Légitime défense politique.

Escroqueries politico-judiciaires complexes par des manouvres frauduleuses des comploteurs contre la sûreté de l’État dans les informations criminelles à Grenoble.

Posted in Magouille by Dietrich13 on 19 février 2018

19/02/2018. Dénonciation des escroqueries politico-judiciaires complexes par des manouvres frauduleuses des comploteurs contre la sûreté de l’État dans les informations criminelles à Grenoble.

Aux Messieurs le Président et les conseillers de la Chambre d’accusation, les Juges d’instruction et Procureur de la République Jean-Yves Coquilla, et en complément aux juridictions nationales et internationales légalement saisies de mes plaintes des violations des droits fondamentaux des victimes du crime judiciairement et politiquement organisé du grand banditisme international avec l’Ordre secret des Illuminatis pervers, satanique.

De M. Peter DIETRICH. Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne-Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant. (Victime et « accusé » d’actes de légitime défense ». Demeurant au 80 rue Voltaire, 93120 La Courneuve.

Dénonciations publiées sur le blog : http://dietrich13.com, et (bloqué) :

https://www.facebook.com/dietrich13peter.

Référence : Affaire de l’instruction de l’assassinant de la gamine Maërls par le truand Nordal Landais, manœuvres frauduleuses par la suppression de mes témoignes pour favoriser simultanément l’admission publicitaire en partie civile de l’association fantôme « INNOCENCE EN DANGER ». Sa dénomination accrocheuse des victimes plaignantes et les artifices coupables de son discours trompeur médiatisé, présente toutes les caractéristiques dénoncées dans mes actes de procédure du scélératisme des associations dirigées par l’Ordre secret des Illuminatis pervers ou des sectes liées comme la Scientologie, naguère rassemblées par le « juge rouge » Jacques Bidalou dans l’ex-restant le Piccadilly à Aubervilliers (93) pour monter des coups d’État judiciaires et journalistiques.

Introduction : Répétons-le pour nième fois, le ministère public en France est unique et indivisible. Tous mes actes de procédures produits depuis mon engagement judiciaire par les services secrets de l’armée sont censés d’être connus par ces magistrats envieux d’une décoration et d’un avancement pour me dénigrer et vilipender par des forfaitures de partialité.

Répétons encore et encore à ceux qui font la sourde oreille, j’ai été engagé contre un complot contre la sûreté de l’État qualifiée alors par le Code pénal et par la Constitution. Les faits judiciairement constatés du complot de notoriété publique ont déjà été largement détaillée par la littérature des éditions Alain Moreau. J’en ai encore ajouté la haute trahison de l’armée franco-britannique avec la participation des hautes personnalités politiques et militaires de la France. Je finassais encore par démontrer parmi les traitres au profit du régime nazi de Adolf Hitler, le colonel Charles de Gaule et ses compagnons placés pour la réalisation de ce funeste destin de la France à Londres.

À la Libération 1944/45, les républiques françaises successifs ont remis en Préambule de la Constitution la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen de 1789, abrogé par la traitrise du général Napoléon Bonaparte, sacré Empereur en récompense. Sont illégalement maintenues, les institutions judiciaires napoléoniennes renouant avec l’arbitraire de l’Ancien Régime de la monarchie totalitaire, pour violer à présent les lois fondamentales. L’avocat de l’avocature de l’’État, se tenant traditionnellement dans la Monarchie et dans la Première République au Parquet devant les juges, est maintenu dans la magistrature de la IV° et V° République, placé symboliquement au-dessus des magistrats des formations de jugement.

La totalité des institutions judiciaires fonctionnaient, comme l’écrivent des plus illustres magistrats eux-mêmes, en « association de malfaiteurs » qualifiées par le Code pénal, notamment par les crimes de « suspension des lois et de l’exécution des lois par le concert d’une coalition de fonctionnaires », des malfaiteurs qui excellent dans les crimes des faux en écriture, des suppressions des actes de procédures, des escroqueries judiciaires avec subornations des justiciables pour s’en faire décorer des plus hautes distinctions de la Légion d’honneur.

En 1981, le nouveau Président de la République François Mitterrand s’est engagé d’en mettre un terme par voie judiciaire par un justicier d’attaque déjà lancé. La voie politique a été impossible comme lui a enseigné la mésaventure du Général Charles de Gaule, s’appétant pour commencer, à supprimer le ruineux Senat paritaire, d’une existence et d’un fonctionnement attentatoire au régime démocratique, pour le remplacer par le Conseil économique, social et environnemental avec une fonction constitutionnelle consultative. C’est l’Ordre secret des Illuminatis pervers, notamment avec les littéraires subversifs sous l’ordre du « capitaine » d’un cercle Illuminati, de l’écrivain journaliste Jean-Édern Hallier, par l’excitation aux émeutes des étudiants en Mai 1968, (*) qui ont déstabilisé la présidence de la République du Général Charles de Gaulle pour se faire hisser par les médias au rang des héros historiques.

(*) Lacaute Dominique. Jean-Édern Hallier. Biographie. Editions Laffont 1977.

Le président de la République François Mitterrand en a tiré des lésons politiques. Le régime napoléonien persistant ne pouvait être abolie que par voie judiciaire devant la Haute Cour de Justice d’une compétence exclusive par la Constitution de poursuivre les comploteurs contre la sureté de l’État : les membres du gouvernent réunis à leurs complices magistrats et gangsters du grand banditisme du crime organisé. À Mitterrand fallait, pour la réalisation, un justicier inflexible, d’abord militairement et scientifiquement entraîné et endurcie pour résister aux agressions physiques et psychologiques de la police parallèle Service d’action civique et les sectes et société secrètes. Bien avant Mitterrand, à mon insu, j’ai été déjà graduellement et méthodiquement préparé durant des années dans différentes activités. Heureusement pour moi, a été secret mon entraînement infernal dans un stage de commando des missions très spéciales, et où « je fonctionnais avec la précision d’une montre suisse », selon les félicitations de l’officier instructeur. Si non, les psychiatres ne m’avaient pas raté, pour me réduire physiquement à une épave. Les tortionnaires en blouse blanches avaient déjà commencé en cellule d’isolation à l’Hôpital psychiatrique Marchand de Toulouse.

Tandis que j’ai été manœuvré, pistolet automatique à la ceinture pour la dissuasion, François Mitterrand m’a préparé le terrain légal par la ratification du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’ONU. L’ordonnance de 1959 sur le fonctionnement et la procédure devant la Haute Cour de Justice est devenue caduque en droit fondamental. En « tout égalité », même avec les procureurs, une victime plaignante et encore plus un « accusé » des actes de légitime défense, étaient en droit de saisir la Haute Cour de Justice contre les membres du gouvernement par une simple constitution de partie civil prévue en droit commun.

Pour réaliser ce projet au sommet, Mitterrand a nommé ministre de la Justice le réputé avocat défendeur des droits de l’homme et professeur en droit de l’université Panthéon-Sorbonne de Paris Robert Badinter ; Premier président de la Cour de cassation Mme Simone Rozès, la juge réputée incorruptible et le plus farouchement opposé à la corruption galopante de la police parallèle des gangsters : le Service d’action civique, S.A.C.

Ni l’un, ni l’autre des traitreux hommes de confiance du président de la République François Mitterrand ont su résister aux charmes de la corruption de l’Ordre secret des Illuminatis pervers, aux préceptes de science politique de leur Nouveau Testament de Satan. Froidement, ces illustres personnalités encensées par les médias me laissaient ruiner et exproprier jusqu’à mes slips par le plus pervers des ministres des finances Jacques Delors (1981-84), avec mes propres avocats félons à Castres par des faux en écriture publique, l’exécution des faux actes authentique du notaire François Sery et des exactions fiscales. Delors, par l’illumination perverse, envisageait avec le soutien des laboratoires Fabre de Castres, de faire catapulter sa fille psychiquement tarée à la présidence de la république sous le pseudonyme trompeur « Aubry ». Toute l’opération complotiste pour me diminuer à la docilité d’un esclave se déroulait sous l’égide des Comités des droits de l’Homme de ONU saisis à Genève, sous l’influence satanique du ministre Illuminati des affaires étrangères, de l’avocat Rolland Dumas.

« Dietrich est foutu » ! Exultait-on en coulisse, même ouvertement dans les associations de défense des victimes de la Justice, contaminées par l’infiltration des frères insinuants de l’Ordre secret des Illuminés pervers et, entre autres sectes, l’Église scientologique. Mais avec ce juriste Dietrich foutu, ont été foutus en l’air le programme du rétablissement de la situation légale voulu par Mitterrand, a été foutu le Premier Ministre Pierre Bérégovoy, poussé au suicide par la subversion médiatique de juges du Le Mans excédant leurs pouvoirs légaux … a été foutu pour la réélection le président de la République François Holland calomnié pour le faire remplacer par les nazis. Tous ont été anéantis politiquement avec les calomnies de l’intox, de la désinformation d’une conjuration subversive cultivant à l’excès le secret contre le régime démocratique de la France et dans le monde.

Et ce juriste d’attaque discrédité par le journalisme ordurier, l’adjudant Peter Dietrich à partir de 2014, à bosser en télécommande, à solde réduite, jour et nuit derrière son ordinateur pour empêcher cette catastrophe humanitaire fomentée dans la campagne présidentielle, avec le seul soutien moral, mais de quelle taille ! De la captivante cantatrice lettonne, la sublime Elïna Garança, d’une brillante star mondiale de l’Opéra.

Par des longs préparatifs du complot, en 1981, je me suis fait arrêter illégalement et séquestrer, sans me faire empoisonner, en haute sécurité psychiatrique pour me faire travailler lucide pour fournir aux parties adverses des idées aux annulations de la procédure Papon en cours de trucage à Bordeaux. Ayant fait école, mes constructions juridiques ont servis des années durant à l’annulation, même d’office, des procédures des pires des criminels. Pour ma dépersonnalisation discrète a été projetée ma déportation ensuite au plus redoutable des forteresses psychiatriques haute sécurité à Sarreguemines dans le Nord de la France.

Mais il s’est produit un phénomène inopiné, chamboulant le programme de la destruction de la démocratie française par des criminels se succédant par usurpation au pouvoir à l’aide des coups d’État judiciaires et médiatique avec la collaboration des associations de défense de des victimes manipulées par l’intox et désinformation journalistique de la subversion perverse. Une jolie commerçante d’un magasin de vêtements féminins prêt-à-porter Toulouse, madame Hélène Panayotou, s’est défendue vigoureusement contre la tentative de viol de son avocat dans son cabinet. Le maître félon vindicatif, par la manipulation sournoise de la procédure, a combiné sa condamnation avec les escrocs dont elle a été la victime, s’est arrangé que la totalité de son fond de commerce avec ses marchandises soient saisie et volés par sa vendeuse.

À la sortie de la prison, où ses protestations ont été assommées par l’administration forcée des drogues, Hélène Panayotou a pris connaissance de mon existence en juriste retaillé par les articles publiés dans l’hebdomadaire Le Meilleur publiés par le journaliste Yves Monié. La jolie femme d’un culot incroyable s’est rendu dans la forteresse psychiatrique à Cadillac, s’est présenté en ma financée pour pouvoir y pénétrer en visiteuse. Entraîné à l’évasion dans les stages de commandos d’actions spéciales, j’ai vite compris ce que je pourrais tirer de cette belle femme si audacieuse qui se laissait peloter de façon la plus lubrique sous la surveillance approchée de deux gardiens. À la visite suivante, Hélène Panayotou m’apportait dans les profondeurs de son intimité ce que qu’il me fallait pour briser la fermeture du volet blindé et pour fabriquer un mini-grappin pour franchir les clôtures avec les draps déchirés, façonnés en cordes.

La nuit du 12/13 juillet 1982, Hélène Panayotou me récupérait dehors dans le champ des vignes avec sa voiture, me dissimulait chez elle pour lui faire arranger ses affaires judicaires sabotées par son avocat félon. Mais n’allait pas loin la requête en révision du jugement inique de sa condamnation, obtenue par les trucages de son propre avocat vindicatif. Saboté par son avocat starisé à Paris, Me Jacques Vergès, le ministre de la Justice Robert Badinter en à mis un terme par le blocage de la procédure infligeant à la profession d’avocat humiliation d’un camouflet historique. La bonbonne de Badinter, professeur d’université en philosophie convoitait les faveurs de l’Académie française, dominée par une coterie des intellos pervers et faussaires professionnels de l’histoire, à l’instar du faussaire professionnel de l’histoire Alain Peyrefitte, ministre de Justice chassé par l’élection de Mitterrand. Blog page 7. Hélène Panayotou a durement payé la reconstruction audacieuse de son fond de commerce des vêtements par un juriste marqué fer rouge par les sciences occultes et de l’astrologie de toutes les sectes ; notamment de l’Ordre secret des Illuminés pervers, la plus dangereuses entre elles. Hélène Panayotou me signalait à Paris que sa fille unique Carole aurait déjà succombé à un assassinat.

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En 1982/83, en esclave dissimulé des traqueurs dans une niche à chien dans la région parisienne, j’ai saisi la Commission d’indemnisation des détentions illégales auprès de la Cour de cassation. Conformément à la loi, pour préparer ma défense, j’ai revendiqué communication du dossier de l’instruction violant délibérément la quasi-totalité des lois régissant la procédure. Tandis que cette communication m’a été refusée par le greffe, dans le palais de justice de Paris, véritablement mis en état de siège par les Compagnies de sécurité de la Police et de la Gendarmerie, à moi le parias traqué, légalement représenté par les avocats félons Jacques Verges et Gilles Lessourd, la seule réponse transmise par les maîtres a été les menaces de l’avocat-général Henri Dontenville : « Dietrich n’existe plus […] et s’il existe encore, je le ferai arrêter sur les champs ». Déjà en 1981, j’ai officiellement accusé l’avocat-général Henri Dontenville, en représentant du ministre de la Justice Alain Peyrefitte du Rotary, d’escroquerie judiciaire par des faux en écriture dans une procédure devant le Tribunal administratif de Toulouse pour en saisir le Conseil d’ État avant mon arrestation illégale.

Or, la communication par la Commission d’indemnisation de ce dossier personnellement à la victime demandeur est imposée par la loi. Le refus ou la destruction équivaut à un acquiescement judicaire sans réserves aux griefs avancés par le demandeur et au taux de son indemnisation. La constatation des crimes d’arrestation illégale et séquestration, l’indemnisation équitable, constituent le préalable à la légalité, la question préjudicielle, de toute autre action judiciaire me concernant. L’obstruction criminelle de cette procédure devant la Commission d’indemnisation interrompe non seulement les délais de prescription, mais aussi les délais de forclusion, car menacé des arrêts préfectoraux d’internement psychiatrique, il m’est absolument impossible de me présenter utilement à une procédure judiciaire en civil, pénal ou administratif. Le prouve sans équivoque, le déroulement ultérieur des événements judiciaires durant bientôt quarante ans.

Mais avec la proclamation en audience publique devant la Commission d’indemnisation « Dietrich n’existe plus […] et s’il existe encore, je le ferai arrêter sur les champs », le ton a été donné à toute la magistrature, refusant ainsi encore prêter assistance à une, et par là à des nombreuses personnes en dangers. Beaucoup ont succombé ensuite à des assassinats meurtrières ou psychiatriques, ou suicidés individuellement ou collectifs par la ruine de leur existence par des escroqueries judiciaires.

Malgré mainte reprise, ni mon dossier, ni la décision ne m’ont été communiqués par le greffe de la Commission d’indemnisation malgré mainte réclamation. Alors qu’il a été initialement prévu que je fasse régler en quatre ans le problème du complot contre la sûreté de l’État par la magistrature, cette magistrature en criminels, pour se faire décorer de la Légion d’honneur, se narguent de moi en leur marchandise depuis bientôt quarante ans pour maintenant ridiculiser mon témoignage à Grenoble par l’admission de la constitution de partie civile grotesque de l’association fantomatique INONCENCE EN DANGER.

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Déjà l’affaire trentenaire sur l’assassinat du petit garçon Gregory qui a entraîne par le sensationnalisme du star-système le suicide du juge d’instruction Lambert, portait toutes les caractéristiques d’un ruineux écran montage d’un écran de fumée judiciaire et médiatique devant les vrais problèmes. Il est fort à parier que pas une des nombres personnes successivement chargée du meurtre en a été le coupable. Nous avons vu à Toulon en œuvre la technique savante des professionnels des « opérations homicides » pour faire monter avec un innocent un écran de fumée médiatique avec des simulation de défense du félon Jacques Verges, du plus médiatique star des avocats.

Ce n’est qu’en étudiant des années plus tard son livre polémiste « Omar m’a tuer », et en visionnant le film au même titre le mettant en scène héroïque avec un membre de l’Académie française, je me suis rendu compte que cette affaire a été montée par le gouvernement pour me discréditer par des insinuations auprès de l’association de défense des victimes, par des calomnies mon ami le juge d’instruction Henri Pascal.

Alors que je suis en pleine action de combat judiciaire en France devant l’ONU et la Cour de Justice de l’Union européenne, éclate dans le département de l’Isère un novelle sensation médiatique sur l’assassinat d’une fillette enlevée le 27 août 2017 par un individu douteux, viré de l’armée, par un petit truand trafiquant itinérant de d’orgue, lié à la Mafia de Grenoble. La présentation en ancien légionnaire cet individu indigne à Grenoble a été pour moi le signal d’intervention pour prévenir la scénarisation journalistique d’une nouvelle affaire « adjudant-chef Pierre Chanal », naguère montée à toute pièce contre un respectable militaire innocent pour me discréditer personnellement par personne interposée. Blog page 13.

Je subodorais qu’il est recherché par la Mafia de Grenoble par un montage tendancieuse affaire Nordal Landais, rendre crédible par des sournoiseries judiciaire l’affaire Pierre Chanal. Avec cette affaire montée à Mourmelon, l’ancien ministre de Défense, escroc de haute volée, et spécialiste des opérations homicide jusqu’aux génocides, François Léotard, malgré mes protestations dissimulées chez les publicitaires, se pavanait toujours sur le Web pour la propagande des campagnes présidentielles en 2015.

Par un compte-rendu de la presse, présentant au lieu et à la place de sa authentique qualité occulté de « truand », cet individu indigne faussement en ancien légionnaire, le signal d’intervention m’a été donné. Par qui ? Par ceux qui me télécommandent ou par ceux qui cherchent de me pièges pour mettre en scène mon élimination par la psychiatrie, combinée avec l’organisation de mon ruine financière avec des dispendieuses procédures ? Quoi qu’il en soit, mon intervention me permettait de sortir de l’obscurité mes affaires pour mettre en difficulté toute cette mafia judiciaire et touristique à Grenoble. La justification par la légitime défense politique pour autrui, justifient aussi des éventuels erreurs d’appréciation.

Comme le démontre la découvert du cadavre seulement après six mois par des aveux du 1 février 2018, extorqués du suspect par des violations répétées des droits de la défense, ont été monumentales les fautes du procureur de la République combinées avec un presse intéressée de l’exploitation du sensationnalisme de ce théâtralisme judiciaire. Ce sensationnalisme du procès de lynch, attentatoire aux droits de défense et au secret d’instruction, a attiré dans la zone du crime une foule de « chercheurs bénévoles » exaltés, manipulés par les charmes des médias, par des gourous extralucides et voyants, des radiesthésistes armés des pendules, pour ratisser la zone du crime à peigne fine. Ça tournait au délire collectif, ayant fait aussi ses preuves dans le montage médiatique de l’affaire Grégory.

Les médias, certains avocats, comme les mafias avaient tout intérêt de faire durer ce juteux spectacle le plus longtemps possible. Et, en réclamant la mise en liberté, notre suspect numéro un, maître chien breveté, s’en est régalé dans sa cellule pour s’en gausser devant le Procureur et des victimes toujours plus exaspérées par leur conditionnent mental du sensationnalisme des médias. Cette manifestation de masse des cinglés éberlués de la médiatisation sur la zone du crime a rendu impossible ensuite aux chiens de la gendarmerie de tracer les déplacements du suspect avec dépouilles sanguinolentes de sa jeune victime, dissimulée à ciel ouvert pour la faire dévorer par les animaux sauvage. C’est une des méthodes de la mafia internationale. Soucieuse de parfaire ma culture en criminologie, elle m’a fait parvenir naguère par e-mail une vidéo d’une telle scène macabre en réel. Si les chutes de neige n’avaient couvert les dépouilles de la petite Maëlys, les gendarmes n’en aurait plus rien trouve.

Le petit truand futé Nordal Landais, en de référant les montages policières et judiciaires criminelles au profit des tueurs professionnels dans ces « opérations homicides » comme Yann Piat, Saincené, Chanal, de « Omar m’a tuer » etc., il possédait toutes les cartes pipées en main pour se sortir impuni de l’affaire par un non-lieu, encore mieux qu’auparavant le tueur en série Michel Fournirait (2011), qui vient, après vingt ans de procédure, avouer encore deux nouveaux assassinats. De Nordal Landais, le dossier surabondait des cafouillages incohérents, jetant un doute sérieux sur sa culpabilité, la crédibilité des preuves matérielles. Moi, je ne m’interroge pas tant sur imprévisible aveu comme les simulateurs de l’association fantôme « INNOCENCE EN DANGER ». Il y a pas tant de mystère.

Sans doute par son avocat pénaliste Me Alain Jakubowicz, informé par le meurtre de l’adjudant-chef Pierre Chanal dans la cellule de sécurité d’un hôpital pour lui subrepticement endosser post-mortem par le ministre de Défense François Léotard, sur des vidéos des innombrables tueries sadiques en série, Nordal Landais en truand aux faits des mœurs du Milieu, est maintenant devenu conscient qu’il joue sa peau.

N’est-il pas mieux de faire bonne mine aux jeux des manipulateurs de l’opinion, de risquer en vie une condamnation pour se défendre en vedette ensuite contre les autres imputations des meurtres des disparus sur ses déplacements de trafiquant de drogue itinérant,  que de se faire endosser post mortem avec perfidie, l’assassinat en série tous ces disparus dont les parents sont subitement réunis en association vindicative? De la peine infligée, il n’en exécutera guère plus que quinze ans, comme l’assassin du général Jean Favreau, ou comme pour Patrick Henri, le tueur sadique d’un petit garçon enlevé. Le sauvetage médiatique de sa tête de la guillotine a été le tremplin politique de son avocat Robert Badinter, devenu les ministres assassins de la Justice du président de la République François Mitterrand trompé.

Le public oublieux, manipulé par les médias par d’autres sensations macabres, s’apitoiera sur le cruel sort des assassins suppliciés en prison. Oublié le nom de l’enfant martyrisé et les cauchemars des parents, une visiteuse de prison entichée l’en fera sortir comme Patrick Henri (2017) et accueillir chez elle pour qu’il fasse de nouveau les grands titres de la presse, assurer à son avocat Robert Badinter encensé, une nouvelle présence médiatique pour qu’on n’oublie pas de mettre ses cendres au caveau du Panthéon des illustres hommes de l’histoire de la France.

Mais pris de crises d’angoisses pour sa survie, le truand Nordal Landais, à sa demande, a été transféré dans une cellule de haute sécurité de l’hôpital psychiatrique de Lyon. Il a raison de trembler pour sa survie, car le problème de l’équité dans son procès bidouillée en superproduction médiatique est devenu un gênant enjeu international par la contestation congrue de l’intervention des fantômes pervers du passé avec l’association « INNOCENCE EN DANGER ».

***

Ainsi est apparu dans cette super-médiatique procédure une très grande énigme à démystifier dans l’intérêt de la sécurité publique. Qui se trouve derrière cette association fantôme « INNOCENCE EN DANGER » ? Par quels mystères sa représentation au procès par son avocat médiatisé maitre Marie Grimaud est admise, tandis qu’en même temps ma présentation en témoin avisé est escamotée ? Dans le cadre plus général du complot contre la sûreté de l’État, ce simple fait présent déjà contre moi l’injure par une manœuvre frauduleuse dégradante, destinée à jeter sur moi et ma science le dégradant discrédit parmi les initiés privilégiés du milieu judiciaire et journalistique.

Au surplus, quel sont les intérêts directs et légitime des cette association de profiter de la super-médiatisation du procès ? Le « juge rouge » Jacques Bidalou démasqué s’est suicidé ; son officine, le restaurant Le Piccadilly, après s’être fait murer sous la surveillance des Compagnies républicaines de Sécurité, est passé sous un autre nom à un autre gérant. Mais son réseau de la subversion judiciaire et politique subsiste toujours, domicile dans un autre tripot en officine d’un autre attrayant frère insinuant, et même sur internet en SYNDICAT DES JUSTICIABLES. Est-ce que l’Ordre secrète des Illuminatis pervers verse aussi son venin satanique dans cette procédure à Grenoble pour me mater, désigner mon témoignage en vile matière négligeable ? Alors le but affiché INNONCEN EN DAGNER de leur association l’obligeait de prêter assistance à une personne hautement qualifiée, mise en danger par de telles révélations.

Au lieu de défendre « l’innocence en danger », leur avocate maitre Marie Grimaud, débitait devant les journalistes, juste pour épater les gogos, des clichés mille fois rebattus dans les prétoires des palais de justice, sur la nécessité de l’intervention de la psychiatrie légale pour éclairer les juges sur « la personnalité complexe » du perfide accusé, manipulateur de la procédure par son surprenant aveu. Mais enfin ! Maitre Marie Grimaud, dans quelle mesure ces banals lieux communs peuvent-ils concerner l’INNONCE EN DANGER motivant l’intervention en victime lésée des assassinats des fantômes de votre association bidon ?

Pinochet et psychiatrie de complaisance.

Les géniales traits d’esprit de l’avocate Marie Grimaud à Grenoble évoquent immanquablement les sournoises machinations de son confère William Bourdon de Paris. Par mon arrestation illégale manigancée en 1981 par les frères insinuants de l’Ordre secret des Illuminatis sataniques, a été substitué à moi ce maître félon William Bourdon à partir de l’ex-restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers (93). J’ai été attiré dans ce traquard satanique pour fonder à Toulouse la « Confédération nationale des Associations de défense des victimes de la justice », (transformée à Paris en Syndicat des justiciables), avec l’engagement ensuite que je prenne en charge l’étude et le contentieux de tous les dossiers politiquement sensibles. L’avocaillon marron William Bourdon, alors cultivé par les dossiers et la science qui m’ont été subtilisée par les artifices de l’association rabatteur, est starisée en fausse grandeur par l’intox journalistique de la coterie subversive du « juge rouge » Jacques Bidalou, s’est emparé la défense des victimes du général Pinochet au Chili pour les illusionner.

J’ai été le mieux placé pour contester l’escroquerie psychiatrique pour la libération pour le rapatriement au Chili de ce toujours vigoureux général assassin et tortionnaire. Mais ayant récupéré par les associations de défense des victimes mes dossiers, l’avocaillon William Bourdon, en défenseur des victimes amadouées, disposait aussi de mes armes judiciaires pour court-circuiter des escroqueries judiciaires, a été même en mesure de me présenter à la procédure comme la preuve vivante.

Après mes démystifications congrues de ces escroqueries politico-judiciaires des coups d’État en France, comment est-il permis à une association des fantômes, avec un financement inconnu, de s’insinuer dans cette procédure où, pour le suspecte Nordal Landais, aucun danger pour « l’innocence » n’est sérieusement présent, non plus pour ses victimes bernées, abusées et narguées. Bien au contraire, « l’innocence est mise en danger » pour la collectivité et pour moi cet intervenant archi-connu et redouté, par ces associations de façade, masques de ces sectes et mafias des pervers, mettant dans les grandes affaires d’État la sécurité publique ; dangers clairement démontrés et publiées sur mes blogs et sur Facebook bloqué à la veille du Noël 2017.

Par l’intermédiaire du courrier électronique « Mappy », avec accusé de réception, toutes mes références détaillées sont communiquées aux juges et à toutes les parties présentes au procès à la Cour d’appel de Grenoble. Ces avocats et les individus douteux se dissimulent derrière une dénomination dubitative de cette mystérieuse association connaissent parfaitement mes savantes interventions d’intérêt nationale et internationale, la mise en danger par le mépris de ma présomption d’innocence par leur seule présence séditieuse en partie civile dans l’affaire du truand Nordal Landais à Grenoble.

En feignant avec arrogances d’ignorer ma savante existence menacée, en copinant avec les médias intéressés, ces intrus sournois dans la si médiatique procédure, combattent pour l’instant virtuellement mes actes de procédures, en jetant malicieusement le discrédit sur ma science, naguère insidieusement récupérée par eux aux fins des chantages politiques. Moi, dont la présomption d’innocence est bafouée depuis des décennies, travaillant en esclave, je ne dispose pas des revenus suffisants pour payer des honoraires à un avocat compétent et intègre pour défendre mon présomption d’innocence, tandis que ses associations claquent depuis des décennies des fortunes dans des simulacres de sabotage judiciaire, bénéficient même des feuilletons et spots publicitaires à la télévision pour rabattre vers leurs avocats félons les victimes embobelinées de l’intox des publicités mensongères des beaux parleurs des craques.

Tandis que son collègue du gouvernement au ministre des Finances Jacques Delors coupait les vivres à Dietrich en cavale, déclarée personne disparue à l’administration des tutelles Suisse pour le priver de sa part dans la succession de son père, ce fin renard d’avocat Robert Badinter, ministre de Justice, attribuait à ces associations simulatrices des subventions pour les inciter de faire crever dans la clandestinité ce véritable innocent Dietrich d’attaque avec son flambeau contre le complot contre la sûreté de l’État. Complot continué en droit ligne en toute innocence, en passant du génocide de Rwanda aux attentats des terroristes instrumentalisés du vendredi 13 novembre 2015…

En conclusion, la procédure contre le truand Nordal Landais est encore plus viciée par l’escroquerie judiciaire couverte par le médiatique procureur de la République Jean-Yves Coquilla. Mon innocence est mise en danger par les duplicités des associations de la défense des victimes. Leurs néfastes mises en scène judiciaires et médiatiques ont produit des assassinats en masse, des génocides, des « opérations homicides » sans nombre. Par la manipulation frauduleuse de l’opinion par ces artifices judiciaires et médiatiques, les élections présidentielles ont failli faire basculer en 2015 la France au pouvoir des génocidaires nazi. Et pour combler la mesure, des petites fripouilles provocateurs de l’Ordre secret des l’Illuminatis sataniques me suivent comme mon ombre. Par ces mafias et ces sectes, mes travaux sur l’ordinateurs sont en permanence espionnés. De notre immeuble, le gangster Bouygues a même fait dériver ma ligne téléphonique de la connexion internet sur un immeuble voisin.

***

Mais le truand Nordal Landais s’est cantonné sur l’aveu d’un homicide involontaire, accidentel ; se réserve d’expliquer plus tard sur les détails. C’est tout de même troublant le déclenchement à point de ce super-scoop médiatique par un petit truand liée au Milieu des Mafias et sectes mises en difficulté par moi à Grenoble. Dès le départ, j’ai signalé juges qu’il s’agit sans doute d’un scénario criminel prémédité. Ce cinéma mélimélo judicaire n’est pas encore terminé ; gageons, il n’a même pas véritablement commencé !

De mon insignifiant erreur d’appréciation dans intervention, le procureur de la République Jean-Yves Coquilla porte l’entière responsabilité, s’est au passage rendu coupable de non assistance à des personnes en danger et du délit de la non dénonciation des crimes majeurs aux juridictions compétentes, dont il a pris connaissance par mes dossiers. Ce prétentieux individu de Procureur est bien plus dangereux pour la sécurité publique que des pires tueurs en série de l’histoire.

Peut-être exception faite de la Reine de France Catherine de Médicis (1519-1589), « la reine diabolique », instigatrice des massacres de la Nuit du Saint Barthélemy (24 août 1572). Le ministre de la Culture vénère sa mémoire du diabolisme politique par l’entretien aux grands frais du contribuable la prodigieuse « Villa Médicis ». Conquis par Napoléon I pour l’Académie française à Rome, elle est à présent le haut lieu des rencontres fastidieuses des falsificateurs professionnels de l’histoire.

Et avec la reine vicieuse, peut-être aussi est exception faite du pas moins diabolique ministre de Défense du gouvernement usurpateur François Léotard (1993-1995), grand amateur des légendaires « opérations homicides » pour se débarrasser des dénonciateurs de ses crimes. Réduits à l’impuissant devant la justice, les survivants du diabolisme de la Nuit de Saint Barthélemy à l’africaine au Rwanda du 7 avril 1994 se souvient encore devant l’ONU de ses impénétrables machinations.

D’une populace sadiques soulées, armés des manchettes préalablement importées, exaltées par les médias délirants, cette boucherie apocalyptique jusqu’aux femmes et enfants n’a pu se produire en Afrique que par mon écrasement judiciaire et journalistique en France, de moi en militaire, avec ma science académique en histoire, philosophie et psychosociologie sur la causalité. Cet écrasement a été machiné sous les directions des ministres, des « gangsters d’État », (selon les généraux qui me télécommandent), par leur « frère insinuant » de l’Ordre secret des Illuminatis sataniques, manipulant les associations de défense de victimes, les instrumentalisant en propagandistes enragés pour la subversion judiciaire, journalistique et politiques. François Léotard, ministre sans légitimité politique aucune, en est un des nocifs produits criminels de l’usurpation des pouvoirs gouvernementaux par des coups d’État judiciaires et médiatique.

Les amateurs des Nuits de Saint Barthélemy de François Léotard ont même présentés leur candidat le plus représentatif en pose de Pinochet aux élections présidentielles 2015, torpillées par moi, avec ma merveilleuse associée Elïna Garança. Avec toute sa compagnie d’artistes, la gracieuse Diva a été ciblée par un grandiose massacre en 2016 dans l’Opéra nationale de Paris pour me défaire dans le combat de l’arme psychologique déterminant, apporté par l’incantation de son sublime aura féminin d’une grande et très belle étoile d’opéra… pour faire exister ce Dietrich foutu.

Tandis que les universitaires en France bloquaient mon accès au doctorat en droit, l’érudit aux comptoirs et salons, le mondain François Léotard, a été gratifié docteur honoris causa par une université des États-Unis, rien que pour se moquer de ceux qui me télécommandent sur « l’Échiquier du Diable ». « Dietrich n’existe plus […] et s’il existe encore, je le ferai arrêter sur les champs ».

Peter DIETRICH

EvasionRécit tueurs à gages. 1

005 Elïna Garanča 46 Caricature La Favorite Munique.

 

Commentaires fermés sur Escroqueries politico-judiciaires complexes par des manouvres frauduleuses des comploteurs contre la sûreté de l’État dans les informations criminelles à Grenoble.

Montage à Grenoble d’un écran de fumé médiatique et judiciaire par des imputations fantaisistes contre un présumé innocent selon la loi.

Posted in Magouille by Dietrich13 on 12 février 2018

Les non-dits qui apparaissent en analyse, c’est qu’avec ma science et avec mes actes de procédure récupérés par leur « frère insinuant », sous la direction du ministre Illuminati des affaires étrangères Rolland Dumas, le « juge rouge » Jacques Bidalou, l’Ordre secret des Illuminatis pervers a effectivement influencé sur la cours de l’histoire mondiale.

Avec les deux pervers ministres des Finances Dominique Strauss-Kahn et l’avocate des affaires Christine Lagarde, les Illuminatis sataniques se sont, par le chantage international, emparés la direction du Fond Monétaire International. Mes constructions juridiques sur l’escroquerie combinatoire en bande organisée par titres de spéculation les Subprime et Hedge Fonds seuls, ‑ dont le gangster Bouygues s’est grandement compromis aux USA ‑, met en jeu des milliards et milliards de dollars et euros. N’en parlons du reste démystifié aussi sur mes blogs.

14/02/2018. Nordal Landais, ce petit truand lié au Milieu, vient d’avouer l’homicide involontaire de la gamine Maëlys sans révéler les circonstances. Le mystère n’a pas pour autant disparu dans cette affaire déclenchée à point pour me faire intervenir en le présentant faussement comme légionnaire. A-t-il enlevé l’enfant sur commande a une fête de mariage pour déclencher un scandale national ? A-t-il été invité tardivement la fête du mariage pour susciter à point ce scandale et les manouvres lui ont échappé ? Et surtout, pourquoi les pouvoirs publics n’ont-ils pas employé tant des moyens policières et judiciaires contre des tueurs sadique de masse qui agisse en tout impunité et sous haute protection depuis des lustres ? Quoi qu’il devienne de cette affaire, mes pas ont été guidés pour que je foute des vigoureuses coups de pieds dans ce nid à vipères à Grenoble.

Dans la découverte du cadavre, il est intéressant de constater l’imposture des voyants et des occultistes en tout genre qui se sont manifestés en masse sur le terrain par la provocation journalistique de l’hystérie général à l’aide la violation des droits légaux de la défense. Et voyons, notre ministre de la Justice exige Syrie pour les assassins en masse et tortionnaires les plus sadiques des enfants en un procès équitable…

 12/02/2018. Aux Messieurs le Président et les conseillers de la Chambre d’accusation, les Juges d’instruction et Procureur de la République Jean-Yves Coquilla, et en complément aux juridictions nationales et internationales légalement saisies de mes plaintes des violations des droits fondamentaux des victimes du crime judiciairement et politiquement organisé du grand banditisme international avec l’Ordre secret des Illuminatis pervers, satanique.

Reference. Montage à Grenoble d’un écran de fumé médiatique et judiciaire par des imputations fantaisistes de tueur de série à M. Nadal Lelandais et l’occultation dans la procédure de mes contestations pertinentes par le crime de « suppression » d’actes de procédures, crime réalisé dès qu’il est frauduleusement empêché à ce que les actes produisent les effets normaux prévus par la loi.

Dénonciations publiées sur le blog : http://dietrich13.com, et

https://www.facebook.com/dietrich13peter.

De M. Peter DIETRICH. Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne-Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant. (Victime et « accusé » d’actes de légitime défense ». Demeurant au 80 rue Voltaire, 93120 La Courneuve.

  • « La prescription ne court pas contre ceux qui ont été placés dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 nov. 1954, B. 352. A fortiori : par les cours de justice nationaux et internationaux au complet.
  • « La prescription en matière de presse (désinformation combinatoire) est interrompue par des (ces) obstacles de droit ». Crim 12 oct. 1993, B. 289.
  • Code de procédure pénale, article 203 : Les infractions sont connexes soit lorsqu’elles ont été commises en même temps par plusieurs personnes réunies, soit lorsqu’elles ont été commises par différentes personnes, même en différents temps et en divers, lieux mais par un concert formés à l’avance entre elles, soit lorsque les coupables ont commis les unes pour se procurer les moyens de commettre les autres, pour en faciliter, pour en consommer l’exécution, ou pour en assurer l’impunité, soit lorsque les choses enlevées, détournées ou obtenues à l’aide de crime ou d’un délit ont été, en tout ou en parti, recelées.

Lorsque, venant de l’université d’Orléans, j’ai démarqué à l’université de droit de Toulouse, il m’a été transmis comme ligne conducteur à suivre le livre d’Alain Jaubert : « dossier d …comme drogue, le Milieu et la Politique… les Gros bonnets… les Financiers et les Filières… en France ». Éditions Alain Moreau 1973. Mais engagée comme victime d’une monumentale escroquerie immobilière, je ne me tenais d’abord qu’aux pages 367 du chapitre XVI : « La drogue et l’immobilier ». Cette littérature édifiant sur la responsabilité des membres du gouvernement tel Michel Debré, Charles Pasqua, Albin Chalandon, Jacques Chaban-Delmas ont affrontés en juste par moi à partir de 1981 est déjà passé en justice le 13 novembre 1975. Le juge de référé du Tribunal de Grande Instance de Paris, au lieu de faire envoyer ces dénonciations du crime organisé du grand banditisme avec le régime politique, s’est contenté de censurer un passage. (Patrice Chairoff : « dossier d …comme barbouze. Une France parallèle, celles des basses-ouvrent du pouvoir en France ». Edition Alain Moreau 1975). Le gangster Francis Bouygues qui a amassé des magots astronomiques dans le grand banditisme du crime organisé avec son associé Albin Chalandon, alors ministre de la Justice, lui recommandait de procéder comme lui, se débarrasser de ces dénonciateurs par des tueurs à gage. Pean P. et Nick Ch. « T.F. 1, Un Pouvoir, p. 80. Editions Fayard 1997.

Jamais le Parlement n’a été habilité par la Constitution d’examiner ces affaires par une « Commission d’enquête » en 1882 en laissant les dossiers sur les affaires criminelles dans les mains des juges prévaricateurs. Il est devenu question urgent pour cette organisation criminelle de l’État de neutraliser ce docte adjudant Peter Dietrich, connu comme manœuvré par les services secrets de l’armé : selon les termes du code pénal et d’article 68, alinéa 2 de la Constituions, le Parlement aurait dû dessaisir toutes les juridictions en France des dossiers pour statuer en audience publique sur le renvoi devant la Haute Cour de Justice, compétent en exclusivité de ce complot contre la sûreté de l’État. L’occultation de l’existence de ce juriste Peter Dietrich et de ses savantes interventions après la fusillade contre les huissiers criminels de Toulouse, engage la responsabilité totale des médias déjà soudoyés comme le rapporte la littérature précitée : « ses hommes infiltrèrent, (frères insinuants des Illuminatis), lentement et sûrement, d’abord les agences de presse, puis les journaux et les magasins. De nombreux pigistes et reporters furent sensibles aux subsides généreusement accordées… » Chairoff cité page 197.

Les méthodes, l’avocat des mafias Nicolas Sarkozy, en usurpateur de la présidence de la République, les a perfectionnées en plus grandes avec les affairistes de la Grande Loge nationale de France, liée à l’Ordre souverain du Temple, de ceux qui s’efforcent en secret d’abolir la République en France par un coup d’état pour restaurer la monarchie des allemands Francs avec les Nazis et des sectes sataniques, avec la haute trahison comme de l’armée française comme pour la Deuxième guerre mondiale. De ce régime constitutionnellement illégal des « gangsters d’État selon l’expression des généraux des services secrets, ses nombreux ministres criminels, (Claude Guénant, Alain Juppé…), parlementaires, hautes fonctionnaires et magistrats font partie de cette organisation à l’insu des électeurs dindonnés par les médias manipulateurs et suborneurs. Organisations discrètes noyautées et manipulées par les « frères insinuants » de l’Ordre secret des Illuminatis pervers, satanistes, en toute impunité depuis des décennies.

Ne connaissant rien aux sciences occultes, leur numérologie ésotérique et à l’astrologie, en 1979 je ne comprenais pas encore l’exultation de certains individus « avec Dietrich nous allons devenir célèbres » après avoir été amadoué dans l’association de Défense des Victimes de la Justice créée par l’expert-comptable Jacques Belhomme, manipulé par le « juge rouge » Jacques Bidalou et son avocat félon Jacques Verges. J’ai été encore un novice illusionné, plongé avec précipitation dans le monde réel, inimaginable pour moi. Ce n’est chemin faisant, dans mes études continuellement perturbées par des exactions fiscales, harcèlements et agressions, judicaires, physiques et psychologiques, je commençais réellement à saisir l’envergure de l’enjeu national et international.

La signification funeste de la date de naissance de mon père 12/13 et le mien 12 août, je ne l’ai découvert que dans les années 2014 par des études sur You Tube. Mais le savaient parfaitement les stratèges des services secrets qui m’ont manœuvré dans cette opération de la saisine de la Haute Cour de justice pour le rétablissement de la sûreté de l’État en France, et, les occultistes des mafias et sectes ésotériques. Je ne me suis pas fait assassiner par eux, car avec ma science présentait dans les coulisses des tripotages judiciaires et politiques une marchandise d’une valeur inestimable, et l’espoir de réaliser la prédiction pour changer avec moi le cours de l’Histoire. On s’est contenté, par les crimes du maintien valide des expertises psychiatriques d’une fausseté criante de me tenir durant quarante ans en esclave, me faire réaliser, sans être payé, des travaux académiques d’une valeur inestimable et ayant produit la modification de la Constitution, la suppression de la Haute Cour de Justice, la modification du Code de procédure pénale, l’abrogation du Code pénale avec des incriminations du complot contre la sûreté de l’État par une « coalisation de fonctionnaires concertant contre la loi et contre l’exécution des lois » au profit des mafias internationales, des organisations nazie, des sectes selon les plus vicieux préceptes du « Nouvel Testament de Satan » de l’Ordre secret des Illuminatis pervers, satanistes.

Petit à petit, les stratèges qui me téléguidaient parvenaient de m’engager dans la totalité des affaires dénoncées par les livres de l’Edition Alain Moreau pour que je fasse saisir la Haute Cour de Justice par la Première Présidente de la Cour de cassation Simone Rosez nommé à cet effet par le Président de la République François Mitterrand. Le Président du Senat, Alain Poher du Rotary l’a su empêcher par la corruption par la distinction du Commandeur de la Légion d’honneur et la promesse de la nommer comme première femme au Conseil constitutionnel.

Sa saisine, j’avais effectué par une récusation des magistrats de la Chambre criminelle de la Cour de cassation (Christian Le Gunehec et autres), doublé par une requête de renvoi pour suspicion légitime des magistrats de Castres et de Toulouse. Pour me faire révolter contre l’obstruction criminelle de la Justice par les huissiers de justice de Castres et de Toulouse, ceux qui me manœuvraient, barbouillaient autour de mon domicile des graffitis « Restez assise, attendez la lobotomie ».

Trop absorbé par les études universitaires, ne suivant pas les actualités journalistiques, j’ignorais que le Rotary Club de Montpellier cuisinait à petit feu judiciaire pour me faire achever le médecin lieutenant-colonel Dr René Savelli, professeur en psychiatrie agrée du Val de Grace, professeur à l’université de Montpellier. Il ne faisait aucun doute que le Dr Savelli a été pénalement responsable, de l’assassinat sadique sous ses directions d’une petite fille trisomique par un prêtre notoirement connu comme paranoïaque. Je suis devenu la marchandise pour l’acquittement de complaisance du Dr René Savelli, à la demande du Procureur général, par la Cour d’appel de Montpellier.

Mais ces enchaînements des escroqueries judiciaires n’ont pu se produire que par la manipulation frauduleuse des informations journalistiques, occultant les motifs de ma fusillade historique dans l’étude des huissiers justice du Rotary de Toulouse. Pas un seul média n’a donné écho des tenants et aboutissants de cet événement d’une importance nationale, si bien qu’en 2017, moi discrédité, mes constructions juridiques essentielles restent occultées dans maints procès menés par ces faits frauduleusement, attentatoires aux droits fondamentaux de la défense.

Pour le discrédit et l’occultation de mes savantes constructions juridiques, des innombrables assassinats en série, des opérations homicides, ont été perpétrées de la manière professionnelle. Le premier qui en a succombé dans cette longue série a été le juge d’instruction Pierre Michel à Marseille La manipulation du « frère insinuant » de l’Ordre secret des Illuminatis pervers, du « juge rouge » Jacques Bidalou guidé par le ministre des affaires extérieures, l’avocat Rolland Dumas, m’a empêché intervenir chez lui par avec mon déclinatoire de compétence au profit de la Haute Cour de Justice.

La députée Yann Piat et, pour les même motifs Christian et Fernand Saincené, les frères barbouzes de l’Ordre du Temple solaire, agents de l’intouchable sénateur-maire de Marseille Jean-Claude Gaudin (ancien ministre associé dans la Mafia à l’ancien ministre François Léotard). Fernand Saincené, un des gangsters est installé avec des cartes tricolores de Commissaire de Police dans le commissariat de police de Marseille pour perpétrer des actions criminelles pour le pouvoir politique de Marseille et disposait contre lui d’une documentation compromettante qu’il s’apprêtait avec son frère apporter à Paris au juge d’instruction Renaud Van Ruymbeke.

(André Rougeot & Jean-Michel Verne. L’affaire Yann Piat. Des assassins au Cœur du Pouvoir. Éditions Flammarion 1997).

Tout un micmac mafieux conjuré contre la démocratie liée à l’assassinat du député Jean De Broglie. Les assassins ont été récompensés par une grosse indemnisation par la Cour européenne des Droits de l’Homme. Tout un micmac criminel liée à la Loge maçonnique P2, des Templier, de l’Ordre de Malte, de Lucio Gelli, ses milliards détournés et escroqués, avec ses cadavres des banquiers assassinés sur les bras, la loge maçonnique Grande oriente d’Italia, ses généraux, ses préfets… Le Pape Jean-Paul I de 33 jours, qui comptait de mettre un terme au crime organisé au sein du Vatican par la « Santa Mafia », est empoissonnée par une filière française, soutenait-on. Alors qu’il a été prévu que je traite ce problème en quatre ans, j’ai été traqué, immobilisé durant ce temps par l’esclavage dans une niche à chiens dans la région parisienne sous la direction du « frère insinuant », le « juge rouge » Jacques Bidalou, de mon traitreux avocat félon Jacques Verges, leur commanditaire de l’Ordre secret des Illuminatis pervers, l’avocat Rolland Dumas, ministre des affaires extérieurs.

La tuerie d’Auriol en est une autre conséquence, comme le massacre des jeunes militaires à Mourmelon, endossé à l’innocent Adjudant-chef Pierre Chanal pour ne me discréditer par personne interposée dans une bataille judiciaire d’envergure, d’intérêt national. Mon ancien amour de mon séjour à Mourmelon, inconnu par les instigateurs, m’a incité d’intervenir dans la procédure auprès de la Direction de la Gendarmerie nationale de Chalon sur Marne. Blog page 13. Bien connu également l’adjudant Pierre Chanal, « Carole ou Karin », déclarait à la presse d’estimer l’impossible le crime endossé à l’adjudant-chef Pierre Chanal, un militaire irréprochable.

Par ce témoignage à décharge, mon intervention écrite a été suscitée, référence faite à la littérature précitée de l’édition Alain Moreau : ce régime des « gangster d’État » utilise notoirement pour des opérations homicides politiques des tueurs sadiques. Justement, cela s’est produite par un chef de commando, ramené en France et employé dans son usine par un membre du Rotary Club, dans la tuerie d’Auriol d’une famille, femmes et enfants, d’un inspecteur de police détenteurs des informations sur des comptes secrets en Suisse de la police parelle Service d’Action civique, dont faisait aussi partie de Gang Zemmour, et de ses commanditaires au gouvernement : les trucidés ministres Boulin Fontanet, D’Ornano…

Avant l’assassinat de l’Adjudant-chef Chanal, j’ai affronté l’organisation du grand banditisme, défendue à grand frais par une craque mondaine par mon professeur en droit Jean-Denis Bredin de l’Académie française, devant le Tribunal correctionnel de Paris dans l’affaire Cogedim/Bouygues. Mon déclinatoire de compétence au profit de la Haute Cour de Justice a été ridiculisé en trois mots par les amis journalistes de la conjuration des Illuminatis pervers, du « juge rouge » Jacques Bidalou, accréditant constamment sa présence aux associations de défense des victimes des tripotages judiciaires, ainsi dindonnées.

Mes observations ont été confirmées. L’adjudant-chef Pierre Chanal, clamant son innocence, a été assassiné en cellule de sécurité de l’hôpital par une savante méthode justement montrée au grand écran dans un film sur le suicide d’un médecin sous l’Inquisition, assisté par le procureur, dans une cellule de haute sécurité. Mais la procédure n’a pas été annulée en raison des fraudes manifestes. Sur le Web et sur YouTube, l’adjudant-chef Pierre Chanal est toujours présenté en tueur de série par l’ancien ministre de la Défense François Léotard, malfaiteur miraculé des poursuites de la Haute Cour de Justice par mon discrédit par personne interposée.

Après le carnaval judiciaire trentenaire de l’affaire Grégory, est maintenant relancé en écran de fumée judiciaire contre mes affaires ce vaudeville journalistique et judiciaire devant la Cour d’appel de Grenoble. Par la provocation de l’hystérie collective est monté à toute pièce un procès de lynch contre Nodal Lelandais, un insignifiant truand, par la diffusion des fausses nouvelles associées à la violation du secret d’instruction, des subornations des témoins… avec des allégations tirées par les cheveux, des imputations péremptoires au conditionnel contre un présumé innocent. Le doute légal ne bénéficie plus à l’accusé ! (Dans l’affaire Grégory, sans doute aucune des personnes poursuivies n’a été coupable de ce meurtre professionnellement calculé à déclencher une médiatique scandale national avec la manipulation mentale des juges et des parties au procès).

Par une justice à deux vitesses, deux poids et deux mesures, à envergures variable, est remis en scène à Grenoble contre un fantoche présenté constamment et avec insistance par les journaleux en militaire. C’est le développement d’un épisode suivant du complot permanente contre la sûreté de l’État par des attentats contre son régime constitutionnel de la démocratie égalitaire, de ses intérêts économiques essentiels et la défense nationale, cela d’autant plus que mon intervention en tant que témoin est occulté, comme si je ne l’existe pas. Cet individu sans grade, viré de l’armé après un court passage, ne peut être présenté à l’opinion public en « militaire », selon la jurisprudence interdisant de présenter le « juge rouge » Jacques Bidalou en « magistrat ».

Dans la nuit de la disparition de la gamine Maëlys, ce petit truand a été tardivement invité à la fête du mariage pour fourguer de la drogue à des participants notoirement connus par la police en débauchés sexuels. En se rendant à ce mariage, repéré en trafiquant de drogue, il a été pris en chasse par la gendarmerie, s’est échappé de justesse à l’arrestation en jouant le cascadeur. Ensuite, en toute logique, le petit truand futé a dû faire disparaître dans la nuit les preuves de son trafic, sans craindre une poursuite du rapt de la gamine, a lavé pour la vendre tout bonnement sous des caméras de télésurveillance dans une station-service proche de son domicile sa voiture repérée par la police. De lui imputer l’enlèvement de l’enfant relève de la plus pure fiction d’une opération de manipulation de l’opinion. L’hystérie collective produit par les médias a eu pour résultat mobiliser des masses des cinglés, polluer la zone du crime par le ratissage de toute la région à recherche de la gamine, alors j’ai demandé aux policiers enquêteurs s’ils avaient au moins aussi fouillé les congélateurs. Ils savaient bien que n’a pas été une blague et, pour ne pas faire école, je me suis retenu de leur faire plus de commentaires.

L’affaire de la disparition de la gamine Maëlys risque l’annulation en raison de l’accumulation des fraudes des droits de défense fondamentaux. Selon les observations pertinentes de l’avocat du suspect Nordal Lelandais, Me Alain Jakubowicz : « on a négligé d’autres pistes extrêmement importantes ». À notre époque, dès que des gens prétentieux peuvent pavaner devant les médias manipulateurs, ils s’excitent, cherchent à tout prix de se mettre à l’avant par des déclarations le plus fantasques. Ainsi, en dissimulant à ces braves gens mes témoignages avisés, avec les médias intéressés, le procureur Jean-Yves Coquillard a réussi de réunir contre ce prétendu militaire de nombreuses des parents des personnes disparues, partout où ce petit truand a fait un court passage en France.

Même si cela est improbable, cela ne l’exclut pas en tueur, lance ce procureur à conférence de presse devant la télé. Le star-système de la médiatisation lui fait sauter dans ses méninges un fusible après l’autre pour faire passer son suspect numéro un en tueur de série par des plus fumeuses allégations, des suppositions exprimées au conditionnel. Arrivé le 10/02/2018 à la divulgation des touche-pipis enfantines de son suspect favori pour étayer ses présomptions toujours plus délirantes, ce procureur Jean-Yves Coquillard exalté risque de finir comme le juge d’instruction Jean-Michel Lambert suicidé, fourvoyé par l’hystérie collective fabriquée des médias dans l’impasse judiciaire dans l’affaire du meurtre du garçonnet Gregory. Un juteux montage judiciaire et médiatique trentenaire bien comparable à l’affaire de la disparition de la gamine Maëlys qui fait actuellement fureur.

Même une femme déclarée en suicidée dans le Sud de la France est imputée en meurtre à ce petit truand, alors matériellement, il est devenu absolument impossible d’en établir une preuve. Des adeptes du sadisme satanique, en se servant de la technique du concassage et pillage du cadavre congelé, font disparaître en les passant par les canalisations chaque année des nombreuses personnes en France. Sans faire état dans la procédure à Grenoble de l’existence de ses organisations sataniques dénoncés par une autre association des victimes des disparues, rapporté sur mes blogs et dans mes témoignages produits, les médias et le procureur présent leur suspecte numéro un en tueur de série, lui imputant à priori des assassinant commis très probablement par des criminel invétérés, placés sous protection judiciaire depuis des décennies.

Par la répétition des arnaques dans l’affaire Chanal de Mourmelon, le sensationnalisme judiciaire et médiatique est monté à point par la mafia grenobloise pour semer le trouble dans l’opinion public, alors que mon affaire du complot contre la sûreté de l’État des assassins de masse risque finalement d’être tirée de l’obscurité, produire un bigbang judiciaire fatal pour bien des magistrats et des magnats mafieux des médias.

***

Vivendi arroseur n° 1 Medias

Est de taille, l’enjeu pour la magistrature corrompue de père de fils et les propriétaires, gangsters mafieux des grands médias Bouygues, Lagardère, Pinaud, Vivendi…, au Sud de la France et à la Côte d’Azur : les Laboratoires Fabre de Castres, Bernard Tapie…, car selon la jurisprudence de principe, l’omission malicieuse par un journaliste dans un compte-rendu d’audience judiciaire l’intervention essentielle d’un avocat engage sa responsabilité civile. Dans les affaires présentées savamment par moi, même la responsabilité à l’égard des victimes turlupinées, comme dans l’affaire montée contre Nodal Lelandais, laissées dans l’ignorance des motifs de mon interventions. Selon les dispositions du Pacte international, ratifié par la France en 1981, relatif aux droits civils et politiques de l’ONU, je suis parfaitement égale aux avocats et même au procureur de la République. Mais dans la dissimulation par les médias de mes interventions en audience publique à Toulouse, à Paris et à Lyon, il ne s’agit pas d’une simple omission malicieuse. Ils s’agissent des omissions concertées par des médias financièrement officiellement intéressés et des journalistes ouvertement soudoyés des mafias pour faire l’épate sournoise.

Dans ma première apparition avec le déclinatoire de compétence au profit de la Haute Cour de Justice dans l’affaire Chalandon contre leur associé Albin Chalandon, ministre de la Justice, la presse nationale et international présent dans la salle d’audience, à pris connaissance de mes argumentaires savants dans LIBERATION du 10 octobre 1991 : « et même un Belge paranoïaque venu expliquer à la cour que l’affaire Chaumet n’était que la partie émergée d’un complot contre la sûreté de l’État ». C’est l’œuvre de ces journalistes pervers, sous la direction de leur « capitaine » Jean-Édern Hallier, qui ont passé du journal HUMNITE à LE MONDE et à LIBERATION, ont repris l’hebdomadaire subversif L’IDIOT INTERNATIONAL.

Dans cette affaire à Paris, répétons-le, par le frère insinuant, le « juge rouge » Jacques Bidalou, l’Ordre secret des Illuminatis pervers, satanistes sous la guidance du ministre des affaires étrangères Me Rolland Dumas, par la récupération de mes dossiers, le chantage exercé sur Albain Chalandon de la faire passer devant la Haute Cour de Justice avec tout le gouvernement, ont pris le contrôle de la société Elf Aquitaine. L’instruction judiciaire des immenses détournements des fonds a été confié à la juge d’instruction Eva Joly, une roulure norvégienne, venant du milieu des drogués de la Côte d’Azur pour s’introduire dans la magistrature par un mariage avec boutonneux de la grande société parisienne, alors elle ne disposait même pas les qualifications universitaires nécessaires.

Après la suppression par elle de mes actes de procédures revendiquant la saisine de la Haute Cour de Justice, c’est organisé un scénario de retardement par le refuge du sous-directeur d’Elf-Aquitaine Alfred Sirven dans des Iles exotiques avec un luxueux Jet privé, semblable à Papon, refugié en Suisse. Mais à tout observateur attentif, il sautait aux yeux que le lumineux ex-sergent-chef Alfred Sirven, parachutiste commando du Premier Choc rentré dans la franc maçonnerie de la Côte d’Azur, ne disposait d’une qualification nécessaire pour assumer la sous-direction d’un si grande société pétrolière étatisée comme l’Elf Aquitaine. Ces hautes fonctions dans une telle société alors étatisées sont disputées par des titulaires des diplômes des écoles des hautes études du commerce et même de l’École nationale de l’Administration. (Blog page 7).

Tout manigancé par avocat Rolland Dumas, ce célèbre « franc-maçon controversé », ce Illuminati pervers, la fonction de l’homme de paille de l’ex-sergent-chef s’est borné d’endosser les détournements de fonds par la véritable direction et de distribuer l’argent en liquide entassé dans le coffre de sa voiture à tous ceux qui disposaient le pouvoir de faire saisir la Haute Cour de Justice, dont les journalistes. Sur le calpin d’Alfred Sirven saisi par le juge d’instruction Eva Joly figurait, entre autres membres du gouvernement, le nom du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Par ce fait même, à Eva Joly a été enlevée « sans délais », sous peine de forfaitures criminelle, la compétence judiciaire de poursuivre l’affaire qui relevait dorénavant en exclusivité de la Haute Cour de Justice. Cela lui a été expliqué de façon académique dans mes actes de procédures qu’elle a anéantis par le « crime de suppression d’actes », sous la direction du ministre de la Justice compromis et sous les yeux des médias, parfaitement informés depuis des lustres.

La juge d’instruction Eva Joly rendu avantageusement célèbre en « juge anticorruption » par la manipulation médiatique de l’opinion, a été appelé à Grenoble où le procureur général de la Cour d’appel refusait ouvertement de poursuivre la Mafia qui se livrait aussi aux enlèvements des innombrables jeunes personnes pour les exploiter en proxénètes dans la prostitution aux sadiques, des leurs partis de tortures sexuelles allant jusqu’à la mort sous les caméras vidéos, des nourrissons même accouplés par des porcs et des chiens dressés à cet effet.

À Grenoble dans le détournement des fonds, avec aussi le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua, sur des comptes en Suisse, Monaco, Liberia, Liban, en madame anticorruption, Eva Joly en administrateur, arrangeait les sombres affaires du « grand voyage es millions d’Isola 2000 » (Canard enchaîné 23 avril 1997) de son bienfaiteur alors ministre de Justice Jacques Toubon qui a verrouillé et paralysé la Justice en neutralisant les juges d’instructions incorruptibles et les a remplacés par ses prostitués. (Robert Schneider. Le Nouvelle Observateur du 23 juin 1996). Et tous ces manigances politico-judiciaires ont été rendus possibles par l’occultation des interventions congrus du juriste Peter Dietrich, de son humiliation par des injures publiques des journalistes soudoyés de la mafia, des sectes des Illuminatis pervers.

Leurs manœuvres de ma déstabilisation financière et morale dans la guerre psychologique se sont répétés à mon intervention devant la Cour d’appel de Bourges contre le « juge rouge » Jacques Bidalou en action de manipulation subversive : « Une caricature : un légionnaire au fort accent alsacien, porte son paquetage dactylographié : il est venu parler de la Mafia et du complot mondial du Rotary-Club, du S.A.C., de Touvier et de tous les autres. Une belle croisade sans doute. » Dominique Herault. La Nouvelle République du Centre Ouest du 10 mars 1994. Dans cette affaire, j’ai mis en difficulté par ma science le « juge rouge » Jacques Bidalou auprès des associations de Défense des Victimes de la Justice et des Notaires.

Le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua a envoyé à Bourges en renfort du « juge rouge » Jacques Bidalou le lieutenant-colonel Yves Chalier spécialiste militaire de la guerre psychologique, poursuivie à Paris pour escroquerie et détournement des fonds. Par le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua, ce malfaiteur recherché par le juge d’instruction de Paris, à l’aide de vrais-faux passeport a été exfiltré vers la mafia du Brésil pour son recyclage à la subversion complotiste. Dans la dernière phase du sabotage judiciaire de mes constructions juridiques devant la Cour d’assise de Bourges, cette association de malfaiteurs a eu par la starisation ciblée des médias le renfort de l’avocat félon Gilbert Collard. Ce maître-félon starisé des médias intéressés avait déjà pu saboter par faux brillant médiatique à Marseille l’affaire de la tuerie d’Auriol, la soustraire de la Haute Cour de justice par captation perfide des victimes plaignantes, grâce à mon élimination criminelle à cette époque à l’aide de la désinformation et intox journalistique.

– Le Canard enchaîné du 6 février 1991 : « Médecin savait soigner les journalistes ». À la Côte d’Azur, les exploits de la bande des malfaiteurs de l’ancien secrétaire d’État et député-maire Jacques Médecins ne cessait de défrayer la chronique judicaire. Je m’y suis constitué partie civile par voie d’intervention avec un déclinatoire de compétence, revendiquant la saisine « sans délais », conformément à la loi, la Haute Cour de Justice. Alors, au lieu de faire droit à ma demande, le doyen des juges d’instruction François Boisseau me convoqua de comparaître devant lui à Nice dans l’intention manifeste de ma faire disparaître par sa Mafia veillant au bon déroulement de sa carrière. Lorsque je lui répliquais en lui posant la question s’il me prenait vraiment pour un con, le Procureur de la République P.S. Ameras intervenait par une menace en dépassant son cadre d’attribution légale, « supprimant » l’acte de procédure destiné à la Cour d’appel. Si je qualifiais encore les magistrats nigauds de Nice d’incompétent, il me trainerait en justice pour outrage à magistrat. Ça n’a pas manqué. Le procureur prévaricateur est fait décorer Chevalier de la Légion d’honneur par ceux qu’il a épargné des poursuites judiciaires.

Médecin Nice, réponse du Procureur.

Contre ces obstructions criminelles de la justice, j’ai saisi le Médiateur national. Sur sa recommandation, j’ai saisi du dossier le débuté le plus réputé le plus courageux et le plus motivé de venir à mon secours pour défendre les intérêts essentiels de l’État : le preux et célébrissime généralisme Marcel Bigeard. (Blog page 3). Le traître, en lâche m’a marchandé pour le bureau d’un sous-secrétaire d’État dans le « gouvernement des « gangster d’État » dénoncés, et en à croire la publication du fac-similé du Le Canard enchaîné du 6 février 1991 : « Médecin savait soigner les journalistes ». Devenu trop loquace, Jacques Médecin s’est fait assassiner le 17 novembre 1998 dans un hôpital au Paraguay : « J’ai été honnête, mais j’ai été entouré d’une bande d’ordures à la marie de Nice », ont été ses dernières clameurs aux journalistes.

Médecin Journlistes

Mais ses lieutenants mafieux de l’extrême-droite sont restés intouchables par la justice en France grâce à l’occultation de la presse de mon existence dans les procédures judiciaires truquées, notamment les lieutenants de Jacques Médecin liée à la « Santa mafia », la loge maçonnique Grande oriente d’Italia, de Lucio Gelli…, Michel Falicon, deuxième adjoint du maire, du Rotary, de « Occident », de « Ordre noir », organisations de l’extrême droit, du S.A.C., avec leur casse du siècle de la banque Société Général par le vénéré truand Albert Spaggiari. Affaires du grand banditisme politisés qui remontent jusqu’à l’assassinat à Lyon par les truands du S.A.C. de l’irremplaçable juge d’instruction François Renaud en 1975.

***

– Le Canard enchaîné du 4 décembre 1991 : « Le Patron de la Cogedim préparé son procès en câlinant la presse ».

01 Cogedim caline la presse. - Copie

De nouveau je me suis présenté à l’audience publique devant le tribunal correctionnel de Paris présentait à la cour devant les journalistes de la presse national avec le volumineux dossier justifiant le déclinatoire de compétence au profit de la Haute Cour de Justice. Dans ces affaires ont été présent les escrocs de haute volée de bonne société, les hautes personnalité politiques corrompues à côté de Joseph Choukroun, le comptable et dernier survivant du redoutable gang Zemmour se livrant avec les cartes tricolores du S.A.C. au proxénétisme, trafic de drogue et des blanches, assassinats, tout en finançant des homme politiques en leur livrant des gardes de corps et casseurs dans les élections.

(Le gang Zemmour a été liquidé par des gangs rivales aussi politisés comme en témoigne le dessaisissement humiliante et illégale du juge d’instruction Gilbert Thiel par le maire de Toul Jacques Gossot, les escrocs de haute volé du Rotary Club alliés à une bande de gangsters assassins, et trafiquants du crime organisé dans le nord de la France. Pour faire annuler ce dossier d’instruction en raison d’une simple rumeur de la compromission du maire de Toul enregistré dans le dossier, dont les poursuites relevaient alors d’une autre juridiction (art. 681 c.pr.pén.), mon avocat félon Jacques Verges s’est fait servir de mes constructions juridiques qu’il a refusé de faire bénéficier à moi depuis des décennies pour me tenir en esclavage de l’ordre secret des Illuminatis pervers. La Chambre criminelle, ensuite l’Assemblée plénière de la Cour de cassation ont supprimée dans cette procédure mon intervention savamment structurée. Monique Raux. « La Cour d’appel de Metz en désaccord avec la Cour de cassation ». Le Monde du 16 mai 1992).

03 Gossot maire de Toul et Mafia de Colmar et Metz.

Devant le tribunal correctionnel à Paris, pour « supprimer » mon déclinatoire de compétence, les magistrats du ministère public et de la cour ont été corrompus par de gangsters à partir des cellules de la prison. Le directeur de la société immobilière, escrocs de haute volée décoré chevalier de la Légion d’honneur, organisait pour la presse des tels « dîners d’affaires » qui, par la jurisprudence, sont incriminés de corruption et subornation à l’égard des délinquants sans envergure. Pour m’anéantir par la simple présence du plus illustrissime professeur de droit, et par une de ses craques mondaines sans portée juridique, ce directeur friqué a engagé à grand frais mon ancien professeur en droit de l’université Panthéon-Sorbonne de Paris Jean-Denis Bredin de l’Académie française, refusant diriger ma thèse de doctorat. La seule réflexion du procureur a été de remarquer devant la sélecte gallérie deux fautes d’autographes dans la conclusion de ce docte académicien vénal des salons mondaines.

Un avocat facétieux dans la salle d’audience me soufflait à l’oreille : « vous êtes bien modeste avec votre réclamation d’indemnisation. À celui-là a été versé un million avant qu’il lèvre les pieds ». Répétons-le, par le silence sur mon intervention à l’audience, tout en signalant élogieusement celle du « juge rouge » Jacques Bidalou dans leur pages aux associations de défense des victimes de la justice, de ces journalistes et leurs patrons des médias est engagé la responsabilité pénale et civile de toutes les conséquences meurtrières du complot qui se sont produits ensuite. L’autre volet de l’affaire s’est déroulé à Créteil où j’ai présenté personnellement au greffe mes interventions étoffées par des dossiers jamais contestés et incontestables.

– Le Canard enchaîné du 19 octobre 1994 : « Comment Carignon mettait dans sa poche policière, juges et journalistes », (principalement du Dauphine News qui excelle actuellement dans la manipulation à Grenoble des informations de l’affaire Nordal Lelandais pour susciter l’hystérie collective).

Grenoble Maffia Surchauffe

Avec les affaires juridiquement indivisibles contre les anciens ministre comploteurs contre la sûreté de l’État Jacques Médecin et François Léotard, se trouvaient à la Cour d’appel l’affaire contre l’ancien ministre le Ministre Alain Carignon, député-maire de cet ville Grenoble dominée par la Mafia, trempé dans des multiples escroqueries de haute volée et détournement des fonds. En Ministre de la Communication 1993/94, Alain Carignon a déjà corrompu les médias nationaux en leur accordant des royales subventions pour les inciter de taire sur l’illégalité constitutionnelle des élections de son gouvernent des comploteurs contre la sûreté de l’État.

Le député-maire Alain Carignon avec des personnalités du gouvernement s’est compromis dans des affaires d’escroqueries complexes avec la société immobilière du gangster notoire Bouygues et avec la Société générale des Eaux, qui s’appel à présent Vivendi. [Après la déstabilisation médiatique du régime du colonel Kadhafi, le financement des terroristes et bandits assassins en Libye et la razzia de l’armée française qui s’en est suivie, ces compères se sont approprié les infrastructures réalisées par Kadhafi, notamment les adductions d’eau potable valant plus que les ressources en pétrole. Blog page 12].

Carignon policiers juges journalistes

Je suis intervenu dans cette procédure relevant indivisiblement de la compétence exclusive de la Haute Cour de Justice demandant à la Cour d’appel de faire lire en audience public mes motifs d’intervention, comme le code de procédure pénale exigeait pour un plaignant empêché de se présenter personnellement par la force majeure. Le greffe de Grenoble me confirmait la réception en me renvoyant un exemplaire de mon intervention tamponné par lui et par le procureur général. Hélas, un des avocats des gangsters poursuivis s’appelait Me Nicolas Sarkozy. Par la manipulation de l’opinion des fausses nouvelles et de l’intox, la Mafia et les sectes adeptes du satanisme, font passe leur avocat Nicolas Sarkozy, successivement ministre des Finances et ministres de l’Intérieur, avant de le catapulter à la Présidence de la République.

Après mes manifestations personnelles devant le tribunal correctionnel de Lyon, en ministre, avocat cumulant avec ses fonctions officielles, le ministre-avocat Me Nicolas Sarkozy fit violer et mis en sac mon domicile à 80 rue Voltaire par une meute de policiers du Commissariat de La Courneuve, sous la direction d’un substitut du procureur de la République du T.G.I. de Bobigny pour me faire voler l’acte de procédure présenté à Grenoble contre ses clients. Manque de peau, ces amateurs n’ont pas trouvé sur mon disque dur les images des tampons de réception du greffe de du Procureur général Grenoble.

Ensuite, après l’arrestation illégale, le policier enquêteur enragé de se faire ridiculiser par ma connaissance du droit, déchirait l’enregistre de mes déclarations. Dépassant les délais légales en raison du refus de deux psychiatres de se prêter au jeu, le Commissaire de Police et le Préfet finissaient de me faire interner en psychiatrie, réduire en zombi des mois durant par l’empoisonnement médicamenteux, doublé des exactions fiscales desquels j’ai bien failli de me faire crever comme un chien abandonné de tous. L’exaction fiscal constatée et cessée, en raison du blackout médiatique, personne n’a songé de me rembourser et d’enquêter pour poursuivre les criminels, produisant des opérations homicides une après l’autre comme, après les massacres du vendredi 13 février 2015, dans l’affaire Maëlys à Grenoble.

***

Incité par les stratèges qui téléguides mes actions spéciales de « commando », je pris l’immense risque avec mes faibles revenus de me présenter personnellement devant le tribunal correctionnel de Lyon saisie d’un autre volet du complot contre la sûreté de l’État. L’escroquerie judiciaire a été dirigée par le procureur général Jean-Louis Nadal, un des francs-maçons affairistes de la Grande Loge nationale de France. Après ses exploits à Lyon, le tripoteur débridé de la justice a été muté à Créteil pour me faire écraser de nouveau dans l’affaire citée. Le juge d’instruction de Lyon Jacques Chauvot par l’intimidation politique abandonnait les poursuites d’escroqueries de haute vole et détournement des fonds mettant en cause le président usurpateur de la République Jacques Chirac et sa bande des « gangster d’État », comploteurs justiciables de la Haute Cour de Justice.

Ce volet amputé de l’ensemble indivisible de l’incrimination « complot contre la sûreté de l’État » mettait en cause l’ancien ministre, député-maire de Lyon Michel Noir avec le plus remarquable corrompu Charles Giscard d’Estaing, le frère de l’ancien Président de la République échappé par mon écrasement dans deux affaires de la Haute Cour de Justice. (Le ministre gaulliste Valérie Giscard d’Estaing, en instigateur reconnu sous son pseudonyme du putsch des généraux d’Alger en 1961, en été justiciable avec les putschistes, en est toujours justiciable. La constitution d’une juridiction spéciale violait déjà la Constitution, comme plus tard dans les affaires du S.A.C.).

Lorsque je me suis présenté dans le hall devant le tribunal correctionnel, j’ai immédiatement remarqué un remue-ménage parmi les gendarmes. L’ouverture de la salle fut retardée si bien je craignais déjà qu’on ne m’y lassait pas entrer. À l’intérieur, la plupart des journalistes m’ont reconnu. Un chauve au cran rasé m’a même amicalement serré la main. Devant eux, je me suis avancé vers l’estrade pour mettre sur le pupitre du greffier mon volumineux dossier sur le complot contre la sûreté de l’État. Le président me fit taire, me convoqua à l’audience d’un autre jour. En même temps, le juge d’instruction de Lyon Philippe Courroye a été encore saisie d’un autre volet qu’il escamotait à la Haute Cour de Justice pour être muté à Nanterre en procureur de la République pour saboter l’information contre les comploteurs au gouvernement de la juge d’instruction. Les trucages à Lyon ont valu au preux juge d’instruction Philippe Courroye la décoration de Chevalier de la Légion d’honneur, les trucages en procureur de la République à Nanterre, la décoration de Chevalier de l’Ordre national de Mérite.

Noir Léo Balladur Lyon3

3 mars 1995. Monsieur le Juge d’instruction Philippe Courroye. Tribunal de Grande instance. Rue du Palais de Justice. 69324 Lyon Cedex O5.

{Observations du 02/08/2017. J’attends toujours la communication de la décision pour que je puisse exercer les voies de recours, car la nomination du magistrat prévaricateur invétéré Philippe Courroye, récompensé des forfaitures de la décoration de la Légion d’honneur, comme procureur de la République auprès du Tribunal correctionnel de Nanterre pour saboter la procédure d’information et faire casser les reins au juge d’instruction Mme Isabelle Prévost-Deprez pour sauver des poursuites judiciaires adéquates du complot contre la sûreté de l’État les anciens ministre Nicolas Sarkozy et Éric Woerth. Une autre procédure nulle pour fraudes et à recommencer. Je suis aussi en droit d’apprendre si ce président faussaire Perrin du tribunal correctionnel de Lyon ne se confond pas avec le Conseiller Perrin du la Commission des requêtes de la Cour de Justice de la République qui a, par un faux en écriture transformé mon témoignage en plainte pour la « supprimer » dans le dossier de l’affaire du Sang contaminé}.

Référence : Mes constitutions de partie civile par voie d’intervention dans les affaires

Courroy Lyon tampon Conseil d'Etat.

juridiquement indivisibles contre Maître et fils Aucouturier (Bourges), Chaumet et Chalandon (Paris), Carignon (Grenoble et Lyon), Cogedim, Century, Choukroun, De La Fournière, (Paris), Gossot (Nancy), Léotard (Draguignan et Lyon), Limouzy (Castres), Longuet (Rennes et Paris), Médecin (Nice et Grenoble), Papon (Bordeaux), Botton, Noir, C. Giscard d’Estaing (Lyon), Chalier et Pasqua (Paris) et autres.

Monsieur Peter DIETRICH, Adjudant honoraire, décoré de la Médaille militaire, cité, blessé, D.E.A. du Droit privé de l’Université Panthéon-Sorbonne de Paris, Certificat d’études universitaires de criminologie et sciences pénales.

Partie civile et prévenu, « accusé » se justifiant par la légitime défense pour soi-même et pour autrui dans d’autres procédures, Demeurant au 80, rue Voltaire, 93120 LA COURNEUVE.

A l’honneur d’exposer :

Depuis deux ans maintenant, j’ai exposé aux Comités de l’O.N.U. les trucages judiciaires commandités par les hommes politiques mafieux dans les affaires citées en référence. Il s’agit notamment des affaires avortées par la fraude criminelle concernant les anciens et actuels ministres MM Léotard, Médecin, Noir et autres. Par l’acquiescement judiciaire implicite de la Grande Chancellerie de la Légion d’honneur à mes dénonciations devant le Tribunal administratif de Paris et la restitution d’une partie de mes biens spoliés en Suisse par une déclaration anticipée de décès, la menace d’un assassinant s’est momentanément dissipée.

J’ai pris donc le risque de placer mes jalons devant le tribunal correctionnel de Lyon en vue des procédures ultérieures devant l’O.N.U. et devant la haute juridiction politique en France. Je me suis rendu à cet effet personnellement à l’audience publique du 13 février 1995 de la 5ème Chambre correctionnelle pour confirmer mon intervention par une constitution de partie civile académiquement motivée et dont la copie est ci-annexée avec la documentation produite en appuie. Il en ressort d’une manière claire et précise l’incompétente légale du tribunal correctionnel en raison des qualifications criminelles des faits et en raison de la qualification constitutionnelle « complot contre la sûreté de l’État », conférant la compétence exclusive à la Haute Cour de justice dans sa composition originelle.

Bien qu’arrivé plus d’une demi-heure avant l’ouverture de la salle d’audience, l’accès m’a été barré par une rangée de solides gaillards de la police en tenu de combat. Il a fallu d’interminables palabres et l’intervention personnelle du procureur de la République pour que l’accès à la salle d’audience m’ait été tardivement autorisé.

Conformément au rituel légal, j’ai déposé mon dossier chez le greffier en communiquant devant les personnes présentes la copie de la justification de mon intervention au ministère public et aux avocats. J’ai annoncé au président à haute voix ma constitution de partie civile assortie d’un déclinatoire de compétence d’ordre public en raison des qualifications criminelles et de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice. Le Président Perrin m’a invité alors de lui exposer immédiatement à la barre ces motifs d’ordre public. Mais, dès que j’ai abordé d’une manière cohérente l’exposé sur la compétence exclusive de la Haute Cour de justice, il m’enjoignait avec brusquerie de me taire. « Vous la partie civile, vous aurez la parole en dernier, après les plaidoiries des avocats », a-t-il décidé péremptoirement. En juriste rompu à la procédure pénale, je demeurais sidérée devant une telle hérésie de la procédure.

Ma stupéfaction ne s’est pas arrêtée par là. L’avocat duquel j’ai contesté la légitimité de la présence en tant que défenseur, en raison de sa compromission personnelle dans l’affaire, a alors pris la parole au nom de l’ancien ministre M. Michel Noir. Avec fougue, il présentait au tribunal mes propres collusions escamotées depuis 13 ans, notamment à Lyon dans l’affaire Léotard. Se présentant en « amoureux du contradictoire et de la légalité républicaine », il a démontré d’une manière convainquant au tribunal correctionnel son incompétence légale et la nullité des actes accomplis dans une rage despotique par le méchant juge d’instruction Philippe Courroye. Illégalement, après deux jours de réflexion, le tribunal correctionnel a versé au fond l’examen des exceptions de la compétence légale pour se livrer devant une presse stipendiée à l’étalage des linges sales de l’ancien maire de Lyon dans la période électorale ? Par ce procédé, il a rendu irrecevable l’appel immédiat sur la question de sa qualité de juge.

La procédure contradictoire et publique de la justice dans l’État de droit oblige les parties de rentrer devant le tribunal dans la discussion des arguments exposés par écrit d’une quelconque des parties au procès. Cela devient une obligation légale pour le ministère public quand la compétence légale d’un tribunal correctionnel est contestée, à savoir quand la qualité de juge est déniée indubitablement par la loi aux membres composant une juridiction, le droit de requérir au ministère public. Le silence sur cette question vaut dans la légalité républicaine acquiescement judiciaire sans réserve sur tous les moyens exposés. Il se crée par là une présomption d’irréfutabilité de l’argumentation escamotée d’un juriste diplômé niveau doctorat.

Cette présomption porte alors sur la violation volontaire dans la période électorale des règles de compétence légale à l’instar de l’affaire annulée des « Micros » du Canard enchaîné ; la transformation par un propagandiste la 5ème Chambre correctionnelle en maison de tolérance dans laquelle des organisations mafieuses font jouer le rôle de garçons de bordel à des magistrats de l’ordre judiciaire.

En effet, il a été démontré au tribunal l’inutilité absolue de la procédure correctionnelle en cours. Quel que soit la peine correctionnelle prononcée par le tribunal, elle ne pourra produire aucun effet sur les prévenus. La condamnation correctionnelle sera effacée avant même d’acquérir une autorité de la chose jugée quelconque dans l’hypothèse peu probable de la validation des causes de nullités d’ordre public. La sévérité du réquisitoire du ministère public (*) n’a été donc que du vent, que de la simulation pour neutraliser temporairement un candidat dans la période électorale.

(*) (BROUSSARD Philippe, « Procès Botton : inéligibilité requise contre M. Noir et M. Mouillot ». Le Monde du 2 mars 1995).

à moi, il ne restait plus de rentrer bredouille à Paris. Lorsque le procès touchait à sa fin, j’ai demandé au greffe le jour de la dernière audience à laquelle le président comptait de m’attendre. La date annoncée, le jeudi 3 mars après-midi a été faux. Arrivé dans la salle d’audience, j’ai attendu sagement une interruption des plaidoiries pour poser respectueusement la question au président Perrin s’il comptait ou non de me laisser exposer les motifs de mon intervention avec la justification de l’intérêt personnel et direct. « Nous allons voir ça à la reprise de l’audience », a-t-il répondu avant de se retirer comme quelqu’un qui part aux consignes.

à la reprise de l’audience, le Président Perrin dédaignait de répondre à ma question, pour me laisser morfondre dans la salle d’audience jusqu’à 19 heures. Petit à petit, la salle d’audience s’est vidée des avocats « amoureux du contradictoire », des prévenus, des journalistes et des badauds. Une avocate brassait encore péniblement du vent dans une salle quasiment vide pour un lampiste sans importance devant un ministre public sommeillant.

Lorsqu’elle avait enfin terminé, je demandais poliment : « Monsieur le Président, serais-je vraiment attendu, où dois-je repartir à Paris ? »

– L’audience est suspendue ! Mais vous Monsieur, approchez à la barre, j’ai encore un petit mot à vous dire !

Je me suis avancé avec à la main la copie de l’exposé déjà présenté au début de l’audience et de l’exception d’irrecevabilité des contestations de la compétence légale de la défense. (La copie est ci-annexée). Le Président Perrin me sermonna d’une manière volontairement désobligeante : « Vous Monsieur, vous allez vous taire dans cette salle d’audience ! Vous ne justifiez aucun intérêt pour intervenir dans cette procédure ! »

– Monsieur le Président, comment pouvez-vous prendre une telle décision après la suspension de l’audience publique et sans m’avoir attendu sur cette question pourtant exposée par écrite d’une manière irréfutable ?

– Monsieur, je ne peux pas vous empêcher d’assister aux audiences en tant que simple spectateur ; mais si vous continuez de troubler l’audience publique, je vous ferai expulser de la salle !

– Monsieur le Président, signifie cela que je ne serais pas attendu en ma demande par le tribunal ?

– Non, vous ne seriez pas attendu !

– Merci, Monsieur le Président. C’est tout ce que je cherchais à savoir.

Lorsque je me suis retourné pour prendre mes affaires et quitter la salle, oh ! surprise… je me suis trouvé devant une haie d’une dizaine de solides policiers en tenue de combat. Ils étaient visiblement gênés devant mon attitude correcte et par mes décorations dans la boutonnière. On les avait fait glisser discrètement derrière moi durant ce dialogue insensé avec un magistrat ne dissimulant pas sa prévarication. Ils attendaient là derrière moi le signe du Président pour me saisir et pour me jeter dehors de la salle d’audience comme un sac de merde, avec à la main mon exposé académique sur l’équité judiciaire dans la légalité républicaine.

Peter DIETRICH

***

Conclusion : Lancé par les services secrets de l’armée contre un complot contre la sûreté de l’État de la France, j’ai été éliminé de la bataille judiciaire par l’action combinatoire des mafias avec l’Ordre secret des Illuminatis pervers, selon leurs préceptes d’action politique du Nouveau Testament de Satan. Depuis 1981, l’assassinat psychiatrique produit toujours des menaces par l’expertise reconnus comme radicalement fausse, extorqué d’un illustre psychiatre poursuivie pour meurtre d’une jeune fille. Depuis là, ma science d’une valeur inestimable est exploitée pour des chantages et trafic d’influence par les mafias et sectes. Je suis contraint jour et nuit de travailler en esclave pour faire rétablir en France la situation légale par annulation des méga-procès judiciaires truqués d’A à Z pour couvrir des crimes contre l’humanité du passé, et pour favoriser la répétition de ces sinistres de l’histoire. Grace à mon écrasement judiciaire, avec mes dossiers et ma science, l’Ordre secret des Illuminatis pervers, (l’Église scientologique aussi), tient sous son contrôle par le chantage la quasi-totalité des institutions du régime politique en France. Et pas seulement de la France…

La tactique du médiatique procureur de la République Jean-Yves Coquilla, tripoteur selon les vœux de la Mafia l’affaire Nadal Lelandais de Grenoble, est bien comparable à la tactique du professeur Robert Faurisson, le plus important fasificateur professionnel de l’histoire par le négationnisme du génocide juif par les Nazis. En misant sur la persistance de mon écrasement judiciaire par le Conseil constitutionnel, et, au Haute Commissariat des droits de l’homme de l’ONU par une meute d’avocats payés à un millions dollars/heure, le subtil procureur Jean-Yves Coquilla s’acharne en violation totale des droits de défense d’accumuler à charges contre son insignifiant suspects numéro des bobards des plus invraisemblables sous l’effet de l’hystérie collective suscité avec la complicité des médias intéressés. Comme le médiatique professeur faussaire de l’histoire Robert Faurisson, le médiatique procureur faussaire Jean-Yves Coquilla de la procédure efforçant dans faire rentrer dans les archives journalistiques et littéraires le maximum des allégations frelatés pour justice de la prospérité. Il suffit un bouleversement politique, et les trucs tordus annulés du médiatique procureur de la République Jean-Yves Coquilla seront accrédités pour la prospérité fourvoyée en la pure vérité, comme les falsifications de l’histoire censurées de la justice du professeur d’histoire Robert Faurisson.

Dans les tous les procès truqués par omissions des faits primordiaux contre le médiatique professeur Robert Faurisson, à l’instar dans le procès truqué par omission des éléments essentiels en décharge du prétendu tueur en série Nadal Lelandais de Grenoble, manquent les savantes dissertations, philosophiques, (Nietzsche, doctrine et idéologie Nazie), historiques, juridiques et scientifiques et des science politiques du juriste le plus avisé Peter Dietrich en état d’esclavage. Comme l’a remarqué le juge d’instruction assassiné Pierre Michel, « il n’est pas possible d’accorder à ces vicieux tripoteurs corrompus plus de crédit qu’à des prostituées ».

Peter DIETRICH

 

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