Légitime défense politique.

En avant tout ! le coup d’État journalistique et judiciaires des comploteurs mafieux contre Emanuel Macron, Présidente de la République.

Posted in Magouille by Dietrich13 on 18 janvier 2021

22/10/2018. Plainte complémentaire à la constitution de partie civile pour violences et voies de faits de rétorsion contre le plaignant contestataire, éliminée de la procédure des poursuites complotistes, contre M. Alexandre Benalla, ancien conseiller du Président de la République Emanuel Macron.

À Monsieur le Juge d’instruction du Tribunal de Grande instance de Paris. 4, Boulevard du Palais.  75055 PARIS Cedex 01.

Affaires traitées par:

Herr Anwalt (avocat) Bernard Rambert,  Freienstr. 76, 8032 Zürich, Suisse.

« La prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 juillet 1961, B. 357, et, Crim. 25 novembre 1954, B. 352. : « La prescription en matière de presse est interrompue par des obstacles de droit ». Crim. 12 oct. 1993, B. 289.

De M. Peter DIETRICH. Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant. Demeurant au 80 rue Voltaire, 93120 La Courneuve.

Dénonciation publiée sur http://dietrich13.com, et, https://www.facebook.com/dietrich13peter. (Attend pour le déblocage du Facebook l’envoi par le président de la République Emmanuel Macron à mon domicile mon divine associée Elina Garanča).

Rappel de mes plaintes avec constitution de partie civile dans les escroqueries judiciaire complexes, connexes et juridiquement indivisibles dans le cadre du complot contre la sûreté de l’État par des « attentats contre son régime constitutionnel de la démocratie égalitaire, ses intérêt économiques essentielles et la défense nationale », dont :

– 26/07/2018. Plainte avec constitution de partie civile contre la mise en scène d’une escroquerie politico-judiciaire dans le cadre d’un complot contre la sûreté de l’État par « l’Attentat au régime constitutionnel de la démocratisons égalitaire » par les artifices médiatiques de l’affaire Alexandre Benalla, conseiller du Président de la République Emanuel Macron.

– 05/08/2018. Irrecevabilité de la constitution de partie civile organisée par la provocation criminelle, nullité de la procédure en raison des fraudes multiples dans  l’information contre Alexandre Benalla.

Les actualités du 19 octobre 2018 rapportent la présentation d’un certificat médical antidaté de complaisance, ‑ sans doute un faux dans par l’exagération sensationnalistes des constatations des bobos de la victime provocatrice, mise en scène ‑, dans la procédure des poursuite judiciaire de M. Alexandre Benalla, conseiller et garde de corps du Président de la République M. Macron, pour alimenter le sensationnalisme médiatique des conjurés contre la légalité républicaine, alors en même temps de mes interventions n’en est tenues judiciairement aucunement compte, de la revendication de nullité déjà d’ordre publique de cette procédure manifestement frauduleuse, une machination de pure manipulation de l’opinion pour la déstabilisation de la présidence de la république. L’argumentaire congru de mes interventions ayant depuis des décennies acquis sur tous les points l’acquiescement judiciaire et extrajudiciaire sans réserve de toutes les parties joueuses aux plus malins sur l’Échiquier du Diable, m’ont valu la coupure persistante de l’électricité, malgré ma saisine du Président de la République, du Procureur général de Toulouse et du Conseil supérieure de la Magistrature.

Par ces manigances politico-judiciaires dans les coulisses des initiés, est constamment menacé de l’assassinat, mon sublime associée, ma Fée salvatrice, la cantatrice lettonne du rayement international Elina Garanča, comme je l’ai rapporté sans succès à la justice internationale et nationale légalement compétente. Répétons-le, le ministère public en France est unique et indivisible. La totalité de mes savants exposés produits à une quelconque des procédures relatives au complot contre la sûreté de l’État sont censées d’avoir été aussi au juge d’instruction informant contre M. Alexandre Benalla dans un coup tordu de la subversion politique d’une conjuration des plus dangereux mafieux sectaires pour l’humanité de provoquer des nouvelles élections anticipés par la destitution du Président de la République dès que l’incantation magique de la sublime diva Elïna Garance serait éliminée par l’assassinat,  détourner ainsi de la mission militarisée, l’adjudant juriste Peter Dietrich, le savant commando d’action spéciale « Chantal ». Il y plus de quarante ans, il a été  placé sur les cases blanches de l’Échiquier du Diable par les services secrètes de l’Armée pour déjouer la néfaste prophétie apocalyptique de la magie noire des paranoïaques hallucinés, des plus dangereux psychotiques délirants instrumentalisées par les grandes finances internationales, de Hitler et ses illustrissimes amis dont l’ex-roi d’Angleterre Éduard VIII, Duc de Windsor, l’ambassadeur US, affairiste Joseph Kennedy, son homologue français Edmond Giscard d’Estaing, initiés unis à la Santa Mafia sectaire du Vatican ; le Colonel Charles de Gaule placé en leur larbin à Londres ; Hadj Amin, le Grand Mufti de Jérusalem sauvé par l’hospitalité de la France de la pendaison en 1944 par Tribunal international de Nuremberg… ; jusqu’aux Kalifs fantoches de l’État islamique fantaisiste, saccageant le Proche Orient en sous-traitants des Croisés, tout en générant des superprofits aux spéculateurs de Wall Street.

Ci-jointes des exposés déjà produits aussi par courrier électronique au M. le Président et au M. le Procureur de la République du Tribunal de Grande Instance de Paris :

  1. Action oblique c/GLNF Guenant, Woerth… Référé de provision TGI de Bobigny 11/09/2018.
  2. Coupure de rétorsion d’électricité par Google. Référé de provision TGI de Bobigny 19/09/2018.
  3. Coupure d’électricité : demande amplifiante. Référé de provision TGI de Bobigny 24/09/2018.
  4. Menaces du messianisme et prophétie magico-religieux. ONU et autorités françaises 09/10/2018.

Peter DIETRICH. Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E., Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant.80, rue Voltaire. 93120 LA COURNEUVE. Tel: 07 49 42 14 03. Blog http://dietrich13.com.

005 Elïna Garanča 46 Caricature La Favorite Munique.

C’est que l’ancienne candidate à la Présidence de la République Ségolène Royale, d’une délicate âme sensible, ne cherchait point de disputer les honneurs de la mise des cendres au Panthéon à l’ancien ministresse Simone Veil. De l’enfant rescapé du camp d’extermination d’Auschwitz, par les médias laudateurs intéressés, a été fabriqué à toute pièce l’héroïne postiche pour la vitrine trompeuse des gouvernements des « gangsters d’État » gaullistes, complices, bénéficiaires et protecteurs des plus dangereux criminels contre l’humanité qui ont exterminé la famille de Simone Veil.

 Sans doute Ségolène Royale reconnaissante à la diva lettonne Elīna Garança d’avoir pris si courageusement sa place de la victime sacrificielle, portera des grands bouquets de fleurs à sa remplaçante sur l’autel des Illuminatis satanistes. À ses magnifiques représentations à l’opéra de Paris, espérons-le, et pas à son enterrement en Lettonie.

Elīna Garanča Avec couteaux B

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Elina Garanča 2021 Aria de Leonora Opéra la Favorite de G. Donizetti

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SAUVE DE L’ASSASSINANT, ELINA GARANČA CHANTE L’ARIA DE CHARLOTTE DU DRAME LYRIQUE WERTHER.

Posted in Magouille by Dietrich13 on 18 janvier 2021

SAUVE DE L’ASSASSINANT, ELINA GARANČA CHANTE L’ARIA DE CHARLOTTE DU DRAME LYRIQUE WERTHER.

Opéra à quatre actes de Jules Massenet présenté à l’Opéra national de Paris du 20 janvier au 4 février 2016. En extraordinaire mezzo-soprano dramatique et lyrique dans le rôle de Charlotte, l’opéra Werther fait partie du grand répertoire de Elina Garanča, présenté par elle dans les plus prestigieuses maisons d’opéras dans le monde. Les arias et récitatifs aux merveilleuses expressivités émouvantes des couleurs lyriques sont enregistrés dans ses magnifiques albums CD : ARIA CANTILENA et ELÏNA GARANČA ARIA FAVORITE.

www.opera.fr

Mon association consentie en virtuelle, bien réelle, avec la merveilleuse mezzo-soprano Elina Garanča de la Lettonie, a produit des ravageuses jalousies politiques passionnelles, car cette sublime blonde nordique au regard fascinant de ses prunelles aux aspects de deux saphirs hypnotisantes, – par lesquels elle m’a conquis —, la ravissante déesse du bel canto a marché sur les plates-bandes d’une autre blonde, d’une jalouse cabotine vulgaire, mais avec des ambitions combien démesurées de conquérir le pouvoir en France pour changer le monde par les Nazis à l’aide de la subtilisation de mon prestige de la bravoure militaire et de la rayonnante science universitaire.

Au surplus, sont marqués par le chiffre 13, tout le déroulement de l’impressionnante carrière de l’extraordinaire cantatrice de Elina Garanča, ainsi que notre insolite connexion par sa captivante musique du lyrisme vocale. Ce chiffre, chez les forces occultes qui s’affrontent sans merci dans les coulisses politiques, selon leur ésotérisme, occultisme et l’astrologie, présentent une force magique très importante, notamment le jour du vendredi 13. Pour les forces occultent jouant sur les cases noires de l’échiquier politiques, ‑ Elina et moi affrontons à présent en associées —, le chiffre 13 est chargé de la malchance, de l’échec, de la malédiction destructrices. Pour les forces occultes jouant sur les cases blanches de l’échiquier politique, c’est un chiffre constructif de bonheur, de la chance, de la réussite. Inconsciente, avec le rayonnement de sa captivante aura féminin, la sublime Elina Garanča est devenue une vedette internationale extrêmement dangereuse, pour changer le cours de l’histoire, qu’il fallait coûte que coûte s’éloigner de mon chemin fatidique marqué par le chiffre 12.

Ce chiffre 12 présiderait au changement du cours de l’histoire pour les occultistes nazis et de l’intégrisme catholique notamment. Le sortilège de cette force surnaturelle est pris au très sérieux par les mages noirs de l’occultisme et astrologie, si bien qu’il a motivé, entre autres curiosités historiques, l’empoisonnement en 1939 du Pape PIE XI (11) pour le faire remplacer par le Pape nazi PIE XII (12), instigateur de la Deuxième Guerre mondiale avec ses cardinaux et évêques manœuvrés par la « Santa Mafia » du Vatican, une sorte de franc-maçonnerie hermétique. (Elle finissait de se faire connaître récemment par des sandales financières et meurtres en série, liée à l’assassinat du député et secrétaire d’État Jean DE BROGLIE, ses accointances compromettantes avec l’ancien président de la République Valérie Giscard d’Estaing, la secte Opus Dei…).

Le 12 août 1944 (mon anniversaire), par une opération homicide des services secrets en Angleterre, le lieutenant John Kennedy, pilote de l’US Navy, a été éliminé d’une intervention destinée au spectacle de médiatisation. Par son éclat médiatique, le fils de papa aurait dû être élevé dans l’histoire au Zénith de l’extraordinaire et mémorable héros de la Deuxième Guerre mondiale. Son père, le traîtreux diplomate Joseph Kennedy, s’est enrichi sans vergogne par la haute trahison de la collaboration à l’organisation de la Deuxième Guerre mondiale avec le « mage noir » (sic !) Adolf Hitler et son adepte sectaire, l’ex-roi d’Angleterre Édouard VIII, le duc de Windsor. À cette époque, Joseph Kennedy, par le trafic d’influence et corruption, envisageait faire passer son fils aîné John, Président des USA pour préparer la Troisième Guerre mondiale, déjà projetée à la réunion en 1943 à Strasbourg en France par des sommités nazies, de l’Église, de l’aristocratie des « hommes dieux » germaniques, des super industriels et de la grande finance internationale. Tous les pions ont été mis en place sur l’échiquier mondial sur lequel la divine Elina Garanča et moi avons été introduits et joués sur les cases blanches de l’échiquier mondial par les belligérants de l’Ombre, nous associant indivisiblement jusqu’à la fin de l’Histoire.

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Déjà lors des préparatifs de la Deuxième Guerre mondiale par la grande finance internationale et leurs grands industriels, les « hommes dieux » de l’aristocratie germaniques, le Feu et le Glaive de l’Église, avec le Vatican, le haut commandement de la Marine des États Unis a été totalement acquis au nazisme. (Celui de la France aussi, comme le prouve la tentation avortée par Churchill de l’opération navale combinée avec la marine allemande « Seelöwe » (Lion de Mer) pour remettre sur le trône d’Angleterre Édouard de Windsor avec son épouse Wallis Simpson comme reine). Ce militantisme s’est manifesté par la construction de l’impressionnant immeuble du quartier général de l’US Navy en forme de la Croix gammée. (Toujours existant).

Les services secrets de l’US Navy ont fait former leur agent secret, la stérile madame Wallis Simpson, à la séduction dans des bordels de luxe de Hong Kong et du Caire en Égypte. Bien rodée dans sa mission au Pékin avec des agents de Mussolini, elle fut lâchée sur le Roi Édouard VIII d’Angleterre. Mordu de la vipère, a préféré d’abdiquer que de lâcher cette irrésistible séductrice salie du sacrilège du divorce.

Dès lors, l’agent secret de l’US Navy Wallis Simpson devenait une alliée importante de la Haute trahison de l’ex-roi, Édouard de Windsor, inspecteur des troupes franco-britanniques derrière la Ligne Maginot. Avec ses fidèles généraux et officiers supérieurs de l’état-major britanniques et français, totalement acquis comme lui au Nazisme, il préparait la défaite de la France par la guerre éclair en contact direct avec son ami intime Adolf Hitler : le « magicien noir » (sic !) de la secte des « surhommes d’origine extraterrestres », dont il a été un adepte passionné avec Rudolf Hess, numéro deux du régime nazi. (Cet émissaire de Hitler craché en Angleterre, chargé d’éviter l’ouverture d’un deuxième front avant l’envahissement de l’Union soviétique… c’est encore une autre sombre histoire dont la vérité est occultée par l’ONU).

Charles Bedaux, citoyen français, – liée à la haute finance, leurs industriels et services secrets nazis —, le plus important ingénieur-conseil du Duc de Windsor et de son épouse Wallis Simpson de l’organisation de cette haute trahison des Alliés, s’est fait surprendre par le débarquement de l’armée US en 1943 lorsqu’il a été en mission en Algérie. Après des longues hésitations, la justice française s’est finalement décidée de le faire arrêter et incarcérer. On comprend à présent pourquoi les gaullistes l’ont fait extrader dare-dare aux États Unis, alors que la France avait sur lui des droits judiciaires prioritaires. (De cette gente judiciaire du complot d’Alger, je retrouve des illustres noms (Moatti…) dans mes procédures truquées à Paris).

Par l’assassinat en prison aux États-Unis de Charles Bedaux, camouflé en suicide, l’histoire a été privée d’intéressant éclaircissement. Le chef du l’F.B.I., Edgar Hoover a été constamment et parfaitement informée des manigances de la haute trahison et des occultations judiciaires. Avant la catastrophe, il a même déclaré publiquement que le duc Édouard de Windsor devrait être depuis longtemps en prison. En faites vous-même la déduction logique qui s’impose.

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Avec la magie incantatoire de la gracieuse Elina Garanča‑13, la prestigieuse étoile de l’Opéra à mes côtés de l’historien, juriste calé en droit pénal et psychosociologie, les forces noires sur l’échiquier mondial craignent sérieusement que l’histoire prenne une tournure fatale pour leurs sombres projets de la purification raciale massive des génocides. À l’insu des hommes-masses aveuglés par la manipulation médiatique et de la falsification systématique de l’histoire, dans le monde réel, ces fous hallucinés chercheront et recourront aux moyens les plus extrêmes pour l’empêcher, car c’est par irrationalité des élucubrations des superstitions de l’ésotérisme, de la magie et de l’astrologie des assoiffés irresponsables du Pouvoir invisible aux communs des mortels, de l’immémoriale folie humaine, nous sommes en fait gouvernées vers la conflagration de l’apocalypse wagnérienne prophétisée par leurs chimériques « voyants extralucides ».

Il reste encore quelques mystères de l’attentat meurtrier à Paris, combiné avec ma cardinale et percutante action judiciaire devant l’ONU, publiée ensuite sur mes sites Web. (Ma « Direction » m’a bloqué jusqu’au magique vendredi 13 la transmission à l’ONU de l’exposé achevé depuis longtemps, espionné, connu et exploité de toutes les canailles). L’action terroriste de riposte précédait de deux mois la représentation de Elina Garanča à l’opéra national de Paris. En signe d’avertissement Mademoiselle Lucy Dietrich a été abattue à coups d’armes de guerre. Le sensationnalisme médiatique des attentats toujours plus sanglants avait pour l’effet recherché d’éclipser dans les médias les scandales des grandes affaires des monumentales escroqueries économiques et financiers ruineuses pour l’économie française, de faire passer doucettement en justice ces grands criminels de la haute avec des incriminations tout à fait insignifiantes, tels que des simples voleurs d’étalage, les faire laver plus blanc par la complaisance des juges prévaricateurs corrompus de père en fils, avec en prime des flatteurs reportages des médias, propriétés des holdings omniums profiteurs Lagardère, Bouygues et compagnie, anticipant la loi de leur amnistie déjà en projet devant le Parlement.

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(Pour un psychosociologue, cette opération du camouflage par l’immense écran de fumée du sanglant vendredi 13, dressé par des terroristes, avec ses vicieux instigateurs qui tirent les ficelles, le but et les effets médiatiques ont été atteints avec mon élimination judiciaire criminelle, comme naguère par l’occultation du trucage de l’affaire du général Pinochet du Chili, et, de l’affaire judiciaire subversive « Sang contaminé » contre le gouvernement, suivie ensuite de mon élimination judiciaire dans les affaires des escroqueries astronomiques des titres spéculatifs toxiques « Subprime ».

L’opération terroriste du vendredi 13, est donc parfaitement comparable à l’imputation a priori à l’adjudant-chef Pierre Chanal innocent, les meurtres sadiques en série des jeunes soldats autour de leur garnison de Mourmelon. Avec l’écran de fumée d’une intensive médiatisation sensationnaliste devant mes exposés édifiants, mon élimination du discrédit par ricochet, de la manipulation de l’opinion par « l’association psychologique des idées », a été aussi réalisée de cette façon scélérate.

Lorsque je fus dirigé par les services secrets de l’Armée, en faisant appel au témoignage en faveur de l’adjudant-chef Pierre Chanal de mon ancien amour Carole, (se faisant appeler Karin), dans cette garnison, pour désamorcer mes constructions juridiques irréfutables, l’adjudant-chef Pierre Chanal a été assassiné dans la cellule de haute sécurité de la prison. La méthode employée pour simuler le suicide a été justement montrée aux grands écrans du cinéma.

L’opération terroriste du vendredi 13, est aussi parfaitement comparable avec le massacre inexpliqué du Conseil municipal de Nanterre en délibération publique dans l’Hôtel de ville. Il a été exécuté de façon surprenante par M. Richard DUM, maître en sciences politiques, licencié d’histoire, trésorier de la Ligue des Droits de l’Homme, détenteur d’un permis de porte d’armes officiel, délivré par le Préfecture. Richard Dum, non entravé, a été défenestré du quatrième étage de la célèbre Brigade criminelle de Paris. Quant à moi, l’évadé de Cadillac, deux farouches gaillards avec une ambulance de la Protection civile m’ont sérieusement menacé de la capture lors de mes entraînements quotidiens des courses à pied dans le Parc de La Courneuve.

Cette autre riposte à mes interventions judiciaires contre les trucages des procédures a notamment été organisée contre mon intervention judiciaire dans l’affaire de la catastrophe de l’explosion à Toulouse de l’usine AZF des négligentes compagnies pétrolière Elf Aquitaine et Total. Ces deux importants corrupteurs politiques, profiteurs et financiers du Deach, sont des instigateurs du terrorisme de l’État Islamique pour atteindre le même but des attentats précités : l’occultation de ma savante existence, ma suppression avec les dossiers édifiants, présentés contradictoirement sans être contredit aux audiences publiques à Paris et Lyon : dossiers, preuves à l’appui, irréfutés et irréfutables en justice qui compromettent sérieusement leurs intérêts commerciaux nationaux et internationaux. Comme l’ONU n’en veut rien savoir de l’escalade du terrorisme meurtrier de cette coalition de la haute finance des comploteurs contre la sûreté de l’État de la France (et au-delà), on tremble pour tout l’opéra national de Paris construit par François Mitterrand sur le Place de la Bastille qu’ils maudissent, quand Elina Garanča‑13 s’y représentera mi-juillet 2017).

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Le choix par les islamistes du vendredi 13 est invraisemblable, ne peux pas s’expliquer par leurs croyances. Ce chiffre n’a aucune signification pour les terroristes Deach de l’État islamique. Ce chiffre magique a seulement une très importante signification pour leurs « complices », ­ – épousant leur criminalité au sens du droit pénal —, qui les instrumentalisent et financent ouvertement. En est un d’eux notoirement connu, le multimilliardaire du holding des marchés d’armes, immobilier, médias etc. LAGARDÈRE. Le gros gros malin a dans son conseil de surveillance de la société anonyme en gros actionnaire, entre autres de ses hautes collègues truqueurs et falsificateurs, le Président de la Cour d’appel de Paris Jean-Claude Magendie, franc-maçon affairiste de la Grande Loge nationale de France de couleur d’extrême droite. Ce haut tripoteur de la Justice cumule ses fonctions judiciaires en France avec la présidence de « l’Association pour la Coopération juridique et judiciaire internationale » : des avocats très coopérants, payés à un million/dollars heures pour m’anéantir à l’ONU par la corruption et trafic d’influence du lobbying mafieux. Avec de tels « juges et parties » corrompus de père en fils, du bouclier judiciaire de protection du crime organisé des trafiquants et assassins de haute volée, on tremble pour ma gracieuse reine Elina Garanča du bel canto.

Il reste aussi mystérieux par quels moyens les services spéciaux de l’armée ont pu s’arranger que des fusils d’assauts et grenades à main destinés à massacrer ma ravissante Fée Elina Garanča, soient saisis par la police à Munich en Allemagne où elle chantera en 2016 et 2017 à l’opéra. Vu l’enjeu international, l’opéra WERTHER chanté à l’Opéra national de Paris en 2016, présente donc l’événement le plus marquant dans la carrière artistique de la sublime Diva Elina Garanča. Pour la dissuasion, je suis absolument tenu de commenter brièvement sa saisissante participation avec ARIA DES LETTRES WERTHER, WERTHER, de la diffuser dans le monde entier sur mes sites Web pour préserver ma sublime déesse salvatrice des nouveaux attentats assassins ou même du redouté rapt de ses deux filles par les fous la lier des sectes. Dans la guerre psychologique internationale qui se livrent sur l’échiquier mondial depuis des siècles des superpuissances de l’Ombre, la douce et candide Elina, seule en mon associée, pèse à présent plus lourd que toute l’Armée française en défilé à la Fête nationale du 14 juillet. Heureusement, ma sublime Fée salvatrice Elina Garanča bénéficie d’une protection en rapport de sa radieuse importance.

L’adaptation du roman de Goethe à la scène lyrique relate la malheureuse l’histoire d’amour impossible entre Werther (ténor), le rêveur, et Charlotte (mezzo-soprano), promise au mariage par son père à Albert (baryton), estimant que le solide réaliste ferait un mari idéal pour elle. Lorsque les enfants de sa famille s’exerçaient au chant de Noël, Werther apparaît devant la maison, est émerveillé de l’atmosphère du bonheur dans un gracieux récitatif et air : « – au naturel plein de grâce ». Au bras de Charlotte réticente, habillée juste pour aller au bal, Werther lui avoue son amour. Mais l’idylle est perturbée par l’annonce à haute voix de la famille de Charlotte du retour d’Albert. Werther apprend que sa subite flamme de cœur Charlotte est déjà fiancée à Albert, le mari souhaité par la mère pour sa fille. Séducteur passablement perturbé, Werther s’écrie désespérée : « – Un autre ! son époux ! »

Deux de leurs amis boivent en joyeux vivants à l’auberge. Après trois mois de mariage heureux Charlotte et Albert entrent dans l’Église. Werther les aperçoit et dans un monologue se plaint de ne jamais pouvoir épouser Charlotte : « – un autre est son époux ». D’adoration exaltée pour Charlotte, il s’effondre sur une chaise de l’auberge : « ‑ Dieu de bonté…, si tu m’avais permis de marcher dans la vie avec cet ange à mon côté… ». Albert inquiet de ses extravagances se met près de lui, cherche une explication à ses soupçons de la liaison amoureuse avec son épouse troublée. Werther finit de l’assurer de sa loyauté envers lui et son épouse Charlotte.

Leur dialogue est interrompu par la joyeuse Sophie (soprano), la sœur délurée de Charlotte, chantant le bonheur de son cœur léger dans une frivole ariette. Charlotte, soucieuse de ne pas compromettre sur un coup de tête son ménage, demande à Werther de partir et ne plus revenir, surtout pas avant Noël : « – eh bien, puisqu’à jamais le destin nous sépare, éloignez-vous, partez, partez ! » Werther l’assure de ne plus jamais revenir, lui confie que son seul désir est de la voir heureuse.

Mais à Noël, Charlotte a compris que son cœur éprouvait pour Werther une incompressible attirance sentimentale. Elle est de plus en plus bouleversée par la relecture de ses lettres d’amour enflammées, chante l’air « des Lettres ». Dans ce saisissant monologue chantant, lente et soutenu d’une scène de puissant et virtuose expressionnisme du lyrisme théâtral, la Diva Elina Garança fait montre de son éminent talent de la vocalisation colorature dans son admirable registre des émotions. Avec cette finesse des nuances, toutes les émotions de la perturbation de l’esprit humaine par la passion sont exprimées dans trois phases évoluant de l’éveil de la passion amoureuse refoulée de la femme soucieuse de l’intégrité conjugale, vers le relâchement chanté par des inflexions de la joie nostalgique, se muant ensuite aux souffrances du désespoir tenaillant du sacrifice de l’amour avec Werther.

Préludé aux courtes et sombres sonorités magnifiquement expressives de l’orchestre soulignent un climat oppressif dans le salon du mari Albert. Charlotte assise près de la table, sort avec maintes hésitations les lettres. Avec l’admirable perfection de son art lyrique, Elina Garanča articule en parfait français avec précisons l’amplification de l’émotion passionnelle en relisant ces lettres de Werther qu’elle n’avait pas à cœur de détruire : l’envahissant crescendo expressif, très lente de la tonalité de la libération d’une passion refoulée dans sa conscience de la femme mariée séduite, son abandon aux impulsions de l’âme bouleversé : « – Werther, Werther…

Une courte rupture de l’hésitation, marque de la passion refrénée, Charlotte de plus en plus perturbée enchaîne de la vocalisation lente sur les sonorités en symphonie basse des cordes : « – qui aurait dit la place que dans mon cœur il occupe aujourd’hui… ». Son retenu morale du mariage vaincu par la passion, un chant saccadé, ponctué par des coups de timbales, marque la rupture de la résistance à tentation funeste de relire ces lettres sorties du tiroir de son meuble au lieu de les détruire. Dans une lente mélopée traînante en symbiose expressive de l’orchestre, en l’ondulation harmonieuse, le chant de lecture accroît son saisissement sentimental, sa compassion de la situation de Werther seul, abandonnée.

Charlotte s’insurge attendri d’une intonation brusque aux aigus, poursuit à la chantante diction mouvementée de sa tendre compassion, avec des courtes transitions instrumentales de renforcement de l’expressivité vocale appuyée : « – Ah ! Personne auprès de lui !… Pas un seul témoignage de tendresse… ou même de pitié ! poussée aux aiguës lentes : « – Dieu, comment m’est venu ce triste courage d’ordonner cet exil et cet isolément ! » en faisant alterner les mouvements ascendants et descendants de la mélodie pétrie de regret et tristesse.

Des magistraux soutiens et appuies sonores de l’orchestre, les brefs interludes expressifs de la variation dramatique des motifs des émotions, les timbres et le lyrisme des chacune des instruments en symbiose avec la magnifique vocalisation nuancée, valorisent la précision de l’intonation verbale de la relecture des lettres de Werther. Sur son remarquable registre des émotions d’une infinie délicatesse mélodieuse, la divine Elïna Garanča chante très lentement avec l’expression d’un phrasé virtuose, appuyé sur des notes liées, ondulantes des hautes aux basses, en decrescendo de l’émouvante sonorité expirante : « – je vous écris de ma chambre… un ciel gris, et lourde de décembre pèse sur moi comme un linceul… et je suis seul, toujours seule… !

Charlotte rassérénée avec le motif de la lecture des heureux souvenirs de Werther lors du court l’idylle commune, chanté au rythme sautillant des notes aiguës des sonorités magnifiquement perlées des sensations de la joie. C’est une magistrale démonstration de l’extraordinaire souplesse de la tessiture de la sublime cantatrice Elina Garanča.

À la lecture du suivant des lettres d’amour de Werther, la mélodie de Charlotte retombe dans l’abattement de la tragique consternation. Ce poignant monologue au lyrisme appuyé aux inflexions particulièrement tristes de la tragédie expira par la lecture de l’épilogue pathétique de Werther dans sa lettre. Charlotte est épouvantée de l’abattement de son bien-aimé au désespoir : « – mais si je ne dois réapparaître au jour fixé devant toi (Noël), ne m’accuse pas, pleure-moi ! ne m’accuse pas pleure-moi ! – Oui, de tes yeux si pleins de charme, ces lignes, tu reliras, tu les mouilleras de tes larmes ! ô Charlotte, et tu frémiras, tu frémiras ! tu frémiras ! » Lentement en ondulant doucement aux médians, soupirant des nuances tristes avec des envolés aux aigus de la détresse, la vocalise des expressions des tourmentes moraux déchirants est amplifiée par le roulement des timbales, et de la symphonie des cuivres. Le chant d’abandon de Charlotte expire lentement dans le decrescendo appuyé par l’orchestre, finalisé des lentes sonneries du glas, allongées en pianissimo des cors.

L’appréhensif monologue du sinistre pressentiment de Charlotte sur la fin fatale de Werther est interrompu de l’arrivée joyeuse de Sophie. Sa sœur est affolée ensuite par l’air des larmes de Charlotte perdue des troubles passionnels.

En vain, sa jeune sœur Sophie exubérante recherche la réconforter par le récitatif des gaies câlineries. Charlotte ne pouvait plus se retenir, avoue son amour secret pour Werther dans son pathétique arioso et récitatif : « – va, laisse couler mes larmes. Elles font du bien ma chérie ».

Charlotte seule, dans son puissant et convaincant air des Larmes, prie Dieu pour qu’il aide, exhibant un délectable raffinement vocal dans sa supplication : « – ah mon courage m’abandonne […] Seigneur Dieu, Seigneur […] Prends pitié de moi. Soutiens ma faiblesse… Viens à mon secours. Entends ma prière… ».

Werther surgit brusquement, surprenant Charlotte dans son appartement en plein désarroi. En communions d’amoureux, le couple regardait des livres qu’ils lisaient autrefois. Werther chante un célèbre air d’amour tragique qui y est conté, pousse la voix aux émotions bouleversantes : « – Pourquoi me réveiller ». Elle succombe au charme de l’atmosphère inattendue, trahissait ses sentiments refoulés dans son for. Avec tendresse, il serre dans ses bras son amour conquis Charlotte.

Son époux Albert les surprend et blâme Werther des troubles des agitations sentimentaux apportées à son épouse perturbée. Après avoir lu le message de Werther éloigné : « – je pars pour un lointain voyage, voulez-vous me prêter vos pistolets », Albert les fait remettre au messager par Charlotte qui songe avant tout de sauver le ménage.

Dans l’acte finale débordant d’exhalaison de tendresse, Charlotte trouve dans son cabinet de travail Werther mortellement blessé par les pistolets de son mari qu’elle lui a fait remette. Résigné, il l’empêche de chercher de l’aide. Tandis qu’on entend les enfants célébrant Noël dans la maison, Werther expire dans les bras de Charlotte, heureux par son aveu consolateur d’une tendresse maternelle, qu’elle l’avait aimé dès leur première rencontre. Comme un enfant malade, dans son élan de tendresse, elle rassure le mourant de son amour.

Peter, le « Cavalier de Prose », en adoration devant l’exquis art dramatique et lyrique de sa belle et gracieuse reine blanche du bel canto Elina Garanča.

Rwanda, depuis 1981. Génocide et Crimes contre l’humanité des surhommes nietzschéen fomentés et exécutés sous la protection des faussaires et escrocs, ‑ récompensés des plus hautes distinctions de la Légion d’honneur-, du Conseil constitutionnel, du Conseil supérieur de la magistrature, de la Cour de cassation, du Conseil d’État, toutes les manigances couvertes à coups de millions et millions de Dollars et Euros chez la Cour européenne des droits de l’Homme et le Haut-Commissariat des Nations Unis aux droits de l’homme. Preuves : https://dietrich13.wordpress.com.

Opéra à quatre actes de Jules Massenet présenté à l’Opéra national de Paris du 20 janvier au 4 février 2016. En extraordinaire mezzo-soprano dramatique et lyrique dans le rôle de Charlotte, l’opéra Werther fait partie du grand répertoire de Elina Garanča, présenté par elle dans les plus prestigieuses maisons d’opéras dans le monde. Les arias et récitatifs aux merveilleuses expressivités émouvantes des couleurs lyriques sont enregistrés dans ses magnifiques albums CD : ARIA CANTILENA et ELÏNA GARANČA ARIA FAVORITE.

Mon association consentie en virtuelle, bien réelle, avec la merveilleuse mezzo-soprano Elïna Garanča de la Lettonie, a produit des ravageuses jalousies politiques passionnelles, car cette sublime blonde nordique au regard fascinant de ses prunelles aux aspects de deux saphirs hypnotisantes, – par lesquels elle m’a conquis —, la ravissante déesse du bel canto a marché sur les plates-bandes d’une autre blonde, d’une jalouse cabotine vulgaire, mais avec des ambitions combien démesurées de conquérir le pouvoir en France pour changer le monde par les Nazis à l’aide de la subtilisation de mon prestige de la bravoure militaire et de la rayonnante science universitaire.

Au surplus, sont marqués par le chiffre 13, tout le déroulement de l’impressionnante carrière de l’extraordinaire cantatrice de Elina Garanča, ainsi que notre insolite connexion par sa captivante musique du lyrisme vocale. Ce chiffre, chez les forces occultes qui s’affrontent sans merci dans les coulisses politiques, selon leur ésotérisme, occultisme et l’astrologie, présentent une force magique très importante, notamment le jour du vendredi 13. Pour les forces occultent jouant sur les cases noires de l’échiquier politiques, ‑ Elina et moi affrontons à présent en associées —, le chiffre 13 est chargé de la malchance, de l’échec, de la malédiction destructrices. Pour les forces occultes jouant sur les cases blanches de l’échiquier politique, c’est un chiffre constructif de bonheur, de la chance, de la réussite. Inconsciente, avec le rayonnement de sa captivante aura féminin, la sublime Elina Garanča est devenue une vedette internationale extrêmement dangereuse, pour changer le cours de l’histoire, qu’il fallait coûte que coûte s’éloigner de mon chemin fatidique marqué par le chiffre 12.

Ce chiffre 12 présiderait au changement du cours de l’histoire pour les occultistes nazis et de l’intégrisme catholique notamment. Le sortilège de cette force surnaturelle est pris au très sérieux par les mages noirs de l’occultisme et astrologie, si bien qu’il a motivé, entre autres curiosités historiques, l’empoisonnement en 1939 du Pape PIE XI (11) pour le faire remplacer par le Pape nazi PIE XII (12), instigateur de la Deuxième Guerre mondiale avec ses cardinaux et évêques manœuvrés par la « Santa Mafia » du Vatican, une sorte de franc-maçonnerie hermétique. (Elle finissait de se faire connaître récemment par des sandales financières et meurtres en série, liée à l’assassinat du député et secrétaire d’État Jean DE BROGLIE, ses accointances compromettantes avec l’ancien président de la République Valérie Giscard d’Estaing, la secte Opus Dei…).

Le 12 août 1944 (mon anniversaire), par une opération homicide des services secrets en Angleterre, le lieutenant John Kennedy, pilote de l’US Navy, a été éliminé d’une intervention destinée au spectacle de médiatisation. Par son éclat médiatique, le fils de papa aurait dû être élevé dans l’histoire au Zénith de l’extraordinaire et mémorable héros de la Deuxième Guerre mondiale. Son père, le traîtreux diplomate Joseph Kennedy, s’est enrichi sans vergogne par la haute trahison de la collaboration à l’organisation de la Deuxième Guerre mondiale avec le « mage noir » (sic !) Adolf Hitler et son adepte sectaire, l’ex-roi d’Angleterre Édouard VIII, le duc de Windsor. À cette époque, Joseph Kennedy, par le trafic d’influence et corruption, envisageait faire passer son fils aîné John, Président des USA pour préparer la Troisième Guerre mondiale, déjà projetée à la réunion en 1943 à Strasbourg en France par des sommités nazies, de l’Église, de l’aristocratie des « hommes dieux » germaniques, des super-industriels et de la grande finance internationale. Tous les pions ont été mis en place sur l’échiquier mondial sur lequel la divine Elina Garanča et moi avons été introduits et joués sur les cases blanches de l’échiquier mondial par les belligérants de l’Ombre, nous associant indivisiblement jusqu’à la fin de l’Histoire.

*            *             *

Déjà lors des préparatifs de la Deuxième Guerre mondiale par la grande finance internationale et leurs grands industriels, les « hommes dieux » de l’aristocratie germaniques, le Feu et le Glaive de l’Église, avec le Vatican, le haut commandement de la Marine des États Unis a été totalement acquis au nazisme. (Celui de la France aussi, comme le prouve la tentation avortée par Churchill de l’opération navale combinée avec la marine allemande « Seelöwe » (Lion de Mer) pour remettre sur le trône d’Angleterre Édouard de Windsor avec son épouse Wallis Simpson comme reine). Ce militantisme s’est manifesté par la construction de l’impressionnant immeuble du quartier général de l’US Navy en forme de la Croix gammée. (Toujours existant).

Les services secrets de l’US Navy ont fait former leur agent secret, la stérile madame Wallis Simpson, à la séduction dans des bordels de luxe de Hong Kong et du Caire en Égypte. Bien rodée dans sa mission au Pékin avec des agents de Mussolini, elle fut lâchée sur le Roi Édouard VIII d’Angleterre. Mordu de la vipère, a préféré d’abdiquer que de lâcher cette irrésistible séductrice salie du sacrilège du divorce.

Dès lors, l’agent secret de l’US Navy Wallis Simpson devenait une alliée importante de la Haute trahison de l’ex-roi, Édouard de Windsor, inspecteur des troupes franco-britanniques derrière la Ligne Maginot. Avec ses fidèles généraux et officiers supérieurs de l’état-major britanniques et français, totalement acquis comme lui au Nazisme, il préparait la défaite de la France par la guerre éclair en contact direct avec son ami intime Adolf Hitler : le « magicien noir » (sic !) de la secte des « surhommes d’origine extraterrestres », dont il a été un adepte passionné avec Rudolf Hess, numéro deux du régime nazi. (Cet émissaire de Hitler craché en Angleterre, chargé d’éviter l’ouverture d’un deuxième front avant l’envahissement de l’Union soviétique… c’est encore une autre sombre histoire dont la vérité est occultée par l’ONU).

Charles Bedaux, citoyen français, – liée à la haute finance, leurs industriels et services secrets nazis —, le plus important ingénieur-conseil du Duc de Windsor et de son épouse Wallis Simpson de l’organisation de cette haute trahison des Alliés, s’est fait surprendre par le débarquement de l’armée US en 1943 lorsqu’il a été en mission en Algérie. Après des longues hésitations, la justice française s’est finalement décidée de le faire arrêter et incarcérer. On comprend à présent pourquoi les gaullistes l’ont fait extrader dare-dare aux États Unis, alors que la France avait sur lui des droits judiciaires prioritaires. (De cette gente judiciaire du complot d’Alger, je retrouve des illustres noms (Moatti…) dans mes procédures truquées à Paris).

Par l’assassinat en prison aux États-Unis de Charles Bedaux, camouflé en suicide, l’histoire a été privée d’intéressant éclaircissement. Le chef du l’F.B.I., Edgar Hoover a été constamment et parfaitement informée des manigances de la haute trahison et des occultations judiciaires. Avant la catastrophe, il a même déclaré publiquement que le duc Édouard de Windsor devrait être depuis longtemps en prison. En faites vous-même la déduction logique qui s’impose.

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Avec la magie incantatoire de la gracieuse Elina Garanča‑13, la prestigieuse étoile de l’Opéra à mes côtés de l’historien, juriste calé en droit pénal et psychosociologie, les forces noires sur l’échiquier mondial craignent sérieusement que l’histoire prenne une tournure fatale pour leurs sombres projets de la purification raciale massive des génocides. À l’insu des hommes-masses aveuglés par la manipulation médiatique et de la falsification systématique de l’histoire, dans le monde réel, ces fous hallucinés chercheront et recourront aux moyens les plus extrêmes pour l’empêcher, car c’est par irrationalité des élucubrations des superstitions de l’ésotérisme, de la magie et de l’astrologie des assoiffés irresponsables du Pouvoir invisible aux communs des mortels, de l’immémoriale folie humaine, nous sommes en fait gouvernées vers la conflagration de l’apocalypse wagnérienne prophétisée par leurs chimériques « voyants extralucides ».

Il reste encore quelques mystères de l’attentat meurtrier à Paris, combiné avec ma cardinale et percutante action judiciaire devant l’ONU, publiée ensuite sur mes sites Web. (Ma « Direction » m’a bloqué jusqu’au magique vendredi 13 la transmission à l’ONU de l’exposé achevé depuis longtemps, espionné, connu et exploité de toutes les canailles). L’action terroriste de riposte précédait de deux mois la représentation de Elïna Garanča à l’opéra national de Paris. En signe d’avertissement Mademoiselle Lucy Dietrich a été abattue à coups d’armes de guerre. Le sensationnalisme médiatique des attentats toujours plus sanglants avait pour l’effet recherché d’éclipser dans les médias les scandales des grandes affaires des monumentales escroqueries économiques et financiers ruineuses pour l’économie française, de faire passer doucettement en justice ces grands criminels de la haute avec des incriminations tout à fait insignifiantes, tels que des simples voleurs d’étalage, les faire laver plus blanc par la complaisance des juges prévaricateurs corrompus de père en fils, avec en prime des flatteurs reportages des médias, propriétés des holdings omniums profiteurs Lagardère, Bouygues et compagnie, anticipant la loi de leur amnistie déjà en projet devant le Parlement.

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(Pour un psychosociologue, cette opération du camouflage par l’immense écran de fumée du sanglant vendredi 13, dressé par des terroristes, avec ses vicieux instigateurs qui tirent les ficelles, le but et les effets médiatiques ont été atteints avec mon élimination judiciaire criminelle, comme naguère par l’occultation du trucage de l’affaire du général Pinochet du Chili, et, de l’affaire judiciaire subversive « Sang contaminé » contre le gouvernement, suivie ensuite de mon élimination judiciaire dans les affaires des escroqueries astronomiques des titres spéculatifs toxiques « Subprime ».

L’opération terroriste du vendredi 13, est donc parfaitement comparable à l’imputation a priori à l’adjudant-chef Pierre Chanal innocent, les meurtres sadiques en série des jeunes soldats autour de leur garnison de Mourmelon. Avec l’écran de fumée d’une intensive médiatisation sensationnaliste devant mes exposés édifiants, mon élimination du discrédit par ricochet, de la manipulation de l’opinion par « l’association psychologique des idées », a été aussi réalisée de cette façon scélérate.

Lorsque je fus dirigé par les services secrets de l’Armée, en faisant appel au témoignage en faveur de l’adjudant-chef Pierre Chanal de mon ancien amour Carole, (se faisant appeler Karin), dans cette garnison, pour désamorcer mes constructions juridiques irréfutables, l’adjudant-chef Pierre Chanal a été assassiné dans la cellule de haute sécurité de la prison. La méthode employée pour simuler le suicide a été justement montrée aux grands écrans du cinéma.

L’opération terroriste du vendredi 13, est aussi parfaitement comparable avec le massacre inexpliqué du Conseil municipal de Nanterre en délibération publique dans l’Hôtel de ville. Il a été exécuté de façon surprenante par M. Richard DUM, maître en sciences politiques, licencié d’histoire, trésorier de la Ligue des Droits de l’Homme, détenteur d’un permis de porte d’armes officiel, délivré par le Préfecture. Richard Dum, non entravé, a été défenestré du quatrième étage de la célèbre Brigade criminelle de Paris. Quant à moi, l’évadé de Cadillac, deux farouches gaillards avec une ambulance de la Protection civile m’ont sérieusement menacé de la capture lors de mes entraînements quotidiens des courses à pied dans le Parc de La Courneuve.

Cette autre riposte à mes interventions judiciaires contre les trucages des procédures a notamment été organisée contre mon intervention judiciaire dans l’affaire de la catastrophe de l’explosion à Toulouse de l’usine AZF des négligentes compagnies pétrolière Elf Aquitaine et Total. Ces deux importants corrupteurs politiques, profiteurs et financiers du Deach, sont des instigateurs du terrorisme de l’État Islamique pour atteindre le même but des attentats précités : l’occultation de ma savante existence, ma suppression avec les dossiers édifiants, présentés contradictoirement sans être contredit aux audiences publiques à Paris et Lyon : dossiers, preuves à l’appui, irréfutés et irréfutables en justice qui compromettent sérieusement leurs intérêts commerciaux nationaux et internationaux. Comme l’ONU n’en veut rien savoir de l’escalade du terrorisme meurtrier de cette coalition de la haute finance des comploteurs contre la sûreté de l’État de la France (et au-delà), on tremble pour tout l’opéra national de Paris construit par François Mitterrand sur le Place de la Bastille qu’ils maudissent, quand Elina Garanča‑13 s’y représentera mi-juillet 2017).

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Le choix par les islamistes du vendredi 13 est invraisemblable, ne peux pas s’expliquer par leurs croyances. Ce chiffre n’a aucune signification pour les terroristes Deach de l’État islamique. Ce chiffre magique a seulement une très importante signification pour leurs « complices », ­ – épousant leur criminalité au sens du droit pénal —, qui les instrumentalisent et financent ouvertement. En est un d’eux notoirement connu, le multimilliardaire du holding des marchés d’armes, immobilier, médias etc. LAGARDÈRE. Le gros gros malin a dans son conseil de surveillance de la société anonyme en gros actionnaire, entre autres de ses hautes collègues truqueurs et falsificateurs, le Président de la Cour d’appel de Paris Jean-Claude Magendie, franc-maçon affairiste de la Grande Loge nationale de France de couleur d’extrême droite. Ce haut tripoteur de la Justice cumule ses fonctions judiciaires en France avec la présidence de « l’Association pour la Coopération juridique et judiciaire internationale » : des avocats très coopérants, payés à un million/dollars heures pour m’anéantir à l’ONU par la corruption et trafic d’influence du lobbying mafieux. Avec de tels « juges et parties » corrompus de père en fils, du bouclier judiciaire de protection du crime organisé des trafiquants et assassins de haute volée, on tremble pour ma gracieuse reine Elina Garanča du bel canto.

Il reste aussi mystérieux par quels moyens les services spéciaux de l’armée ont pu s’arranger que des fusils d’assauts et grenades à main destinés à massacrer ma ravissante Fée Elïna Garanča, soient saisis par la police à Munich en Allemagne où elle chantera en 2016 et 2017 à l’opéra. Vu l’enjeu international, l’opéra WERTHER chanté à l’Opéra national de Paris en 2016, présente donc l’événement le plus marquant dans la carrière artistique de la sublime Diva Elina Garanča. Pour la dissuasion, je suis absolument tenu de commenter brièvement sa saisissante participation avec ARIA DES LETTRES WERTHER, WERTHER, de la diffuser dans le monde entier sur mes sites Web pour préserver ma sublime déesse salvatrice des nouveaux attentats assassins ou même du redouté rapt de ses deux filles par les fous la lier des sectes. Dans la guerre psychologique internationale qui se livrent sur l’échiquier mondial depuis des siècles des superpuissances de l’Ombre, la douce et candide Elina, seule en mon associée, pèse à présent plus lourd que toute l’Armée française en défilé à la Fête nationale du 14 juillet. Heureusement, ma sublime Fée salvatrice Elina Garanča bénéficie d’une protection en rapport de sa radieuse importance.

L’adaptation du roman de Goethe à la scène lyrique relate la malheureuse l’histoire d’amour impossible entre Werther (ténor), le rêveur, et Charlotte (mezzo-soprano), promise au mariage par son père à Albert (baryton), estimant que le solide réaliste ferait un mari idéal pour elle. Lorsque les enfants de sa famille s’exerçaient au chant de Noël, Werther apparaît devant la maison, est émerveillé de l’atmosphère du bonheur dans un gracieux récitatif et air : « – au naturel plein de grâce ». Au bras de Charlotte réticente, habillée juste pour aller au bal, Werther lui avoue son amour. Mais l’idylle est perturbée par l’annonce à haute voix de la famille de Charlotte du retour d’Albert. Werther apprend que sa subite flamme de cœur Charlotte est déjà fiancée à Albert, le mari souhaité par la mère pour sa fille. Séducteur passablement perturbé, Werther s’écrie désespérée : « – Un autre ! son époux ! »

Deux de leurs amis boivent en joyeux vivants à l’auberge. Après trois mois de mariage heureux Charlotte et Albert entrent dans l’Église. Werther les aperçoit et dans un monologue se plaint de ne jamais pouvoir épouser Charlotte : « – un autre est son époux ». D’adoration exaltée pour Charlotte, il s’effondre sur une chaise de l’auberge : « ‑ Dieu de bonté…, si tu m’avais permis de marcher dans la vie avec cet ange à mon côté… ». Albert inquiet de ses extravagances se met près de lui, cherche une explication à ses soupçons de la liaison amoureuse avec son épouse troublée. Werther finit de l’assurer de sa loyauté envers lui et son épouse Charlotte.

Leur dialogue est interrompu par la joyeuse Sophie (soprano), la sœur délurée de Charlotte, chantant le bonheur de son cœur léger dans une frivole ariette. Charlotte, soucieuse de ne pas compromettre sur un coup de tête son ménage, demande à Werther de partir et ne plus revenir, surtout pas avant Noël : « – eh bien, puisqu’à jamais le destin nous sépare, éloignez-vous, partez, partez ! » Werther l’assure de ne plus jamais revenir, lui confie que son seul désir est de la voir heureuse.

Mais à Noël, Charlotte a compris que son cœur éprouvait pour Werther une incompressible attirance sentimentale. Elle est de plus en plus bouleversée par la relecture de ses lettres d’amour enflammées, chante l’air « des Lettres ». Dans ce saisissant monologue chantant, lente et soutenu d’une scène de puissant et virtuose expressionnisme du lyrisme théâtral, la Diva Elina Garança fait montre de son éminent talent de la vocalisation colorature dans son admirable registre des émotions. Avec cette finesse des nuances, toutes les émotions de la perturbation de l’esprit humaine par la passion sont exprimées dans trois phases évoluant de l’éveil de la passion amoureuse refoulée de la femme soucieuse de l’intégrité conjugale, vers le relâchement chanté par des inflexions de la joie nostalgique, se muant ensuite aux souffrances du désespoir tenaillant du sacrifice de l’amour avec Werther.

Préludé aux courtes et sombres sonorités magnifiquement expressives de l’orchestre soulignent un climat oppressif dans le salon du mari Albert. Charlotte assise près de la table, sort avec maintes hésitations les lettres. Avec l’admirable perfection de son art lyrique, Elina Garanča articule en parfait français avec précisons l’amplification de l’émotion passionnelle en relisant ces lettres de Werther qu’elle n’avait pas à cœur de détruire : l’envahissant crescendo expressif, très lente de la tonalité de la libération d’une passion refoulée dans sa conscience de la femme mariée séduite, son abandon aux impulsions de l’âme bouleversé : « – Werther, Werther…

Une courte rupture de l’hésitation, marque de la passion refrénée, Charlotte de plus en plus perturbée enchaîne de la vocalisation lente sur les sonorités en symphonie basse des cordes : « – qui aurait dit la place que dans mon cœur il occupe aujourd’hui… ». Son retenu morale du mariage vaincu par la passion, un chant saccadé, ponctué par des coups de timbales, marque la rupture de la résistance à tentation funeste de relire ces lettres sorties du tiroir de son meuble au lieu de les détruire. Dans une lente mélopée traînante en symbiose expressive de l’orchestre, en l’ondulation harmonieuse, le chant de lecture accroît son saisissement sentimental, sa compassion de la situation de Werther seul, abandonnée.

Charlotte s’insurge attendri d’une intonation brusque aux aigus, poursuit à la chantante diction mouvementée de sa tendre compassion, avec des courtes transitions instrumentales de renforcement de l’expressivité vocale appuyée : « – Ah ! Personne auprès de lui !… Pas un seul témoignage de tendresse… ou même de pitié ! poussée aux aiguës lentes : « – Dieu, comment m’est venu ce triste courage d’ordonner cet exil et cet isolément ! » en faisant alterner les mouvements ascendants et descendants de la mélodie pétrie de regret et tristesse.

Des magistraux soutiens et appuies sonores de l’orchestre, les brefs interludes expressifs de la variation dramatique des motifs des émotions, les timbres et le lyrisme des chacune des instruments en symbiose avec la magnifique vocalisation nuancée, valorisent la précision de l’intonation verbale de la relecture des lettres de Werther. Sur son remarquable registre des émotions d’une infinie délicatesse mélodieuse, la divine Elïna Garanča chante très lentement avec l’expression d’un phrasé virtuose, appuyé sur des notes liées, ondulantes des hautes aux basses, en decrescendo de l’émouvante sonorité expirante : « – je vous écris de ma chambre… un ciel gris, et lourde de décembre pèse sur moi comme un linceul… et je suis seul, toujours seule… !

Charlotte rassérénée avec le motif de la lecture des heureux souvenirs de Werther lors du court l’idylle commune, chanté au rythme sautillant des notes aiguës des sonorités magnifiquement perlées des sensations de la joie. C’est une magistrale démonstration de l’extraordinaire souplesse de la tessiture de la sublime cantatrice Elina Garanča.

À la lecture du suivant des lettres d’amour de Werther, la mélodie de Charlotte retombe dans l’abattement de la tragique consternation. Ce poignant monologue au lyrisme appuyé aux inflexions particulièrement tristes de la tragédie expira par la lecture de l’épilogue pathétique de Werther dans sa lettre. Charlotte est épouvantée de l’abattement de son bien-aimé au désespoir : « – mais si je ne dois réapparaître au jour fixé devant toi (Noël), ne m’accuse pas, pleure-moi ! ne m’accuse pas pleure-moi ! – Oui, de tes yeux si pleins de charme, ces lignes, tu reliras, tu les mouilleras de tes larmes ! ô Charlotte, et tu frémiras, tu frémiras ! tu frémiras ! » Lentement en ondulant doucement aux médians, soupirant des nuances tristes avec des envolés aux aigus de la détresse, la vocalise des expressions des tourmentes moraux déchirants est amplifiée par le roulement des timbales, et de la symphonie des cuivres. Le chant d’abandon de Charlotte expire lentement dans le decrescendo appuyé par l’orchestre, finalisé des lentes sonneries du glas, allongées en pianissimo des cors.

L’appréhensif monologue du sinistre pressentiment de Charlotte sur la fin fatale de Werther est interrompu de l’arrivée joyeuse de Sophie. Sa sœur est affolée ensuite par l’air des larmes de Charlotte perdue des troubles passionnels.

En vain, sa jeune sœur Sophie exubérante recherche la réconforter par le récitatif des gaies câlineries. Charlotte ne pouvait plus se retenir, avoue son amour secret pour Werther dans son pathétique arioso et récitatif : « – va, laisse couler mes larmes. Elles font du bien ma chérie ».

Charlotte seule, dans son puissant et convaincant air des Larmes, prie Dieu pour qu’il aide, exhibant un délectable raffinement vocal dans sa supplication : « – ah mon courage m’abandonne […] Seigneur Dieu, Seigneur […] Prends pitié de moi. Soutiens ma faiblesse… Viens à mon secours. Entends ma prière… ».

Werther surgit brusquement, surprenant Charlotte dans son appartement en plein désarroi. En communions d’amoureux, le couple regardait des livres qu’ils lisaient autrefois. Werther chante un célèbre air d’amour tragique qui y est conté, pousse la voix aux émotions bouleversantes : « – Pourquoi me réveiller ». Elle succombe au charme de l’atmosphère inattendue, trahissait ses sentiments refoulés dans son for. Avec tendresse, il serre dans ses bras son amour conquis Charlotte.

Son époux Albert les surprend et blâme Werther des troubles des agitations sentimentaux apportées à son épouse perturbée. Après avoir lu le message de Werther éloigné : « – je pars pour un lointain voyage, voulez-vous me prêter vos pistolets », Albert les fait remettre au messager par Charlotte qui songe avant tout de sauver le ménage.

Dans l’acte finale débordant d’exhalaison de tendresse, Charlotte trouve dans son cabinet de travail Werther mortellement blessé par les pistolets de son mari qu’elle lui a fait remette. Résigné, il l’empêche de chercher de l’aide. Tandis qu’on entend les enfants célébrant Noël dans la maison, Werther expire dans les bras de Charlotte, heureux par son aveu consolateur d’une tendresse maternelle, qu’elle l’avait aimé dès leur première rencontre. Comme un enfant malade, dans son élan de tendresse, elle rassure le mourant de son amour.

Peter, le « Cavalier de Prose », en adoration devant l’exquis art dramatique et lyrique de sa belle et gracieuse reine blanche du bel canto Elina Garanča.

Rwanda, depuis 1981. Génocide et Crimes contre l’humanité des surhommes nietzschéen fomentés et exécutés sous la protection des faussaires et escrocs, ‑ récompensés des plus hautes distinctions de la Légion d’honneur-, du Conseil constitutionnel, du Conseil supérieur de la magistrature, de la Cour de cassation, du Conseil d’État, toutes les manigances couvertes à coups de millions et millions de Dollars et Euros chez la Cour européenne des droits de l’Homme et le Haut-Commissariat des Nations Unis aux droits de l’homme. Preuves : https://dietrich13.wordpress.com.

SAUVE DE L’ASSASSINANT, ELÏNA GARANČA CHANTE L’ARIA DE CHARLOTTE DU DRAME LYRIQUE WERTHER

Opéra à quatre actes de Jules Massenet présenté à l’Opéra national de Paris du 20 janvier au 4 février 2016. En extraordinaire mezzo-soprano dramatique et lyrique dans le rôle de Charlotte, l’opéra Werther fait partie du grand répertoire de Elina Garanča, présenté par elle dans les plus prestigieuses maisons d’opéras dans le monde. Les arias et récitatifs aux merveilleuses expressivités émouvantes des couleurs lyriques sont enregistrés dans ses magnifiques albums CD : ARIA CANTILENA et ELINA GARANČA ARIA FAVORITE.

Mon association consentie en virtuelle, bien réelle, avec la merveilleuse mezzo-soprano Elina Garanča de la Lettonie, a produit des ravageuses jalousies politiques passionnelles, car cette sublime blonde nordique au regard fascinant de ses prunelles aux aspects de deux saphirs hypnotisantes, – par lesquels elle m’a conquis —, la ravissante déesse du bel canto a marché sur les plates-bandes d’une autre blonde, d’une jalouse cabotine vulgaire, mais avec des ambitions combien démesurées de conquérir le pouvoir en France pour changer le monde par les Nazis à l’aide de la subtilisation de mon prestige de la bravoure militaire et de la rayonnante science universitaire.

Au surplus, sont marqués par le chiffre 13, tout le déroulement de l’impressionnante carrière de l’extraordinaire cantatrice de Elina Garanča, ainsi que notre insolite connexion par sa captivante musique du lyrisme vocale. Ce chiffre, chez les forces occultes qui s’affrontent sans merci dans les coulisses politiques, selon leur ésotérisme, occultisme et l’astrologie, présentent une force magique très importante, notamment le jour du vendredi 13. Pour les forces occultent jouant sur les cases noires de l’échiquier politiques, ‑ Elina et moi affrontons à présent en associées —, le chiffre 13 est chargé de la malchance, de l’échec, de la malédiction destructrices. Pour les forces occultes jouant sur les cases blanches de l’échiquier politique, c’est un chiffre constructif de bonheur, de la chance, de la réussite. Inconsciente, avec le rayonnement de sa captivante aura féminin, la sublime Elïna Garanča est devenue une vedette internationale extrêmement dangereuse, pour changer le cours de l’histoire, qu’il fallait coûte que coûte s’éloigner de mon chemin fatidique marqué par le chiffre 12.

Ce chiffre 12 présiderait au changement du cours de l’histoire pour les occultistes nazis et de l’intégrisme catholique notamment. Le sortilège de cette force surnaturelle est pris au très sérieux par les mages noirs de l’occultisme et astrologie, si bien qu’il a motivé, entre autres curiosités historiques, l’empoisonnement en 1939 du Pape PIE XI (11) pour le faire remplacer par le Pape nazi PIE XII (12), instigateur de la Deuxième Guerre mondiale avec ses cardinaux et évêques manœuvrés par la « Santa Mafia » du Vatican, une sorte de franc-maçonnerie hermétique. (Elle finissait de se faire connaître récemment par des sandales financières et meurtres en série, liée à l’assassinat du député et secrétaire d’État Jean DE BROGLIE, ses accointances compromettantes avec l’ancien président de la République Valérie Giscard d’Estaing, la secte Opus Dei…).

Le 12 août 1944 (mon anniversaire), par une opération homicide des services secrets en Angleterre, le lieutenant John Kennedy, pilote de l’US Navy, a été éliminé d’une intervention destinée au spectacle de médiatisation. Par son éclat médiatique, le fils de papa aurait dû être élevé dans l’histoire au Zénith de l’extraordinaire et mémorable héros de la Deuxième Guerre mondiale. Son père, le traîtreux diplomate Joseph Kennedy, s’est enrichi sans vergogne par la haute trahison de la collaboration à l’organisation de la Deuxième Guerre mondiale avec le « mage noir » (sic !) Adolf Hitler et son adepte sectaire, l’ex-roi d’Angleterre Édouard VIII, le duc de Windsor. À cette époque, Joseph Kennedy, par le trafic d’influence et corruption, envisageait faire passer son fils aîné John, Président des USA pour préparer la Troisième Guerre mondiale, déjà projetée à la réunion en 1943 à Strasbourg en France par des sommités nazies, de l’Église, de l’aristocratie des « hommes dieux » germaniques, des super-industriels et de la grande finance internationale. Tous les pions ont été mis en place sur l’échiquier mondial sur lequel la divine Elïna Garanča et moi avons été introduits et joués sur les cases blanches de l’échiquier mondial par les belligérants de l’Ombre, nous associant indivisiblement jusqu’à la fin de l’Histoire.

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Déjà lors des préparatifs de la Deuxième Guerre mondiale par la grande finance internationale et leurs grands industriels, les « hommes dieux » de l’aristocratie germaniques, le Feu et le Glaive de l’Église, avec le Vatican, le haut commandement de la Marine des États Unis a été totalement acquis au nazisme. (Celui de la France aussi, comme le prouve la tentation avortée par Churchill de l’opération navale combinée avec la marine allemande « Seelöwe » (Lion de Mer) pour remettre sur le trône d’Angleterre Édouard de Windsor avec son épouse Wallis Simpson comme reine). Ce militantisme s’est manifesté par la construction de l’impressionnant immeuble du quartier général de l’US Navy en forme de la Croix gammée. (Toujours existant).

Les services secrets de l’US Navy ont fait former leur agent secret, la stérile madame Wallis Simpson, à la séduction dans des bordels de luxe de Hong Kong et du Caire en Égypte. Bien rodée dans sa mission au Pékin avec des agents de Mussolini, elle fut lâchée sur le Roi Édouard VIII d’Angleterre. Mordu de la vipère, a préféré d’abdiquer que de lâcher cette irrésistible séductrice salie du sacrilège du divorce.

Dès lors, l’agent secret de l’US Navy Wallis Simpson devenait une alliée importante de la Haute trahison de l’ex-roi, Édouard de Windsor, inspecteur des troupes franco-britanniques derrière la Ligne Maginot. Avec ses fidèles généraux et officiers supérieurs de l’état-major britanniques et français, totalement acquis comme lui au Nazisme, il préparait la défaite de la France par la guerre éclair en contact direct avec son ami intime Adolf Hitler : le « magicien noir » (sic !) de la secte des « surhommes d’origine extraterrestres », dont il a été un adepte passionné avec Rudolf Hess, numéro deux du régime nazi. (Cet émissaire de Hitler craché en Angleterre, chargé d’éviter l’ouverture d’un deuxième front avant l’envahissement de l’Union soviétique… c’est encore une autre sombre histoire dont la vérité est occultée par l’ONU).

Charles Bedaux, citoyen français, – liée à la haute finance, leurs industriels et services secrets nazis —, le plus important ingénieur-conseil du Duc de Windsor et de son épouse Wallis Simpson de l’organisation de cette haute trahison des Alliés, s’est fait surprendre par le débarquement de l’armée US en 1943 lorsqu’il a été en mission en Algérie. Après des longues hésitations, la justice française s’est finalement décidée de le faire arrêter et incarcérer. On comprend à présent pourquoi les gaullistes l’ont fait extrader dare-dare aux États Unis, alors que la France avait sur lui des droits judiciaires prioritaires. (De cette gente judiciaire du complot d’Alger, je retrouve des illustres noms (Moatti…) dans mes procédures truquées à Paris).

Par l’assassinat en prison aux États-Unis de Charles Bedaux, camouflé en suicide, l’histoire a été privée d’intéressant éclaircissement. Le chef du l’F.B.I., Edgar Hoover a été constamment et parfaitement informée des manigances de la haute trahison et des occultations judiciaires. Avant la catastrophe, il a même déclaré publiquement que le duc Édouard de Windsor devrait être depuis longtemps en prison. En faites vous-même la déduction logique qui s’impose.

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Avec la magie incantatoire de la gracieuse Elina Garanča‑13, la prestigieuse étoile de l’Opéra à mes côtés de l’historien, juriste calé en droit pénal et psychosociologie, les forces noires sur l’échiquier mondial craignent sérieusement que l’histoire prenne une tournure fatale pour leurs sombres projets de la purification raciale massive des génocides. À l’insu des hommes-masses aveuglés par la manipulation médiatique et de la falsification systématique de l’histoire, dans le monde réel, ces fous hallucinés chercheront et recourront aux moyens les plus extrêmes pour l’empêcher, car c’est par irrationalité des élucubrations des superstitions de l’ésotérisme, de la magie et de l’astrologie des assoiffés irresponsables du Pouvoir invisible aux communs des mortels, de l’immémoriale folie humaine, nous sommes en fait gouvernées vers la conflagration de l’apocalypse wagnérienne prophétisée par leurs chimériques « voyants extralucides ».

Il reste encore quelques mystères de l’attentat meurtrier à Paris, combiné avec ma cardinale et percutante action judiciaire devant l’ONU, publiée ensuite sur mes sites Web. (Ma « Direction » m’a bloqué jusqu’au magique vendredi 13 la transmission à l’ONU de l’exposé achevé depuis longtemps, espionné, connu et exploité de toutes les canailles). L’action terroriste de riposte précédait de deux mois la représentation de Elïna Garanča à l’opéra national de Paris. En signe d’avertissement Mademoiselle Lucy Dietrich a été abattue à coups d’armes de guerre. Le sensationnalisme médiatique des attentats toujours plus sanglants avait pour l’effet recherché d’éclipser dans les médias les scandales des grandes affaires des monumentales escroqueries économiques et financiers ruineuses pour l’économie française, de faire passer doucettement en justice ces grands criminels de la haute avec des incriminations tout à fait insignifiantes, tels que des simples voleurs d’étalage, les faire laver plus blanc par la complaisance des juges prévaricateurs corrompus de père en fils, avec en prime des flatteurs reportages des médias, propriétés des holdings omniums profiteurs Lagardère, Bouygues et compagnie, anticipant la loi de leur amnistie déjà en projet devant le Parlement.

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(Pour un psychosociologue, cette opération du camouflage par l’immense écran de fumée du sanglant vendredi 13, dressé par des terroristes, avec ses vicieux instigateurs qui tirent les ficelles, le but et les effets médiatiques ont été atteints avec mon élimination judiciaire criminelle, comme naguère par l’occultation du trucage de l’affaire du général Pinochet du Chili, et, de l’affaire judiciaire subversive « Sang contaminé » contre le gouvernement, suivie ensuite de mon élimination judiciaire dans les affaires des escroqueries astronomiques des titres spéculatifs toxiques « Subprime ».

L’opération terroriste du vendredi 13, est donc parfaitement comparable à l’imputation a priori à l’adjudant-chef Pierre Chanal innocent, les meurtres sadiques en série des jeunes soldats autour de leur garnison de Mourmelon. Avec l’écran de fumée d’une intensive médiatisation sensationnaliste devant mes exposés édifiants, mon élimination du discrédit par ricochet, de la manipulation de l’opinion par « l’association psychologique des idées », a été aussi réalisée de cette façon scélérate.

Lorsque je fus dirigé par les services secrets de l’Armée, en faisant appel au témoignage en faveur de l’adjudant-chef Pierre Chanal de mon ancien amour Carole, (se faisant appeler Karin), dans cette garnison, pour désamorcer mes constructions juridiques irréfutables, l’adjudant-chef Pierre Chanal a été assassiné dans la cellule de haute sécurité de la prison. La méthode employée pour simuler le suicide a été justement montrée aux grands écrans du cinéma.

L’opération terroriste du vendredi 13, est aussi parfaitement comparable avec le massacre inexpliqué du Conseil municipal de Nanterre en délibération publique dans l’Hôtel de ville. Il a été exécuté de façon surprenante par M. Richard DUM, maître en sciences politiques, licencié d’histoire, trésorier de la Ligue des Droits de l’Homme, détenteur d’un permis de porte d’armes officiel, délivré par le Préfecture. Richard Dum, non entravé, a été défenestré du quatrième étage de la célèbre Brigade criminelle de Paris. Quant à moi, l’évadé de Cadillac, deux farouches gaillards avec une ambulance de la Protection civile m’ont sérieusement menacé de la capture lors de mes entraînements quotidiens des courses à pied dans le Parc de La Courneuve.

Cette autre riposte à mes interventions judiciaires contre les trucages des procédures a notamment été organisée contre mon intervention judiciaire dans l’affaire de la catastrophe de l’explosion à Toulouse de l’usine AZF des négligentes compagnies pétrolière Elf Aquitaine et Total. Ces deux importants corrupteurs politiques, profiteurs et financiers du Deach, sont des instigateurs du terrorisme de l’État Islamique pour atteindre le même but des attentats précités : l’occultation de ma savante existence, ma suppression avec les dossiers édifiants, présentés contradictoirement sans être contredit aux audiences publiques à Paris et Lyon : dossiers, preuves à l’appui, irréfutés et irréfutables en justice qui compromettent sérieusement leurs intérêts commerciaux nationaux et internationaux. Comme l’ONU n’en veut rien savoir de l’escalade du terrorisme meurtrier de cette coalition de la haute finance des comploteurs contre la sûreté de l’État de la France (et au-delà), on tremble pour tout l’opéra national de Paris construit par François Mitterrand sur le Place de la Bastille qu’ils maudissent, quand Elina Garanča‑13 s’y représentera mi-juillet 2017).

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Le choix par les islamistes du vendredi 13 est invraisemblable, ne peux pas s’expliquer par leurs croyances. Ce chiffre n’a aucune signification pour les terroristes Deach de l’État islamique. Ce chiffre magique a seulement une très importante signification pour leurs « complices », ­ – épousant leur criminalité au sens du droit pénal —, qui les instrumentalisent et financent ouvertement. En est un d’eux notoirement connu, le multimilliardaire du holding des marchés d’armes, immobilier, médias etc. LAGARDÈRE. Le gros gros malin a dans son conseil de surveillance de la société anonyme en gros actionnaire, entre autres de ses hautes collègues truqueurs et falsificateurs, le Président de la Cour d’appel de Paris Jean-Claude Magendie, franc-maçon affairiste de la Grande Loge nationale de France de couleur d’extrême droite. Ce haut tripoteur de la Justice cumule ses fonctions judiciaires en France avec la présidence de « l’Association pour la Coopération juridique et judiciaire internationale » : des avocats très coopérants, payés à un million/dollars heures pour m’anéantir à l’ONU par la corruption et trafic d’influence du lobbying mafieux. Avec de tels « juges et parties » corrompus de père en fils, du bouclier judiciaire de protection du crime organisé des trafiquants et assassins de haute volée, on tremble pour ma gracieuse reine Elina Garanča du bel canto.

Il reste aussi mystérieux par quels moyens les services spéciaux de l’armée ont pu s’arranger que des fusils d’assauts et grenades à main destinés à massacrer ma ravissante Fée Elina Garanča, soient saisis par la police à Munich en Allemagne où elle chantera en 2016 et 2017 à l’opéra. Vu l’enjeu international, l’opéra WERTHER chanté à l’Opéra national de Paris en 2016, présente donc l’événement le plus marquant dans la carrière artistique de la sublime Diva Elina Garanča. Pour la dissuasion, je suis absolument tenu de commenter brièvement sa saisissante participation avec ARIA DES LETTRES WERTHER, WERTHER, de la diffuser dans le monde entier sur mes sites Web pour préserver ma sublime déesse salvatrice des nouveaux attentats assassins ou même du redouté rapt de ses deux filles par les fous la lier des sectes. Dans la guerre psychologique internationale qui se livrent sur l’échiquier mondial depuis des siècles des superpuissances de l’Ombre, la douce et candide Elina, seule en mon associée, pèse à présent plus lourd que toute l’Armée française en défilé à la Fête nationale du 14 juillet. Heureusement, ma sublime Fée salvatrice Elina Garanča bénéficie d’une protection en rapport de sa radieuse importance.

L’adaptation du roman de Goethe à la scène lyrique relate la malheureuse l’histoire d’amour impossible entre Werther (ténor), le rêveur, et Charlotte (mezzo-soprano), promise au mariage par son père à Albert (baryton), estimant que le solide réaliste ferait un mari idéal pour elle. Lorsque les enfants de sa famille s’exerçaient au chant de Noël, Werther apparaît devant la maison, est émerveillé de l’atmosphère du bonheur dans un gracieux récitatif et air : « – au naturel plein de grâce ». Au bras de Charlotte réticente, habillée juste pour aller au bal, Werther lui avoue son amour. Mais l’idylle est perturbée par l’annonce à haute voix de la famille de Charlotte du retour d’Albert. Werther apprend que sa subite flamme de cœur Charlotte est déjà fiancée à Albert, le mari souhaité par la mère pour sa fille. Séducteur passablement perturbé, Werther s’écrie désespérée : « – Un autre ! son époux ! »

Deux de leurs amis boivent en joyeux vivants à l’auberge. Après trois mois de mariage heureux Charlotte et Albert entrent dans l’Église. Werther les aperçoit et dans un monologue se plaint de ne jamais pouvoir épouser Charlotte : « – un autre est son époux ». D’adoration exaltée pour Charlotte, il s’effondre sur une chaise de l’auberge : « ‑ Dieu de bonté…, si tu m’avais permis de marcher dans la vie avec cet ange à mon côté… ». Albert inquiet de ses extravagances se met près de lui, cherche une explication à ses soupçons de la liaison amoureuse avec son épouse troublée. Werther finit de l’assurer de sa loyauté envers lui et son épouse Charlotte.

Leur dialogue est interrompu par la joyeuse Sophie (soprano), la sœur délurée de Charlotte, chantant le bonheur de son cœur léger dans une frivole ariette. Charlotte, soucieuse de ne pas compromettre sur un coup de tête son ménage, demande à Werther de partir et ne plus revenir, surtout pas avant Noël : « – eh bien, puisqu’à jamais le destin nous sépare, éloignez-vous, partez, partez ! » Werther l’assure de ne plus jamais revenir, lui confie que son seul désir est de la voir heureuse.

Mais à Noël, Charlotte a compris que son cœur éprouvait pour Werther une incompressible attirance sentimentale. Elle est de plus en plus bouleversée par la relecture de ses lettres d’amour enflammées, chante l’air « des Lettres ». Dans ce saisissant monologue chantant, lente et soutenu d’une scène de puissant et virtuose expressionnisme du lyrisme théâtral, la Diva Elina Garança fait montre de son éminent talent de la vocalisation colorature dans son admirable registre des émotions. Avec cette finesse des nuances, toutes les émotions de la perturbation de l’esprit humaine par la passion sont exprimées dans trois phases évoluant de l’éveil de la passion amoureuse refoulée de la femme soucieuse de l’intégrité conjugale, vers le relâchement chanté par des inflexions de la joie nostalgique, se muant ensuite aux souffrances du désespoir tenaillant du sacrifice de l’amour avec Werther.

Préludé aux courtes et sombres sonorités magnifiquement expressives de l’orchestre soulignent un climat oppressif dans le salon du mari Albert. Charlotte assise près de la table, sort avec maintes hésitations les lettres. Avec l’admirable perfection de son art lyrique, Elina Garanča articule en parfait français avec précisons l’amplification de l’émotion passionnelle en relisant ces lettres de Werther qu’elle n’avait pas à cœur de détruire : l’envahissant crescendo expressif, très lente de la tonalité de la libération d’une passion refoulée dans sa conscience de la femme mariée séduite, son abandon aux impulsions de l’âme bouleversé : « – Werther, Werther…

Une courte rupture de l’hésitation, marque de la passion refrénée, Charlotte de plus en plus perturbée enchaîne de la vocalisation lente sur les sonorités en symphonie basse des cordes : « – qui aurait dit la place que dans mon cœur il occupe aujourd’hui… ». Son retenu morale du mariage vaincu par la passion, un chant saccadé, ponctué par des coups de timbales, marque la rupture de la résistance à tentation funeste de relire ces lettres sorties du tiroir de son meuble au lieu de les détruire. Dans une lente mélopée traînante en symbiose expressive de l’orchestre, en l’ondulation harmonieuse, le chant de lecture accroît son saisissement sentimental, sa compassion de la situation de Werther seul, abandonnée.

Charlotte s’insurge attendri d’une intonation brusque aux aigus, poursuit à la chantante diction mouvementée de sa tendre compassion, avec des courtes transitions instrumentales de renforcement de l’expressivité vocale appuyée : « – Ah ! Personne auprès de lui !… Pas un seul témoignage de tendresse… ou même de pitié ! poussée aux aiguës lentes : « – Dieu, comment m’est venu ce triste courage d’ordonner cet exil et cet isolément ! » en faisant alterner les mouvements ascendants et descendants de la mélodie pétrie de regret et tristesse.

Des magistraux soutiens et appuies sonores de l’orchestre, les brefs interludes expressifs de la variation dramatique des motifs des émotions, les timbres et le lyrisme des chacune des instruments en symbiose avec la magnifique vocalisation nuancée, valorisent la précision de l’intonation verbale de la relecture des lettres de Werther. Sur son remarquable registre des émotions d’une infinie délicatesse mélodieuse, la divine Elïna Garanča chante très lentement avec l’expression d’un phrasé virtuose, appuyé sur des notes liées, ondulantes des hautes aux basses, en decrescendo de l’émouvante sonorité expirante : « – je vous écris de ma chambre… un ciel gris, et lourde de décembre pèse sur moi comme un linceul… et je suis seul, toujours seule… !

Charlotte rassérénée avec le motif de la lecture des heureux souvenirs de Werther lors du court l’idylle commune, chanté au rythme sautillant des notes aiguës des sonorités magnifiquement perlées des sensations de la joie. C’est une magistrale démonstration de l’extraordinaire souplesse de la tessiture de la sublime cantatrice Elina Garanča.

À la lecture du suivant des lettres d’amour de Werther, la mélodie de Charlotte retombe dans l’abattement de la tragique consternation. Ce poignant monologue au lyrisme appuyé aux inflexions particulièrement tristes de la tragédie expira par la lecture de l’épilogue pathétique de Werther dans sa lettre. Charlotte est épouvantée de l’abattement de son bien-aimé au désespoir : « – mais si je ne dois réapparaître au jour fixé devant toi (Noël), ne m’accuse pas, pleure-moi ! ne m’accuse pas pleure-moi ! – Oui, de tes yeux si pleins de charme, ces lignes, tu reliras, tu les mouilleras de tes larmes ! ô Charlotte, et tu frémiras, tu frémiras ! tu frémiras ! » Lentement en ondulant doucement aux médians, soupirant des nuances tristes avec des envolés aux aigus de la détresse, la vocalise des expressions des tourmentes moraux déchirants est amplifiée par le roulement des timbales, et de la symphonie des cuivres. Le chant d’abandon de Charlotte expire lentement dans le decrescendo appuyé par l’orchestre, finalisé des lentes sonneries du glas, allongées en pianissimo des cors.

L’appréhensif monologue du sinistre pressentiment de Charlotte sur la fin fatale de Werther est interrompu de l’arrivée joyeuse de Sophie. Sa sœur est affolée ensuite par l’air des larmes de Charlotte perdue des troubles passionnels.

En vain, sa jeune sœur Sophie exubérante recherche la réconforter par le récitatif des gaies câlineries. Charlotte ne pouvait plus se retenir, avoue son amour secret pour Werther dans son pathétique arioso et récitatif : « – va, laisse couler mes larmes. Elles font du bien ma chérie ».

Charlotte seule, dans son puissant et convaincant air des Larmes, prie Dieu pour qu’il aide, exhibant un délectable raffinement vocal dans sa supplication : « – ah mon courage m’abandonne […] Seigneur Dieu, Seigneur […] Prends pitié de moi. Soutiens ma faiblesse… Viens à mon secours. Entends ma prière… ».

Werther surgit brusquement, surprenant Charlotte dans son appartement en plein désarroi. En communions d’amoureux, le couple regardait des livres qu’ils lisaient autrefois. Werther chante un célèbre air d’amour tragique qui y est conté, pousse la voix aux émotions bouleversantes : « – Pourquoi me réveiller ». Elle succombe au charme de l’atmosphère inattendue, trahissait ses sentiments refoulés dans son for. Avec tendresse, il serre dans ses bras son amour conquis Charlotte.

Son époux Albert les surprend et blâme Werther des troubles des agitations sentimentaux apportées à son épouse perturbée. Après avoir lu le message de Werther éloigné : « – je pars pour un lointain voyage, voulez-vous me prêter vos pistolets », Albert les fait remettre au messager par Charlotte qui songe avant tout de sauver le ménage.

Dans l’acte finale débordant d’exhalaison de tendresse, Charlotte trouve dans son cabinet de travail Werther mortellement blessé par les pistolets de son mari qu’elle lui a fait remette. Résigné, il l’empêche de chercher de l’aide. Tandis qu’on entend les enfants célébrant Noël dans la maison, Werther expire dans les bras de Charlotte, heureux par son aveu consolateur d’une tendresse maternelle, qu’elle l’avait aimé dès leur première rencontre. Comme un enfant malade, dans son élan de tendresse, elle rassure le mourant de son amour.

Peter, le « Cavalier de Prose », en adoration devant l’exquis art dramatique et lyrique de sa belle et gracieuse reine blanche du bel canto Elina Garanča.

Rwanda, depuis 1981. Génocide et Crimes contre l’humanité des surhommes nietzschéen fomentés et exécutés sous la protection des faussaires et escrocs, ‑ récompensés des plus hautes distinctions de la Légion d’honneur-, du Conseil constitutionnel, du Conseil supérieur de la magistrature, de la Cour de cassation, du Conseil d’État, toutes les manigances couvertes à coups de millions et millions de Dollars et Euros chez la Cour européenne des droits de l’Homme et le Haut-Commissariat des Nations Unis aux droits de l’homme. Preuves : https://dietrich13.wordpress.com.

Commentaires fermés sur SAUVE DE L’ASSASSINANT, ELINA GARANČA CHANTE L’ARIA DE CHARLOTTE DU DRAME LYRIQUE WERTHER.

Le couple prodigieux : Maestro Karel Mark Chichon dirige sa Diva Elina Garanča dans l’aria « Io son l’umile ancella » (je suis l’humble servante), de l’Opéra en quatre actes ‘Adrienne Lecouvreur’ de Francesco Cilea.

Posted in Magouille by Dietrich13 on 18 janvier 2021

Maestro Karel Mark Chichon dirige sa Diva Elina Garanča dans l’aria « Io son l’umile ancella » (je suis l’humble servante), de l’Opéra en quatre actes ‘Adrienne Lecouvreur’ de Francesco Cilea. Konzert Klassik unter Sternen, Göttweig, Autriche.

www.opera.fr

Ce thème de l’aria du concert dirigé par le maestro Karel Marc Chichon est vraiment bien choisi, car cet ingénieux époux britannique de Gibraltar combine au talent hors commun de l’actrice tragédienne française Adrienne Lecouvreur (1692-1730), le contemporain talent hors commun de son épouse, de la sublime mezzo-soprano Elina Garanča, en y ajoutant tout naturellement le sien. Ce grand magicien de la polyphonie orchestrale et vocale fait chanter dans les aigus à la soprano, sa magnifique perle blonde Elina Garanča, découverte à l’opéra national de Riga, en lointaine Lettonie, pour valoriser son large, souple et captivant tessiture mezzo-soprano. L’impact expressif ondulatoire sur toute l’étendue de sa tessiture d’un charme captivant dans l’aria, dénote une parfaite virtuosité dans la lente vocalise poétique par des notes ondulées sur une seule syllabe, des extraordinaires nuances appuyées sur les syllabes, des variations rapides d’une tonalité, d’une couleur à l’autre.

Sa jolie silhouette moulée avec élégance dans sa belle robe rouge décolletée, son visage clair au dessin harmonique d’une beauté nordique éclatante avec sa chevelure dorée, ses yeux du bleu saphir captivante, l’aménité la plus exquise de ses manières, de sa mimique figurée, s’accordent à merveille à la représentation sur la scène lyrique d’une des plus grandes figures historiques de la Comédie Française.

Adrienne Lecouvreur a été une des plus célèbres actrices tragédienne de la Comédie française. Lors d’une représentation théâtrale, un amour passionné se noue entre elle et le Comte de Saxe Maurizio (Maurice), un séducteur et vaillant soldat du roi Louis XV, futur maréchal de France. À son départ, Adrienne Lecouvreur lui assure de ne jouer que pour lui, vend ses bijoux pour le secourir de l’humiliante ruine financière. Pour fleurir sa boutonnière, elle lui donne des violettes. (Les fleurs Violettes s’appellent en allemand « Vergissmeinnicht », traduit « Ne-m’oublie-pas »).

La princesse de Bouillon, sa rivale de la grande noblesse, est une autre conquête du Comte pour profiter de son influence auprès de la Cour royale. La princesse aussi est passionnément amoureuse et jalouse du Comte Mauricio. Lors d’une réception, elle remarque ces violettes, ravie demande au menteur éhonté si ces fleurs sont bien pour elle. Dans un rendez-vous dramatique organisé chez elle, la princesse de Bouillon reconnaît par la voix sa rivale, l’actrice du plus grand renommé Adrienne Lecouvreur.

Dans l’acte final de l’opéra, à la fête de son anniversaire au théâtre, Adrienne Lecouvreur reçoit un panier dans lequel se trouvent fanées et flétries les violettes qu’elle avait données au Comte Maurizio. Au désespoir, les prenant pour le signe de la rupture de leur liaison amoureuse, elle pleure, embarrasse ces fleurs. Maurizio arrive pour lui offrir sa main en reconnaissance de ses sacrifices faites pour le sortir de l’opprobre de l’impasse financier. Affichant avec effusion la sincérité de son amour, il la console avec la plus grande tendresse, la rassure que ces fleurs ne proviennent pas de lui. Trop tard. Adrienne Lecouvreur s’évanouit et meurt dans ses bras. Par vengeance, la princesse de Bouillon, avec ces fleurs, avait empoisonné sa rivale de la roture intruse.

Avec le bref prélude de l’orchestre, dans ce chant, chaque figure est annoncée par des notes pincées de la harpe, des violons, hautbois et cors. Le raffinement orchestral avantage la primauté de l’intensité sonore à la voix de la cantatrice pour bien mettre en relief le brio de son extraordinaire virtuosité et sa tessiture aux ultimes perfectionnements de la diction mélodique, rapide et syllabique du chant poétique.

Déployant une gamme extraordinaire d’un phrasé de finesse et précision, des nuances d’une syllabe à l’autre, ondulant sur toute la fluide gamme de sa tessiture, Adrienne répond ses adorateurs, attaque l’air (en italien) avec la tessiture élevée, douce et d’une caressante féminité : « – Vous voyez », descendant aux graves lentes et ondulantes, « – je respire à peine ». (Avec simplicité), d’une grande agilité vocale, la ligne mélodique sinueuse montée aux aigus extrêmes, est ponctuée par des notes délicatement pincées de la harpe, « – du Génie créateur » ; redescende à la médiane en alternant les mouvements ascendants et descendant, « – il m’offre les paroles » ; la mélodie envole ondulant aux aigus avec une admirable emphase, « – je les transmets aux cœurs ».

Après une brève rupture remplie de notes liées des cors anglais et cordes, Adrienne reprend, « de la poésie, je suis la voix ; le chant s’élève note par note, parfaitement timbré aux hautes, « l’écho du drame humain », jusqu’aux aigus variants, au lento, « obéissant à la main », terminant la phrase par des sons lents des cors, suivis des tendres notes pinces de la harpe.

La ligne vocale syllabique soutenue s’envole par paliers vers l’aigu, Adrienne accentue la voix ondulante, « – douce, joyeuse », infléchissant la ligne vers les médians ondulées aux aiguës, « – cruelle », puis, « ‑ je m’appelle Fidélité », en vibrantes notes ondulées prolongées. Comme un signe prémonitoire exprimé d’un charme et facilité si délicieuse, au ton tragique ondulant sur ses timbres graves et veloutés, « ­‑ Ma voix n’est qu’un souffle ».

Ce passage lent aux intonations d’une douceur tragique, les inflexions vocales redeviennent soudain graves, « – qui mourra au nouveau matin » ; variant aux plus aiguës du fond de sa gorge au mouvement ondulant lento dans les moyens, et, envole en fortissimos tenus d’une voix puisement projetée, « – mourra » : verbe expressif annonciateur de la tragédie, appuyé avec une splendide assurance vocale au plus forte de la sonorité aiguë, la note tenue à l’extrême de son délicieux souffle ; lentement les notes s’évanouissent pour finaliser la mélodie par les belles sonorités expressives des cordes.

Une merveilleuse orchestration arrangée pour mettre en valeur la magnifique technique vocale de la plus haute perfection dans un chant sur le registre de la poésie, pour monter au sommet de sa beauté, élever au sublime la merveilleuse voix de Elina Garanča. Bravo maestro Chichon.

Peter, le ‘Cavalier de Prose’ de Elina Garanča, émerveillé de l’inoubliable poésie vocale de sa sublime Reine du Bel Canto.

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L’éblouissant maestro Karel Mark Chichon, en chef d’orchestre dans ses fameux concerts présentés au « Festspielhaus », au Maison de concert, de Baden-Baden en 2008, (enregistré sur DVD), s’est appliqué avec succès de transformer les émotions de sa propre passion pour son irrésistible dulcinée conquise pour la vie, de la merveilleuse diva Elina Garanča, en féeries musicales transcendantes : l’interprétation allégorique de ses propres perceptions amoureuses sublimées, de sa conquête de l’amour épanouie en émotions fortes qui, dans la salle de spectacle, submergent les sensations du cœur et de l’âme des spectateurs mélomanes par des vagues d’harmonie successives.

L’élégant magicien britannique de symphonie d’un orchestre le plus varié des grands talents instrumentistes, des airs d’opéras célèbres, des arias de la passion d’amour composés des sommités de la musique classique, charmant des raffinements musicaux l’ouïe et la vue de tous les goûts du public averti.

Il s’est donné rendez-vous dans la grande salle bondée de la Maison de musique à Baden-Baden pour assister à l’extraordinaire spectacle donné par le suprême tallent de ma sublime déesse enchanteresse Elina Garanča en cantatrice soliste ; spectacle dont les plaisirs de l’assistance en direct me sont à jamais prohibés avec mon armure du gladiateur solitaire. « Absence makes the heart grow fonder », et me laisse quelques loisirs aux envolées littéraire d’adulation de ma reine blanche idéale sur l’Echiquier du Diable

Pour la représentation, cet éblouissant maestro Karel Mark Chichon dirigeant en grand amoureux inspiré, s’est fixé dans ses chef-d’œuvre de direction vocale et instrumentale, à une variété des arias d’opéras baroques et romantiques émouvants, à une sélection bien choisie au divertissement du public dans le largueur du répertoire extraordinaire de Elina, de sa flamme bien aimée.

Sélection dans laquelle ce magicien de symphonie a permis devant le public à sa diva à la corolle d’or Elina de donner toute la mesure de la flexibilité de son talent de vocalisation lyrique et de sa virtuosité de chanter sur toute la vaste palette sonore des couleurs enchanteresses de sa voix aux ultimes perfectionnements, sur toutes les octaves de sa tessiture de mezzo-soprano d’une douceur féminine aux caresses captivantes : du moderato des souffles pathétiques des basses mélancoliques aux tourbillons exaltants des trilles jubilatoires des hautes passionnées.

L’émotionnel du spectacle musical est intensifié sur la scène somptueuse devant le brillant orchestre par le plaisir visuel de la mimique des passions d’amour par des ravissements de sa physionomie d’enchanteresse, des gestes gracieuses, son corps ondoyant de la divine Naïade blonde parée d’une longue tunique rouge chatoyante, à la romaine collant sur sa silhouette souple en mouvance assurée ; le port en écharpe laissant nues les charmes des galbes délicats du buste, des épaules et des bras. L’ensemble sélectionné de cette magie scénique en parfaite harmonie, exalte l’enthousiasme irrésistible d’un public des mélomanes averties. Peter, son amoureux « Cavalier de Prose » enchanté.

Commentaires fermés sur Le couple prodigieux : Maestro Karel Mark Chichon dirige sa Diva Elina Garanča dans l’aria « Io son l’umile ancella » (je suis l’humble servante), de l’Opéra en quatre actes ‘Adrienne Lecouvreur’ de Francesco Cilea.

Pauvres! pauvres! Moulins à Vent du Syndicat de la magistrature et de l’Association Anticorruption!

Posted in Magouille by Dietrich13 on 13 janvier 2021

Pauvres, pauvres Moulins à Vent du Syndicat de la magistrature et de l’Association Anticorruption !

Ensemble des affaires indivisibles dans le cadre du Complot contre la sûreté de l’Etat traitées pour la Diva lettonne Elina Garanča et le juriste calé Peter Dietrich par leur avocat, Herr Anwalt (Avocat) Bernard Rambert Freienstr. 76, 8032 Zürich Suisse.

« La prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 juillet 1961, B. 357, et, Crim. 25 novembre 1954, B. 352. : « La prescription en matière de presse est interrompue par des obstacles de droit ». Crim. 12 oct. 1993, B. 289.

13 janvier 2021. Une plainte a été déposée ce jeudi contre le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti devant la Cour de justice de la République. Selon une information de Médiapart, la plainte émane d’un militant anti-corruption qui vise le ministre pour « prise illégale d’intérêts ».

Pauvres, pauvres Moulins à Vent du Syndicat de la magistrature et de l’Association Anticorruption dirigées par des magistrats en retraite, manipulées comme des enfants de chœur par l’avocat pénaliste Éric Dupond Moretti avec les dossiers du juriste d’attaque Peter Dietrich. Le roublard les a obtenus il y a quelques années par les juges d’instruction de Grenoble en tant qu’avocat de défense d’un assassin devenu célèbre par un montage médiatique qui a mis la France en délire. Gageons que ces dossiers ont fait de lui ministre de Justice pour arranger la réélection de Manuel Macron en président de la République en 2022. L’hiver 2019, en éliminant le favori qui aurait dû passer au premier tour, j’ai fait de Marcon président de la République avec ma merveilleuse associée, la diva lettonne Elina Garanča. L’ingrat m’a laissé couper l’électricité et casser mes ordinateurs et appareils électroniques dans mon domicile pour paralyser l’évolution de mes actions en justice.

Avec ma science et la « magie » astro-numérologie de ma naissance, avec la première affaire de l’agriculteur spolié de son domaine par les escroqueries des avocats félons et le juge d’instruction de Toulouse, j’en ai fait de Georges Bush junior président des États Unis. Il a fait récupérer ma science par ces avocats payés à un million de dollars heure chez le Comité des Droits de l’Homme à l’ONU, pour se débarrasser par les psychiatres de son complice de la tentative d’assassinat de Rolland Reagan selon le procédé français appliqué à ce Juby dédaigné par les droit-de-l’hommistes à New York.

Ensuite, avec mon dossier confié au député Michel Rocard pour qu’il active la Haute Cour de justice contre le complot contre la sûreté de l’État, j’en ai fait de lui Premier ministre, et de l’avocat starisé par les médias Robert Badinter, le ministre de la Justice, autoproclamé « Chevalier » d’une société criminelle aux actions secrètes. Comme il se vante aujourd’hui, il a réformé la justice pour faire abroger toutes les lois dont je me prévalais et qui protégeaient le justiciable contre l’arbitraire des juges coalisées. Il a réformé la profession d’avocat pour me rendre impossible de rentrer dans le barreau.

C’est le doyen des juges d’instruction de Toulouse Bensoussan du syndicat de magistrature qui, par l’escroquerie judiciaire décrite dans l’affaire Juby, qui m’a expédié dans la forteresse psychiatrique de haute sécurité à Cadillac avec ma machine à écrire et ma documentation, pour que j’apprenne au magistrats les moyens d’annuler à deux reprises l’affaire Papon sur des bases légales totalement faux. Justiciable pour « INTELLIGENCE » avec l’ennemi des crimes contre l’humanité, il ne pouvait pas être légalement poursuivie de « COMPLICITE » du troisième degré des crimes contre l’humanité du Préfet, complice du deuxième degré, alors que selon la jurisprudence de principe, la complicité du deuxième degré n’est pas punissable en France. Mais avec la substitution du terme COMPLICITE au terme légale INTELLIGENCE, les magistrats ont, entre autres, épargné des poursuites par la Haute Cour de justice 44/45 le Premier Ministre et maire de Bordeaux Jacques Chaban-Delmas, du Rotary club et ancien membre du gouvernement de Vichy, supérieur hiérarchique du Préfet de de son secrétaire Papon, devenu ministre justiciable par la Haute Cour de justice 1958 sous la qualification pénale « complot contre la sûreté de l’Etat ».

Mais voilà, Bensoussan, le Doyen des juges d’instruction de Toulouse a été un carriériste ambitieux et avait son laideron de fille a placer dans la magistrature, de lui arranger un bon mariage par l’Ecole nationale de la magistrature de Bordeaux. S’il ne m’avait pas fait séquestrer en psychiatrie de haute sécurité, sa fille n’aurait pas réussi un seul examen à l’université de Toulouse, et encore moins à l’Ecole de la magistrature. Le nouveau ministre de la Justice Robert Badinter n’est pas un ingrat. Ils ont récompensé le Doyen des juges d’instruction d’un avancement, dont l’hebdomadaire LE MEILLEUR s’en moquait publiquement après mon évasion.

Puis, pour m’envoyer chez les juges factieux du tribunal de grande instance de Bobigny pour qu’ils me ruinent par des amendes civiles et des dommages et intérêts attribués par complaisance aux malfaiteurs, on me pompe du sous-sol au premier étage des excréments des copropriétaire dans mon appartement. Lorsqu’il est révélé aux malfaiteurs, par l’espionnage informatique, de ma riposte préparé pour le magique vendredi 13 novembre au premier président de la Cour d’appel de Paris, au magique prénom « Chantal », à laquelle je relevais ma qualité de commando d’action spéciale avec mon magique pseudonyme « Chantal », nom du saint auquel sur le calendrier français est consacré le magique douze août, date de ma naissance, les conjurés des sciences occultes envoyaient leur émissaire en Syrie pour instiguer et financer, en riposte, le massacre au salle de concert Bataclan à Paris, l’assassinat symbolique de Mlle Silvy Dietrich.

Maintenant, alors que j’attends depuis plus quarante ans que ma cause soit entendue par la justice, déjà plusieurs moi, que je sois entendu par la Cour de cassation au sujet de ma séquestration psychiatrique ayant due aboutir au lavage de cerveau, je dois assister impuissant, sous tortures des armes électroniques, a ce carnaval judiciaire de la pure propagande électorale, alors que la situation légale de l’organisation judiciaire n’est pas encore rétablie.

 Aussi ma divine associé, la cantatrice Elina Garanča, attend la poursuite judiciaire des ceux, bien connus, qui ont tenté de la faire massacrer à l’Opéra national de Paris avec la cargaison d’armes et d’explosifs intercepté à Muniche en Allemagne par les services secrets de l’ancien président de la République François Holland, pour soutirer l’affaire de la magistrature française.

Peter DIETRICH. Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E., Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant.80, rue Voltaire. 93120 LA COURNEUVE. Tel: 07 49 42 14 03. Blog http://dietrich13.com.

13/01/2021. (Complément). Ministre de la Justice, demeurés des syndicats de la magistrature et de l’Anticorruption. Bonjour frères quêteurs et sœurs quêteuse de la Légion d’honneur. Par mon blog, des internautes français viennent de me solliciter les dossier relatifs au « au Cass du Siècle » de la Banque de France avec comme ministre des finances l’avocat de la Mafia Maître Nicolas Sarkozy. Répétons-le, il m’a subtilisé avec ma science de l’ancien ministre des finances Dominique Strauss-Kahn, pour passer président de la République à sa place. Vous n’avez pas besoin de me mendier aujourd’hui mes dossiers. Ils se trouvent depuis des années accumulé au greffe des référés du Président du Tribunal de Grande Instance de Bobigny.

Par la technique de l’association des idées, on me suggère aussi d’éclairer votre lanterne sur l’assassinat de l’ancien ministre franc-maçon Robert. Si on ne veut absolument pas connaître les mobiles qui mettent en cause les financement politique par le trafic international de la drogue de la French-connexion, cette assassinat passera toujours comme un suicide bizarroïde.

Répétons-le, il m’a été donné comme feuille de route le livre qui faisait un grand scandale à l’époque d’Alain Jobert, D COMME DROGUE, LE MILIEU POLITIQUE, LES GROS BONNETS, LES FINANCIERS ET LES FILIERES EN FRANCE. Edition Alain Moreau 1973. Les faits narrés, qualifiés pénalement « Complot contre la sûreté de l’Etat, relevaient indivisiblement de la compétence de la Haute Cour de justice, supprimée en petit comité par ceux qui en étaient justiciables. Selon les indications tabou dans ce livre, avec Robert Boulin ont été assassiné deux de ses initiés des comptes secrets en Suisse : les ministres D’Ornano et Fontanet, par les services secrets du troisième larron, le ministre des Armées, puis première ministre Michel Debré.

Mais vous avez là des tabous absolus, car l’approfondissement judiciaire conduira irrémédiablement sur le financement occulte de Charles de Gaule par le Gestapo de la Rue de Lauriston… en plein dans les crimes contre l’humanité aux imbrications mettant en péril des milliards et des milliards.

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