonds par ses copains du Rotary, (dont le député R.P.R. Jacques Ferran), l’ex-procureur rusé Vuillemin du Rotary a cependant retrouvé sur son chemin son contradicteur évadé des geôles près de Bordeaux où il l’a fait séquestrer. Avancé au grade de Premier Président du Tribunal de Grande Instance à Perpignan, l’ancien truqueur à Castres en 1977, comptait de remettre ses astuces criminelles d’obstruction à la Justice de la Haute Cour en application. Saisi par la procédure d’urgence de référé par les avocats des truands, Vuillemin comptait cette fois-ci faire bousiller par les forfaitures éprouvées de son hiérarchie gangrénée l’entreprenant Procureur de la République M. Louis Bartoloméi rien pour l’empêcher de « nettoyer les eaux glauques dans lesquelles baignent certaines affaire du département ».

En expédiant ce magistrat intègre, « dynamique contre  la corruption », devant le Conseil supérieur de la Magistrature à Paris, Vuillemin m’a livré les verges pour le fouetter par mon intervention par le témoigne spontané dans la procédure tendancieuse. Sans tergiverser, le Conseil supérieur de la magistrature a été tenu par la loi, d’office, de faire saisir  la Haute Cour de justice pour dénoncer ces crimes des comploteurs contre la sûreté de l’État. Silence radio ! Ne touche pas à mon pote !

Avec mon déclinatoire de compétence bien étoffée, je remis en œuvre ma constitution de partie civile par voie d’intervention dans la procédure d’instruction paralysée à Perpignan. Par l’exercice des voies de recours contre l’obstruction intolérable à la compétence exclusive de la Haute Cour de justice, des avocats des victimes m’ont fait savoir d’avoir fait parvenir ce dossier édifiant à la Cour de cassation… Silence radio ! Ne touche pas à mon pote !

 Mais avec ça, le boucle est de loin d’être bouclé. Par un coup de chance inouïe, une  publication m’a fait connaître dans l’Armée le système de l’arme secrète aux effets si hallucinants que leur nature incroyable aux communs ne puisse pour l’instant être décrite. Pour m’en soustraire, après avoir été poursuivis à travers Paris, il ne me restait plus de flamber les dispositifs des utilisateurs.

Et voici les jalons planté pour l’historien du sinistre des nobliaux en pacotille Giscard. L’évocation de l’émergence en correctionnel du frère Charles Giscard d’Estaing nimbé de son auréole du Rotary, joint à l’ancien député-ministre Michel Noir de Lyon et sa bande d’escrocs de la Côte, présente bien plus d’intérêt : la procédure avortée à Lyon relevant de la compétence exclusive de la feue Haute Cour de justice, est une de celle dont l’annulation dans l’intérêt constitue une question préjudicielle incontournable à la poursuite judiciaire du complot complexe contre la sûreté d’État combattu personnellement par moi.

N’a soulevé pas la moindre contradiction, la procédure contradictoire à Lyon, sous la houlette du médiatique procureur général  Jean-Louis Nadal grandiloquent : « On-a-défiguré-la-justice ». Une véritable trouvaille sur internet, ce furtif fantôme saboteur barrant sournoisement mon évolution judiciaire, de 1982 jusqu’ en 1996 aux nombreux coups bas assénés au juge Éric Halphen à Créteil, l’assassinat psychiatrique de son témoin, la mise en sécurité de la curiosité des dossiers compromettant les anciens compagnons de Papa, par le ministre de l’Intérieur Michel Debré, assise ensuite dans le fauteuil du Conseil constitutionnel à côté de Giscard… la suppression de mon déclinatoire de compétence régulièrement et personnellement enregistré au greffe. Ne touches pas à mes pots compromis jusqu’aux cous dans l’information houleuse contre l’industrie des fausses factures en Île de France de ces maçons déviants, du Rotary et des vieux chevaux de retour de l’ex-SAC !

Ce Nadal « On-a-défiguré-la-justice », encore un illustre maçon de la Grande Loge Nationale de France « pataugent dans les tous scandales avec ses dérivés affairistes », selon l’Express et le Charlie-Hebdo du 29 septembre 1999 ; scandales couvertes aussi par son protégé, le juge d’instruction «d’exceptionnelle qualité » Philippe Courroye. (Blog p. 10). On saisit ainsi mieux les motifs du déplacement fort opportun de Lyon, en procureur, près du Tribunal de Grande Instance de Nanterre : désamorçage des scandales du financement occulte de la carrière politique désastreuse de Sarko-les-Pots-de-Vin par la déstabilisation de l’inflexible juge d’instruction, Madame Isabelle Prévost-Deprez.

Le 13 février 1995 à Lyon, devant la cohorte de journaleux alléché du scandale salissant le beau linge de la classe politique, (dont un m’a reconnu en intervenant à Paris contre le  ministre de  la Justice Chalandon pour me serrer la paluche), j’ai profité de rafraîchir le mémoire de l’avocat Maître Jean-Marc Varaut avec mes exposés. Tout a été enregistré devant les parties et leur gallérie par le greffier audiencier, sériant des tripatouillages de l’affaire Papon à Bordeaux. Par son digne retenu habituel, Me Varaut y a été le plus brillant des avocats maquignons de la  défense frelatées de Papon à l’autre bout de la France. Devant les prétentieux maquilleurs cérémonieux des palais de justice,  les grands esprits se rencontrent toujours sur le chemin des absurdités. Ainsi à Lyon ont été placés les jalons judiciaires à l’intention de justiciers avisés, souhaitant de se faire éreinter dans la poursuite de la Santa Mafia internationale du cercle vermoulu des nobles Giscard avec l’exigence d’une enquête sociale complète sur les imbrications historiques et internationales. Devant mes révélations démonstratives en béton, aucune prescription ne tient, aucune décision frauduleuse ne résiste à l’exception de nullité.

*      *       *

Pour placer devant sa responsabilité le Ministre du Budget d’alors Maurice Papon, avec les autres victimes de son zèle meurtrier manifesté dans les opérations criminelles du gouvernement exterminateur de Vichy, Michel Slitinsky s’est basé sur l’incrimination jurisprudentielle du Tribunal militaire international de Nüremberg, prise au sujet des poursuites pénales de la « gallérie du grotesque » du régime nazi avec ses SS : crimes contre l’humanité, imprescriptibles. Seulement, ses conseillers ne l’ont pas renseigné sur la définition légale française adjacente, dominante les poursuites des collaborateurs pour des crimes contre l’humanité : « l’intelligence avec l’ennemi » (à son programme affiché de génocide), crimes des fonctionnaires et commandants militaires français,  justiciables en exclusivité par la Haute Cour de justice 1944. L’acolyte de Papon, le directeur de la police de Vichy René Bousquet, avait déjà été jugé auparavant par cette Haute Cour de Justice pour des actes de collaboration. La qualification « crimes contre l’humanité », n’était pas encore rentrée au droit positif français.

Vers le mois mai 1981, c’est seulement par le tohu-bohu du bastringue des médias, déclenché par le « Le Canard enchaîné »,  ensuite par la publication livre documenté de Michel Slitinsky « Affaire Papon », (éd. Alain Moreau 1983), les victimes ont réussi de bousculer le ministre de la Justice de l’époque pour qu’il fasse saisir enfin, par le procureur de la République, un juge d’instruction de droit commun à Bordeaux. Un des anciens ministres de la Justice de ce gouvernement des « Gangsters d’État » a été l’illustre professeur en Droit Jean Foyer de l’université Paris II Panthéon-Assas, fils de notaire, député à l’Assemblée nationale de 1968-1972 et 1973-1981.

 En tant que grand spécialiste reconnue de ses paires de la question, (créateur de la Cour de sûreté d’État pour juger les putschistes de l’O.A.S.), le professeur Foyer tenait régulièrement à jour  dans « l’Encyclopédie du Droit pénale Dalloz » les chapitres de la procédure pénale applicable devant les Hautes Cour de justice. Doctement, il y a été précisé aux Procureurs, juges et avocats que la Haute Cour de justice de 1944, toujours existante, n’a simplement cessé de fonctionner en raison de l’épuisement des affaires connues de la Collaboration du régime de Vichy. Par voie de conséquence, la nouvelle Haute Cour de justice de 1958 ne pouvait pas en être saisie. Ni le juge d’instruction du droit commun, ni la Chambre d’accusation de Bordeaux et de Versailles ensuite, ont été habilités par la loi d’informer sur les Collaborateurs visées par la plainte de Michel Slitinsky, précisais-je en noir et blanc à ces juridictions prévaricatrices, jusqu’à la Cour de Cassation et au Conseil d’État.

En 1981/82, lors de la séquestration dans la maison d’arrêt près de Bordeaux et de la forteresse psychiatrique de Cadillac de la commune voisine de la ville, je fis démonstration à toutes les autorités judiciaires et préfectorales à Bordeaux, dans des requêtes motivés aux fins de libération sur-le-champ, des conséquences de la forfaiture prévaricatrice, des violations des procédure spéciales, (identique  à celle de la Haute Cour de justice), des articles 679 et suivantes du Code de procédure pénale (abrogés bien plus tard), jurisprudence et doctrine à l’appui : l’illégalité absolue, sous peine de « nullité générale d’ordre public et substantielle », des juridictions d’information de poursuivre un préfet, un maire ou ses adjoints pour des crimes et délits « aussi faible que soit la charge ».

 Tandis qu’il est tenté de me trucider en séquestration et  après l’évasion, les magistrats comploteurs firent bénéficier à tort et à travers mes constructions juridiques au secrétaire de la préfecture Papon, évidemment simple complice du Préfet René Sabatier. Si âgé qu’il n’avait plus rien à craindre du glaive de la Justice, le moribond ne cessait de le couvrir publiquement, pour en rire de la poursuite si tardive. En sa faveur et son complice Papon, la procédure d’instruction fut illégalement annulée à la Cass, tandis que pour moi, aujourd’hui encore, la procédure viciée par les procédés identiques est toujours maintenue pour me laisser réduit dans la situation d’un paria discrédité avec ma science universitaire.

À Bordeaux, cassait sa pipe, ce grand vieillard de préfet René Sabatier, à peine la nouvelle procédure d’information ouverte par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Bordeaux incompétement saisie. Dans son arrêt de rejet de mon intervention, le président de Bordeaux atteste à Christian Le Gunehec à la Cour de cassation, (Crim. n° J 92‑83.912.D du 8 décembre 1992), ma revendication de la saisine de la Haute Cour de justice et implicitement mon argumentaire sérié : la procédure spéciale des poursuites des préfets n’est plus applicable au complice Papon du préfet. Le décès du préfet a éteint l’action pénale contre lui, et, à titre individuel son secrétaire Papon n’est pas protégé par les dispositions des articles 679 et suivants du Code de procédure pénale.

 Selon la loi, la jurisprudence de principe et la doctrine rapportée à la Cass, la Chambre d’accusation de Bordeaux a perdu sa factice compétence légale d’informer. En théorie, dans l’absurde logique de leur passe-droit, l’affaire aurait dû être renvoyée au juge d’instruction du droit commun, toujours sous peine de « nullité générale d’ordre public et substantielle » appliquée auparavant. Le président de la Chambre criminel Christian Gunehec, rejetait, à répétions, mes nouveaux pourvois en cassation en raison de l’irrecevabilité de leur enregistrement au greffe par correspondance de l’évadé traqué (Sic). Copies fin page 4 des blogs.

Le même Président Le Gunehec, qui s’est cassé en quatre pour homologuer les pourvois fantaisistes de mes adversaires copieurs, annule encore les procédures d’information contre des magistrats de Paris soudoyés de la pègre de la ville. Ce tour de passe-passe illégale dissimulait aux victimes potentielles, à moi surtout, l’identité des juges soudoyés, auteurs des décisions partiales rémunérées par des pots-de-vin. (Marchi et autres). Toute ma science acquise par des études université acharnées n’a profitée qu’aux partis adverses des gangsters du crime organisé du grand banditisme, non recensés sur les fichiers nationaux et internationaux.

Par la récupération subreptice de la science de mon argumentaire présenté à Bordeaux dans l’affaire Papon, en mon avocat félon fit jouer le même tour de passe-droit 1989 devant cours d’appel de  Metz et Nancy, réussit de faire annuler en cinquième vitesse par la Cass, et, en finale pas l’Assemblé plénière, la procédure d’information parfaitement régulière de l’irréprochable juge d’instruction Gilbert Thiel.

 Dans l’information régulière du juge Thiel ont été parfaitement démasqués les affairistes du Rotary compromis dans des détournements des fonds dans le cadre du crime organisé du grand banditisme avec des attentats aux explosives et d’assassinant en marge. Par un commando de la Police, le ministre de l’intérieur Charles Pasqua, fauche au juge d’instruction Thiel les preuves chargeant ses gangsters associés. Les écoutes téléphoniques de leurs combines de grand banditisme connexe furent annulées dans la foulée. Mes constitutions de partie civile par voie d’intervention furent supprimées partout, avec la collaboration du président Christian Le Gunehec, dans plusieurs pourvois en cassation aux fins du renvoi des procédures à la Haute Cour de justice 1958. Crim. 16 avril 1991 n° M 91‑80.092 D. Berthiau.|| Crim 3 novembre 1992 n° K 92‑84.051 N, Zambeaux. Je suis sans nouvelles du sort réservé par l’Assemblée plénière de la Cour de cassation à ma contestation de la compétence légale du 5 novembre 1992 au profit de la Haute Cour de justice.

En tout évidence, toujours traqué, menacé de la répétions de l’arrestation illégale, je me suis trouvé dans l’impossiblité insurmontable de me présenter personnellement aux juridictions à Bordeaux (et plus tard à Grenoble et Nice). Dans cette situation, la loi m’autorisait parfaitement l’accomplissement de toutes les procédures par correspondance, ou encore mieux de faire un scandal à l’audience publique devant la Cour d’Assise à Bordeaux. L’introduction du sortilège de la télévision dans la salle d’audience a rendu totalement cinglé tout le monde, tourné le spectacle en apothéose des clowns circadiens, cherchant de se singulariser devant les journaleux par des plus ridicules numéros de bouffonneries au lieu d’exiger l’application de la loi d’ordre public.

 Lorsque les circonstances me l’ont permis, avec l’inclusion du dossier Papon, je me suis rattrapé aux audiences publiques Paris en 1988, puis à Lyon, en commençant par la démystification écrite aux juges, aux avocats et au journaleux les tripotages de l’affaire Chaumet pour soustraire de la Haute Cour de justice l’ancien ministre de Justice comploteur Albin Chalandon. Mais la continuation de mes interventions bouleversant la mise en scène des mascarades dirigée du sommet du Pouvoir, devant les Assise à Paris fut déjouée par l’assassinat de l’ancien chef de la Police de Vichy René Bousquet par un mytho-mégalomane instrumentalisé à l’aide de la magie des média. De l’artisan aux mobiles fumeux, trop bien renseigné, trop bien organisé, son procédé arrivé à pointe, ne relève pas du simple fait divers allégué.

Après la judicieuses intervention personnelle aux audiences publiques correctionnels à Paris contre les acolytes, naguère avec Papon au gouvernement, j’ai effectué régulièrement tous les actes de procédures et les recours personnellement jusqu’à la Cour de cassation. Les références et demandes faites dans les exposés claires et  précises, aux criminelles tripotages de l’affaire Papon à Bordeaux, ont été systématiquement occultés dans des brefs décisions de rejet : des faux en écriture publique patents par omission et par commission et des crimes de suppression des actes de procédures en série, suivis des récompenses des magistrats fraudeurs par les trafiquants d’influence, bénéficiaires des fraudes au gouvernement des vendus. Un tout petit entrefilet de dénigrement injurieux dans une épluchure journalistique du torchon  « Libération » du 10 octobre 1991 a foudroyé ma réputation du juriste qualifiée. Deux journaleux, informé de l’enjeu de  la bataille judiciaire se déroulant devant leurs yeux, ont réussi, moyennant finances, me faire isoler socialement des associations de défense des victimes dindonnées par leurs avocats félons, notamment à Bourges et au Le Mans.

Avant même de recommencer des poursuites régulières, la France se trouve à présent dans l’obligation de faire annuler d’office la totalité de ses procédures truquées, de rétablir la situation légale, la restauration des lois abrogées subrepticement par les suppôts soudoyés de la canaille friquée, l’indemnisation des victimes, personnellement par les fauteurs qui ont engendrés leurs importantes préjudices, quel que soit leur rang dans ce régime corrompu du haut en bas de l’étage. Une Justice égalitaire et impartiale, n’aurait-elle pas dû examiner depuis fort longtemps cet aspect de l’historique des faits incontestés sous la qualification légale « association de malfaiteurs  » ?

Four crématoire Avocat gal Cass. Piat

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La récapitulation provisoire est ainsi interrompue en raison de l’inaccessibilité aux dossiers contenant et des preuves essentielles et  de l’impossibilité de retrouver une documentation scientifique sur des machinations à couper le souffle aux plus endurcis des salopards du ministère public. La recherche de cette documentation sur une arme secrète aux effets hallucinants, susceptible produire encore autre un scandal international monstre, a produit l’arrestation illégale de l’ingénieur général (***) Sami Albagli, suivi de son assassinat dans une cellule de l’hôpital psychiatrique Saint Anne de Paris.

 Il reste aussi à éclaircir mon isolation sociale et judiciaire dans l’enchaînement des intervention l’affaire du Sang contaminé tripotée par la Président Christian Le Gunehec, par la présentation en grand spectacle, pour m’avilir par personne interposée, des assassinats de jouissances des jeunes militaires de Mourmelon, l’imputation invraisemblable à l’Adjudant-Chef Pierre Chanal, selon le message reçu de mon ancien amour à Mourmelon ; le suicide de l’adjudant-chef encore plus invraisemblable dans la cellule de sécurité de haute surveillance à la suite de mon intervention dans la procédure à Châlons-sur-Marne. (Blog page 13). Cependant, ce scandal risque de passer au second plan, si je parviens de retrouver  la documentation sur cette révolutionnaire appareille hertzien ratée, évoluée en arme ultrasecrète aux effets hallucinantes, et, de son application probable dans des assassinats en série par des gens ne réalisant pas ses effets, ne disposant pas d’une culture et d’un vocabulaire pour expliquer rationnellement une réalité dépassant les inventions des romans de sciène fiction…

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(*) Le père Paul Dietrich, durant la Deuxième Guerre mondiale, a été mobilisé par l’Armée suisse (milice) pour assurer la garde de la frontière contre l’Allemagne nazie. Impuissant, le bidasse a été spectateur d’un massacre bestial des SS des fugitifs cherchant de traverser la frontière de la Suisse. La guerre terminée, Paul Dietrich s’est pris aux officiers suisses, déserteurs, engagés dans la Waffen SS. Un d’eux au moins, un avocat de Zürich, a été officier instructeur dans le camp de formation des Waffen SS français, suisses et autres à Sennheim en Alsace. Par des mystères encore inconnus, ces officiers suisses de la Waffen SS ont réussi de s’éclipser des boucheries à l’Est dans leur prospère et passible patrie des receleurs, et reprendre leurs honorables situations comme si de rien n’était.

 Lors des trucages des procédures judiciaires contre Maurice Papon à Bordeaux à l’aide de la récupération de l’argumentaire de Peter Dietrich, les psychiatres de Toulouse et de Cadillac ont retournés comme une lavette sa sœur Hanni Dietrich, accourue à son secours avec son ex-mari Kurt Kurzen. (Il ne s’est pas laissé corrompre ; a sauvée ensuite la mise de son beau-frère Peter). Entre autres inepties très-très scientifiques, les psys ont suggérer à la sœur de Peter Dietrich faire état des contentieux judiciaires de son père Paul Dietrich, sans se soucier de leur contenus.

 Or, quoi qu’il en soit, la référence a été faite dans les enquêtes sociales à Toulouse et près de Bordeaux aux procédures judiciaires contre des officiers de la Waffen SS en Suisse, si bien que le juriste bafouée ainsi, le fils Peter Dietrich a été en droit de réclamer au ministère public en France la récupération auprès des juridictions suisses les copies de ces actes, car ; d’abord elles légitimes les interventions judiciaires du fils héritier Peter ; ensuite,  son argumentaire apportant des faits nouvelles inconnus alors en Suisse, est en mesure de changer totalement l’objet et les qualifications de ces procédures en Suisses.

Comme il a été démontré ci-dessus, selon les critères du droit  pénal français, ces officiers suisses, non seulement complices des crimes contre l’humanité, ils en sont des coauteurs. L’envoi en ex-Union soviétique une armée Waffen SS étrangers, a permis au commandement nazi, de retirer des troupes SS authentiques des surhommes pour perpétrer, entre autres, les massacres de l’Oradour-sur-Glane en France. Les termes des articles 59 et 60 du code pénal 1806, (seul valide), sont sans équivoque : sont complices, ­‑ à plus fort raison des coauteurs ‑, ceux qui «auront procuré tous sortes de moyens ayant servi à l’action ; aidé et assisté les auteurs de l’action, auront préparé et facilité, les moyens… ». La justice française, comme celle de l’Allemagne, est matériellement compétente pour examiner les crimes contre l’humanité des officiers Waffen SS de la Suisse, en évoquant les actes de procédure du père Paul Dietrich.

Http:\\Dietrichpeter.blogspot.fr. Juriste DEA. Criminologie. Sciences pénales. Les auteurs et leurs ouvrages rapportés aux juridictions sont référenciés en bas des pages des blogs.

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Ce que le grand public ignore, à la Deuxième Guerre mondiale, dans le camp Pingfan (Chine), sous la direction du médecin-général de l’unité 731, crée en 1935, le Dr Shiro Ishii, les Japonais ont été les champions en armes Biochimiques. Elles ont été étudiées et réalisées directement sur l’homme et appliquée sur la population  chinoise jusqu’à ce qu’une de leurs propres divisons en a été décimé. Leur production a été suffisante pour exterminer dix fois toute la population mondiale, selon les estimations expertes. Après la destruction des porte-avions par l’US Navy suivant les années 1942, avec la technologie allemande, a été mise sur chantier au Japon la dernière arme secrète : des sous-marins porte-hydro-avions capables de frapper l’Amérique à l’improviste aussi bien sur la côte est que sur la côte ouest. Avec leurs trois appareils pliables embarqués dans le corps des submersibles, toute l’Amérique aurait été à la merci de la flottille dotée des armes biologiques d’extermination massive. Seul l’usage en 1945 sur Hiroshima et Nagasaki des bombes nucléaires a empêché l’anéantissement programmé des populations d’Amérique du Nord et du Sud.

 En échange de leur impunité des crimes contre l’humanité, ‑ en sus, une grasse gratification en espèces des fonds secrets ‑, les savants docteurs ont fournis les recettes et les souches aux États Unis. L’expérimentation a continuée au Fort Detrick dans le Maryland avec des docteurs japonais associés aux expérimentateurs récupérés en douce des Camps de concentration d’Auschwitz. (Leur extradition à la Pologne a été refusée (**)). Des recherches secrètes sont à présent focalisées sur la manipulation des virus pour exterminer des espèces humaines présentant des particularités raciales du génome, de l’ADN. Le SIDA, destiné aux Homos et Négros, en serait un de leurs produits ratés. Ces recherches sont pratiquées un peu partout dans le monde sous l’égide des mascarades des contorsionnistes politico-judiciaires grassement appointés. L’abjection parée de la Légion d’honneur, le voilà « Le criminel, la splendeur du genre humain », selon Nietzsche. (**) Peter Williams & David Wallace. « La guerre bactériologique. Les secrets des expérimentations japonaises ». Ed. Albin Michel 1990.

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Marchi Le Gunehec Annulation ordre public.

Commentaires fermés sur Massacre nazi à Oradour-sur-Glane: Dissertation récapitulative inachevée pour la démystification des justiciables.

Censure canaille par la hypermafia de la grande finance internationale d’un blog, circonstancié, avisé, incontesté.


[syndicat-avocat-citoyen@petitiongratuite.com]

Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2012 de ce blog.

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Censure canaille par la hypermafia de la grande finance internationale d’un blog, circonstancié, avisé, incontesté.

Aperçue des montants de l’indemnisation préalable à la restauration de la situation légale, légalité, dus de droit, revendiqués aux juridictions saisies d’un composant quelconque du « complot contre la sûreté de l’État par l’attentat à son régime constitutionnel de la démocratie égalitaire en matière judiciaire, fiscale, électorale…. ».

Wordpress blocage 3

Wordpress blocage 2

—Message d’origine—–

From: Elizabeth – WordPress.com

Sent: Thursday, December 27, 2012 12:15 AM

To: peter.dietrich@sfr.fr

Subject: [WordPress #1415268]: 495@dietrich13.wordpress.com

 Hi there,

Thank you for getting in touch.

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We greatly apologize for this error and any inconvenience it may have caused.

Elizabeth | WordPress.com

Première réponse de Dietrich.

Désolé Madame. Il m’est toujours rendu impossible de compléter ce blog, (Dietrich13, sans « P »), par des preuves factuelles de mon assassinat déjoué, et, la déclaration de décès à l’Administration suisse, dénoncée quelques années plus tard par un ami. Preuves édifiantes, incontestées, « supprimées » par la justice française avec son présentateur en raison de son importance internationale toujours plus explosive dans des affaires des trucages des procédures des crimes contre l’humanité (p. 4) en corrélation avec les escroqueries monumentales du banqueroute frauduleuse gigantesques dissimulées derrière le terme crise. Page 2 des blogs. Échantillons ci-dessous de la page 1.

[WordPress #1415268]: 495@dietrich13.wordpress.com

Hi there,

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Thank you!

Elizabeth | WordPress.com

Deuxième réponse de Dietrich.

Chère Madame. Le placard du fichier joint à la fin, toujours depuis des semaines, s’affiche systématique pour m’empêcher la mise à jour du blog « dietrich13.wordpress.com, (sans « p ») sortie tout juste de la censure qui n’ose pas dire son nom. J’en ai tellement l’habitude… Tout mon système est placé sous contrôle, depuis l’Outre-Atlantique, par des indécrottables logiciels-espion. Il ne reste que de me résigner. Je m’en fous car les jeux sont faits pour moi.

Est-il possible d’empêcher les observateur de penser qu’ils s’agisse d’un micmac d’une désopilante obstruction aux juriste de faire circuler dans les textes congrus les échantillons des documents produits sur la page 1 des pages effacées du blog jumelle « dietrichp13.wordpress.com » ?

Ceux de mes fameux adversaires « fund embezzlers » pleins aux as, du gabarit de l’ex-ministre des Finances D. Strauss-Kahn, disposés de verser un million de dollars/heure aux avocats à New-York pour monter de rideaux de fumée devant les révélations dans les pages de mes blogs, à combien sont-ils disposés de larguer pour saboter mes blogs ? Et, comparaison fait de la valeur réciproque des travaux, à combien la Justice doit-elle évaluer mon indemnisation ?

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Troisième réponse de Dietrich.

Hi ! Hi ! Chère Madame. Vos remèdes miracles ont fonctionnés à l’envers. Mon blog est de nouveau censuré avec le placard vexatoire en fichier joint à l’e-mail.

Mais, selon le dicton juridique « Ce qui abandonne ne vicie pas », à savoir, un moyen de preuve de la matérialité convainquant du crime organisé du grand banditisme ne peut rendre que la cause meilleure pour le dénonciateur. Ces manigances canailles de la coterie internationale de la hypermafia de la finance internationale valent certainement aveu irrévocable, selon le droit fondamental de la France. Mes constructions juridiques n’ont jamais été contestées en Justice. L’Amérique c’est l’Amérique.

Laissons donc ces blogs machinés sur WordPress dans l’état inachevables. Bisous. Point. Cela étaye encore mes autres revendications quant aux indemnisations de mes préjudices morales. Selon le droit interne de la France et celui du Pacte ratifié de l’ONU, ne suis-je pas en droit d’être équitablement traité sur un pied d’égalité avec notre brillant mercanti interlope Bernard Tapi-double-face ? Quinze millions d’Euros d’indemnisation pour quinze ans de divertissements joyeuses des escroqueries judiciaires ayant aboutis encore au détournement dans sa tirelire des plusieurs centaines de millions de fonds publics. Grâce aux entremises de nos ministres de Finances, des vedettes idoines du FMI, Dominique Strauss-Kahn et Christine Lagarde. Avec ce magot, ce beau monsieur « fund embezzler », a pu secourir la mafia. New-Yorkaise : renflouement par prise de participation de leur société de poker truqué sur internet, mise en difficulté par la condamnation d’un tribunal des céans.

Vous ne trouvez pas un peu juste ma revendication à la justice d’une indemnisation d’un taux triplé de ces 45 million d’Euros de complaisance avec un truand, comme l’exigerait le respect de l’équité et de l’égalité, de la moralité judiciaire et politique ?

  

Depuis plusieurs années déjà, sur les huit différents blogs du juriste DEA, (sciences pénales, criminologie), Peter Dietrich s’instruisent de dizaines de milliers universitaires, juristes, juges et procureurs, victimes et  leurs avocats de la Chine, en passant par l’Afrique, l’Amérique, l’Océanie jusqu’en Island. Ces blogs contiennent des constructions, argumentaires juridiques et bibliographies universellement applicables aux escroqueries de haute vole et leurs escroqueries judiciaires pour s’assurer l’impunité, (page 2), des preuves irréfutées par des juridictions saisies, de ces pratiques, notamment dans les trucages des poursuites des crimes contre l’humanité. (Page 4). À l’heure actuelle, les blogs subsistants à la censure insidieuse recueillent 50 consultants par jour.

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BoutIdé

Evasion Emoi Juges

EvasionRécit 2.

PaponAnnulation

Annularion 681 Nancy Toul

Facebook Finanzkriese

Article ici der blogs sur Facebook. Mein Kommentar im Der Spiegel 23/01/2012. Euro-Krise. Lagarde verlangt mehr Geld von Deutschland. Deutschland muss mehr für die Euro-Rettung tun, das verlangt IWF-Chefin Lagarde bei ihrem Besuch in Berlin: « Wir brauchen eine größere Brandmauer. » Damit unterstützt die Französin Forderungen aus Italien nach mehr Geld. Doch Kanzlerin Merkel blockt… Reaktion. Nach dem französischem elementaren Straffrechtbegriff, « Krise » ist eine trügerische Maske von “ Bankrott durch Betrug und Diebstahl in organisierter Verbrecherbande” nach, unter anderen, der Beschreibung von Michael Lewis. The Big Short. La Casse du siècle. Éditions Sonatine n° 053, sept. 2010 und meiner juristischen Auslegung für die Untersuchungsrichter gegen Lagarde und Strauss-Kahn. Kopie: Intro Seite 2 Blog dietrich13.wordpress.com. Jurist DEA. Kriminologie. Kriminalwissenshaften, jamais démenti mais assassiné. 

 Für die Politikwissenschaft, auf der Seite 4 befindet sich eine kurze aber erbauliche Beschreibung der Verfälschung des Nürenbergerischen Strafprozess 1945/46 und den Hochverrat des Englischen et Französischen Haupt Generalstab um die Invasion von Frankreich an 1940 zu erreichen und der Verfälschungen in den neulich französischen Strafprozessen der Komplizen der Verbrechen gegen die Menschheit. Verfälschungen immer weiterverfolgt an den französischen Gerichten, durch die Freimaurerei, den Rotary, und den Europäischen Menschenrechts Gerichtshof à Strasbourg mit der Verfälschung der geheimen Geschichte des Französischen und Britischen Hochverrat des zweiten Weltkrieg erzeugt hat mit den Verbrechen gegen die Menschheit.

 Seite vier der Blogs : Unterschlagene Beweise et Belegstücke kommentiert. Nach 1933, unter dem internationalen Einverständnis, die SS/SD (Sicherheitsdienst) organsierte, öffentlich, die vollständige Ausrottung, (Agronom Himmler), im dritten tausendjährigen Reich, der kulturellen politischen, militärischen, religiösen… Opposition. (Das Nazimodel, das zweite tausendjährige Reich, wurde gegründet durch die Vernichtung, für tausend Jahre, der europäischen Kultur, durch die bestialischen Barbaren des Frankenkönig Clodwig 1, geweiht für die massiven Massakers der galloromanischen Bevölkerung). Die aufgehäuften Knochenreste des Konzentrationslagers wie Dachau bezeugen es. Schon vor der schicksalhaften Jahre 1928, dieselben internationalen Finanzkräfte, (Seite 2), organsierten den zweiten Weltkrieg mit des Kriminalität gegen die Menschheit, organisiert mit der hohen Direktion des englischen, abgesetzten König Eduard VII, Herzog von Windsor, und seine Matha Hari, Hure eingeübt in den Bordells von Honkong und Kairo für die USA Geheimdienste. Das erste Opfer des internationalen Komplott, mit dem Beitrag der hohen Persönlichkeiten wie Joseph Kennedy, war das deutsche Volk. In Frankreich insbesondere, diese Aristokratien und Finanz Verschwörung organisierte den Hochverrat des Hauptstabs der alliierten französieren und englischen Streitmacht. Unter der Kontrolle von Herzog von Windsor Éduard, geradewegs mit Hitler, der Durchbruch der Maginotlinie in den Ardenne, die Vernichtung der französichen Lusftwaffe wurde oragnisiert… Die roumänische Armée, bis zu Stalingrad, wurde mit dem vortreflichen französchem Kriegsmateriel bewaffnet…

Récupération occulte de l’intro inachevée de la page 4 des blogs. Arguments cardinaux escamotés aux jurés des Assise dans les affaires Papon, Touvier, Barbi…

À peine commencé l’interprétation de quelques arguments de l’énorme volume des témoignages savants de E.R. Carmin, je me fais subtilement bousculer pour m’inciter à la production inachevée aux autorités judiciaires et politiques en France. Or, je ne suis parvenu, avec mon analyse, (sur 924), qu’ à la page 222, chapitre sur les faits évoqués devant la justice prévaricatrice (Papon, Touvier, Barbi et bien d’autres) de la coactivité, complicités par instigation, aide et assistance…, et recels des crimes contre l’humanité, tous les faits incriminés par la loi imprescriptibles et non amnistiables.

Pour bien traduire aux juridictions compétentes, comme de droit, ce savant témoignage congru de E.R. Carmin sur les principales responsabilités des crimes contre l’humanité, il faut mobiliser une équipe de traducteurs professionnels. Avec mon modeste Certificat d’interprète militaire, ‑ activité jamais exercée ‑, il me faudrait bien un an pour me farcir ce boulot à coups de dictionnaire ; boulot qui devrait déjà été accompli depuis des lustres du « Guru Hitler » à la demande des autorités judiciaires complotant. Régulièrement saisies, les prévaricateurs cérémonieux ont préféré « supprimer » (crime) les actes de procédure avec leur auteur pour une décoration de la Légion d’honneur, un avancement, un pot-de-vin…

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En cours d’amplification sur les pages 4 des blogs fonctionnels.

E.R. Carmin. L’EMPIRE NOIR : Ordre des Templiers ‑ Société Thule ‑ le Troisième Reich – C.I.A. éditions actualisée et amplifiée, Nikol Hamburg 2010. DAS SCHWARZE REICH, 924 pages en Allemand. La suite de GURU HITLER, références supprimées dans les procès français et internationaux des simulacres grand spectacle des poursuites des complicités des crimes contre l’humanité.

(P. 110). Mais Hitler eut, si tant en somme il a eu un choix à un moment quelconque, opté pour (…) le chemin de la magie noire, la voie de la puissance, au moment où il a été rentré en contact avec L’Ordre de Thule (en fr. Thoulé). Hitler s’est remis aux mains des forces qui l’emportaient. Forces ténébreuses, destructrices…

(P. 152).  ‘Le combat des dieux en devenir’. […] ‘Elite de reproduction et machine à tuer’. La SS ne devait non seulement donner le matériel de la reproduction pour l’homme nouveau, elle devait aussi être la cellule reproductrice d’une future société d’orientation magico-païenne, la cellule reproductrice d’une nouvelle religion.

(P. 173). Abstraction du fait que le Duc de Windsor encore en 1940 livrait tout fraiche d’importantes secrets militaires de l’État-major franco-britannique de coordination des opérations, et se conduisit ainsi, se berçait de l’illusion, par les faveurs de Hitler, de se faire de nouveau couronner avec sa hétaire de duchesse divorcée. […] Le chef américain de l’F.B.I, Hoover en a été convaincu que le Duc de Windsor en tout cas, grandement lui-même, a été un dangereux Nazi-Agent qui devrait être enfermé en prison… . {Notons que par l’F.B.I, pour les tenir en main, pour les manipuler par le chantage, Edgar Hoover se serait constitué des dossiers et fichiers à l’usage de ses activités politiques personnelles sur les écarts de leur vie sexuelle et les activités délictuelles des tous les hommes influents, au lieu de faire engager des poursuites judiciaires appropriées. Cela pourrait expliquer l’impunité de beaucoup des coauteurs, complices et receleurs des crimes contre l’humanité aux États-Unis. Ces fichiers auraient été récupérés détruits à son ″décès″ le 2 mai 1972 (à 77 ans)}.

(P. 81). Après que fut fait prisonnier par la Garde de la ‘Défense territoriale’ en Angleterre du ‘Grand Mage de l’Ordre de Toule’ Rodolf Hess, (trésorier des fonds secrets du parti), il fut trouvé dans ses bagages tout sorte de drogues médicinales, dont un élixir provenant d’un Lama tibétain du cloitre Lai-Len. À qui donc, ces hallucinogènes des visionnaires déments ont été destinés que d’autre que son grand ami Duc de Windsor. Nos savantissimes et intarissables experts sur les perturbations psychologiques d’une prétendue couille unique du ‘Grand Mage de l’Ordre de Toule’, de l’extralucide gourou-pontife Hitler, ignorent-t-ils, ces psycho-blablabla mandarins, l’origine de la toxicomanie du syndrome du ‘délirium trémens’ (p.103) : des crises de folie furieux, apparitions hallucinatoires des phobies diurnes et cauchemars nocturnes, dont Hitler se donnait en spectacle devant ses proches abasourdis du ‘combat des dieux’ de ‘l’homme-dieu’ paniqué, émettant des sonorités avec des gesticulations incohérentes, des hurlements aux secours avec des expressions d’épouvante  ?

E.R Carmin, p. 218 rapporte, en 1923 déjà, le financement occulte et massif de Hitler et son parti nazi par des grosses malles marines remplis de Dollars ; via le canal suisse, l’acheminement d’incalculables sommes en devises internationales des financiers de  l’étranger, dont de la France, pour alimenter le sabotage du régime démocratique de la République de Weimar par une déluge de publications propagandistes, de la subversion pour susciter des agitations du menu-peuple par les fauteurs de troubles. On se croirait, avec le S.A.C., en France dans la IV° République et sous le régime de la V° République de « l’État gangster des Gangsters de l’État ».

(P. 224). Hitler, (‘l’Autrichien (fanatique fanatisant) avec une grosse gueule’, a été financé par Wallstreet ; Hitler-Deutschland a été réarmé par des puissances de la haute finance ; Hitler et les Allemands ont été utilisé comme instrument par la haute finance (…) pour tirer des carnages et massacres des méprisables et viles bénéfices.

(P. 114). En vérité, pour la théocratie des gourous de l’Empire occulte Thule, les lois de Terre ne présentaient aucune valeur : (p. 42) Massacrez et torturez, n’épargnez point ».

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Mon, 7 Jan 2013 06:47:54 +0100 (CET)
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From: Peter Dietrich <peter.Dietrich@sfr.fr>
To: =?iso-8859-1?q?Assembl=E9e?= nationale
<president@assemblee-nationale.fr>, CA-VERSAILLES/CONTACT
<Contact.Ca-versailles@justice.fr>, csm@justice.fr, Premier Ministre
<premier-ministre@cab.pm.gouv.fr>, president@assemblee-nationale.fr,
=?iso-8859-1?b?U+luYXQ=?= <presidence@senat.fr>,
« Syndicat de la magistrature. » <syndicat.magistrature@wanadoo.fr>,
syndicat-avocat-citoyen@petitiongratuite.com

Extrait page 4 des blogs. Dans le même courant de l’histoire, les redoutables chasseurs et bombardiers lourds « Focke-Wulf » sont construits en Allemagne par les firmes américaines de la multinationale ITT, ainsi que des équipements électroniques de combat de nuit et de repérages. Ces milliardaires cousus d’or, ayant fait dézinguer derrière la Ligne Maginot l’aviation française trahie, concassés les convois et positions de l’US Army, envoyé au fond les bâtiments de l’US Navy, descendus comme des mouches leurs bombardiers, ne se sont pas gênés de réclamer au contribuable US, au-dessus des cimetières de ses soldats tombés sous leurs armes, des indemnisations de la destruction de leurs usines en Allemagne par US Air Force. (Sic).

Ajouts. E.R Carmin, p. 222. Jouant sur les deux tableaux de l’industrie de la guerre par l’information des sous-marins allemands avec l’appareillage de l’ITT télécommunication de l’aviation allemande, tout en mettant en garde les alliées par les ITT radiogoniomètres des torpilles de ces sous-marins.

P. 244. E.R. Carmin rapporte l’indemnisation en 1968 de l’ITT par le gouvernement des États Unis. Passé, par la falsification de l’Histoire, en victime de la Deuxième Guerre mondiale, la multinationale reçoit une indemnisation d’un montant de 17 millions de dollars, dont 7 millions pour la destruction de ses usines de fabrication des chasseurs et bombardiers Focke-Wulf à Brême en Allemagne. {Qu’attends la France de demander aux Crésus de Wall Street des indemnisations véritablement dues par ces profiteurs de la guerre, aux coauteurs, complices et receleurs des crimes contre l’humanité ayant intronisé en 1940 dans son gouvernement scélérat comme chef Pierre Laval ? (P. 232)}.

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E.R Carmin, p. 248. Déjà, lorsque la guerre touchait à sa fin, tout fut entrepris pour gommer, du côté allemande et d’autres connexions, les participations de l’industrie américaine et de la haute finance à la construction du Troisième Reich, escamoter toutes les traces, à la participation, et non pas en moindre proportion, à la Deuxième Guerre mondiale. Notamment par l’influence sur le ministre de la justice des éminences grises du cœur du système de la haute finance New-Yorkaise telles que l’avocat du Wallstreet et commissionnaire des services secrets Allen W. Dulles. […]  Pour la plus grande partie, ce sabotage a aussi réussi. Jusqu’à nos jours elle fut couronnée de succès. De même, en raisons des considérations supérieures, comme on en a eu ostensiblement à Nüremberg, est passé sous silence l’arrière-plan de l’occultisme du Troisième Reich ; peut-être aussi par des fondements moraux, on a passé sous silence l’appui financier du hitlérisme.

{Ces constatations de ce grand historien, s’appliquent à tous les procès systématiquement truqués en France à partir de 1944, du Maréchal Philippe Pétain, Laval…du jusqu’à nos jours des affaires Barbie (Lyon), Papon (Bordeaux et Paris), Touvier (Versailles), Brunner (Paris)… avec la participation criminelle des plus hautes autorités judiciaires et politiques, des institutions vénaux, corrompus de bas à l’haute étage, ainsi que les profiteurs  de l’Europe et de l’ONU, ayant à leur tour escamoté avec constance les plaintes contre ces agissements criminels. D’autre part, l’aspect du sectarisme « religieux » de la direction du nazisme international, fait permuter en crimes contre l’humanité les qualification pénales en France de la haute trahison, du complot, de maintes crimes de guerre et même du droit commun telles que le détournement des fonds publics, des escroqueries, trafic d’influence, corruption, spoliations… manipulation de l’opinion publique par des infractions ravageuses de la presse exposées sur la page 11 des blogs}.

 Hitler : La Masse se comporte comme un animal qui obéit à ses instincts. Elle ne se livre pas à des intelligibles réflexions. J’ai fantasmé à la Masse pour en pouvoir faire un instrument de ma politique. […] Quand je rencontre la Masse avec des raisonnables réflexions, elle ne me comprend pas. […] Dans un rassemblement de masse, la pensée est éliminée. […] Plus la Masse est grande, autant plus elle est facile à manipuler… (E.R Carmin, p. 116).

E.R Carmin, p. 443. Nazis, CIA et Vatican : Le fondement. Le 10 août 1944, se sont rencontré dans l’hôtel de Strasbourg « Maison Rouge » en réunion secrète, représentant dirigeant le Troisième Reich, représentants de l’industrie allemande, des services secrets SS/SD et du ministère de l’armement pour définitivement rendre en faits le plan déjà existant en 1943. [Dérouillé à Stalingrad]. À l’insu des infatigables Hitler et Goebbels ‘fantasmaient’ sur la victoire finale et le troisième Reich millénaire, a été pris dans la  « Maison Rouge » une décision à longe vue, à savoir de camoufler d’une bonne partie du capital du Reich [à la barbe des créanciers] dans des pays neutres […] pour que après la défaite, un nouvel et fort Reich allemand puisse renaître, comme l’est dite dans l’ainsi nommé « Strassburger Protokol ».

Une demi-année avant la fin de la guerre, encore sous le contrôle des sommités Nazi, en a effectivement déjà commencé la canalisation d’énormes sommes en dehors du pays. Selon l’estimation de Pravda de l’URSS, ont été transférés et déposés dans les seules banques suisses sous la protection d’un consortium des services secrets américo-européenne… […]

Une partie du capital a coulé dans les caisses du Vatican […] et surtout dans les poches d’un dénommée Licio Gelli […] l’homme qui faisait danser les marionnettes […] l’homme qui avait l’accès à tous et à quiconque dans le Vatican, l’homme qui travaillait pour le C.I.A., qui, en tant qu’invité d’honneur, brillant au bal de départ de Reagan… Licio Gelli, Chevallier de l’Ordre de Malte, faiseur des Papes, Grand Maître de la loge maçonnique Propaganda due. (p. 445). […] Avant tous les autres, ce Vatican a rendu possible à des milliers de Nazis […] par la filière « Klosterroute » ou « Ratlines », (route des couvents et des monastères), […] alors que, au moins officiel, les autorités internationales s’activaient de la recherche des criminels Nazis. […] Le reste, sur l’organisation de la fuite des masses par des mystérieuses SS organisations jaillit cependant plutôt littérature romanesque des romanciers ou sert à la désinformation ciblée…

 (La suite de la malfaisance de la clique malfaisante du haut clergé national et du Vatican en relation avec le CIA, les ex-SS, dont les pires exterminateurs de camps de concentration, et les narco-dictateurs de l’Amérique du Sud, lire est narrée sur les pages suivant 445, dissertations très détaillées qui ne rentrent pas dans le cadre de mes actions judiciaire entreprises et supprimées en France, ni l’évolution dans le Balkan et au Proche Orient qui pourraient passionner d’autres plaideurs devant des juridictions nationales et internationales).

 {Répétons les exposés escamotés par les juridictions saisis : selon la prophétie des visionnaires hallucinés de la secte de l’Ordre Thule d’avant-Hitler, le rédempteur de l‘accélération de l’Histoire’, la victoire de la race aryenne par la conflagration apocalyptique de la ‘Crépuscule des dieux’ wagnérienne, purificatrice par le feu de la Terre des sous-hommes, se produira qu’à la Troisième Guerre mondiale. Avec ces mythes pris au sérieux aujourd’hui encore en France par certains magistrats, voilà maintenant donc dépasser les qualifications pénales de complicité par instigation, par provocation, par aide et assistance… et celle du recel des crimes contre l’humanité. Depuis 1944, la justice française se trouve sans équivoque en présence de la qualification pénale ‘tentative de crimes contre l’humanité’, dont qualification ‘complicité’ qui s’applique la magistrature française, comme s’est encore démontré dans les récentes ‘apothéoses des clowns’ grand spectacle devant la Cour fantoche de justice de la République, les Assises à Bordeaux, Lyon, Paris et Versailles et pour s’achever par l’enterrement cérémonieux devant le décorum de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation}.

MarchiAnnulation

 

Liens entre entreprises. Bouygues

Liens entre entreprises.

Wordpress blocage 1

À la demande d’un râleur mécontent, transmission aux autorités compétentes du fichier joint de l’e-mail, complété par des documentés significatifs, annotés et déjà produits, contradictoire et non réfutés, à mainte reprise dans des différentes procédures citées, dont l’article annoté « DIETRCH JUSQU’AU BOUT DE SES IDEES ».

La copie ci-jointe produite dans les blogs à la page 2, de ma carte d’identité du Moniteur national de la Protection civile, accrédite ma compétence d’enseignant dans principalement deux affaires.

1° Les construction défectueuses des pavillons à Castres à chaufferies à gaz naturel exposant encore les habitants à ces risques mortels des explosions ou des intoxications démontrés aux juges.Dietrich Moniteur national

« Les intoxications dues aux émanations de monoxyde de carbone sont la première cause de mortalité accidentelle par toxique en France. DUSSAUD Marianne, « Attention danger! Regard n° 111, juin 1997, p. 44.

{LE BIEN PUBLIC le 08/02/2012. QUINCY-LE-VICOMTE – FAIT DIVERS. Info Bp : Intoxication mortelle au monoxyde de carbone. Le corps de Dominique Daudry, 52 ans, ancien maire de Quincy-le-Vicomte, a été découvert sans vie dans sa maison, ce matin, vers 7 h 20. Dans l’habitation se trouvaient également une femme âgée de 81 ans, inconsciente, qui a pu être ramenée à la vie par les pompiers, et un homme de 79 ans, qui souffrait d’une plaie à la tête après une chute due à un malaise. Les trois victimes ont été intoxiquées par du monoxyde de carbone, émanant sans doute d’une chaudière située dans le sous-sol de la maison. Les pompiers sont sur place, ainsi que les gendarmes}.

 

2° Mes témoignages « supprimés » (crime) par le juge d’instruction de Draguignan, ‑ du témoin empêché de se constituer partie civile ‑, sur l’invraisemblance du suicide des frères Saincené par le gaz de demi-combustion monoxyde de carbone CO d’une présence insignifiante dans les gaz d’échappement d’un moteur bien réglé, comme en l’espèce. Pas possible que les barbouzes les aient pu faire étouffer, asphyxier dans l’habitacle de leur voiture par le gaz de combustion complète dioxyde de carbone CO2, largement majoritaire des gaz d’échappement. Elle produit non pas l’anesthésie insidieuse, l’endormissement en douceur de l’empoisonnement du sang du CO. Les fumées du CO2 produisent chez les victimes des souffrances atroces, des vomissements et convulsions insoutenables. Au surplus, en présence d’un décès par l’étouffement par le CO2, les traces dans les globules rouges du sang du CO est absolument insignifiant.

Ainsi le fait de la « suppression » criminelle de ce témoignage significatif, aussi bien à Toulon qu’à Draguignan, accrédite de façon incontestable la thèse exposée dans le livre référencié L’AFFAIRE YANN PIAT. LES ASSASSINS AU CŒUR DU POUVOIR des André Rougeot et Jean-Michel Verne, notamment le trucage des analyses sanguines des deux suppliciés.

La connexité juridique et judiciaire de l’article 203 c. pr. pén., notamment dans le crime du complot, nous conduit en ligne directe à Toulon vers l’affaire manipulée Verges… Pardon « Omar m’a tuer », à présent rebaptisée « Omar m’a pousser. Les intouchables », notamment par le dénominateur commun : Maître Jacques Verges, le plus redoutable des truqueurs félons. Mi-page 7.

Dietrich RaportAptitude1

Drogue informatique suicide.

Message-ID: <D7BF368EF78645D689250B19DD1FD962@PCdehp>
From: Peter Dietrich <peter.Dietrich@sfr.fr> To: =?iso-8859-1?q?Assembl=E9e?= nationale
<president@assemblee-nationale.fr>, CA-VERSAILLES/CONTACT<Contact.Ca-versailles@justice.fr>, csm@justice.fr, Premier Ministre<premier-ministre@cab.pm.gouv.fr>, president@assemblee-nationale.fr, »Syndicat de la magistrature. » syndicat.magistrature@wanadoo.fr>,
syndicat-avocat-citoyen@petitiongratuite.com =?iso-8859-1?b?U+luYXQ=?= <presidence@senat.fr>,tosreports@wordpress.com
Subject: =?UTF-8?Q?Aper=C3=A7ue_des_montants_de_l=E2=80=99indemn?=
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En voici un extrait :

Le nouveau Boeing 787 Dreamliner peut emmener 250 passagers. Ce blog a été vu 1 800 fois en 2012. S’il était un Dreamliner, il faudrait environ 7 voyages pour déplacer autant de monde.

Cliquez ici pour voir le rapport complet.

Commentaires fermés sur Censure canaille par la hypermafia de la grande finance internationale d’un blog, circonstancié, avisé, incontesté.