Légitime défense politique.

4° Trucages des crimes contre l’humanité de l’Académie française, l’Académie des Sciences morales et politiques et de la Légion d’honneur.



Anwalt (Avocat) Bernard Rambert. Freienstr. 76. CH 8032.  ZÜRICH. Suisse.

« La prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 juillet 1961, B. 357, et, Crim. 25 novembre 1954, B. 352. « La prescription en matière de presse est interrompue par des obstacles de droit ». Crim. 12 oct. 1993, B. 289.

Toutes ces affaires judiciaires relatives au complot contre la sûreté de l’État relevaient indivisiblement de la compétence de la Haute Cour de justice selon la loi, la jurisprudence de principe de la Cour de cassation et la doctrine. La violation de la compétence légale rend tous ces procédures et décisions judiciaires, illégales, nulles d’ordre public, non prescriptible, les juges, procureurs et avocats qui les ont mis en scène en authentique association de malfaiteurs, pénalement qualifiée.

008 Elïna Garanča La Cenerentola Caussures Casamayor

Avec en Préambule de la Constitution de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen de 1789, la situation légale n’existait plus en France, comme le témoignaient tous les révoltants scandales étouffés.

En 1981, par la ratification du Pacte international de droits civils et politiques, Mitterrand a cherché de faire rétablir la situation légale en déverrouillant la Haute Cour de Justice 1958. « Tous sont égaux devant les tribunaux et cours de justice ».[1]

Avec la soustraction de la Haute Cour de Justice de ma justification par la légitime défense, par l’arrestation illégale en 1981, selon l’article 55 de la Constitution, ­­‑ plaçant l’article 14 du Pacte au-dessus de la loi ‑, la totalité des institutions judiciaires fonctionnaient en totale illégalité constitutionnelle pour soustraire les plus dangereux criminels à la justice, pour les faire prospérer même. Voilà comment on a progressé jusqu’au génocide au Rwanda.

[1] La ratification du Pacte a rendu caduque l’ordonnance de 1959 sur la saisine et le fonctionnent de la Haute Cour de Justice, selon l’article 55 de la Constitution. L’autorité supérieure du Pacte à celles des lois faisait fonctionner le Haute Cour de Justice, et aussi la Cour de Justice de la République, en totale illégalité constitutionnelle. Or, seule la Haute Cour de Justice a été légalement compétente en 1981 de juger ma légitime défense contre des membres du gouvernement et leurs complices complotant ouvertement contre la sûreté de l’Etat. Le Pacte imposait mon passage devant la Haute Cour de Justice selon la procédure pénale du droit commun.

Continuation de la guerre mondiale par Martin Bormann, exécuteur testamentaire de Hitler, le général nazi Reinhard Gehlen contre l’amiral Pierre Lacoste, trahi selon la tradition par la magistrature française, comploteurs contre la sûreté de l’État avec la Légion d’honneur.

Fortsetzung des Weltkrieges durch Martin Bormann, Hitlers Testament Vollstrecker, Nazi-General Reinhard Gehlen gegen Admiral Pierre Lacoste, nach der der französischen Tradition, verraten von der Gerichtsmagistratur, Verschwörer gegen die Staatssicherheit mit der Ehrenlegion.

Ce qui est ici exposé aux juridictions nationales et internationales est complété et largement confirmé par David TABOLD. Devil’s Chessboard. (L’échequier du Diable). Edition HARPER 2015. L’auteur écrit que « Kennedy pensait qu’il était un dieu ». Effectivement, son père Joseph Kennedy l’a fait éduquer en missionnaire catholique de dieu pour organiser la Troisième Guerre mondiale purificatrice, de réaliser « le sale rêve de l’Église » (Nietzsche). Avec toutes les preuves réunies contre le clan Kennedy, avec leurs intérêts dans des holdings comme IG Farben « Hoechst AG », si une justice existait, ils pourraient être poursuivie des recels des crimes contre l’humanité, même bien plus….

30/09/2019. A Amazon.fr. Le livre gênant n’a pas été délivré le jour annoncé.

Le problème de ce livre et des autres achetés, c’est que les services secrets de l’armée m’ont manœuvré dans les universités de droit pour que ce soit moi qui je dévoile en 1981 les secrets de la Deuxième Guerre mondiale aux juridictions nationales et internationales. J’ai été freiné par des arrestations illégales, séquestrations, tortures, l’exactions fiscales, mon expropriation jusqu’aux slips. La soutenance d’une thèse de doctorat m’a été refusée, alors que mon professeur de droit de l’université Panthéon Sorbonne de Paris est mobilisé par des gangsters à coups de millions pour me ridiculiser par sa simple présence devant la presse au parfum au tribunal correctionnel de Paris. Les médias occultaient ma science rapportée contradictoirement aux interventions publiques. Ma avec mes publications congrues sur le Web des vrais secrets de la Deuxième Guerre mondiale, mon prestige international ne cessez d’augmenter. Maintenant, je vois apparaître des publications purifiées des secrets de la Deuxième Guerre mondiale de tout ce que j’ai publié et déjà rapporté à l’ONU, des embellissements de l’histoire, même par un professeur de l’université Panthéon Sorbonne, un de ceux qui me redoutent comme un épouvantail. Pourquoi me refuser le livre de ce docte journaliste, alors que je prépare un nouvel exposé pour l’ONU ? Blog dietrich13.com;

DIETRICH : jusqu’au bout de ses idées… Avec la merveilleuse chanteuse Elina Garanča.

Les universités françaises ont refusé à Peter Dietrich de présenter une thèse de doctorat. À présent, Elïna Garanča obtiendra une thèse de doctorat honoris cause d’une des plus prestigieuses universités… le Prix Nobel… la Médaille militaire, car à la demande de son amoureux Peter, elle refusera de se faire décorer Chevalier de la Légion d’honneur.Bout d'idées.

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L’assassinat du juge François Renaud, comme plus tard d’autres assassinats, comme celui du Juge Pierre Michel à Marseille, rentre dans le cadre juridiquement indivisible du complot historique contre la sûreté de l’État par une coalition des fonctionnaires criminels, concertant contre les lois et contre l’exécution des lois, selon de la terminologie du Code pénal applicable à la totalité des affaires du grand banditisme du Service d’Action civique avec ses proxénètes et de la French connexion du trafic de drogue, manipulés par le « Gestapo Müller ». À Lyon, six juges d’instruction successifs ont soutiré l’affaire de l’assassinat du juge Renaud de la Haute Cour de justice par des ordonnances de non-lieu parfaitement illégales, ne rentrant pas dans leur compétence judiciaire. La Cour de cassation, ayant supprimé par des falsifications d’écritures les interventions détaillées du juriste calé Peter Dietrich, enterrait définitivement l’affaire de l’assassinat du juge d’instruction François Renaud, notoirement instigué par des ministres. Les redoutables stigmates de Peter Dietrich ont été parfaitement connus par tous les protagonistes et leurs complices des sociétés et sectes aux actions secrètes.

Le juriste d’attaque Peter Dietrich a été formé académiquement et militairement pour faire procéder au renvoi devant cette Haute Cour de justice par des interventions avec un déclinatoire de compétence. Dès le départ, après l’arrestation illégale du juriste calé Dietrich par des magistrats initiés, l’Association professionnelle des Magistrats, et autres saboteurs perfides du même déchet se sont substitués à lui par des simulacres d’interventions sans queue ni tête pour empêcher la saisine de la Haute Cour de justice par le « commando Peter Dietrich », en se faisant mousser au passage en magistrats héroïques par la presse.

Le médiatique avocat Jacques Verges, rendu attractif aux victimes de ce complot contre la sûreté de l’État, pour les duper, a aussi trahi son savant client Peter Dietrich pour exploiter subrepticement sa science pour l’annulation de complaisance des procédures chargeant les comploteurs, financés par proxénètes et trafiquants. Au tribunal de grande instance la fameuse « Bande de Bobigny », sous la présidence du magistrat Georges Fenech, subventionné par les plus dangereux criminels contre l’humanité, supprimait les interventions pertinentes de Peter Dietrich dans des nombreuses procédures, même à Créteil, pour autoriser le holding Hoechst AG, ancien IG Farben, d’absorber l’industrie pharmaceutique et chimique français avec les énormes bénéfices réalisés dans le Camp d’extermination Auschwitz, que le holding a organisé et fait construire à leurs besoins industriels.

Après l’intervention à l’audience publique devant le tribunal correctionnel à Lyon contre les comploteurs Giscard, Noir, Carignon, Léotard et compagnie, le juge Ancel de Bobigny infligeait dans une autre intervention contre les conjurés avec le juge rouge Jacques Bidalou, une amande civile maximale, cherchait de faire saisir son modeste appartement par le fisc. Les nouvelles tentatives de piéger le juriste d’attaque Dietrich dans une procédure à Bobigny ont suscité le massacre au « magique » 13 novembre 2015 dans la salle de concert du Bataclan à Paris, l’assassinat symbolique de Sylvie Dietrich. La répétition, au début 2016 à l’Opéra national de Paris, pour massacrer l’associée du juriste Dietrich, la sublime mezzo-soprano Elina Garanča et son époux Karel Marc Chichon, a été déjouée par l’interception des armes et explosives par la Police de Munich en Allemagne.

Lyon Assassinat du juge François Renaud

Le 13 novembre 2016. Récapitulation synthétique de mes exposés présentés contradictoirement à la Justice française, internationale et de l’ONU, combattus depuis plus de quarante ans par des avocats payés à un millions/dollars heure.

tampon-nazi-falsificationDe Peter DIETRICH. Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne-Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant. 80, rue Voltaire. 93120 LA COURNEUVE. Blog http://dietrich13.wordpress.com, article cyberattaque Google, sabotage du système. <<<Blogs incontestés en Justice.

En approfondissant toujours et toujours mes études sur l’occultisme des sociétés discrètes aux actions secrètes ou sociétés secrètes, je me suis rendu compte que ma personnalité présente des caractéristiques autrement importantes que la simple bravoure militaire, le symbolisme des commandos parachutistes de la Légion étrangère et l’incomparable prestige universitaire, amplifiés continuellement par l’association à la grande Diva lettonne d’envergure internationale m’apportant son l’aura du charme féminin: intelligente, surdouée, la belle blonde aux yeux bleus Elina Garanča, typique échantillon humain nordique de la surhumanité, selon les critères nazis et leur associés en délires structurés chroniques, les intégristes catholiques.

Selon leurs élucubrations pseudo-scientifiques structurés en crédos, manifestes et manuels éducatifs, je suis sans doute considéré en aryen de la paysannerie autrichienne et suisse, préservée de la pollution du « métissage des sous-hommes », et né à un 12 août 1938. Le 12, un chiffre magique de plus haute importance pour les astrologues, les ésotéristes, les occultistes et mages nazis et sectes assimilées du catholicisme intégriste. Le chiffre 12 préside aux actions mystiques du changement de l’univers, du tournant du cours de l’Histoire, selon ces dangereux paranoïaques hallucinés, avec leurs délires structurés, de l’occultisme systématisé en morbides crédos ou doctrines politiques contagieux.

Mais d’abord, selon la nouvelle logique acquis de l’élargissement de mes études, les Nazis et sectes du catholicisme intégristes comptaient par la capture me rendre docile, soumettre mon intelligence et savoir-faire à leurs visions d’hallucinés par des traitements psychiatriques appropriés. En même temps, ils ont récupéré mon image de marque par des personnes interposées. Un gourou alors méconnu des associations de défense des victimes, trompé, je l’ai mis même en vedette sur une page de mes blogs et avec derrière lui tout le Front national des Nazis avec son instigatrice, l’avocate Marine Le Pen.

Leurs pirates en informatique ont trouvé une autre astuce pour me récupérer à leur cause durant les élections au États-Unis. Ils se sont tout bonnement servis des publicités des participations artistiques de la cantatrice Elina Garanča sur les scènes d’opéras et concerts, notamment celles à la prestigieuse opéra Métropolitain de New-York. En surfant après minuit sur les sites musicales Elina Garanča du YouTube, je suis tombé sur un assemblage des différentes prestigieuses participations du Bel Canto. Au centre des carrés avec les ravissants portraits Elina Garanča, un carré avec le portrait de l’avocate Mme Marine Le Pen, présidente du Front national en campagne électorale, arrangée, maquillée en ravissante vedette d’opéra, blonde oxygénée présentant quelques flatteuses ressemblances avec Elina Garanča. Toutes ces présentations Elina Garanča sur YouTube sont commentées par moi avec ma photo portant les inscriptions et insignes de la Légion étrangère et du 2e Régiment étranger de Parachutistes. Je n’ai pas eu le réflexe de capter l’image de l’écran, mais il va de soi que cette récupération frauduleuse cachée à mes yeux sur mon ordinateur, récupération aux fins de propagande politique de notre image de marque rayonnante dans le monde entier, se poursuit à notre insu sur internet et autres publications.

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Le malheur de la France, le ridicule au suprême degré des conduites des élites sous l’Occupation nazie 1940.44, de l’Occident tout entier, provient de la méconnaissance des intellectuels même, des vérités inavouables leur Histoire falsifiée sur ordres d’un roi de France (Louis XIV ?), ordonnant la destruction des tous les documents dans les bibliothèques relatant des faits odieux, incompatibles avec le sens d’honneur de la Chevalerie franque. Les horreurs des toutes les guerres motivées par la loi salique des Allemands francs, et qui ont ravagés l’Occident et l’Orient, répétons-le (blog p. 4), débutent avec l’appel de outre-Rhin de l’Allemagne par une secte hérétique du christianisme les barbares Francs, par sacré leur traitreux roi en « homme-dieux » de LA MORTIFICATION de la civilisation gréco-romaine et judéo-chrétienne. C’est là, réside la cause sine qua non de la conduite honteuse, du ridicule au plus haute degré aux yeux d’un initié, des élites de la France depuis le Ve siècle jusqu’à nos jours. Mais on n’a pas fini avec la politique grandguignolesque par des élites bien-pensants, par la corruption et trafic d’influence éduquées au-delà de leurs facultés intellectuelles, car jamais l’Église ne permettra l’enseignement au public ses ignominies contraire à sa morale affichée. Et pour l’empêcher, elle dispose une masse d’électeurs aveuglement soumisses à ses faux dogmes le rappelle le Pape en 2016 aux candidats en campagne électorale.

Hitler avec ses nazis païens, pour le Pape PIE XII, ses cardinaux, ses évêques, son clergé, ses moines a été son nouveau Clovis I providentielle par lequel ils comptaient de reconquérir le pouvoir temporel et spirituel absolue dans le monde éradiqué des Juifs diabolisés. Il n’a pas été rare de constater ces ecclésiastiques de haut rang carrément en membres assermentés du parti national-socialiste, porter la tête de mort sur l’uniforme des SS. Il y a eu même des doctrinaires nazis comme le Cardinal Aloïse Hudal, réconciliant le catholicisme avec le national-socialisme par son traité « Die Grundlagen des Nationalsocialismus.  Ideengeschichte untersuchung ». (Les bases du national-socialisme. Un examen de l’histoire des idées. Réconciliation du catholicisme avec le nazisme). Le Cardinal nazi a dédicacé le livre à Hitler, le nommant « Siegfried », le prince immortel des Nibelungen (base historique du nazisme), mis à musique par les opéras de Wagner, musique sacrée des Nazis, si cher au Cardinal.

Ce monseigneur de Cardinal Aloïse Hudal se voit confier à Rome par le Pape PIE XII (12) la « Commission pontificale d’assistance » aux réfugiés. (Son prédécesseur antinazi PIE XI a été empoisonné). En accueillant amicalement chez lui les pires des espèces nazis, le saint homme intouchable use de son office pour soustraire à la justice les plus dangereux criminel contre l’humanité, l’exfiltration vers l’Amérique munis de vrai-faux passeports. Aujourd’hui, ce clergé des exterminateurs historique forme avec des laïques de haut rang dans politique, armée justice, police, finance, industrie une franc-maçonnerie secrète révélée de l’intérieur du système par un scandale.

Pour les connaisseurs des tabous de l’histoire, les génocides dans la Deuxième Guerre mondiale ont été préméditée par l’aristocratie de l’argent et du sang, avec l’Église, les grands industriels qui en ont tirés des fortunes colossaux en instrumentalisant des sociétés secrètes des paranoïaques hallucinées, avec des délires structurés parfaitement connus, des convictions souvent partagées, et assenés, reformulés à peine déguisées aujourd’hui par les discours incendiaires et slogan primitifs des tribuns pour épater les foules des bienfaits du national-populisme qui ne cessera jamais à faire des ravages.

Dans tout procès pénal en France, « l’enquête sociale », l’historique du chemin du crime est obligatoire. L’escamotage frauduleuse a permis au plus dangereux criminels contre l’humanité de s’en tirer en toute impunité avec des considérables fortunes amassées, en premier lieu les banques receleurs des tonnes et des tonnes de lingots d’or spoliés. Les Nazis se sont forgé une justification historique, philosophiques et religieuse, « les lumières de la Vérité », pour procéder à la purification raciale, de se débarrasser des sous-hommes produits de l’accouplement des surhommes avec des animaux. Leur religion renouant avec la mythologie germanique du culte de Wotan ou Odin, dieu de la guerre totale, menée selon la doctrine de Nazis, fabriquée par le travestissement de la philosophie de Nietzsche sur la morale bestiale du surhomme, la stratégie de la « Guerre totale » du théoricien militaire, le général Ervin Ludendorff adorateur du dieu de guerre Wotan ou Odin, du philosophe Joseph Goebbels, ministre de Propagande et d’éducation du Peuple avec sa thèse de doctorat BLUT UND EHRE (Sang et Honneur). Ludendorff, ce plus grand criminel de la Première Guerre mondiale est laissé en liberté par les Alliés vainqueurs en 1918, devient l’initiateur militaire et l’employeur du Caporal Adolf Hitler. Invalidé au front, il est formé en tribun durant la guerre ; en commissaire de politique chargé de haranguer les soldats démoralisés. Ensuite il est engagé par le général Ervin Ludendorff, de ce plus grand criminel de guerre laissé en liberté par les Alliées, comme agent de subversion dans les brasseries du slogan « le couteau dans le dos de l’armé par le parlement », au seuil de la Victoire d’Allemagne.

(L’Armée allemande, le général Ervin Ludendorff par l’emploi massive d’arme chimique de la pulvérisation des gaz vésicants, formule espionnée en France, perfectionnée et fabriquée secrètement pour les Armée allemande par un célèbre laboratoire chimique suisse, avait théoriquement battu les alliés franco-britanniques. Une mutinerie des soldats allemands refusant d’avancer a empêché la victoire. Mais c’est là encore une autre histoire de la trahison de l’armée française par des officiers de haut rang qui ne s’appelaient pas Dreyfus. Il existe un film d’une éloquence passionnante en noir et blanc sur cette importante affaire d’espionnage durant la Premier Guerre mondiale. L’État-major français a refusé l’emploi de ce gaz de combat ayant sans doute pu sauver de dizaines de milliers de combattants français, considérant l’usage sur l’armée allemande « crime de guerre ». Dans son manifeste MEIN KAMPF, Hitler accuse les Anglais « criminels de guerre », pour avoir ripostés avec les même gaz « inconnus par les soldats allemands désarmés »).

Dès 1922, tout cet appareil de propagande pour l’organisation de la Deuxième Guerre mondiale est secrètement financé par les spéculateurs du grand capitale national et international avec des malles remplis de dollars des État Unis, dénonce depuis des décennies de l’historien allemand ER Carmin dans son œuvre monumental DAS SCHARZE REICH, (L’Empire noir), produit par moi à l’ONU. Joseph Kennedy, une des célébrités des spéculateurs enrichis de Wall Street. En France, les personnalités politiques sont massivement achetées, corrompus pour la trahison. Parmi ces caricatures politiques, dont les successeurs défrayent la en ce moment la chronique judicaire de la corruption, on trouve depuis 1935 avec des lingots d’or planqués au Lichtenstein, l’ancien maire socialiste d’Aubervilliers (93), devenu le chef du gouvernement de Vichy du Maréchal Philippe Pétain sous l’Occupation 1940/45, avec un des célèbres collaborateurs de la première heure de la haute-trahison : un lieutenant dénommé Jacques Chaban Delmas, Premier ministre du général Charles De Gaule.

 Pour comprendre l’organisation secrète d’une telle catastrophe humanitaire comme la Deuxième Guerre mondiale, les instigateurs, coauteurs et les complices, il faut au juriste pénaliste avisé et  impartial se débarrasser du fatras incohérente des fabulistes, du non-sens du ésotérisme, du spirituel,  du mysticisme, enlever tous les œillères de la métaphysique débilitant, examiner les causes et les faits par un raisonnement objectivement rationnel et matérialiste, les placer dans le contexte historique et social véridique, et surtout les débarrasser du gangue des falsifications tendancieuses millénaires dans tous les domaines. Les doctrinaires nazis des travestissements de l’histoire n’ont que profités de la falsification de l’histoire de l’Église, divinisant, sublimant les sottes croisées incultes en chastes héros du faux univers des sauveurs de l’Occident : en vérité rien que des barbares analphabètes destructeurs de la civilisation gréco-romaine et de la religion judéo-chrétienne.  La base historique de la pureté raciale des Nazis, LA GERMANIE » de Tacite, historien latin (v55-120), ‑qui ne connaissait rien des peuples d’outre-Rhin‑, est une pure fable, travesties par les universitaires Nazis. En plus, les Allemands d’aujourd’hui n’en sont pas les descendants, selon les ethnologues.

 Mais ces falsifications de l’histoire continuent par des embellissements trompeurs et omissions calculées des grands historiens que je viens d’étudier sur internet. Les traitreuses compromissions de l’ex-roi d’Angleterre Éduard VIII et de sa cour d’aristocrates avec leurs relations traitreuses avec le vrai Rudolf Hess, le catholique fanatique Joseph Kennedy avec ses accointances politiques, industriels et militaires aux États-Unis, de l’État-major français… les compromissions de Dallai Lama sont soigneusement occultés. Est ménagé le Vatican, le Saint Office sans la complicité duquel la minorité nazie n’aurait jamais pu subjuguer les chrétiens d’Allemagne. Et tous ces falsifications sont cautionnées par la justice nationale et internationale. Cela s’explique par le souci de la limitation devant l’histoire et la Justice du cercle des responsables des crimes contre l’humanité aux paranoïaques qu’ils ont instrumentalisés à leur cause pour en tirer des colossaux bénéfices.

Adolf Hitler est un typique phénomène humain déjà connu dans l’antiquité par les grecques : un « paranoïaque », c’est-à-dire un individu « qui pense de travers », selon les termes contemporains de la psychiatrie, un sujet dangereux, halluciné des délires structurés d’une personnalité charismatique intransigeant disposant d’un grand pouvoir d’attraction psychique sur une certaine catégorie de personnes crédules, désorientés par la misère, ou désaxées ; à l’aide des lieutenants paranoïaques froides cultivés ou mytho-mégalomanes, constructeurs et propagateurs des délires qui ont conduit à des religions d’État. Un monde des désaxés complexes, selon la définition de la psychiatrie, formant autour du gourou paranoïaque la cour des adeptes, opportunistes et spéculateurs ; un monde onirique qui peut dégénérer du délire du comptoir, du quartier, de la ville en délire des foules, des nations. Avec les techniques de la psycho-sociologie, les spécialistes des services secrets sont en mesure de les produire sur commande et s’en servent scientifiquement à la manipulation de l’opinion jusqu’à la déstabilisation des chefs d’État, des gouvernements, leur remplacement par des corrompus ou fous sélectionnés par des docteurs, profileurs mentaux, c’est-à-dire par des psychologues et psychiatres spécialisés.

À en croire la doctrine de la psychiatrie clinique et légale, ces détraqués spirituels, ces petits et grands mystiques sont fort nombreux. Ils ont tous en commun des obsessions sexuelles perverties, par toutes ses manifestations morbides, du sadomasochisme du pédosatyrisme, (terminologie exacte), coprophagie des satanistes… dont le mage noir Hitler, comme tous ses congénères exaltés chrétiens, musulmans, juifs… sont affligés. Leur crédo seul différé en matière de foi, mais non en psychologie.  Sous l’angle de la psychosociologie, leurs démarches délirantes basées sur le mysticisme, ésotérisme et occultisme sont du pareil au même. « Les idées folles se prennent comme des maladies, et celui qui en prend une, en prend généralement toutes », écrivit Nietzche déjà à leur sujet. Hitler en lui seul en collectionnait toutes. Les symptômes typiques du déliriums tremens dus à l’usage des drogues hallucinogènes chez Hitler, les doctes gourous nazis les présentaient pour l’histoire en « combat des dieux », ses crises de l’apparition hallucinatoires des spectres effrayants qui le paniquaient pour pousser des hurlements de fous et nécessitant son entrave.

Dans la civilisation antique, un paranoïaque attirant une cour d’adeptes avec ses délires structurées a été mise à mort dans un cérémonial dissuasif, comme chez les chrétiens. Mais à l’époque contemporaine, ces fous à lier disposant des grands pouvoirs charismatiques sont très recherchés par la grande finance nationale et internationale. C’est avec eux sont organisé des guerres qui leur procurent des bénéfices astronomiques par le double jeu comme durant la Deuxième Guerre mondiale. En ce qui concerne Adolf Hitler, l’histoire nous l’enseigne : c’est l’homme providentielle de l’Église, hantée par les progrès du matérialisme scientifique attaché à l’à l’époque au communisme et au socialisme (judéo-bolchevisme).

Depuis des millénaires survivent et se transmettent de génération à génération les fantasmes structurés de l’irrationalité hallucinatoire des mystiques, occultistes, spiritualistes. On a retrouvé la source des superstitions, de Genèse et autres fables, dans l’écriture cunéiforme vieux de six mille ans des peuples asiatiques Sumériens, Accadiens et d’autres peuples de l’actuel Iran. Ce berceau sémite en source des civilisations occidentales est contesté par les Nazis. Pour se présenter en légitimes surhommes dominateurs devant l’histoire, fondateurs préhistoriques de la civilisation humaine, ils falsifient l’histoire méthodiquement, même les textes sacrés de la Bible. Pour prouver leur suprématie historique sur la sous-humanité au sang pollué par la bestialité sexuelle, les universitaires nazis ont déplacé le berceau de la civilisation sur le contient Atlantis engloutie au nord de l’Atlantique, selon la légende antique de Platon: un pur produit d’imagination des fables et dont l’existence jusqu’à l’heure présent est scientifiquement réfutée, comme d’ailleurs tous les théories pseudo-scientifiques de « savants » nazis, visionnaires « paranormaux » : les preuves incarnées de la Vérité des Lumières du mysticisme nazi.

 Les principaux théoriciens de l’arianisme ont séjourné dans des hôpitaux psychiatriques pour soigner leurs schizophrénies, paranoïas et toxicomanies, sont des drogués alcooliques chroniques. Une propagande intensive a mis dans la tête primitive des incultes nazis, adonnées dans les années 1933 à la consommation excessive des alcools forts et des amphétamines, que les espèces à exterminer n’était pas des véritables humains respectables comme eux, mais que des malfaisants parasites hybridés par la bestialité sexuelle entre humains lubriques et animaux. Voilà, pour qu’elles soient compris par tout le monde, comment il faut expliquer crument les vérités toujours d’actualité du monde hallucinatoire politique protégés naguère par la Société de Nations, aujourd’hui par l’ONU.

Des mythes et superstitions millénaires, seule la formulation littéraire abscons varie et conduisent à des luttes assassines entre ces gourous intransigeants. Et comme les croyances à ces superstitions s’assimilent sans effort, même passivement par manipulation psychologique inconsciente, elles supplantent des sciences dont l’assimilation exige des efforts continue d’apprentissage par la mobilisation intellectuel d’un pourvoir de réflexion et de concentration. Des superstitions, les pauvres d’esprit prétentieux en raffolent, car elles les mettent au pied d’égalité aux gens scientifiquement cultivés. En politique comme en religion, par le populisme des petites idées préfabriquées pour les demeurés prétentieux ne sachent penser par eux-mêmes, et, transmises par matraquage médiatique, on écrase l’esprit critique des élites, on finit par des imbéciles de brûler les livres savants, des bibliothèques entiers. Par des demeurés exaltés, les élites lucides même sont éliminés, engendrent des catastrophes humanitaires comme au Ve siècle où l’Église a détruit par les cannibales allemands, tout ce qui avait de noble sur terre (Nietzsche), l’Occident crétinisé durant dix siècles, et rêvent de nous remettre ça avec les techniques modernes de manipulation de masses financés par des incommensurables fonds secrets.

Pour saisir rationnellement cette situation socio-culturelle occultée de fabulation de la naissance de la civilisation préhistorique des surhommes nordiques de race arienne, paranormaux, fondateurs de la civilisation humaine, il faut savoir que tous les théoriciens universitaires, astrologues occultistes, mages de la compagnie de Hitler sont de culture imprégnée de la culture chrétienne, leurs esprits perturbés par elle depuis leur petite enfance.

 Leurs mondes hallucinatoires de pure imagination proviennent de l’hérésie imposée, après la mortification de la culture gréco-romaine au Ve siècle du roi germanique Clovis I, à l’aide de la magie noire du sacré à la cathédrale Reims en France. Le surhomme, l’homme-dieu germanique aux facultés supra-sensorielles et des sous-hommes serves et le Juif maudit assassin de Dieu, ces victimes, sont des authentiques produits spirituels du clergé hérésiarque de l’Église. La création du Saint Empire germanique fondé au Ve siècle par les barbares francs par la magie noir du sacré de leurs rois, puis empereurs par l’Église, à la nouvelle race élue par Dieu, la domination de la terre entière est promise aux les Francs germaniques et largement réalisée. L’Empire germanique millénaire, selon les historiens nazis, c’est le Deuxième Reich millénaire qu’ils comptent de régénérer par la fondation du Troisième Reich millénaire nazi. L’idée toujours actuelle n’est point reléguée dans la passée.

Selon le Vatican, les hommes de couleur sont des produits de l’accouplement de Caïn avec des chimpanzés et des gorilles. Les premiers descendants à la Genèse d’Adam et Ève, après l’assassinat de son frère Abel, Caïn condamné d’errer dans le monde, aurait donné naissance à une race humaine chargé du péchée originel. Comme les descendants d’Adam et Ève, ne disposaient aucun moyen de traverser l’atlantique. Par la lumineuse logique du Vatican, ces populations sont qualifiées des singes sans queue, dépourvu de tout caractère humain. Bref, pour les Nazis, l’humanité non-nordique aux cheveux blonds aux yeux bleus, sont des êtres hybrides de l’accouplement lubrique de ces aryens avec des animaux maléfiques. Par l’accouplement avec des nobles races nordiques, ces races des sous-hommes métissés constituent par leur seule existence, même pacifique, un danger éminent pour les hommes supérieurs, qualifiés hommes-dieux. Pour prouver scientifiquement leurs allégations dans le camp de concentration Bergen-Belsen, les docteurs ont fécondé des jeunes filles avec des spermes des animaux, ou leur ont implanté leurs fétus fécondés.

Notons, ces théories pseudo-scientifiques sont toujours en vogues sur internet. Après le sacré à Reims de Clovis I, l’Occident a perdu la mémoire de son histoire. der Westen hat sich die Erinnerung an die Geschichte verloren. Aucun texte cohérent, lisible a été rédigé en écriture runique des germains du nord, tant soit-il qu’il s’agissait d’une écriture et pas simplement des figures décoratives des imposteurs. Pour une personne lucide, moyennement cultivé, comme le constatait le philosophe Fréderic Nietzsche, l’histoire est un éternelle recommencement. Les falsifications de l’histoire visent justement le recommencement sans fin avec des peuples laissés dans l’ignorance des ignominies de leur passée pour le reproduire avec des méthodes raffinées, des moyens perfectionnés de ces mondes hallucinatoires des idées démentielles du mysticisme et du spiritualisme. Les grands de ce monde ne veulent toujours rien savoir du danger de ce système irrationnel pour l’humanité, car ils en tirent les plus grands profits ce qui leur permets de m’écraser devant la justice en versant à une escouade d’avocats un million dollars/heures.

Peter DIETRICH

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Blog p. 4. Après la démystification du sacrée du roi franque Clovis I à Reims, idole à la fois de Hitler et de l’Église, après la révélation de la haute trahison de l’armée franco-britanniques par l’ex-roi d’Angleterre Éduard VIII, Duc de Windsor et forcément l’État-major français acquis au catholicisme intégriste, du catholique fanatique Joseph Kennedy enrichi par la collaboration avec les nazis, il faut réexaminer la totalité des évènements de signification politique de la Deuxième Guerre mondiale.

Déclaré non-grata en Angleterre, renvoyé aux États Unis, Joseph Kennedy se targuait de fabriquer avec son fils ainé John Kennedy le premier présentent catholique des États-Unis. Pour lui forger l’image de marque d’un héros de guerre exceptionnel, usant son influence du grand financier corrompu, il a arrangé qu’on confie à son fils une mission militaire spectaculaire d’un rayonnement historique.

Hitler, pour détruire Londres s’est fait construire un supercanon à longue portée, le V3, (Vergeltungswaffe 3), installés sous plusieurs mètres de béton et dans les galléries des roches proches de la côte à Mimoyesques en France. La forteresse a été indestructible par des bombes classiques, des explosions en surface, mais les Britanniques ont mis au point une superbombe pénétrante, explosant sous terre.

Les État Unis, eux, ont construit le premier Drone radiocommandé et téléguidé à l’aide des premiers appareils de télévision, comptaient par l’action sur cette forteresse produire l’évènement du siècle… pour le pilote John Kennedy de l’US Navy, prédestiné et formé par son père à la présidence des État Unis. Un bombardier transformé en bombe volante est chargé de quatre cents kilos d’explosif. Pour armer les explosifs, sur l’avion un panneau de commande est construit par des experts de renommé international en électronique. Les pilotes, après le décollage et mise sur la trajectoire, devraient sauter en parachute et l’avion d’accompagnement prenait en charge le pilotage par radiocommande sur l’objectif et l’armement de l’explosif.

Mais un ingénieur subalterne découvrait avant le décollage « un défaut » dans le schéma électronique d’amorçage de l’explosif. Le piégeage, dans l’optique actuelle de l’histoire. Le 12 août 1944 (*), une émission de radio « parasitaire grillait une bobine pour faire exploser l’avion à cause du « défaut », du sabotage de la goupille de sécurité. Mais comme l’opération devrait s’effectuer le 12 pour produire les effets mystiques, John Kennedy parfaitement informé des risques, ne pouvait pas faire ajourner sa mission. D’après les estimations des experts, ce signal radio « parasitaire » a été émis juste après le décollage de John Kennedy, l’avion explosait dans le ciel d’Angleterre.

 Ainsi, sous l’angle de la rectification de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale, John Kennedy a été, par « une mission homicide » des services secrets, le premier fils assassiné du traitre Joseph Kennedy. John F. Kennedy, son frère cadet, premier président catholique des État Unis en était que le deuxième.

(*) Dans l’astrologie et occultisme des sectes nazies, notamment de la société Thulé, et autre secte du catholicisme intégriste, le 12 est un chiffre magique, opérant un changement du cours de l’histoire. Par ma naissance le 12 août 1938 les nazis comptent à tout prix de me récupérer, exultent depuis 1981 « avec Dietrich, nous nous arrachons la présidence de la République », cherchent tous les moyens détournés de récupérer mon image de marque.

Peter Dietrich le 7 novembre 2016.

02/11/2016. LE PARISIEN. (Propos Recueillis Par Charles De Saint Sauveur). POLITIQUE – COURAGE POLITIQUE: SELON LAGARDE, «IL FAUT ÊTRE PRÊT À PRENDRE DES RISQUES ».

Gourgandine de haute volée ! Du courage dans le bordel politique est important ! tu parles maître, ancien ministre des Finances à la botte de Nicolas Sarkozy, tâcheronne de tous ses supercheries politiques sous la protection des avocats payés à un million dollars heures, même par l’F.M.I. pour empêcher les poursuites judiciaires des escroqueries astronomiques des « emprunts toxiques » dit subprime. De verser aux escrocs de haute volée des subventions au lieu de les faire poursuive à l’aide de mes savantes constructions juridiques publiés et exposées à l’ONU.

 Tu as une drôle de conception du courage politique avec ta facilitation des détournements des fonds publics et privés par des escroqueries bancaires, doublées des escroqueries judiciaires, au profit de l’affairiste interlope Bernard Tapie. Des fonds détournés en France et par lesquels il a renfloué à New York une société informatique de la Mafia mise en faillite de la justice locale, chargé de saboter mes blogs sur lesquels sont savamment expliqué les combinaisons criminelles des emprunts toxiques, dites subprime, et dans lequel est aussi compromise en grand les filiales de Bouygues aux État unis, Bouygues, les financiers de la carrière politique de l’avocat Nicolas Sarkozy, avec ses clients de la Mafia.

Si la France était un état de droite démocratique, ta bande frappée de la dégradation civique, serait à l’ombre avec la réclusion criminelle à perpétuité !

http://dietrich13.wordpress.com, article cyberattaque Google, sabotage du système. <<<Blogs incontestés en Justice.

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Récapitulation sommaire à l’ONU du complot Nazi contre la France.

Messieurs et Mesdames Membres du Comité des Droits de l’Homme

Centre des Droits de l’homme de l’ONU

Palais des Nations CH – 1211 Genève 10

1er AOÛT  2014

Votre référence : G/SO 215/51 FRAN GEN  (29) 530 /1993.

Suite au rappel de ma saisine de l’ONU par l’entremise de M. Éric Laborde-Hondet avec la communication des copies des dossiers des plaintes commentées et les documents probatoires les plus essentiels en embargo depuis des décennies.

 Récapitulation sommaire de moi, M. Peter Dietrich, juriste DEA, criminologie, sciences pénales, de quelques échantillons marquants des turpitudes de la criminalité politico-judiciaire et tripotages des procédures des mascarades judiciaires dans le cadre du complot international déroulés depuis la saisine par lui des faits d’ONU dans les années 1983/84.

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Notons en introduction, pour me dénigrer, vilipender en « procédurier héréditairement taré », ridiculiser ainsi mes constructions juridiques pertinentes, la justice réduite a quia s’est référée à Bordeaux, dans le cadre des poursuites truquée de l’ancien ministre Maurice Papon, aux procédures intentées en Suisse par mon défunt père Paul Dietrich contre des officiers déserteurs de l’armée suisse. Engagés dans la Waffen SS comme instructeurs dans le camp d’instruction à Sennheim, en Alsace, France, ‑ dont au moins un avocat ‑, ces officiers de la brigade Waffen SS suisse ont ensuite participés en toute impunité aux massacres sur le front ex-Union-soviétique : massacres de beaucoup plus étendus que celles du petit village Oradour-sur-Glane en France.

Après avoir été témoin en soldat suisse sur la frontière d’un massacre bestial des femmes et enfants ayant cherché à franchir la frontière pour passer en Suisse, en permission, mon père révolté m’a fait promener sur un bateau de tourisme le long de la frontière vers les années 1943. Je comptais alors que dans les cinq ans. Lorsque d’autres passagers, des fanatiques nazis suisse, ont entendu son discours accusateur, furieux, ces fanatisés tentèrent de nous jeter tous les deux par-dessus bord, dans les flots glaciaux du Rhin.

 Si avec un peu de chance, les actes de procédures de mon père se trouvent encore aux greffes des juridictions de Zürich et Winterthur, ma qualité d’intervenant contestataire en partie civile dans les procédures truquées relatives aux poursuites des crimes contre l’humanité est encore fortifiée. Cela autant plus que, par ma mère Johanna Hautzinger, originaire de Oberhaag en Autriche, je suis demi autrichien.

 Cette branche de ma famille a été durement éprouvée, saignée par l’annexion forcée de l’Autriche, au Troisième Reich nazie, suivie de la déportation et l’extermination de ses élites de l’opposition « de la patrie de l’artiste peintre Hitler, peuplée des aryens demeurés, au sang souillé du métissage avec des sous-hommes hongrois, polonais, thèque, slave, – la souillure du sang impérial des archiducs de la dynastie Habsbourg même ­‑ ».

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{1} « La France, le peuple que nous avons le plus à craindre, qui est tombé de plus en plus au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l’appui qu’il prête aux Juifs pour atteindre leur but de domination universelle, l’existence de la race blanche en Europe ». Hitler, Mein Kampf.

 Arrêtez vos momeries des ingénus surpris ! Cette annexion criminelle a été annoncée sans équivoques en 1924 au Monde cultivé par Hitler dans son best-seller de Mein Kampf (Mon Combat), traduit dans les principales langues étrangères, (excepté le français) {1}, diffusé à des millions d’exemplaires. Comme nous verrons ci-dessous exposé, la folle apologie aux crimes contre l’humanité, leur annonciation, n’a présentée pas les moindres mystères pour les doctes politologues et les fins gardiens de la paix à Genève de la Société des Nations. Sous son ombre vivifiant, des spéculateurs irresponsables de la grande finance font circuler en douce des coffres marins bourrés de devises de toutes sortes (E.R. Carmin cité), alimentent les coups bas politiques des fous à lier, les caisses noires pour la propagande délirante nazie, entretient leurs « missionnaires » forcenés aux  longues couteaux. Sous l’ombre des doctes membres de l’S.D.N., épanouit l’« ORDRE NOUVEAU des surhommes extraterrestres » de ces grands délirants « paranoïaques » maléfiques : « les envoyés providentiels de Dieu » (Sic). Impossible qu’une telle monstrueuse organisation des fanatiques des crimes contre l’humanité, du contre-sens nietzschéen, ait pu échapper à la vigilance des fins limiers de la « Sacré congrégation du Saint Office », (ex-direction de l’Inquisition), du Vatican, l’organisation de renseignent et d’espionnage en matière spirituelle et politique la plus performante au Monde.

 Ont fait les preuves des pérennes procédés tordus de la corruption et du trafic d’influence, caricaturées, stigmatisées par la philosophie politique de premier plan de Frederich Nietzsche. A précédée l’ONU, L’S.D.N., créée en 1920 par le Traité de Versailles, (dont anéantissement annoncé prioritaire par Hitler). De nos jours, sous l’ombre ragaillardissant de l’ONU, les « surhommes extraterrestres », la race sanctifiée, avec « indulgence plénière » par Dieu par le sacré de Clovis I (460 ?) à Reims en France, (« des hommes dieux » pour Dalaï-Lama), comptent de rejouer aux vils peuples de la Terre en superproduction les opéras de Richard Wagner, son Leitmotif au réel: la mainmise « des bêtes à proies blondes » sur la méprisable « sous-humanité » par l’apocalypse de la « guerre totale » ; avec l’ « indulgence plénière », pousser les limites de l’ignoble jusqu’aux derniers extrémités. (Dossier Néonazisme de Patrice Chairoff, illustré plus bas).

{Nietzsche Friedrich. „Wagner répète la même chose tant de fois que l’on n’en peut plus, que l’on finit par y croire. Ps 21-22. La scène Wagnérienne n’a besoin qu’une chose : des Teutons… ! Définition du Teuton : de l’obéissance et des bonnes jambes. P.44.  C’est le plus sombre obscurantisme qu’il cache dans les voiles lumineux de l’Idéal, Il flatte tous les instincts nihilistes( bouddhistes) et les travestis en musique, il flatte toute forme de christianisme, toute forme religieuse qui exprime la décadence […] la grande imposture de la transcendance et de l’au-delà, a trouvé dans l’art de Wagner son plus sublime avocat […] en s’adressant à la sensualité, qui a son tour, épuise et brise l’esprit… ». Postscriptum p. 47. Le Cas Wagner, traduction par Jean-Claude Hémery. Œuvres philosophiques complètes. Éditions Gallimard Paris 1974, tome VIII, volume 1.}

((Les opéras de Wagner, une musique socialement pathologique qui ont rendu fou Hitler à 16 ans par la mise en musique géniale, accumulent les pires sottises de toutes les superstitions les plus abêtissantes de la sorcellerie, de la magie blanche contre la magie noire, des hérésies chrétiennes du Moyen-âge, des fables stupides des Niebelungen associés aux Chevaliers du Graal, à la lance magique qui a achevé Jésus sur  la croix, des sirènes maléfiques combattus par les preux chevaliers germains pour le salut d’une pure princesse, finissant dans l’apocalypse guerrière du dieu Wotan avec l’au-delà avec  les Walkyries. De la mise en  musique d’un envoutant raffinement de Wagner de la mythologie germanique, la secte Thule en a fabriqué son crédo religieux combiné à la dénaturation de la philosophie de Nietzsche caricaturant le « Surhomme » germanique et l’Église dans œuvre « Ainsi parlait Zarathoustra », sans tenir compte des autres œuvres définissant comme vrais surhommes le pharisiens juifs ayant assuré la cohérence du peuple, et les Arabes en « race de maîtres » pour avoir sauvé de la folie chrétienne destructrice la culture gréco-romaine).

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Après mon évasion de la forteresse psychiatrique de Cadillac, près de Bordeaux, en clandestinité, j’avais déjà saisi le Comité des droits de l’homme de l’ONU{2} dans les années 1983, concomitant avec la saisine de l’agriculteur spolié M. Felix Juby. La substitution conventionnelle en 1992 de M. Éric Laborde-Hondet, en mon prête-nom de la saisine de l’ONU, n’a été donc qu’une tactique par laquelle j’ai réussi à contourner, déjouer ma mise officieuse sur la liste noire internationale des plaignants et justiciables dangereux pour les malfaiteurs de  la Haute société de la grande finance. Dès mon introduction dans le circuit judiciaire dégénéré en France, « saccagé » selon l’expression des hauts magistrats, j’ai été repéré, fiché et ciblé, (je le suis toujours), par des criminels des trusts secrets des sociétés multinationales corrupteurs, des organisations du grand banditisme du type Mafia, les société secrètes ou aux actions secrètes de leurs dirigeants assassins (blog p. 12).

 Ensuite, en refusant d’annuler mon internement psychiatrique d’office, des incontestés faux médico-légaux manigancés par la prévarication des juges « hors-la-loi », rétablir la situation légale par la régularisation de ma situation, depuis un trentaine d’années des hautes personnalités aux belles manières, des fonctionnaires et magistrats avec des traitements ou rétributions dix fois supérieurs aux miens, payés par le contribuable pour accomplir mon énorme travail effectué à l’œil, me cataloguaient en marchandise de valeur, un esprit cultivé à maintenir dans la servage, détournaient, appliquaient à tort et à travers, par des tripotages, mes congrus constructions juridiques au blanchissement des plus dangereux malfaiteurs adverses ainsi que des magistrats prévaricateurs appointés par eux.

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{2} Simultanément et à répétions, j’ai adressé avec la communication du même dossier le Comité contre la torture de l’ONU. J’attends toujours la réponse. Les copies de la documentation ont été communiquées à l’O.N.U. le 9 juillet 2014.

– Cette concertation du sommet des mesures criminelles contre moi pour écarter ainsi des prétoires ma science percutante durant des décennies met en échec toute velléité de se faire prévaloir d’une prescription quelconque.

– Après les révélations des faits historiques arbitrairement dissimulés par une conspiration du silence, la requalification logique en « crimes et tentative des crimes » contre l’humanité des crimes de guerre ou infractions du droit commun, tournerait la justice à une autre inacceptable caricature.

– En conformité au droit fondamental, cette interruption des délais de prescription se maintiendra pour tous les victimes laissées dans l’ignorance, tant que ma situation légale n’est pas rétablie, tant que je ne sois pas remis en situation de me présenter, effectivement, sans craintes de forfaitures de partialité et en « toute égalité » devant les juridictions équitable, légalement compétentes, à savoir, la Haute Cour de Justice reconstituée examinant en huis clos les faits par les lois pénales rétablies.

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 Pour diagnostiquer l’infestation par la vérole le corps de son malade, au bon docteur, (à plus fort raison aux experts chevronnés de la « Sacré congrégation du Saint Office » du Vatican), il suffit simplement de prélever quelques échantillons signifiants pour l’analyse experte de la pandémie : le fameux « iter criminis », le chemin du crime, dont l’examen est obligatoire en matière de l’information pénale ; l’itinéraire fatal du cheminement de la criminalité de la Haute trahison de la classe dirigeante de la France, cette Gaule livrée en douceur au « magicien noir » Hitler et ses hordes d’assassins frapadingues, comme naguère à Clovis I pour détruire de fond en comble par ses barbares cannibales « tout ce qu’il y avait de noble » (Nietzsche) dans les ruines si touristiques, de « purifier » par la torture les âmes damnés des érudits et savants clairvoyants, exterminer « la population chrétienne mécréante » qui y prospéraient en paix.

 Jamais un juge n’a hasardé sa carrière par les investigations obligatoires de l’« iter criminis », du début du chemin du crime parfaitement connu de l’accession de nazis au pouvoir, si bien que ces malfaiteurs frapadingues se maintient au sommet de la hiérarchie dans les institutions actuelles pour nous préparer la revanche démultipliée, d’une engeance de crétins fantasques se faisant passer en « surhommes nietzschéennes », ces « bouffons nietzschéens » ignorant son véritable qualificatif de leur espèce d’abrutis tant méprisée.

Les catastrophes humanitaires produites successivement avec les mêmes inspirations par les trucages de la justice vont de pair avec « l’histoire officielle et menteuse qu’on enseigne ». (Balzac 1799‑1850). Est un tabou pour les historiens et les juges de l’Occident, faire état de la production du plus désastreux crime contre l’humanité de  l’histoire par la Haute trahison emblématique : le cataclysme guerrier wagnérien produit par le sacré à Reims (460 ?) du roitelet franc Clovis I d’outre-Rhin{3}.

Répétons-le brièvement (ps 4 des blogs), la magie noire du saint sacrement, déliait les chefs militaires gallo-romains de leur serment de vassalité prêtés au remplaçant du feu empereur romain d’Occident, au roi chrétien de Rome Théodoric le Grand, l’Ostrogoth Dietrich von Bern, désorganisait subrepticement la défense de l’Europe contre l’envahissement des petits peuples barbares, des « bêtes de proies », tels que les tribus païens Francs et leurs alliés, les Allemands, produisant la plus importante catastrophe humanitaire de l’histoire du Monde. L’hégémonie de cette secte démoniaque sous la masque du Christ, des « marchands du Temple et d’adorateurs du veau d’or » {4}, a été suscitée et maintenu durant l’histoire par les pires ignominies bestiales absoutes pleinement par les sorcelleries de représentants autoproclamés de Dieu sur Terre, comptent de reconquérir l’hégémonie par un nouveau rhéteur et tribun électrisant à la folie la foule gobe-toute, un nouveau Saint Augustin, un nouveau Hitler, un nouveau moulin phénoménal à discours contrefaits.

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{3} « Une horde quelconque de bêtes de proie blondes, une race de maîtres et de conquérants, qui doté d’une organisation guerrière et ayant force d’organiser, pose sans hésiter ses formidables griffes sur une population… » Nietzsche. « La généalogie de la morale ».

{4} Des pratiques de la simonie maudit par Jésus, sorcelleries  de Simon le Magicien, consistant faire du commerce avec des choses sacrées : porte-bonheurs, bénédictions, indulgences, absolutions moyennant espèces sonnantes et trébuchants, captations d’héritages, bénédictions, à nos jours, du téléphone portable…

Par le sacré de l’idole-clef historique des visées folles du gourou Hitler, {5} – le Leitmotif des opéras de Wagner ‑ et des hallucinations des  intégristes cathos, débuta la dévastation de la Gallo-Romaine pour plus de dix siècles, idole-directeur des ravages et carnages du cours de  l’histoire, maudit en « puissances du mal » caricaturale par Nietzsche dans « Ainsi parla Zarathoustra ». Mais si nos cagots historiens, dotés dès l’enfance d’œillères culturelles, persistent à faire pieuse abstraction de la vérité historique du maléfice hérétique du sacré de Clovis I{6} à Reims par une secte déviante des dégénérés maboules, jamais personne ne comprendra vraiment le sens de la philosophie de Nietzsche, ni le délire toxicomaniaque du magicien noir Hitler, ni du « rabâchage de toutes les absurdités religieuses des sinistres du passée » ,(Combat de Clovis I idéalisé dans les sagas Nibelungen), des fantasmes mythiques de Wagner, un dangereux désaxé, un compositeur d’une musique captieux, réprouvé par cet travesti ou incompris Nietzsche.

 Avec sa musique sacrée des nazis{7}, le compositeur Wagner a instillé le venin spirituel de la folie politique aryenne de la « Crépuscule des dieux » de ses opéras à l’écolier Adolf Hitler à l’âge de douze ans, pour qu’il finisse « descendre du domaine de l’imaginaire l’idéal des Nibelungen », « les sinistres du passé », dans la réalité pratique », selon ses propres aveux dans Mein Kampf{8} ; « pour assurer au peuple allemand le territoire qui lui revient en ce monde. […] Le droit au sol et à la terre peut devenir un devoir, lorsqu’un grand peuple paraît voué à la ruine, à défaut d’extension. L’Allemagne sera une puissance mondiale, ou bien, elle ne sera pas ». C’est l’annonce au monde, de la rupture de tous les traités, en priorité celui de Versailles de l’amnistie de 1918… ; la révélation en 1924 à ce beau monde friqué aux anges, c’est l’annonce sans ambages, à l’aide d’une cacophonie dissonantes des divisions d’orphéons déchaînées, la remise de l’apocalypse par Wotan, le leitmotif des opéras de Wagner dans une guerre mondiale plus impressionnante, l’annonce prometteur des chiffres d’affaires astronomiques. Le financement occulte international du parti nazi est assuré, n’a pas cessé depuis.

 C’est la tendancieuse falsification des auteurs cagots, vaniteux et cupides de l’histoire de la France qui a conduit à la récupération et au travestissement des idées de la philosophie de Nietzsche par ceux analysés par lui en dangereux marginaux irresponsables de la souche inférieure de la société allemande. C’est déjà un mensonge historique de propager parmi le menu peuple crédule des lieux communs débilitants, des primitifs ouï-dits de l’idéologie nazie sur les vertus du surhomme, décortiqués et isolé des nombreuses ouvres philosophiques de Nietzsche. Son authentique surhomme, ce n’est que sa propre image : une sorte de libre-penseur obstiné, surdoué et solitaire, doté d’une capacité d’apprentissage et d’assimilation hors-commun.

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{5} Carmin E.R. « Guru Hitler ». SV International/Schweizer Verlagshaus AG, Zürich. ISBN 3-7263-6446-3. Ouvrage documentaire référencié et commenté aux juridictions françaises en appuie de l’argumentaire des témoignages de moi, le Juriste Peter Dietrich depuis l’affaire Papon à Bordeaux vers 1983…

{6} « Déconcertant est l’existence humaine, et toujours encore privé de sens : un simple pantin peut en devenir la destinée ». Ainsi parla Zarathoustra.

{7} Wagner, ancien ami de Nietzsche, est accusé par ce dernier d’avoir pillé « sa nature » avec « toute cette misérable petite réalité allemande » : « …la volonté de puissance portée à un point qu’aucun homme n’a jamais connue, l’intrépidité la plus folle dans les choses de l’esprit, une aptitude illimitée à apprendre, sans que la volonté soit pour autant étouffée ». Nietzsche. « La naissance de la tragédie ».

{8} Même à notre époque de l’informatique, il me paraît absolument impossible dans l’ambiance carcérale agitée des agités d’après l’échec du putsch de la Brasserie à Munich le 9 novembre 1923 de réaliser le Mein Kampf par « le moulin à discours contrefaits » Hitler. Où avait-t-il en pu trouver le temps, alors il se fit châtier son allemand approximatif, portait tous efforts sur l’exercice de l’art oratoire estimé comme essentiel pour l’exitattion de la foule des demeurés. À un tel dément agité, se reconnaissait au surplus « inapte aux études classiques du Lycée », raisonnablement, il paraît impossible réaliser en prison de Landsberg en 8 mois une littérature d’une telle complexité, d’un tel volume, calomniant par des cuistreries prétentieuses avec des travestissements érudites et des demi-vérités tendancieuses, tout histoire politique et les peuples de l’antiquité jusqu’à son époque, avec plein des sous-entendus. Cet ouvrage pontifiant avec maitrise les sciences économiques, géographiques, historiques, philosophiques, politiques, religieuses… selon mon impression, porte le caractère d’une œuvre collective des mentors visionnaires, spécialisés des formations universitaires supérieures, et dont le tribun phénoménal Hitler n’a été que le prête-nom. Officiellement la rédaction est attribuée à Rudolf Hess d’une formation universitaire anglais, allemande et suisse. L’inventeur du principe premier, de l’« Espace vital » par la conquête aryenne, attribué à Hitler, fut le professeur en géographie Karl Haushofer. Son savant disciple Hess, gourou en second de la secte Thoulé, premier secrétaire, fonctionnait même en une sorte de directeur de conscience d’Hitler. Du toujours actuel verbiage antisémite pseudo-scientifique d’Hitler et des nazis en général, furent les haineuses vomissures journalistiques de l’instituteur parano Julius Streicher…

L’idéologie nazie, inconciliable avec les considérations de Nietzsche, s’est isolée de sa philosophie {9} pour former un amalgame fantasque avec des fables de la mythologie scandinave mise en musique par Wagner et de la littérature ésotérique internationale de la plus folle des sectes d’illuminés toxicomanes pervers{10}. Des textes récupérés dans les monastères de Dalaï-Lama du massif himalayen {11} sur le surhomme d’origine extraterrestre, sa toujours vénérée croix gammée en Asie, son sacré svastika, actuellement encore, des germains blonds s’y initient à la matérialisation du prophétique cataclysme wagnérien terminal : la conflagration guerrière de la Troisième Guerre mondiale de la régénération purificatrice de la race « des hommes-dieux » aryens.

 L’analyste spécialisé de cet aspect parapsychologique des crimes contre l’humanité, Franz Bardon{12} confirmait qu’Hitler et l’Ordre Thulé ne furent qu’un instrument entre les mains d’un groupe de magiciens noirs tibétains{13}. E.R. Carmin cité, montre du doigt Dalaï-Lama, fournisseurs à Hitler et à ses condisciples auréolés, dont le roi déchu Éduard VIII d’Angleterre, des drogues hallucinogènes pour qu’ils puissent atteindre des « niveaux de conscience supérieure ». Par leur magie noire ses saintes moines des monastères au Tibet faisant sauter dans les caboches de ces oisifs encensés tous les fusibles des neurones par la défonce du libre arbitre. La conversation, l’entretien et le développement de tels malins sortilèges apocalyptiques méritent bien un Prix Nobel de la Paix scandinave, des substantielles subventions internationales…, pas vrai…

L’idéologie nazie toujours en vogue, isole ses préceptes délirants du « pamphlet blasphématoire » {14}, écrite en versets et en verses par le professeur en philologie multilingue Nietzsche, de l’affrontement des puissances délirantes du Bien et du vainqueur Mal{15}, affrontement créateur d’un monstre de surhomme{16}. Les idéologues nazis ont juste décortiqué quelques petites idées dans le récit de Nietzsche des conférences fictives dans le sanctuaire{17} du prophète cinglé Zarathoustra, grand délirant polémiquant avec ses hôtes délirants : animaux mythiques, pape, devin, mendiant, roi de droit, roi de gauche, surhommes… Une littérature érudite qui a pris son intérêt criminologique dans la science politique et criminelle en « iter criminis » par la  préfabrication propagandiste aux « esprits les plus bas et plus bornés » {18} des préjugés, des idées préconçus et idées reçues génératrices des délires des psychopathes « paranoïaques » : la remise « d’une autre affaire » si redoutée par Nietzsche dans « La généalogie de la morale » citée ;  sous la masque du Bien (Saint Augustin cité), la justification du génocide « satanique » des races « inférieures », des hommes situés par le délire de Zarathoustra « entre les bêtes et le surhomme » ; une idéologie hallucinatoire des fous à lier qui a cheminée avec les nazis et les cathos intégristes par l’Argentine, Chili jusqu’au Rwanda. Sous la surveillance des fins limiers de la « Sacré congrégation du Saint Office » du Vatican, – l’œil qui voit tout, l’oreille qui entende tout ‑, des menées sourdes de leurs adeptes, amateurs des carnages et tortures démoniaques, croyants pratiquants, baptisés du catholicisme, là, de nouveau, est « descendu  dans la réalité pratique » politique, le « domaine de l’imaginaire de Wagner, l’idéal des Nibelungen,  les sinistres (sataniques) du passé » engendrés par le sacré de Clovis I.

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{9} « Voyez, je vous enseigne le surhomme ; lequel  est cet éclair, lequel est ce délire ! […] Puissant sont devenu mes ennemis et de ma leçon ont tant défiguré l’image que ceux qui me sont le plus chers ne  peuvent qu’avoir honte des dons que je leur fis ». Ainsi parla Zarathoustra.

10} Goodrick-Clarke Nicholas. « Die okkulten Wurzeln des National Socialismus». Marixverlag 2012. (Les racines occultes du nationalsocialisme. « The Occults Roots of Nazism », traduit en allemand).

11} « Je n’aime pas davantage ces nouveaux spéculateurs en idéalisme, les antisémites, qui se font l’œil chrétien, aryens, braves hommes, et qui cherchent à exciter tout ce qu’il y a des bêtes à cornes dans le peuple, par un abus exaspérant du procédé d’agitation le plus grossier de la prose morale. (si tout le charlatanisme de pensée trouve quelque succès dans l’Allemagne d’aujourd’hui (1887), cela tient à incontestable et déjà manifesté dépérissement de l’esprit allemand, dont je cherche la cause dans une nourriture trop exclusivement fait des journaux, de politique, de bière et de la musique Wagnérienne… […] J’aimerais savoir combien il faudrait aujourd’hui exporter de cargaisons  d’idéalisme contrefait, de costumes des héros et des moulins à discours contrefaits… […] Il est de fait que cette surproduction pourrait donner à un nouveau commerce, on pourrait monter une nouvelle « affaire » avec petits idoles d’idéal et « idéalistes » assortis ‑ qu’on ne néglige pas cette possibilité… » Fridrich Nietzsche. « La généalogie de la morale ».

{12} Bardon Franz, (magicien blanc tchèque 1909-1958, occultisme expert auprès de tribunaux, sollicité par Hitler, interné dans le K.Z. nazi, décédé en prison). « Frabato, le magicien » (traduit de l’allemand). Edition Alexandre Moryason 2001. Épilogue, ps 157 et suivants. D’autres auteurs, mais pas la justice, s’interrogèrent « que diable faisaient donc des Tibétains à des milliers des kilomètres de chez eux dans des uniformes allemands ? » En avril les Russes ont trouvé à Berlin plus de mille hommes suicidés, sans aucun doute des régions himalayennes.

{13} « Innombrables jeunes hommes furent formés par le « Soleil noir » pendant le troisième Reich, ils étaient consacrés dans le château fort de Wewelsburg et envoyés au Tibet pour y continuer à survivre et se préparer à affronter le grand combat final de cet fin de siècle ».

{14} « Dieu est une pensée qui rend tordu tout ce qui est droit et fait tourner tout ce qui debout se tient ».

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Commentaire de l’Image ici dans le texte. Présentation de l’éditeur de Dossier Néonazisme (1977, 468 pages non réductible par une synthèse) :

 « Nous avons tous entendu parler des nazis, cachés de par le monde, s’évadant à grand tapage, gênant diplomates et gouvernements. Nous connaissons tous Hess, prisonnier solitaire de la forteresse Spandau, gardé par les Américains, Anglais, Russes et Français. Dérisoire survivance d’un passé révolue ? Derniers soubresauts d’un nazisme agonisant ? Non LES NAZIS SONT TOUJOURS PARMI NOUS.

– Savez-vous que, dans le monde entier, des hommes et des femmes jeunes se réunissent sous l’emblème de la croix gammée ?

– Savez-vous que partout s’organisent des maniaques de la feuille ronéotypée à la gloire du Führer ?

– Savez-vous que LE DANGER N’EST PAS MORT, QUE LES SLOGANS RESURGISSENT SUR VOS MURS ? »

« – Le ventre est encore fécond. – D’où est sortie la bête immonde ». Berthold Brecht.

Patrice Chairoff est le pseudonyme d’Ivan Dominique Calzi né en 1944 à Marseille. Ancien militant dans sa jeunesse des groupes néo-fascistes, ensuite dans la police parallèle gaulliste de truanderie du Service d’Action Civique (SAC), en malfaiteur spécialisé dans des combines d’escroqueries de haute vole par des sociétés fictives. Dans les années 1960, il a changé le camp, rédigea des articles contre ses anciens camarades marseillais et publie deux livres documentaires « Dossier B comme Barbouzes » et « Dossier néonazisme », en 1985, un roman documentaire « Massacre à Auriol » sur le massacre bestial de l’Inspecteur de Police Jacques Massié et sa famille par un commando du SAC. L’inspecteur Massié a  pénétré des comptes secrets en Suisse du SAC, microfilmé les comptabilités des mouvements secrets des fonds des trafics criminels et de la corruption politique en France. L’essentiel de sa documentation a été supprimée ou volée au cours de l’information judiciaire illégale à Marseille, sous l’égide de la hiérarchie des juges légalement incompétents et des membres compromis du gouvernement de « État gangster ».

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{15} « Les deux valeurs opposées « bon et mauvais » et «bon et méchant » se sont livrés dans le monde un combat effrayant des millénaires durant ; et bien que depuis longtemps la deuxièmes valeur (le Mal)  ait eu le dessus sur la première (le Bien), il ne manque cependant pas d’endroits aujourd’hui où se poursuit la lutte dont l’issu est incertaine ». Nietzsche 1885 ?, « La généalogie de la morale ».

{16} « Il est pesant de vivre avec les hommes, parce qu’il est bien pesant de se taire ».

{17} « Et j’ai tourné le dos aux gouvernements lorsque je vis ce qu’ils nomment à présent gouvernent : trafic et marchandage du pouvoir ‑ avec la canailles ».

{18} « La faculté d’assimilation de la grande masse n’est que très restreint, son entendement petit, par contre, son manque de mémoire est grand. Donc toute propagande efficace doit se limiter à des points fort peu nombreux et les faire valoir à coups de formules stéréotypés aussi longtemps qu’il faudra pour que le dernier des auditeurs soit à même de saisir l’idée ». Hitler, dans Mein Kampf, enseigne une leçon d’un niveau universitaire élevé de psycho-sociologie, du matraquage médiatique, résumé actuellement : le matraquage par des slogans primitifs pour ratisser des électeurs au niveau intellectuel du plus bas. En accréditant les sottises puériles du label prestigieux « Nietzsche », c’est un des arguments favoris de l’extrême droite contre le populo de la gauche.

Néonazisme Chairoff

Ainsi, pour « descendre du domaine de l’imaginaire l’idéal des Nibelungen, « les sinistres du passé », s’autoproclamant ainsi « surhommes nietzschéennes » {19}, leurs sottises puériles sont exploités de l’organisation de la prophétie des affabulations nordiques et tibétaines de la Troisième Guerre mondiale par la grande finance internationale, soutenue par les nostalgiques de l’intégrisme du Saint Empire germanique, (tels que l’Action française, les camelots, (étudiants), du Roi)). Est sous-jacente le spectre des désastres humanitaires de Clovis I, ayant muée la prétendue race arienne des barbares carrés et blondes en une espèce humaine supérieure, élu par Dieu.

 Par ce tour de passe-passe de la sorcellerie noire, est déchue la race juive {20},{21} anoblie jadis par les fables prêtées au prophète Moise : un inconnu des scribes des Pharaons égyptiens avec son furtif peuple chéri, de sa traversée de la Mer Rouge aux pieds secs vers son carré de Terre promise avec commandement divin du Décalogue « Tu ne tueras point). L’Ancien Testament{22} est interdit au peuple allemand par Hitler en « livre de conservation de la race juive », et remplacé par la nouvelle Bible MEIN KAMPF de conservation de race aryenne ; aryens y doctement ravalé en populace imbécile de demeurés ». Seule, l’attraction magnétique sur la masse, (sous-entendu des imbéciles), donne la résolution fanatique pour faire triompher les grandes idées, en déduit Hitler.

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{19} « Et à présent, je sais aussi où se doit quérir celui que vraiment aujourd’hui j’ai cherché : l’homme supérieur. […] – quelqu’un de nouveau qui vous fasse rire, un bon joyeux pantin, danseur, et un vent, et un ouragan, un quelconque vieux bouffon : ‑ que vous en semble ? ». […] Et déjà, ô vous, les hommes supérieurs ‑ de ce titre de louange, et de flatterie que vous chatouille comme il le fit lui-même ! ‑ tombe sur moi mon vieil esprit de mensonge et de sorcellerie, mon diable mélancolique. »

 Ce Deuxième Empire millénaire de nostalgiques contemporains, a été construit par le feu et  l’épée » des barbares païens blonds, sur des ruines et des charniers d’une « haute civilisation préscientifique » (Nietzsche). Voici l’explication rationnelle taboue de l’assermentation simultanée à Hitler et au Pape des pieux Monseigneur de l’Église {23}, des adorateurs de l’insigne (tête de mort) de ce que le Ciel attende des nazis (Mein Kampf) {24}.  Hitler, ce magicien noir d’une secte aux pratiques sataniques, « l’électrisant moulin à discours contrefaits » (Nietzsche), est accrédité en « envoyé providentiel de Dieu » aux masses des croyants rendus fous furieux; des prélats initiés aux mystères bénissant des divisions des exterminateurs sataniques, leurs bombardiers, leurs canons… ; protégeant dans les monastères les plus pernicieux criminels sataniques contre l’humanité avec leurs fabuleux magots.

« C’est aux fruits que vous reconnaitrez les bons arbres », est l’aphorisme légué aux pieux chrétiens par le secrétaire-greffier de Jésus, du Saint Mathieu. Si les fruits se révèlent vénéneux, coupez l’arbre et brûlez-le, est commandé par le Nouveau Testament aux croyants. Or, avec idolâtrie, le fétichisme et la sorcellerie, par le supermarché romain des choses sacrées, des indulgences, les épiphénomènes du satanisme de la pire sorte, le seul œuvre « scientifique » produit, basé sur l’expérimentation millénaire, c’est le manuel des tortures les plus sophistiqués de la culture humaine.

 Ce manuel du raffinement sadique de l’Inquisition, par de l’expiration lente des suppliciés,  offrait des sublimes jouissances aux mystiques dégénérés. Au nom de l’ingénu Jésus, est perpétrés la très sainte technique de la purification spirituelle des âmes noirs des mécréants, âmes noirs souillés du péché matérialiste, consistant de contredire témérairement la vraie science relevée par Dieu à Saint Augustin l’Africain (354‑430), (rhétoricien prodigieux, père spirituel idolâtré des absurdités religieuses des sinistres de l’avenir{25}  par le sacré funeste (460 ?) du roitelet des Frank païen cannibales Clovis I, de l’anéantissement des savants, des chrétiens « hérétiques », des juifs…), avec d’autre fariboles de cette veine-là: la Terre plate en forme de Pizza au centre de l’univers, en haute, Dieu, bel esprit barbu, juste derrière les nuages avec son Paradis ; Satan en dessous dans son Enfer des âmes damnés ; les échappements du purgatoire crachant feu et flammes par les volcans. Qui osera contester la nature physique des étoiles : des échappées de lumière du Paradis vouée « aux pauvres d’esprits », et où  « les derniers seront les premiers ». Girodano BRUNO, en 1600, les saints hommes omniscients de l’Inquisition l’ont torturé durant huit dans les geôles du Vatican, ont lui a arraché la langue pour le réduire encore plus au silence même au bûcher{26}. « Le secret et notre force ».

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{20} Est un autre délire d’Hitler, la conservation de la pureté de sang de la race juive par le Talmud. Le Juif en tant que race ou ethnie n’existe pas. Le peuple juif, si tant qu’il a existé en tant que race, durant des siècles agités par des guerres barbares, de gré ou de force, s’est génétiquement et culturellement métissé, ce qui pourrait expliquer une certaine supériorité intellectuelle jalousée de ses élites, et la capacité d’adaptation aux conditions d’existence les plus extrêmes. La cohérence à travers des siècles du peuple juif s’est perpétrée par sa religion synergique, (écritures cunéiformes de l’empire sémitique Akkad ~ 2500), racines païennes de la Genèse), la cohérence assurée par des pharisiens intransigeants, qualifiés par Nietzsche des « surhommes » types. Aux juifs en Occident, dénigré à ce sujet dans Mein Kampf, toute activité professionnelle avait été interdite, à l’exception de l’activité de négoce et de banque, activités qualifiées d’ignoble par Saint Augustin (354‑430), l’enrichissement de péché même. Le juif a sans doute mérite de rétablir les activités économiques mortifiées, de remettre l’argent en circulation trois ou deux quatre siècles après les sinistres des exterminateurs et pillards Francs.

{21} Le négoce et la professions bancaire noircis en péchés furent réhabilités par Saint Thomas d’Aquin (1228-1274, érudit de la philosophie arabe). Des moines (Templiers…), le clergé et des notables chrétiens conquéraient sur des juifs ces fructueuses activités ; aidant l’orchestration en chœur avec les fachos et nazis de leurs liturgies subliminales des calomnies et dénigrement même des évêques suisses durant la Deuxième Guerre mondiale, toujours en vogue en 2014. Par la corruption, des banquiers chrétiens outrageusement enrichis se font hisser à l’apostolat pontifical au Vatican, dans les galléries d’un luxe impérial tapageur, se dresser des leurs statues géants des paranos à l’idolâtrie de la miséreuse postérité de serves crétinisés.

{22} L’anticlérical Nietzsche, la référence idéologique et le label de qualité des Nazis, accordait une très grande valeur aux témoignages intelligents des mœurs et des pensées antiques de l’Ancien Testament, méprisant souverainement le Nouvel.

{23} « (1923 dans les rangs nazis du mouvement raciste). Le protestant le plus croyant pouvait marcher dans nos rangs à côté du catholique le plus croyant sans que sa conscience dût du moins du monde dans entrer en conflit avec ses convictions religieuses. L’âpre combat que tous deux menaient en commun contre le (juif) destructeur de l’humanité  aryenne leur avait appris à contraire de s’estimer et à s’apprécier mutuellement ». Hitler. Mein Kampf.

{24} Traduction française 1979 de l’édition intégrale parue chez Franz Eher en 1933 à Munich. Nouvelles Éditions Latines. www.editions-nel.com.

Grace à la divine providence rédemptrices des mystères de magie noire du sacrée de Clovis I à Reims, idole-clef divinisé de l’histoire politique et religieuse de l’Occident, ces infâmes superstitions du matérialisme « préscientifique » sont définitivement extirpées dans l’ « Ordre nouveau » ; les maudites livres érudits transformés en combustible de chauffage des prélats, moins{27} et prêtres en douillette sécurité dans les villes forteresses du cataclysme exterminateur des vrais chrétiens taxés hérétiques, assoiffés des vérités rationnelles. (L’histoire des chrétiens « hérétiques » exterminés en Afrique du Nord est mal connue. (Les chrétiens primitifs se sont crus, à l’image de Jésus, des Juives sublimités par la grâce de Dieu). Avec la sanctification des barbares Francs, « des bêtes à proie blonds » (Nietzsche), des déprédateurs exterminateurs aux mœurs sataniques, l’histoire est passé pour dix siècles dans la nuit noir d’un tunnel) {28}.

Des brebis égarées cessèrent sous tortures prolongés, cultiver leur esprit « des faux prophéties rationalistes », par la médecine et la chirurgie bafouer la sainte providence, chercher à convaincre des naïfs avec leurs bricolages mathématiques que la Terre est un globe tournant autour de son axe, la Lune autour de la Terre et la Terre autour du Soleil avec d’autres planètes comme Vénus et Mars… Bon débarras sur les bûchés, ces brebis égarés imitant les péchés insensés des maudits érudits matérialistes de la Grèce antique (~450) : mathématiciens et physiciens « atomistes » Démocrite et Leucite osant encore taxer les visionnaires mystiques des fous « délirants paranoïaques » (penser de travers) à lier. Vous voilà aux racines taboues de l’idéologie sataniste{29} des nazis et fasciste, ironisé par Nietzsche dans « Ainsi parla Zarathoustra ».

Avec un retardement de quelques décennies organisé dans l’arrière-cuisine judiciaire international, des trucages et faux en écritures aidant, vous voilà enfin éclairé du dynamisme politique tabou ayant eu pour résultat en 1936 en Espagne, par la haute trahison de la République démocratique de la clique du généralissime Franco, avec soutien déterminante des forces nazis de Hitler et fascistes de Mussolini. Sur le territoire du Saint Empire germanique, par la grâce de Dieu, le Pouvoir temporel absolue revient sans partage aux Princes du sang de Clovis I. La démocratie et la République sont jugées par les intégristes d’intolérables sacrilèges, « la loi des hommes est  force de péché », selon les dogmes de Saint Augustin. N’est que  justice divine, l’extermination systématique de partisans mécréants, leurs cadavres enfuis anonymes dans d’innombrables fosses communes tabous pour la Justice nationale et internationale. Juges d’instruction, allez-vous faire foutre avec votre juridisme terre-à-terre, de la théorie de l’investigation pénaliste obligatoire sur l’« iter criminis », l’enquête historique sur le cheminement du crime de la source jusqu’à son résultat, comme ce juriste Dietrich à cheval sur les lois et du droit, s’ingénie à faire réaliser à la hussarde depuis l’affaire Papon jusqu’à l’assemblée plénière de la Cour de cassation pour finir se casser la gueule à l’ONU. De la piété : « À toute faute miséricorde ».

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{25} « La colère de Dieu qui éclatera du Ciel contre toute impiété et influence de  l’homme. […]La loi est force de péché […] Répandez votre colère sur les nations qui ne vous connaissent pas. […] Lorsqu’il viendra au milieu des flammes se venger de ceux qui ne connaissent pas Dieu… ». Livre de Saint Augustin de la Grace et du Libre arbitre.

{26} Girodano BRUNO, moine dominicain, initié aux mathématiques et sciences naturelles par des érudits arabes, fut torturé et brûlé vif le 16 février 1600 par l’Inquisition de Rome pour avoir refusé d’abjurer ses idées : les étoiles sont des centre des univers planétaires comparables au soleil, des planètes circulant sur leur orbiter. L’  « immaculée conception » de la vierge Maria, mère de Jésus, par « l’opération du Saint Esprit » n’est qu’une piteuse ineptie témoignant de la démence galopante des inventeurs et de l’appauvrissement des esprits par le culte débilitant des superstitions. Le 3 février 2000, le cardinal Poupard, responsable du Vatican de la dogmatisation de la culture pontificale, confirme que Bruno ne sera pas réhabilité.

{27} Exception : En Helvétie romaine détruite, (610 ?) dans leur ermitage évolué en Abbaye Saint Gall, les moins Bénédictins irlandais sauvaient de l’autodafé des livres de la furie satanique du haut clergé romain, décervelé des funestes superstitions, des nombreuses œuvres antiques gréco-romaines. La plus prestigieuse bibliothèque ouverte de l’Europe fut pillée par l’Empereur Napoléon I (1803 ?), disparaissait en Suisse le trésor culturel millénaire d’une valeur inestimable pour l’humanité.

{28} « C’est surtout dans l’enseignement de l’histoire qu’il faut alléger les programmes. La principale utilité de cette étude est de faire discerner les lois qui régissent des événements. […] Car on n’apprend pas l’histoire pour savoir ce qui fut passé ; on l’apprend pour qu’elle vous enseigne la conduite qu’on devra tenir dans l’avenir pour assurer l’existence de son propre peuple… » Hitler. Mein Kampf : bref ; il faut falsifier l’histoire, pour empoisonner l’esprit des gosses pour mieux abuser ensuite de leur inculture. « – Ami, dit l’enfant grec, dit l’enfant aux yeux bleus. Je veux de la poudre et des balles ». Victor Hugo 1802‑1885.

{29} «Ô vous les hommes les plus hauts qu’ait rencontré mon œil, voici sur vous mon doute et mon rire secret : je devine que mon surhomme ­‑ c’est le diable que vous nommerez ».

 « Entre la théorie universitaire du droit et la pratique judiciaire, il y a un fossé infranchissable », se moquait de moi, Dietrich, à Toulouse le médiocre juge d’instruction Bensoussan. En usurpateur criminel de sa fonction officielle, le prévaricateur a profité à stériliser ma science pour plus de trente ans au cachot sur ordre donné personnellement à Toulouse par ce pitre de ministre de la Justice Alain Peyrefitte (Rotary), épaulé moralement par cortège de très influents hauts magistrats parisiens, tels que le grandiloquent Henri Dontenville de son cabinet : « Personne ne peut certifier que Dietrich existe encore. Et s’il existe, je le ferai arrêter sur-le-champ », se limitait sa contestation de ma requête doctement motivée pour obtenir l’indemnisation devant la Commission au Palais de justice à Paris, juste après que j’avais mis en échec la tentative d’assassinat par un commando du SAC à Toulouse.

Sur les Champs Élysée, Badinter {30} lui fit remettre la distinction du Chevalier de la Légion d’honneur par son cocu Mitterrand {31}, les paras, mes anciens camarades du 8° RPIMa présentaient les armes, alors que moi, trahi par mes trois avocats, juste à quelques kilomètres de là, on m’en narguait pour saper le moral dans la niche que je disputais à des chiens pour survivre, spolié de mes droits et de mes biens. Avec l’élimination sur l’échiquier politique de la seule figure menaçante, moi, Dietrich, on a cru avoir mis échec et mat les joueurs cachés au public de la partie adverse.

Au vaillant juge assermenté Bensoussan été payant pour lui-même et son clan, la forfaiture rémunérée par le contribuable dans les six mille euros par mois, cinq fois supérieurs à ma pension de retrait dépensée entièrement pour suppléer à sa défection, tout en risquant quotidiennement ma peau. Plus d’un des dupes, du Sud au Nord de  la France, voudraient sans doute aussi connaître le nom de ces hauts magistrats de la médiatique compagnie ministérielle qui ont ruinés sournoisement leurs conditions d’existence et celles de leurs familles, les noms de ces magistrats véreux recevant un traitement du contribuable dix fois supérieurs à ma pension pour effectuer leur travail judiciaire mis officieusement à ma charge, manœuvrée en douce par des anonymes barbouzes étoilés de la Grande Muette. On aimerait aussi voire identifier les hautes fonctionnaires ou magistrats, représentant les intérêts de la France auprès de la Commission des Droits de l’homme de l’ONU à Genève, de la Cour européenne des droits de l’Homme à Strasbourg et de la Cour (pénale) de justice de l’Union européenne de Luxemburg.

Si vous osez d’enlever vos œillères des saintes idées préconçues, des préjugés de caste des surhommes, vous voilà éclairé sur le dynamisme politique tabou du massacre prémédité et méticuleusement organisé à longue terme en 1994 au Rwanda en Afrique du peuple mécréant et cultivé Tutsis, par les pieux Hutus catholiques. Ces adeptes de la religion de l’amour universelle de Jésus, son commandement divin déduit du Décalogue « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimé ! », subitement se muent dans un carnage indescriptible en fauves sanguinaires de cannibales sataniques, violeurs sadiques, tortionnaires, pillards et massacreurs, sans distinction de l’âge ou de sexe, éviscérant des femmes enceintes, dépeçant leurs proies à coups de machettes. « Qui aime bien, châtie bien », n’est-ce pas ?

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{30} Robert Badinter, Avocat des droits de l’homme, Professeur en Droit de l’université Panthéon-Sorbonne de Paris, Ministre (voulu salvateur) de la Justice par Mitterrand, 23 juin 1981 – 18 février 1986. Président du Conseil Constitutionnel 4 mars 1986 – 8 mars 1995. Sénateur des Hautes Seines 1995-2004. Marié au professeur en philosophie féministe et femme d’affaires Élisabeth Bleustein-Blanchet, titulaire de nombreux prix littéraires, dont de l’Académie française des scandaleux corrupteurs corrompus Peyrefitte, Droit, larbins de leur collègue, le ministre-chef de la French-connexion Michel Debré. « Surtout, ceux qui se nomment « les gens du bien », c’est ceux que je trouverai les mouches les plus venimeuses ; en toute innocence ils piquent, en toute innocence ils mentent ; comment seraient-ils capables de ‑ me rendre justice ? » Ainsi parlait Zarathoustra.

En sous-produit exemplaire dans l’histoire, Robert Badinter, l’illustre ministre de Justice et professeur de droit d’université sorbonne-Panthéon de Paris, pour se faire coopter par Académie française par la coterie mafieuse d’Alain Peyrefitte du Rotary, et pour gagner le Prix Nobel, le voyoucrate dévergondé a fait sequester  le juriste calé, avec sa machine à écrire potable et sa documentation dans une cellule de haute sécurité à Cadillac. À partir de là, en juriste callé, Dietrich a été contraint de servir en « directeur de thèse » pour les ambitions démesurées du professeur universitaire Badinter, qui arrangeait que ses collègues refusassent de servir Dietrich en directeur de thèse pour son doctorat.

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{31} François Mitterrand, Président de la République de la Gauche, 21 mai 1981 – 17 mai 1995, élu en 1981 en raison des scandales à répétition suscités par la grande criminalité ostentatoire de l’ancien gouvernement gaulliste, sa police parallèle Service d’Action Civique formée des truands de bas étage encadrés par des Policiers et couverte par la Justice. Sa politique du redressement de la Justice fut mise en échec par quelques-uns de ses ministres encore plus corrompus par les financiers et industriels de la droite que ceux qu’ils remplaçaient de la droite. Les plus acharnés des adversaires de Mitterrand sont les maçon affairiste d’orientation droit extrême de la Grande Loge national de France. Comme par un maléfice, à partir de 1981, des procureurs généraux de cette obédience mafieuse furent nommé auprès des juridictions pour saboter mes principales interventions de la revendication de la saisine de la Haute Cour de justice des anciens membres du gouvernement. On retrouvait les GLNF, les suppôts de Chirac et Sarkozy, dans les cabinets de ministres de la gauche, notamment aux leviers de commande dans les ministères de la Justice. Devenu Président de la République, Chirac refuse de remettre à l’éditeur méritant Alain Moreau la croix du Chevalier d’honneur, lui décerné par François Mitterrand pour son courage manifesté dans la publication de la série des livres documentaires référenciée dans mes exposés à la Justice.

Qui a préparé méticuleusement planifié ce massacre « sataniste », qui l’a financé, qui l’a protégé durant et après coup ? à qui a profité le crime ? Cette insolite masse d’outils tranchants destinés aux seuls meurtres de masses, est importés auparavant au Rwanda ; des outils au seule usage de l’assouvissement de la haine d’une folie collective méticuleusement attisée par des experts de la manipulation psychologique préconisée par Hitler dans Mein Kampf: la magie noire de l’excitation aux meurtres par le matraquage propagandiste des artifices captieux des médias, l’échauffement à blanc des esprits naïfs à la haine insensée, jusqu’au délire collectif. (La nuit de Saint Barthelemy à l’Africaine). Encore une des vérités pas bonnes à écrire ! « L’Histoire est un éternel recommencement ». (Nietzsche). Pour quand la prochaine purification massive de l’humanité annoncée (blogs p. 12) des impuretés mécréantes, des bouches inutiles à nourrir, ou des « souillures raciales », rien que pour l’exquise jouissance récréative les mystiques dégénérés et de l’amplification des marges bénéficiaires des sociétés multinationales derrière tout cela ?

Avec mon inflexible rhétorique d’attaque judiciaire, si par miracle la situation légale soit rétablie avec la Haute Cour de justice composée des membres hors-soupçons, intègres et compétents, je serais d’autorité, jusqu’à mon dernier souffle, remis en solitaire aux ingrats et périlleux travaux écrasants. « Toi, tu t’es engagé à l’âge de dix-huit ans pour la vie dans la Légion », se moque-t-on toujours de moi en aparté dans la sphère militaire.

Toute activité judiciaire en France contre des agressions physiques ou morales périodiquement subies, le secours en juriste averti apporté à d’autres victimes du complot, m’est rendu impossible par la corruption et du trafic d’influence institutionnalisés : se livrant à ce lucratif sport national, tout magistrat est assuré d’être récompensé par un avancement, par une décoration, un pot-de-vin, souvent les trois à la fois qui brime, sabote mes recours, (ou celles accomplis bénévolement pour autrui), dénature insidieusement les exposés sériés des faits, supprime les preuves, suborne ou fait assassiner les témoins… Dietrich… Échec et mat !

 Après l’entremise rectifiée de M. Éric Laborde-Hondet, j’ai reproduit à l’ONU les plaintes documentés de 1983/84 avec la presque totalité de mes exposés étalées sur les pages des blogs. Depuis là, seules les dépenses pour la surveillance journalière illégale de mes faits et gestes aux fins des tentatives d’assassinant ou manipulation psychologique, l’espionnage et sabotage de mes ordinateurs et écoutes téléphoniques clandestines, s’évaluent à des sommes bien supérieures à mon modeste revenu annuel, versé par le Trésor public. « L’argent est le nerf de la guerre judiciaire aussi ».

Après mon séjour terré en clandestinité totale à Toulouse, en 1983, traqué par des tueurs du SAC qui venaient juste me rater, sous le haut patronage du général ingénieur (***) Samy Albagli, je fus « exfiltré » dans la région parisienne. Dans ma nouvelle planque, privé de toute information judiciaire et moyens d’action durant des années, sans répit je continuais subir des harcèlements des menaces et mesures dégradantes, nargué, grugé, trahi des avocats marrons.

 J’ignore ce qui est devenue de ma plainte adressée à l’ONU. En revanche, je disposais de la totalité du volumineux dossier de Felix Juby, avec la décision d’irrecevabilité de l’ONU rendue dans les années 1984/85. Mais en retravaillant l’affaire en 2014, je ne pus constater qu’on me vient voler le dossier Juby. Le seul document important volée est cette décision de l’ONU, car les documents précédemment commde l’homme été numérisés et sauvegardés sur supports magnétiques. Mais, l’apport de la preuve de l’existence de la décision de rejet de la plainte de Juby devant la juridiction qu’il l’a rendue ne m’incombe point. S’il y a contestation, c’est au représentant de la France auprès de la Commission des droits de l’homme de l’ONU de l’apporter.

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Avec ma propre plainte, la saisine de l’ONU du complot criminel a donc débuté avec la plainte de l’affaire de la spoliation de l’agriculteur Felix Juby de Cabanac-Séguenville, 31 480 CADOURS. Spoliation par une escroquerie complexe, aux exécutions successives en bande organisée : assureurs, avocats, juges psychiatres coalisés. Le Comité des droits de l’homme de l’ONU a rejeté cette plainte de 1983 par la demi-vérité : les faits incriminés seraient antérieurs à la date de la compétence attribuée par une convention internationale à cette juridiction.

 La publication de la plainte et des documents sur mes blogs me dispense dorénavant de les reproduire aux juridictions compétentes ayant été naguère des destinataires. Certes, la première phase de l’escroquerie complexe dont Juby a été victime a débuté avant 1982 : privation de l’indemnité de l’assurance de la récolté sinistrée, spoliation de l’exploitation agricole par une escroquerie combinatoire entre des avocats, juges complaisants et la réputée psychiatresse de choc le privant par des faux médico-légaux, suivis de la camisole chimique, de son droit fondamental de faire entendre par un tribunal ses revendications incontestables, dans d’une procédure publique équitable.

Mais par la mobilisation de la famille de Félix Juby, les psychiatres ont été contraints de le remettre en liberté en 1982. Par voie de conséquence, débute un nouvel épisode, celle de l’autre demi-vérité escamotée des violations des droits de l’homme relevant de la compétence juridictionnelle de l’ONU.  À cette époque, les exploits spectaculaires de la requête en suspicion légitime des juges de Toulouse de moi Dietrich, du juriste licencié, en préparation de la maîtrise, faisaient les manchettes de la presse. Mon adresse personnelle fut rendue publique dans les pages du Le Meilleur par le journaliste Yves Monié dans le dessein de diriger vers moi d’autres victimes du complot notoire {32}. L’agriculteur Juby, à la sortie de l’ « hôpital poubelle », s’est trouvé dans un état physique et psychique si inhumainement dégradé que plus personne n’accordait le moindre crédit à ses accusations d’épave déambulant (*) ; accusations pourtant parfaitement fondées en droit. Dietrich n’est pas seulement juriste calé, aux faits. C’est aussi un infirmier diplômé d’État et un Maître infirmier breveté connaissant la chanson des fous vicieux en blouse blanche ayant manqué leur vocation…

[(*) Sans doute, la dégradation médicamenteuse de la personnalité de Felix Juby en 1981 à Toulouse est comparable à celle du jeune dandy John Hinkely de 25 ans, fiston doré d’un petro-milliardaire. Manipulé par le chef de la CIA pressé de prendre sa place, (devinez lequel), le dandy inexpérimenté John Hinkely a révolvérisé à bout portant avec un trop petit calibre le président des USA Rolland Reggan le 30 mars 1981, survivant à l’attentat. Pour taire les bavardages cohérents de ce dandy, John Hinkely fut immédiatement interné, trimbalé d’une clinique psychiatrique à l’autre. Comme Juby, les braves docteurs se sont résolus de le relâcher ; mais réduit en état de zombi légumineux. Par l’assassinat psychiatrique, ses bredouillages sont devenus incohérents, discréditaient l’évidence de la thèse du complot manigancé par le chef du CIA. Le financement de la carrière de ce futur président des USA s’est nourri de l’empoisonnement de la jeunesse des USA du trafic de drogue par tonnes. Avec le trafic de l’héroïne par tonnes de la French connexion, les astuces de notre vaillant Miche Debré avec son Rotary et son acolyte Charles Pasqua avec sa Mafia ont fait école aux USA. L’ONU, ce n’est rien d’autre que le centre culturel international de l’échange des bonnes procédées tordus de pourris de la bonne société dépravée.]

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{32} L’assassinat par des tueurs du SAC de Marseille, du précédent du journaliste Yves Monié, jugé par l’usurpation de la compétence juridictionnelle de la Cour d’assise, relevait déjà sans moindre équivoque de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice : « Les poubelles de Toulouse. Un journaliste assassiné le 19 février, un médecin en prison… Cette fois l’affaire est « inétouffable », même si le principal inculpé est le chef des barbouzes gaullistes… Claude Birague, chef de clinique O.R.L. et de chirurgie maxillo-faciale lauréat de la Faculté ». Nouvel Obs. Lundi 26 juillet 1976. L’avocat félon de la victime plaignant, empêchant la saisine de la Haute Cour de justice a été Me René Second, militant gaulliste. Devenu l’avocat de Peter Dietrich, Me Second a été pleinement motivé de saboter mes procédures en concert avec le bâtonnier et le Conseil de l’Ordre des avocats de Toulouse et des juges et des procureurs compromis, tous, jusqu’au cou dans ces forfaitures par ce Dietrich. Sous l’angle du complot de l’escroquerie judiciaire continué, réitérée, harcèlements des violences morales et physiques… subornations… extorsions concussionnaires…  selon la jurisprudence de principe française, le bloc de ces affaires, imprescriptibles et nulles d’ordre public, sont toujours actuelles, passant par l’affaire Juby à Toulouse… de l’affaire Papon à Bordeaux… de l’affaire COGEDIM/BOUYGUES à Paris… de l’affaire Hondet-Laborde à Bourges… de l’affaire à Mourmelon des assassinats sadiques des jeunes militaires mis sur le dos de cet muet adjudant-chef Chanal truc-suicidé en Prison… de  ma situation actuelle paralysée par des menaces d’agressions par des armes spéciales et des mesures des coups tordus en tout genre par des haineux adeptes revanchards des mafias et des sectes des fanatiques illuminés, couverts du ridicule… jusqu’à la suite des tripotage de l’affaire Bettencourt/Sarkozy de la corruption des hauts magistrats le mois de juillet 2014.

Par la dissertation historique des faits et l’analyse juridique, la Chambre criminelle de la Cour de cassation renvoi de dossier de Felix Juby avec quelques années de retard à la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Poitier, seule légalement compétente. Le premier avocat commis d’office, récusé ensuite par Juby, se plaint de la surabondance des pièces du dossier pour excuser son inactivité. Le deuxième avocat commis d’office à Poitiers se trouve devant un dossier vidé de toutes les pièces, dans l’impossibilité d’agir, prétend-t-il. Se déroule donc un nouvel épisode funeste des violations des droits de l’homme, droits garantis par le Pacte de l’ONU. Et, par ma rédaction de l’exposé, c’est de cet épisode que Juby s’est plainte à l’ONU, d’abord en 1983 et ensuite en 1989. (Communiqué le 12 juin 2014 par moi : Lettre de Juby de communication des pièces complémentaires à l’ONU du 29 avril 1989).

 Or, selon la jurisprudence de principe en France appliquée aux communs des mortpar lae escroquerie complexe d’actes successifs, liées entre eux, est indivisible. La prescription ne court qu’à partir du dernier acte. Avec les tergiversations de l’ONU, le dernier acte, ce ne sera pas aujourd’hui, ni demain la veille qu’il se produira, car l’enchaînement indivisibles des escroqueries des comploteurs est toujours en en activité aujourd’hui. En toute impunité. Récompensé par des distinctions honorifiques, des avancements, des pots-de-vin…

Le vrai défenseur, habilité par le Pacte de défendre l’accusé qui le demande, c’est moi, le juriste Peter Dietrich. Or, ce juriste est éliminé par la même opération d’assassinat psychiatrique par laquelle Juby a été réduit à l’état de légume, par  la même équipe vindicative de charlatans. Répétons-le, sensiblement à la même époque du dépôt de la plainte de Juby, moi, le juriste Dietrich a saisi l’ONU de violations des droits de l’homme subi par lui-même. « Exfiltré  à la barbe des tueurs du SAC vers la région parisienne, le porte-parole du juriste Dietrich devenait le général ingénieur militaire (***) Samy Albagli, et par-là, indirectement, le porte-parole de Felix Juby.

 Est éliminé en 2012 du circuit judiciaire, ce général d’attaque, par les mêmes procédées criminels de l’assassinat psychiatrique appliqués à Juby, ensuite à moi, Dietrich. Lorsque le général comptait de rentrer de nouveau dans l’arène judiciaire avec Dietrich, il est illégalement arrêté. Du rang de général trois étoiles, se croyant intouchable car sûr de son droit, il est tombé dans un traquenard dans un commissariat de police de Paris, en s’y rendant sur convocation dont l’objet lui n’a pas été indiqué. Moi-même menacé par le régime scélérat de Sarko-les-pots-de-vin et de son ministre de l’Intérieur, haut dignitaire franc-maçon de la Grande Loge nationale de France en 2012, je n’en ai pas pu me rendre à son domicile à Paris pour le dissuader. Âgée, dans quelques jours, il a succombé aux tortures en cellule d’isolement de l’hôpital Saint-Anne dans lequel il protestait, cherchant se justifier, en se  mettant en grevé de la faim. (Il reste encore à vérifier l’information anonyme d’un internaute sur mes blogs : parmi les ravisseurs et tortionnaires meurtriers du général se trouverait un franc-maçon affairiste de la GLNF).

Le départ, l’ « iter criminis » (cheminement du crime) de cette succession de la criminalité judiciaire des associations de malfaiteurs hors-la-loi, matérialisé par la prévarication des juridictions légalement incompétentes, se situe bien avant 1982 et s’est poursuivie jusqu’à l’abrogation des lois françaises, salvatrices des droits de l’homme et dont moi, le juriste Dietrich revendiquait en vain l’application. L’enjeu de l’affaire Juby, relativement insignifiant en elle-même, devient de taille. Au même moment à Marseille, l’avocat félon télé-starisé à cet effet, Maître fripon Gilbert Collard (GLNF), sabote, par la violation de son obligation de moyens, les droits des victimes survivants de la tuerie d’Auriol, laisse poursuivre les mêmes prévarications des juges hors-la-loi. Répétons-le, la mise en cause, « aussi faible que soient les charges », en réalité énormes contre des membres du gouvernement instigateurs et commanditaires de leur police parallèle des truands « Service d’Actions Civiques » (SAC), exigeaient la fameuse saisine « sans délais » de  la Haute Cour de justice. L’avocat félon Gilbert Collard , Maçon de la GLNF avec son complice de Paris le Président Jean-Claude Magendie, membre du Conseil de surveillance du holding Lagadère, important propriétaire des médias avec Bouygues et Vivendi… qui starisaient leurs avocats attrape-nigauds.

 Nous retrouvons le même saboteur Me Gilbert Collard (GLNF) accrédité par les laudateurs des médias, de se faire substituer à moi, au juriste Dietrich dans l’affaire Aucouturier à Bourges, d’occulter aux jurées des Assises mes argumentaires congrus, sériés, dont le déclinatoire de compétence. « Tout est lié », s’est exclamé le juge d’instruction de Marseille Pierre Michel. Ses investigations prenant la direction vers des membres du gouvernement, se sont fait bloquer par le tir de barrage dans le cerveau du Juge de deux tueurs du Milieu chéri de Pasqua et compagnie du SAC. Auparavant, cet irréductible Juge d’attaque a été moralement agressé par le concert des outrages de la presse (Libération) et des humiliations son hiérarchie des voleurs au greffe des objets confisqués par la police aux criminels.

 Selon le programme signalé {33} de mes « directeurs » dans  les coulisses, moi, Dietrich encore étudiant à l’université de Toulouse aurait dû soutenir aussi le juge Michel en difficulté. Les agressions morales et physiques, des harcèlements judiciaires et extrajudiciaires ont déjà paralysé mes propres actions à Castres et celles travaillées pour des associés de l’Association de Défense des Victimes de la Justice, présidée par l’expert-comptable Jacques Belhomme instrumentalisé, manipulé à sa perte par le saboteur « juge rouge » Bidalou. Les derniers mois cauchemardesques d’études à l’université de Toulouse, moi, Dietrich, je ne les ai pu suivre armé, au vu et au su dissuasive de tous, portant au dans d’étui de ceinture sans rabats d’une automatique à double action P 38, 9 m/m parabellum, une balle engagé dans le canon… {34} Je fis intervenir en dissuasion contre la pègre agressive du SAC mon ami baraqué, le sergent-chef Julien Kim, alors sous-officier en activité au 8° Régiment des Parachutistes des Troupes de Marine à Castres.

 (L’automatique avec la munition réglementaire fut remis à moi, Dietrich par un officier supérieur de ce régiment en remplacement de l’automatique MAB 7,65 m/m, holster axial, prêté par son autre ami de ce régiment, de l’adjudant-chef André Morejeau{35}, et, approvisionné par des munitions suisses, apportées en contrebande de Bern par ma sœur Johanna, accompagné de son ex-mari M. Kurt Kurzen. (CH ­‑ 3078 Ostermundigen)). (Sont aujourd’hui encore parfaitement vérifiables, l’exactitude de ces faits essentiels, frauduleusement évités dans l’information par la petite pourriture de juge d’instruction François, du clan des crapules Duguet, suffisant juge usurpateur de la légalité de Castres et de Toulouse. Sa clique des prévaricateurs faussaires est secondée des avocats félons des plaignants, dont cet autre Duguet, saboteur des affaires traitées par ce juriste Dietrich pour la veuve miraculée Odette Baylé, de Louis Baylé, compagnon de Dietrich, assassiné ensuite dans une embuscade en règle, maquillée en accident de circulation).

La ville Poitiers, c’est le chef-lieu voisin de la ville Bordeaux. Sous l’égide de l’ONU, s’y est déroulé en 1982 la violation massive de la légalité de la compétence juridictionnelle dans l’affaire Papon prétendu complice des crimes contre l’humanité, l’élimination du déclinatoire de compétence similaire présenté par Juby dans la procédure de Toulouse et présenté dans les années 1983/84 à l’ONU silencieux, en même temps avec mes propres plaines bien documentées. La circonscription juridictionnelle de Bordeaux est en ce moment politiquement hypersensible. C’est là (et à Toulouse) en 1951 et 1955, que furent jugés des massacreurs SS allemands du village Oradour-sur-Glane par le Tribunal Militaire spécial composé en partie d’anciens résistants et des membres des Force française libres. (*)

Personne du milieu judiciaire à Bordeaux a été censé d’ignorer la mascarade judiciaire par les invalidantes fraudes monumentales de la violation de la compétence juridictionnelle des juges d’instruction du droit commun, de la Chambre d’accusation de la Cour d’appel, suivi en grand spectacle médiatique de la Cour d’assise, ni dans l’affaire Papon à Bordeaux, ni dans l’affaire Touvier (Versailles), ni dans l’affaire Barbi (Lyon). (Exposé, documenté, prouvé sans réplique sur les pages  4 des blogs).

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{33} Laville Alain. « Le juge Michel ». Éditions Presse de la Cité 1982. Laville Alain précité rapporté à mon attention par le journaliste Yves Monié par son bihebdomadaire Le Meilleur Midi-Pyrénées. Yves Monié est un ancien du SAC. Ayant changé son fusil d’épaule en journaliste il couvrait de pas à pas mes actions.

{34} D’un juge d’instruction moyennement compétent et intègre, après mon arrestation, son investigation se serait immédiatement dirigée sur l’origine de l’arme et des munitions dont j’ai été  porteur, chercher des complices. Mais n’était point un  mystère pour tout le beau monde de la région, la provenance des munitions du lot du 8° RPIMa de Castres.

{35} Un juge d’instruction moyennement intègre se serait immédiatement intéressé à l’ami et notoirement le mentor de Dietrich : l’Adjudant André Morejeau (barbouze ?), affecté de Castres à Toulouse pour être plus proche des opérations. C’est ce sous-officier supérieur qui a implanté moi, Dietrich dans le circuit des escroqueries immobilières monumentales du Rotary et du SAC en me forçant la main d’en acheter à l’aveugle un des pavillons pourris, puis de m’éclipser au baroud du Tchad. Aujourd’hui décédé, on me signale sur les blogs qu’une de ses jolies filles eurasiennes, bien placée à Toulouse, se souviendrait encore bien de  l’automatique MAB 7.65 du vaillant papa.

Ces affaires ayant défrayé la chronique ont été truquées pour la pure propagande politique des politiciens vendus, exigeant, avec la basoche en foire, la réduction au silence du seul contestataire par le crime organisé, la « suppression » criminelle de ses actes de procédures incontestables, l’assassinant des témoins… Cela d’autant plus que moi, le juriste d’attaque Dietrich, avait déjà soulevé le lièvre devant des procureurs, juges et hautes personnalité politiques avant son élimination par l’assassinat  psychiatrique à Toulouse et à Bordeaux en 1981/82. Les effets paralysants persistent encore maintenant. La procédure criminelle par des excès de pouvoirs d’une association de malfaiteurs n’est pas annulée, laissant planer avec constance la menace d’un rapt ou kidnapping psychiatrique.

 On n’a pas besoin de spécifier le but de la loi du 1 août 2013, jour de la fête nationale du franc-tireur suisse Guillaume Tell, loi autorisant à n’importe quel charlatan psy, sans respect des droits de défense, à n’importe quelle heure du jour et de nuit, de se saisir de sa proie pour se faire décorer de la distinction de  la Légion d’honneur par la bande de malfrats de Me Nicolas Sarkozy, menacé lui-même et sa famille co-actrice, d’indemniser les innombrables victimes par décision de la Haute Cour de justice reconstituée.

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[(*) Rappel de l’exposé antérieur: Tandis que sont condamnés à mort des Waffen SS allemands en France, des industriels, (sauvés des poursuites et protégés par le complot continue des juges partisans), financent le Complot du Plan bleu en 1945/47 armé par le CIA. Commandés par des officiers de  l’armée française des Waffen SS français de la division Charlemagne et de la « Brigade Frankreich » et autres, naguère engagé dans des massacres pires qu’Oradour-sur-Glane en ex-Union-soviétique, en compagnie des Camelots du Roi et l’Action française) et d’aventuriers, est fomenté le renversement de la IV° République française par un coup d’état par des armes. Ensuite, avec les forces françaises d’occupation d’Allemagne, il est projeté le renversement de son régime, rétablir le régime nazi. Joseph Algazy. « La tentation néo-fasciste en France (1944-1965) « , pages 59 et suivantes, édition Fayard 1984) : page 61. « Avec le temps, l’épuration s’affaiblit. De nombreux épurés s’en retournèrent à des activités publiques, des écrivains, des journalistes… »

Algazy, page 93. « En 1947 éclata une affaire qui fut connue sous le nom de  » complot de Lamvalle ou de Plan bleu « . (Cette affaire qui fit d’abord un bruit énorme, fut plus tard étouffée et dissipa dans le silence et l’oubli.) S’y trouvaient compromis des hauts officiers de l’armée et de la gendarmerie ainsi que des hauts fonctionnaires. […] Au jour J+3 dans l’Est, et au jour J+6 en Allemagne occupé, une série de provocations devraient obliger l’armée à jouer son rôle de rétablissement de l’ordre et à entrer en lice en pleine confusion. Des plans complets de l’insurrection et des calques de l’état-major du Plan bleu ont été saisis. Il ne faisait aucun doute sur la préparation méthodique et minutieuse du complot103… ».

Algazy, page 75. « Un autre témoignage sur cette activité renaissante, peu après la guerre, nous est fourni par Marcel Déat {ancien ministre du gouvernement Vichy, ministre traitre de l’Air de la III° République}. Celui-ci, Leader du Rassemblement national populaire, collaborateur zélé, s’enfuit à la Libération en Allemagne ; après la défaite, grâce au Vatican et au pape Pie XII, il trouva asile en Italie. De son refuge […] il accorda une interview au journal italien Milano-Sera où il exprima sa certitude d’un retour prochain en France, grâce à l’action renaissante des fascistes. Dans cette interview, reproduite par le journal parisien Action, Marcel Déat déclarait :

« Aujourd’hui je suis un hors-la-loi, mais plusieurs symptômes me font penser que je rentrai bientôt en  triomphalement en France. […] Une armé puissante et invisible, pas seulement en France, se prépare à les combattre sans pitié… Pour moi, il y a deux mondes inconciliables : l’un d’eux doit périr « .

 « Parlant des dirigeants de la gauche française, Marcel Déat jura qu’à son retour, il les fera pendre aux becs de gaz parisiens, parce qu’un bon bain de sang purifierait la France. Il ajoutait :  » Faites savoir aux italiens, à ceux qui pensent comme nous, que nous reviendrons bientôt. La constitution d’une internationale fasciste n’est pas un  mystère48…  » ».

(Jean Chatain,  » Les affaires de M. Le Pen « , éditions Messidors 1987 : De cette mouvance néonazie et néofasciste  « de l’épuration  » par le complot du Plan bleu (ps 53/54/55), leurs élections frauduleuses, financées par des fonds secrets venant de l’étranger, (blogs p. 10) sont promus ministres des gouvernements Chirac et Sarkozy : M. Alain Madelin et M. Gérard Longuet. (Ps 89/93/111). Gérard Longuet fut le ministre de Défense de Sarkozy, chef de l’armée française ayant fait assassiner en 2011 d’une manière bestiale en Lybie le colonel Kadhafi (pages 12 des blogs), bailleur de fonds secrets à l’élection présidentielle, d’une illégalité jamais contestée, de M. Sarkozy en 2007…

 D’une continuation délirante, la tentative criminelle des crimes contre humanité, manigancée sous égide des institutions judiciaires, est déjà masquée, étouffée en 1947 ! La guerre à peine finie, les forces occultes de la grande finance, sous l’égide de la justice soudoyée, sont déjà engagées dans la tentative criminelle de la continuation des crimes nazis contre l’humanité. Aussi la communication de ces dossiers judiciaires et policières relatifs à ce complot indivisible, perpétré jusqu’au-delà des mascarades judiciaires par l’affaire Papon à partir de 1982, occulté par la prévarication du concert contre les lois, corruption et le trafic d’influence, me sont dû. « L’idée nietzschéenne du surhomme. L’idée de la suprématie de la race nordique, non seulement sur les nègres et les juifs, mais aussi sur les aryens inférieurs : les méditerranéens ». Maurice Bardèche, « Défense de l’Occident », 1958.]

Les différentes opérations internationales sont détaillées dans le livre documentaire DOSSIER NÉONAZISME cité ci-dessus de Patrice Chairoff.

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Me heurtant à Genève au silence suspect à mes plaintes congrues, bien documentées, je me suis servi ainsi comme prête-nom de Monsieur Éric Laborde-Hondet, ruiné par la machination politico-judiciaire montée à Bourges principalement contre moi par des ministres de la Justice et de l’Intérieur. Ces ministres comploteurs contre la sûreté de l’État, justiciables par  la Haute Cour de justice encore fonctionnel, se sont servis comme exécuteurs de leurs machinations le « juge rouge » Jacques Bidalou et du Lieutenant-colonel Yves Chalier, justiciaires de parodie glorifiée par les médias.

 Chalier, ce dernier malfaiteur mobilisé en renfort à Bourges, retraité, spécialiste de la guerre psychologique et de la subversion, bien que poursuivi par des juges d’instruction de Paris pour une escroquerie de haute vole, est instrumentalisé à des nouveaux actions criminelles par l’attribution d’un vrai-faux passeport du ministre de l’Intérieur, ce malfamé barbeau corse, trafiquant réputé Charles Pasqua.

 Exfiltré ainsi, par des gangsters complices des trafics de Pasqua de sa branche mafieuse en Brésil, Chalier ce spécialiste militaire de subversion est moralement formaté à la mission de sabotage judiciaire auprès de l’Association de Défense des Victimes des Notaires près de Bourges. Ce lieutenant-colonel renforce l’opération de l’élimination et suppression de mes exposés juridiques efficaces devant les juridictions à Bourges et Paris, à l’aide du charisme de son rang militaire supérieur à celui de moi, à l’Adjudant Dietrich. Le champ est libéré à la traitrise de ses clients de l’avocat félon télé-starisé à cet effet, le moulin à discours contrefaits  Me Gilbert Collard (GLNF)du barreau de Marseille, fasciste élu député du Front national nazifiant.  (Blogs ps 5 et 6). Et commença, il y a eu dans la basoche démasquée ces bels esprits à quia contestant à moi, Dietrich, d’un intérêt juridiquement légitime de se défendre par voie d’intervention, somme tout de se plaindre des enchaînements d’infractions indivisibles subies depuis trente-cinq ans. Il y a comme ça, la mafia des fins robins maquignons refusent d’admettre le caractère de vérité imprimé irréfutablement sur mes exposés par leurs machinations, leurs trentenaires manigances et tripotages judiciaires pour les supprimer ou les faire supprimer avec l’auteur et ses témoins par les canailleries du crime organisé.

Résumons l’argumentaire congru exposé à l’ONU et publié sur les blogs. Dans la circonscription électorale de l’ancien député-ministre Maurice Papon, poursuivi à Bordeaux, rien pour se faire fouetter du dénigrement du notaire parisien irréprochable d’un ministre de la gauche, Éric Laborde-Hondet est embobeliné insidieusement dans l’engrenage fatal de la manipulation des publications subversives de la propagande électorale ordurière par le travestissement des escroqueries, dont le Lieutenant-colonel Chalier fut condamné ensuite par les Assises de Paris, de l’imputation mensongère des fraudes aux victimes.

 L’Association de Défense des Victimes des Notaires, auparavant condamnée pour ce travestissement journalistique, à l’approche des élections, payait l’ami pour continuer l’opération suicidaire de dénigrement par son périodique « Éclair du Centre », lui dissimulant l’existence de l’opposition raisonnée du vrai conseiller juridique de l’association, moi, le juriste Dietrich mis à l’index.

  L’agent subversif, le médiatique « juge rouge » Jacques Bidalou a réussi l’élimination de mes conseils et argumentaires juridiques par des injures à mon adresse publiée par Libération, discréditant mon intervention avec l’association des victimes des notaires à l’audience publique dans l’affaire Chaumet, mettant en cause le ministre de la Justice Albin Chalandon. (Blogs p.3).

Laborde-Hondet finit totalement ruiné de la machination extra-judiciaire suivie des escroqueries judiciaires, est traqués par des victorieux créanciers fraudeurs du notariat de cette machination concoctée par le Conseil supérieur à Paris et les membres du gouvernement. Ses chers amis d’Association des Victimes des Notaires près de Bourges, commanditaires et financiers de ses publications fatales du dossier du Lieutenant-colonel Chalier, pour se débarrasser d’Éric Laborde-Hondet aux abois, dirigèrent ce désespéré vers moi à Paris, vers ce juriste Dietrich « foutu », ruiné. D’aucuns se réjouissaient sans retenus du divertissement sadique de l’association de Laborde-Hondet « foutu » à son irrémédiable détresse judiciaire.

« La fraude vicie tout ». Je n’attendais que la défense Éric Laborde-Hondet pour la revanche par contre-attaque avec l’organisation à Bourges et à Paris de sa défense congrue par des voies de recours exceptionnelles, ignorées des manipulateurs : tierce oppositions des condamnations de l’association obtenus à Paris et à Bourges par la fraudes réalisés par mon exclusion, opposition aux condamnations d’Éric Laborde-Hondet. La belle affaire ! Procédures assorties de demandes reconventionnelles en réparation des préjudices et dommages matériels et morales par le notariat.

La riposte imparable en droit par entremise de Laborde-Hondet, fut déjouée à Bourges par les nouvelles injures journalistiques, (caricature de Légionnaire avec son paquetage devant les juges), discréditant moi-même et mes constructions juridiques sur la qualification pénale « complot contre la sûreté de l’État », de la compétence exclusive de la haute Cour de justice. En essayant d’éliminer l’influence néfaste du « juge rouge » Bidalou de l’association des victimes de notaires, sortir de la nasse fatale la présidente Mme Gisèle Néron, je me suis personnellement rendu à l’audience public à Bourges. La substitute du Parquet avec le président du tribunal correctionnel, combinaient avec les journalistes cet attentat éliminatoire contre ma crédibilité et mon honneur. À la fin de l’audience public, seulement cinq ridicules minutes du droit à la parole me furent accordés, juste assez pour autoriser le souillon de la presse à me dénigrer dans son feuille de choux local.

Constituant déjà une fraude en elle seule, viciant la totalité de la procédure ainsi que les suivantes contaminées,  ma réduction au silence par la réduction caricaturale à cinq minutes du droit à la parole. Ça saute aux yeux à un petit collégien même, la malice cousue au fil blanc, l’insuffisance grotesque du temps pour lire devant le public mon argumentaire écrit congrue d’une centaine de pages dactylographiées (publiées sur les pages 5 des blogs), exposée sérié, présenté contradictoirement, exposant en détail les combines frauduleuses des juges et juridictions usurpant la compétence exclusive de la Haute Cour de justice.

 Et flan ! Un tout petit article d’injures à mon adresse dans la rubrique des chiens écrasés, et Éric Laborde-Hondet privé de tout son moyen de défense, ses témoins subornés. (Blogs ps 10 et 11). Sans laisser d’adresse, le dindon de la farce s’est enfui du harcèlement de ses créanciers escrocs du notariat. Place aux turpitudes de l’avocat salvateur Me Gilbert Collard ! Dans l’ombre revigorant de l’ONU, dans la circonscription électoral du député-ministre Maurice Papon, ce moulin à discours contrefaits, fasciste élu en député du Front nationale des néo-nazis en décollage verticale pour établir l’Ordre nouveau, s’associé devant la Cour d’Assises de Bourges au « juge rouge » Jacques Bidalou dans la manche terminale des sabotages judiciaires commanditées et protégés par les ministres de la Justice et de l’Intérieur. En toute impunité ! « Les époques d’effondrement d’un corps social sont déterminées par l’arrivée au pouvoir des pires éléments… des souteneurs, des deserteurs, et autres pareilles crapules [..] Le bandit résolu a donc toujours la possiblité de rendre impossible à l’homme honnête tout action et tout activité politique ». Hitler. « Mein Kampf ».

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En conclusion des mobiles élucidés le plus clair, la date de  ma saisine de  l’ONU par l’affaire Maurice Papon, poursuivi à tort de la qualification légale « complicité des crimes contre l’humanité », se situe dans l’année 1983, si bien que « les néonazis » de la Cour européenne ne pouvaient récompenser ses manœuvres judiciaires dilatoires sans violer le droit international.

Par ces manœuvres dilatoires combinatoires, ont été soustrait des juridictions nationales et internationales les plus dangereux criminels et receleurs des crimes contre l’humanité, scélérats multimilliardaires, une faune de la haute criminalité politique toujours en activité contre l’humanité.

 La preuve est amplement  apportée : les sacs de pognon continuent de se gausser des droits de l’homme et des gens… de la Justice avec ses juges vénaux… des « Ô NUllards ! »… des pitres humanitaristes incompétents… du dynamisme des justiciables les plus avisés… de Dieu et de ses Saints… du Diable même, pour ceux qui y croient encore!  C’est parce que personne du beau monde des salons mondains ne résiste à leur alchimie secrète de corruption, aux jongleries occultes des coups de milliards de dollars par leurs avocats rétribués parfois à plus d’un million de dollars l’heure des malices judiciaires et extra-judiciaires.

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Illustrée par des articles de la presse annotés : embranchement contemporain de l’« iter criminis », du complot de la voie judiciairement protégée du grand banditisme du crime organisé menant à des crimes contre l’humanité.

Code pénal 1804 (seule valide) {36}, article 2 : Toute tentative de crime qui aura été manifesté par un commencement d’exécution, si elle n’a été suspendue ou si elle n’a manqué d’effet que par des circonstances indépendantes de  la volonté de son auteur, est considérée comme le crime  même.

« La tentative constitue une des modalités de l’infraction dont elle forme le commencement d’exécution ; elle est liée à cette infraction par un lien étroit et ne saurait séparée pour être érigée en infraction distincte » {37}. « Constitue un commencement d’exécution tout acte qui tend directement au délit lorsqu’il a été accompli avec l’intention de le commettre » {38}. Sur la tentative punissable en cas de  provocation par un agent de l’autorité à commettre un délit {39}.

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{36} L’exception d’ « illégalité constitutionnel et l’illégitimité politique » a été opposée en question préalable ou question préjudicielle sans contredit aux juridictions dans toutes les interventions judiciaires par moi, Dietrich. Il relève d’une extravagance du surréalisme politique dans un état de droit démocratique, ‑ inconciliable avec le Pacte ratifié de l’O.N.U.‑,  qu’une authentique association de malfaiteurs au sens du droit pénal, usurpateur des pouvoirs publics par le crime organisé du grand banditisme, puisse modifier la Constitution, le Code pénal, le Code de procédure pénale… pour s’assurer de l’impunité des crimes, éliminer les plaignants d’attaque avec leurs argumentaire congrues, incontestables et incontestés.

{37} Crim 8 août 1946, D. 148. 293, noté signée A.- L. P.

{38}  Crim 3 décembre 1927, S. 129. 1. 119, 2mai 1974, B. crim. n° 156 et 157, p. 401 et 402.

{39} Crim. 28 octobre 1942 D. C. 1943. J. 89, et les arrêts des cours d’appel rapportés, D. C. 1943. J. 94, avec les notes de M. Donnedieu de Vabres. Crim. 27 janvier et 3 mars 1944, D. A. 1944. J. 93. Sur l’élargissement de la notion de tentative, V. J. Larguier, Rev. sc. crim.  1979. 359. (Code pénal Dalloz annoté 1986-87).

{40} Chairoff, « B …comme barbouzes » cité.

{1} Commentaire de l’image du premier document ci-après du présent exposé adressé à l’ONU :

Escroquerie judiciaire typique ayant fait preuve aussi à l’inauguration de la Cour de Justice de la République en France. Sour peine de forfaiture, un « témoignage » ne peut être écarté du dossier présenté aux juges. Le crime de forfaiture consiste alors d’échanger par des faux en écriture l’appellation précise de l’acte judiciaire en une intervention par constitution de partie civile, ou plus caricaturalement, comme en l’espèce, en fiction rocambolesque d’acte de défense de la partie adverse non-mandaté (sic), en réalité, rapportant ès qualité de « témoin »  leurs crimes aux juges de la Cour pénale  des communautés européennes, et non pas à l’usurpateur de la fonction du greffier, un « témoignage » circonstancié et documenté sur :

1° Les simulacres et mascarades judiciaires de l’ancien ministre Maurice Papon et ses acolytes du gouvernement, organisant lui-même la durée de 25 ans de la procédure démesurée pour échapper aux poursuites de la Haute Cour de justice 1958 sous la qualification « Complot contre la sûreté de l’État ».

2°  L’incompétence juridictionnelle de la Cour européenne des droits de l’Homme, conformément au droit international, car les turpitudes judiciaires dans le trucage de l’affaire Papon ont été rapportées depuis plus de deux décennies au Comité des Droits de l’Homme de l’ONU.

La plainte adressée à la Cour (pénale) de justice de l’Union européenne de Luxemburg, elle aussi, fut soustrait de l’examen des juges de la Cour par le tour de passe-passe d’une déclaration d’irrecevabilité fallacieusement motivée par un prétendu secrétaire du greffier. Par ces dénonciations des victimes avisées, c’est enseigné vertement dans les universités, les fonctionnaires véreux se font avantageusement remarquer par leurs supérieurs, proposés à la remise des distinctions honorifiques, des avancements aux hautes fonctions plus rémunératrices…

  De son vivant, en été la preuve emblématique de ce genre de fonctionnaire modèle Maurice Papon, évolué sans entrave du zèle secrétaire des assassins nazis de masse à la préfecture de Bordeaux, en député et ministre d’un gouvernement scélérat, (comprenant en ministre néonazis militants Longuet et Madelin), en passant par la fonction du Préfet de police massacreur. En héros médiatique, l’imposteur finissait encore faire condamner la France complaisante, de se faire « indemniser », à savoir de se faire récompenser par la Cour européenne des droits de l’homme pour sa vaillante persévérance devant l’incompétence légale de ses juges maquilleurs, soustrayant ainsi des poursuites judiciaires des authentiques criminels contre l’humanité avec leurs fabuleux magots, des traîtres doublés des trafiquants, escrocs de haute vole et déprédateurs politiques de la France, supprimant le seul contestataire avisé avec ses dossiers, assassinant ou subornant ses témoin…

La totalité de ces dossiers de ce complot indivisible auraient immédiatement dû être transmis au Procureur général auprès de la Haute Cour à Paris. Toutes les actions criminelles ayant suivis les mascarades judiciaires à Marseille sont imputables à ceux qui ont participés.  Art. 60 C. pén. « Seront punis comme complices, (à plus fort raison coauteurs), d’une action qualifiée crime ou délit, ceux qui, par dons, promesses, menaces, abus d’autorité ou de pouvoir, machinations ou artifices coupables auront provoqué à cette action (complot) ou donnée l’instruction de la commettre… ». Ainsi, qualifiés dès le début par l’article 86 du Code pénal « complot contre la sûreté de l’État par l’attentat au régime constitutionnel », les activités criminelles du Service d’Action Civique (S.A.C.) relevaient de la compétence exclusive de  la Haute Cour de justice.  À l’instar des Sicherheits Abteilungen (S.A.) (Sections de Assaut)) du parti nazi d’Allemagne, créées pour renverser la République de Weimar et hisser Hitler au pouvoir, le S.A.C., « un instrument subversive visant la prise du pouvoir » {40} a été créée, en France pour renverser le régime parlementaire de la VI° République, de hisser au pouvoir  par le régime présidentiel de la V° République des « gangsters d’État » le général Charles de Gaule. Complot par alliance mafieuse des membres du gouvernement (GLNF, Rotary…) il s’est engagé dans l’Armée, des « patriotes » manipulés par les médias, des fonctionnaires de toutes les administrations, des polices, services secrets de l’Armée, des affairistes commensaux aux malfaiteurs de haut et bas étage de la pègre, même des collaborateurs de la GESTAPO…

Non seulement le Service d’Action Civique ressemble comme une sœur jumelle à l’organisation nazies, il s’en composait de ces anciens criminels contre l’humanité. La caricature la plus grotesque des fondateurs du S.A.C. du grand banditisme de la Mafia, fut l’ancien député-ministre Alexandre Sanguinetti, l’intouchable escroc gaulliste de  haute vole de la plus belle eau {41}. Le député-ministre gaulliste Sanguinetti, c’est un des nombreux miraculés de poursuites des crimes contre  l’humanité par la mascarade de l’affaire Papon à Bordeaux {42}. Avant la guerre, le casseur fut un militant de choc de l’Action française, des Camelotes du Roi. Collaborateur ayant fait ses preuves dans la Haute trahison de la France, il eut le zèle fonctionnaire du régime Vichy tout indique pour se charger des affaires juives à Alger. Il s’est engagé dans l’Armée pour se faire oublier jusqu’aux amnisties, des amnisties toujours faites sur mesure pour lui. L’impénitent casseur rentre dans les rangs des militants de l’extrême-droit d’après-guerre. En 1958, pour combler les rangs insuffisants du Servie d’Action Civique, avec Charles Pasqua… des maçons GLNF… : « … ils durent recruter dans les bas-fonds de Lyon et de Marseille. Les jeunes gangsters allèrent : c’était l’occasion de gagner un casier judiciaire vierge… extraits des prisons… Armées, nantis de fausses cartes de police, bien payés… ». (A. Jaubert cité).

Cour européenne témoignage Papon

Néonazis Cour européenne

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{41} Jaubert Alain. « D …comme drogue » cité. Éditions Alain Moreau 1973. Montaldo Jean. « Dossier S …comme Sanguinetti ». Éditions Alain Moreau 1973.

{42} Il s’établit par ces crimes de tentative des crimes contre l’humanité et du recel des crimes contre l’humanité, (Complot du Plan bleu cité), le lien juridique et judiciaire de connexité indivisible avec les assassinats de l’ancien ministre gaulliste initié aux coupes secrètes du S.A.C.  Boulin (G.L.N.F.), D’Ornano (Rotary) et Fontanet (???), avec la tuerie d’Auriol, de l’assassinat de la députée Yann Piat et des frères barbouzes Fernand Saincené. Affaires étouffées, commentées à la Justice, commentaires publiés sur les blogs.

{Image} Annotation du livre « Dossier D …comme Drogue, le Milieu et la Politique… les Gros Bonnets… Les Financiers et les Filières… En France » d’Alain Jaubert. Edition Alain Moreau 1973 avec la table des matières.

Ces livres documentaires sur le complot juridiquement indivisible publiée dans une série de l’Edition Alain Moreau, en tant que partie civile intervenante, revendiquant la compétence exclusive de la Haute Cour de justice, ont été produits à toutes les juridictions référenciées sur les justifications judiciaires et dans les blogs : Chambre criminelle de la Cour de cassation à répétition, Assemblée plénière de la Cour de cassation à deux reprises, Section du contentieux du Conseil d’État, Haute Cour de justice (Nucci), Cour de Justice de la République (Sang contaminé).

« Les oubliés : ils étaient tous mouillés… » Le Canard enchaîné du 27 novembre 1991. Ces documents ‑ transmis ensuite à l’O.N.U.‑ ont été présentés contre les sociétés COGEDIM et BOUYGUES à la 31° Chambre correctionnel de Paris contre des nombreux élus, (Rotary, G.L.N.F…) Se  sont associés  avec l’ancien comptable Joseph Choukroum du gang Zemmour, truands du S.A.C. spécialisés dans le proxénétisme, rackets, chantages et opérations électoraux musclées. Le déclinatoire de compétence présenté par le Juriste Dietrich intervenant est monté jusqu’à la Cour de cassation malgré les machinations de déstabilisation psychologique combinées avec le « juge rouge » Jacques Bidalou et le substitut de la Cour d’appel Jean-Pierre Marchi. Le favorite fut blanchi, avec ses magistrats associés corrompus par la pègre parisienne, par l’annulation de leur dossier et écoutes téléphoniques par la fausse application de complaisance des constructions juridiques ; les même bien fondées, dont le bénéficie fut refusé au juriste Dietrich par le président Christian Gunehec et autres de la cass.

D comme Drogue Moreau

{Image} Même annotation du livre «  Dossier C …comme Combines, les Petites et les Grandes…, les Fructueuses et les Inattendues… Profit… Corruption… Politique… En France », de Nicolas Fournier et Edmond Legrand. Éditions Alain Moreau 1978 avec la table de matières.

C comme Combine Moreau

{Image} Annotation supplémentaire du livre « B …comme Barbouzes. Une France parallèle, celle des basses œuvres du Pouvoir en France de Patrice Chairoff. Éditions Alain Moreau 1975 avec table des matières.

Patrice Chairoff est le pseudonyme de Yvan Dominique Calzi, ancien militant dans sa jeunesse des groupes néo-fascistes, ensuite dans le Service d’Action Civique (SAC) en malfaiteur spécialisé dans des escroqueries de haute vole avec des sociétés fictives. Dans les années 1960, il a changé le camp, rédigea des articles contre ses anciens collègues marseillais et publia deux livres documentaires « Dossier D comme Barbouzes » et « Dossier Néonazisme », et, en expert, un roman documentaire « Massacre à Auriol » (1985) sur l’assassinat bestial de l’inspecteur de police Jacques Massié par un commando du SAC. L’inspecteur Massié a pénétré les comptes secrets en Suisse du SAC, microfilmé les comptabilités des mouvements secrets des fonds des trafics criminels et de la corruption politique en France. L’essentiel de la documentation a été volé au cours de l’information judiciaire illégale menée à Marseille par des juges légalement incompétents.

 B comme barbouzes Moreau

{Image} Article de la presse : Auriol : LE TRESORIER DU SAC MARSEILLAIS RESTE INTROUVABLE. Il aurait confié son intention de se mettre au vert si les élections étaient favorables à Mitterrand. L’IGS enquête sur les infiltrations du SAC dans la police. Dirigé par un préfet, une équipe de l’inspection générale des services, « la police des polices », à la recherche des quarante trois policiers qui seraient membres du SAC. Libération du 6 août 1981. Jaques Magne.

 Auriol Tuerie

{Image} Annotation de l’article « Enquête d’un journaliste courageux. MARSEILLE, c’est pire que Chicago. La vérité sur l’assassinat du Juge Michel. Trouvé assassiné à Toulouse ». Le MEILLEUR MIDI-PYRÉNÉES 1982. Alain Laville.

L’avocat félon de la victime plaignante de l’assassinat du journaliste René Trouvé du LE MEILLEUR MIDI-PYRÉNÉES, empêchant la saisine de la Haute Cour de justice a été Me René Second, militant gaulliste. Devenu avocat de Peter Dietrich, Me Second a été pleinement motivé de saboter ses procédures en concert avec le Bâtonnier et le Conseil de l’Ordre des avocats de Toulouse et des juges et des procureurs compromis, tous, jusqu’au cou dans ces forfaitures révélées par ce Dietrich. Sous l’angle du complot de  l’escroquerie judiciaire continuée, réitérée, harcèlements des violences et voies de faits psychologies et physiques… subornations… extorsions concussionnaires…, selon la jurisprudence de principe française, le bloc de ses affaires imprescriptibles et nulles d’ordre public, sont toujours actuelles. Cet amalgame juridique et judiciaire passe par les affaires du SAC à Marseille et ailleurs par l’affaire Juby citée à Toulouse… de l’affaire Papon à Bordeaux… de l’affaire COGEDIM/BOUYGUES à Paris… de  l’affaire Hondet-Laborde citée à Bourges… de l’affaire à Mourmelon des assassinats sadiques des jeunes militaires mis sur le dos de ce muet adjudant-chef Chanal, truc-suicidé en prison… de la situation actuelle de Dietrich, paralysée par les menaces d’agression par des armes spéciales et des mesures des coups tordus en tout genre par des revanchards des mafias, des haineux adeptes fanatiques des sectes d’illuminés, couverts du ridicule… jusqu’à la poursuite des tripotages de l’affaire Bettencourt/Sarkozy relative à la corruption des hauts magistrats de juillet 2014.

 Marseille pire Chicago Michel

{Image} Annotation de l’article de la presse : Auriol : les avocats se disputent le dossier de la partie civile. Gilbert Collard (GLNF), écarté jeudi, réapparait vendredi aux côtés de Marina Massie qui lui « renouvelle la confiance ». Libération 22 août 1981. Monique Glasberg.

Collard SAC 1

La totalité de ces dossiers de ce complot indivisible auraient immédiatement dû être transmis au Procureur général auprès de la Haute Cour à Paris. Toutes les actions criminelles ayant suivis les mascarades judiciaires à Marseille sont imputables à ceux qui ont participés.  Art. 60 C. pén. « Seront punis comme complices, (à plus fort raison coauteurs), d’une action qualifiée crime ou délit, ceux qui, par dons, promesses, menaces, abus d’autorité ou de pouvoir, machinations ou artifices coupables, auront provoqué à cette action (complot) ou donnée l’instruction de la commettre… ». Ainsi, qualifiés dès le début par l’article 86 du Code pénal « complot contre la sûreté de l’État par l’attentat au régime constitutionnel », les activités criminelles du Service d’Action Civique (S.A.C.) relevaient de la compétence exclusive de  la Haute Cour de justice.  À l’instar des Sicherheits Abteilungen (S.A.) (Sections de sécurité)) du parti nazi d’Allemagne, créées pour renverser la République de Weimar et hisser Hitler au pouvoir, le S.A.C. a été créée en France pour renverser le régime parlementaire de la VI° République, de hisser au pouvoir  par le régime présidentiel de la V° République des « gangsters d’État » le général Charles de Gaule. Complot par alliance mafieuse des membres du gouvernement, des « patriotes » manipulés par les médias, des fonctionnaires de toutes les administrations, des polices, services secrets de l’Armée, des affairistes commensaux aux malfaiteurs de haut et bas étage de la pègre.

{Image} Annotation de l’article de la presse « Justice, Agent immobilier pas très clerc », relatif aux poursuites pour escroqueries du fils du notaire véreux de la bande du Rotary Jean Aucouturier de Bourges.

La Nouvelle République du Centre-Ouest, Jeudi 10 mars 1994, son arsouille Dominique Herault prépare le terrain au moulin traitre à discours contrefaits, à l’avocat Gilbert Collard (GLNF) de Marseille, demandé au secours des victimes du notariat à Bourge, en éliminant leur conseiller juridique Peter Dietrich : « Une caricature : un légionnaire, au fort accent alsacien, porte son paquetage, soit une soixantaine de pages dactylographiés : il est venu parler « de la mafia et du complot mondial du Rotary-club, du S.A.C., de Touvier » et de tous les autres. Une belle croisade sans doute ».

 Dietrich caricature Légionnaire

{Image} Annotation de l’article de  la Presse : Gilbert Collard (GLNF). L’avocathiodique. Dès qu’un procès risque d’être médiatique, l’avocat marseillais surgit à la vitesse d’un Virenque en descente. Le Canard enchaîné du 16 décembre 1989. Frédéric Pagès.

Dans ce cadre du complot, relève des définitions de  l’escroquerie complexe de  l’article 405 du Code pénal, ces « manœuvres frauduleuses », ces « artifices coupables », produisant de l’ « intervention des tiers » accrédités par la starisation des « mises en scènes » de la médiatisation trompeuse des avocats rodés aux traitrises des causes de leurs dupes de clients justiciables. Ces maîtres saboteurs du gabarit des avocats de Me Gilbert Collard (Marseille), Me Jacques Verges (Paris), Me René Second (Toulouse)… surqualifiés par des captieux artifices médiatiques, arrivent à point nommé en idoines  « sauveteurs » aux plaignants combatifs et détresse judiciaire avec leurs dossiers politiquement sensibles. Des journaleux soudoyés des médias receleurs des produits des crimes, font éliminer insidieusement de la scène judiciaire par la publicité mensongère des avocats ou des conseillers qui peuvent nuire dans les palais de justice à la cause de leurs cartels mafieux des malfaiteurs, conditionnent et instrumentalisent les victimes fourvoyées, toujours plus enragées des sabotages judiciaires, en plus dynamiques agents propagandistes politiques de leurs propres adversaires, finissent, en dernier recours, de se prendre dans les toiles d’araignées porte-croix de l’extrême-droite.

Collard Cathodique

Collard notaires Bourges

{Image 11} Publicité surfaite d’intouchable l’avocat félon Me Gilbert Collard (GLNF) du Front nationale, parti de l’extrême droite proposant d’établir en France l’ORDRE NOUVEAU avec son Député Collard  moulin aux discours contrefaits à l’Assemblée nationale, siégeant dans la commission des lois.

Collard député du Gard

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OFFICE DES NATIONS UNIS

Centre pour les Droits de l ‘Homme.

Comité des Droits de l’Homme.

PALAIS DES NATIONS – CH 1211 GENÈVE 10

25 Janvier 1989

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PLAINTE CONTRE LA FRANCE POUR VIOLATION DES DISPOSITIONS DE L’ARTICLE 14 P.I.D.C.P.

Monsieur André NÉRON, décoré de la Croix du Combattant volontaire de la Résistance, de la Médaille des Évadés, de la Médaille ‘Eisenhower’ (in action faitful and honour claer), de la Médaille interallie » ed distinghuished Service Cross, entrepreneur, de Nationalité Française demeurant ‘le Four à Chaux’ Bouzais 1820 SAINT AMAND MONTROND,

a l’honneur d’exposer:

I.- Exposé succincte des faits.

Les détails des faits et leur analyse juridique sont exposés dans le rapport du Commissaire de Police Y. LEVASSEUR et dans notre plainte avec constitution de partie civile dont les copies sont ci-jointes. Le présent exposé se limitera donc à un résumé et des faits nouveaux.

Dans notre département, le notaire Aucouturier avec les principaux magistrats de la circonscription de la Cour d’Appel de BOURGES se sont livrés à toute une série d’escroqueries et des spéculations illicites au sein d’une société en participation occulte. L’activité illicite de prêts sur billets de fonds à un notaire se pratique généralement pour le placement de capitaux dissimulés à l’administration fiscale…. pour rentabiliser les pots-de-vin.

Ayant ainsi compromise toute la magistrature de la circonscription, l’activité du notaire ne connaissait plus de freins. Il finissait même par escroquer ses propres associés du Ministère Public et de la magistrature du siège, laissant impayées des créances de plusieurs millions de francs.

Les poursuites judiciaires furent confiées à un juge d’instruction de Bourges, saisi par le Ministère Public incompétent. Ce vice enlève à ces actes la légalité, si bien qu’ils n’interrompent pas le délai de prescription.

Au lieu de dessaisir ce notaire de la gestion de son étude par le tribunal de c:arrœrce dans une procédure de faillite destinée à protéger ses créanciers, la « CAISSE CENTRALE DE GARANTIE DES NOTAIRES » renflouait cette société en participation occulte. Parmi les ‘créanciers’ indemnisés cités par le rapport du S.R.P.J., sans dévoiler leur identité, sont justement certains de ces Magistrats.

Puis, sous la protection de ceux-ci, il a été permis au notaire de continuer des escroqueries à l’égard de particuliers afin de boucher l’immense trou de son étude.

Lorsque nous avons dénoncé les activités criminelles de cette association de malfaiteurs dans la revue NOTAIRE CONNEXION, nous fûmes traînés devant le Tribunal pour une prétendue diffamation. Cette procédure-éclaire ne nous a p3S laissé le temps d’organiser correctement notre défense en première instance.

Mais grâce à la publicité tapageuse de notre condamnation, nous avons 1982 trouver un conseiller juridique versé en droit pénal (Dietrich), disposé à nous dévoiler les mystères de ce genre d’affaires.

Devant la Cour d’appel de PARIS, chargée de réexaminer notre condamnation, nous nous sommes justifiés par la légitime défense et par l’excuse légale de provocation, en présentant des preuves irréfutables .Nous avons demandé l’interruption de la procédure civile jusqu’à ce que la juridiction de renvoi ait examiné les infractions de la tende du notaire, dont nous sommes victimes en situation de légitime défense.

Nous avons demandé immédiatement au juge d’Instruction de BOURGES saisie par incompétence en 1982, de faire procéder au renvoi de la procédure des poursuites du notaire et de ses coauteurs, tel qu’il est imposé par l’article 681 du code de procédure Pénale.

Pour contourner l’obstacle de 1’inertie de l’instruction à BOURGES, nous avons déposé une plainte avec constitution de partie civile auprès du Doyen des juges d’instruction de PARIS lieu de résidence des auteurs des infractions. Puis, nous avons demandé directement à la Cour de cassation d’attribuer l’affaire à la juridiction désignée par la LOI dans un règlement de juges.

 » Je suis .informé des fautes carries par certains notaires, ces personnes sont: importantes, je ne puis donner suite à votre plainte, BOURGES étant seul concerné… « , nous répondit alors le doyen des juges d’instruction de PARIS, lors d’une audience tout à fait illégale.

Pour surmonter ce nouvel obstacle, nous avons demandé le dessaisissement du juge d’instruction de BOURGES par l’intermédiaire du président du Tribunal (art.84 C.pr.pén.)

Nous avons récusé le Doyen des juges d’instruction de PARIS devant le Premier Président de la Cour d’Appel (art. 668 C.pr.pén) .

Nous avons demandé le renvoi de l’affaire des poursuites contre le notaire devant la juridiction prévue par la Loi aux chambres d’accusation de PARIS et de BOURGES (art.681 alinéa 4 C.pr.pén.).

Toutes ces procédures sont demeurées sans réponses, alors que devant la Cour d’ Appel de PARIS se poursuivait la procédure contre nous en confirmation frauduleuse de notre condamnation.

Nos moyens de défense présentés furent purement et simplement escamotés dans l’arrêt qui soutient fallacieusement que nous n’ayons pas apporté la preuve de l’exactitude des imputations publiées contre les NOTAIRES et de notre bonne foi dans la justification sur la légitime défense.

II.- SUR LA VIOLATION DES DISPOSITIONS de l’ART. 14 du P.I.D.C.P.

1° sur la violation du principe de l’égalité.

 » Tous sont égaux devant les tribunaux et les cours de Justice « , dispose cet article.

Or, lorsque le Procureur de la république de BURGESS saisissait son juge d’instruction il savait pertinemment que les Magistrats étaient compromis dans ces escroqueries et que la procédure déclenchée était entachée du vice d’incompétence.

Il savait pertinemment depuis le sabotage réussi de l’affaire des micros du journal du ‘canard Enchaîné’ qu’une telle procédure s’éteint par la prescription, à savoir par l’impunité des délinquants et par la condamnation des victimes aux frais des procédures.

Or, il n’y a peu d’avocats en FRANCE qui osent s’opposer à de telles escroqueries judiciaires. les fonctionnaires jugeurs appliquent ainsi une Justice féodale ou la responsabilité des personnes privilégiées est inexistante La JUSTICE ne sert plus qu’à écraser, qu’à opprimer, une catégorie de plaideurs et assurer aux autres l’impunité.

Entre 1982 et 1988, aucune mesure légale ne fût prise contre les criminels de haut vol des complices du notaire, aucune poursuite judiciaire n’a pu aboutir à un résultat tangible, tandis que nous, les victimes avons été littéralement submergées par des condamnations truquées, confirmés par toutes les instances.

2° Violation du principe de compétence et de la légalité des juridictions saisies.

 » Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue par un Tribunal compétent, établie par le loi (art.14 .P.I.D.C.P.) les articles 679 et 681 C.pr.pén., attribuent la compétence juridictionnelle des poursuites des affaires où des magistrats sont susceptibles d’être inculpés et de leurs complices à une chambre de cassation spécialement désignée par la Cour de Cassation (voir les actes annexes).

Dans l’affaire des poursuites contre l’ex-notaire AUCOUTURIER, dès le départ il apparaissait cet état de chose dans le dossier. (Le juge d’instruction de BOURGES, depuis 1982 trafiquait une instruction sans En avoir reçu les pouvoirs par la loi).

De même, la Cour d’appel. De PARIS statuant sur les poursuites pour  » diffamations », n’est pas habilitée par la loi à examiner nos troyens justificatifs tirés par la légitime défense contre ces magistrats, l’excuse légale de provocation ou simplement notre bonne foi et l’exception de vérité en matière de presse. Ainsi pas une juridiction ayant examiné nos affaires n’est celle prévue par la loi française.

3° Violation des principes d’impartialité et d’équité

Dans la poursuite du Notaire AUCOUTURIER, il s’agissait d’étouffer les faits criminels des magistrats par d’autres magistrats sans doute impliqués dans des affaires semblables. Les décisions rendues sont par voie de conséquence des décisions partiales.

Cette partialité et l’iniquité, se manifeste aussi dans la différenciation frauduleuse de la vitesse dont ont été traitées les procédures .Celles qui nous accablèrent à tort et à travers furent rendues avec vélocité, tandis que les procédures ruineuses contre les malfaiteurs huppés s’enlisèrent irrémédiablement par l’obstruction de la Justice.

4° Violation du principe du délai raisonnable.

Cette différence de vitesse dans le traitement des procédures, différence de vitesse ayant aboutie à la condamnation des victimes, des délinquants incontestés, témoigne déjà de la violation de ce principe.

Mais la comparaison avec d’autres procès, net aussi en évidence cette violation. Ainsi la loi impose la saisine sans délais de la juridiction spéciale pouvant examiner les poursuites des magistrats et de leurs complices. Dans une affaire célèbre qui s’est déroulée simultanément à nos efforts infructueux, le Juge d’instruction GRELLIER de PARIS, n’a pas été ménagé par un tel renvoi. Il a osé mettre en cause un dignitaire de l’État (M. Michel Droit), pour forfaiture et pour corruption. La désignation de la juridiction de renvoi a été faite sur le champ dans cette affaire, alors que nous nous attendons toujours une réponse.

De même, simultanément à notre demande de dessaisissement du juge d’Instruction de BOURGES par le président du tribunal (art.84 C.pr.pén.) Par la même procédure fût immédiatement dessaisi le juge d’instruction de la catastrophe aérienne de HABSHEIM, Germain SENGELIN de MULHOUSE, connu pour son esprit d’indépendance à l’égard du pouvoir.

Par ces motifs et par tous ceux qui sont exprimés dans les documents que nous joignons. Nous avons l’honneur de demander au Comité des Droits de l’Homme d’enjoindre à la France  de respecter ses engagement par :

– le rétablissement de la situation légale par l’annulation des décisions intervenues par la fraude.

– Notre indemnisation des préjudices du fonctionnement défectueux de la Justice.

– La poursuite des informations contre tous les membres de l’association de malfaiteurs devant la juridiction désignée par la loi.

III – COPIES CI-JOINTES.

L ° Rapport du Commissaire de Police Yves LEVASSEUR sur les activités du Notaire AUCOUTURIER  et de la Caisse de Garantie des NOTAIRES.

2° Plainte avec constitution de part.ie civile présentée au Doyen des juges d’Instruction de PARIS.

3° Mémoire présenté à la Cour d’Appel de PARIS sur les justifications par la légitime défense et l’excuse de provocation.

4° Arrêt de la Cour d’Appel de PARIS, escamotant nos moyens de défense.

FAIT À BOUZAÏS, le 25 Janvier 1989

Signature Néron André

Renouvellement de la communication de la requête en gestionnaire d’affaire des héritiers d’André Néron. Par les machinations psychosociologiques des agents captieux des ministres de l’Intérieur et de la Justice, et de la manipulation médiatique la veuve Gisèle Néron a été réduite au silence sur ses propres affaires et retournée en propagandiste acharnée de ce gouvernement protégeant ses adversaires du notariat, du notariat d’escrocs et faussaires qui subventionnait en douce les élections de leurs partisans. Manigances pour faire remplacer dans la circonscription électorale l’ex-député-ministre Maurice Papon, (poursuivi par une mascarade en VIP à Bordeaux pour complicité de crimes contre l’humanité), par l’énarque Philippe Aucouturier, l’autre fils receleur du notaire, au moment des forfaits de son père conseillé du président de la République Valérie Giscard d’Estaing. Place au moulin à discours contrefaits Me Gilbert Collard ! Occultons les constructions juridiques congrues et sériées du juriste pénaliste Peter Dietrich ! vilipendons ce trouble-fête par des injures ordurières des arsouilles du journalisme corrompue ! Supprimons ses actes juridiques ! Supprimons lui-même ! Anéantissons-le par des tortures physiques et morales !

 Maintenons ce justicier franc-tireur au plus bas que terre dans l’anéantissement par la pérenne menace métaphorique avec la loi symbolique du 1er août 2013{43} autorisant son arrestation et assassinat psychiatrique à n’importe quel jours, à n’importe quel heure jour ou nuit, au n’importe quel lieu, dans son lit même sans lui laisser la moindre chance de se prévaloir des droits de défense judiciaires accordés par la loi aux pires des criminels.

À l’O.N.U. aussi, des jolis-jolis « copains et coquins » veillent au grain des prédateurs vindicatifs. Mais ces procédés de fripouilles protégés, assaisonnées des mesures vexatoires de hautaines pitres prétentieux, émaillés des agressions verbales, gestuelles et tentatives d’attaques physiques sur la voie publique par des voyous instrumentalisés pour susciter mon arrestation engendrent l’interruption des prescriptions au profit de toutes les victimes qui en font les frais par ricochets.

Les copies de la publication par le périodique NOTAIRES CONNEXION de l’argumentaire de la légitime défense ci-dessus évoqué par le défunt André Néron, sont publiées sur les pages 5 et 6 des blogs. Cet argumentaire fut saboté par leur avocat félon et traitre Me Patrice Guénin de Paris. [44]

Jurisprudence de comparaison !!! LE POSTE le 10/08/2011. « Justice : Un baron présumé de la drogue relâché par la cour d’appel de Lyon. Pour 2 lignes manquantes dans le PV d’arrestation, la Justice a bien été obligé de relâcher le présumé financier d’un vaste réseau de drogue ».

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{43} Le premier août est la fête nationale de la Suisse, de son légendaire justicier franc-tireur Guillaume Tell. Même des français initiés ont compris la signification de cette loi en me signalant la préparation parlementaire et sa publication. Le symbole guerrier est cependant mal choisi. Arnaud von Winkelried aurait été plus pertinent.

{44} Par entremise de M. Éric Laborde Hondet, moi, Dietrich, j’ai fait pratiquer la tierce-opposition contre ces simulacres de défense des Néron. Ce maître escroc à la redresse, avec la coterie Bidalou, Pasqua a été alors aussi engagé dans les tripotages propagandistes des procédures contre l’irréprochable général de la Gendarmerie nationale Christian Prouteau.

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Statistiques d’environ de vingt pour cent des internautes informés. Le contradictoire extra-judiciaire est parfaitement assuré.

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L’évolution internationale, l’actuel occultation judiciaire des instigateurs nazis du massacre d’Oradour-sur-Glane (Fr) rend nécessaire une nouvelle information de l’amplification de ma récapitulation inachevée des occultations des procédures nationales et internationales sur le complot contre la sûreté de l’État, la Haute trahison et les crimes contre l’humanité en France et  l’ajout de documents de conviction. Blogs pages 4, publié sur Facebook.

 

«  Tout tentative de crime qui aurait été manifestée par un commencement d’une exécution […] est considérée comme le crime lui-même ».

Article 2 du Code pénal 1806, seul valide.

 

« Apprenez donc que tous les (régimes) ont les mêmes fictions pour origine ; elles sont également toutes fondés sur le mensonge, l’erreur, la chimère, l’imposture. […] Souvenez-vous que la fin sanctifie les moyens ; que le sage doit prendre pour le bien tous les moyens du méchant pour le mal […] Il faut combattre les fortes personnalités qui sont le plus grand danger. Si elles font preuve d’un esprit créatif, elles ont plus d’impact que des milliers d’hommes laissés dans l’ignorance. »  Adam Weishaupt, chanoine jésuite, professeur en droit allemand.

Pour neutraliser subrepticement l’argumentaire irréfutable d’un juriste Peter Dietrich sur le complot contre la sûreté de l’État, la Constitution a été modifiée en silence par le petite comité des vendus, la Haute Cour de justice passée à la casserole ; manigancé un nouvel Code pénal de dépénalisation insidieuse, assortie d’une mutilation tendancieusement du Code de procédure pénale par les parasites commensaux irresponsables, soudoyés du grand banditisme politique des déprédateurs de la haute finance internationale. Par l’astuce funeste du financement occulte de l’argent sale des combines du trucage des élections, la hypermafia multinationale fit passer en Chefs d’État et en gouvernants leurs propres avocats appointés, des parrains de la Mafia, les maçons mystificateurs, rapaces combinards  de la Grande Loge nationale de France, les rusés coquins du Rotary avec leurs apanages des escrocs fricoteurs…, des néo-nazis fiers de leurs grotesques clowns, agitateurs starisés de la République spectacle : ces soushommesques clébards matinées des cerbères de pure race nazie surhommesque, veilleurs assassins des superprofits des spéculateurs irresponsables par la revanche Wagnérienne, l’apocalypse prophétisée de la « guerre totale ».

 Une vérité historique essentielle des tenants et aboutissants du massacre d’Oradour-sur-Glane aussi, une vérité taboue de laquelle les plaignants et le grand public sont laissés avec constance dans l’ignorance, tandis qu’en 2013/14, les facéties perfides de diversions des bouffons propagandistes des instigateurs défrayent la chronique de tous les médias en France. Tabou demeure la révélation de l’exploitation spéculative de la haute finance internationale, des industriels, marchands, ‑ des Nababs française en première ligne (Oréal…) ‑, de la folie du délire mystique de la secte Thoulé du gourou en chef Hitler. Le Crédo de ces toxicos illuminés élève au-dessus des lois des vulgaires « sous-hommes » terrestres, les surhommes nazis de la divine souche extra-terrestre (Sic). Dès le bas âge, les enfants aryens sont dressés en bestiaux tueurs effrénés, tortionnaires de jouissance, vus à l’œuvre au massacre du village Oradour-sur-Glane.

 À l’aide de la corruption généralisée, tous les leviers de commande du système étatique gangréné sont passée dans les mains sales jusqu’au coudes de leur cortège des Grands Commis d’État, dignitaires de la Légion d’honneur et détenteurs des comptes secrets bien garnis à l’Étranger, (M. Couve de Murville),  préservés d’impôts et investigations judiciaires; des séides dirigeant l’action sous-terrain de leurs polices parallèles des proxos et truands, patentés pour tous les ignobles trafics. Le contribuable berné, sans cesse décavé, est forcé de subventionner encore par le Fisc leur pernicieuse propagande manipulatrice de l’opinion ainsi instrumentalisé, jobardisé (*) par des besogneux, zèles brosses à reluire du journalise laudateur des prospères médias, propriétés des multimilliardaires enrichis, s’enrichissant de plus en plus du crime organisé… en toute impunité.

(*) Explication au demandeur étranger du terme « jobardisé ». « Jobard » ou « jobardise » sont des termes vieillots redevenu à la mode et signifie « rendre crédule jusqu’à la bêtise ». En Allemand, « jobard » le nom, se traduit en « leichtgläubiger Tropf », « jobardise », le qualificatif, « Einfältikeit, Albernheit ». On pourait aussi écrire « jobardé ». « Silly-ninny » en Anglais peut-être. Le suffixe « é » (masculin) « ée » (feminin) sert à former du substantif  le participe passé du verbe « jobardiser », ou « jobarder » un nom de valeur ou un adjectif de valeur d’aspect, de nature qui peut se traduire en Allemande en « Veralbert-Verbödet.

 Voilà donc le vrai visage de la fable, « la France le pays des droits de l’homme »: un tissu inextricable de mensonges du malfaisant l’intox infantilisant. Plus que des spectacles simiesques reflètent une idiotie détractrice des opposants, plus ces scandaleuses insinuations médisantes font la Une des médias ; plus ces vaudevilles de propagande politique procurent aux prospères guignols les attraits d’une notoriété de justiciers héroïques avec des bénefs énormes, générant l’imitation grotesque sur la place publique des groupies abrutis, demeurés et stupides. Rien n’est laissé au hasard. Tout est calculé, tout est organisé par des savants professionnels de haut niveau, par des metteurs en scène anonymes dans les coulisses car, « Dans le monde où chacun triche, c’est l’homme vrai qui fait figure de charlatan. » Gide. Et en avant la musique ! L’histoire se repasse toujours les plats !

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Que des amis…. On le savait bien sûr…mais ceci dit, c’est très intéressant ! Déplacer la souris sur une société et vous allez voir ses ramifications ! Mais pas tout le reste… On comprend mieux cette tentacule qui se partage le monde!:

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Liens entre entreprises.

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28 juillet 2011. Ajout à la page 4 des preuves démonstratives sur l’acquiescement judiciaire sans réserves des autorités politiques, judiciaires et administratives à la totalité des arguments exposés dans ce blog et de la véracité des documents. Dès lors, les malfaiteurs associés se sont jugés eux-mêmes par l’obstruction judiciaire criminelle à la constatation judiciaire de leur culpabilité incontestée pour le tout. Fini la présomption d’innocence ! La présomption de culpabilité est irréfragable ! conformément au principe interprétatif et téléologique (finalité) de la Déclaration de 1795 du droit fondamental de la Déclaration de 1789, et, sur l’équité judiciaire, des Déclarations européennes et de l’ONU ratifiées: « Celui qui, sans enfreindre ouvertement les lois, les élude par ruse et par adresse, blesse les intérêts de tous : il se rende indigne de leur bienveillance et de leur estime ». Il s’agit de la consécration de deux principes généraux de droit. 1° « Le droit ne doit pas céder à ce qui est violation du droit, »à savoir, à la violation des droits fondamentaux des victimes acquises ne doivent pas céder aux obstructions de la constations de la culpabilité judiciairement reconnue sans réserves. 2° « Ce qui est insupportable ne peut être de droit », à savoir, une justice tournée en caricature des « bouffons » par l’entremêlement de la politique mafieuse (Arpaillange), la présomption d’innocence caricaturale, n’est plus du droit.  (PERELMAN Ch. « Logique juridique, Nouvelle rhétorique », Méthodes du droit deuxième édition, Dalloz 1979, discuté dans mon projet quasiment achevé de thèse de doctorat disgraciée).

17/05/2011. Page 4 : Strauss-Kahn, ministre des Finances. Sabotages des dénonciations des crimes contre l’humanité dans l’affaire Papon des grandes finances internationales échappées en 1945/46 aux poursuites des Tribunaux militaires internationaux de Nuremberg et de Tokyo.

Le principe général du droit international (Pacte de l’O.N.U. et Convention de l’Europe) et du droit constitutionnel national « contra non valentem agere non currit prescriptio », la prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir, est consacré par la jurisprudence de principe de la Cour de cassation et de l’article  2234 du code civil applicable dans toutes les branches du droit.

« La prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 juillet 1961, B. 357, et, Crim. 25 novembre 1954, B. 352. La même solution s’applique en matière de presse pour les injures et les diffamations dont j’ai été copieusement abreuvé par une presse subventionnée: « La prescription en matière de presse est interrompue par des obstacles de droit ».Crim. 12 oct. 1993, B. 289.

L’autre principe du droit fondamental international et national relatif à l’équité impose le traitement égalitaire des justiciables par l’indemnisation intégrale des préjudices, notamment des préjudices morales résultant du « fonctionnement défectueux de la justice ». Par l’entremise partisane du Président de la République Nicolas Sarkozy, quarante millions d’Euros en indemnisation des prétendus préjudices morales du fait des sombres procédures amicalement tripatouillées en sa faveur sont attribués à l’ancien ministre affairiste Bernard Tapie en sus d’un capital faramineux prélevé sur l’État.

Bernard Tapie
envoyé par franceinter. – L’info internationale vidéo.

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 En raison des informations judiciaires en cours, publication de la dissertation récapitulative inachevée pour la démystification des justiciables continuellement blousés par les robins combinant avec les médias des multimilliardaires engagés.

Pour pouvoir apprécier la portée réelle de faits historiques, le rapporteur avisé doit s’efforcer de se servir des définitions ayant eu cours officiel à l’époque. En dehors des remarquables romans documentaires de Sven Hassel, rescapé des unités disciplinaires, nous avons relevé chez aucun historien ou journaliste les distinctions nazies des combattants dans l’arène politique et guerrière : le vocabulaire « Surhommes et Sous-hommes » est absolument indispensables à la compréhension de l’élément moral des crimes contre l’humanité. L’omission volontaire est déjà une falsification de l’histoire ou un trucage judiciaire.

 « Les idées folles se prennent comme les maladies et celui qui en attrape une, les attrape généralement toutes. » L’aphorisme de Nietzche est d’une brûlante actualité constante dans la littérature, dans les discours et dans les faits politiques. D’une façon spectaculaire les idées folles font surface à l’instar de la tuerie en Norvège le 22 juillet 2011 par le jeune mollasson repu Breivik. Cet illuminé, drogué pour se donner du courage de passer à l’acte dans un uniforme de Rambo d’opérette, ouvre le feu sur un rassemblement pacifique des femmes et des enfants. « Ne valaient pas plus que des poulets » (Himmler), la vie des 70 morts, atteste la gesticulation théâtrale du méchant abruti, passé en héros médiatique, ovationné par ses condisciples. Se prévalant, assisté d’un avocat de la même farine, de la légitime défense politique contre les sous-hommes, le surhomme starisé le fit savoir implicitement durant son procès avec le poing levé devant les photographes avide du sensationnalisme.

De la même inspiration criminelle sont les déclarations en 1988 de l’avocat-général de la Cour de cassation Alain Terrail. Ouvrait ses pages au propagandiste intouchable, le torchon subventionné de son association professionnelle des juges néo-nazis accumulés au Palais de justice de Bobigny. Proche de mon domicile, de cet antre de charognards dépendait le sort de mes actions en justice, ­‑ dont celles produits à Toulon ‑, sabotées et paralysées par leurs membres militants de l’extrême droit. De sang-froid, ce magistrat du pinacle de la hiérarchie préconise « le four crématoire » pour éliminer le substitut Albert Lévy. Auprès de palais de justice de Toulon, la vilaine balance dénonçait la disparition dans son service du ministère public la liste nominative de personnalités stipendiées par la mafia ; des documents probatoires déposé la veille de son assassinat par la députée Yann Piat.

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En deuxième année des études universitaires du droit, l’étudiant apprend que l’incrimination pénale se divise en trois éléments. 1° l’élément matériel : les actes et faits perpétrés. 2° l’élément légale : la qualification restrictive par le droit écrite. 3° L’élément moral : grosso modo, l’état psychologique de l’auteur, l’intention criminelle, le mobile (le Pourquoi), son degré de lucidité et les facteurs de l’entourage sociale, déterminant l’étendu de sa responsabilité pénale. C’est en passant derrière un écran de fumée les éléments moraux, l’idéologie et les superstitions des crimes contre l’humanité, la conviction des juges et du monde des observateurs a été méthodique trompés par l’investissement important dans la fabrication académique, judiciaire et journalistique des fausses nouvelles des demi-vérités tendancieuses. L’époque de l’avènement des nazis hitlériens a été marquée par la contamination de la haute société et des artistes toxicomanes par les pratiques sectaires du mysticisme, du spiritisme, de la magie et sorcellerie, la télépathie et autres enfantillages d’illumination dont Hitler a été un des gourous extralucides « infaillible » comme le Pape. La haute hiérarchie des surhommes nazie, notamment Himmler, pratiquaient des messes de spiritisme en groupe autour des médiums drogués.

D’Hitler, de Hess et autres visionnaires illuminés, toutes les décisions aberrantes ont été produites dans leur cerveau détraqué par des drogues par des hallucinations prise pour la télépathie avec les Aryens de la planète éloignée dans l’Univers. Ses crises hallucinatoires du délirium trémens sont interprétées par ses fidèles adeptes, docteurs par-ci, docteurs par-là, en « combat des dieux ». (E.R. Carmin cité). Mais, la prophétie sectaire Thoulé, annonce la purification de la Terre polluée des sous-hommes et des bêtes humanoïdes (*) que par la Troisième Guerre mondiale, si bien que les adeptes l’ont déjà organisé avant même que le Deuxième ratée soit terminé. Dans les procès à l’époque, comme aujourd’hui, il est impensable que les magistrats fassent état dans cette communauté mondiale de détraqués des membres de l’aristocratie de sang et du fric avec tout leur cortège d’académiciens, magistrats, hautes fonctionnaires, ecclésiastiques, les grandes familles, dont la descendance détiennent quasiment tous les pouvoir aujourd’hui pour rêver à la revanche. Or, l’obligatoire enquête sociale en France en matière criminelle sur la moralité des accusés et de leurs fréquentations, aurait mise en évidence les complicités par « instigation, par aide et assistance, fourniture des moyens… ». Impossible et toujours impossible, car l’impossible dépasse les mœurs français, de faire tomber les têtes de la haute société, et, encore plus ceux des receleurs des crimes contre l’humanité.

{(*) La caractérisation des gens de couleur en bêtes humanoïdes provient d’une exégèse abracadabrante des saintes missionnaires en Afrique, pour faire résigner les autochtones ignorantes à la chosification de vils esclaves : Caïn, selon la fable Genèse IV, fils ainé des premiers hommes Adam et Ève, a assassiné son frère Abel. Condamné à la fuite éternelle sur la Terre, en manque des compagnes féminines, le satyre s’est accouplé avec les femelles des grands signes, des Bonobos, Chimpanzés, Gorilles pour donner naissance en Afrique de la race noire ; avec les femelles Orang-Outan la race jaune en Asie, des races humanoïdes chargés du péché capital héréditaire d’Abel. (Pour prouver la véracité de ces fables hallucinatoires, des gynécologues nazis pratiquaient chez des jeunes filles des fécondations ou implantes bestiales dans les camps de concentrations). Nous retrouvons explicitement ou implicitement dans l’actualité ces convictions dans les attaques politicardes, médiatisées contre la Madame la Ministre de la Justice  Christiane Taubira.

La stérilisation des Fruits mélioratifs de l’amour métissés de l’occupation par des militaires noirs des Alliés, après leur victoire en 1918, de la semence ayant « souillée la race allemande », a été le premier objectif de Hitler en 1933. Nous retrouvons le même objectif assassin «de l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs, les Mongols », chez des ministres néonazis de l’Ordre nouveau  de l’Occident, faufilés dans des gouvernements successives  à l’aide des financements occultes : le giscardien Alain Madelin et autres, en « lutte contre la pourriture démocratique », associé au capo di capo Charles Pasqua, chef des truands du Service d’action civique; Gérard Longuet, en ministre de la Défense dans le régime de Sarko-les-Pots-de-Vin, sans que le juge d’instruction ait procédé à l’enquête sociale obligatoire dans l’information des financements occultes venant de la Suisse, ni les magistrats saisis ensuite dans l’affaire Papon et autres affaires qui en succédaient. De la tentative des crimes contre l’humanité, de l’apologie, la magistrature ne veut rien savoir.}

Ainsi, avec les détails, référenciés sur les pages 4 des blogs, nous voilà au cœur de toutes les maquillages, tripotages et falsifications judiciaires agencées dans les principaux états occidentaux pour assure l’impunité aux plus dangereux criminels contre l’humanité (Casamayor), dont en France l’apothéose des clowns la plus marquante de l’affaire Papon à Bordeaux avec toutes ses répercutions ultérieures. Dans une information pénale sérieuse contre des crimes, surtout s’ils sont collectifs, comme pour l’historien, le facteur fondamental consiste dans la définition de la définition rationnelles de la psychologie ou de la morale des actions incriminées pour en déduire les mobiles qui en l’espèce de l’organisation de la Deuxième Guerre mondiale se précisent par le crédo de la Secte Thoulé des surhommes Aryens d’origine extraterrestre , ‑ dont Hitler a été un des « Grands Magiciens noirs » avec Rudolf Hess ‑, des préceptes récupérés tendancieusement par « les araignes porte-croix » dans la philosophie ironiste de Nietzsche, déclamés notamment par le chef des SS à ses formations et à ses troupes.

Sont toujours actuelles des préceptes de la caricature d’anticipation de ce Nietzche dénigré par une certaine intelligentsia stupide ; aphorismes cyniques dénaturées aux usages académiques des thèses des érudits nazis. Après le putsch de Munich, à la prison de Landsberg, a été procédé à l’éducation du tribun hypnotiseur phénoménal des masses, au conditionnement en meneur (Führer) « l’irresponsable » caporal Hitler ; « paranoïaque » authentique instrumentalisé à l’organisation de « La Guerre totale » du théoricien et stratège de la conflagration wagnérienne, le général Erich Lüdendorf. Ce criminel de guerre d’envergure aigri de la Première Guerre mondiale, est épargné des poursuites judiciaires des Alliés, juste pour lui permettre de faire remettre la place publique sectionné en se servant des élucubrations mystiques de la secte Thoulé:

 « Populacier salmigondis, où tout est pêle-mêle avec tout, saint et gredin, et hobereau et juif, et tout le bétail sorti de l’Arche de Noé. De bonnes manières ! Tout chez nous et faux et pourri… C’est la canaille que nous avons fuie, tous ces braillards et ces mouches à viande scribouillardes, la boutiquière puanteur, l’ambitieux frétillement, la fétide haleine, ‑ parmi la canaille fi donc de vivre (…) Et j’ai tourné le dos aux gouvernants, lorsque je vis ce qu’ils nomment à présent gouverner : trafic et marchandage du pouvoir ‑ avec la canaille ». (In Ainsi parla Zarathoustra). « Vous les hommes supérieurs, voici ma leçon : sur la place publique, personne n’accorde créance aux hommes supérieurs…. (…) À l’écart de la place publique et de la renommée se fait tout grand ouvre ; à l’écart de la place publique et de la renommée toujours vécurent ceux qui inventèrent des nouvelles valeurs.» Par définition de la philosophie de Nietzche, la qualification « surhommes » est radicalement exclue aux Nazis, purs produits de rebut culturel, stigmatisés par lui la décadence des artifices journalistiques : effets spéciaux grimaciers des mises en scènes médiatiques des manifestations grandguignolesques pour abrutir le grand public crédule, propagande abrutissant de matraquage, massivement subventionnés par la canaille spéculatrice de la grande finance internationale.

– Pour la théocratie des gourous de l’Empire occulte Thoulé, « les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point ». Déjà en 1924, Hitler et ses initiateurs et mentors académiques, dont des psys, dans sa fameuse profession de foi Mein Kampf (Mon combat), annonçait au monde avisé, militant ou opposant, ses intentions comme il n’a pas plus claire « Nous devons porter sur notre visière le signe distinctif (tête de mort) de que le Ciel même attend de nous ». Dans le combat des dieux en devenir, l’élite de reproduction et machine à tuer, la SS ne devait non seulement donner le matériel de la reproduction pour l’homme nouveau, elle devait aussi être la cellule reproductrice d’une future société d’orientation magico-païenne, la cellule reproductrice d’une nouvelle religion.

« La meilleure arme politique est la terreur. Tout ce qui relève de la cruauté impose le respect. Qu’on nous aime, ça n’a guère d’importance, pourvu qu’on nous respecte. Qu’on nous haïsse même, tant pis, pourvu qu’on nous craigne ». Reichsführer Heinrich Himmler. Dans son discours aux Waffen SS étrangers, dont les « sous-hommes » français de la Brigade SS Frankreich et de la Division SS Charlemagne incluant les volontaires du lieutenant-colonel  (Obersturmbann Führer) SS français Jacques Doriot de la Légion des Volontaires françaises contre le Bolchevisme et de Miliciens du général SS français Joseph Darnand : « Là où nous combattons, chacun devra savoir que tuer un homme ne compte pas plus pour nous que tuer une poule. C’est la voie sûre vers la puissance totale ». (Sven Hassel).

 « Tolérance et humanité sont signes de faiblesse. L’homme qui ne se sent pas capable de trancher la gorge de sa mère ou de castrer son père est un faible. […] Que le sang pour vous ne soit pas plus pénible à voir que l’eau.  Jouissez de l’assassinat des traîtres, des intellectuels, détruisez les rêveurs livresques, brûlez leurs ouvrages, écrasez tout cela ! L’État national-socialiste compte trois ennemis : les prêtres, les juifs, les intellectuels. Si vous ne trouvez aucun reproche à leur faire, inventez les reproches ; ne les lâchez pas… […] Ceux qui entrent vivant derrière les barbelés de nos camps en sortiront morts, mais laissez-leur d’abord le temps d’apprécier le séjour que nous leur réservons… » Discours du 1° octobre 1933 au cours de l’installation du KZ de Dachau, inspecteur général de K.Z. Standartortenführer (colonel encore du sinistre Régiment Tod, (Mort) Théodor Eicke.

– Dans la philosophie ironiste de Nietzche, philosophie officialisée par le parti nazi, dans « Ainsi parla Zarathoustra », les nazis se sont identifiés en peuple des arrivants, des géants blonds de la belle race ayant dans une beuverie « tué et enterré Dieu » pour partir ensuite en surhommes à la conquête du Monde : « Aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres (…) la guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour du prochain. (…) J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, – il faut savoir aussi qui sabrer ! […] Brisez, me brisez donc les gens du bien et les justes, (…) Rébellion ­‑ c’est distinction des esclaves. Que votre distinction soit d’obéir ! Que votre commandement lui-même soit obéissance. Retenaient les Nazis de la prophétie cinglée de Zarathoustra Retenaient les Nazis de la prophétie cinglée de Zarathoustra, interprète des idées de Nietzche, pour en faire le fondement essentiel de leur idéologie politique.

Avec l’occultation de ces informations judiciaires préliminaires, par une magistrature de paillassons ouvertement militantes syndiqués et « subventionnés » en douce à la direction des institutions, en se prenant pour des surhommes, les humbles justiciables pour des sous-hommes à rouler dans la farine, est consommée la défiguration de la totalité des procès nationaux ou internationaux contre les Nazis. Avec le maquillage de l’Histoire, l’observateur impartial ainsi démystifié constate par les requalifications ci-dessous des escroqueries judiciaires le jeu pervers concertiste entre accusateurs et révisionnistes : coupeurs de cheveux en quatre rivalisant de leurs mises en scènes et artifices coupables consistant de concert, par un étouffant raz-de-marée d’argumentaires artificieuses, oiseuses de laisser le grand public dans l’ignorance totale des tenants et aboutissants des crimes contre l’humanité. Allégués en hypothèse désinformatrice par les révisionnistes, l’argumentaire de Jean-Jacques Fouché (*), « les SS ont construit leur justification du massacre avant même de le perpétrer » est un fait d’une évidence qui saute aux yeux même d’un aveugle. Le dynamisme des victimes enragée et leurs associations de défenses est exploité méthodiquement dans des parodies de justice s’efforçant de maintenir l’écran de fumée devant la responsabilité des organisateurs, exploiteurs, profiteurs-receleurs des crimes contre l’humanité de la Deuxième Guerre mondiale. Les preuves irrévocables dans l’affaire Papon étendue dans une grande partie des juridictions en France, ne constituent des échantillons tirés d’une indécrottable pratique généralisée. ((*) Oradour. La politique et la justice, Éditions Lucien Souny, 2004).

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Chez les membres inscrits au parti nazi des surhommes, comme pour leurs acolytes sous-hommes du parti fasciste, à plus forte raison pour les SS assermentés à l’exécution du génocide de purification raciale, annoncé par une littérature sans équivoque, diffusée à tambour battante et planifié au vu et au su de la société internationale, l’exigence légale et judiciaire de la France de l’individualisation de l’élément morale relevait après la Deuxième Guerre mondiale de la pure utopie humanitariste : l’acquiescement collectif sans réserve est intrinsèque à leurs engagement enregistré, accompagne de leur militantisme violent, meurtrier pour la conquête et pour la mise aux mains des criminels vantards le pouvoir despotique absolu et l’hégémonie: « Emparons du pouvoir. Nous ne le rendrons jamais quelque soient les moyens pour le conserver ». 3 janvier 1932, Joseph Goebbels, ministre de la Propagande et de l’Éducation du Peuple.  « C’est le pouvoir que je veux. Lorsque nous l’aurons obtenu, nous le garderons. Personne ne nous l’arrachera plus ».  Discours d’Hitler à Munich le 30 novembre 1932. « Nous jurons de ne jamais épargner le sang. Que ce soit le nôtre ou celui des étrangers, si la Nation le réclame ». Himmler, article du Volkischer Beobachter, 17 janvier 1940.

Les Nazis, c’est l’Ordre nouveau des surhommes de souche extraterrestre avec leur religion rocambolesque du gourou extralucide Hitler. Les Fachos, c’est l’ordre ancien du Saint empire germanique : l’hégémonie spirituel de l’Église, l’absolutisme temporel des régents germaniques sacrés, les privilèges de l’aristocratie au sang bleu, secondée de la noblesse de robe (robins), du corporatisme et le servage du menu peuple taillable et corvéable à merci ; la conservation du pouvoir à l’aide des autodafés individuels et collectifs. Inquisition par des détraqués spirituels, jugements de Dieux, tortures rituelles précédant des mises à mort par le supplice sur le bûcher et d’autres boucheries judiciaires en grand spectacle sur la place public de ce genre fantasmatique des intermédiaires d’un Dieu imaginaire. Pour les nostalgiques cathos du fascisme, Hitler et ses « barbares » sont des envoyés de Dieu comparable à Clovis I, sacré par l’Évêque hérétique Remi de Reims. Avec sa sorcellerie incantatoire fut détruit pour dix siècles en Occident avec les hordes de pillards, violeurs et cannibales « tout ce qui a été noble sur Terre », mise en musique par Wagner : « La Crépuscule de Dieu » qui s’achève dans une orgie de feu et de destruction, selon la prophétie Zarathoustra, ironisée par Nietzche.

Pour le Nazis, c’est la légende sacrée Nibelung, leitmotiv de la musique de Wagner, la lutte pour maintenir la civilisation des Goths, chrétiens cultivés, contre les Francs païens victorieux, instrumentalisés par une secte des hérétiques chrétiens se servant des superstitions des adorateurs du dieu de la guerre Wotan, son paradis des guerriers Walhalla, les déesses Walkyrie, convoyeuses des âmes des guerriers tués, leurs concierges, hôtesses et barmaids dans l’imaginaire Au-delà derrière les nuages.

Certes, parmi les premières victimes des camps de concentration ont été des valeureux ecclésiastiques et religieux cathos et protestants à côté des Allemands de principes intransigeants, à éliminer en priorité, en raison de leurs convictions de de Justice et de l’humanitarisme. Néanmoins, un grand nombre des saints hommes avec le Pape, en Allemagne comme à l’étranger, voyant en Hitler le Sauveur providentiel, proclamant haute et fort la nécessité d’éliminer massivement les Juifs et la restauration du Saint Empire germanique pour extirper les idées du matérialisme historique, le venin athéiste du juif Karl Marx. Et comme le sauvetage divin ne pourrait s’accomplir par la Troisième Guerre mondiale, selon la prophétie des télépathes de la secte Thoulé, après le débâcle militaire, l’Église fut le premier protecteur des pires de criminels contre l’humanité, fit procéder clandestinement par leurs filières monastiques et la Croix rouge à l’exfiltration des criminels avec leurs capitaux spoliés. (Détaillé par E.R. Carmin cité).

En France, à partir de 1941, le père spirituel et instigateur selon la terminologie pénale de la collaboration militaire fut la nazie assermentée à la fois à Hitler et au Pape, Monseigneur de la curie romaine Jean, Compte de Mayol de Loupé, nommé en 1941 lieutenant-colonel SS par ordre spéciale du Reichsführer Heinrich Himmler. D’un compte du Saint empire germanique, ne coule pas dans ses veines le sang bleu des valeureux ancêtres, compagnons d’armes de Clovis I, de Charlemagne et de leurs successeurs aux tares héréditaires se manifestant périodiquement au cours de l’histoire ? Il est permis de s’interroger si ce traître de l’armée française ne fit pas partie du club des aristocrates du roi déchu Éduard VIII d’Angleterre ayant livré la France à leur conjuré Hitler. Par son ascendant sur les croyants, sa sainteté a envoyé à la mort en ex-Union des milliers des Français de la Légion Volontaire Français et des Brigade et Division Waffen SS. Hélas, le sacré protège les religieux de la condamnation blasphématoire à pendaison par leurs coreligionnaires de la magistrature. Des victimes de son ascendant spirituel furent fusillées. Sa sainteté des anges noirs aux têtes de mort a écopé dix ans d’emprisonnement en France. Mais beaucoup de ses homologues en Europe continuaient d’user et d’abuser de leurs néfaste influence spirituelle dans leurs activités criminelles, notamment des évêques en Suisse. En tout impunité.

Lors du procès de Nüremberg, les groupes du genre SS ont été reconnus comme organisation criminelle. : « Tous les individus appartenant à cette formation ou à ce groupe peuvent être considérés comme coauteurs… Chez les Nazis, est intrinsèque et implicite leur participation, selon la portée des articles 59 et 60 du Code pénale 1806. Or, selon une saine logique juridique conforme aux droits fondamentaux, quand le lien de responsabilité de coactivité ou de complicité s’établi au rang social du bas, à plus forte raison, il s’établit au rang social du haute.

Sur le plan du droit pénal, la responsabilité de cette catégorie d’évêques, des membres « aideurs et assistants » du gouvernement de Vichy et des officiers français ou étrangers des Waffen SS internationaux des sous-hommes ne se limite pas aux crimes perpétués en ex-Union soviétique. L’envoie massive des sous-hommes des unités Waffen SS étrangers en ex-Union soviétique a rendu disponibles l’unité authentiques des surhommes Waffen SS Das Reich pour les massacres tels qu’ils ont été perpétrés en Oradour-sur-Glane. Ainsi, selon les dispositions des articles 59 et 60 du Code de pénal 1806, seul valide encore aujourd’hui, les membres du gouvernent de Vichy, coauteurs sans équivoque des crimes contre l’humanité, devrait être tenu comme responsable des massacres perpétrés en France comme à l’étranger. (Dans le Code pénal 2012, « politiquement illégitime et constitutionnellement illégale », par des dépénalisations astucieuses, les criminels comploteurs de la haute société, coauteurs, complices et receleurs, déjà engagés dans les tentatives criminelles de revanche, ne peuvent plus être sérieusement inquiétés. Depuis 25 ans, mes dissertations juridiques et exposés judiciaires sont immédiatement suivies des modifications de lois pour les désamorcer).

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Après des massacres en beaucoup plus grande échèle en ex-Union soviétique, le massacre des 648 victimes du petit village française d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944 a fait objet pour crimes de guerres des procès devant le Tribunal militaire spéciale à Bordeaux en 1951, créée par une ordonnance de 1944 et dont les dispositions se sont toujours trouvées en vigueur jusqu’en 1990 dans le Code pénal 1806. Tribunal composé en partie d’anciens résistants et de Force françaises libres. (Notons la présentation sur le Grand écran de Paris dans les années 1995 un film saisissant sur le massacre bestial et les viols sadiques perpétrés dans un village en Biélorussie par les Waffen SS).

Les massacres furent perpétués par la Division Waffen SS Das Reich. Ce ne sont pas des militaires de l’armée régulière de l’Allemagne d’alors. Il s’agit de l’unité armée des militants politiques du parti nazi, en dehors et supérieur à l’armée régulière, de la Wehrmacht, SS commandés au sommet par le terreur de Reichsführer SS Heinrich Himmler, hiérarchiquement au-dessus des chefs militaires de l’Armée. Le crédo connu de leur idéologie, il est absolument inconvenant traiter des exterminateurs assermentés devant les juridictions comme des volontaire militaires. Pour rentrer dans l’SS, il fallait au candidat apporter d’abord la preuve de sa pureté raciale jusqu’au huitième degré de la généalogie, ensuite, la preuve de l’acquiescement totale à l’idéologie du conquêt du Lebensraum par la méthodique extermination des sous-hommes, des bêtes humanoïdes et des bâtards. (En 1933, Hitler réalisait son premier objectif : la stérilisation des souillures de la race, des fruits d’amour des allemands avec les « bêtes humanoïdes » de l’armée d’occupation de la Première Guerre mondiale). Ils s’en suit, par le raisonnement du droit pénal français, les SS, à l’instar de tous les promoteurs, ne doivent pas seulement répondre des crimes personnellement perpétrés, ils doivent répondre de leur participation coupable à l’organisation préalable des génocides et boucheries dans les camps de concentration.

« Qui veut le but, veut les moyens », mêmes inconnus par les complices, selon la jurisprudence française appliquée aux petits gangsters du droit commun. Impossible d’appliquer le droit strict aux millions de monstres illuminés ou ensorcelés par le mysticisme délirant de la secte Thoulé, ayant débuté d’étendre sur la terre entière le cataclysme du mythe aryen, de l’apocalypse mise en musique par Wagner. En droit français, la tentative criminelle est punissable comme le crime lui-même, avec la complicité par instigation, aide et assistance, fourniture des moyens… à la réalisation de la prophétie Thoulé, dont l’acquisition de la victoire finale ne se réalisera par la Troisième Guerre mondiale. Ainsi, dans le droit strict appliqué aux criminels du droit commun, les massacreurs d’Oradour-sur-Glane seraient ténus non seulement des crimes accomplis, mais encore de ceux qui ont déjà tentés d’accomplir dans le cadre de l’idéologie de leur parti des fou furieux. Impossible ! Où trouver les juges impartiaux en nombre suffisant avec la corruption élevés à la hauteur des institutions gouvernementales par la Légion d’honneur et des pots-de-vin ?

Le procès de Nüremberg a accouché l’incrimination « Crimes contre l’humanité » et le principe appliqué aux auteurs SS, reconnus comme organisation criminelle, « la responsabilité collective ». La dernière incrimination est reprise par le droit français en 1948, après les révélations au gouvernement du sinistre d’Oradour-sur-Glane. Or, si on estime que, selon le droit fondamental, le droit est égal pour tous, les poursuites ne peuvent pas se limiter aux condamnations de quelques individus symboliques en sous-ordre. La Morale républicaine, l’éthique judiciaire exigerait à ce que soient poursuivis de prime abord les instigateurs de la haute société politique et économique, des instigateurs, aideurs et assistants, fournitures des moyens financiers, industriels, politiques, judiciaires…. les receleurs de crimes contre l’humanité, continués par des crimes politiques et de guerre de l’actualité. Avec leurs larbins, tels que Papon, aux leviers de commande du régime, les criminels cardinaux se foutent à présent du tiers et du quart avec leurs momeries des hypocrites vu tout au longueur des procès référenciés aux blogs : de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation, du Conseil d’État, de la feue Haute Cour de justice, de la Cour fantôche de la République de la substitution, de la Cour européenne des droits de l’homme, de la Cour pénale de la communauté européennes et même des deux Comités de l’O.N.U. «

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Au courant mouvementé des manifestations littéraires, (essentiellement celles des auteurs édités par Alain Moreau et de l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné), sur la concertation de la criminalité politico-judiciaire, par les besogneux scribouillards appointés de la canaille multimilliardaire, a été planté un immense arbre de désinformation devant tout une jungle des crimes impunis du grand banditisme international : des truands, maître-chanteurs, escrocs, proxos, trafiquants, faux-monnayeurs, voleurs, sombres spéculateurs et receleurs du Service d’Action civique, suppôts des anciens ministres des gouvernements des régimes d’après de De Gaule. Après mon implantation dans le système funeste, contre leurs intouchables protégés mouillés dans les criminels contre l’humanité de la Deuxième Guerre mondiale, furent joué dans mes mains, anonymement, une documentation édifiante à l’usage d’analyse et de la présentation à la Justice. (Une grande partie a disparu lors de mon arrestation illégale à Castres en 1981).

« L’incompétence peut être soulevée par toutes les parties, dont la seule partie civile à tous les stades de la procédure, même pour la première fois en cassation », est le principe posé par la jurisprudence de principe de la Cour de cassation citée dans tous les recours. Dans les procédures indéfiniment traînées en longueur à l’aide des artifices des forfaitures prévaricatrices d’excès des pouvoirs des juges faussaires légalement incompétents, a été verrouillée hermétiquement l’extension des poursuites légale du complot qualifié aux personnalités statufiées de la Haute société politique et du fric, aux usurpateurs des pouvoirs publics des régimes successives. Contre ces « gangsters d’État » (au profil marqué de l’ennemi de l’intérieur),  pas à pas, furent produites les références judicieusement commentées des ouvrages édifiants des historiens dont des magistrats noyautés refusent illégalement et obstinement de prendre connaissance dans l’enquête sociale obligatoire par la loi, de l’établissement de l’élément moral pour les répressions des crimes dans toute leur étendu.

Le départ dans les années 1977 à Castres et à Toulouse, a été donné par l’ouvrage d’Alain Jaubert « D… Comme drogue » éd. 1973, établissant les accointances et connexions internationales du milieu politique avec la canaille proxo et trafiquante, ­‑  comme les définissait Nietzche déjà ­‑, avec le crime contre l’humanité de la collaboration nazie et fasciste en France. Par ce fin compilateur d’Alain Jaubert, renseigné de services de polices nationales et étrangers, est établi le prolongement historique des crimes de l’antenne SS de la rue Lauriston à Paris. Son fabuleux trésor des spoliations nazies transité à travers du dispositif militaire des Alliés, s’est trouvé à la source des trafics de drogue de la French connexion, de alimentation les comptes secrets en Suisse des anciens ministres avec en tête Michel Debré avec ses « copains et coquins » (Ponia) du Rotary placés à tous les leviers de commandes de la République.

Dans les compilations d’Alain Jaubert, (un best-seller produisant un scandal à l’époque), sont relevés aux magistrats du ministère public, plus tard à la commission parlementaire d’enquête sur le grand banditisme de la police parallèle « Service d’Action civique », le sort des détenteurs des secrets d’État au gouvernement : les trucides des ministres Boulin (franc-maçon de la Grande Loge Nationale française), Fontanet-la-balance, D’Ornano du Rotary, sous l’égide du Sénat, intouchable escroc  de haute vole bien marqué. Par leurs proches circonvenus, les procédures truquées font toujours objet de contestations médiatiques truquées : des demi-vérités par l’omission des facteurs principaux. En isolant dans les interminables mystifications journalistes les faits indivisibles du contexte général, les mystères sont conservés intacts pour les communs des contribuables et électeurs  illusionnés de la désinformation.

Avec moi en passager clandestin, le train d’enfer politico-judiciaire fonçait vers les trucides d’autres détenteurs des preuves de ces compromissions criminelles des flambeurs de la Haute aux belles manières, plein aux as par le crime organisé.  Mais harcelé sans répit à Toulouse, j’ai raté le train pour Marseille vers l’affaire de la tuerie d’Auriol dans laquelle succombèrent l’inspecteur de police Jacques Massié, torturé et massacré avec femmes et enfants pour la récupération de ses microfilms des comptes secrets en Suisse et les noms de leurs augustes bénéficiaires. J’ai été empêché de prendre le train en marche pour intervenir dans les procédures du juge Pierre Michel pour qui « tout est lié », assassiné à Marseille: moralement par son hiérarchie des voleurs, physiquement par des killers de la Brise de Mer soufflée par l’environnement la pègre des trafiquants de drogue de Charles Pasqua. Ce n’est qu’après l’évasion de la haute sécurité psychiatrique, il m’a été rendu possible de reconstituer ma documentation, d’inclure ces affaires indivisibles dans les procédures débutées. Crim. N° 84 95‑707 du 20 juin 1985. Berthiau homologue les obstructions de justice par des faux en écriture de la Chambre d’accusation d’Aix-en-Provence.

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À Nice, la capitale de la Mafia, selon l’écrivain des romans d’espionnage Grahame Green, maudissant ses princières blanchisseries de l’argent sale, s’est agglutinée  toute une faune criminelle allant de la Franc-maçonnerie déviante, du Rotary aux sociétés secrets vermoulues de l’extrême droit facho-nazie, alliés à celles de la Chevalier de Malte de la coterie du Comte et grand-maître Licio Gelli de la maçonnerie déviante du Vatican. Avec mon déclinatoire de compétence, je me suis fait mouiller dans cette pas drôle salade judiciaire à la sauce niçoise par l’exigence du renvoi en bloc devant la Haute Cour de justice les concertistes du  combinard de ministre-maire Jacques Médecin de la Giscardie. De sang-froid, à Paris, une clique nombreuse des membres du Conseil d’État, manifestait dans la salle d’audience de la Section du contentieux contre la poursuite judiciaire renvoyé de Nice du célèbre parrain, au lieu de révéler la violation ostensible pour eux de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice.

Repenti dans sa retraite au Paraguay, stigmatisant en honnête home abusé, son entourage de Nice en manipulateurs pourris, le frétillant ex-ministre-maire Jacques Médecin, en excellente forme, claque d’une manière surprenante dans  les  mains de ses  médecins. Il se trouvera bien un écrivain qui fera son affaire de la suite du feuilleton des légendes de Grahame Green, de conjecturer sur mystères de la disparition au parquet de Nice de la liste nominative des illustres détenteurs des impressionnantes comptes numérotés dans les banques suisses.

De l’épopée d’Albert Spaggiari, dans les comptes rendus du casse du siècle en France du coffre forte de la Société générale à Nice du 17 au 18 juillet, le faux des vrais est difficilement à démêler pour un particulier placé en dehors du système tordu de la municipalité de Nice. Ancien para vidée de l’Armée en Indochine en raison d’une condamnation criminelle, Spaggiari s’accoquine avec le grand banditisme. En militant dans l’Organisation d’Armée Secrète (O.A.S.), il s’est fait créer le profil d’un aventurier mégalo à la sensibilité à l’extrême  droite, plutôt qu’un véritable gangster du bas-fond sans foi ni loi des bandes de la pègre du ministre d’État Charles Pasqua. En dernière analyse, le butin du casse du siècle aurait été destiné à financer les machinations secrètes de l’association d’entraide néonazi-fasciste « Caténa » (Chaine). La légende et le profil laisse supposer l’imbrication de cette association secrète, semblant à la « Kameraderie » allemande, à l’organisation pseudo-maçonnique du Vatican de Licio Gelli, grand dignitaire fricoteur aussi de l’Ordre de Malte. Toute est lié dans ce complot international contre la démocratie et les droits de l’homme.

Les familiarités de Spaggiari avec milieu politico-crapuleux de Nice de Jacques Médecin et de son adjoint Christian Estrosi, futur ministre-maire de Nice, explique le spectaculaire de organisation de son évasion le 10 mars 1977. Tandis qu’à moi, les juges me firent mettre des menottes au poignet et aux chevilles, le gangster Spaggiari non entravé saute de la fenêtre du bureau du juge d’instruction. Sept mètre plus bas, une voiture est garée sur le trottoir pour amortir la chute. Par l’avocat de Spaggiari, maître  Jacques Peyrat, futur maire de Nice, militant de l’extrême droite, le sacré champion « motodidacte » Estrosi, son rival, est accusé d’avoir été le pilote de  la moto ayant pris en charge la fuite sensationnelle du Palais de Justice.

Tandis que des complices de Spaggiari sont assassinés par des killers, les documents déclassifiés du C.I.A. attribuent à cet aventurier des accointances au Chili avec la junte du général Augusto Pinochet, ses compromissions dans l’assassinat l’ex-ministre de Salvador Allende : Orlando Letelier. Dans ses périples en Argentine, les commentateurs attribuent encore au mercenaire Spaggiari des accointances avec les sommités militaires d’Argentine, impliquées dans le narcotrafic international. Les jalons sont placés aux amateurs de poursuivre de ce feuilleton, car mon élimination judicaire avec le déclinatoire de compétence dans les procédures traficotés à Nice fait obstacle à l’acquisition de la prescription, même à la validité des jugements radicalement nulles pour fraude et incompétence légale, de la suppression de mes actes de procédures, et, à l’application des autoamnisties. (Fin page 3 des blogs).

En 2007, l’aspect allégué de l’organisation criminelle à Nice prend un autre aspect par la publication du livre « Beaux Voyous », (éd Fayard) de Thierry Colombie, historien du crime organisé en France, et, du livre en 2010,  « La Vérité sur le casse de Nice », de Jacques Cassandri, alias Amigo, compagnon d’Albert Spaggiari. Ce dernier prétende que Spaggiari n’a jamais été le cerveau de l’organisation du casse du siècle, se targue de cette gloire. Quoi qu’il en soit, pour s’orienter dans les souterrains de la ville, faire creuser un tunnel en ligne droit vers la chambre des coffres de la Banque, quel est le gangster dans le cercle du ministre-maire Jacques Médecin et de Spaggiari, disposant la compétence technique ?

L’autre historien, Marcel Caille, s’oriente judicieusement vers l’homme le plus efficace en matière de travaux publics et du banditisme de l’extrême droite : le discret et efficace feu Michel Falicon, conseiller et guide de Jacques Médecin à la Marie de Nice et au gouvernement, son copain dans le Rotary. L’ancien para et judoka Falicon est réputé pour son amour des manières fortes et son égide judiciaire sans défaillance. Cet ancien des nazis de l’Occident, flirtait avec le S.A.C., puis préside le Cercle niçois du Club de l’Horloge de l’élite intellectuelle de la droite nationale, pour cultiver des prometteuses alliances électorales avec les minus habens du Front national de l’avocat Jean-Marie Le Pen : « Mon crédo, c’est celui qui a imprégné tout histoire de la France depuis le baptême de Clovis I ». En claire, pour cet étron crotté par Marianne cocufiée sur les fauteuils du Parlement européenne, grâce aux relations de bon voisinage entretenues avec le Président Christian Le Gunehec, le crédo c’est, voire infra, l’anéantissement tout ce qui est de noble sur Terre avec l’extermination des sous-hommes gaulois à l’aide des barbares d’outre-Rhin. Ce baveux avec son confrère Me Gilbert Collard crotté sur les fauteuils de l’Assemblée nationale, ses abrutis de partisans sont des typiques excroissances dépravantes, à en croire à leur philosophie chérie de Nietzche travesti.

Échappé miraculeusement des poursuites judiciaires de ses abus de confiance et escroqueries, avant le fameux casse du siècle la Société générale à Nice, Michel Falicon se rende avec Spaggiari à Milan au congrès facho-nazi de l’Ordre noire…. aurait été révélé aux juges d’instructions par l’orientation obligatoire de leurs enquêtes sociales dans la direction des intouchable du système « de la république des copains et des coquins, (stigmatisé à l’époque par l’ancien ministre de l’Intérieure Michel Poniatowsky). Ces braves parjures intéressés du palais de justice de Nice ont de loin préféré de me menacer des poursuites judiciaires, si j’oserais de ramener encore ma fraise dans leurs salades niçoise du nouveau blanchissement de Michel Falicon avec ses copains du sublime Rotary amalgamé à des sociétés, cercles ou clubs secrets. Pour relaver plus blanc le récidiviste feu Falicon accusé derechef d’escroqueries et détournements de fonds, il fallait laisser trucider par cette association de malfaiteurs cet intrus impertinent de juriste Dietrich osant de leur mettre les points sur les « i ».

Ajout 30/09/2014. Interné après le coup d’état au Chili du 11 septembre 1973, des fonds réunis par des sympathisants pour le secours du Président Salvador Allende sont confié à Jean-Edern Hallier, crypto-nazie alors, copinant avec les avocats du régime Pinochet. Ne sont jamais parvenus aux victimes massacrées des carnages et tortures, les fonds confiés au futur créateur de l’alliance « rouge-brun » avec son conseiller juridique, le « juge rouge » Jacques Bidalou.

Le régime français, les larbins de la haute finance internationale, avec dans son sein des criminels fascistes et nazis contre l’humanité placée sous l’égide judiciaire, détache trois généraux pour conseiller le régime Pinochet pour l’éradication physique de l’opposition. Des spécialistes en tortures du Service d’action civique (SAC) et des néo-nazis et fascistes de  l’ « Occident » et « Ordre nouveau, organisent au Chili des stages pour initier les militaires et policiers aux tortures sophistiquées, notamment par l’usage de l’électricité.

 Des médecins, chirurgiens et psys pervers sadiques, un ramassis d’hallucinés de la fantasmagorie aryenne et tibétaines venus de la France et de l’Allemagne, dans un hôpital aménagé à cet effet, procèdent aux recherches de perfectionnement des tortures médicalisées comme cela a été pratiquée en Allemagne sous Hitler dans les camps de concentration nazies.

Pour les soustraire aux poursuites judiciaires au Chili après la levée de l’immunité, le « gouvernement gangster » de la France accorde asile politique aux pires des massacreurs et tortionnaires du Chili. À la demande du juge d’instruction espagnol Balthazar Garzon de Madrid, Pinochet est arrêté en Angleterre  en novembre 1998 où  le fringuant général comptait se faire opérer d’une hernie discale. Par des certificats psychiatriques de complaisance, le guilleret général Pinochet à la descente de l’avion, accueilli par l’ancien premier ministre Margaret Thatcher, est jugé sénile, inaccessible à une sanction pénale pour génocide, terrorisme et tortures, renvoyé au Chili.

 Mais qui donc en France tenait encore compte des contestations publiques du juriste Peter Dietrich, paria réduit au silence à l’aide des même procédés des fripouilles  psy, relayés par une conspiration médiatique du silence, laudateurs corrompus mettant au pavois le minables des vendus. Tout est lié dans ce complot des déments pervers et détraqués sadique contre l’espèce humaine saine. Tous les chemins passent par Paris vers…

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Plus moyen de débarquer du train d’enfer avant sa bifurcation vers Toulon sur les mystifications judiciaires de l’assassinat de la Député Yann Piat ; à Draguignan sur celles l’assassinat des frères barbouzes Fernand Saincené. Ensuite la machine infernale me déportait à Lyon et à Grenoble pour taquiner la clique des ministres vendus Carignon, Léotard, Noir et autres gros légumes dans le jardin de leurs juteuses combines mafieuses propres à la République des copains et les coquins (Ponia). Même l’observateur myope et borgne, n’y pouvait manquer de constater des compromissions du fertile frère Charles Giscard d’Estaing, et, bien sûre, l’incontournable avocat des cartels multinationales : maître Sarko-les-Pots-de-Vin. En décollage rapide sur son tremplin politique construit amoureusement par le bétonneur Télé-Bouygues et, dans la magistrature des revenants de la Grande Loge Nationale de France d’obédience catho-chambordiste, légitimiste de de la dynastie Clovis I, lignée bâtardisée par le capteur Charlemagne. « Tout est lié ».

Lance sur orbite la nouvelle star de la République spectacle Sarko-les-Pots-de-Vin, cette coterie gangrénée des grands commis d’État hautement emmédaillés, des cumulardes appointées en tâcherons au noir des conseilleurs juridiques des astuces des combines ou des procédés de fripouilles tortueuses pour éviter les poursuites judiciaires, souvent même  des administrateurs dans la société des milliardaires trafiquants. (Le tripatouilleur Président Jean-Claude Magendie du T.G.I de Paris, maçon de la GLNF dans le conseil de surveillance d’une société de Télé-Lagardère, marchand d’arme). Sarko-les-Pots-de-Vin, cette ancienne calamité des ministères et de la Banque de France sinistrés, est hisse sur pavois de la Présidence de la République à l’aide des financements occultes des élections. Sa séduisante maitresse des « fellations » audiovisuelles, placée en tête du ministère de la Justice. Les juges d’instructions incorruptibles dessaisis des dossiers brûlantes, insultés de ses ministres postiches.  Dans ce gouvernement des fantoches usurpateurs de pouvoirs publics, ce flambeur des fonds publics, Sarko-les-Pots-de-Vin, en baladin de comédie dans son cortège de laudateurs, a su faire trouver chez les  mafieux les moyens de me faire régler définitivement le compte par la mobilisation de ses affidés du Milieu connecté aux ripoux de la police et d’une organisation encore inconnue.

Est encore une autre histoire dans ce feuilleton sur la Côte d’Azur, les machinations affairistes dans le système pourri du ministre de la Culture puis de la Défense François Léotard. Bazardant à la mafia la base aéronavale de Fréjus, l’honnête homme chagriné se trouve mise en cause à l’opération des services secrets de l’Armée de l’exécution de l’assassinant de la députée Yann Piat à Toulon : « des Assassins au Cœur du Pouvoir », narrés au juge d’instruction de Draguignan par André Rougeot et Michel Verne, journalistes du Le Canard enchaîné. Offusqué et vindicatif, cet autre usurpateur de pouvoirs légaux de la Haute Cour de justice, fonce à Paris, tracasse les journalistes pour ternir l’éclat de leurs lumières par l’intimidation des émules.

À qui a profité les détournements des fonds destinés à l’indemnisation des victimes de Fréjus la rupture du barrage de retenu d’eau… ? Pour noircir ma bonne réputation par la provocation et ramassage des calomnieuses ragots et commérages intéressées par les psys de Toulouse et de Cadillac, près de Bordeaux, l’enquête sociale illégale en France à l’aide de subornation et retournements des familiers en bonne intelligence, a impliquée même mon irréprochable défunt père en Suisse Paul Dietrich, jadis un modeste entrepreneur. De son implication inconsidérée, fantasque, la fripouille française ne pouvait s’imaginer des conséquences inopinées en perspective.

Finalement les procureurs et juges, sous le coup de leurs dirigeants d’arrivistes, carriériste dénués de tout scrupules, mercantis et spéculateurs de la Grande Loge Nationale Française, du Rotary… firent dérailler le train d’enfer dans la voie de garage des juridictions à  Bourges, Bobigny, Créteil et Paris. Ces pérégrinations à travers les principales juridictions putréfiées de la France sont plutôt comparables à la croisière d’une benne à ordures télécommandée aux balayages, ramassages et aspiration des déchets institutionnels : un bahut surchargé de la pourriture contagieuse, mise en panne sèche par les exactions vindicatives du Fisc, les pneus crevés par les voyoucrates du ministère public, irrémédiablement encastrée dans le mur du silence de la conspiration politico-mafieuse friquée de la honorable haute société hors soupçon.

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Avec les poursuites du fringuant ministre du Budget Maurice Papon, un monument d’arrivisme dévergondé de la clique des conjurés contre les droits fondamentaux de la France, il a été dans la logique de l’évolution judiciaire, l’embarquement au diabolique train de enfer cette vidure faisandée du régime canaille, mêler la vidure à l’aspiration de tout ce tas pourriture dans la benne à ordures avec la procédure ouverte à Bordeaux en 1981 contre ce prétendu complice des crimes nazis et fachos contre l’Humanité.

L’ouvrage essentiel référencié et commenté aux juridictions successives fut celle de l’historien Carmin E.R. « Guru Hitler » (ISBN 3-7263-6446-3 en allemande, épuisé et refondu DAS SCHWARZE REICH, éd. Nicol 2011). L’auteur y lève le voile sur les dissimulations judiciaires du caractère mystique et spiritiste du nazisme : un fait changeant totalement la nature et les caractères de l’étendu de l’élément moral de leurs crimes contre l’humanité… Après les révélations de la boucherie des sous-hommes gaulois d’Oradour-sur-Glane par les surhommes aryens de la Waffen SS, aux coauteurs du Régime de Vichy est applicable l’extension juridique sans équivoque, dans le temps et l’espace, de la responsabilité collective légalisé en France seulement en 1948. Au lieu d’en faire droit aux revendications avisées, comme en Allemagne, à leurs homologues d’impénitents assassins de masses, en 1958, cinq ans après le procès d’Oradour-sur-Glane, tous les condamnés sont libres. Pour remettre ça, financés par des industriels dans les coulisses, protégées de la Justice, les rescapés des Waffen SS français projettent même de renverser la IV° République par le Complot du Plan bleu, en compagnie des camelotes du Roi et autres zèbres de l’extrême droite. Encore une autre affaire étouffée par la connivence judiciaire effacée de la petite Histoire de France.

Or, si, à la Libération de 1944, la loi et la justice sont redevenues égales pour tous par le déterrement du cadavre de la Déclaration des Droits de  l’homme et du Citoyen de 1789, la responsabilité collective s’applique logiquement, en toute égalité, à tous les composants du crime organisé du passé, du présent et du futur, au niveau inférieur comme au niveau supérieur des partisans : aux marionnettistes qui dans leurs pantoufles tirèrent les ficelles dans le confort douillet de l’ombre, comme aux marionnettes de leurs troupes de crétins ou crétinisés, bien comparables aux hordes SA du terrorisme initial de Hitler, têtes rasés en uniformes soldatesques, bottés, abrutis du matraquage haineuse de leur propagande délirante, de l’intox calomnieux et leur désinformation infantilisant visant de laminer au plus mince les idées reçues, les préjugés des hommes-masses.

De l’organisation au sommet des crimes contre l’humanité, l’ouvrage référencié d’historien américain John Costello dévoile ensuite l’opération de sauvetage de l’Occident par Wilson Churchill et ses services secrets MI 5 et MI 6. Malencontreusement ces agents sont tenu au silence par assermentation au régime de  la Monarchie, amputant ainsi le dévoilement complet du complot international dont fit aussi partie le traitre vendu Joseph Kennedy et ses affidés aux États Unis. Est dissimulé à la Justice, l’organigramme de la conspiration de la Haute société internationale s’apprêtant à livrer l’Angleterre à Hitler, l’annuaire du « Right club », redécouvert dans le coffre-fort de leur avocat après son décès.

Le voile sur le complot international de l’aristocratie de l’Église, du sang et du fric ne fut levé qu’après la faillite d’une banque anglaise. Le célèbre écrivain des romans d’espionnage Ian Fleming, ancien officier supérieur des services secrets anglais,  y avait déposé dans le coffre loué son manuscrit à tenir secret durant cent ans pour ménager la royauté du scandal. Les héritiers furent des citoyens américains. Se croyant rentré en possession d’un manuscrit de valeur d’un nouveau best-seller sur la légende de James Bond 007, ils ne revenaient pas de leur surprise de trouver dans leurs mains les récites détaillés de la haute trahison du roi déchu Éduard VIII, adepte drogué, accoquiné de longue date avec ses gourous Hitler et Hess, lui livrant avec ses créatures dans l’état-major interallié les secrets de la défense occidentale, politiquement minée et militairement sabotée auparavant avec les services secrets Nazis (SS/SD) et celles de l’Armée allemande (Abwer).

De son côté, l’historien anglais  Martin Allen divulgue les détails de la haute trahison militaire dans son ouvrage « Le Roi qui a trahi », la dissimulation par la justice française à Alger en 1943, avec celles des USA ensuite,  des trahisons et sabotages combinés en concert avec des autorités françaises.

C’est avec la suppression criminelle de ces informations fondamentaux, avec la suppression du présentateur constitué partie civile par voie d’intervention, fut mené tambour battant les tripatouillages du procès Papon et les procès juridiquement connexes et indivisibles de ses grands acolytes laissés en repos. Au cours de plusieurs audiences publiques, des noms des heureux bénéficiaires du crime judiciaire organisé, (avec les détails de leur méfaits), ont été nominativement et contradictoire présentés aux juges, et aux procureurs et aux avocats et à la presse soudoyée.

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Michel Slitinsky, en jeune homme échappé de la rafle policier des juifs par le toit et rentré dans la Résistance, à la Libération en justicier s’est penché sur les archives poussiéreuses de  la Préfecture de Bordeaux, y recherche les responsables de la déportation de sa famille, de l’extermination dans les camps de mort de la Deuxième Guerre mondiale. Il y a découvert les documents signés par l’ancien secrétaire de la préfecture Maurice Papon, un carriériste dénué de tous scrupules, oublié et récupéré des années plus tard en ministre du Budget dans le gouvernement de ses compères mafieux, promis aux plus hautes fonctions de l’État.

Néonazis Cour européenne

Malencontreusement pour l’ignorant Michel Slitinsky des subtilités du droit et des procédures, en droit français, la complicité du deuxième degré n’est pas pénalement punissable. En toute évidence, en considérant la totalité des membres du gouvernement de Vichy  en coauteurs des crimes contre l’humanité, le secrétaire de préfecture Papon, n’est tout de même qu’un simple complice du Préfet Savatier ; ès qualité de son secrétaire, qu’un complice du deuxième degré du Régime de Vichy. Les motifs de la contestation de leur compétence légale par des exposés écrits aux magistrats jugeurs de Bordeaux ont été même compris et récupérés à leurs besoins par des nombreux profanes. (Mais, aux fins d’indemnisation des victimes, leur responsabilité civile doit être retenue. Papon et ses héritiers se seraient trouvés en calçons par la mise en œuvre de cette action toujours recevable).

En tant que secrétaire de son Préfet, à Papon, complice du deuxième degré, les crimes contre l’humanité du régime de Vichy lui n’ont donc pas été imputables. Mais il en allait tout à fait autrement pour ce compte Olivier Guichard du Rotary. L’hypocrite politicard, avec ses momeries et simagrées exercés pour la télé, s’est présenté sans vergogne en témoin contre Papon pour profiter du super-spectacle des Assises à Bordeaux, alors que le noble fiston a été un tout jeune assistant et secrétaire d’un authentique complice galonné des crimes contre l’humanité, et un des traitres des plus redoutables encore.

Mais comme Papon, en ministre,  a été simultanément justiciable de la Haute Cour de justice 1958 dans le cadre du complot contre la sûreté de l’État de ses homologues du grand banditisme international, le cachotier, avec la corde au cou, trouvait tout intérêt de jouer le perfide jeu. Les affidés de la Cour européenne des Droits de l’Homme n’ont pas manqué de récompenser par une indemnisation substantielle, par un jeu de faux en écriture et par la suppression de mon intervention dans la procédure à Strasbourg, son persévérance jusqu’au dernier souffle. Le magistrat, représentant la défense de la France devant la cour, comment s’est-il comporté en face d’une escroquerie judiciaire patente dans cette procédure truquée ? Quelles ont été les directives de son ministre ? Mystère. À fait longue feu, ma plainte à la Cour pénale européenne de Luxembourg contre ces crimes judiciaires. Pour empêcher la communication aux juges de la cour, la plainte a été interceptée et bloquée au greffe. (Preuves frappantes fin page 4 des blogs).

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Avec l’amplification de la récrimination «complice des crimes contre l’humanité » aux crimes politiques déjà jugés de l’ancien chef de la police française René Bousquet par la Haute Cour de justice 1944, parions, les voyoucrates du ministère public ne se sont rendu-compte que tardivement du scandal que je ne manquerais pas de déclencher avec ma science à l’audience publique devant la Cour d’assise de Paris. Si on qualifie ce fonctionnaire subordonné « complice », on qualifie par ce fait même ses supérieurs du gouvernement auteurs ou coauteurs, leurs autres proches collaborateurs,  complices du premier degré punissables. L’ancien ministre pétainiste Marcel Déat, un des traîtres clefs de la haut trahison de la France en tant que ministre de l’Air de la III° République, exfiltré et protégé par le Vatican, a trouvé refuge en Italie avec sa tirelire. Par la réussite du complot du Plan bleu, Déat s’apprêtait tout bonnement de revenir au gouvernement de la France. Pour dissimuler les attentats de ce genre-là  contre la sûreté de l’État de la Haute société qui les finance en douce par des fonds secrets, les magistrats des cours de justice en France, gaspillaient en toute impunité des sommes insensées du contribuable dans des ruineuses sabotages judiciaires, dans des lamentables mascarades des poursuites contre ses créatures du niveau inférieur dans l’accomplissement des crimes contre l’humanité. Ils se plaignent des surcharges de travaux. Comme nous le présentons ici, pour fabriquer des interminables mascarades judiciaires annulables d’office, ces maquignons trouvent tout le temps nécessaire.

Lorsque  le 13 octobre 2000, s’en est rendu compte de la portée réelle de ma nouvelle intervention en référé d’ordre public, le Président du Tribunal de Grande Instance de Paris. M. Jean-Claude Magendie, maçon affairiste notoire du GLNF du T.G.I. de Paris, ce grand pote serviable de Sarko-les-Pots-de-Vin, a vite fait de faire disparaître la procédure relevant d’office de sa compétence ; son procureur de la République d’oublier les poursuites frelatées du cadavre de l’officier SS Aloïs Brunner, d’abandonner celle contre l’SNCF pour complicité aux crimes contre l’humanité (sic).

Dissuadé par la traque des sbires des ministres de  l’Intérieur de présenter mon argumentaire incontesté aux Assise de Lyon dans l’affaire les poursuites de l’SS Gestapo Klaus Barbi, l’argumentaire incontesté est présenté contre Brunner à Paris, personnellement à Magendie en référé. Dans l’exposé est précisé que les criminels allemands des forces d’occupation, sous peine de nullité générale et substantielle, ne peuvent  être poursuivis que par le tribunal militaire spéciale, composé en partie par des membres de Forces française d’Intérieur et par des Résistants selon l’ordonnance du 28 août 1944 et la loi du 15 septembre 1948, figurant dans le Code de procédure pénale,  encore en vigueur. Les guignols de juges, éliminaient dans la procédure les constitutions de parties civiles des Résistants, victimes du tortionnaire, alors, selon la loi, leurs représentants auraient dû faire  partie de la Cour du jugement.  La belle affaire ! Le rétablissement de la situation légale en France exige à ce que cette procédure des Assise de Lyon soit aussi annulée d’office dans l’intérêt de la loi.

Répétons-le, lors du procès de Nüremberg, les groupes du type SS ont été reconnus comme organisation criminelle indivisible : « Tous les individus appartenant à cette formation ou à ce groupe peuvent être considérés comme coauteurs… ». Chez les Nazis, indubitablement, est intrinsèque et implicite leur participation matérielle et morale, même s’ils n’ont pas été personnellement présents sur le terrain ou zone du crime. Telle est la portée des articles 59 et 60 du Code pénale 1806 et la jurisprudence de principe. Contre un malfaiteur de droit commun emprisonné, a été retenue par la Cass la complicité de son pote en liberté utilisant des moyens ignorés par son associé en taule pour d’autres délits. « Qui veut la fin accepte les moyens », est l’aphorisme qui a dirigé cette jurisprudence de principe. Et comme, paraît-il aux crédules, selon le droit fondamental rétabli par la Libération de 1944, tous sont égaux devant la loi et  la justice… Donc, selon une saine logique juridique conforme aux droits fondamentaux, quand le lien de responsabilité de coactivité ou de complicité s’établit au rang sociale du bas, à plus forte raison, compte tenu de l’élément moral, il s’établit au rang social du haute.

L’activité et la coactivité aux crimes contre l’humanité est une évidence qui saute aux yeux déjà par la coupable tolérance en 1941, légalisé en 1943, de ce gouvernement fantôche de laisser le lieutenant-colonel (Obersturmbann Führer) SS français Jacques Doriot et d’autres officiers SS récupérés parmi les truands dans les prisons, de recruter en France des citoyens diminués en « sous-hommes », pour former la Légion des Volontaires, intégrée dans la Division Waffen SS Charlemagne. Endoctrinés et mus de l’idéologie nazie, tous placés sous le haut commandement des officiers supérieurs et généraux SS pour la réalisation du génocide glorifié par la propagande.

Allant encore plus loin dans cette logique de  la Collaboration, ce gouvernement des auteurs et coauteurs zélateurs de Vichy, fit rentrer dans son sein le général SS Joseph Darnand en chef suprême des toutes les polices, gendarmerie, milice ; lui donne l’aval et la bénédiction du bien-fondé morale au recrutement des sous-hommes françaises pour constituer la Brigade d’assaut SS Frankreich, souvent par des membres de la Milice ou des professionnels de l’Armée française, démobilisée après l’occupation de la Zone libre par les troupes allemands.

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Allons ! Allons ! Un peu de déductions logiques. Le père Edmond Giscard, un haut fonctionnaire du Ministère des finances, faisant ses preuves auprès du gouvernement des auteurs et coauteurs de Vichy, fut décoré par la breloque « Francisque », la plus haute distinction du régime du Maréchal Pétain. Sa spécialité : l’escroquerie de haute vole consistant de détourner à son profit des indemnités accordées aux filiales françaises sinistrées par la guerre d’Indochine,  de réinvestir le magot dans l’immobilier. Devant le Conseil d’État, le pognon n’a pas d’odeur non plus. C’est le doux lubrifiant qui mobilise la mécanique de l’anoblissement par la récupération d’une particule aristocratique tombé en déshérence. Noblesse oblige, quand on s’est inventé chemin faisant vers l’élévation, l’instillation in-utéro dans la circulation des Vilains, de quelques gouttes du noble sang royal.

Les Giscard, c’est toute une histoire. Il leur fallait la création de l’Ordre national du Mérite pour parer à l’inflation galopante de l’Ordre de la Légion d’honneur par des récompenses attribuées à la pelle aux pires des ignominies de la corruption institutionnalisée. Par ce chapitre beaucoup trop vaste pour être résumé par mes moyens matériels limités, nous rentrons dans les récites incomplètes de l’historien allemand E.R. Carmin sur l’organisation nazie et néonazie combinant avec l’Église, et, de l’historien espagnol Jesus Ynfante sur « Les Crimes sous Giscard » : L’affaire de Broglie, l’Opus Deï, Santa Mafia, Matesa…

Allant de pair de l’atavisme d’escrocs de haute vole affligeant les Giscard, leur affinité spirituelle est très marquée avec les tenants de la restauration du Saint-Empire germanique fondé par le baptême du calamiteux exterminateur barbare Clovis I. Cet élément moral explique leurs accointances et acoquinages avec la Santa Mafia, les gladiateurs de la captation des âmes en peine de l’Opus-Deï (œuvre de Dieu), de la Loge maçonnique déviante du Vatican, de de la loge maçonnique néo-fasciste Propaganda Due (P2). La Commission d’enquête parlementaire en Italie l’a qualifié « organisation criminelle secrète ».  Que dire de leurs biens pires apanages en France ?

Dans ce contexte aussi, sont confirmés les révélations de E.R. Carmin, dans sa littérature documentaire escamotés dans les procédures de l’affaire Papon par les crimes de suppression des actes : l’établissant des relations internationales clandestines facho-nazies avec l’Argentine sous la présidence du général Juan Perón, (officier formé en Allemagne), de certaines personnes suspectées d’être liées à la CIA et à la Mafia sicilienne. Ces filières protégées du plus haut niveau du Pouvoir, procédaient à  l’exfiltration des capitaux de la Reichsbank (Banque de l’Empire nazi) en 1943/44 avec ; en 1945, des têtes criminelles les plus dangereuses du régime hitlérien. Carmin en accuse le noble comte, grand-maître Licio Gelli de la maçonnerie déviante, (« excommuniée » du Grand Orient d’Italie), et commandeur des chevaliers de Malte, être une des personnalités clefs, avant même l’éclatement du scandale mémorable de la faillite de la Banco Ambrosiano, dont la Banque du Vatican était le principal actionnaire. Du détournement des milliards de lires, le magot est découvert dans les Bahamas en 2007. Le journaliste David Yallop attribue à cette conspiration néonazie-fasciste et mafieuse, en raison de sa préparation de la réforme des finances du Vatican, l’assassinat du pape Jean-Paul Ier le 28 septembre 1978, soit 33 jours après le début de son règne.

Qu’on cesse enfin de nous rebattre les oreilles par ce bastringue actuel de la désinformation sur le décès de Gestapo Müller en 1944, l’enterrement choquante de son cadavre dans une fosse commune du cimeterre juif à Berlin, rapporté par la pesse d’Allemagne, elle aussi, constamment en crise de manque d’une sensation pour maintenir ses tirages. Heinrich Müller, ancien chef de la Gestapo, publiaient depuis longtemps des historiens bien informés des services secrets avisés, a survécu dans le confort à la chasse aux nazis après la capitulation pour devenir un des chefs clandestins les plus importants en Allemagne de la réorganisation internationale du néonazisme, de l’organisation de l’association nazie « Kameraderie », chargée de l’exfiltration des chefs nazis les plus essentiels par la filière des monastères et cloitres. Pour reprendre une confortable vie nouvelle sous une honorable identité, les méthodes des sbires SS a été très simple pour des pervers de leur espèce. En raison du tatouage sous le bras du groupe sanguin, on repérait parmi les SS de rang inférieur un individu de stature semblable. On le bousillait pour laisser découvrir par les témoins le macab revêtu de leurs uniformes et avec leurs papiers dans les poches. Allez faire dans les ossements d’une fosse commune une analyse anatomique par les médecins légistes ! L’analyse génétique fut inimaginable à l’époque.

Avec Adolf Eichmann, est passé en Argentine par la « Kameraderie », par l’organisation clandestine commandée des associés friqués du réseau international du Gestapo Müller, avant qu’il soit capturé par des commandos juifs. Parmi ses compagnons de marque des voyages organisés vers en Argentine, on trouve aussi « le, en 1945  « défunt » Martin Bormann. C’est l’adjoint et l’exécuteur testamentaire d’Hitler, à savoir le préparateur de l’organisation de la Troisième Guerre mondiale prophétisée par les oracles de la secte Thoulé. L’histoire attribue à cet ancien adjudant-chef les placements en Suisse de colossales fortunes personnelles, spoliées partout dans les pays occupés des nazis. Au lieu et à la place des fausses nouvelles scandalisant la foule crédule, les victimes aimeraient mieux de savoir pourquoi n’ont pas été inquiétés par une justice, les complices-receleurs de ce deuxième personnage du régime nazi, de ce magicien noir Bormann. Mais c’est toujours par ces raz-de-marée de fausses nouvelles spectaculaires, les médias stipendiés dissimulent aux citoyens et électeurs les vérités historiques essentielles. L’affaire Papon en France n’en est qu’un exemple éloquent parmi bien d’autres.

Dans la communauté de ces célébrités nazies « décédées », telles que Bormann ou le Gestapo Müller resté tranquillement dans son pays, des célébrités exfiltrés par les réseaux des monastères, exerçait dans le luxe la médecine pour eux en Buenos Aires, sous la protection personnelle du président Juan Perón, le docteur  Mengele du Bureau de la Race et du Repeuplement. Un sous-fifre SS comparé à l’ingénieur général SS Dr Karl Franz Kemmler. ONU RecpetionNouvelleLetre LabordeÀ la fin de la guerre, ce le troisième dans la hiérarchie nazie, a été « l’homme le plus capable et plus doué », selon l’appréciation de Himmler. Celui-là a été exfiltré avec son colossale fortune par ODESSA, le réseau du CIA spécialisé de la récupération des savants et ingénieurs nazis. Kemmler, SS ingénieur spécialiste de l’installation des armes secrètes nazies ‑ les fusées et la bombe atomique en cours de réalisation à Jonastal ‑ fut aussi le concepteur des camps d’extermination. La CIA s’est rapidos débarrassé de ce monument des crimes contre l’humanité, l’ont fait cadeau au président Perón d’Argentine. Il en avait besoin pour la réalisation dans le Tucumán de ses sinistres projets avec la collaboration de tous d’un réseau de hauts nazis manquant à l’appel des cours de justice.  Le Dr Heinrich Dorge, conseiller du Dr Schacht, ministre des Finances de Hitler, en ancien directeur de la Reichsbank, assurait le financement, par la gérance en Argentine, des fonds astronomiques détournés en Allemagne, laissée exsangue dans les ruines, et, recelé dans des planques à Zürich. (E.R. Carmin). Si la justice a réussi d’extraire de ce réseau nazi ces sous-fifres, le gazier SS Adolf Eichmann et le Gestapo capitaine Klaus Barbi de Lyon, c’est parce que, ils s’agissaient des enfants pauvres, désargentés, et, en tout manière sans importance pour la prospère organisation néo-nazie. Et, l’occultation de ces faits historiques capitaux a été organisé par le rallongement à l’extrême des sabotages de l’affaire Papon à Bordeaux, recels des malfaiteurs et de leurs capitaux couvertes par la Cour européenne des Droits de l’homme et de la Cour pénale de la Communauté européenne de Luxemburg, alors que l’affaire relevait en exclusivité de la compétence du Comité des droits de l’Homme de l’ONU, bien auparavant saisie par Dietrich et  par son intermédiaire M. Éric Laborde-Hondet.

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En ministre encore, Valérie-le-Surdoué (sic), attesté aux fins de propagande électorale par une savante littérature psy subventionnée, il s’est servi des intrigues au ministère des Finance en tremplin de décollage à la Présidence de la République. Sont légendaires les accointances avec toutes  ces sombres combines du Rotary, de la Santa Mafia, Opus Deï, les combines en Espagne avec le régime du général Franco, un grand compagnon d’arme du Maréchal Pétain dans la guerre du Riff. Complice à l’ambassade de France à Madrid, notre grand homme idoine, officiait en intercesseur dans les banques à Genève à la récupération pour le compte des facho-nazis des fosses communes, des dépôts mise en sécurité par le régime républicaine légitime, démocratiquement élu en Espagne. Tenant compte de la proportion des surfaces respectives de l’Espagne franquiste et du reste de  l’Europe sinistrée par les nazis, il est fort à parier qu’est bien plus élevée le pourcentage des exterminés en Espagne à l’aide des unités nazis de Hitler et de celles des fachos de  Mussolini. Ce secret d’État d’autres crimes contre l’humanité est jalousement préservé de la curiosité par la persécution des juges actuels à Madrid. Les fosses communes, telles inspectées à Katyn en Russie, en Espagne, elles sont  très nombreuses, disséminés sur tout le territoire : des humbles électeurs et électrices trouvés sur des listes électoraux des circonscriptions dans lesquelles la gauche républicaine a été gagnante.

De Giscard, l’ancien financier des campagnes électorales, l’agent de change Xavier de La Fournière, avec un gouffre de 50 millions dans ses comptes disparus aussi, s’est fait suisci-trucider en prison selon la veille tradition pénitentiaire. Le 17 décembre 1992, par voie d’intervention dans la procédure, en conformité aux dispositions de l’article 87 et 203 du Code de procédure pénale, j’ai honoré le juge d’instruction de Paris Jean-Marie Charpier d’une constitution de partie civile par voie d’intervention. Lui ont été exposé les détails du complot contre la sûreté de l’État, le régime légal de l’exclusivité de la compétence de la Haute Cour de justice. À l’instar de l’affaire Chaumet/Chalandon, le dossier remonte au complet à la Cass, en passant par la Cour d’appel de Paris, avec la mise en cause nominative les membres du gouvernent (Papon, Chalandon, Pasqua…). À la Chambre criminelle Christian Le Gunehec, le président placé sur mon chemin depuis le départ pour tous les tripatouillages, a mis un terme à la procédure par des faux en écriture et des crimes de suppression des actes de procédure. (Crim. 11 avril 1994, B N° 94-83.959.D||Crim. 7 juin 199  n° D 94-80.097, Dupont). Grandie du prestige de la chevalerie de la Légion d’honneur, ce vieil gagneur par des falsifications de toute sortes, a fonctionné derechef en juge et partie déjà mise nominativement en cause dans la qualification criminelle « Complot contre la sûreté de d’État ». « On n’est jamais mieux servi que par soi-même ». (Preuves incontestées et références produites dans les blogs).

Pour apporter encore un peu de l’eau au moulin de la révision de l’Histoire, les justiciables éconduites pourraient aussi se souvenir des tas de diamants volés à Bangui à leur brillant Empereur sacrée Bokassa du Centre-Afrique, inestimable fortune subtilisé par les agents de ses chers amis, des inventifs promoteurs en France du régime bizarroïde; de l’attentat propagandiste électorale à Ajaccio ayant bousillé dans l’explosion des touristes suisses.

De Valérie, en plongé rapide dans les sondages, l’éminence grise présumée a été Jean Riolacci. Il s’est déjà distingué en Préfet du département Tarn 81 (1972/75) dans tous les secteurs du crime organisé : les faux certificats de conformité délivrés aux les intouchables escrocs immobiliers de haute vole, des faux cartes de grises à l’industrie des voleurs de voitures, des escroqueries, exactions et concussions du Percepteur de Castres Jean-Paul Scoffoni, un des séides du SAC du capo di capo Pasqua. Ensemble, stipendiés par les laboratoires Fabre de Castres… la conjuration s’est concertée pour en finir l’élimination judiciaire du juriste battant Dietrich, de ce battant de para devenu justicier qualifié, implanté dans le système véreux du crime organisé du Potard multimilliardaire, de « l’empereur » du Tarn,  à travers du 8° Régiment de Parachutistes de l’Infanterie Marine, stationné à Castres.

Feu Jean Riolacci, cette splendeur de préfet de la région Corse,  passe aussi chargée de mission à l’Élysée (1977 et 1981). Là, l’éminence grise copine avec l’énarque Philippe Aucouturier, conseiller technique à l’Élysée avantageusement connu de Valérie, apprécié par son épouse. C’est l’influent et prospère fils du notaire spoliateur Me Jean Aucouturier, ­‑ escroc associé secrètement aux juges spéculateurs ‑, officiant dans la circonscription électorale de M. Maurice Papon. Depuis le 27 juillet 1992, le notaire avec ses copains du Rotary bénéficie du blocage de l’instruction, comparable à Papon à Bordeaux, par la violation de la compétence légale des juges d’instruction du droit commun, organisée par des ministres de la Justice et de l’Intérieur successifs à l’aide des taupes implantées à Bourges: Juge rouge Bidalou en instance de la récompense de réintégration ; le Lieutenant-colonel Yves Chalier, malfaiteur extradé du Brésil où il s’est réfugié auprès de  la mafia avec le vrai-faux passeport du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Blog p. 5 et 6.

À Bourges, après des décennies de tracasseries et harcèlements des victimes sous l’égide d’une succession de juges d’instruction usurpateurs de leurs pouvoirs légaux sous l’effet du trafic d’influence des ministre du régime de Valérie Giscard d’Estaing et de ses successeurs, les pouvoirs publics se sont résignés pour la propagande électorale de lever les obstruction de la justice, de faire passer aux Assises de Bourges, sans ses coauteurs et complices, le notaire affuble des circonstances psychiatriques atténuantes sa responsabilité pénale, adoucissantes le régime pénitentiaire propre aux VIP. Les plus grands partis du magot a passé dans une des paradis impénétrables.

Les injures humiliantes du 10 mars 1994, des journaleux de la feuille de choux du lieu « La Nouvelle République du Centre-Ouest » (Blogs p. 11) engendraient mon exclusion par le discrédit ;  ont permis la substitution à mes écrits édifiants, des effets de manche stériles du médiatique l’avocat félon Gilbert Collard, l’indécrottable édredon du Front national encrassant à présent un fauteuil de l’Assemblée nationale. Le terrorisme à mon domicile des ministres de l’Intérieur de Charles Pasqua à Sarko-les-Pots-de-Vin, empêchait ma présentation aux Assise de Bourges en véritable conseiller confirmé de l’association de défense des victimes du notariat ; la présentation aux jurées le déclinatoire de compétence supprimé à tous les stades de la procédure. (Pages 5 et 6 des blogs). Ne sont pas encore rapporté tous les procédés fripouilles de ces machinations d’élimination combinées à la La Courneuve, manigancés ou couverts par le ministre de l’Intérieur, l’avocat Me Claude Guénant, secrétaire générale à la présidence de la République de Sarko‑les‑Pots‑de­‑vin et bien entendu maçon de la Grande Loge National de France qui est un de ses promoteurs et composant de son régime.

Du temps des camouflages et maquillages de l’assassinat du ministre Robert Boulin Franc-maçon du GLNF, impliqué dans le trafic de drogue de la French connexion, on trouve Jean Riolacci (1977‑81) au Cabinet du ministre de l’intérieur, Christian Bonnet, en chargé des problèmes de défense. Son acolyte : « Quelle rôle a joué Claude Guénant dans l’affaire Boulin », se pose toujours la question la presse ? (*) Ce faux-frère de la GLNF devenu l’éminence grise à l’Élysée de Sarko-les-Pots-de Vin. Et surtout, quel rôle a-t-il joué dans l’élimination du juriste Dietrich ayant mis les lumières dans l’obscurantisme concerté, en a même transmis aux fins de la saisine de l’Assemblée nationale 1981 le député Michel Rocard (futur Premier ministre) avec un dossier éloquent, mettant même en cause l’ancien ministre des Finances Valérie Giscard d’Estaing. ((*) Médiapart, documentaire d’Antoine Perraud (« Affaire Boulin : une bassesse française ») mis en ligne le 28 janvier 2013).

{Légende de l’image : Une des publications du contenu du dossier ayant précédée l’arrestation illégale de Dietrich, manigancée à Castres par le procureur de la République J.L. Vuillemin, son envoie d’abord  la maison d’arrêt près de Bordeaux, ensuite à la forteresse psychiatrique de Cadillac. Applicables dans l’information à décharge contre les magistrats de Castres mises en causes pour forfaitures d’excès des pouvoirs, les constructions juridiques du juriste Dietrich sur les violations des dispositions d’ordre public des articles 679 et suivantes du Code de procédure pénale furent détournées par les autorités de Bordeaux pour faire annuler illégalement la procédure d’information de l’ancien ministre Maurice Papon, en réalité justiciable par la Haute Cour de justice 1944, et, concomitamment de la Haute Cour de justice 1958, avec ses anciens comploteurs contre la sûreté de l’État au gouvernement}.

Ajout du 11/12/13. Du temps des camouflages et maquillages de l’assassinat du ministre Robert Boulin Franc-maçon du GLNF, impliqué dans le trafic de drogue de la French connexion, on trouve Jean Riolacci (1977‑81) au Cabinet du ministre de l’intérieur, Christian Bonnet, en chargé des problèmes de défense. Son acolyte : « Quelle rôle a joué Claude Guénant dans l’affaire Boulin », se pose toujours la question la presse ? (*) Ce faux-frère de la GLNF devenu l’éminence grise à l’Élysée de Sarko-les-Pots-de Vin. Et surtout, quel rôle a-t-il joué dans l’élimination du juriste Dietrich ayant mis les lumières dans l’obscurantisme concerté, en a même transmis aux fins de la saisine de l’Assemblée nationale 1981 le député Michel Rocard (futur Premier ministre) avec un dossier éloquent, mettant même en cause l’ancien ministre des Finances Valérie Giscard d’Estaing. ((*) Médiapart, documentaire d’Antoine Perraud (« Affaire Boulin : une bassesse française ») mis en ligne le 28 janvier 2013).

Dans le « star-système de la République spectacle », (Prof. Schwarzenberg), la super médiatique juge d’instruction Eva Joly (non qualifié des titres universitaires nécessaires pour être admise dans la magistrature), associée après coup avec l’autre bien qualifiée celle-là, a retrouvé avec celui de Charles Pasqua, aussi le nom de son acolyte de Nice Jean Riolacci parmi les illustres bénéficiaires du détournement des fonds de la société nationalisée Elf Aquitaine international. Cette nouvelle résurgence des combines mafieuses de la canaille de la haute finance n’est forcément que le prolongement de l’escroquerie monumentale du temps où le ministre de la justice Albin Chalandon a été le directeur d’Elf avec son invraisemblable invention des « Avions renifleurs » (des fonds publics à détourner). C’est une certitude qui saute aux yeux d’un observateur moyennement doué : la nouvelle affaire Elf Aquitaine sur les détournements massifs des fonds, n’a pu se produire grâce à l’élimination du plaignant intervenant Dietrich dans l’affaire Chaumet/Chalandon aux correctionnels de Paris : la suppression criminelle de son déclinatoire de compétence bien étudié et sérié, présenté à l’audience publique, contradictoirement,  l’argumentaire savant de la  revendication de la saisine sans délais la Haute Cour de justice. (Page 3 des blogs).

Dans les années 1995, pour ne plus susciter des voies de recours dispendieuses contre les forfaitures indécrottables de la prévarication d’excès des pouvoirs des juges carriéristes, le juriste DEA vacciné a transmis à la Joly-Joly juge d’instruction, à titre de « témoignage », (non éliminable sous peine du crime de suppression des actes), les dossiers précités.  Ce monument de corruption Eva Joly, cette idole trompeuse du juge incorruptible de l’épate des télé-gogos-spectateurs s’en est fait son affaire à elle de la précieuse marchandise à la quelle Dietrich a été réduit depuis ses débuts à la sortie de l’Armée. Au lieu de faire preuve de son héroïsme d’emprunte par la provocation de la saisine de la Haute Cour de justice, l’accapareuse du filon d’or à la médiatisation de ses charmes, s’est acharnée durant des années sur un homme de paille, le dressant en paravent devant le beau linge de l’haute du pavée politique.

Pas besoin d’être licence en droit pour réaliser que l’ex-sergent-chef para Alfred Sirven, des dirigeants, n’a été, que le mercenaire des missions et des commissions occultes sans pouvoir de décision dans la société Elf-Aquitaine. Les 3 ans de cavale de la tête de turc aux Philippines, n’a été mise en scène que pour entretenir le roman-feuilleton de suspense devant les abjections de la réalité : l’organisation méthodique des détournements des fonds publics vers des célébrités politiques en vue. En épargnant la coterie friquée, incluant Valérie Giscard d’Estaing, Charles Pasqua avec leurs fidèles malfrats, les médias de multimilliardaire  ont construit à la jugette idolâtrée le tremplin à l’élévation à la députation au Parlement européenne. Cette farce médiatico-judicaire à l’apothéose d’une séductrice d’un rejeton boutonneux du grand monde influente la carrière insensée d’une ancienne starlette sexe-roulure norvégienne, combien a-t-elle contribuée à la ruine de l’économie française ? Vous donne une idée l’historien Roger Vincent Aiello : « Dans les coulisses d’Elf Aquitaine ». Manuscrit.com. Dans ces détournements des fonds public, y avait de quoi pour renflouer le trou de la Sécurité sociale creusé par les combines de cette intouchable coterie mafieuse, ces malfaiteurs déprédateurs coalisés de haute vole qui mettent la France en coups regelés n’y payant même pas leurs impôts.

Avec les accointances vermoulues de Valery avec le superpréfet Jean Riolacci, tous les chemins reconduisent ainsi à Castres à ses compromissions avec le Rotary dans les escroqueries immobilières de haute vole, vers le talon d’Achille du monstre de la dépravation des institutions républicaines. Astucieusement, sans m’en rendre compte au départ, je fus embarqué dans cette funeste galère, vite jeté par-dessus bord par le procureur Jean-Louis Vuillemin du Rotary, gazé en détention provisoire par ses Ripoux, écrasé par des forfaitures d’excès des pouvoirs de ses juges aux ordres, séquestré, torturé, pris chasse par des tueurs lors de l’interminable cavale.

L’organisateur initial, déplacé de Castres à Perpignan pour saboter en 1992 l’instruction des détournements des fonds par ses copains du Rotary, (dont le député R.P.R. Jacques Ferran), l’ex-procureur rusé Vuillemin du Rotary a cependant retrouvé sur son chemin son contradicteur évadé des geôles près de Bordeaux où il l’a fait séquestrer. Avancé au grade de Premier Président du Tribunal de Grande Instance à Perpignan, l’ancien truqueur à Castres en 1977, comptait de remettre ses astuces criminelles d’obstruction à la Justice de la Haute Cour en application. Saisi par la procédure d’urgence de référé par les avocats des truands, Vuillemin comptait cette fois-ci faire bousiller par les forfaitures éprouvées de son hiérarchie gangrénée l’entreprenant Procureur de la République M. Louis Bartoloméi rien pour l’empêcher de « nettoyer les eaux glauques dans lesquelles baignent certaines affaire du département ».

En expédiant ce magistrat intègre, « dynamique contre  la corruption », devant le Conseil supérieur de la Magistrature à Paris, Vuillemin m’a livré les verges pour le fouetter par mon intervention par le témoigne spontané dans la procédure tendancieuse. Sans tergiverser, le Conseil supérieur de la magistrature a été tenu par la loi, d’office, de faire saisir  la Haute Cour de justice pour dénoncer ces crimes des comploteurs contre la sûreté de l’État. Silence radio ! Ne touche pas à mon pote !

Avec mon déclinatoire de compétence bien étoffée, je remis en œuvre ma constitution de partie civile par voie d’intervention dans la procédure d’instruction paralysée à Perpignan. Par l’exercice des voies de recours contre l’obstruction intolérable à la compétence exclusive de la Haute Cour de justice, des avocats des victimes m’ont fait savoir d’avoir fait parvenir ce dossier édifiant à la Cour de cassation… Silence radio ! Ne touche pas à mon pote !

Mais avec ça, le boucle est de loin d’être bouclé. Par un coup de chance inouïe, une  publication m’a fait connaître dans l’Armée le système de l’arme secrète aux effets si hallucinants que leur nature incroyable aux communs ne puisse pour l’instant être décrite. Pour m’en soustraire, après avoir été poursuivis à travers Paris, il ne me restait plus de flamber les dispositifs des utilisateurs.

Et voici les jalons planté pour l’historien du sinistre des nobliaux en pacotille Giscard. L’évocation de l’émergence en correctionnel du frère Charles Giscard d’Estaing nimbé de son auréole du Rotary, joint à l’ancien député-ministre Michel Noir de Lyon et sa bande d’escrocs de la Côte, présente bien plus d’intérêt : la procédure avortée à Lyon relevant de la compétence exclusive de la feue Haute Cour de justice, est une de celle dont l’annulation dans l’intérêt constitue une question préjudicielle incontournable à la poursuite judiciaire du complot complexe contre la sûreté d’État combattu personnellement par moi.

N’a soulevé pas la moindre contradiction, la procédure contradictoire à Lyon, sous la houlette du médiatique procureur général  Jean-Louis Nadal grandiloquent : « On-a-défiguré-la-justice ». Une véritable trouvaille sur internet, ce furtif fantôme saboteur barrant sournoisement mon évolution judiciaire, de 1982 jusqu’ en 1996 aux nombreux coups bas assénés au juge Éric Halphen à Créteil, l’assassinat psychiatrique de son témoin, la mise en sécurité de la curiosité des dossiers compromettant les anciens compagnons de Papa, par le ministre de l’Intérieur Michel Debré, assise ensuite dans le fauteuil du Conseil constitutionnel à côté de Giscard… la suppression de mon déclinatoire de compétence régulièrement et personnellement enregistré au greffe. Ne touches pas à mes pots compromis jusqu’aux cous dans l’information houleuse contre l’industrie des fausses factures en Île de France de ces maçons déviants, du Rotary et des vieux chevaux de retour de l’ex-SAC !

Ce Nadal « On-a-défiguré-la-justice », encore un illustre maçon de la Grande Loge Nationale de France « pataugent dans les tous scandales avec ses dérivés affairistes », selon l’Express et le Charlie-Hebdo du 29 septembre 1999 ; scandales couvertes aussi par son protégé, le juge d’instruction «d’exceptionnelle qualité » Philippe Courroye. (Blog p. 10). On saisit ainsi mieux les motifs du déplacement fort opportun de Lyon, en procureur, près du Tribunal de Grande Instance de Nanterre : désamorçage des scandales du financement occulte de la carrière politique désastreuse de Sarko-les-Pots-de-Vin par la déstabilisation de l’inflexible juge d’instruction, Madame Isabelle Prévost-Deprez.

Le 13 février 1995 à Lyon, devant la cohorte de journaleux alléché du scandale salissant le beau linge de la classe politique, (dont un m’a reconnu en intervenant à Paris contre le  ministre de  la Justice Chalandon pour me serrer la paluche), j’ai profité de rafraîchir le mémoire de l’avocat Maître Jean-Marc Varaut avec mes exposés. Tout a été enregistré devant les parties et leur gallérie par le greffier audiencier, sériant des tripatouillages de l’affaire Papon à Bordeaux. Par son digne retenu habituel, Me Varaut y a été le plus brillant des avocats maquignons de la  défense frelatées de Papon à l’autre bout de la France. Devant les prétentieux maquilleurs cérémonieux des palais de justice,  les grands esprits se rencontrent toujours sur le chemin des absurdités. Ainsi à Lyon ont été placés les jalons judiciaires à l’intention de justiciers avisés, souhaitant de se faire éreinter dans la poursuite de la Santa Mafia internationale du cercle vermoulu des nobles Giscard avec l’exigence d’une enquête sociale complète sur les imbrications historiques et internationales. Devant mes révélations démonstratives en béton, aucune prescription ne tient, aucune décision frauduleuse ne résiste à l’exception de nullité.

*      *       *

Pour placer devant sa responsabilité le Ministre du Budget d’alors Maurice Papon, avec les autres victimes de son zèle meurtrier manifesté dans les opérations criminelles du gouvernement exterminateur de Vichy, Michel Slitinsky s’est basé sur l’incrimination jurisprudentielle du Tribunal militaire international de Nüremberg, prise au sujet des poursuites pénales de la « gallérie du grotesque » du régime nazi avec ses SS : crimes contre l’humanité, imprescriptibles. Seulement, ses conseillers ne l’ont pas renseigné sur la définition légale française adjacente, dominante les poursuites des collaborateurs pour des crimes contre l’humanité : « l’intelligence avec l’ennemi » (à son programme affiché de génocide), crimes des fonctionnaires et commandants militaires français,  justiciables en exclusivité par la Haute Cour de justice 1944. L’acolyte de Papon, le directeur de la police de Vichy René Bousquet, avait déjà été jugé auparavant par cette Haute Cour de Justice pour des actes de collaboration. La qualification « crimes contre l’humanité », n’était pas encore rentrée au droit positif français.

Vers le mois mai 1981, c’est seulement par le tohu-bohu du bastringue des médias, déclenché par le « Le Canard enchaîné »,  ensuite par la publication livre documenté de Michel Slitinsky « Affaire Papon », (éd. Alain Moreau 1983), les victimes ont réussi de bousculer le ministre de la Justice de l’époque pour qu’il fasse saisir enfin, par le procureur de la République, un juge d’instruction de droit commun à Bordeaux. Un des anciens ministres de la Justice de ce gouvernement des « Gangsters d’État » a été l’illustre professeur en Droit Jean Foyer de l’université Paris II Panthéon-Assas, fils de notaire, député à l’Assemblée nationale de 1968-1972 et 1973-1981.

En tant que grand spécialiste reconnue de ses paires de la question, (créateur de la Cour de sûreté d’État pour juger les putschistes de l’O.A.S.), le professeur Foyer tenait régulièrement à jour  dans « l’Encyclopédie du Droit pénale Dalloz » les chapitres de la procédure pénale applicable devant les Hautes Cour de justice. Doctement, il y a été précisé aux Procureurs, juges et avocats que la Haute Cour de justice de 1944, toujours existante, n’a simplement cessé de fonctionner en raison de l’épuisement des affaires connues de la Collaboration du régime de Vichy. Par voie de conséquence, la nouvelle Haute Cour de justice de 1958 ne pouvait pas en être saisie. Ni le juge d’instruction du droit commun, ni la Chambre d’accusation de Bordeaux et de Versailles ensuite, ont été habilités par la loi d’informer sur les Collaborateurs visées par la plainte de Michel Slitinsky, précisais-je en noir et blanc à ces juridictions prévaricatrices, jusqu’à la Cour de Cassation et au Conseil d’État.

En 1981/82, lors de la séquestration dans la maison d’arrêt près de Bordeaux et de la forteresse psychiatrique de Cadillac de la commune voisine de la ville, je fis démonstration à toutes les autorités judiciaires et préfectorales à Bordeaux, dans des requêtes motivés aux fins de libération sur-le-champ, des conséquences de la forfaiture prévaricatrice, des violations des procédure spéciales, (identique  à celle de la Haute Cour de justice), des articles 679 et suivantes du Code de procédure pénale (abrogés bien plus tard), jurisprudence et doctrine à l’appui : l’illégalité absolue, sous peine de « nullité générale d’ordre public et substantielle », des juridictions d’information de poursuivre un préfet, un maire ou ses adjoints pour des crimes et délits « aussi faible que soit la charge ».

Tandis qu’il est tenté de me trucider en séquestration et  après l’évasion, les magistrats comploteurs firent bénéficier à tort et à travers mes constructions juridiques au secrétaire de la préfecture Papon, évidemment simple complice du Préfet René Sabatier. Si âgé qu’il n’avait plus rien à craindre du glaive de la Justice, le moribond ne cessait de le couvrir publiquement, pour en rire de la poursuite si tardive. En sa faveur et son complice Papon, la procédure d’instruction fut illégalement annulée à la Cass, tandis que pour moi, aujourd’hui encore, la procédure viciée par les procédés identiques est toujours maintenue pour me laisser réduit dans la situation d’un paria discrédité avec ma science universitaire.

À Bordeaux, cassait sa pipe, ce grand vieillard de préfet René Sabatier, à peine la nouvelle procédure d’information ouverte par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Bordeaux incompétement saisie. Dans son arrêt de rejet de mon intervention, le président de Bordeaux atteste à Christian Le Gunehec à la Cour de cassation, (Crim. n° J 92‑83.912.D du 8 décembre 1992), ma revendication de la saisine de la Haute Cour de justice et implicitement mon argumentaire sérié : la procédure spéciale des poursuites des préfets n’est plus applicable au complice Papon du préfet. Le décès du préfet a éteint l’action pénale contre lui, et, à titre individuel son secrétaire Papon n’est pas protégé par les dispositions des articles 679 et suivants du Code de procédure pénale.

Selon la loi, la jurisprudence de principe et la doctrine rapportée à la Cass, la Chambre d’accusation de Bordeaux a perdu sa factice compétence légale d’informer. En théorie, dans l’absurde logique de leur passe-droit, l’affaire aurait dû être renvoyée au juge d’instruction du droit commun, toujours sous peine de « nullité générale d’ordre public et substantielle » appliquée auparavant. Le président de la Chambre criminel Christian Gunehec, rejetait, à répétions, mes nouveaux pourvois en cassation en raison de l’irrecevabilité de leur enregistrement au greffe par correspondance de l’évadé traqué (Sic). Copies fin page 4 des blogs.

Le même Président Le Gunehec, qui s’est cassé en quatre pour homologuer les pourvois fantaisistes de mes adversaires copieurs, annule encore les procédures d’information contre des magistrats de Paris soudoyés de la pègre de la ville. Ce tour de passe-passe illégale dissimulait aux victimes potentielles, à moi surtout, l’identité des juges soudoyés, auteurs des décisions partiales rémunérées par des pots-de-vin. (Marchi et autres). Toute ma science acquise par des études université acharnées n’a profitée qu’aux partis adverses des gangsters du crime organisé du grand banditisme, non recensés sur les fichiers nationaux et internationaux.

Par la récupération subreptice de la science de mon argumentaire présenté à Bordeaux dans l’affaire Papon, en mon avocat félon fit jouer le même tour de passe-droit 1989 devant cours d’appel de  Metz et Nancy, réussit de faire annuler en cinquième vitesse par la Cass, et, en finale pas l’Assemblé plénière, la procédure d’information parfaitement régulière de l’irréprochable juge d’instruction Gilbert Thiel.

Dans l’information régulière du juge Thiel ont été parfaitement démasqués les affairistes du Rotary compromis dans des détournements des fonds dans le cadre du crime organisé du grand banditisme avec des attentats aux explosives et d’assassinant en marge. Par un commando de la Police, le ministre de l’intérieur Charles Pasqua, fauche au juge d’instruction Thiel les preuves chargeant ses gangsters associés. Les écoutes téléphoniques de leurs combines de grand banditisme connexe furent annulées dans la foulée. Mes constitutions de partie civile par voie d’intervention furent supprimées partout, avec la collaboration du président Christian Le Gunehec, dans plusieurs pourvois en cassation aux fins du renvoi des procédures à la Haute Cour de justice 1958. Crim. 16 avril 1991 n° M 91‑80.092 D. Berthiau.|| Crim 3 novembre 1992 n° K 92‑84.051 N, Zambeaux. Je suis sans nouvelles du sort réservé par l’Assemblée plénière de la Cour de cassation à ma contestation de la compétence légale du 5 novembre 1992 au profit de la Haute Cour de justice.

En tout évidence, toujours traqué, menacé de la répétions de l’arrestation illégale, je me suis trouvé dans l’impossiblité insurmontable de me présenter personnellement aux juridictions à Bordeaux (et plus tard à Grenoble et Nice). Dans cette situation, la loi m’autorisait parfaitement l’accomplissement de toutes les procédures par correspondance, ou encore mieux de faire un scandale à l’audience publique devant la Cour d’Assise à Bordeaux. L’introduction du sortilège de la télévision dans la salle d’audience a rendu totalement cinglé tout le monde, tourné le spectacle en apothéose des clowns circadiens, cherchant de se singulariser devant les journaleux par des plus ridicules numéros de bouffonneries au lieu d’exiger l’application de la loi d’ordre public.

Lorsque les circonstances me l’ont permis, avec l’inclusion du dossier Papon, je me suis rattrapé aux audiences publiques Paris en 1988, puis à Lyon, en commençant par la démystification écrite aux juges, aux avocats et au journaleux les tripotages de l’affaire Chaumet pour soustraire de la Haute Cour de justice l’ancien ministre de Justice comploteur Albin Chalandon. Mais la continuation de mes interventions bouleversant la mise en scène des mascarades dirigée du sommet du Pouvoir, devant les Assise à Paris fut déjouée par l’assassinat de l’ancien chef de la Police de Vichy René Bousquet par un mytho-mégalomane instrumentalisé à l’aide de la magie des média. De l’artisan aux mobiles fumeux, trop bien renseigné, trop bien organisé, son procédé arrivé à pointe, ne relève pas du simple fait divers allégué.

Après la judicieuses intervention personnelle aux audiences publiques correctionnels à Paris contre les acolytes, naguère avec Papon au gouvernement, j’ai effectué régulièrement tous les actes de procédures et les recours personnellement jusqu’à la Cour de cassation. Les références et demandes faites dans les exposés claires et  précises, aux criminelles tripotages de l’affaire Papon à Bordeaux, ont été systématiquement occultés dans des brefs décisions de rejet : des faux en écriture publique patents par omission et par commission et des crimes de suppression des actes de procédures en série, suivis des récompenses des magistrats fraudeurs par les trafiquants d’influence, bénéficiaires des fraudes au gouvernement des vendus. Un tout petit entrefilet de dénigrement injurieux dans une épluchure journalistique du torchon  « Libération » du 10 octobre 1991 a foudroyé ma réputation du juriste qualifiée. Deux journaleux, informé de l’enjeu de  la bataille judiciaire se déroulant devant leurs yeux, ont réussi, moyennant finances, me faire isoler socialement des associations de défense des victimes dindonnées par leurs avocats félons, notamment à Bourges et au Le Mans.

Avant même de recommencer des poursuites régulières, la France se trouve à présent dans l’obligation de faire annuler d’office la totalité de ses procédures truquées, de rétablir la situation légale, la restauration des lois abrogées subrepticement par les suppôts soudoyés de la canaille friquée, l’indemnisation des victimes, personnellement par les fauteurs qui ont engendrés leurs importantes préjudices, quel que soit leur rang dans ce régime corrompu du haut en bas de l’étage. Une Justice égalitaire et impartiale, n’aurait-elle pas dû examiner depuis fort longtemps cet aspect de l’historique des faits incontestés sous la qualification légale « association de malfaiteurs  » ?

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La récapitulation provisoire est ainsi interrompue en raison de l’inaccessibilité aux dossiers contenant et des preuves essentielles et  de l’impossibilité de retrouver une documentation scientifique sur des machinations à couper le souffle aux plus endurcis des salopards du ministère public. La recherche de cette documentation sur une arme secrète aux effets hallucinants, susceptible produire encore autre un scandale international monstre, a produit l’arrestation illégale de l’ingénieur général (***) Sami Albagli, suivi de son assassinat dans une cellule de l’hôpital psychiatrique Saint Anne de Paris.

Il reste aussi à éclaircir mon isolation sociale et judiciaire dans l’enchaînement des intervention l’affaire du Sang contaminé tripotée par la Président Christian Le Gunehec, par la présentation en grand spectacle, pour m’avilir par personne interposée, des assassinats de jouissances des jeunes militaires de Mourmelon, l’imputation invraisemblable à l’Adjudant-Chef Pierre Chanal, selon le message reçu de mon ancien amour à Mourmelon ; le suicide de l’adjudant-chef encore plus invraisemblable dans la cellule de sécurité de haute surveillance à la suite de mon intervention dans la procédure à Châlons-sur-Marne. (Blog page 13). Cependant, ce scandale risque de passer au second plan, si je parviens de retrouver  la documentation sur cette révolutionnaire appareille hertzien ratée, évoluée en arme ultrasecrète aux effets hallucinantes, et, de son application probable dans des assassinats en série par des gens ne réalisant pas ses effets, ne disposant pas d’une culture et d’un vocabulaire pour expliquer rationnellement une réalité dépassant les inventions des romans de sciène fiction…

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(*) Le père Paul Dietrich, durant la Deuxième Guerre mondiale, a été mobilisé par l’Armée suisse (milice) pour assurer la garde de la frontière contre l’Allemagne nazie. Impuissant, le bidasse a été spectateur d’un massacre bestial des SS des fugitifs cherchant de traverser la frontière de la Suisse. La guerre terminée, Paul Dietrich s’est pris aux officiers suisses, déserteurs, engagés dans la Waffen SS. Un d’eux au moins, un avocat de Zürich, a été officier instructeur dans le camp de formation des Waffen SS français, suisses et autres à Sennheim en Alsace. Par des mystères encore inconnus, ces officiers suisses de la Waffen SS ont réussi de s’éclipser des boucheries à l’Est dans leur prospère et passible patrie des receleurs, et reprendre leurs honorables situations comme si de rien n’était.

 Lors des trucages des procédures judiciaires contre Maurice Papon à Bordeaux à l’aide de la récupération de l’argumentaire de Peter Dietrich, les psychiatres de Toulouse et de Cadillac ont retournés comme une lavette sa sœur Johanna Dietrich, accourue à son secours avec son ex-mari Kurt Kurzen. (Il ne s’est pas laissé corrompre ; a sauvée ensuite la mise de son beau-frère Peter). Entre autres inepties très-très scientifiques, les psys ont suggérer à la sœur de Peter Dietrich faire état des contentieux judiciaires de son père Paul Dietrich, sans se soucier de leur contenus.

 Or, quoi qu’il en soit, la référence a été faite dans les enquêtes sociales à Toulouse et près de Bordeaux aux procédures judiciaires contre des officiers de la Waffen SS en Suisse, si bien que le juriste bafouée ainsi, le fils Peter Dietrich a été en droit de réclamer au ministère public en France la récupération auprès des juridictions suisses les copies de ces actes, car ; d’abord elles légitimes les interventions judiciaires du fils héritier Peter ; ensuite,  son argumentaire apportant des faits nouvelles inconnus alors en Suisse, est en mesure de changer totalement l’objet et les qualifications de ces procédures en Suisses.

Comme il a été démontré ci-dessus, selon les critères du droit  pénal français, ces officiers suisses, non seulement complices des crimes contre l’humanité, ils en sont des coauteurs. L’envoi en ex-Union soviétique une armée Waffen SS étrangers, a permis au commandement nazi, de retirer des troupes SS authentiques des surhommes pour perpétrer, entre autres, les massacres de l’Oradour-sur-Glane en France. Les termes des articles 59 et 60 du code pénal 1806, (seul valide), sont sans équivoque : sont complices, ­‑ à plus fort raison des coauteurs ‑, ceux qui «auront procuré tous sortes de moyens ayant servi à l’action ; aidé et assisté les auteurs de l’action, auront préparé et facilité, les moyens… ». La justice française, comme celle de l’Allemagne, est matériellement compétente pour examiner les crimes contre l’humanité des officiers Waffen SS de la Suisse, en évoquant les actes de procédure du père Paul Dietrich.

Http:\\Dietrichpeter.blogspot.fr. Juriste DEA. Criminologie. Sciences pénales. Les auteurs et leurs ouvrages rapportés aux juridictions sont référenciés en bas des pages des blogs.

Papon Touvier Barbi

ONU Papon Conseil d'Etat.

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Prologue 10/05/2012. Parfaitement connu par Winston Churchill, écrivains alors, mis sur la touche politique en raison de ses avertissements aux gouvernants et à l’élite des intellectuels, sur ce que réalisera ce méconnu gourou illuminé d’Hitler avec ses adeptes du culte de la société « Toule » : de la « Coming Race » des surhommes aryens appelés ‑ dans leurs hallucinations toxicomanes ‑ par leurs cousins extra-terrestres à purifier la Terre par l’apocalypse de la guerre totale. Car, les Nazis des années 1932 à 1940 n’ont que fait prendre modèle sur les dogmes biscornues déjà bien implantés dans les années 1840/70, en particulier aux USA et en Angleterre : la combinaison du malthusianisme, (réduction de la natalité des bouches impossibles à nourrir), à l’eugénisme, (sélection des races nobles par l’élimination des parasites nuisibles et des tarées). Grosso modo, l’insuffisance de « l’espace vitale » pour nourrir convenablement toute l’humanité imposerait logiquement à ce que ce précieux « espace vitale » soit conquis, nettoyée par des génocides et réservée ensuite aux races nobles. Voire « Mein Kampf » d’Hitler dans sa version originale. En pleine connaissance de cause, une grande fondation américaine soutenait activement la recherche nazie en matière d’eugénisme dans les camps de concentration sur les Juifs, Tziganes, Mongols, homosexuels… Les talents morbides des criminels du droit commun sont cependant récupérés pour la réalisation des basses-œuvres de la police politique GESTAPO, ou pour les coups tordus partout dans le monde.

Or, pour les Nazis (et leurs cousins, les princes du Saint Empire germanique), ça va de soi : l’espèce noble en péril, c’était bien eux, les fabuleux aryens blonds aux yeux bleu originaires d’une autre planète, (ou selon Nietzche, un troupeau cavicorne gobe-tout, écluseurs immodérés de bière, manipulés dans toutes les chausse-trapes politiques par les ragots et slogans d’un primitif journalisme de divertissement). Les races à éliminer sans ménagements pour ces mégalomanes délirants, c’était en toute logique la crasse des bâtards humanoïdes, ces créatures ignobles infestant, souillant la pauvre Terre.

L’exaltation de cette « vision du monde » des mentors universitaires et mages du caporal Hitler est partagée par des sectes hérétiques du christianisme ayant jadis réussi à s’imposer et se maintenir depuis Clovis I par les plus sanglants des cataclysmes guerriers « que le Soleil ait vu sur cette Terre » (Nietzsche), éradiquant « l’impie » civilisation occidentale « préscientifique » pour plusieurs siècles.  Ces intégristes, nostalgiques du totalitarisme meurtrier du Saint Empire Germanique, considèrent la république démocratique comme un sacrilège blasphématoire, un péché mortel, appelant au nom de Dieu, l’élimination purificatrice des apostats et mécréants, les savantes tortures rédemptrice des artistes dominicains, le remplissage des fosses communes. L’histoire l’a revu en Espagne par des Franquistes alliés aux Nazis pour culbuter les élus de la république sous les auspices des Alliés).  Parmi les adeptes de ces fariboles du mysticisme se trouvait, en bon nombre, l’aristocratie internationale de sang et du fric derrière Wall-Street, du Right Club dissimulé à la Justice, bien comparable à l’actuel « Good Club » ‑ Club du Bien – des ÉCOFONDAMENTALISTES d’une hypermafia déprédateur des omniums multinationaux, déjà bien partie pour remettre ça en plus grand, par des moyens plus perfectionnés. Voire la remise à jour de la page 12 des blogs.

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13 novembre 2013. À Monsieur le Procureur général Éric de Montgolfier, auprès de la Cour d’appel de Bourges pour actionner les voies légales d’une Justice expurgée des prévaricateurs tricheurs.

Référence : Maquillage par des faux médico-légales des mobiles de l’empoisonnement du leader de l’O.L.P. Yasser Arafat dans un hôpital militaire en France.

Pour qu’une information judiciaire n’aboutisse pas à une comédie grotesque pour l’avenir ensuite éclairée des mascarades, la loi exige une enquête sociale pour tous les agissements criminels
Yasser Arafat cousin Grand Muti Jérusalemnotamment quand il s’agit des plus graves, les crimes et tentatives en cours contre l’humanité. La reproduction en plus grand est organisée dans les coulisses depuis 1943. (E.R. Carmin). Dans des combines d’une gravité pareille, a un procureur avisé et intègre, il impossible d’éluder les dispositions sur la connexité judiciaire de l’article 206 du Code de procédure pénale.

Or, il est irrévocablement et indubitablement prouvé dans les récentes mascarades des procès relatifs aux crimes contre l’humanité : la justice française en coalition des sommités politiques soudoyés, forme bouclier à la poursuite des plus dangereux criminels contre l’humanité. Une originale protestation occulte vient sans doute faire surface avec l’empoisonnement attestée par des experts suisses de Yasser Arafat dans un hôpital militaire en France. Empoisonnement couvert par des traditionnels trucages des faux médicaux légaux dont sont analysés quelques échantillons significatifs dans mes blogs incontestés et incontestables dorénavant.

Or, sans enquête historique sur son clan, comment trouver le mobile de l’empoisonnement dans un hôpital militaire en France d’un ancien leader militaro-politique de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) incurablement malade, au bout du rouleau, étant à plus bref échéance voué à une mort tout à fait naturelle ? Par sa maladie, Yasser Arafat a déjà été éliminé de arène en tant acteur politique !

Des mobiles les plus vraisemblables ne restent que la vengeance et/ou la provocation d’un méga-procès historique en marge de ceux qui sont en voie de développement par les sabotages judiciaires révélées en France, notamment en Allemagne par les trois Waffen SS de la Division des surhommes Das Reich, des volontaires aryens triés sur la volet sur le plan racial et idéologique (*), ayant massacré et anéantie le petit village française Oradour-sur-Glane. (Selon les statistiques de mes blogs, les Russes en sont passionnés, car la Waffen SS a massacré et anéantie en ex-Union soviétiques jusqu’à des villes de taille et d’importance historique d’Orléans. (Sven Hassel)).

(*) Exceptions faites pour les Waffen SS des Sémites Arabes prédestinés aussi au four crématoire et des sous-hommes de la mobilisation de la dernière chance tels que le ramassis hétéroclite de la Division SS Charlemagne créée en 1944. Dans les divisions SS authentiques, il n’y avait pas ces prétendus « Malgré Nous » de l’Alsace et de Lorraine intégrés dans le Troisième Reich, comme cela a été admis sans vergogne par la justice française pour les épargner, alors qu’on fusillait en 1948 encore les volontaires de la Division SS Charlemagne.

Une enquête sociale historique de l’assassinat et de son camouflage par des faux expertises médico-légaux aurait révélé sous le nom raccourcie de Yasser Arafat, de Mohamed Abdel Arafat al-Oudwa al-Hussein, se présent tout bonnement le cousin de l’ancien Grand Mufti de Jérusalem Hadj Amin al-Hussein.

Dans les années 1938, ce leader du mouvement arabe contre le sionisme a été contacté par l’émissaire d’Adolf Hitler, ce devenu célèbre SS Adolf Eichmann, (ancien représentant autrichien de Standart Oil). Pour la livraison des armes le Grand Mufti fit le serment solennel à Hitler « de liquider toute la population juive de la Palestine, conjurait Hitler « d’assécher la source juive en Europe » au lieu de leur permettre d’émigrer en Palestine.

En 1941, Hadj Amin s’est réfugié à Berlin. – Aux yeux bleus et cheveux blonds d’un descendant des Croisés, il fut considéré comme un Aryen ­­‑, comme sont par ailleurs mainte Juif et Palestinien. Après du Führer Hitler, il propageait des recommandations sur l’extermination des Juifs encore plus radicales que les nazis les plus psychopathologiques. Sous son instigation, ascendant spirituel et direction fut formé en 1943 la 13° Division Handschar de Montagne de la Waffen SS, composé des musulmans fanatisés ; division chargé, selon les directives d’Hadj Amin d’exterminer les Juifs dans le Balkan dans des massacres beaucoup plus importants que celle du village française Oradour-sur-Glane. {Image}

Des historiens s’étonnent que Hadj Amin ne fut pas condamné au procès du Tribunal militaire de Nüremberg, que la France l’a protégé avec ses secrétaires contre les poursuites de l’ex-Yougoslavie des crimes de guerre, en lui assurant une la retraite confortable dans coquette villa à Saint Maure, lui permit de voyager sous un faux nom avec des faux passeports français.

Avec ce résumé une justice libre de toute réalpolitique en vogue, parviendra à déterminer les mobiles les plus vraisemblables de l’empoisonnement du symbolique Yasser Arafat dans un hôpital militaire en France. Dès sa création, les services secrets de l’Armée israélienne, le Mossad, utilisait les commandos NAKAM (Vengeance) des tueurs ferrés pour se prendre par des moyens expéditifs aux intouchables criminels contre l’humanité.

Et voilà donc, réalisé la combinaison de la vengeance avec le déclenchement d’un méga-procès historique par l’exploitation judicieuse des travaux analytiques du humble adjudant honoraire Dietrich manœuvré à cet effet dans quatre universités de droit et payé à tout cassé à mille coincent Euros par mois pour se faire casser la gueule chemin faisant. Mais l’impertinent du bas peuple réclame à présent une rémunération équitable en question préalable d’un million de dollars/heure comme les avocats saboteurs des clans adversaires. Dietrichpeter.blogspot.fr. Juriste DEA. Criminologie. Science pénales.

Peter DIETRICH

 

RENSEIGNOR , N° 797 le 10 novembre 2013 5. Lettre hebdomadaire publiée par Isabel Intelligence www.isabel-intelligence.org. En partenariat avec le Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), http://www.cf2r.org.

Selon un laboratoire suisse Yasser Arafat aurait été empoisonné au polonium…

La thèse de l’empoisonnement de Yasser Arafat est de plus en plus crédible. C’est en tout cas la Renseignor N° 797 le 10 novembre 2013 5 conclusion de l’enquête d’un laboratoire suisse après analyse des échantillons prélevés sur la dépouille du dirigeant palestinien. Un rapport révélé par la chaîne de télévision Al-Djazira hier. Les échantillons prélevés présentaient des taux de radioactivité 20 fois supérieurs à la normal ce qui correspondrait à un empoisonnement au polonium. Une hypothèse fiable à 83% selon le laboratoire.

(Radio Vatican, le 07-11-2013) Yasser Arafat a vraisemblablement été empoisonné au polonium. C’est ce que semblent confirmer les prélèvements effectués sur sa dépouille. Rien d’officiel pour le moment. C’est la chaîne Al-Djazira qui s’est procurée une copie du rapport médical et l’a publié. Les causes de la mort du dirigeant palestinien n’ont jamais été élucidées. Les Palestiniens soupçonnent Israël qui a toujours démenti.

(Médi-1, le 07-11-2013) Selon l’analyse d’échantillons prélevés en 2012 sur la dépouille de l’ancien leader palestinien Yasser Arafat, ce dernier aurait été empoisonné au polonium. Il s’est éteint en 2004, juste après avoir contracté une maladie. Les autorités palestiniennes ont réclamé une expertise. La chaîne d’information Al- Djaazira basée au Qatar a fait savoir mercredi que le rapport suisse mentionnait un niveau de polonium au moins 18 fois supérieur à la normale. Selon les experts, la thèse d’un empoisonnement n’est donc pas à exclure. « C’est la preuve scientifique que mon mari a été assassiné » a déclaré Suha Arafat, la veuve du défunt qui réclame des éclaircissements sur les circonstances du décès. Les autorités palestiniennes n’ont pas encore officiellement réagi au rapport en question.

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En cours d’amplification sur les pages 4 des blogs fonctionnels.

E.R. Carmin. L’EMPIRE NOIR : Ordre des Templiers ‑ Société Thule ‑ le Troisième Reich – C.I.A. éditions actualisée et amplifiée, Nikol Hamburg 2010. (924 pages en allemand).

(P. 110). Mais Hitler eut, si tant en somme il a eu un choix à un moment quelconque, opté pour (…) le chemin de la magie noire, la voie de la puissance, au moment où il a été rentré en contact avec L’Ordre de Thule (exp. fr. Thoulé). Hitler s’est remis aux mains des forces qui l’emportaient. Forces ténébreuses, destructrices…

Le combat des dieux en devenir. (…) La SS ne devait non seulement donner le matériel de la reproduction pour l’homme nouveau, elle devait aussi être la cellule reproductrice d’une future société d’orientation magico-païenne, la cellule reproductrice d’une nouvelle religion. (P. 152).

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Réaction à L’Hebdo Suisse le 24.01.2012. Le juge Garzon devant la justice pour enquête sur le franquisme.

Le juge espagnol Baltasar Garzon est jugé mardi pour avoir tenté d’enquêter sur les disparus du franquisme, violant une loi d’amnistie. Célèbre pour avoir enquêté sur les atteintes aux droits de l’homme dans le monde entier, il risque une interdiction d’exercer de 20 ans.

« La face cachée et dissimulée par l’Histoire officiel truquée de ce problème des crimes contre l’humanité franquistes, absolument indivisibles aux crimes contre humanité nazis induites par la haute trahison de l’État-major général franco-britannique avec le Duc Éduard de Windsor (1936 à 1944), est brièvement décrit dans l’intro de la page 4 de mes blogs. Les conséquences désastreuses se répercutent sur la situation actuelle si bien que l’intelligentsia devrait s’interroger de quel droit l’OTAN critique les « peccadilles » d’un feu Kadhafi assassiné par cette même conjuration des illuminés cinglés de l’idéologie de la domination mondiale des surhommes aryens d’origine extra-terrestres et dont une caporal Hitler a été le méconnu gourou intercesseur. C’est Strauss-Kahn, ancien ministre des Finances, passé à l’FMI après ses gigantesques escroqueries de haute vole, a contribué de façon significative à l’obstruction de la Justice pour empêcher en France la révélation de ces secrets de l’arrière-bazar de la politique des couloirs et dont la compétence juridictionnel relève à présent à celle de la Cour pénale internationale de  la Haye ».

On tire les rideaux : AFP le 26/12/2013. Mort d’Arafat : les experts russes écartent la thèse de l’empoisonnement.

Comme avec l’exhumation en Allemagne du cadavre du faux Rudolf Hess, incinéré, les cendres dispersées pour empêcher des expertises de l’ADN, on tire les rideaux dès que le méchant Dietrich clarifie une mystification politico-crapuleuse. On ne parlera plus de l’ancêtre nazi de Yasser Arafat, du Grand Mufti Hadj Amin al-Hussein de Jérusalem associé à Hitler à Berlin pour réaliser l’extermination des juifs avec sa 13° Division musulman Handschar de Montagne de la Waffen SS; son sauvetage de la condamnation à la pendaison  du Tribunal militaire international de Nüremberg par la France aux frais du contribuable. Dietrichpeter.blogspot.com||page 4. Juriste DEA. Criminologie. Sciences pénales.

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06/12/201. Extrait complété de l’exposée détournée dans l’affaire Maurice Papon de la Cour d’assise de Bordeaux (et de Versailles de l’affaire Paul Touvier et autres), et par là, de la Haute Cour de justice spéciale de 1944, toujours compétente de juger en exclusivité les membres du gouvernement de Vichy et leurs complices de l’Administration et de la Justice pour toute crime « d’intelligence avec l’ennemie », dont des crimes contre l’humanité. {Les copies de ces dossiers du C.E., complémentaires à la procédure ouverte à l’ONU, ont disparu, où à la Commission des droits de l’homme à Genève, ou ont été intercepté à la Poste en France}.

La mascarade du décès à répétition de Ben Laden exposé à la page 12 de mes blogs, et sa survivance jouée par un sosie, une doublure, a été déjà des vieux jeux des feintes de l’ubiquité de diversions ou de la subversion lors de la Deuxième Guerre Mondiale. Des sosies, Dopplegängers en allemand, des Churchill, des Hitler, des Hess, des Goering, des Staline… se manifestaient en public en nombres incalculables. Une des doublures de Churchill périt dans l’avion abattu par la Luftwaffe dans la Golf de Gasconne. Les belligérants les utilisaient aussi pour l’intox et la déstabilisation des hauts dirigeants par les diffusions calomnieuses de la pornographie des accouplements des plus ignobles, car pour noircir l’image de marque d’une personnalité importante dans les esprits simplistes, des montages lubrique des histoires de cul est le nec plus ultra. Dans ces manigances aussi, l’histoire se repasse toujours les plats. Lorsque fit surface la supercherie avec le faux Rudolf Hess, pour empêcher des expertises de l’ADN, son cadavre fut exhumé en Allemagne, incinéré et la cendre dispersé.

Mais la doublure la plus significative sur le plan de la falsification politico-judiciaire de l’Histoire a été sans doute celle de Rudolf Hess, second dans la hiérarchie du régime nazi, le coauteur et mentor en prison du MEIN KAMPF (Mon Combat), le crédo de l’apocalypse par « la guerre totale » (Von Lüdendorf), de la purification des races bâtardes de la Terre par les surhommes ariens extra-terrestres, la vulgate des songe-creux politiques, des authentiques « camés ». Comme l’a affirmé Casamayor, pseudonyme du magistrat Serge Fuster, professeur en droit et de l’École des hautes études, membre du Tribunal militaire international de Nuremberg, tout y a été truquée, de la poudre aux yeux, rien que de la poudre… comme en France pour la répression de leur collaborateur, pour faire échapper à la justice les plus dangereux des protagonistes des crimes contre l’humanité. Maurice Papon, devenu ministre gaulliste, n’a été qu’un tout petit et insignifiant échantillon des miraculés récupérés.

En tout vraisemblance, Rudolf Hess, prétendument attiré dans un piège et capturé en Angleterre par les manipulations du commandant Ian Fleming des services secrètes de Royal Navy, très soucieuse de préserver la réputation de la royauté. Détenteur des secrets de la haute trahison du Duc de Windsor Éduard avec sa cour des aristocrates, des généraux, financiers et industriels, Hess, le dangereux initié a été assassiné en douce et remplacé en prison par un sosie, une doublure, formé pour la représentation au procès à venir, si bien que Joachim von Ribbentrop s’en moqua au tribunal militaire « à quel Hess référez-vous ? à notre Hess ou au votre ?», à un Hess, dissimulant derrière l’obstination de son silence, son ignorance du moindre baba des secrets du régime nazi ?  Avec Goering suicidé à pic, tout le monde trouvait que ce postiche de Hess, envoyé de l’Angleterre dans la prison de Spandau, avait tellement changé qu’il a même perdu l’accent égyptien de sa langue maternelle. L’importante cicatrice sur la poitrine de la blessure par balle a disparu, et dossier dentaire de la copie ne correspondait pas à celui de l’original…

C’est que l’avion de Hess n’a pas été abattu par la RAF comme le narre aujourd’hui encore l’histoire officielle au brave peuple confiant aux bobards distillés par les médias des multimilliardaires, profiteurs de toutes les guerres. Désorienté, l’envoyé spécial d’Hitler n’a pas pu situer la piste d’atterrissage spécialement aménagée pour lui par le commandant du secteur de la défense aérienne sur sa propriété. Réservoirs à sec, le conférencier a dû sauter en parachute juste avant l’écrasement de son chasseur Messerschmitt. Sur lui, comme laisser-passer par les simples autorités, en cas d’un tel incident, il portait la moitié d’une lettre manuscrite, après reconstitution, très explicatifs du projet commun de l’opération Seelöwe (au sens Lion de Mer et non Otarie) de l’envahissement de l’ile britannique, adressée à « Mein Lieber Herr Hitler », signé « Éduard P. ». (Mon cher Monsieur Führer/ P comme Prince).

{La lettre reconstituée par la deuxième moitié serait passé dans les mains de Khrouchtchev par une trahison familiale, au dirigeant de l’Union soviétique. Les bouts de papiers sont devenus de redoutables instruments de chantage politique contre la royauté britannique, soucieux de préserver l’honneur de la dynastie, peut-être même de préserver le Duc de Windsor Éduard, sa hétaire Willis et ses fidèles des accusations de haute trahison, du désastre mondial qu’elle a produit. Entre autres facéties de Khrouchtchev, selon la littérature des initiés de la politique secrète, ce renard rouge aurait convaincu en 1956 la reine Élisabeth II, de stopper l’invasion du Canal de Suez nationalisé, de faire retirer immédiatement le corps expéditionnaire victorieux sur les défenseurs en débandade, et, d’empêcher les alliés français de s’emparer de Nasser, fomenteur de la rébellion en Algérie. En se faisant passer pour le légendaire Al-Mahdi, avec ses divisions de blindées sur le chemin de renfort à l’insurrection générale des Arabes, par une poignée de ses hommes de main, il organisa les massacres atroces pour ressusciter la rébellion enlisée, et en fin de compte, pour produire l’indépendance d’une Algérie avec population meurtrie, devenue inconciliable.}

 Le duc de Windsor Éduard, avec sa cour des conspirateurs, l’attendait en vain pour négocier un pacte de non-agression pour la durée de 25 ans, laissant le dos libre aux forces armées de l’Axe dans l’écrasement l’Union soviétique… ‑« dans destruction de la France de fond en comble » ensuite­‑, selon les vœux d’Hitler… en contrepartie de la destitution de son frère le Roi George VI pour son réintronisassions. Avec l’MI 5 (actions de contre-espionnage interne) et l’MI 6 (action secrètes externes), Winston Churchill a su déjouer en virtuose toutes les alliances des conspirations, toutes les machinations secrètes des comploteurs en Angleterre. Non cependant celles des combinards huppés, enrichis en France qui, avec leur engeance pistonnée, se sont retrouvés après la guerre à presque tous les leviers de commande de l’État, de la finance des banques et de l’industrie et en vedettes des grandes affaires criminelles, sabotées par la prévarication des juges noyautés, soudoyés.

Dans les récites historiques, chaque auteur écrit selon ses convictions morales, politiques ou religieuses, mais souvent, selon ses intérêts personnels de la tirelire. La seule certitude qui y existe, c’est la falsification par l’élimination systématique des faits cardinaux, dérangeant les forts du moment. « Il n’y a pas de champagne pour les vaincus ». Mais dans cet épisode de l’histoire, même les Nazis vaincus trouvaient leur intérêt dans l’occultation de la vérité de la haute-trahison de la coalition secrète de leurs alliées de toujours, britanniques, américaines… et surtout français.

Quant à Winston Churchill et le Roi George VI, de crainte d’une révolte populaire d’inspiration rouge contre l’aristocratie par l’indignation générale, ordonnèrent le black-out total sur l’affaire. Il fallait attendre la découverte dans le coffre-fort d’un avocat londonien décédé, de l’organigramme de la haute trahison des conspirateurs du Duc de Windsor Éduard avec son Right club, et sous-jacent le Rotary avec d’autres bidules mondains de ce genre. Cette Cinquième colonne dans les coulisses des arrière-bazars politiques, ces conspirateurs, en défiant l’opposition du clergé anglicane et des croyants, s’efforça de le faire réintroniser par les Nazi, avec les attributs nobiliaires « Son Altesse royale », sa hétaire divorcée et très mal famée en raison de ses débordements sexuels.

Stérile, affligée des malformations des organes de reproduction, Wallis Warfield, épouse Simpson, fine mouche de la psychologie masculine, s’est mariée pour la première fois à un officier-espion subalterne de l’aviation US.  D’une anatomie féminine rabougrie, en raison de ses aptitudes exceptionnelles à la séduction dévergondée, l’irrésistible aguicheuse, dans les années 1925, est recrutée et formée par l’US Army pour espionner la gentry huppée à Pékin. Pour la rendre encore plus irrésistible dans sa mission, leur « Mata Hari » est formée aux raffinements de l’art de l’enchantement érotique des massages « fang chung » pratiquée dans les bordels de luxe à Hong Kong.

 Amourachée au Comte Ciano, gendre de Mussolini, Willis devient une fervente sympathisante du fascisme. Ensuite, sa passion pour le nazisme s’est enflammée de son idylle passionnel, perdurant toute la guerre avec l’ambassadeur à Londres d’alors, le mercanti richissime Joachim von Ribbentrop, ancien officier, spécialiste nazi des renseignements, très côté auprès de Hitler en militant arrogant, intransigeant, provocateur. En tant que ministre des affaires étrangères, dans « la gallérie du grotesque » jugée à Nürenberg, les accusateurs lui font porter le chapeau de l’un des responsables du déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale, programmée en détail bien avant sa promotion au gouvernement en 1940, ‑ déclenchement concertée avec la conjuration britannique de son ami : le Duc de Windsor Éduard.

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*       *

Pour circonscrire en justice ainsi l’histoire du début de la Deuxième Guerre mondiale aux années 1940, les accusateurs ont dû faire passer à la trappe l’essentiel des faits et causes, reflétés justement dans les écrites saisis des prophéties du délire mystique et ésotérique du gourou Rodolf Hess, toxicomane s’adonnant à la magie, à l’astrologie, à l’occultisme. En prison de Landberg en 1924, après le putsch manqué de Munich, en compagnie des « érudits magiciens» de l’ordre de la SOCIETE THULE, Hess fut le formateur politique d’un Hitler d’une culture générale plutôt rudimentaire, mais doué d’un rare bagout électrisant la foule simplette et les vaincus humiliés, blessés dans leur orgueil encore par le traité léonin de Versailles.

Il a donc fallu, et il le faut toujours, dissimuler dans l’histoire officiel, le mysticisme sectaire délirant d’un visionnaire toxicomane Adolf Hitler, (nom d’emprunt du nom de jeune fille de sa mère), cherchant d’atteindre depuis l’âge de 20 ans « des niveaux de conscience supérieurs » à l’aide des drogues hallucinogènes, tels que le peyotl, cocaïne, strychnine… Les crédos de la secte mystico-ésotérique de l’ordre sectaire SOCIETE THULE, incluant la hiérarchie S/S, Nietzche le résume fort pertinemment : « celui qui attrape une de ces démences spirituelles en attrape généralement toutes ».

Très brièvement, ce crédo syncrétiste d’un ramais des pires sottises spirituelles de la haute antiquité jusqu’à leur époque, est en grande partie influencé des écritures des moines tibétaines de Dallai Lama, associées aux légendes germano-scandinaves, de la Grèce antique du mythe du contient englouti Atlantide, aux révélations prophétiques d’Isaïe de l’Ancien testament sur le dépérissement de la race juive, taxée par l’apocryphe, adorateur du Diable El Shaddai, race maudite missionnées du Satan pour créer l’enfer sur terre.  Est récupérée dans le Nouveau testament, entre autres balivernes, l’assertion de Mathieu des propos tenus de Jésus : le royaume de Dieu sera donné à un autre peuple ». L’interprétation de prédiction est caricaturée par Nietzche dans « Ainsi parla Zarathoustra », en peuple des arrivants, des géants blonds de la belle race ayant dans une beuverie « tué et enterré Dieu » pour partir ensuite en surhommes à la conquête du Monde. [i]

 Selon l’interprétation confuse des écritures tibétaine des Dallai Lama par les érudits explorateurs de la secte SOCIETE THÙLE, avec leur symbole sacré, le Svastika, la race aryenne serait d’essence extra-terrestre, de taille géante, blonds aux jeux bleus, télépathes d’une intelligence et d’une mémoire extraordinaire se pouvant ainsi passer de l’écriture. {Des moins et des adeptes du Dalaï-Lama de la théocratie de la servitude esclavagistes du clergé et des seigneurs, la sublime race aryenne avec sa croix gammée, est toujours vénérée comme sacrée et intangible}. La race disparue de la surface terrestre par la catastrophe naturelle inventée par Platon avec sa fable archaïque de l’engloutissement de l’ile Atlantis dans la mer d’Égée. La légende est touillée et recuite à leur sauce contemporaine des narrateurs des contes bleus, en engloutissement dans l’Atlantique. Quelques spécimens de la race prospéraient dans des vastes galléries souterraines sous le massif himalayen, attendant le cataclysme purificateur par le feu des races dégénérés. Les oracles autorisés prédisent l’heureux évènement par la Troisième Guerre mondiale des aryens victorieux. (En réalité, il s’agirait d’une race caucasienne migrante, disparue, diluée dans la masse des races slaves durant des siècles des « heureuses métissages », soutenaient aussi Nietzche déjà à son époque d’avant-guerre).

Mais Hitler, hissé en grand pape de la secte SOCIETE THULE par l’élimination physique de ses rivaux spirituels, sous l’effet des hallucinogènes, a su rentrer en contact avec les aryens extra-terrestres, loin, dans l’Univers, lui transmettant les plans des « Wunderwaffen » (armes miraculeuse) pour parvenir à ses fins. Par la volonté des extra-terrestres, le caporal gringalet est promu en « Troisième Sargon » de la prophétie du juif Isaïe (Sic), conquérant qui apportera la gloire et une nouvelle culture aryenne par l’apocalypse purificateur du feu de la Deuxième Guerre mondiale déjà. Ainsi, en rédempteur des surhommes de la crasse de la sous-humanité, il serait fait économie du cataclysme de la Troisième Guerre mondiale des oracles. L’apocalypse, mise en musique par le sectaire illuminé Richard Wagner, en Crépuscule des Dieux (Götterdämmerung), consisterait de régénérer la race aryenne et d’exterminer d’abord le premier obstacle à la réalisation : ces Juives maudites doués d’une redoutable culture supérieure.[ii]

L’holocauste n’a donc été pour les doctes prosélytes anglo-saxons,  germaniques, latins… de la dialectique nazie, que le prélude de la réduction à l’esclavage, en attendant l’extermination ou stérilisation massive, des races abjectes d’origine terrestres des sous-hommes et des primates humanoïdes (gens de couleurs)…

« Nous vivons en communauté avec la mort et devons apprendre à nous servir d’elle de la meilleure manière possible. Pour le bien de la race allemande et son expansion, il faut aspirer à une Europe vide, ce qui signifie de l’anéantissement de toutes les autres nations ». Reichsführer SS Heinrich Himmler cité par Sven Hassel.

L’essentiel occulté par la justice soudoyée est ainsi vulgarisé en grandes lignes pour des procès à venir par miracle. Pour établir la vérité historique et judiciaire, laissons aux experts spécialisés en hallucinations et divagations mystiques d’approfondir les élucubrations des inepties spirituelles des méconnus gourous déjantés Adolf Hitler, Rudolf Hess, leurs mentors, érudits magiciens, et bien d’autres caricatures encore, dissimulés au grand public à Nuremberg par le Tribunal militaire international et des médias des multimilliardaires coauteurs ou complices et profiteurs des crimes contre l’humanité qu’ils ne rêvent que de remettre, en plus grand, pour faire des gros gros tas de pognon. « Les affaires sont des affaires ».

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{Mais notons en marge, l’existence dans l’Islam des légendaires prédictions similaires de l’arrivé d’un « messie » : le nouveau calife Al-Mahdi, intransigeant guerrier unificateur de l’Islam. L’apparition divine produirait le soulèvement exterminateur de la totalité des musulmans, massacrant là où ils se trouvent, sans distinction de l’âge ou du sexe, sans limitation des moyens, juifs, apostats, blasphémateurs, mécréants… pour faire régner sur la Terre purifiée de ces chiens galleux la paix de la vraie religion du Prophète. En faisant appel à cette légende pour raviver la rébellion algérienne moribonde, le 20 août 1955 à Philippeville, au couteaux de cuisine, à la hache, à la pioche, aux pelles, aux râteaux, aux marteaux, à la scie…, par des voyous, des femmes hystériques, des enfants même, excités par une poigné de rebelles manipulateurs, une telle boucherie indescriptible à l’unisson a été suscitée à l’improviste contre des Occidentaux vivant et travaillant avec les musulmans modérés côte à côte en parfaite harmonie.[iii] D’autres boucheries méconnues du grand public se produisent périodiquement en Afrique.}

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Examiné sous cet angle du mysticisme aryen archi-connu en sciences politique, toujours pratiqué, l’action guerrière marquant le début de la Deuxième Guerre mondiale peut se situer sans doute à la rupture définitive du Pacte de Versailles et de Locarno par l’invasion en 1936 de la Wehrmacht de la Ruhr, culbutant dehors les Français. Trahie, l’armée française prête au combat, attendait en vain le soutien de ses alliées britanniques. Le nouveau roi Éduard VIII, totalement acquis à la stratégie nazie, encouragé par sa hétaire Willis, elle amourachée à un Ribbentrop aux bouquets de roses, s’en moquait : « Les Allemands ne font que reprendre leur arrière-cour »..., à savoir, la riche région minière, le gage du payement des dommages de guerre.

Jamais versés à la France exsangue, Hitler utilisait au vu et au su du monde politique entier, toutes les ressources de l’État, des emprunts de la grande finance internationale aux USA,  à la réorganisation une armée offensive à la réalisation du fameux « Mein Kampf » (Mon Combat), à la réalisation de ses sinistres desseins clairement annoncés aux milieux politiques. La pratique criminelle est expérimentée dans la guerre civile en Espagne, sous l’égide bienveillante de la communauté occidentale. S’y multipliaient partout des fosses communes de l’exterminateur acharné de généralisme Francisco Franco. « Les affaires sont des affaires ». Dans ces innombrables fosses communes interdites au recensement, taboues pour la justice nationale et internationale, furent entassés non seulement les combattants et partisans d’un régime républicain démocratiquement élue. Il y passait aussi ceux soupçonnés arbitrairement de l’avoir élu. Des femmes furent empilées comme des sardines dans les fosses communes en raison du simple fait que leur nom se trouvait sur une liste électorale d’une commune favorable à la République.

Bien mieux, « le bouclier Pétain contre les Nazis» livrait aux fosses communes de son ami de la guerre du Rif au Maroc, au généralissime Francisco Franco dictateur, tous les réfugiés espagnols du sexe masculin, aptes à porter une arme. Le comble de l’abject a été atteinte par l’extradition aux les fosses communes, les légionnaires espagnols, beaucoup décorés de sa chère Médaille militaire, ceux non capturés dans les combats en Belgique et sur la ligne Maginot par les Allemands qui les extradaient. Des crimes contre l’humanité sans moindre doute. Aujourd’hui encore la communauté internationale accepte à ce que des juges d’instruction entreprenants à Madrid puissent subir des censures humiliantes, des pressions démoralisantes.

Et, les mêmes hypocrites de cette communauté internationale notoirement corrompue, s’arrogent benoitement le droit de juger des crimes non vérifié impartialement contre l’humanité, imputés d’emblée aux Kadhafi. (Blogs p. 12). Accusations partisanes vrais ou fausses, rien que des futilités comparées aux hécatombes assassines dont elle encourage l’étouffement en Espagne, pour étouffer, en fin de compte, des complicités blâmables de sa propre haute société, telles d’un certain Duc de Windsor Éduard.

Ont échappé de justesse à l’entassement dans ces fosses communes, les vaillants légionnaires espagnols de la 13° Demi brigade de la Légion étrangère, reléguée en Angleterre derrière des barbelés, tels des prisonniers de guerre, après le débâcle en France. Mine de rien, le commandement militaire britanniques comptaient de faire droit aux exigences de l’extradition du généralissime, dictateur usurpateur Franco. Informés par des militants de la gauche britanniques des sinistres desseins concoctés dans les coulisses des infamies politiques par leurs anciens alliés des combats de Narvik et de Belgique, ils se mirent en grevé, restèrent aplatis, en se cramponnant au sol jusqu’à ce que Churchill fit lever la déshonorante situation, en les confiant au général Charles de Gaulle pour constituer la Force française libre.

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Divorce de l’officier soûlard, l’homme d’affaire Ernest Simpson succombe aux raffinements de Willis pour faire écorner une grande partie de sa fortune dans les règles d’art, avant qu’elle étende son emprise adultère sur le prince de Galles Éduard, futur roi d’Angleterre à partir de 1930. Sa dynastie, fière de sa race allemande, est liée par les cousinages aux principales têtes couronnées de l’Europe, s’alliant aux Nazis pour la réalisation de leur programme de l’apocalypse wagnérienne. Fiérot, le Prince de Galles Éduard ne dissimulait point ses accointances amicalement partisanes avec les pontifes nazis Hitler, Hess, Goering, Goebbels, approuve le Pacte secret du partage du Monde, par l’élimination des États souverains, en trois empires compacts : L’Europe à l’Allemagne, à l’Empire britannique l’Afrique, l’Amérique entière pour les USA. Le partage de l’Asie sera négociable de gré à gré en paix selon l’évolution.

 Le Prince de Galles Éduard, accompagné de Wallis, est acclamé par la foule en Allemagne par des vivats « Heil Windsor ! » et « Heil Éduard » ! Pas moindrement gêné, le prince britannique répond avec enthousiasme devant les caméras par le salut romain du bras levé «Sieg Heil ! (Salut et Victoire) ; Heil Hitler ! ». {À cette époque, l’impressionnant complexe du quartier général de l’US Navy fut construit, dans la structure actuelle, en forme de la Croix gammée}.

À l’habille manœuvrière, divorcée derechef pour se remarier avec roi entiché, le titre d’altesse royale coutumier attribué aux épouses est inconciliable avec les dogmes de la religion anglicane. Devant l’hostilité du clergé et de l’opinion publique, le roi fut convaincu d’abdiquer en 1936, en faveur de son frère cadet, le duc d’York, futur George VI. Secrètement, cependant, le conspirateur aigri n’a jamais renoncé à reconquérir la Couronne, spéculant sur l’appui des conjurés Nazis pour destituer son frère ; Nazis avec lesquels il a déjà préparé le fameux plan d’invasion d’Angleterre « Seelöwe » (au sens Lion de Mer et non Otarie). Avec le haut commandement, secrètement acquis à la bonne cause de l’apocalypse arienne jusqu’au sabordage de la flotte à Toulon. Secrètement bien sûre, la flotte française[iv] a été incluse dans le plan de l’opération du débarquement pour renforcer le potentiel de la marine allemande, très inférieure à celui des britanniques.

L’opération Seelöwe fut déjouée par la destruction préventive de la partie de la flotte française à la rade dans le port de Mers el Kebir par la Royal Navy sur ordre de Churchill. La Bataille de l’Angleterre ne pouvait plus être gagnée par les bombardiers lourds et les chasseurs d’une autonomie insuffisante de la Luftwaffe pour les protéger contre la chasse britannique. Goering, par sa mégalomanie, y a perdu ses meilleurs pilotes, des bombardiers manquant dans l’offensive enrayée à l’Est par l’Armée rouge ; des chasseurs manquant à la protection de l’industrie sur le continent, livré aux vagues destructrices des bombardiers britanniques et ensuite américains. Ce brillante manœuvre a cependant dû être dissimulé à l’Histoire sur ordre du Roi et de Churchill, très soucieux de ne pas laisser éclabousser de l’opprobre la dynastie royale devant le peuple de la haute trahison infamante de la clique conspiratrice du Duc de Windsor Éduard. Des tueurs très calés de l’MI 6 n’auraient pas hésité de recourir à des éliminations physiques des bavards initiés pour préserver la royauté contre la diffusion de ces secrets consignés dans les mémoires du commandant Ian Fleming, connu comme écrivain des romans d’espionnage de James Bond.

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{Aux traitres dans le haut commandement français jouant aux Saint-nitouches bafoués, ceux qui sont rentrés dans le régime collaborationniste de Vichy, Churchill ne leur a pas pu arracher les masques des imposteurs. Leur introduction, ou celle de leur engeance pistonnée, dans la nouvelle gouvernance de la France en déprédateurs des fonds publics et comploteur contre le régime démocratique, nous conduit en droit ligne à l’apothéose des clowns dans la mascarade judiciaire de l’affaire Papon, de insignifiant secrétaire de préfecture d’alors, jugé pour complicité des crimes contre l’humanité en intelligence avec les Nazis. L’opérette tragi-comique de vingt ans, a trouvé la finale, en grand spectacle médiatique, devant la Cour d’assise de Bordeaux,- par les crimes de suppression de mes dissertations édifiantes, incontestées, sur son incompétence légale, de la « suppression » de moi-même.

Par contre, très remarquable a été la représentation en témoin assermenté, du bedonnant ministre gaulliste, du Baron Olivier Guichard, immanquablement copain du Rotary. La présentation en parangon de la vertu républicaine, sa pantalonnade est valorisée par les lèches des comptes rendus de l’audience des encenseurs de la presse. De la fieffé canaille soustraite à la juridiction de la Haute Cour de justice de 1958 par la coalition des juges escrocs et faussaires de Bordeaux, est décrassé et relustré le blason terni par des déboires judiciaires des escroqueries de haute vole et des déprédations des fonds publics.

Au temps du projet de l’opération navale combinée « Seelöwe », secrétaire particulier de son papa Louis Guichard dans ses pérégrination pernicieuses dans la France occupée, le capitaine de corvette œuvrait en zèle officier de liaison entre le haut commandement de la Marine française et celui de l’Occupant. En 1941, accepté par l’Occupant en raison de ses bons et loyaux services rendus, le fervent collabo passe en directeur dans le cabinet de l’Amiral François Darlan, chef suprême de ce qui restait de la 4° marine du Monde, une relation très appréciée par les dirigeants nazis du Reich. Ayant pris la tangente sur le chapeau de roue au débâcle allemand à la Libération sur le contient seulement, en changeant le fusil de l’épaule, ce caméléon a su échapper à la juridiction de la Haute Cour de justice de 1944 en raison de son « intelligence criminelle patente avec l’ennemi ». Pour parer à toute éventualité des représailles des Résistants au parfum, le papa a mis son fils chéri Olivier à l’abri sur une péniche du Rhin, le prédestinant à la poursuite du noble œuvre familial.

Les nobliaux Guichard ne pouvait non plus ignorer la remise complice au papa Edmond Giscard d’Estaing, par le maréchal Philippe Pétain, la « Francisque », la plus haute décoration récompensant des Collabos les plus redoutables. Ce haute fonctionnaire du ministère des finances, anoblie par ces arcanes du Conseil d’État, a fait fortune par le pillage coloniale, en faisant aussi profiter les tirelires du régime de Vichy. Son procédé classique d’escroc de haute vole : rachat à vil prix des sociétés ruinées par les conflits pour toucher subrepticement de l’État les indemnisations de réparation des dommages de guerre ; des droits dont il a laissé dans l’ignorance des propriétaires ainsi dindonnés.

Par les accointances mafieuses avec le rotarien Guichard ‑tel père escroc, tel fils escroc‑ le frérot Charles du Rotary de l’autre « qui n’a été exceptionnel que dans la trahison » (Chirac), a échappé à Lyon de la Haute Cour de justice par le crime de la suppression de mon déclinatoire de compétence par un président dont le nom se retrouve parmi les escamoteurs de la même copie à la Commission des requêtes de la Cour de justice de  la République.[v]

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  {Notons en marge, le Duc de Windsor Éduard a bénéficié de la complicité du papa Joseph Kennedy, ambassadeur à Londres honteusement enrichie par sa collaboration avec les Nazis, convoitant la présidence des États Unis. Le Monde en a échappé bel. Le Cheval de Troyes, discrètement inactivé par Churchill, est rapatrié, après l’éclatement d’un scandale d’espionnage dans son ambassade au profit du Troisième Reich}.[vi]

La guerre déclarée à l’Allemagne, le Duc de Windsor Éduard, est nommé officier de liaison de la mission britannique au GQG français. Durant trois mois, avec ses officiers chevronnés, le Duc notoirement pro-nazi, inspecte la Ligne Maginot dans les détails, relève dans son rapport toutes ses faiblesses, particulièrement celles de la défense des Ardennes, considérées infranchissables. Dédaigné par le commandement britannique, le rapport édifiant atterrit immédiatement sur le bureau de son cher ami Hitler.[vii]

Sur ses informations perspicaces, avec la Cinquième colonne dans le gouvernement (Darnand, Déat…) et dans le commandement militaire français, fut préparé de longue main l’encerclement à Dunkerque de l’armée allié franco-britannique, la récupération quasiment intacte de l’excellent armement et dépôts de munition et ravitaillements française. Le ravitaillement est bloquée aux combattants ayant épuisé leur dotation sur le front des Ardennes dans la destruction massive des premières vagues d’assaut allemands, taillées en pièce malgré les pilonnages des bombardiers à pic Stuka. Leur pilotes entraînés en Pologne pouvaient s’en donner à cœur joie en raison de la destruction au sol dans les 300 appareils Moran-Saulnier 406 de la chasse française, des meilleurs des chasseurs de l’époque, bien supérieurs aux Messerschmitt. 191 victoires ont été tout de même homologuées, auxquelles s’ajoutent les non recensés dans la pagaille du commandement saboté.

L’armement et le matériel tout neufs du renfort des régiments d’artillerie de campagne ont dû être abandonnés en ras de campagne en raison du manque du carburant pour les véhicules. En regorgeaient, les dépôts camouflés pas loin de là. Les armées de la Bulgarie, Croatie et de la Roumanie, des cousins couronnés du Duc de Windsor Éduard, en furent dotées par la Wehrmacht victorieuse.  Là alors, ces chars français performants, excellaient sous la protection des chasseurs Moran-Saulnier 406 dans l’invasion de l’Union soviétique jusqu’à Stalingrad… et même encore au retrait dans les mains de soldats de l’Armée rouge qui les ont récupérés.

La technologie d’avant-garde des radars français, déjà opérationnels en alerte en 1940 derrière la ligne Maginot, récupérée par les vainqueurs et installées sur la côte de l’Atlantique, engendrait des hécatombes chez les bombardiers britanniques ; alors que les bombardiers lourds allemands détruisirent au sol « par surprise » l’aviation française dont les emplacements leur ont été indiqués par la haute trahison. Évaluez l’implication de Marcel Déat, ministre de l’Air dans l’an fatidique 1936, son évolution sous l’Occupation, pour devenir ministre au gouvernement de Vichy du fusillé Pierre Laval ; son villégiature dorée en Italie sous égide du Vatican. L’intouchable, avec bien d’autres de son genre, siégeait dans un gouvernement dont, tous les membres sont juridiquement coauteurs, au moins complices, de l’intelligence avec  l’ennemie des crimes contre l’humanité, supervisées de son secrétaire général au Maintien d’ordre (nazi) Joseph Darnand, général SS ayant prêté serment à Hitler pour leur organisation en France. On s’est donc bien gardé de le juger et exécuter pour crimes contre l’humanité. C’est pour des crimes de guerre la justice lui a accordé, comme jadis au valeureux maréchal Ney, (fidèle à Napoléon, traitre du Roi), les derniers honneurs du rituel militaire d’une exécution par fusillade du peloton en uniforme, au lieu de raccourcir son orgueil assassin par l’opération esthétique de la guillotine.

 Son complice Marcel Déat cependant, au lieu de passer devant la Haute Cour de justice de 1944  avec ses intouchables compères complice, le criminel, se gobergeant comme un coq en pâte dans le confort de son splendide abri, lorgnait sans vergogne à l’appel au gouvernement français, après la réussite « du complot du Plan bleu » fin 1946. Cette insurrection a été militairement planifiée par des généraux coloniaux de l’armée française pour les opérations des bandes constituées des S/S en cavale, des Camelots du Roy, des aventuriers gaullistes aussi, avec toute une faune cosmopolite se disant de la race arienne avec des cheveux foncés décolorés à l’eau oxygénée, des tenants du « Combat de l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… ». Armée du CIA par des parachutages nocturnes des fusils, des mitraillettes, des fusils mitrailleurs, des grenades…, avec des industriels pourvoyant en sous-main au financement, les organisateurs sont laissés en dehors d’une procédure judiciaire truquée et troquée qui s’est engloutie dans les sables mouvants du trafic d’influence. Encore une affaire passée sous le coup d’étouffoir des juges complaisants, toujours acquis à l’idéologie macabre de l’ancien Occupant.[viii]

 Mais ça, ce seraient encore d’autres histoires…, autant pour moi ! …des histoires qui ne seront jamais approfondie par la justice verrouillée en raison des compromissions de ses clans soudoyés. Signalons juste en épilogue la présence significative dans le régime usurpateur des « Gangster d’État de l’État gangster » de Sarko-les-Pots-de-Vin, du joli monsieur Gérard Longuet, miraculé avec lui de la feue Haute de justice par les mêmes procédés de fripouilles des noyautages mafieuses de la hiérarchie judiciaire. De ce ministre de la Défense, (ainsi de ses compères des anciens gouvernements), de la gente politico-judiciaire, sont parfaitement connus ses goûts pervertis pour des actions de commandos des casseurs du fonctionnement de la démocratie viscéralement méprisée.

C’est bien ce sinistre de Défense Longuet qui a pu donner libre cours à ses morbides pulsations nazies pour faire niveler les villes de la Lybie et faire assassiner le colonel Mouammar al-Kadhafi, le Guide progressiste, très apprécié de la grande majorité de la population qu’il a naguère libérée d’un prince fantôche maintenu au pouvoir par des exploiteurs coloniaux. Chassé par la porte par Kadhafi, Longuet les a fait revenir par les fenêtres ouvertes à coups de rockets tirés des chasseurs bombardiers pilotés par ses militaires français. Ce Longuet et compagnie, au nom de la liberté des adeptes rigoristes de la Charia, a fait trucider en masse des femmes et des enfants par des mercenaires pervers, razzier les édifices publiques, dont des hôpitaux, spolier les boutiques des petits commerçants, piller et incendier des maisons des humbles particuliers, laissé violer leurs femmes et enfants impubères.

De ce cryptonazi effréné, il s’agit tout simplement d’un militant de l’organisation de l’extrême droite musclée « Occident ». Comme l’attestent la documentation reproduite dans les blogs jamais démentis, sa carrière politique est financée en douce par des fonds secrets provenant de la Suisse ; des sources polluées desquels les juges ont détournés les yeux, ne se sont pas particulièrement intéressés aux qualification pénales « complicité » ou/et « recel » dans les magots du grand banditisme international… où des pots-de-vin de ce munificent colonel Mouammar al-Kadhafi d’alors à l’égard des ministres insatiables aux mains éternellement tendus pour les mendier en dessous la table.

Voir la suite dans l’exposé inachevé, présenté naguère aux ministres par l’entremise du Conseil d’ État (p. 4) dans le carnaval masqué de l’apothéose des clowns lors de la poursuite, maquillée durant deux décennies, du petit secrétaire d’alors de préfecture Maurice Papon pour complicité des crimes contre l’humanité, dont en réalité, le gouvernement de Vichy dans son intégralité en a été responsable en raison, répétons-le, de la direction par le général SS Joseph Darnand. S’étant complaisamment prêté à la mascarade de ce qui à Bordeaux lui a été exposé et récité ci-dessus, il fut grassement indemnisé par la Cour européenne de sauvegarde des droits d’homme des procédures prétendues « non équitables », mise en scènes par ses propres avocats (p. 4). Mon témoignage édifiant à ce sujet sorti de la procédure à Strasbourg par un tour de passe-passe, suggéré à la Cour par le représentant et porte-parole du gouvernement français.

[i] Lord Bulwer-Lyton : « The Comming Race », 1881, etc.

[ii] Carmin E.R. « Gouru Hitler ». SV International/Schweitzer Verlagshaus AG Zürich, etc.

[iii] Courrière Yves. Le massacre qui a fait basculer la guerre en Algérie. Historama magasine novembre 1984

[iv] 4°Flotte du Monde, avant celle de l’Allemagne.

[v] Bellert Robert et Porte Guy. « Les ambitions politiques de M. Charles Giscard d’Estaing ». Le Monde du 31 décembre 1992.

[vi] Costello John. « Les dix jours qui ont sauvé l’Occident ». Éd. Olivier Orban 1991.

[vii]   Allen Martin. “Le Roi qui a trahi”. Ed. Plon 2000. Williams Susan A. “The People’s King: The True Story of the Abdication”. Ed. Palgrave Macmillan 2004. Lycett Adrew. “Ian Fleming : The Man Behind James Bond. Turner Publishing 1995. McLeod Kristy. “ Battle Royal :Eduard VIII & George VI : Broder against Broder ”. Constable and Co, Londres 1999.  Higham Charles. “ La scandaleuse duchesse de Windsor ”. Jean-Claude Lattès 2005. Paris. Pearson John. “ La vie de Yan Fleming ”. Plon 1967. Persico Joseph E. “ Rossevelt’s Secret War : FDR and Word War II Espionage ”. Random House 2001.

[viii] Algazy Joseph. « La tentation néo-fasciste en France (1944-1945). Ed. Fayard, 1984.

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19/03/2012. Copie à titre de témoignage à Monsieur le juge d’instruction Patrick Ramaël et à la transmission par ses soins au Conseil supérieur de la Magistrature en réaction publiée sur Rue 89 TRIBUNE du 18/03/2012 : Affaire Ben Barka : qui veut « abattre » le juge Patrick Ramaël ? »

Sur ce chapitre, sont faites depuis des lustres les démonstrations judiciaires des combines mafieuses de la coterie de Sarko-les-pots-de-vin, de son laquais en chef, l’ancien Président de la Cour d’appel de Paris M. Jean-Claude Magendie.

Addendum  du 11/06/2012.  « Le passé n’est pas mort. Il n’est même pas passé », selon l’analyse d’un initié. Ainsi, il ne manque vraiment pas du cynisme le plus sournois aux poursuites des crimes contre l’humanité des soi-disant « complices du quatrième degré », ou plus bas encore, dénichés dans les années 1981 juste pour la frime judiciaire d’opacification, si on tient compte des principaux « instigateurs récidivistes », pénalement responsables selon la législation française, de ces crimes contre l’humanité, depuis bien avant 1922, des puissantes trustes multinationaux, « commerçantes ensuite aux deux bords ennemis » durant toute la guerre. En ce qui concerne les États-Unis, ces combines secrètes ont été dévoilées avec la publication du livre de l´écrivain nord-américain, Charles Highmans, « Trading With the Ennemi : An exposé of the Nazi-Américan Money Plot 1933-1949 ». Publié à New York en 1983, l’auteur, passé sous silence dans les sciences politiques, stigmatisait entre autres jongleurs désastreux de la grande finances : l’International Telephone and Telegraph Corporation, ITT.|| L´entreprise suédoise SKF (Svenska Roulements à billesfabriken) et sa filiale aux États-Unis.||BIS –Bank of International Settlements (Banque pour les payements internationaux). || La Chase National Bank, (et même la National City Bank of New York. || Standard Oil: il y brillaient, Sterling Products, General Aniline and Film, SKF, ITT, Davis Oil Compagny, Texas. || Compagny Ford et General Motor et cetera, et cetera.

Dans le gratin du « monde des Monstres d’ordures », selon l’expression de Nietzche, des mégaconglomérats secrets des trusts hors-la-loi, une sorte de hypermafia (p.12) avec leurs magots d’une accumulation inestimable, le holding IG Farben (Hoechst AG) a en été le leadeur statufié le plus remarqué, un monument emblématique parmi des favorisés de la Justice des Kennedy, des Bush…des Giscard, des Sarkozy. Dans les années fatidiques autour de 1928, avec des investissements d’un rondelet milliard de dollars pour manipuler, par des boucheries en série, l’élection d’un monstre délirant sur l’apocalypse mystique de la guerre totale, le holding multinational, avec ses florissantes filiales aux USA, a même été invité ensuite de construire son propre camp de concentration à Monowitz dans les environs de l´usine.

 De cette gallérie des Monstres froids, la portée et la qualification juridique, judicaire et criminologique change singulièrement avec la divulgation de la haute trahison du clan du Duc de Windsor avec son aristocratie du sang et du fric, et avec la découverte précédemment en Angleterre, de l’annuaire secret des compromissions criminelles de ces hautes personnalités de la politique, des finances et de l’industrie du « Right club ». Est absolument indéniable, la responsabilité pénale de ces adeptes de l’idéologie malthusienne et eugénique dans le conspiration pour la purification raciale par le nettoyage de la Terre ; des rêveurs de « l’apocalypse de la guerre totale » sous la dictature d’un gourou prophétique réputé dans leur sphère des sectaires éblouis ; d’un indigène culturel de bas étage instrumentalisé, mais un magicien sachant « d’électriser la foule » de ses obsessions du délire mystique, des visionnaires dopés au peyotl, strychnine, amphétamine…

Ses slogans envoûtants dans des grandioses et dispendieuses mises en scènes théâtrales fiancés par les multinationales ou par des détournement massifs des fonds publics, sont inventés et dirigés par le génial dramaturge en folie délirante jusqu’au dernier souffle, par le Joseph GoebbelsMinistre du Reich à l’Éducation du peuple et à la Propagande, docteur en philosophie de la thèse « Blut un Ehre », Sang et Honneur… pour rendre l’Allemagne « Judenrein », pure de Juifs, sa purification prioritaire des Aryens pollués par des croissements de promenade avec des vils météques et basanés. Ces dogmes sectaires ont toujours cours à notre époque chez une certaine aristocratie du fric et du sang, de leur gentry lécheuse, parmi leurs suiveurs fanatisés : les escarpes des escadrilles d’assaut de « geistigenTiefflieger », de leurs planeurs à rase-motte. Sans doute, sous l’éclairage de ce nouvel angle des monstruosités de l’histoire du XX° siècle, les premières victimes de l’Holocauste, les plus durement touchées par des puissances étrangères dans leur chair et dans leur honneur, c’étaient les peuples Germains même.

Comparable au sacré de leur idole, le roitelet d’outre Rhin Clovis I d’une tribu de cannibales barbares, exterminateur apocalyptique et destructeur de la civilisation occidentale pour plusieurs siècles, le financement massif en Allemagne dans les années 1930 à 1933, par les grandes finances internationales et des holdings multinationales de l’industrie, du parti minoritaire d’un illuminé toxicomane irresponsable, grand délirant « électrisant la foule…«  l’envoyé de Dieu (Sic)», a été l’organisation impunie du plus grand crime contre l’humanité de cet siècle. « C’est le pouvoir que je veux. Lorsque nous l’aurons obtenu, nous le garderons. Personne ne nous l’arrachera plus. […] Je préconise les méthodes pédagogiques dures. Toute faiblesse doit être impitoyablement éliminée. Dans mes séminaires, une jeunesse grandira qui terrifiera le monde ». Himmler : « Je veux une jeunesse allemande violente, courageuse et cruelle ». Cités par Sven Hassel.

Acceptant toutes les conséquences prévisibles (et prévus de bonne heure par certains) du désastres de ce délire mystique, mus par la seule vision de leurs fortunes personnelles, la totalité des industriels et financiers allemands revendiquaient avec ostentation du chef de l’État, au Maréchal Von Hindenburg, intronisation de ce désaxé notoire avec son parti minoritaire d’assassins des bas-fonds (le proxo H. Wessel idolâtré), saoulés de la folie galopante de la suprématie du peuple allemande en manque d’espace vitale et de son droit naturel le plus légitime d’imposer sa dictature dégradante et meurtrière aux autres peuples des bâtards et bêtes humanoïdes, au nom des dogmes des fantômes pseudo-scientifiques de la « hygiène sociale et humanitaire », de les débarrasser de « la maladie contagieuse de la juiverie, historiquement malfaisante, bibliquement maudite ». Voir Mein Kampf, des versions 1920.

En 1981 à 2010, la comédie tragi-comique à la française de la propagande politico-judiciaire grand spectacle des poursuites des plus ringards lampistes Papon, Touvier et consorts, bien réfléchi, victimes de cette propagande « électrisante » des cintrés pleines aux as, c’est belle et bien le summum de la caricaturation historique de la Justice. Pour se donner bonne conscience, redorer leurs blasons corrodés dans la boue vireuse de toutes les abjections, ce sont les instigateurs du premier degré des crimes, ou les heureux receleurs, qui les font juger par leurs larbins stipendies, constamment, à grand renfort leurs incontrôlables et inépuisables ressources en l’argent sale.

Personne n’a été censé d’ignorer la présence du plus pernicieux l’instigateur criminel dans la direction de IG Farben (Hoechst AG), du Monstre X officiant en conseiller scientifique d’Hitler ; dans le conseil d’administration, en pasionaria militant d’Hitler, l’avocat bondieusard Me John Foster Dulles. Semblable au ringard Maurice Papon de la Légion d’honneur en France, ce premier, l’arriviste américain enrichi sans vergogne des crimes contre l’humanité, cet authentique criminel-là, passe après la guerre ministre dans le gouvernement fédéral de Kennedy ; à l’ONU en père de la morale chrétienne.

Avec l’autre défenseur de taille des sacs à pognons d’IG Farben, est le juriste aussi intéressé Allen Dulles. En 1940, l’ancien Manitou dirigeant de l’OSS (<CIA) à Bern (Ch.), future chef du CIA, le tripoteur est « impliqué dans des liens financiers avec l’Allemagne nazie avant et pendant la guerre en financier pour Wall Street, et notamment pour la Standard Oil, dont il représentait les intérêts en Europe […] et paraît ainsi davantage servir les intérêts financiers des grands groupes plutôt que la démocratie et la liberté…, » suivant la divulgation des sources citées.

Un autre exemple phénoménal, sorti de l’enchevêtrement des participations aux capitaux sociaux circulaires, croisés, en étoile… directement ou en croupe par des hommes de paille ou des subtiles jeux de cache-cache des châteaux des cartes pipés des société fictives et d’écrans, de la sous-traitance en cascade… Sont construits par des firmes allemandes du holding Ford Motor Compagny, les camions militaires du Reichsmacht, des Forces Armées du (3°) Reich, rapidement remonté de ses ruines pour la réalisation de l’apocalypse du Mon Combat, du Mein Kampf de Hitler, à savoir, de « la guerre totale » de son mentor le général Von Lüdendorf, à l’aide des subventions et investissements étrangers massifs. Le plus illustres des munificents bailleurs des fonds du parti nazi, le PDG Henri Ford, « antisémite pathologique », fut personnellement décoré par Hitler, en premier étranger, de l’ « Ordre de l’Aigle allemand ». Pour chaque anniversaire de l’idole Hitler, le magnat plein aux as, un des oubliés de la Justice, lui fit un don personnel de cinquante mille dollars. Une somme importante à l’époque.

Dans le même courant de l’histoire, les redoutables chasseurs et bombardiers lourds « Focke-Wulf » sont construits en Allemagne par les firmes américaines de la multinationale ITT, ainsi que des équipements électroniques de combat de nuit et de repérages. Ces milliardaires cousus d’or, ayant fait dézinguer derrière la Ligne Maginot l’aviation française trahie, concassés les convois et positions de l’US Army, envoyé au fond les bâtiments de l’US Navy, descendus comme des mouches leurs bombardiers, ne se sont pas gênés de réclamer au contribuable US, au-dessus des cimetières de ses soldats tombés sous leurs armes, des indemnisations de la destruction de leurs usines en Allemagne par US Air Force. (Sic).

C’est de l’histoire certaine, les matières premières furent fournies par des réseaux des holdings conglomérés aux firmes omniprésents dans les deux camps, jouant le double-jeu commerciale des mercantis sous le manteau des neutres : briseurs du blocus d’Amérique du Sud notamment pour les minerais indispensables à l’industrie d’armement. Les financements secrets sont assurés avec des spoliations dans les États conquis et aux juifs « non consentants » : titres cessibles et négociables des sociétés, créances et titres de propriétés travestis par les notaires, l’or et autres métaux précieux, pierres précieuses… passant par les blanchisseries des banques suisses reconvertiseuses en devises ayant cours, toujours en toute impunité, en mépris des infractions imprescriptibles du recel précisées en 1981 à la justice et aux ministres française (dont Strauss-Kahn) lors des montages des lamentables comédies judiciaires Papon, Touvier et autres.

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De nos ténors de l’air du temps, jusqu’à un million de dollars d’heure, les dramaturges illusionnistes en pourfendeurs des « criminels de guerre » sur les tribunes de la justice grand-spectacle, (la prévention « complicité des crimes contre l’humanité » n’est pas applicable dans le droit français), font exacerber les émotions des victimes fourvoyées, rien que pour se faire mousser par les journaleux laudateurs devant l’opinion béat. Tandis que les contestataires avisés, eux, s’y font éjecter à coups de triques, aux guignols de robe tout est permis dans la salle d’audience. Au procès Papon à Bordeaux, en février 1998, ce vert bellâtre d’avocaillon en a été convainquant par une longue mèche de godelureau pendouillant devant le regard rempli d’envie du grand chelem médiatique. À court d’un trait d’esprit pénétrant, le frimeur fit article de ses balivernes en vogue, sous l’ample soutane noir de tradition des moins paillards de sa minable caste des bonimenteurs des bazars de la chicane, chaussée en rollers dans la solennité de la salle d’audience. Ô les Trissotins ! Ont toujours tort, les trouble-fêtes exclus de ces réjouissances, chassés des mondanités de ces dispendieuses kermesses judiciaires tape-à-l’œil.

Ensuite, pour remettre ça, ces guignols de la basoche soudoyée, ont mis en en cause la S.N.C.F., la « Société nationale des Chemins de Fer de France », en raison de l’acheminement forcée par l’Occupant vers les camps d’extermination des juifs. C’est le comble des guignolades avocassière, une monstruosité grotesque de la propagande politico-judiciaire : la subreptice déviation d’occultation de la responsabilité primordiale de la société multinationale IBM. Pour recenser et ficher les juifs à exterminer, en pleine connaissance de cause, ce Ku-Klux-Klan inféodé au Wall-Street, a fourni de gaité de cœur aux sbires d’Hitler les machines « Hollerith », sortes de « superordinateurs » avant l’heure, machines informatiques performants, fonctionnant avec des cartes perforées…

{Les Brigades spéciales de la Police nationale BR, collaboratrices sanguinaires avec l’occupant nazi disposaient des Trieuses mécanographiques à bandes perforés de Bull beaucoup plus performantes que celles de  lBM. Les fichiers du Commissaire René Hénoque compromettant les futurs hommes politiques et hautes fonctionnaires dans l’intelligence avec l’ennemi dans les crimes contre l’humanité furent récupérés par des collaborateurs nazis haut placés. (Hénoque et ses principaux assistants ont réussi de se soustraire à la Justice). Ils s’en sont servis pour assurer leur impunité et des financements occultés par des industriels par l’exercées de chanta gage et corruption. DELTEIL Gérard. « Les années rouge et noir ». Éditions 2014. Roman tiré des documents historiques.}

En France, sous l’Occupation, le plus pernicieux des journaleux stipendié, attisant la haine raciale, dénonçant aux Nazi des personnalités à exterminer en priorité par son torchon « Au Pilori », c’était ce talentueux scribouillard Robert Hersant. À la Libération, avec des fonds privés de ces multinationales, et en prime des subventions et des prêts à fonds perdus par le Trésor, ce génie en manipulation de l’opinion, avec des hordes d’écrivassiers tripoteurs, montait un empire de presse de désinformation, d’intox et de manipulation pour promouvoir à la gouvernance de « l’État gangster des gangsters de l’État », ceux dénoncés dans mes dépositions aux juges, preuves irréfutées à l’appui. Dans mes exposés à l’attention des jurés des Assises de Bordeaux et de Versailles, supprimés par le Conseil d’État, (aussi par des magistrats maçons Magendie, son frérot Nadal-on-a-saccadé-la-justice et autres huiles de la GLNF du tonneau de l’ancien ministre de l’Intérieur Claude Génant, un de ceux dirigeant tous les coups tordus des services secrets). Réduit en paria dans ma turne, il ne me restait que de recenser au procès Papon, l’exhibition des fausses vertus d’au moins deux complices du premier degré miraculés des poursuites des crimes contre l’humanité. (Resic).

Rivalisant avec les milliardaires profiteurs, magnats des médias me suivant à la trace, Bouygues, Lagardère, Vivendi…, voici le chef d’œuvre de l’empereur Hersant de la Presse : l’occultation au public, aux victimes et aux anciens résistants blousées (*) dans ces carnavals judiciaires de l’apothéose des clowns devant les Assises légalement incompétents de Bordeaux et de Versailles, du contenu congru mes déclinatoires de compétence assortis des précisions cardinaux : l’indivisibilité judiciaire, la nullité d’ordre public des procédures tronquées et truquées, l’imprescriptibilité des recels des crimes de guerre par ces trustes multinationaux, selon les dispositions nettes et claires du droit pénal commun. Allégrement, comme si de rien ne s’était passé, cette hypermafia ruine encore ces jours-ci la France par la banqueroute frauduleuse (p.2), par l’entremise de leurs retors larbins plouto-kleptocrates, aussi bien à la présidence de la République, qu’au gouvernement des francs-maçons d’obédience GLNF, du Rotary… et, au parlement des navrants « politicochinelles », des inutiles péroreurs maniérés avec des gesticulations théâtrales des sauveurs des conditions d’existence de leurs électeurs compromises par leur calamiteuse parasitage de tranche-montagnes vaniteux et cupides.

[(*) En l’espèce, la responsabilité civile est d’une jurisprudence certaine].

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Dans les années 1945, par des conciliabules à Zürich, en Suisse le gratin du « monde des Monstres d’ordures » d’une petite bande de fricoteurs mégalomaniaques écrivit en secret la véritable histoire du XX° siècle. Des ennemis du genre humain se liguaient en catimini dans une collusion internationale pour la violation toutes les lois anti-trust du monde. C’est là qui a été fondée cette super-corporation mafieuse entre les principaux industriels, financiers et trafiquants du monde occidental. Les « surhommes » n’ont pu se passer des dignitaires nazis de leur espèce, dans réalisation du complot contre le projet de Roosevelt de la cessation d’une partie de l’Europe au Bloc soviétique pour avoir la paix. Ensuite, sans plus rien laisser au hasard, pour concasser les effets du Pacte de Yalta, se sont concertés et raffinés les procédés la criminalité politique « en bande organisée » : intronisation des chefs d’État de toutes les étiquettes, réduits à la fonction de « simples porte-paroles » de la direction de leur conjuration secrète : Bokassa, Charles de Gaule, les généraux de la Grèce, Franco…, selon la littérature avisée.

Domestication par la corruption de toutes les institutions des « États gangsters » ainsi vassalisés et arrière-vassalisés sous un déluge de l’argent sale : gouvernement, parlement, police, services secrets, justice, éducation… Ruiner les états récalcitrants par l’organisation des évasions fiscales massives, des boycotts ou des dumpings secrètement concertés, et, s’il s’en fallait des destructions criminelles de moyens de production. La direction des services secrets de l’Occident passe sous le contrôlés des réseaux de leurs agents. (P. 12). Noyautage des syndicats et associations, direction par les cafardes et taupes insinués, manœuvrés en faveur de leurs actions clandestins par la désinformation et l’intox étudiée dans la subversion, sabotages économiques et sociales, manifestations, (Mai 68 a été un classique pour la psychosociologie), émeutes… Réactivation des partis de l’extrême droit parallèle à l’organisation des groupuscules extrémistes, terroristes des révolutionnaires de tout bord ; manipulation des extravagances des attentats toujours plus meurtriers pour remuer les consciences blasées de leurs propres partisans.

Pour la mise en gros plan médiatique des enfants odieusement massacrés, les reportages tendancieux n’ont que l’embarras de choix dans la « banalité du mal », les hécatombes contemporaines des milliers pour exaspérer l’opinion publique vers des revendications des représailles encore plus meurtrières pour ces malheureux, jetés périodiquement en pâture du macabre spectacle de manipulations électorales, de l’amplification des tirages et de l’audimat. C’est par les clips et scoops de cette veine morbide, étudiés des scientifiques de la psychosociologie appliquée à l’instrumentalisation des crédules hommes-masses robotisés, de la funeste l’incantation des épluchures journalistiques, Hitler a justifié l’invasion de Pologne, Bush de l’Irak. Sarkozy la Lybie, ne cessant de pontifier en « pédagogue de  » Sang et honneur »» à ses groupies des planeurs à rase-mottes, toujours en cruel manque de se faire déniaiser de leurs sottises. Faite donc toujours recette, le vieux jeu des entourloupettes du ministre d’éducation du peuple, du Dr philo Goebbels ! De nos jours, «la lobotomisation par les médias, c’est un grave problème de santé publique », enregistre le docteur en neurosciences, chercheurs à l’INSRM Michel Desmurget, cette « chirurgie mentale », subventionnée sur le dos du contribuable, par les ondes et les inondations, de la paperasse des folliculaires, des affiches et prospectus de propagande, défigurant et polluant l’environnement.

Par des générations décadentes des fils à papa jupitérien, des déprédateurs assoiffés du pouvoir, les objectifs criminels de la hypermafia ont évolués vers les plus basses des spéculations cupides de la réalisation des profits à courte terme sous les masques des mécènes philanthropes et louables pères de la morale du Bien. Ces spoliations bestiales des visionnaires irrationnels, de ces perturbés des superstitions de l’apocalypse régénérant la surhumanité, sont inconcevables aux doctes érudits salonards, ânonnant avec ostentation à tous les échos les pieux clichés dans les universités des sciences sociales. Sous des habillages juridiques spécieux de leurs machinations sordides, avec tous les passe-droits imaginables, ces criminels de haute vole pillent, accaparent des richesses par n’importe comment pour laisser derrière eux un monde poubelle. Sous l’égide de la corruption policière et judiciaire, le système se préserve par des assassinats en série de tout ce qui dérange leurs sinistres, dont leurs propres associés indisciplinés, contestataires ou ceux ayant perdu la confiance de la direction d’une « mégacorporation irresponsable administrant en fait la plus grande partie du monde ».

Ainsi, entre les gros légumes argentiers des SS-SD, ceux de la Mafia, des hommes d’État protégés de leurs services secrets, des aristocrates avec leurs contrefaçons anoblies, de toute ce panoplie hors-la-loi des trusts multinationales ayant commercées, à la fois, en coulisse avec l’ennemi des deux camps, de l’Axe et des Alliés, des collabos industriels de tous les belligérants, leurs acolytes briseurs de l’embargo et du blocus, par une congrue littérature marginalisée, sont accusés d’avoir formé cette fameuse hypermafia mondiale, une sorte de conglomérat illicite des trusts, holdings et omniums multinationaux (blogs ps. 2 et 12) : Les financiers les plus importants du XX° siècle (J.P. Morgan…), des magnats de l’acier, automobile, aviation, entreprises à la point des recherches technologiques, les grands patrons des principaux compagnies pétroliers, géants de la télécommunication… et… des « grands capitaines » de l’industrie chimique associés aux collaborateurs scientifiques du furtif Dr Joseph Mengele.

La nouvelle idéologie de la génération déphasé du « Good Club » ‑ Club du Bien – des ÉCOFONDAMENTALISTES, ne comptait de se passer des lumières des braves docteurs ayant dirigé dans les camps d’extermination des recherches sur des formules industrielles aux vertus salvateurs de la stérilisation et de l’extermination biologique massives des nuisibles races des sous-hommes… au nom de l’hygiène sociale, de la reproduction accélérée de la sublime race par des mignons jumeaux blondinets. Dotés des fonds illimités, le perfectionniste Mengele, avec des collaborateurs de naguère, aurait continué des recherches en Amérique de Sud dans les haras SS « Lenbensborn », sous l’inspiration de son associé, son professeur de la biogénétique et complice SS, le professeur Dr Fritz Lenz. Ce pontife ès sciences nazie, parmi les génies les plus intouchables encore, avec une collaboration scientifique internationale, des équipements de point, continua clandestinement ses recherches biogénétiques en Occident « pour changer la face du monde », selon ses vantardises prises très au sérieuses par les ÉCOFONDAMENTALISTES.

En superviseur, lui tenait aussi compagnie Martin Bormann, l’adjoint remplaçant Hess, homme de confiance et l’exécuteur testamentaire d’Hitler, « exfiltré », par le pieux canal bien connu du Vatican, comme mainte autre monstre du sommet : une équipée infernale jamais à court des fonds sauvegardés à cet usage via les banques suisses. La justice polonaise réclame en vain à l’Interpol ses docteurs en biologie de l’hygiène sociale, ces irremplaçables talents récupérés quelque part par un laboratoire d’outre-Atlantique, comme toutes les grosses têtes des techniques et sciences de guerre et de purification des races. Comparé à ces monuments symboliques, protégés des poursuites des crimes contre l’humanité, le change donné par la mis sur la sellette des horripilantes épouvantails, capturées ou extradées pour la comédie, ces Eichmann et plus encore Barbie, n’ont été que des insignifiants « farceurs », livrés à la vindicte publique irréductible en trophées du maquillage de l’écran de fumée de la justice-spectacle.

Au surplus, répétons-le en allant à contrepoil des idées reçues de la désinformation du protectionnisme : les produits des recherches médicaux et pharmaceutiques, à l’aide des matériaux et appareillages de recherche dernière crie, livrés en contrebande des multinationales US (ultramicroscopie), expérimentations effectuées doctement, sans ménagements directement sur l’homme, par les filiales de l’IG Farben installées dans les camps d’extermination, une fois brevetés par d’autres filiales aux USA, rapportaient sans doute des milliasses de dollars. Les victimes en sont subrepticement privées à l’instar de celles des homologues japonais de l’unité 731, sous la direction du frère de l’empereur et du médecin-général Shiro Ishii. Ces fanatiques froids bichonnés en chemise-cravate et blouse blanche, chercheurs du niveau académique suprême, n’étaient tout de même pas ces ogres irrationnels, monstres mythologiques des bandes dessinés de la propagande de la dénazification orientée dans les sables mouvantes. Les inventions d’avant-garde dans tous les domaines de la médecine et pharmaco-biologie des savants nazis ont été récupérées aux yeux secs, sans débourser un kopek aux ayants droit des victimes démantibulées, écharnées, écharpés… sur des paillasses de dissection des laboratoires, Une autre forme odieuse de l’infraction du recel aux relents d’escroqueries démonté dans les années 1985 au Conseil d’État et même à la Cour fantoche de la Justice de la République. La Cour pénale de la Communauté européenne, elle aussi, en fut gratifiée.

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Bien qu’il soit certain la connaissance des détails du CIA et du MI6 de ces marchandages au-dessus des têtes des forces armées belligérants avec leurs illustrissimes traîtres au pinacle des régimes, est encore entourée plein de mystères. Restent dans l’opacité pour la Justice, les secrets de la remise des quelques bribes des archives des services de renseignements nazis SS-SD, aux fins de la négociation de leur impunité, leurs fuites à l’aide des vrais-faux passeports des identités d’emprunt, ou même leurs réinsertions dans les nouveaux systèmes des vainqueurs. Des armes psychologiques aux redoutables effets incalculables, perdurables. Les archives les plus importants du troisième Reich ont été copiées sur des microfilms par les anonymes sûrs de la hiérarchie SS-SD ((**) (+)), des assermentés inconditionnels à l’exécution testamentaire de Hitler par Bormann, visant la réalisation de la troisième Guerre mondiale prophétisé par le fléau du mythe aryenne, accréditée de la fantasmagorie du mysticisme des moins des Dalaï-Lama, incluant des allemands consacrés. Avec leurs informations sur les hautes compromissions du complot franco-britannique, ces agents laissés dans le brouillard, disposaient de quoi à négocier avec le vainqueur. « Un peuple dont les familles ont en moyenne quatre fils par famille peut se permettre une guerre tous les vingt ans. Deux fils tombent au champ d’honneur et les deux autres perpétuent la race ». Reichsführer SS Heinrich Himmler, cité par Sven Hassel.

[(**) Non pas, selon des mystificateurs de l’histoire, par le général de brigade Reinhart Gehlen de l’Armée de Terre sur le front Est, chef de l’ « Abwer », (Deuxième Bureau), préservant dans un coffre-fort à la CIA ses informations politico-militaires et celles sur ses réseaux d’espionnage dans la guerre contre l’Union soviétique].

{(+) « La meilleure arme politique est la terreur. Tout ce qui relève de la cruauté impose le respect. Qu’on nous aime, ça n’a guère d’importance, pourvu qu’on nous respecte. Qu’on nous haïsse même, tant pis, pourvu qu’on nous craigne ». Reichsführer Heinrich Himmler, cité par Sven Hassel. « Avant la guerre, le rôle exclusif du KZ (camp de concentration) est d’inspirer la terreur et de l’exécrer. Les meules à os de Dachau, Buchenwald et Sachsenhausen sont là : elles montrent à chaque Allemand ce qui adviendra de lui s’il ne veut pas marcher droit. Oubliez vos femmes, vos enfants et votre famille ; ici vous allez crever comme des chiens… ». Cité par Heinz Höhne dans « L’Ordre noir ». Cet historien allemand remarque : « Leur mystique ressemblait à celle d’une secte ».

« Tolérance et humanité sont signes de faiblesse. L’homme qui ne se sent pas capable de trancher la gorge de sa mère ou de castrer son père est un faible. […] Que le sang pour vous ne soit pas plus pénible à voir que l’eau.  Jouissez de l’assassinat des traîtres, des intellectuels, détruisez les rêveurs livresques, brûlez leurs ouvrages, écrasez tout cela ! L’État national-socialiste compte trois ennemis : les prêtres, les juifs, les intellectuels. Si vous ne trouvez aucun reproche à leur faire, inventez les reproches ; ne les lâchez pas… […] Ceux qui entrent vivant derrière les barbelés de nos camps en sortiront morts, mais laissez-leur d’abord le temps d’apprécier le séjour que nous leur réservons… » Discours du 1° octobre 1933 au cours de l’installation du KZ de Dachau, inspecteur général des K.Z. SS Standartortenführer (colonel SS encore du sinistre Régiment Tod, (Mort) Théodor Eicke.

Sous la direction de l’Ange du Mal Reinhard Heydrich, « l’armé fantôme » SS/SD, Sicherheitsdienst (Service de sécurité) fut le service secret et service de renseignements, parallèle aux autres polices, (Criminels et GESTAPO), du parti nazi ; notamment de ses grands toxico-gourous « extralucides » de l’illumination hallucinatoire : Hitler, Bormann, Hess…, des professeurs d’université, leurs mentors. « Nous te jurons, Adolf Hitler, de te rester fidèle ». Auguste Wilhelm, Prince de Prusse 1933. « Dieu a envoyé Adolf Hitler pour qu’il puisse aider le peuple allemand à mettre de l’ordre en Europe ». Auguste Wilhelm, Prince de Prusse 1936. Cités par Sven Hassel.

À partir de 1933, l’SS/SD tissait une toile d’araignée dense sur toute l’Allemagne d’espions, d’agents de renseignements, des indics de la pègre des bordels et du trafic des drogues, informateurs mondains aux belles manières des salons, des mouchards des confessionnaux et des délateurs manipulés, jusqu’à dans les écoles primaires. Des enfants embobinés envoyaient ainsi au massacre bestial parents, profs, pasteurs, curés, voisins, épiciers…, ne rien que pour des propos dédaigneux en aparté contre « l’envoyé de Dieu », ce gringalet peintre autrichien Hitler ou son régime déprédateur des surhommes aryens ; de la dégaine du crapaud grimaçant de son cuistre propagandiste Goebbels, docteur du philosophisme « Blut und Ehre », (Sang et Honneur). Slogan et emblème des groupuscules néonazis toujours cultivés en 2012, dont à l’occasion du massacre en Norvège de plus de soixante-dix inoffensifs civils en villégiature par un mollasson repu jouant, camé, au Rambo d’opérette propagandiste. L’esbroufeur téléstarisé a bien atteinte son but avec son fabliau puéril ; s’est rendu mondialement célèbre avec ses plagiats d’une décadente fantasmagorie politique.

À partir de 1933, même pour les officiers et généraux SS désillusionnés de la guerre à l’outrance au front, il ne faisait pas bon faire allusion au profil psychologique d’Hitler et de ses acolytes : la galopante paranoïa (penser de travers) de la mortelle « inquisition païenne » de l’antiquité grecque, éliminant les malfaisants gourous ensorcelants, « électrisant » des crédules abrutis de leur logorrhée insensée. Le diagnostic est réactualisé à cette époque par le Dr S. Freud au sujet du cas du juge, du président Schreber. Ce dernier rejeton mâle d’une lignée dégénérée se prenait pour l’épouse de Dieu, appelé par Lui de donner naissance à une nouvelle race de surhommes. « Tout ce que nous avons espéré, tout ce que vers quoi tendaient nos efforts est devenu réalité. Nous avons un Führer et un État en ordre, et ce Führer, Adolf Hitler, nous suivrons jusqu’au bout ». Pasteur Steinemann, 5 août 1933, cité par Sven Hassel.

« Je préconise les méthodes pédagogiques dures. Toute faiblesse doit être impitoyablement éliminée. Dans les séminaires, une jeunesse grandira qui terrifiera le monde ». Reichsführer Heinrich Himmler, cité par Sven Hassel.

La mission initiale de l’SS/SD fut de suivre et déjouer les intrigues des potentats du parti, de la haute administration de tous les instances de l’État, de la Justice, de l’armée, de l’économie, de la Police, dont de la GESTAPO même. L’SS/SD fit liquider d’un sadisme d’une cruauté la plus bestiale dans les KZ et des prisons-mouroirs spéciaux, réservées aux SS critiques, ou outrageant « imbécile, fou, aliéné…, » leur Führer devant leurs camarades, des hautes personnalités du régime, du clergé, des militaires jusqu’au grade de généraux des armées, avant même qu’un seul juif suive ce sort de la boucherie bestiale. Même l’exterminateur Heydrich s’en est insurgé auprès du Reichsführer Hitler de ces bestialités ignobles contre des sujets de la race allemande. En vain. (Hassel décrit la sinistre machination du l’SS/SD de la liquidation à Prague par des résistants du terrifiant Heydrich pour son hiérarchie).

L’SS/SD comprenait au sommet les élites intellectuelles du parti, ses mandarins universitaires cherchant à perfectionner le système : psychiatres, biologistes expérimentant à cette fin dans les KZ tels Auschwitz, banquiers, économistes, historiens, juristes, philosophes… ecclésiastiques. Avec les partis des nazis fanatiques à l’étranger, dont en France, l’SS/SD doublait les services de contre-espionnage et espionnage(Abwehr) du marin, de l’Amiral Wilhelm Canaris, établissait des fichiers sur les collaborateurs de la Haute et les adversaires en Allemagne comme à l’étranger, tenait la chronique de l’histoire nazi depuis la création du mouvement révolutionnaire. Des formidables archives historiques existant toujours, affirment des auteurs avisés et selon la commune renommée crédible.

Un tabou pour les justices nationales internationales, comme leurs impressionnants dépôts de lingots d’or frappés de la croix gammée débordant des coffres des banques suisses… Le procès du tribunal militaire international de Nüremberg se serait limité à juger « une gallérie du grotesque », alors les plus dangereux des criminels contre l’humanité, les coauteurs et complices par instigation, auraient échappés à la justice avec les immenses fortunes recelées (imprescriptible) des crimes contre l’humanité, selon des observateurs bien avisés.

Par contre en 2011, grâce aux médias des multimilliardaires, le monde entier a été informé des crasses nauséabondes du dernier sénile pourceau insignifiant des camps de concentration… les français des vilénies blâmables de l’SNCF… Un dense écran de fumée médiatique dissimulant à l’Histoire les véridiques monstres impénitents des crimes contre l’humanité. Résumons les récits, assurés à 90 % véridiques, de Sven Hassel, qui, en déserteur de l’armée allemand a survécu à toutes ces abattoirs carcérales et boucherie bestiales (La Légion des Damnés) : en injectant massivement des milliards dans le financement de la subversion du parti nazi minoritaire de la démocratie de la République Weimar, dans le maquillage par le crime organisé de ses grandioses campagnes électorales et du plébiscite délirantes, de la relance son économie et industrie de guerre, les aristocrates de sang et de la grande fiance ont livré le peuple allemande à la merci à la pire engeance dégénérée que l’humanité ait pu produire, en pleine connaissance de cause et en toute impunité, en raison à la corruption et la vénalité du système judiciaire persistant,… « Le pire ennemi de Hitler ne peut lui contester les avantages déjà atteints d’une civilisation rénovée ». The Times. Londres 24.07.1933., cité par Sven Hassel.}

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Les conteneurs étanches dans les profondeurs des lacs alpins, couvert par une épaisse nappe en profondeur de bois flottante, ont été irrécupérables, indestructibles pour les non-initiés par la technologie de l’époque. Il est fort à parier, qu’à nous jours, qu’aucune puissance, même pas les ingénus du Vatican, n’est piqué de la curiosité de lever la voile dans ces profondeurs sur ces instigateurs princières des crimes contre l’humanité, des origines frauduleuses des plus grandes fortunes du monde, de la nécessité toujours actuelle de leur confiscation par la justice…

Pourtant, rien n’est secret sur l’essentiel. Quelques informations officieusement connues, ont été déclassifiées des services secrets depuis des lustres. Des échantillons produits dans les exposés auraient dues être mieux préparés que ça pour l’agonisante Haute Cour de justice, seule juridiction légalement habilitée par la loi. Les exposés congrus, inachevés ont été escamotés aux jurées des Assises de Bordeaux et de Versailles par les crimes de suppression des actes de procédure et de leurs auteurs avisés. La corporation des robins a exigée en coulisse ces forfaitures auprès de la gouvernance mafieuse, avec la suppression de la Haute Cour de justice de 1958. Naguère, un des avocats tâcherons de cette conjuration, œuvrant pour le crime organisé de la haute finance internationale : Me Nicolas Sarkozy, Cogedim Paris. Un complot criminel (***) selon les définitions des articles du feu Code pénal 1806 ; des « ennemis intérieurs et extérieurs » de la France, selon la désuète définition militaire. Nul, inopposable le frauduleux Code pénal 2011 des blanchis, voilà donc établie la qualification pénale « Haute trahison » du Chef d’État, incontestablement confirmé par des auteurs à quia, confirmée par les manigances criminelles pour la dissimulation… de la dépénalisation subreptice du complot. « La chose parle d’elle-même ». Les preuves irréfragables sont établies depuis des lustres, parfaitement connus par la magistrature visiblement convaincue.

[(***) Le complot criminel en France est juridiquement une infraction indivisible, continue et continuée et dont les délais de prescription pour le tout et pour tous les auteurs ne commencent à courir qu’à partir de son cessation].

À l’aide de l’investissement de quelques mesquins millions de dollars dans la corruption académique¸ par leurs mandarins doctrinaux, fut rendu « politiquement correcte » les narrations de l’histoire : falsifications et maquillages mercenaires les vérités essentielles des responsabilités pénales des crimes de guerre et contre l’humanité, avant et lors de la Deuxième Guerre mondiale. Avec leurs disponibilités inépuisables des héritages recelés, les mécènes de ces œuvres philanthropiques peuvent peser lourdement sur les convictions des cuistres stipendiés, transmués en suffisants mythogogues persuasifs, délétères du libre-arbitre et de la raisons. Soyons sûrs, une réécriture de l’histoire du XX° siècle préservera la respectabilité de leur fortunes escroquées, pillées, spoliées, volées ; l’honorabilité de la lignée de l’engeance d’assistés, de ses golden boys faisandés avec leur gallérie d’ancêtre des pires des rapaces affairistes et politicards charognards : le péril de l’humanité, de la civilisation occidentale déjà en état de mort clinique.

Dans ce cadre du complot, ont été réduite au silence, par le miroitement du péril de l’exploitation judiciaire des sales affaires de la « Santa-mafia de son auguste chef de file Giscard-la-magouille, les menaces des révélations fracassantes de Michel Poniatowsky, sur les compromissions des têtes auréolées de la French-Connexion du trafic de drogue international. Les successeurs de Ponia au ministère de l’Intérieur, …Pasqua, Paul Quilès, (un des venimeux lauriers rose), Debré, Sarkozy, Génant, ont su bien verrouiller la progression de mes études et recherches dans dépositions présentées au Conseil d’État sur les corrélations de l’évolution du trafic de drogue international: le fabuleux trésor des spoliations par la Gestapo parisienne de la rue Lauriston, la traversée sans encombre en 1944, de Paris occupé par les Nazi, des dispositifs militaires des Alliés dans huit gros camions pour parvenir via l’Espagne en Amérique du Sud ; l’assassinat jamais élucidé aux USA des convoyeurs… les comptes demeurés secrets en Suisse de l’illustre bénéficiaire survivant en raison des travestissements policières, judiciaires et avocassières des assassinats des trois ministres initiés aux mystères… (En présence des assassinats, la Suisse est tenue de lever le secret bancaire. Mes constructions juridiques sur les définitions de complicité indivisible dans le temps et l’espace, des recels, imprescriptibilité du droit commun, ont totalement changée la donne des procédures en instance!!!).

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Ci-dessous se trouve une copie d’un acte récupérée sur le vieux disque dur de l’ordinateur détruit.  En raison du tir de barrage, le dossier de la totalité des affaires traitées par moi a été directement remis au greffe de la Première Présidence du Tribunal de Grande Instance de Paris. Au Premier Président M. Jean-Claude Magendie a été demandé de faire usage de son office pour mettre un terme dans la juridiction sous son autorité aux crimes de suppression des actes de procédures, aux violations des droits fondamentaux de la République garanties par des dispositions constitutionnelles. Après la destruction le 27/12/200 par les huissiers d’justice d’Aubervilliers SCP Trennec & Lasserre du volumineux dossier de plus d’un kilo, leur confié pour la signification en référé, la procédure a été transformée en demande de statuer par « ordonnance sur requête », dispensée par la loi de la signification et de la représentation par un avocat. Turlututu ! Un huissier du Premier Président Magendie veillait aux grains. Illégalement et obstinement son chien de garde a barré l’accès à la salle d’audience pour la remise au comptoir du juge d’une autre copie encore du dossier. Moi coincé devant la porte, des avocats pris de panique de ma sollicitation, jouaient aux filles de l’air…

Il y a comme ça des illustrissimes chevaliers errants qui se font le concours de vantardise, ne cherchant pas justice. Des vedettes rendues télégéniques par les artifices du maquillage, lancées à la télé par les manipulateurs multimilliardaires ne convoitent que l’ivresse de la pub de médiatisation, de la mise en valeur de leurs slogans primitifs pour la masse abrutie, au détriment des authentiques revendications de Justice. Pour ces magouilles de la pub par des bides déroutant l’opinion crédule, les magistrats noyautés prodigues à pure perte tout leur temps. Lorsque les « Bouffons de la République » comptaient de remettre en scène en 2001 la simulation judiciaire par la poursuite du cadavre du relativement modeste capitaine S/S Aloïs Brunner, j’ai resservie aux braves juges du TGI de Paris mon plat recuit du déclinatoire de compétence, sur la compétence exclusive, persistante de la Haute Cour de justice de 1944 : l’intégralité du dossier « supprimé » au bravissime Premier Président Magendie, à son procureur de  la République et, contradictoirement, aux téléstars de l’avocasserie. J’entends aujourd’hui encore un écho de mon intervention à payer à juste prix, des suites de l’affaire bizarrement dédaignée par ces journaleux à l’affut des bides et gags commandés par leurs maîtres-chiens de la grande finance.

De la coterie de Sarko-les-pots-de-vin, son laquais en chef, l’ancien Président de la Cour d’appel de Paris M. Jean-Claude Magendie, est présenté en « grand Vizir maçon de la GLNF », (cofondateurs du S.A.C., ses inévitables complicités du grand banditisme des malfaiteurs du Service d’Action Civique (S.A.C.), de la French Connection du trafic de drogue… de l’assassinat de leur frérot Boulin… des escroqueries immobilières et des trucages des marchés des Travaux publics. Devenu, à la retraite, membre du Conseil d’administration, auparavant, le spéculateur a été forcément un actionnaire nanti de l’empire des médias du marchand d’armes Lagardère. En prétendu expert, il aurait dû se poser des questions pour les magistrats devant sa chère «COMMISSION DE REFLEXION POUR LA PRÉVENTION DES CONFLITS D’INTÉRÊTS DANS LA VIE PUBLIQUE ». Ces fidèles assermentés à l’Omerta maçonnique, corrompus par les contraintes de leurs alliances funestes, ne peuvent fonctionner qu’en juges parjures, faussaires, escrocs, truqueurs… (Entre autres, fait partie de sa conjuration de la confréroterie des grands malins du GLNF, le procureur de la République de Paris M. Jean Claude Morin, l’orchestrateur des concerts criminels en tant que conseiller du Syndic de faillite de la France Sarko-les-pots-de-vin…). À Bordeaux et à Paris, dans l’affaire Papon, les parjures intriguants ont occulté l’existence des conjurations d’Illuminés déviants et/ou complétement marteaux, bien plus pernicieux qu’eux.

Ont ainsi fait école chez les émules zélateurs de la magistrature, l’exploitation des galléries souterraines des rats d’égout su Palais, vers ses éminentes récompenses : avancement à la Présidence de la Cour d’appel, promotion au rang Commandeur de la Légion d’honneur, la cravate rouge de la main d’un autre frérot de la truelle, ministre de l’Intérieur au gouvernement usurpateur des « gangsters d’État ». Ont été bien remarqué chez les Robins, ce tripotage paralysant des poursuites des crimes les plus essentiels contre l’humanité ; les aimables arrangements du divorce-éclaire de Sarko-les-pots-de-vin, toquée d’une ravissante aguicheuse dévergondée du sexe show-biz la set-jet ; de l’accident de scooter imputée à son fiston ‑nigaud pistonné à tout azimut­‑ par un vilain moins que rien chosifié ; des persécutions ostentatoires des juges d’instruction dont ce vigilent Magendie jurait d’en finir avec la  « vedettisation » journalistique de  leurs indiscrétions des facéties des siens.

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À Monsieur le Premier Président du Tribunal de Grande Instance de Paris.

Audience {attendue} du {printemps} 2001. (Transformé en demande de statuer immédiatement par ordonnance sur requête).

[À l’époque, mon témoin, Madame le juge d’instruction Marie-Odile Bertella-Geffroy a été destinataire pour information d’une partie du dossier sans doute détruit aujourd’hui.]

 

1° Récapitulation des pièces commentées, produites aux fins du référé pour l’élargissement de M. Maurice Papon, et du « référé – provisions » contre les responsables civils du trucage de la procédure viciée par des forfaitures d’excès des pouvoirs et des fraudes de faux en écriture opérant la suppression des actes de contestation contradictoirement produits depuis 1979.

2° Rajustement du montant des frais de procédures non-répétibles en raison du passage de l’affaire *Le Piccadilly de la Cour de cassation au juge des référés de Paris, et du rétablissement de la situation légale par le ministre. [*Page 10 des blogs].

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 1° Défendeur : Monsieur Jacques CHIRAC. Président du Conseil d’État et du Conseil supérieur de la Magistrature. Palais de l’Élysée. 55, rue Faubourg St-Honoré. 75008 PARIS. {Informé directement par correspondance informelle.}

 2° Défendeur : Madame Marylise LEBRANCHU. Garde des Sceaux, ministre de la Justice. 13, Place Vendôme. 75001 PARIS. {Informé par la procédure devant le Conseil d’État, débarrassée à la Cour d’appel administratif de Paris par des faux en écriture}.

 3° Défendeur : Monsieur Laurent FABIUS. Ministre de l’Économie et des Finances. 139, rue Bercy. 75012 PARIS. {Informé par la procédure devant le Conseil d’État, débarrassée à la Cour d’appel administratif de Paris par des faux en écriture. Ensuite dans l’affaire du sang contaminé par les juridictions successives, dont l’Assemblée plénière de la Cour de cassation}.

 4° Défendeurs en parties jointes par intervention forcée et au référé – provision. {Sur d’autres actes de procédure joints au dossier}.

 5° Demandeur: Monsieur Peter DIETRICH, Adjudant honoraire, décoré de la Médaille militaire, cité, blessé, D.E.A. du Droit privé de l’Université Panthéon-Sorbonne de Paris, Certificat d’études universitaires de criminologie et sciences pénales, partie civile et prévenu, « accusé » se justifiant par la légitime défense pour soi-même et pour autrui dans la présente et d’autres procédures pénales, demeurant au 80, rue Voltaire, 93120 LA COURNEUVE, a l’honneur d’exposer:

I.- Sur les exceptions de l’illégalité républicaine de l’aménagement des cours de justice et du décor vestimentaire des juges et des avocats.

Ces exceptions, dont les copies sont ci-annexées, ont déjà été présentées contradictoirement devant l’Assemblée plénière de la Cour de cassation saisie de mon pourvoi contre la décision de la Cour fantoche de Justice de la République dans l’affaire du Sang contaminé. S’agissant des problèmes d’importance internationaux, la cour suprême a rendu une décision de rejet ne répondant pas aux motifs d’ordre public,[1] autorisant la saisine des Commissions de l’O.N.U., et sans doute aussi la saisine de la Cour pénale internationale de La Haye.

Dans l’affaire du sang contaminé ont été mis en évidence le trucage des procès des Tribunaux militaires internationaux de Nüremberg et de Tokyo par les bons offices des magistrats français. En assurant l’impunité aux criminels contre l’humanité les plus dangereux,[2] les Alliées ont récupéré en douce les recettes des « Wunderwaffen[3] » (armes miraculeuses.) Un petit rien ne manquait à la victoire du « gourou[4] » Hitler des surhommes d’origine extra-terrestre et de l’Empereur ‑ Dieu des fils du Ciel du Japon, dans la réalisation de la mission céleste[5] de la purification de la Terre de la sous-humanité blanche et métissée et des « bestiaux humanoïdes, » à savoir les métèques basanés et les gens de couleur. L’élimination de ces « agitateurs des esclaves » qui seraient les juifs et les francs-maçons, n’en était que le prélude. {Il y a eu des maçons chez le Nazis, dans la Cinquième Colonne et dans le régime de Vichy}.

« In vinas veritas ! » La question est toujours d’actualité, comme le démontre la publication de l’avocat général de la Cour de cassation Alain Terrail et les manèges de ses acolytes de l’APM, de la légendaire « bande du Tribunal de Grande Instance de Bobigny. » Les conspirateurs contre la démocratie sont accrédités par la pub du holding Hoechst S.A., démantelant dans le département Seine Saint-Denis l’industrie pharmaceutique. C’est l’innocente mutation du holding I.G. Farben qui a financé l’ascension de Hitler et faisait travailler comme esclaves dans les camps de concentration les déportés, tout en les utilisant comme cobayes à la réalisation des armes biochimiques d’extermination massive avec des méthodes d’immunisation et de traitement qui valaient des milliards sur le marché pharmaceutique. Aucune juridiction ne s’est inquiété des infractions imprescriptibles et transmissibles du recel des crimes contre l’humanité.[6] à la mascarade de la parodie de l’affaire Papon devant une cour d’assise ordinaire ne manque pas d’allure…

 II.- Récapitulation des causes de « nullité générale, substantielle et d’ordre public » des procédures de l’affaire Papon, et incidemment celles des affaires Barbi et Touvier.

A.- Sur les forfaitures d’excès des pouvoirs des juges à l’aide de faux en écriture authentiques et publiques par commission et par omission pour la suppression des actes de procédures de la contestation.

Depuis le scandal judiciaire retentissant[7] de l’affaire des micros du Le Canard enchaîné, à plus un seul praticien du droit est permis d’ignorer « la nullité générale, substantielle et d’ordre public[8] » de l’affaire Papon poursuivie par la forfaiture d’excès des pouvoirs des juges, malgré les protestations répétées du requérant en annulation par voie de référé.

Le 3 décembre 1973, sous les regards goguenards de la Sécurité militaire, des micros ont été posées par des officiers de la police judiciaire sur ordre de l’ancien ministre de l’Intérieur, l’avocat Me‑Raymond Marcellin. Le ministre mafieux comptait de déterminer les sources d’informations de cet hebdomadaire dissertant crûment les secrets de « l’État gangster » sur l’organisation par des ministres français du grand banditisme international[9] de la filière française du trafic de drogue.

Dans cette affaire en 1973 aussi, il apparaissait à tout juriste sérieux, la compétence exclusive de la Haute Cour de justice.[10] Or, à l’instar de l’affaire Papon, ont été appliqué à tort et à travers par la Chambre criminelle les dispositions des feux articles 679 et suivantes du Code de procédure pénale pour annuler, pour excès des pouvoirs du juge d’instruction, un dossier qui mettait en cause les commanditaires des personnes poursuivies.

Après l’entracte victorieux à Castres et à Toulouse dans les années 1978/82, dans l’affaire Papon au départ de l’information en 1983, ont été applicables les articles 67/68 de la Constitution. Articles qui reprennent les dispositions de la Haute Cour de justice créé à la Libération pour juger les membres du gouvernement de Vichy et les complices n’ayant pas cette qualité, dans « complot contre la sûreté de l’État. » Les antécédents interlopes du coïnculpé René Bousquet en témoignent. Dans les années 44/45 déjà, le Collabo a été poursuivi par la Commission d’instruction de la Haute Cour de justice en raison de « l’intelligence  avec cet ennemi » illuminé au peyotl des hommes ‑ dieux extra-terrestres, pour organiser la purification raciale et spirituelle de la Terre par le Feu.

Comme dans l’affaire des micros du Le Canard enchaîné, la Cour de cassation s’est livrée en 1987 à une annulation de complaisance par une fausse application les feux articles 679 et suivants du C.pr.pén. Seulement, lorsque le préfet Sabatier est décédé peu de temps après, l’application de ces dispositions a cessé. La Chambre d’accusation de Bordeaux s’est livrée à une nouvelle forfaiture d’excès des pouvoirs, malgré les protestations, répétées du requérant en référé. {Page 4 des blogs}Mais la Cour de cassation a dédouané en douce de la participation criminelle par des crimes de faux en écriture et de suppression des actes de procédures de tous les magistrats prévaricateurs. Un magistrat illuminé de la Collaboration, en abusant d’une banale procédure de renvoi, a bricolé une jurisprudence contraire à la Constitution et à son Préambule, conférant à la magistrature une immunité pénale plus solide que celle bénéficiant au chef de l’État. Sont rendues caduques les dispositions expresses et précises du Code pénal protégeant les justiciables des crimes de forfaitures de partialité des juges. {Anticipation sur le législateur}.

Avec le montage médiatique de l’affaire du sang contaminé, les mafieux ont réussi d’abroger les dispositions des articles 67/68 de la Constitution. N’empêche, la nullité de la procédure viciée pour excès des pouvoirs demeure applicable selon une jurisprudence constante de la Cour de cassation. Papon et Touvier se sont bien gardé de s’en plaindre. Selon les dispositions expresses des feux articles 67/68 de la Constitution, la peine de mort leur restait applicable, nonobstant l’abolition, comme par ailleurs aux « gangsters de l’État gangster » de la filière française du trafic de drogue, à leurs magistrats révolutionnaires Sans Cagoules. « Si tu tues une personne, tu es un criminel, si tu en tues une centaine, tu es un héros, si tu tues tout un peuple, tu es un dieu. »

Cette manœuvre mafieuse des manipulations de la constitution n’a absolument rien arrangé. Sont devenues maintenant aussi applicables, sous peine de forfaiture d’excès des pouvoirs des juges, les dispositions de l’ordonnance du 28 août 1944 et la loi du 15 septembre 1948 sur la compétence exclusive et d’ordre public des tribunaux spéciaux militaires, composés en partie par les membres de la Résistance et des Forces Française de l’Intérieur. Pour escamoter ce fait, le capitaine S/S Klaus Barbi est jugé à Lyon par une cour d’assise ordinaire.

Dès que tous les protagonistes seront décédés, les révisionnistes s’emparant de la cause. N’importe quel juge en France est habilité de constater « la nullité générale, substantielle et d’ordre public » de ces affaires truquées par des juridictions excédant leurs pouvoirs légaux. Comme cela avait été souligné par le requérant en référé, il leur suffit de déclencher un procès en diffamation pour opposer par voie d’exception la nullité de ses procédures qui n’ont aucune valeur juridique, et rendant diffamatoires et injurieux les comptes rendus journalistiques des audiences illégaux. Les « victimes » des forfaitures d’excès des pouvoirs seront métamorphosées en martyre du « complot mondial judéo-maçonnique, » les résistants et les déportés stigmatisés en minables imposteurs. Rappelons-le, la forfaiture est un crime dont la complicité des avocats est punissable comme le crime lui-même. La qualification « association de malfaiteurs » s’impose d’emblée, avec celles des complicités aux assassinats en série des protagonistes du milieu, justiciables par la Haute Cour de justice avec les anciens ministres mafieux.

B.- Sur l’escamotage de la définition, des complicités et des recels du crime contre l’humanité du Troisième Empire de la secte Tule, mené par le Führer Adolf Hitler avec ses surhommes des Sturm Staffeln (S/S.) {« Escadrilles d’Assaut » et non « Section d’Assaut » = Sturm Abteilung, SA, massacré dans la Nuit de longues couteaux par les S/S}.

La complicité du deuxième degré n’est pas punissable en droit français, selon une jurisprudence constante de la Cour de cassation. Du crime contre l’humanité, Papon n’en était qu’un au quatrième degré. Subrepticement, la mascarade devant les Assises de Bordeaux l’a rendu plus coupable que certains membres du gouvernement du Troisième Empire de Hitler. Cette parodie grandiose avait assuré aux avocats félons une publicité médiatique d’une valeur commerciale s’estimant à plusieurs dizaines de millions de francs.

 C’est le sommet du ridicule de condamner pour complicité de crime contre l’humanité un petit fonctionnaire français, alors que le Tribunal militaire international de Nüremberg avait acquitté le ministre de l’armement du Troisième Empire Rodolf Speer, un wagnérien passionné. Ce génial et plus redoutable ami personnel d’Hitler,[11] son âme damnée, s’est efforcé de réaliser l’apocalypse wagnérienne par la réalisation des Wunderwaffen (armes miraculeuses d’extermination massive.) Ce personnage le plus puissant après Hitler dans le Troisième Reich, de haute main, a organisé l’exploitation dans l’industrie de l’armement des esclaves déportés dans les camps de concentration, pour prolonger la guerre de deux ans, selon l’estimation des experts.

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{18/03/2012. Addenda. La stratégie cinglée d’Hitler, consistant de laisser périr ses unités plutôt que d’effectuer des retraits tactiques préconisées par ses généraux, s’explique par ses illuminations toxicomaniaques délirantes. Constamment, jusqu’à son dernier souffle, il ‑avec ses huiles S/S‑ se voyait lui livré par les extra-terrestres aryens des « Wunderwaffen », armes miraculeuses, pour anéantir corps et biens ses ennemis de la sous-humanité}.

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 C’est une catastrophe nationale qui s’annonce ! Il saute aux yeux de tout juriste sérieux : en absence d’une telle poursuite d’un membre du gouvernement de Vichy, la prévention « complicité des crimes contre l’humanité » n’est pas applicable à M. Papon, à ce petit fonctionnaire d’alors de la préfecture de Bordeaux. Elle était cependant applicable à M. Maurice Couve de Murville, complice de premier degré au gouvernement de Vichy, récupéré par les gouvernements du général De Gaulle. Sans qu’ils puissent bénéficier du principe « non bis idem », [12] la qualification « complicité des crimes contre l’humanité » est encore applicable aux chefs de la Milice, en raison de la condamnation de son chef, du général S/S et cagoulard Joseph Darnand, après son exécution en France, par le Tribunal international militaire de Nüremberg. Et nous revoilà à Castres, en plein dans son Conseil municipal, ses sociétés immobilière fictives, son SAC, ses escroqueries… son Rotary club de la République des copains et des coquins, honni par l’ancien ministre de l’Intérieur M. Michel Poniatowski.

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*          *

Le crime contre l’humanité du « Troisième Empire Millénaire » de la secte « Société Tule,[13] » ça n’est pas les victimes de Bordeaux. Le crime contre l’humanité, ça c’est la politique hégémonique de la race aryenne visant la purification raciale et spirituelle de la Terre par le cataclysme apocalyptique du Feu, en imitation de leur l’idole démoniaque Clovis I des Niebelungen, le Pol Pot de la haute trahison française (gallo-romaine). « La guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour et la compassion,[14] […] on vous nomme sans cœur mais votre cœur est authentique,[15] […] que votre distinction soit d’obéir[16] […] que votre commandement lui-même soit une obéissance ![17] […] aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres ! [18][…] car la bonne guerre sanctifie toute cause ».[19],[20]  Nietzsche.[21] C’est la politique de la guerre totale, sans merci, des surhommes dénués de tous scrupules, contre « la haïssable humanité, » selon l’expression de Nietzsche. « Le criminel est la splendeur du genre humain, » ont retenu les Nazis dans sa philosophie.

Cette guerre totale de l’apocalypse a été caricaturée par le philosophe Friedrich Nietzsche dans son œuvre fondamental des sciences politiques « Ainsi parlait Zarathoustra ».[22] Son canular, revu et corrigé, est devenu, oh ! ironie du sort, la philosophie officielle de l’idéologie nazie. « Les idées folles se prennent comme les maladies et celui qui en attrape une, les attrape généralement toutes, » philosophe ce Nietzsche sur l’idéologie nazie plagiée dans son œuvre critique de l’Histoire.

Dans son calembour, il faisait aux Nazis tuer et enterrer Dieu lors d’un festin orgiaque, après avoir exterminé les élites des peuples comme naguère Clovis I« J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, – il faut savoir aussi qui sabrer ! […] Brisez, me brisez donc les gens du bien et les justes ! »[23],[24]faisait-il conjurer les Nazis par son prophète cinglé Zarathoustra.

Avec la mort de Dieu, la philosophie de Nietzsche est récupérée : le travestissement pris au sérieux. La mise en musique par la Tétralogie des opéras révolutionnaires de Richard Wagner est pour Nietzsche, « à la fois brutale, factice et naïve, [25]complexe, informe, inépuisable, […] des raffinements à l’allemande de la décadence. » Richard Wagner est « le décadent type : c’est l’asphyxie par le rabâchage de toutes les absurdités morales et religieuses », ajoute-t-il à l’adresse des adorateurs nazis, de ces surhommes de la génération schreberienne[26] qui nous prépare dans les palais de justice la revanche par la Troisième Guerre Mondiale, déjà prophétisée à l’époque de Nietzsche, et selon ses maximes :

« Le  » monde-vérité  » – une idée qui ne sert plus à rien, qui n’oblige même plus à rien, – une idée devenue inutile et superflue, par conséquent, une idée réfutée : supprimons-là !

Le  » monde-vérité « , nous l’avons aboli : quel monde nous est resté ? Le monde des apparences peut-être… Mais non ! avec le monde-vérité nous avons aussi aboli le monde des apparences ! »[27]

  

C.- Sur le rajustement des frais de procédure non-répétibles en raison du passage de l’affaire Le Piccadilly d’Aubervilliers de la Cour de cassation au juge des référés de Paris.

Le 5 octobre 2000 le Président de la deuxième chambre civile de la Cour de cassation a enregistré mon désistement nulle en raison des fraudes et violences perpétrées sous la responsabilité politique du président du Conseil d’État et du Conseil supérieur de la magistrature et des deux ministres assignés en référé. Est passé au juge des référés, le dossier relatif aux sabotages de la justice, orchestrés à partir du restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers par le « juge rouge » Jacques Bidalou, rabatteur des avocats félon et agent subversif de l’ancien gouvernement. Sous l’égide du parquet de Bobigny et au vu et au su des membres des Conseils de l’Ordre, la taupe du Jean-Edern Hallier club exerçait illégalement la profession d’avocat, parfois même en présence des bâtonniers, comme à Bourges.

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Ajout 30/09/2014. Interné après le coup d’état au Chili du 11 septembre 1973, des fonds réunis par des sympathisants pour le secours du Président Salvador Allende sont confié à Jean-Edern Hallier, crypto-nazie alors, copinant avec les avocats du régime Pinochet. Ne sont jamais parvenus aux victimes massacrées des carnages et tortures, les fonds confiés au futur créateur de l’alliance « rouge-brun » avec son conseiller juridique, le « juge rouge » Jacques Bidalou.

Le régime français, les larbins de la haute finance internationale, avec dans son sein des criminels fascistes et nazis contre l’humanité placée sous l’égide judiciaire, détache trois généraux pour conseiller le régime Pinochet pour l’éradication physique de l’opposition. Des spécialistes en tortures du Service d’action civique (SAC) et des néo-nazis et fascistes de  l’ « Occident » et « Ordre nouveau, organisent au Chili des stages pour initier les militaires et policiers aux tortures sophistiquées, notamment par l’usage de l’électricité.

 Des médecins, chirurgiens et psys pervers sadiques, un ramassis d’hallucinés de la fantasmagorie aryenne et tibétaines venus de la France et de l’Allemagne, dans un hôpital aménagé à cet effet, procèdent aux recherches de perfectionnement des tortures médicalisées comme cela a été pratiquée en Allemagne sous Hitler dans les camps de concentration nazies.

Pour les soustraire aux poursuites judiciaires au Chili après la levée de l’immunité, le « gouvernement gangster » de la France accorde asile politique aux pires des massacreurs et tortionnaires du Chili. À la demande du juge d’instruction espagnol Balthazar Garzon de Madrid, Pinochet est arrêté en Angleterre  en novembre 1998 où  le fringuant général comptait se faire opérer d’une hernie discale. Par des certificats psychiatriques de complaisance, le guilleret général Pinochet à la descente de l’avion, accueilli par l’ancien premier ministre Margaret Thatcher, est jugé sénile, inaccessible à une sanction pénale pour génocide, terrorisme et tortures, renvoyé au Chili.

 Mais qui donc en France tenait encore compte des contestations publiques du juriste Peter Dietrich, paria réduit au silence à l’aide des même procédés des fripouilles  psy, relayés par une conspiration médiatique du silence, laudateurs corrompus mettant au pavois le minables des vendus. Tout est lié dans ce complot des déments pervers et détraqués sadique contre l’espèce humaine saine. Tous les chemins passent par Paris vers…

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Par des manœuvres, mon intervention dans cette affaire avait encore été provoquée par les pouvoirs publics impuissants, pour suppléer à la carence des institutions judiciaires soudoyées. Le principe de l’équité judiciaire du droit fondamental de la République exige à ce que je sois indemnisé des frais non-répétibles de cette procédure devenue invisiblement liée au référé de mise en liberté de M Maurice Papon.

Le taux de l’indemnisation doit être mis en harmonie avec le taux pratiquée par les avocats mafieux ayant saboté la justice. Taux des frais contradictoirement présenté dans les procédures citées en référence, jamais contesté. Ainsi, dans l’affaire Cogedim des gangsters du SAC, dans la salle d’audience de 31ème chambre correctionnelle de Paris, impressionné de la modestie de ma revendication, un avocat s’est approché de moi. Il susurrait à mon oreille: « Les avocats adverses exigent une provision d’un million trois cent mille francs avant même de lever pied. »

Et lorsque le mois de février 1992, le président m’a invité de leur répéter oralement la leçon écrite, contradictoirement présentée, sur la compétence exclusive de la Haute Cour de justice, les chers maîtres ont quitté de concert la salle d’audience en signe de protestation.[28] {*}En toute impunité, les infractions se sont reproduites et ont conduit à la déstabilisation morale du juge d’instruction Éric Halphen de Créteil, de l’internement psychiatrique de son témoin en raison de ses dépositions… sous les auspices de l’ancien procureur de la « bande de Bobigny. » {*Y ont été compromis des frères maçons du GLNF avec leurs truands de l’ex-SAC. L’ex-juge anti-maçon Bidalou copinait ouvertement avec eux à l’audience.}

à l’indemnisation déjà demandée, s’ajoutent :

7 700 000,00 FF pour l’intervention volontaire provoquée en douce par les pouvoirs publics dans la procédure devant le juge de l’exécution de Bobigny, saisi par le « juge rouge » Jacques Bidalou en raison du mur monté devant le Restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers.

7 700 000,00 FF pour l’appel lors duquel ont été démasquées les escroqueries judiciaires du « juge rouge » Jacques Bidalou, combinant la captation des justiciables avec l’écrivain polémiste M Christian Lançon, président de l’Association de Défense des Justiciables et des Administrés, ancien président du Syndicat des justiciables, se présentant comme étant « le chef des rebelles du Piccadilly, » (contre le gouvernement Jospin). L’affaire Papon aussi avait été sabotée avec leur participation, notamment à Bourges, dans sa circonscription électorale.

7 700 000,00 FF pour le pouvoir en cassation dont l’invalidité du désistement peut être opposé en référé par voie d’exception aux autorités représentées qui doivent faire rétablir la situation légale.

 

Par ces motifs, j’ai l’honneur de demander au Président du Tribunal de Grande Instance de Paris :

– Faire droit à la demande additionnelle et ordonner au ministre de Justice de rétablir la situation légale dans le pourvoi de l’affaire Le Piccadilly sous peine de mille francs d’astreinte par jour, conformément aux règles du droit fondamental exposées au greffe de la Cour de cassation le 13 juin 2000.

– Condamner solidairement et indéfiniment les intervenants forcés et assignés en référé – provision au paiement avec l’État des frais de justice non-répétibles et de frais et dépenses.

Peter DIETRICH

État des copies ci-annexées :

1° Rajustement Paris en raison de la répétition des fraudes du montant des frais non-répétibles, présenté à la cour d’appel administratif le …  2000. (2 pages). {Voir l’acte au greffe du TGI et de la Cour d’appel administratif de Paris}.

  2° Ordonnance de désistement (contraint) n° 6277 du 5 octobre 2000 du Président de la deuxième chambre civile de la Cour de cassation, joint de la répétition de la déclaration au greffe 4 octobre 2000 des contraintes par les voies de fait et violences morales du receveur des Fiances de Bobigny. (2 pages).

3° Couverture et extraits des pages 30 et 31 du livre « La Mystification » du Président de Chambre d’appel Serge Fuster, Professeur en droit et de l’École des Hautes Études, sous son pseudonyme Casamayor. (1 page).

4° Page 122 du Bulletin n° 52 du 7 février 1980 des arrêts de la Cour de cassation sur l’annulation de l’affaire Le Canard enchaîné pour excès des pouvoirs des juges.

5° Exception d’illégalité constitutionnelle de l’organisation vestimentaire de la cour et de l’emplacement du ministère public, présentée pour l’audience publique du 14 juin 1999 à l’Assemblée plénière de la Cour de cassation dans l’affaire du sang contaminé. (1 page).

6° Exception de huis clos « dans l’intérêt de l’ordre public, de la sécurité nationale, de la vie privée des parties » présentée dans le même pourvoi contre la Cour de justice de la République. (2 pages).

7° Note de synthèse des actes de procédures et documents présentés contradictoirement et sans contestation dans l’affaire du sang contaminé, dans la même procédure. (2 pages).


[1]Assemblée plénière n° 442 P du 21 juin 1999. Pourvoi n° W 99-81.927.

[2]CASAMAJOR, (Serge Fuster, professeur en droit et de l’École des Hautes Études, magistrat et ancien juge du Tribunal militaire international de Nüremberg) « Tout le monde sait que les plus habiles, donc les plus dangereux, s’arrangent pour gagner du temps. si cette évidence avait besoin de démonstration, il suffirait de rappeler que beaucoup de ceux qui ont été jugé pour collaboration en 1944-45 ont été fusillés, tandis que ceux qui ont été jugés pour des faits analogues dizains après ont été acquittés, ou amnistiés, ce qui revient au même. » à vous de juger. Ed. Denoël, p. 155.

[3]En 1944, l’Empereur – Dieu des Japonais disposait suffisamment des armes biochimiques pour éradiquer au moins dix fois toute espèce humaine sur Terre. Ces sont les bombes nucléaires qui l’ont empêché de les mettre en œuvre en Amérique et en Union soviétique. Contre l’impunité, les recettes et les souches des agents pathogènes ont été partagés avec les États-Unis. Selon des témoignages vraisemblables, le virus du SIDA, comme la peste et la tuberculose résistants aux antibiotiques, serait un développement de ces manipulations pratiquées eu centre de recherche Pingfan en Mandchourie par la vivisection sur des prisonniers.

[4]Il est occulté dans l’Histoire officielle sa qualité de gourou toxicomane de la secte « Société Tule. » Le Führer avait lui-même comme gourou son dauphin Rudolf Hess, coauteur et inspirateur du livre Mein Kampf.  Hess qui s’est craché avec son avion en Angleterre en raison d’un fausse manœuvre de navigation. Le grand gourou a manqué le terrain d’atterrissage spécialement aménagé pour lui par l’officier chargé de la défense aérienne , un « cagoulard » du « Right club » des comploteurs.

[5]Dans leur profession de foi Mein Kampf, Hitler inspiré par Hess a attribué aux organisations nazies une mission du Ciel symbolisée par la tête de mort portée sur leurs casquettes.

[6]L’histoire des crimes contre l’humanité et des recels des crimes contre l’humanité du holding international I.G. Farben de l’industrie chimique et pharmaceutique, ses étonnantes complicités en France, commence déjà au cours de la Première Guerre Mondiale. Le gaz de combat « phosgène » est une réalité un important produit intermédiaire dans les fabrications chimiques qui faisait la prospérité de filiales du holding dans la guerre biochimique. Au cours de la Première Guerre Mondiale, le grand stratège de la guerre totale, à l’outrance, à l’aide des gaz de combat et de l’épandage des vecteurs des maladies contagieuses, avait été le général Erich Von Lüdendorf. Par ces moyens, il détruira l’armée impériale du Tzar. Informé par une trahison, il réussit de récupérer par l’espionnage la formule du « gaz moutarde. » Considérant son emploi sur les Allemands comme un crime contre l’humanité, l’emploi avait été prohibé par l’état-major français. Une grande partie de l’armée alliée en France est massacrée par son propre gaz de combat et dont elle l’ignorait les effets. L’Allemagne est privée de la victoire en raison de la mutinerie de son l’Armée, refusant de s’engouffrer dans la brèche de trente kilomètres, d’avancer sur Paris sans défense. Alors que les armées alliées occupaient encore l’Allemagne, le général Von Lüdendorf publia son manuel de stratégie militaire sur la guerre totale et devient le conseiller militaire d’Adolf Hitler. La carrière politique de ces fomentateurs de la guerre totale et des génocides est financée par I.G. Farben qui installa dans les camps de concentration ses centres de recherches directement sur les hommes et ses usines de production par des déportés. Alors que les compromissions primordiales de crimes contre l’humanité et recel de crimes contre l’humanité de ce holding sont patentes, sous son nouvelle enseigne Hoechst A.G., le holding rachète l’industrie chimique et pharmaceutique en France à l’aide des capitaux blanchis des crimes contre l’humanité, liquide dans le département Seine Saint-Denis les centres de recherches et de production, exporte les inventions françaises, finance la pub des nostalgiques de la haute trahison de l’Association Professionnelle des Magistrats.

[7]Crim.  7 février 1980, B. 52, p. 122. Copie ci-annexée.

[8]CASAMAJOR, (Serge Fuster, professeur en droit et de l’École des Hautes Études,) « La Cour de cassation) a jugé tout récemment que la faute professionnelle commise par le procureur qui avait laissé poursuivre une procédure viciée ne comptait pas. On ne l’a pas puni, on lui a donné un avancement.  […] Si c’était un ouvrier qui avait saboté une pièce, il passerait à la casserole, un procureur jamais. » à vous de juger. Ed. Denoël, ps 155.

[9]Le général Noreiga du Panama, Commandeur de la Légion d’honneur, avait été un de leurs auxiliaires, avec d’autres généraux des républiques bananiers.

[10]CASAMAJOR, (Serge Fuster, professeur en droit et de l’École des Hautes Études,) « Pourquoi les policiers posaient-ils des micros dans les locaux du Canard enchaîné? Parce qu’ils avaient reçu l’ordre des personnages que les institutions n’atteignent jamais. » à vous de juger. Ed. Denoël, ps 1142 et 143.

[11]S’apercevant l’irréalisabilité par l’industrie allemande de l’arme nucléaire, il a viré de bord peu de temps avant la défaite.

[12]On ne peut être jugé deux fois pour les mêmes faits.

[13]La Société Tulé est une secte de l’intelligentsia occidentale regroupant des aristocrates, universitaires et des magnats de l’industrie et de la haute finance. Pas un seul de ces prospères apologues et instigateurs des crimes contre l’humanité n’avait été poursuivi.

[14]Pour la secte catholique, est-il sous-entendu par la caricature de Nietzsche.

[15]C’est la caricature de l’indulgence plénière accordé aux croisés, la justification de leurs abjections barbares.

[16]C’est la référence au serment de vassalité au suzerain par le guerrier germain, son allégeance inconditionnelle à l’Église.

[17]C’est la caricature de la subjugation spirituelle des seigneurs francs aux superstitions catholiques.

[18]C’est la caricature de la pratique chrétienne depuis son pris de pouvoir avec l’empereur Constantin le Grand (306), le port de la Croix sur les uniformes et boucliers des soldats.

[19]Maxime hérétique de l’Église catholique « Le but sacré justifie tous les moyens criminels ».

[20]C’est la caricature de l’indulgence plénière du pontife désireux de faire massacrer au nom du christianisme des peuplades entières par des procédés barbares des brigands aux têtes couronnées.

[21]Zarathoustra cité, p.64.

[22]Prophète d’Iran (- 500), des sectes du feu, de la religion de la purification de la Terre du Mal par le feu.

[23]NIETZSCHE, « Zarathoustra », op. cité ps 260 et 264. C’est la pratique des croisades contre les justes, les chrétiens primitifs, les cathares, les juifs, les savants, les socialistes…

[24]En réalité, Nietzsche reprend ici les recommandations données par le clergé catholique aux sabreurs païens qui ont décimé les chrétiens primitifs et plus tard aux croisés qui ont exterminés les mécréants musulmans, cathares, protestants etc.

[25]NIEZTSCHE, Le cas Wagner.

[26]Le Président Schreber d’une cour d’appel, dernier rejeton d’une lignée tarée, se prenait pour l’épouse de Dieu, chargée d’engendrer une nouvelle race de surhommes. Par son cas, Sigmund Freud a réintroduit dans la terminologie médicale le concept de paranoïa de l’inquisition païenne de l’antiquité. Ce terme définit stricto sensu la psychose du mysticisme délirant des gourous et de leurs adeptes.

[27]NIEZTSCHE Friedrich, « Le crépuscule des idoles », éd.  Mercure 1899, p. 109, nos 5 et 6, Comment le « Monde-Vérité » devint une fable.

[28]Sera déposé au greffe des référés la copie de la réponse aux plaidoiries des avocats du 17 février 1992 avec une documentation jointe sur la progression de l’affaire depuis les années 1970 jusqu’à nos jours. (28 pages).

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Communication à titre de témoignage d’une victime opprimée, empêchée de se constituer partie civile aux Messieurs et Mesdames les juges d’instruction Isabelle Prévost-Deprez, Marie-Odile Bertella-Geffroy, Marc Trévidic, Patrick Gachon, Monsieur le Procureur général de Bourges Éric de Montgolfier. csm@justice.frpremier-ministre@cab.pm.gouv.frpresident@assemblee-nationale.frContact.Ca-versailles@justice.frpresidence@senat.frjp.chevenement@senat.fr, syndicat-avocat-citoyen@petitiongratuite.com

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Réaction à rue 89. Par PASCAL RICHÉ | Rue89 | 15/05/2011 | 01H23.

L’audition de DSK retardée par des examens corporels

Le directeur général du FMI a été inculpé à New York « d’agression sexuelle, de séquestration de personne et de tentative de viol »

Dietrich13.wordpress.com, p. 4. Ne m’intéressent en rien, ces mesquines historiettes des quéquettes des libidineux corrupteurs des cocottes, montées en épingle pour le sensationnalisme stérile. Sarko, avec son alter égo Berlusconi aussi en font la collection. Est beaucoup plus dramatique pour la Justice, ce qui est occulté chez ce corrompu de la haute, par l’écran de fumée de ces théâtres simiesques du sensationnalisme, c’est beaucoup plus grave.

Lorsqu’il a été ministre du Grisbi des moralisateurs sociolos, avec son acolytes stipendié des Laboratoires Fabre de Castres Paul Quilès, député du Tarn, ministre de Poste, ce grand « frère insinuant » de la hyper-mafia de la grande fiance, a participé à mon écrasement par les prévarications de l’extorsion et de suppression des actes de procédure des contentieux fiscaux, doublé du vol de mes documents et de leur suppression.

Cette concertation criminelle avec la Sarko-mafia, s’est produite juste au moment où je m’apprêtais de balancer dans la procédure truquée des affaires Papon et Touvier, cette gigantesque affaire occultée par le procès de Nürenberg de la criminalité cardinale du holding multinational I.G. Farben, métamorphosé en Hoechst A.G. (Aussi l’affaire similaire occulté à Tokyo en 1945, exposée brièvement dans le prologue de mes blogs des armes biochimiques récupérés des Japonais par les USA).

« La communauté industrielle », l’I.G. Farben, est le principal responsable de l’ascension du « toxico-délirant gourou sectaire » Hitler avec ses Nazis des « surhommes d’origine extraterrestre » (sic), financé au départ, pour la réalisation de la « Guerre totale » de « l’épuration raciale des humanoïdes et primates terrestres », (sic) enseigné par le Général-apôtre Erich Lüdendorf, principal criminel impuni de la Grande Guerre 14/18, l’Apocalypse mis en musique par Wagner, couronné par La Crépuscule des Dieux, antisémite viscéral si admirée par les mélomanes juifs dont l’extermination n’a été qu’une question de détail dans le vaste programme nazi.

Ensuite, le holding a en participant aux horreurs les plus abjectes,  a profité pleinement des crimes contre l’humanité. Par l’entremise du père Joseph Kennedy, (lui aussi enrichie par sa collaboration nazie), l’immense fortune gelée aux USA, a été resituée aux criminels miraculés, au lieu d’en indemniser les victimes.

Avec l’immense tas de pognon réalisé dans les camps de concentration par le travail d’esclaves et des brevets d’une valeur inestimable par des expériences directement sur des prisonniers, le holding a acheté l’industrie pharmaceutique de la France, juste au moment de la gloire ministérielle Strauss-Kahn, malgré mes protestations étouffées par ses sbires. J’ai réalisé pour les assises de l’affaire Papon, des exposés étayés par des documentations d’une véracité historique certaine. Les copies subtilisées à l’ONU, (sans doute au bureau de poste me tracassant par l’abus de mon compte-chèques en sommeil), ont été communiquées personnellement à celui qui, sans doute s’en est servi comme marchandise pour réaliser sa carrière au FMI et pour consolider son immense fortune. Les turpitudes de ces deux condisciples et mentors d’Aubry, je les ai réalisées que lorsque les faits sont devenus patents et son immense fortune rendue public.

Il serait beaucoup trop longue ici d’en développer les détails des monstruosités historiques camouflées par les mascarades des poursuites pour crimes contre l’humanité des mini-lampistes, alors que les méga-instigateurs des crimes contre l’humanité, corrompent à présent à tour de bras les dirigeants encanaillés de la France. Mais les curieux peuvent toujours essayer de retirer les copies des exposés jamais démentis, documentées, au greffe du Conseil d’État et dans l’Administration fiscale de Bercy. Ne comptez pas sur le procureur général de Paris. Ce gredin médaillé, sur ordre de Sarko, retient en état de séquestration psychiatrique le général (***) Samy Albagli pour l’en empêcher… et pour que Sarko puisse poursuivre les turpitudes de Strauss-Kahn avec son affidé Woerth.

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/les-appartements-parisiens-du-couple-strauss-kahn_991477.html

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/le-train-de-vie-de-dsk-a-la-loupe_991298.html

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/comment-dsk-paie-t-il-ses-impots_991323.html

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/d-ou-vient-le-riad-du-couple-dsk-sinclair_991377.html

Réponse de De Prom72. a.k.a Galan of Taa | 00H57 | 16/05/2011 |

Post intéressant, mais trop émotionnel pour une accusation (totalement vraisemblable) si grave.

Si I.G Farben (voir Speer, l’organisation Todt, le SD, le nazi convaincu Kennedy père ou même la famille bush) ont générées des capitaux colossaux par le biais de la Shoah, et en ont profité après la guerre, soit, c’est évident, hélas, mais je ne comprends pas le lien direct avec Sarko ou DSK ou même Woerth.

Ces sommes astronomiques ont été réinjecté dans le système, et n’ont pas profité aux victimes, ou très peu. Le problème c’est que, dans ce cas, l’ensemble du pouvoir politico-financier américano-européen depuis 1945 est coupable. Poursuivre les acteurs directs de ces sévices est important, même par contumace (au moins pour l’Histoire) mais de là à remonter jusqu’à Sarko et DSK … ça me semble … compliqué, mais bon.

Et soyez plus concis et prenez plus de recul, le sujet est trop important pour extérioriser votre subjectivité, même si cette réaction est parfaitement légitime.)

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« L’Histoire est un zeste de vérité dans un cocktail vénéneux de mensonges ». Il s’agit des épisodes non commentés sur la page 4 de mes blogs de l’histoire secrète de la Deuxième Guerre Mondiale où l’Armée française a succombée, à partir de 1936, à la haute trahison de sa gouvernance des obnubilés ambitieux du charisme de la propagande  nazie accouplés à des hommes politiques tarés et corrompus, et où l’Angleterre et les USA ont failli de tomber dans le camp Nazi par la haute trahison.

La documentation sur ces questions occultées m’a été anonymement transmise. Avec le couteau à la gorge, pour des queues de cerises, les « Grands Malins » comptaient sur la présentation d’une synthèse aux Jurés des Assises du procès truqué de Papon. (P.4).

Mais, les explications historiques et juridiques de cette phase du complot me paraissent beaucoup trop ardues, trop extraordinaires pour les profanes aux esprits captifs des idées reçues des fausses nouvelles de l’Histoire officielle. La conjuration politico-judiciaire a failli de me faire crever pour avorter cette d’intervention.

Abandonnons ce flambeau suicidaire à des spécialistes de vulgarisation ! Les copies de mes dissertations judiciaires inachevées, jamais démenties, se trouvent à la disposition du public averti à Bercy, au Conseil d’État, à la Cour administrative d’appel de Paris et au greffe du Président,  juge des référés, du T.G.I. de Paris.

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27 nov. 10. Le Poste. Réaction à : Karachi : Patrick Ollier fustige « la malveillance » de Villepin. Le ministre chargé des Relations avec le Parlement a dénoncé l’attitude de Dominique de Villepin dans le dossier Karachi.

Arrête ton charme ! Toutes ces manifestations politiques préélectorales dans le déroulement des trucages et mascarades de la justice noyautée ne sont que du vent attrape-gogos de propagande trompeur. Il n’y aura pas de Justice en France, tant que ne puissent pas être jugés de leurs « services (criminels) rendus au lieu des arrêts » (Arpaillange) au profit « des gangsters de l’État gangster » gratifiants. Pour rétablir –établir plus exactement- l’État de droit, il faut de prime abord rétablir la situation légale bouleversée par des escroqueries judiciaires monumentales de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation et sa Chambres « des criminels », restaurer les articles 679 et suivantes de la procédure pénale et l’article 68 de la constitution sur la Haute Cour de justice, relatifs aux poursuites pénales des membres des « gouvernements gangsters » et de leurs complices de la haute fonction publique avec leurs comptes numérotés à l’étranger (Couve de Murville), essentiellement les magistrats médaillés par la Légion d’honneur.

Le rétablissement de la situation légale par la Cour de cassation doit être principalement demandé par le ministre de la Justice, à savoir par son directeur « garant  (de asservissement) de l’indépendance de la magistrature », par le Chef de l’État personnellement compromis. (Art. 620 c. pr. pén). Mais les victimes disposent aussi du recours illusoire de « l’exception d’illégalité des fraudes » présentée par écrit à l’instruction ou à l’audience d’une procédure relative au complot (art. 86 c.pén 😉 devant une juridiction en raison de l’absence présumée de l’impartialité des juges globalement circonvenues, embobelinés, subornés dans la situation politique actuelle. Voir les détails juridiques dans mes demandes formulées aux tribunaux correctionnels escamoteurs de Bourges (p. 5) et de Paris (p. 6) du blog « dietrichp13.wordpress.com ».

Pacte de l’O.N.U. arts 2 et 14) et Déclaration européenne (art.6) : Le principe général du droit relatif à l’équité judiciaire constitutionnellement garantie « Res ipsa loquitur », (la chose parle d’elle-même), est la preuve de la vérité incontestée qui s’impose à la justice devant ces obstructions criminelles par la suppression des preuves et de leurs auteurs et est à la disposition de toutes les victimes, à la France entière.

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Réaction à LE BIEN PUBLIC du 1 mars 2011. La robe et l’épée de Me Francis Vuillemin.
Bisontin ayant fait ses études de droit à l’université de Dijon, avant de les poursuivre à Paris I Panthéon-Sorbonne, M e Francis Vuillemin a prêté serment en 1995 pour devenir avocat au barreau de Paris.

Dans La Robe et l’Épée, ouvrage autobiographique, qu’il vient de faire paraître aux éditions l’Harmattan, M e Francis Vuillemin, aujourd’hui âgé de 42 ans, nous livre une chronique sélective de ses 10 premières années d’exercice de la profession d’avocat.

Il évoque notamment le procès historique et les coulisses de l’affaire Papon, dont il fut l’avocat pendant plus de 10 ans, aux côtés de M e Jean-Marc Varaud. Réaction : Chantons des  louanges à la Canaille. « Les grands criminels font les grands avocats », des artistes rompus à tous les ficelles du trafic d’influence et de corruption pour leur ménager des passe-droits par des forfaitures monumentales des magistrats faussaires et truqueurs ; faire écraser les victimes bien avisées par des brillantes études supérieures à l’université Panthéon-Sorbonne, faire supprimer leurs actes de procédures indiscutables, étayés des preuves irréfutables, ou s’il le faut, les faire sans tambour ni trompettes les auteurs trouble-fête par le crime organisé du grand banditisme.
Hélas ! Nous l’avons aussi rencontré dans l’affaire Papon : aucun argument académique congru, aucune vérité historique pertinente ne tiennent, face à une puissance clépto-ploutocratique internationale qui jouit du privilège de la mauvaise foi et des falsifications en tout genre avec son armée des avocats sans scrupules payés à prix d’or et sublimés par leurs laudateurs besogneux des médias.

N’est pas l’exemple le plus caricaturale, l’affaire Papon pipée à Bordeaux durant plus de vingt ans par l’usurpation de pouvoirs légaux de juges prévaricateurs à l’aide des astuces de ce grand avocat. Malgré la docte information de l’illustre professeur de droit de Paris II Jean Foyer, ministre de la Justice gaulliste, l’affaire est soustraite frauduleusement de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice spéciale de 1944. Comme je l’ai précisé à répétition aux juges fraudeurs de Bordeaux, dans les actes de procédures « supprimés » (crime) à l’aide des faux en écriture authentiques, cette Haute Cour de justice, sous peine de « nullité générale et substantielle » (Cass) de tous les actes et jugements manigancés, a été seule compétente pour juger les complices du gouvernement de Vichy coupable de « l’intelligence avec l’ennemi » dans les crimes contre l’humanité.

Tandis que cette canaille d’avocat, encensée avec ses mises en scènes crapuleuses, a été glorifiés par les médias des magnants de la grand finance, a fait du pognon pleine les mains avec des mascarades grotesques, moi, j’ai été vilipendé et injurié avec l’exactitude de ma science en « paranoïaque Belge […] se trimbalant dans les palais de justice avec son paquetage de légionnaire demeuré ». (Pages 3 et 11).

Pour comble de ridicule de la situation, ce grand avocat a réussi de faire indemniser Papon par la Cour européenne des prétendues violations des droit de l’homme qu’il a organisé lui-même en douce, main dans la main, avec les fourbes procureurs et les juges pour paralyser la Justice. Somme tout, par une incontestable escroquerie judiciaire.

Ensuite, pour me faire écraser pour de bon, les anciens ministres de l’Intérieur et de la Défense Léotard, Pasqua, Sarko, avec leurs comparses au Fisc et à la Justice, au Conseil d’État et des paniers de crabes de cours de justice, me sont tombés sur le râble avec leurs ripoux cambrioleurs, voleurs, truqueurs, faussaires… par des arrestations illégales, couronnées des tantinets tortures, en toute impunité. Ça ne fait vraiment pas bon de rappeler à la Juste archi-pourrie les sacro-saintes règles du droit qu’elle refuse de voir au profit des petits types de mon genre. Toute cette bande de maquignon judiciaire avec leurs commanditaires au gouvernement dans l’affaire Papon à Bordeaux, comme dans bien d’autres démontées dans mes blogs, s’est comportée comme une authentique association de malfaiteur au sens juridique du terme, en toute impunité. Voir les détails académiques occultés au grand public béant devant cette grande canaille sur la page 4 des blogs « Dietrich13.wordpress.com ».

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Tous ces documents ont été présentés au Conseil d’Etat pour le contentieux contre les ministres refusant de faire rétablir la situation légale.

Motivation du pourvoi en cassation contre l’arrêt de la chambre d’accusation

de Bordeaux dans l’affaire Papon et Bousquet pour:

– excès de pouvoir (art 679,681 C.pr.pén., art. 68 const.);

– refus de répondre à l’exception d’incompétence et la justification d’un intérêt personnel et direct (art. 593 C.pr. pén.);

– violation de la loi: arts 2 et 14 du Pacte relatif aux droits civils et politiques et arts 13 et 14 de la Convention contre la torture et autres peines et traitements cruels, inhumains ou dégradants.

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Réf: Arrêt n° 272 du 12 mai 1991 signifié le 16 juin 1991.

Monsieur Peter DIETRICH, Adjudant honoraire, décoré de la Médaille militaire, cité, blessé, D.E.A. de droit privé de l’université Panthéon-Sorbonne de Paris, Certificat d’études universitaires de criminologie et sciences pénales,

« accusé» se justifiant par la légitime défense pour soi-même et pour autrui,

demeurant rue Gaston Carré, 93 300 Aubervilliers,

a l’honneur d’exposer:

Les règles de compétence en matière pénale étant d’ordre public. La chambre d’accusation doit les faire respecter d’office sous peine de nullité générale et substantielle de la procédure. Elle a perdu sa compétence d’attribution spéciale par le décès de l’ancien préfet Maurice Savatier et par le déclinatoire de compétence de la partie civile démontrant la compétence exclusive de la Haute Cour de justice.

I.- (Chapitre superflue des pages 3 et 4 sur l’original.)

II.- Sur la recevabilité du pourvoi en cassation enregistré au greffe pas simple lettre recommandée.

En matière de cassation aussi, il est admis en jurisprudence que ces voies de recours peuvent être exercées par simple lettre si le requérant se trouve dans une situation de force majeure résultant d’un fait indépendant de sa volonté.(1) Il s’agit ici de la concrétisation du principe général du droit « A l’impossible nul n’est tenu»,(2) d’un principe relatif à l’équité judiciaire. Ces principes sont actuellement consacrés par l’art. 6 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et par l’article 14 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. En d’autres termes, la question de la force majeure indépendante de la volonté de l’appelant devient une question de droit ayant valeur constitutionnelle et dont le respect doit être assuré d’office par les cours de justice conformément aux dispositions de l’article 2 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’ONU.

Dans la procédure pénale, les problèmes de l’article 502 sur la déclaration de l’appel sont identiques avec les problèmes de l’article 576 sur le pourvoi en cassation. La doctrine du Jurisclasseur présente une similitude parfaite. Ainsi, le Conseiller de la Cour de cassation M. Pierre Escande écrit à ce sujet: « La force majeure étant une question de fait de laquelle la chambre criminelle procède cl une analyse motivée avant de décider en considération des conditions de l’espèce.(3)

Par voie de conséquence, pour apprécier si je suis effectivement dans une situation de force majeure, la Cour de cassation sera donc obligée d’apprécier mes motifs exposés dans ma constitution de partie civile de 130 pages et les actes joints, si mon arrestation commanditée par un ancien ministre de la justice a été illégale, si ma détention près de Bordeaux peut être considérée comme une séquestration criminelle, si l’ordre avait été donné de m’abattre sans sommation après mon « évasion », si le commando des tueurs a été renseigné par le ministère public, si la convocation en violation des règles de la compétence légale et des dispositions du code de procédure pénale sur les pouvoirs du doyen des juges d’instruction de Nice visait de me faire bousiller dans la capitale de la mafia par les nervis de la bande Médecin, couverte par les autorités locales depuis des décennies selon la littérature communiquée à la Cour. Ce sont d’autant de questions qui ne relève plus de la compétence légale de la Cour de cassation saisie dans le cadre d’une procédure étrangère aux dispositions de l’article 68 de la Constitution.

La question de la recevabilité matérielle du pourvoi en cassation est devenue une question liée indivisiblement aux questions de fond. Il ne reste donc plus à la Cour de cassation d’enregistrer sa propre incompétence légale pour examiner des questions dont les juridictions inférieures ont été incompétement saisies et dont la compétence exclusive appartient à la Commission d’instruction de la Haute Cour de justice.

III.- Sur la caducité de l’arrêt de renvoi de l’affaire Papon à la Chambre d’accusation de Bordeaux par le décès du Préfet M. Sabatier.

Les dispositions des articles 679 et 681 du Code de procédure pénale sur la compétence spéciale en matière pénale s’appliquent en l’espèce au préfet M. Maurice Sabatier et point au secrétaire général de la préfecture qui a été M. Papon. En d’autres termes, M. Papon, individuellement pris, n’est pas une personne protégée, limitativement énumérée par l’article 679 et 681. La procédure spéciale lui n’est applicable que dans la mesure où le préfet Sabatier peut être pénalement poursuivi.

Ces dispositions se sont appliquées tardivement à l’aide d’un artifice de la procédure.  Pour retenir la responsabilité pénale du Préfet Sabatier le juge d’instruction n’avait pas à attendre que ce moribond couvre publiquement les activités d’un subordonné hiérarchique d’alors. Il n’avait point besoin de la sentence d’un jury d’honneur d’une légalité douteuse.(4) Du vivant du Préfet Sabatier, les dispositions de l’article 681 C.pr.pén. se sont appliquées tout naturellement à son secrétaire général M. Papon en tant que coauteur et complice de l’ancien préfet de la Gironde de crimes contre l’humanité pour la déportation de 1 645 juifs dont 223 enfants qui ont pour la plupart été exterminés dans les champs de concentration nazi.

Ce préfet M. Maurice Sabatier est décédé dans les années 1989. M. Papon n’est plus concerné par l’article 681 car le décès du préfet éteint définitivement toute action pénale contre lui. Le préfet n’est plus susceptible d’être inculpé dans l’affaire Papon. Cette situation a été réglée par plusieurs arrêts de principe par la Chambre criminelle de la Cour de cassation, notamment le 14 juin 1983 par le Président Ledoux et le rapporteur Le Gunehec dans l’affaire Jeanin rapportée le Recueil Dalloz de 1984.(5)

« Que dès lors, en constatant, comme elle l’a fait, que l’action publique était éteinte à l’égard de la personne dont la qualité avait justifié sa désignation, et avant même cette désignation, mais en poursuivant l’information sans examen si elle demeurait compétente, la Chambre d’accusation a méconnu le sens et la portée des textes susvisés».(6)

Le Professeur Jean Pradel commente cette décision de la façon suivante: « Le message de l’arrêt du 14 juin 1983 est donc clair: une chambre d’accusation saisie àraison de la qualité d’une personne susceptible d’être inculpée doit avant tout rechercher si elle est compétente et par exemple s’enquérir du point de savoir si cette personne est encore en vie le jour de sa désignation »,

M. Maurice Papon est défendu par une des plus brillants avocats de la France. Dans l’affaire M. Michel Droit contre le juge Claude Grellier, Me Jean-Marc Varaut a fait une démonstration éclatante de sa capacité exceptionnelle pour faire tripoter une procédure par une application à tord et à travers des dispositions du Code de procédure pénale sur la compétence légale[1] par ceux qui se sont fait appeler à l’occasion « Bouffons de la République » par l’ancien Procureur général de la Cour de cassation, M. Pierre Arpaillange. Pour désigner la Chambre d’accusation de Rennes, la Cour de cassation dans l’affaire Michel Droit déclarait «que la décision (de renvoi) n’implique aucune appréciation de la recevabilité ou du bien-fondé de la plainte ». M. Papon est parfaitement conscient dusabotage de la procédure aboutissant à une nouvelle annulation qui le métamorphosera en victime du fonctionnement défectueux de la justice s’il bénéficie des principes de la jurisprudence Droit c/Grellier. Les dispositions des articles 679 et 681 du Code de procédure pénale ne peuvent plus justifier la compétence légale de la Chambre d’accusation de Bordeaux. Les actes accomplis par elle depuis le décès de l’ancien préfet M. Sabatier sont nulles au même titre que les actes accomplis par le juge d’instruction avant son dessaisissement.

Mais depuis ma constitution de partie civile assortie d’un déclinatoire de compétence, les dispositions des lois ordinaires du Code de procédure pénale sur la compétence légale ne sont plus applicables. Les dispositions de l’article 68 de la Constitution sur la Haut Cour de justice sont supérieures et plus récentes. Elles seules s’appliquent en vertu des principes généraux du droit.

 

IV.- L’examen de la question de l’intérêt direct et personnel de la partie civile intervenante est subordonné à la compétence légale de la juridiction.

(Exposé dans les pages suivantes de  « l’accusé » se justifiant par la légitime défense se soi-même et d’autrui par la légitime défense politique, constamment escamoté par l’altération de la vérité dans les décisions truquées.)

(Les mêmes trucages ont été perpétrés dans les

poursuites de Touvier à Versailles, du feu Bousquet

à Paris et à une variante près de Barbi à Lyon).

Le 17 juin 1992.

Peter Dietrich

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Observations à postériori : Le Ministre de l’Économie essentiellement avait été saisi d’un requête aux fins du 
rétablissement légale par le gouvernement par l’annulation globale dans l’intérêt de la loi (article 620 c. pr. pén.) de toutes les décisions truquées ou en cours des trucages (affaire Papon). Requête assortie du refuse de payer les impôts, conformément aux dispositions constitutionnelles précitées du droit fondamental de  la légitime défense politique. Le contentieux congrument motivé et étayé par les documents référenciés dans ces blogs, fut porté devant le Conseil d’État qui le renvoya devant le tribunal administratif de Paris avec une décision truquée par les crimes de la falsification de la cause et de la suppression des actes de procédure. Reboulot au Tribunal administratif et devant la Cour d’appel administrative de Paris

Durant ce temps, le ministre procéda à mon écrasement fiscal durable  par des concussions, tandis que le ministre de l’Intérieur, commanditaire de la police et des « rebelles écluseurs de bière » du cafard défroqué, en quête de son réintégration,  m’éliminèrent pour des années du circuit par des harcèlements abominables, terminant par mon arrestation absolument illégale à mon domicile. Le policier enquêteur procéda sur son P.V. à la dénaturation de mes déclarations, refusant de s’informer sur mes moyens justificatifs. Lorsque je le signais « celle-ci ne sont pas mes déclarations », il déchira purement et simplement et le jeta dans le Corbeil.

En ce moment, cette clique mafieuse procède au sur-verrouillage du système du grand banditisme politique par le bricolage des codes. Seront mis à la merci des procureurs et préfets à tout main, les justiciables entêtés, contestant ces fraudes sur la voie publique, ou pis, est sur l’internet. Dès que les lois seront votées, ils pourront être arrêté à n’importe quelle heure par des « flics en blouse blanche, payés au rendement », sans trouver la moindre chance de se prévaloir de leurs droits fondamentaux contre leur spoliation mafieuse.

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Messieurs le Président et Assesseurs

du Tribunal Administratif de Paris

7 rue de Jouy – 75004 PARIS

Le 3 avril 1998

Communication des pièces et rajustement du montant des frais de justice non-répétibles.

1° Requête en annulation  n° 94087009/6 contre la Grande Chancellerie de la Légion d’honneur.

2° Requête en annulation contre le Ministre de l’Économie et des Finances N° 9800905/1.

________________________________________________

Monsieur Peter DIETRICH, Adjudant honoraire, décoré de la Médaille militaire, cité, blessé, D.E.A. du Droit privé de l’Université Panthéon-Sorbonne de Paris, Certificat d’études universitaires decriminologie et sciences pénales,

partie civile et prévenu, « accusé » se justifiant par la légitime défense pour soi-même et pour autrui dans des  procédures pénales,

demeurant au 80, rue Voltaire, 93120 LA COURNEUVE,

a l’honneur d’exposer:

Le Tribunal administratif de Paris trouvera ci-joint les copies commentées des documents envoyés à l’O.N.U. au sujet des trucages des affaires relatives au complot mafieuse contre la sûretédel’État, notamment de l’affaire Papon à Bordeaux.

France-Soir du 31 mars 1998, publie le montant des honoraires de Me Varaut pour la mascarade judiciaire de l’affaire Papon, le rajustement des honoraires des autres avocats à son tarif. Quoi de plus normal le rajustement de mes frais non-répétibles à ce montant de six millions de francs, majoré des frais des gardes de corps. Par ces motifs exposés, l’équité judiciaire commande à ce que soit fait droit par le Ministère des Finances et de l’Économie à ma demande de treize millions sept cent mille francs en réparation de mes propres frais de justice non-répétibles pour les deux procédures citées en référence.[1]

Peter DIETRICH

Le Trésor est en mesure de récupérer ces sommes par des actions récursoires contre M. Maurice Papon et ses acolytes, contre les corporations des auxiliaires de justice de Castres, Paris et Toulouse et contre leurs membres rendus responsables des infractions pénales incontestables.

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,

On remette ça!

Bavo les casseurs !

Difficile d’envoyer à  la circonscription judiciaire de Lyon (p. 9 et 10 du blog) où le juge d’instruction Philippe Courroye a fait ses armes dans la prévarication criminelle de la partialité (art. 183 c. pén), a commencé par se distinguer dans le concert criminel de coalition de « fonctionnaires » (au sens de la largeur étendue du droit pénal), « suspendant l’application et l’exécution des lois » (crimes) par des forfaitures criminelles de l’usurpation des pouvoirs exclusifs de la feue Haute Cour de justice à l’aide des suppressions des actes de procédures (crimes) et avec les auteurs (crimes et délits), de faux en écriture authentique et publique par commission et par omission (crimes). Un des bénéficiaires des fraudes à Lyon, l’actuel ministre de la Défense, blanche-neige Juppé.

Mais à Bordeaux, ce n’est pas plus brillant. C’est là où je fus séquestré et spolié de mes biens -en toute impunité- en raison de la revendication de la Haute Cour de justice (p. 1+2 du blog), évincé ensuite de la procédure truquée à l’identique de l’affaire contre l’ancien ministre Maurice Papon.

Pouvons-nous nous sérieusement attendre que la clique bordelaise agira autrement dans les affaires compromettant derechef le miraculé Sarko, Woerth Betancourt et autres grosses légumes, alors que ses composants sont toujours justiciables pour complot contre la sûreté de  l’État par « l’attentat contre le régime constitutionnelle » (art. 86 c. pén) de la démocratie égalitaire avec les authentiques escrocs qu’elle a miraculé de la Haute Cour de justice et dont la présence au sommet du pouvoir est encore plus « politiquement illégitime et constitutionnellement illégale » qu’a été celle du gouvernement de Vichy avec le Maréchal Philippe Pétain. Aucune procédure est exempt de la fraude annihilante  tant que de la situation légale n’est pas rétablie dans l’intérêt de  la Constitution (art. 620 c. pr. pén.) ; rétablissement exigeant le rétablissement de la Haute Cour de justice pour que ces malfaiteurs de la haute fonction publique, notamment à la Cass, puissent enfin être jugés avec  leurs  ministres déprédateurs pour les mettre hors d’état de nuire.

Mais, pour l’empêcher à Bordeaux, qui en est mieux placé que blanche-neige Juppé, disposant d’une centrale d’écoute super-sophistiqué de contre-espionnage des muettes l’Armée, échappant dans l’intérêt évident de la Défense nationale à toute contrôle judiciaire. Il est fort à parier que ces historiettes des factures des télécommunications des journalistes piratées par la police n’a été qu’une mise en scène que pour donner le change aux enquêteurs.

Blog « dietrichp13.wordpress.com ». Juriste DEA. Les lecteurs avertis qui avaient eu le courage d’assimiler les constructions juridiques ardues du droit pénal sur la page 1 et 2 du blog peuvent, comme les initiés de la magistrature, en tirer les conclusions suivantes : des manœuvres frauduleuses, de mises en scènes des mensonges, des artifices accrédités par une haute fonction publique, à plus forte raison par un ministère, « interventions des tiers (associations félons) sont constitutifs du délit d’escroquerie. Rien que pour ça, des notaires casquent fréquemment plus de dix ans de réclusion criminelle. Accomplis dans une procédure judiciaire pour « surprendre la religion des juges », c’est une escroquerie tout à fait classique au jugement, ou tentative punissable. Mais quand les juges y participent comme en l’espèce par les mêmes mises en scène, c’est une escroquerie judicaire exigeant l’annulation globale pour fraude des procédures viciées. Mais en l’espèce, les manœuvre frauduleuses « d’un concert criminel d’une coalition de fonctionnaires » visant « la suspension d’application des lois et l’exécution des  lois » par « la suppression des actes de procédures », sont constitutives du crime du complot attentatoire contre « le régime constitutionnel » de  la démocratie égalitaire (art. 86 c. pén). Ces juges et ces membres du gouvernement, il y plus de vingt, avaient été justiciables en exclusivité par la Haute Cour de justice dont ils ont usurpé la compétence légale (crime) et qu’ils ont sabordée ensuite pour le remplacer par une juridiction fantôche qui ne peut plus poursuivre l’establishment mafieux irrévocable de la haute fonction publique, beaucoup beaucoup plus dangereux, beaucoup beaucoup plus corrompu que leurs éphémères ministres postiches.  Nous sommes gouvernés par une authentique « association de malfaiteurs » au sens juridique du terme et contre laquelle, depuis la suppression par elle de la Haute Cour de justice et des articles 679 et suivants du code de procédure pénale n’existe plus la moindre illusion d’un recours effectif.

Les lecteurs avertis qui avaient eu le courage d’assimiler les constructions juridiques ardues du droit pénal sur la page 1 et 2 du blog peuvent, comme les initiés de la magistrature, en tirer les conclusions suivantes dans la tripatouillage du financement occulte de la clique de Sarko relevé dans l’attentat de Karachi (p. 9) : des manœuvres frauduleuses, de mises en scènes des mensonges, des artifices accrédités par une haute fonction publique, à plus forte raison par un ministère, « interventions des tiers (associations félons) sont constitutifs du délit d’escroquerie. Rien que pour ça, des notaires casquent fréquemment plus de dix ans de réclusion criminelle. Accomplis dans une procédure judiciaire pour « surprendre la religion des juges », c’est une escroquerie tout à fait classique au jugement, ou tentative punissable. Mais quand les juges y participent comme en l’espèce par les mêmes mises en scène, c’est une escroquerie judicaire exigeant l’annulation globale pour fraude des procédures viciées. Mais en l’espèce, les manœuvre frauduleuses « d’un concert criminel d’une coalition de fonctionnaires » visant « la suspension d’application des lois et l’exécution des  lois » par « la suppression des actes de procédures », sont constitutives du crime du complot attentatoire contre « le régime constitutionnel » de  la démocratie égalitaire (art. 86 c. pén). Ces juges et ces membres du gouvernement, il y plus de vingt, avaient été justiciables en exclusivité par la Haute Cour de justice dont ils ont usurpé la compétence légale (crime) et qu’ils ont sabordée ensuite pour le remplacer par une juridiction fantôche qui ne peut plus poursuivre l’establishment mafieux irrévocable de la haute fonction publique, beaucoup beaucoup plus dangereux, beaucoup beaucoup plus corrompu que leurs éphémères ministres postiches.  Nous sommes gouvernés par une authentique « association de malfaiteurs » au sens juridique du terme et contre laquelle, depuis la suppression par elle de la Haute Cour de justice et des articles 679 et suivants du code de procédure pénale n’existe plus la moindre illusion d’un recours effectif.

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PaponAnnulation

EvasionRécit 2.

Crimes de décision partiale, de faux en écriture et de suppression des actes de procédures par l’omission tendancieuses dans les motifs les informations essentielles, imposées par la loi : l’usurpation criminelle par des juridictions de droit commun la compétence exclusive de la Haute Cour de justice, notamment celle se déroulant en ce moment sous leurs yeux dans l’affaire Papon à Bordeaux et que le requérant s’efforçait d’interrompre. Cumul avec les infractions :

– Arts 61 e 62 C.pén. Non dénonciation à l’autorité compétente, (en l’espèce le parlement et le procureur général de la Haute Cour de justice), les crimes de l’attentat judiciaire contre le régime égalitaire de l’État démocratique, (art. 86 c.pén.) pour en limiter les effets.

– Art. 198 C. pén. Participation des « fonctionnaires » aux crimes qu’ils avaient pour mission de surveiller par la dénonciation à la juridiction compétente des tripotages criminelles des poursuites des crimes contre la sûreté de l’État.

 

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Sous l’impulsion du représentant du gouvernement français à la Coureuropéenne des Droits de l’homme, escroquerie judicaire par la soustraction du dossier Papon du témoignage des fraudes mises en scène par celui-ci avec le ministère public pour éviter la saisine de la Haute Cour de justice menaçant également ses anciens acolytes du gouvernement. Le témoignage des fraudes de Dietrich est travesti en « gestion d’affaire » (sic) de Papon et consorts des crimes contre l’humanité, déclaré irrecevable et éliminé frauduleusement d’une procédure truquée pour l’indemniser sur des fondements montés à tout pièces, des faits organisés avec les procureurs et juges par lui-même et son avocat Me Jean-Marc Varaut, également avocat dans d’autres  procédures contre les ministres mafieux proches de Papon, violant la compétence de la Haute Cour de justice.

Lorsque Mitterrand faisait naître l’espoir d’un recours utile aux  victimes de l’obstruction mafieux de la justice en France par la ratification de traités internationaux leur ouvrant la porte au Comité de l’ONU et de la Cour européenne des droits de l’homme, le général Samy Albagli (***), éconduit systématiquement avec son association des victimes de la justice, il s’est posé des question sur l’origine de ces faussaires « répondant à côté des questions exposés ».

À ces sinécures dorées très convoitées, ce sont les gouvernements des États de l’Europe, encore plus corrompus que celui de la France, qui y désignent leurs créatures « les plus souples », ceux qui se sont le plus distingués dans la prévarication judicaire de leur pays. Pour les affaires politiquement sensibles – les affaires du grand banditisme du beau linge trafiquant, sont toujours politiquement sensibles – ces larbins rodés dans tous sortes de falsifications, se renvoyant mutuellement l’ascenseur dans la prévarication, pour suivre les conclusions ou les suggestions des représentants de ces « États gangsters » au bord du ruine actuellement en raison de la corruption des régimes. Cette canaille appelle cette délinquance de haute vole « réalpolitique ». De la poursuite de cette criminalité, la Cour de Justice des Communautés Européennes de Luxembourg n’en est pas habilitée par les actes constitutifs de la Communauté européenne. Mais, les représentants du gouvernement français et leurs commanditaires, les instigateurs eux, peuvent et doivent être poursuivis en France pour, de ces escroqueries monumentales, payer de leur poche le préjudice du contribuable et des victimes.

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Elīna Garanča Avec couteaux B

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Elina Docteur hc Médaille militaire

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Bibliographie et références:

(1) CROZE H . Jurisclasseur de la procédure pénale. art. 496 à 520, F.1. n° 94.

(2) PERELMAN Ch, « Logique juridique », éd. éd. Dalloz 1979, p. 93, n° 50.

(3) Jurisclasseur de la procédure pénale, art. 567 à 621, F.20, n’ 17.

(4) Le Monde du 14 fév. 1987. « Précision: l’annulation de la procédure de l’alla ire Papen »

(5) Crim. 14 juin 1983, D. 1984 JP p. 173 note J. Pradel.

(6) HEMARD Jean, Encyclopédie Dalloz 90 – Fonctionnaire public, n’ 278 et 282. (3) Crim. 14 juin 1983. R182, p.448.

(7) J.P.C. 1988. Il. 20988 note J. Jeandidier.

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Censure canaille par la hypermafia de la grande finance internationale d’un blog, circonstancié, avisé, incontesté.

Aperçue des montants de l’indemnisation préalable à la restauration de la situation légale, légalité, dus de droit, revendiqués aux juridictions saisies d’un composant quelconque du « complot contre la sûreté de l’État par l’attentat à son régime constitutionnel de la démocratie égalitaire en matière judiciaire, fiscale, électorale…. ».

Wordpress blocage 3

—–Message d’origine—–

From: Elizabeth – WordPress.com

Sent: Thursday, December 27, 2012 12:15 AM

To: peter.dietrich@sfr.fr

Subject: [WordPress #1415268]: 495@dietrich13.wordpress.com

[WordPress #1415268]: 495@dietrich13.wordpress.com

Hi there,

Thank you for getting in touch.

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We greatly apologize for this error and any inconvenience it may have caused.

Elizabeth | WordPress.com

Désolé Madame. Il m’est toujours rendu impossible de compléter ce blog, (Dietrich13, sans « P »), par des preuves factuelles de mon assassinat déjoué, et, la déclaration de décès à l’Administration suisse, dénoncée quelques années plus tard par un ami. Preuves édifiantes, incontestées, « supprimées » par la justice française avec son présentateur en raison de son importance internationale toujours plus explosive dans des affaires des trucages des procédures des crimes contre l’humanité (p. 4) en corrélation avec les escroqueries monumentales de la banqueroute frauduleuse gigantesques dissimulées derrière le terme crise. Page 2 des blogs. Échantillons ci-dessous de la page 1.

Hi there,

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http://en.support.wordpress.com/browser-issues/#clear-your-cache-and-cookies

Thank you!

Elizabeth | WordPress.com

Chère Madame. Le placard du fichier joint à la fin, toujours depuis des semaines, s’affiche systématique pour m’empêcher la mise à jour du blog « dietrich13.wordpress.com, (sans « p ») sortie tout juste de la censure qui n’ose pas dire son nom. J’en ai tellement l’habitude… Tout mon système est placé sous contrôle, depuis l’Outre-Atlantique, par des indécrottables logiciels-espion. Il ne reste que de me résigner. Je m’en fous car les jeux sont faits pour moi.

Est-il possible d’empêcher les observateurs de penser qu’ils s’agissent d’un micmaux juristessopilante obstruction aux juristes de faire circuler dans les textes congrus les échantillons des documents produits sur la page 1 des pages effacées du blog jumelle « dietrichp13.wordpress.com » ?

Ceux de mes fameux adversaires « fund embezzlers » pleins aux as, du gabarit de l’ex-ministre des Finances D. Strauss-Kahn, disposés de verser un million de dollars/heure aux avocats à New-York pour monter de rideaux de fumée devant les révélations dans les pages de mes blogs, à combien sont-ils disposés de larguer pour saboter mes blogs ? Et, comparaison fait de la valeur réciproque des travaux, à combien la Justice doit-elle évaluer mon indemnisation ?

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Hi ! Hi ! Chère Madame. Vos remèdes miracles ont fonctionnés à l’envers. Mon blog est de nouveau censuré avec le placard vexatoire en fichier joint à l’e-mail.

Mais, selon le dicton juridique « Ce qui abandonne ne vicie pas », à savoir, un moyen de preuve de la matérialité convainquant du crime organisé du grand banditisme ne peut rendre que la cause meilleure pour le dénonciateur. Ces manigances canailles de la coterie internationale de la hypermafia de la finance internationale valent certainement aveu irrévocable, selon le droit fondamental de la France. Mes constructions juridiques n’ont jamais été contestées en Justice. L’Amérique c’est l’Amérique.

Laissons donc ces blogs machinés sur WordPress dans l’état inachevables. Bisous. Point. Cela étaye encore mes autres revendications quant aux indemnisations de mes préjudices morales. Selon le droit interne de la France et celui du Pacte ratifié de l’ONU, ne suis-je pas en droit d’être équitablement traité sur un pied d’égalité avec notre brillant mercanti interlope Bernard Tapi-double-face ? Quinze millions d’Euros d’indemnisation pour quinze ans de divertissements joyeuses des escroqueries judiciaires ayant aboutis encore au détournement dans sa tirelire des plusieurs centaines de millions de fonds publics. Grâce aux entremises de nos ministres de Finances, des vedettes idoines du FMI, Dominique Strauss-Kahn et Christine Lagarde. Avec ce magot, ce beau monsieur « fund embezzler », a pu secourir la mafia. New-Yorkaise : renflouement par prise de participation de leur société de poker truqué sur internet, mise en difficulté par la condamnation d’un tribunal des céans.

Vous ne trouvez pas un peu juste ma revendication à la justice d’une indemnisation d’un taux triplé de ces 45 million d’Euros de complaisance avec un truand, comme l’exigerait le respect de l’équité et de l’égalité, de la moralité judiciaire et politique ?

Wordpress blocage 2

Veuillez-vous connecter sur le blogs complété:

« Dietrich13.kazeo.com» ou « dietrich13.blogspot.fr».

En raison des défectuosités, ces pages ont été effacées en attendant de la suppression du blog par l’auteur.

Auf WordPress, die mangelhaften Blogs « Dietrichp13 » sind von mir ausgelöscht worden. dietrich13 vient être censuré par WordPress.

Sie können aber sich auf die vervollständigte Blog schalten:

« Dietrich13.kazeo.com» ou « dietrich13.blogspot.fr».

Depuis plusieurs années déjà, sur les huit différents blogs du juriste DEA, (sciences pénales, criminologie), Peter Dietrich s’instruisent de dizaines de milliers universitaires, juristes, juges et procureurs, victimes et  leurs avocats de la Chine, en passant par l’Afrique, l’Amérique, l’Océanie jusqu’en Island. Ces blogs contiennent des constructions, argumentaires juridiques et bibliographies universellement applicables aux escroqueries de haute vole et leurs escroqueries judiciaires pour s’assurer l’impunité, (page 2), des preuves irréfutées par des juridictions saisies, de ces pratiques, notamment dans les trucages des poursuites des crimes contre l’humanité. (Page 4). À l’heure actuelle, les blogs subsistants à la censure insidieuse recueillent 50 consultants par jour.

BoutIdé

Evasion Emoi Juges

EvasionRécit 2.

PaponAnnulation

Annularion 681 Nancy Toul

Facebook Finanzkriese

Article ci-dessus der blogs sur Facebook. Mein Kommentar im Der Spiegel 23/01/2012. Euro-Krise. Lagarde verlangt mehr Geld von Deutschland. Deutschland muss mehr für die Euro-Rettung tun, das verlangt IWF-Chefin Lagarde bei ihrem Besuch in Berlin: « Wir brauchen eine größere Brandmauer. » Damit unterstützt die Französin Forderungen aus Italien nach mehr Geld. Doch Kanzlerin Merkel blockt… Reaktion. Nach dem französischem elementaren Straffrechtbegriff, « Krise » ist eine trügerische Maske von “ Bankrott durch Betrug und Diebstahl in organisierter Verbrecherbande” nach, unter anderen, der Beschreibung von Michael Lewis. The Big Short. La Casse du siècle. Éditions Sonatine n° 053, sept. 2010 und meiner juristischen Auslegung für die Untersuchungsrichter gegen Lagarde und Strauss-Kahn. Kopie: Intro Seite 2 Blog dietrich13.wordpress.com. Jurist DEA. Kriminologie. Kriminalwissenshaften, jamais démenti mais assassiné. 

 Für die Politikwissenschaft, auf der Seite 4 befindet sich eine kurze aber erbauliche Beschreibung der Verfälschung des Nürenbergerischen Strafprozess 1945/46 und den Hochverrat des Englischen et Französischen Haupt Generalstab um die Invasion von Frankreich an 1940 zu erreichen und der Verfälschungen in den neulich französischen Strafprozessen der Komplizen der Verbrechen gegen die Menschheit. Verfälschungen immer weiterverfolgt an den französischen Gerichten, durch die Freimaurerei, den Rotary, und den Europäischen Menschenrechts Gerichtshof à Strasbourg mit der Verfälschung der geheimen Geschichte des Französischen und Britischen Hochverrat des zweiten Weltkrieg erzeugt hat mit den Verbrechen gegen die Menschheit.

 Seite vier der Blogs : Unterschlagene Beweise et Belegstücke kommentiert. Nach 1933, unter dem internationalen Einverständnis, die SS/SD (Sicherheitsdienst) organsierte, öffentlich, die vollständige Ausrottung, (Agronom Himmler), im dritten tausendjährigen Reich, der kulturellen politischen, militärischen, religiösen… Opposition. (Das Nazimodel, das zweite tausendjährige Reich, wurde gegründet durch die Vernichtung, für tausend Jahre, der europäischen Kultur, durch die bestialischen Barbaren des Frankenkönig Clodwig 1, geweiht für die massiven Massakers der galloromanischen Bevölkerung). Die aufgehäuften Knochenreste des Konzentrationslagers wie Dachau bezeugen es. Schon vor der schicksalhaften Jahre 1928, dieselben internationalen Finanzkräfte, (Seite 2), organsierten den zweiten Weltkrieg mit des Kriminalität gegen die Menschheit, organisiert mit der hohen Direktion des englischen, abgesetzten König Eduard VII, Herzog von Windsor, und seine Matha Hari, Hure eingeübt in den Bordells von Honkong und Kairo für die USA Geheimdienste. Das erste Opfer des internationalen Komplott, mit dem Beitrag der hohen Persönlichkeiten wie Joseph Kennedy, war das deutsche Volk. In Frankreich insbesondere, diese Aristokratien und Finanz Verschwörung organisierte den Hochverrat des Hauptstabs der alliierten französieren und englischen Streitmacht. Unter der Kontrolle von Herzog von Windsor Éduard, geradewegs mit Hitler, der Durchbruch der Maginotlinie in den Ardenne, die Vernichtung der französichen Lusftwaffe wurde oragnisiert… Die roumänische Armée, bis zu Stalingrad, wurde mit dem vortreflichen französchem Kriegsmateriel bewaffnet…

Récupération occulte de l’intro inachevée de la page 4 des blogs. Arguments cardinaux escamotés aux jurés des Assise dans les affaires Papon, Touvier, Barbi…

 À peine commencé l’interprétation de quelques arguments de l’énorme volume des témoignages savants de E.R. Carmin, je me fais subtilement bousculer pour m’inciter à la production inachevée aux autorités judiciaires et politiques en France. Or, je ne suis parvenu, avec mon analyse, (sur 924), qu’ à la page 222, chapitre sur les faits évoqués devant la justice prévaricatrice (Papon, Touvier, Barbi et bien d’autres) de la coactivité, complicités par instigation, aide et assistance…, et recels des crimes contre l’humanité, tous les faits incriminés par la loi imprescriptibles et non amnistiables.

 Pour bien traduire aux juridictions compétentes, comme de droit, ce savant témoignage congru de E.R. Carmin sur les principales responsabilités des crimes contre l’humanité, il faut mobiliser une équipe de traducteurs professionnels. Avec mon modeste Certificat d’interprète militaire, ‑ activité jamais exercée ‑, il me faudrait bien un an pour me farcir ce boulot à coups de dictionnaire ; boulot qui devrait déjà été accompli depuis des lustres du « Guru Hitler » à la demande des autorités judiciaires complotant. Régulièrement saisies, les prévaricateurs cérémonieux ont préféré « supprimer » (crime) les actes de procédure avec leur auteur pour une décoration de la Légion d’honneur, un avancement, un pot-de-vin…

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 En cours d’amplification sur les pages 4 des blogs fonctionnels.

 E.R. Carmin. L’EMPIRE NOIR : Ordre des Templiers ‑ Société Thule ‑ le Troisième Reich – C.I.A. éditions actualisée et amplifiée, Nikol Hamburg 2010. DAS SCHWARZE REICH, 924 pages en Allemand. La suite de GURU HITLER, références supprimées dans les procès français et internationaux des simulacres grand spectacle des poursuites des complicités des crimes contre l’humanité.

 (P. 110). Mais Hitler eut, si tant en somme il a eu un choix à un moment quelconque, opté pour (…) le chemin de la magie noire, la voie de la puissance, au moment où il a été rentré en contact avec L’Ordre de Thule (en fr. Thoulé). Hitler s’est remis aux mains des forces qui l’emportaient. Forces ténébreuses, destructrices…

(P. 152).  ‘Le combat des dieux en devenir’. […] ‘Elite de reproduction et machine à tuer’. La SS ne devait non seulement donner le matériel de la reproduction pour l’homme nouveau, elle devait aussi être la cellule reproductrice d’une future société d’orientation magico-païenne, la cellule reproductrice d’une nouvelle religion.

 (P. 173). Abstraction du fait que le Duc de Windsor encore en 1940 livrait tout fraiche d’importantes secrets militaires de l’État-major franco-britannique de coordination des opérations, et se conduisit ainsi, se berçait de l’illusion, par les faveurs de Hitler, de se faire de nouveau couronner avec sa hétaire de duchesse divorcée. […] Le chef américain de l’F.B.I, Hoover en a été convaincu que le Duc de Windsor en tout cas, grandement lui-même, a été un dangereux Nazi-Agent qui devrait être enfermé en prison… {Notons que par l’F.B.I, pour les tenir en main, pour les manipuler par le chantage, Edgar Hoover se serait constitué des dossiers et fichiers à l’usage de ses activités politiques personnelles sur les écarts de leur vie sexuelle et les activités délictuelles des tous les hommes influents, au lieu de faire engager des poursuites judiciaires appropriées. Cela pourrait expliquer l’impunité de beaucoup des coauteurs, complices et receleurs des crimes contre l’humanité aux États-Unis. Ces fichiers auraient été récupérés détruits à son ″décès″ le 2 mai 1972 (à 77 ans)}.

 (P. 81). Après que fut fait prisonnier par la Garde de la ‘Défense territoriale’ en Angleterre du ‘Grand Mage de l’Ordre de Toule’ Rodolf Hess, (trésorier des fonds secrets du parti), il fut trouvé dans ses bagages tout sorte de drogues médicinales, dont un élixir provenant d’un Lama tibétain du cloitre Lai-Len. À qui donc, ces hallucinogènes des visionnaires déments ont été destinés que d’autre que son grand ami Duc de Windsor. Nos savantissimes et intarissables experts sur les perturbations psychologiques d’une prétendue couille unique du ‘Grand Mage de l’Ordre de Toule’, de l’extralucide gourou-pontife Hitler, ignorent-t-ils, ces psycho-blablabla mandarins, l’origine de la toxicomanie du syndrome du ‘délirium trémens’ (p.103) : des crises de folie furieux, apparitions hallucinatoires des phobies diurnes et cauchemars nocturnes, dont Hitler se donnait en spectacle devant ses proches abasourdis du ‘combat des dieux’ de ‘l’homme-dieu’ paniqué, émettant des sonorités avec des gesticulations incohérentes, des hurlements aux secours avec des expressions d’épouvante  ?

 E.R Carmin, p. 218 rapporte, en 1923 déjà, le financement occulte et massif de Hitler et son parti nazi par des grosses malles marines remplis de Dollars ; via le canal suisse, l’acheminement d’incalculables sommes en devises internationales des financiers de  l’étranger, dont de la France, pour alimenter le sabotage du régime démocratique de la République de Weimar par une déluge de publications propagandistes, de la subversion pour susciter des agitations du menu-peuple par les fauteurs de troubles. On se croirait, avec le S.A.C., en France dans la IV° République et sous le régime de la V° République de « l’État gangster des Gangsters de l’État ».

 (P. 224). Hitler, (‘l’Autrichien (fanatique fanatisant) avec une grosse gueule’, a été financé par Wallstreet ; Hitler-Deutschland a été réarmé par des puissances de la haute finance ; Hitler et les Allemands ont été utilisé comme instrument par la haute finance (…) pour tirer des carnages et massacres des méprisables et viles bénéfices.

(P. 114). En vérité, pour la théocratie des gourous de l’Empire occulte Thule, les lois de Terre ne présentaient aucune valeur : (p. 42) Massacrez et torturez, n’épargnez point ».

Extrait page 4 des blogs. Dans le même courant de l’histoire, les redoutables chasseurs et bombardiers lourds « Focke-Wulf » sont construits en Allemagne par les firmes américaines de la multinationale ITT, ainsi que des équipements électroniques de combat de nuit et de repérages. Ces milliardaires cousus d’or, ayant fait dézinguer derrière la Ligne Maginot l’aviation française trahie, concassés les convois et positions de l’US Army, envoyé au fond les bâtiments de l’US Navy, descendus comme des mouches leurs bombardiers, ne se sont pas gênés de réclamer au contribuable US, au-dessus des cimetières de ses soldats tombés sous leurs armes, des indemnisations de la destruction de leurs usines en Allemagne par US Air Force. (Sic).

Ajouts. E.R Carmin, p. 222. Jouant sur les deux tableaux de l’industrie de la guerre par l’information des sous-marins allemands avec l’appareillage de l’ITT télécommunication de l’aviation allemande, tout en mettant en garde les alliées par les ITT radiogoniomètres des torpilles de ces sous-marins.

P. 244. E.R. Carmin rapporte l’indemnisation en 1968 de l’ITT par le gouvernement des États Unis. Passé, par la falsification de l’Histoire, en victime de la Deuxième Guerre mondiale, la multinationale reçoit une indemnisation d’un montant de 17 millions de dollars, dont 7 millions pour la destruction de ses usines de fabrication des chasseurs et bombardiers Focke-Wulf à Brême en Allemagne. {Qu’attends la France de demander aux Crésus de Wall Street des indemnisations véritablement dues par ces profiteurs de la guerre, aux coauteurs, complices et receleurs des crimes contre l’humanité ayant intronisé en 1940 dans son gouvernement scélérat comme chef Pierre Laval ? (P. 232)}.

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E.R Carmin, p. 248. Déjà, lorsque la guerre touchait à sa fin, tout fut entrepris pour gommer, du côté allemande et d’autres connexions, les participations de l’industrie américaine et de la haute finance à la construction du Troisième Reich, escamoter toutes les traces, à la participation, et non pas en moindre proportion, à la Deuxième Guerre mondiale. Notamment par l’influence sur le ministre de la justice des éminences grises du cœur du système de la haute finance New-Yorkaise telles que l’avocat du Wallstreet et commissionnaire des services secrets Allen W. Dulles. […]  Pour la plus grande partie, ce sabotage a aussi réussi. Jusqu’à nos jours elle fut couronnée de succès. De même, en raisons des considérations supérieures, comme on en a eu ostensiblement à Nüremberg, est passé sous silence l’arrière-plan de l’occultisme du Troisième Reich ; peut-être aussi par des fondements moraux, on a passé sous silence l’appui financier de l’hitlérisme.

{Ces constatations de ce grand historien, s’appliquent à tous les procès systématiquement truqués en France à partir de 1944, du Maréchal Philippe Pétain, Laval…du jusqu’à nos jours des affaires Barbie (Lyon), Papon (Bordeaux et Paris), Touvier (Versailles), Brunner (Paris)… avec la participation criminelle des plus hautes autorités judiciaires et politiques, des institutions vénaux, corrompus de bas à l’haute étage, ainsi que les profiteurs  de l’Europe et de l’ONU, ayant à leur tour escamoté avec constance les plaintes contre ces agissements criminels. D’autre part, l’aspect du sectarisme « religieux » de la direction du nazisme international, fait permuter en crimes contre l’humanité les qualification pénales en France de la haute trahison, du complot, de maintes crimes de guerre et même du droit commun telles que le détournement des fonds publics, des escroqueries, trafic d’influence, corruption, spoliations… manipulation de l’opinion publique par des infractions ravageuses de la presse exposées sur la page 11 des blogs}.

 Hitler : La Masse se comporte comme un animal qui obéit à ses instincts. Elle ne se livre pas à des intelligibles réflexions. J’ai fantasmé à la Masse pour en pouvoir faire un instrument de ma politique. […] Quand je rencontre la Masse avec des raisonnables réflexions, elle ne me comprend pas. […] Dans un rassemblement de masse, la pensée est éliminée. […] Plus la Masse est grande, autant plus elle est facile à manipuler… (E.R Carmin, p. 116).

E.R Carmin, p. 443. Nazis, CIA et Vatican : Le fondement. Le 10 août 1944, se sont rencontré dans l’hôtel de Strasbourg « Maison Rouge » en réunion secrète, représentant dirigeant le Troisième Reich, représentants de l’industrie allemande, des services secrets SS/SD et du ministère de l’armement pour définitivement rendre en faits le plan déjà existant en 1943. [Dérouillé à Stalingrad]. À l’insu des infatigables Hitler et Goebbels ‘fantasmaient’ sur la victoire finale et le troisième Reich millénaire, a été pris dans la  « Maison Rouge » une décision à longe vue, à savoir de camoufler d’une bonne partie du capital du Reich [à la barbe des créanciers] dans des pays neutres […] pour qu’après la défaite, un nouvel et fort Reich allemand puisse renaître, comme l’est dite dans l’ainsi nommé « Strassburger Protokol ».

Une demi-année avant la fin de la guerre, encore sous le contrôle des sommités Nazi, en a effectivement déjà commencé la canalisation d’énormes sommes en dehors du pays. Selon l’estimation de Pravda de l’URSS, ont été transférés et déposés dans les seules banques suisses sous la protection d’un consortium des services secrets américo-européenne… […]

Une partie du capital a coulé dans les caisses du Vatican […] et surtout dans les poches d’un dénommée Licio Gelli […] l’homme qui faisait danser les marionnettes […] l’homme qui avait l’accès à tous et à quiconque dans le Vatican, l’homme qui travaillait pour le C.I.A., qui, en tant qu’invité d’honneur, brillant au bal de départ de Reagan… Licio Gelli, Chevallier de l’Ordre de Malte, faiseur des Papes, Grand Maître de la loge maçonnique Propaganda due. (p. 445). […] Avant tous les autres, ce Vatican a rendu possible à des milliers de Nazis […] par la filière « Klosterroute » ou « Ratlines », (route des couvents et des monastères), […] alors que, au moins officiel, les autorités internationales s’activaient de la recherche des criminels Nazis. […] Le reste, sur l’organisation de la fuite des masses par des mystérieuses SS organisations jaillit cependant plutôt littérature romanesque des romanciers ou sert à la désinformation ciblée…

 (La suite de la malfaisance de la clique malfaisante du haut clergé national et du Vatican en relation avec le CIA, les ex-SS, dont les pires exterminateurs de camps de concentration, et les narco-dictateurs de l’Amérique du Sud, lire est narrée sur les pages suivant 445, dissertations très détaillées qui ne rentrent pas dans le cadre de mes actions judiciaire entreprises et supprimées en France, ni l’évolution dans le Balkan et au Proche Orient qui pourraient passionner d’autres plaideurs devant des juridictions nationales et internationales).

 {Répétons les exposés escamotés par les juridictions saisis : selon la prophétie des visionnaires hallucinés de la secte de l’Ordre Thule d’avant-Hitler, le rédempteur de l‘accélération de l’Histoire’, la victoire de la race aryenne par la conflagration apocalyptique de la ‘Crépuscule des dieux’ wagnérienne, purificatrice par le feu de la Terre des sous-hommes, se produira qu’à la Troisième Guerre mondiale. Avec ces mythes pris au sérieux aujourd’hui encore en France par certains magistrats, voilà maintenant donc dépasser les qualifications pénales de complicité par instigation, par provocation, par aide et assistance… et celle du recel des crimes contre l’humanité. Depuis 1944, la justice française se trouve sans équivoque en présence de la qualification pénale ‘tentative de crimes contre l’humanité’, dont qualification ‘complicité’ qui s’applique la magistrature française, comme s’est encore démontré dans les récentes ‘apothéoses des clowns’ grand spectacle devant la Cour fantoche de justice de la République, les Assises à Bordeaux, Lyon, Paris et Versailles et pour s’achever par l’enterrement cérémonieux devant le décorum de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation}.

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Liens entre entreprises. Bouygues

 

Liens entre entreprises.

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A la demande d’un râleur mécontent, transmission aux autorités compétentes du fichier joint de l’e-mail, complété par des documentés significatifs, annotés et déjà produits, contradictoire et non réfutés, à mainte reprise dans des différentes procédures citées, dont l’article annoté « DIETRCH JUSQU’AU BOUT DE SES IDEES ».

La copie ci-jointe produite dans les blogs à la page 2, de ma carte d’identité du Moniteur national de la Protection civile, accrédite ma compétence d’enseignant dans principalement deux affaires.

1° Les construction défectueuses des pavillons à Castres à chaufferies à gaz naturel exposant encore les habitants à ces risques mortels des explosions ou des intoxications démontrés aux juges.Dietrich Moniteur national

« Les intoxications dues aux émanations de monoxyde de carbone sont la première cause de mortalité accidentelle par toxique en France. DUSSAUD Marianne, « Attention danger! Regard n° 111, juin 1997, p. 44.

{LE BIEN PUBLIC le 08/02/2012. QUINCY-LE-VICOMTE – FAIT DIVERS. Info Bp : Intoxication mortelle au monoxyde de carbone. Le corps de Dominique Daudry, 52 ans, ancien maire de Quincy-le-Vicomte, a été découvert sans vie dans sa maison, ce matin, vers 7 h 20. Dans l’habitation se trouvaient également une femme âgée de 81 ans, inconsciente, qui a pu être ramenée à la vie par les pompiers, et un homme de 79 ans, qui souffrait d’une plaie à la tête après une chute due à un malaise. Les trois victimes ont été intoxiquées par du monoxyde de carbone, émanant sans doute d’une chaudière située dans le sous-sol de la maison. Les pompiers sont sur place, ainsi que les gendarmes}.

 

2° Mes témoignages « supprimés » (crime) par le juge d’instruction de Draguignan, ‑ du témoin empêché de se constituer partie civile ‑, sur l’invraisemblance du suicide des frères Saincené par le gaz de demi-combustion monoxyde de carbone CO d’une présence insignifiante dans les gaz d’échappement d’un moteur bien réglé, comme en l’espèce. Pas possible que les barbouzes les aient pu faire étouffer, asphyxier dans l’habitacle de leur voiture par le gaz de combustion complète dioxyde de carbone CO2, largement majoritaire des gaz d’échappement. Elle produit non pas l’anesthésie insidieuse, l’endormissement en douceur de l’empoisonnement du sang du CO. Les fumées du CO2 produisent chez les victimes des souffrances atroces, des vomissements et convulsions insoutenables. Au surplus, en présence d’un décès par l’étouffement par le CO2, les traces dans les globules rouges du sang du CO est absolument insignifiant.

Ainsi le fait de la « suppression » criminelle de ce témoignage significatif, aussi bien à Toulon qu’à Draguignan, accrédite de façon incontestable la thèse exposée dans le livre référencié L’AFFAIRE YANN PIAT. LES ASSASSINS AU CŒUR DU POUVOIR des André Rougeot et Jean-Michel Verne, notamment le trucage des analyses sanguines des deux suppliciés.

La connexité juridique et judiciaire de l’article 203 c. pr. pén., notamment dans le crime du complot, nous conduit en ligne directe à Toulon vers l’affaire manipulée Verges… Pardon « Omar m’a tuer », à présent rebaptisée « Omar m’a pousser. Les intouchables », notamment par le dénominateur commun : Maître Jacques Verges, le plus redoutable des truqueurs félons. Mi-page 7.

Dietrich RaportAptitude1

Drogue informatique suicide.

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