Légitime défense politique.

7° Évasion de haute sécurité. La vérité occultée par les légionnaires de la Légion d’honneur du Conseil supérieur de la magistrature.


 


(Avocat) Anwalt Bernard Rambert. Freienstr. 76.  8032  ZÜRICH. Suisse.

« La prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 juillet 1961, B. 357, et, Crim. 25 novembre 1954, B. 352. « La prescription en matière de presse est interrompue par des obstacles de droit ». Crim. 12 oct. 1993, B. 289.

Le ministre de la Justice, avocat et professeur le droit de l’université Panthéon Sorbonne de Paris Robert Badinter organisait l’assassinat psychiatrique du juriste diplômé Peter Dietrich pour soustraire de la juridiction de la Haute Cour de justice les plus dangereux criminels de son époque.

En faisant séquestrer illégalement dans uns cellule de haute sécurité avec sa documentation et avec la machine à écrire portable le juriste calé Peter Dietrich, le spéculateur dévergondé comptait de se faire coopter par l’Académie française, faisait travailler Dietrich « en directeur de sa thèse » pour gagner le Prix Nobel.

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24/11/2021. Si le chef de la DST (Police de sûreté du territoire) Roger Wybot m’a fait chercher en Suisse en 1956, pour me former militairement et académiquement, c’est qu’il a partagé l’avis du maître de conférences de l’Université de Rennes scandalisé : les étudiants de droit sont des « quasi-débiles », des « médiocres » ne réussirent que par la fraude. D’autres hauts enseignants universitaires m’en ont instruit en aparté.

Depuis des décennies, des Polices du monde entier s’instruisent de ma science publiée pour en profiter dans la géopolitique : des Chinois, esquimaux, des Mongoles, des Tartares, des Zoulous même. Mais les « quasi-débiles » français formé dans les universités de droit et ensuite aux Hautes Écoles nationales aux tricheries, la seule chose qu’ils en ont compris avec leur médiocrité, c’est le profit qu’ils en puissent tirer à bon compte dans la corruption et trafic d’influence, des décorations honorifiques et des pots-de-vin, quitte à produire un sinistre assassin après l’autre, jusqu’aux crimes contre l’humanité. Adjudant Peter DIETRICH & mezzo-soprano Elina Garanča. www.elinagaranca.com ;

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7 avril 2022. Après son fracassant Interview publié au Canard enchaîné le 4 février 1981, j’ai sollicité l’assistance du preux haut magistrat François Romério, né le magique 12 août, ancien président de (l’incompétente) Cour de sûreté de l’État, Commandeur de la Légion d’honneur, et Président et doctrinaire de l’Association Légitime Défense à Paris. Si ce « quasi-débile » fanfaron ne s’était pas dégonflé comme une poule mouillée, des centaines des familles n’auraient pas été ruinées, des innombrables massacres n’auraient pas eu lieu.

Hélas ! Pour des pitres de son espèce, affronter des puissants comploteurs contre la sûreté de l’État, c’est tellement plus risqué que de flinguer des minables voleurs d’étalage, d’exercer la légitime défense contre les plus dangereuses organisations criminelles contre l’humanité. Heureusement la sublime chanteuse de la Lettonie Elina Garanča, au risque et péril de son existence, est venue à mon secours pour tenter mettre fin à ces activités du crime organisé qui a coûté même la vie à deux généraux et trois ministres. Adjudant Peter DIETRICH & mezzo-soprano Elina Garanča. www.elinagaranca.com ;

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Badinter Ministre assasin du Juriste Peter Dietrich et de la Justice

Avec la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 en Préambule des Constitutions depuis 1945, la situation légale n’existait plus en France, comme le témoignaient tous les révoltants scandales étouffés. (L’inégalité judiciaire combinée est due à l’anti-constitualité de l’organisation judiciaire de l’impérialisme de Napoléon I, totalement inconciliable avec les principes démocratiques de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. (Les détails sont expliqués).

En 1981, par la ratification du Pacte international des droits civils et politiques de l’ONU, Mitterrand a cherché de faire rétablir la situation légale en déverrouillant la Haute Cour de justice 1958. « Tous sont égaux devant les tribunaux et cours de justice », dit le Pacte.

Par mon arrestation illégale en 1981, avec la soustraction frauduleuse de la Haute Cour de justice de ma justification par la légitime défense, selon l’article 55 de la Constitution, ­­‑ plaçant l’article 14 du Pacte au-dessus de la loi ‑, des initiés de l’occulte faisaient fonctionner des institutions judiciaires en totale illégalité constitutionnelle pour soustraire les plus dangereux criminels à la justice, pour les faire prospérer même.

Rien pour l’asservir sournoisement en contrecarrant l’accès à la justice au modeste adjudant Peter Dietrich stigmatisé, (*) les illuminés du magico-prophétique de la numérologie, font tourner les institutions judiciaires en totale illégalité constitutionnelle. Même le Conseil d’État. Voilà comment l’obstruction de la justice a pu dégénérer de l’affaire Pinochet vers le génocide au Rwanda. (Voir l’article sur l’analyse rétrospective de ma vie sinistrée par la numérologie).

SYGICOP profil médical militaire

« La prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 juillet 1961, B. 357, et, Crim. 25 novembre 1954, B. 352. « La prescription en matière de presse est interrompue par des obstacles de droit ». Crim. 12 oct. 1993, B. 289.

Obstacles insurmontables, persistants de l’obstruction de la justice. Impossibilité de faire parvenir au juge d’instruction chargé d’importantes parties d’information criminelle du complot contre la sûreté de l’État des exposés dont il a urgent besoin.

CA-VERSAILLES/CONTACT.Ca-versailles@justice.fr. 11:55 (Il y a deux heures).

Bonjour,

Je suis au regret de vous informer que votre courriel ne peut être pris en compte.

Je vous invite en conséquence à écrire au premier président et/ou au procureur général de la cour d’appel, par courrier daté et signé de votre main à l’adresse suivante :

Madame le premier président et/ou Monsieur le procureur général.
Cour d’Appel de Versailles
5 rue Carnot – RP 1113 – 78011 VERSAILLES CEDEX

Le service CONTACT
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De : Peter Dietrich [dietrichpeter13@gmail.com]
Envoyé : mercredi 13 avril 2016 00:04.

Réplique à l’anonyme  du service de contact de la Cour d’appel de Versailles : Alors, nous sommes en présence de la répétions des forfaitures de suppression criminelle d’actes de procédures maintenant l’interruption des délais de prescription et de ces forfaitures de suspension d’application des lois, je réclame aux coupables la réparation de mes préjudices matériels et moraux dès que la situation légale sera établie. Mais d’ores et déjà, je répète ma réclamation dès nullités d’ordre public de tous les procès viciés par la fraude et dans lesquelles a été supprimé cet acte de procédure électronique déterminant la compétence juridictionnelle des cours de justice chargées de l’information et du jugement.

Complot judiciaire contre la Défense nationale.

Article du LE CANARD ENCHAÎNE du 18 octobre 2000 commenté, publié et présenté aux autorités judiciaires jusqu’à l’Assemblée plénière de la Cour de cassation et au Conseil d’État.

Attentat de représailles vengeresses contre des agents secrets œuvrant à la Défense nationale par des robins archi-corrompus, des faussaires et truqueurs dénoncés, vendus à la hypermafia multinationale de la grande finance, à leurs réseaux des holdings des sociétés d’écran, de façade, pompant par des escroqueries, vols et spoliations astronomiques toutes les richesses de  la France.

Dénoncés par des généraux anonymes (*) les procédés des assassinats de la députée Yann Piat et des frères barbouzes Fernand Saincené, la suppression au Tribunal de Touloun des listes nominatives des appointements par la mafia des membres du gouvernement, sans doute aussi des magistrats, ces derniers passent à la contre-offensive contre mes interventions dans les procédures avec la revendication « sans délais » de la saisine de la Haute Cour de  justice du complot contre la sûreté de l’État, juridiquement et judiciairement indivisible.

Privés des fonds nécessaires par le détournement « secret-défense » des fonds publics par des membres du gouvernement, ces officiers ont eu recours à des expédients bénins pour se procurer des informations vitales à la défense nationale.

Il s’agit d’une torpille subsonique « à tunnel d’aire »  mettant à la merci des sous-marins adverses, sans défense appropriée, les bâtiments de la marine française. Par  la poursuite vindicative de l’insignifiante combine, les juges archi-pourri de Toulon, ont détruit les réseaux d’espionnage de l’Est, livrés à la mort les agents de la France. Sont demeurés aussi sans suite judiciaire l’assassinat de deux officiers de contre-espionnage de la France devant leur stand de tir, lorsqu’ils désapprovisionnaient réglementairement leurs armes pour y rentrer.

(*) ROUGEOT André & VERNE Jean-Michel. L’AFFAIRE YANN PIAT. DES ASSASSINS AU COUR DU POUVOIR. Édition Flammarion 1997. Cette publication seule, dessaisissait les juridictions pénales de droit commun, déférait la compétence exclusive à la Haute Cour de justice, sous peine de forfaitures criminelle des magistrats qui en ont soustrait les dossiers.

Le scénario judiciaire se poursuivit avec accouplement du médiatique avocat starisé Jacques Verges, (mon propre avocat félon bien aux faits de l’enjeu historique), aux minables amateurs auquel a été adossé un assassinat nécessitant l’adresse des professionnels super-entrainés mis en cause par les généraux anonymes. En réalité, cet avocat faussement accrédité par les médias « des causes perdues » des déshérités, est l’avocat masqué aux mascarades des causes qu’il a fait perdre par des subtils sabotages. Entre autres sponsors du même calibre, le maître félon a été grassement rémunéré par le despote du Gabon Omar Bongo du Rotary. Ces faramineux honoraires lui ont permis de jouer ces dispendieuses comédies de sabotage judiciaires du bienfaiteur, en ne se privant pas de faire appliquer aux criminels ma science qu’il a refusée de me faire bénéficier. (Gossot, maire de Toul…). Le Gabon a été une sorte de base arrière et d’entraînement des tueurs de l’ex-SAC et d’OAS à la solde de la Grande Loge maçonnique de France et du Rotary, disposant d’un armement du plus sophistiqué pour intervenir un peu partout dans le  monde, notamment sur le territoire de la France. Par cette tour de passe-passe, les victimes des importantes affaires judiciaires, affriandées par des mirobolants espoirs des associations de défense animée par le juge rouge Jacques Bidalou, se confiaient aux pires salopards insinuants de leurs adversaires.

 À Toulon, le scénario judiciaire s’est poursuivi durant des années par la mise en scène expert de l’assassinat de la propriétaire Madame Marechal, imputé d’une façon plus invraisemblable à son jardinier Omar Raddad. Durand des années, à Maître Verges, soutenu par les mises en scènes d’un littérateur de l’Académie française, ces mafias des actions secrètes du complot contre la sûreté de l’État, font jouer le rôle du dénonciateur de des fraudes de grandes affaires politisées que j’avais moi régulièrement dénoncées à la justice avec des argumentaires pertinents et qu’il a sabotée (Fontanet, De Broglie, Boulin.).

Par son prestige médiatique, on fait profiter au félon Verges, pour discréditer dans sa littérature et ses discours par insinuations perfides, auprès des associations de défense des victimes : mes constructions juridiques sur le complot contre la sûreté de l’État, et au passage mon ami, l’incorruptible juge d’instruction Henri Pascal en but avec un notaire du Rotary.

Une importante phase de  la guerre  judiciaire international déclenchée par mon introduction dans les universités de droit par ces généraux anonymes ayant dénoncés l’assassinat politique de Yann Piat, ordonnés par  l’ancien ministre de Défense compromis dans les appointements par la Mafia, c’est déroulé à Draguignan, Nice et Toulon pour transiter à Grenoble et Lyon, pour finir d’être saboté par l’ancien juge d’instruction prévaricateur de Lyon Philippe Courroye, procureur de la République à tout mains muté par la mafia sauvée à Lyon à Nanterre pour plomber les poursuites de la Mafia de Sarkozy par l’incorruptible juge d’instruction  Madame Isabelle Prévost-Desprez.

 À Maître Vergès décédés d’une congestion cérébrale, à ce fabuleux avocat communiste d’attaque, à Paris, l’Église lui a encore organisé des somptueuses funérailles médiatiques de « l’avocat des causes perdus ». N’ont pas manqué à la médiatique cérémonie pour se faire mousser : le juge rouge Jacques Bidalou et mainte personnalité politique complice du complot contre la sûreté de l’État, de mon assassinat judiciaire, de l’assassinant tout court de mainte autre justiciable comme le général Jean Favreau, juste après avoir cherché d’établir le contact avec moi par une association de défense ces victimes manipulée par le juge rouge Jacques Bidalou. La mise en scène judiciaire de l’affaire du général Favreau devant les assises près de Bordeaux, présentait des ressemblances frappant avec la mise en scène devant les assises de Toulon des faux tueurs de la députée Yann Piat.

À présent, toutes les mafias démasquées cherchent de favoriser par des coups tordus l’élection du nazie déchaîné Trump à la présidence des État Unis pour anéantir encore mes plaintes par le trafic d’influence organisé par des super-avocats payés à un million de dollars/heures. La marche vers la Troisième Guerre mondial professée par les gourous de la secte nazie Tule (Thoulé), dissimulée dans tous les procès relatifs à la collaboration et aux crimes contre l’humanité.

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Le 5 avril 2016 à 13 :46, CA-VERSAILLES/CONTACT <Contact.Ca-versailles@justice.fr> a écrit :

Bonjour,

Je suis au regret de vous informer que votre courriel ne peut être pris en compte.

Je vous invite en conséquence à écrire au premier président et/ou au procureur général de la cour d’appel, par courrier daté et signé de votre main à l’adresse suivante :

Madame le premier président et/ou Monsieur le procureur général

Cour d’Appel de Versailles

5 rue Carnot – RP 1113 – 78011 VERSAILLES CEDEX

Le service CONTACT.

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De: dietrichpeter13@gmail.com [dietrichpeter13@gmail.com]

Envoyé : mardi 5 avril 2016 11 :43

À : CA-VERSAILLES/WEBMESTRE

Objet : À Madame le Juge d’instruction Isabelle Prévost-Desprez, Tribunal de Grande Instance Nanterre.

Réponse : Vraiment ? La lutte contre un complot contre la sûreté de l’État, ça ne fait pas partie de l’office de la magistrature ? Depuis quand un greffier où un procureur sont autorisé de supprimer un message de témoignage destiné à un juge d’instruction. Vous trempez derechef dans la forfaiture de suppression des actes de procédure, bande de minables.

https://docs.google.com/document/d/1dDsL7fWU3ZCDRlgZUqaPeBIe3TGSzo05ywvZGGLXo3I/edit

Poursuite des forfaitures des comploteurs ridiculisés à jamais: Universitaires, juges, procureurs, avocats<NU

Torpilles espions inculpés Toulon Presse

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 Que des amis…. On le savait bien sûr…mais cela dit, c’est très intéressant ! Déplacer la souris sur une société et vous allez voir ses ramifications ! Mais pas tout le reste… On comprend mieux ce tentacule qui se partage le monde !

http://www.alternatives-economiques.fr/fic_bdd/article_pdf_fichier/1274372604_cac40_3.swf

Liens entre entreprises.

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4/02/2012. Fin de page. Complément sur les compromissions de l’Énarque « Aubry », pseudonyme trompeur de Martine Brochen-Delors.

Fin de la page. Sujet sur le complot (dépénalisé par la Sarko mafia), l’attentat contre les intérêts économiques essentiels de la France.  Suite du sujet sur la page 12. Ajout 12 juin 2011 : Escroqueries FMI, Lagarde, Tapie...

1/10/2012 à 19/07/2011. Ajout milieu de page, des démonstrations des escroqueries judiciaires ; des réflexions comparatives des basses-œuvres combinées avec l’avocat félon Jacques Verges avec la révision sabotée d’Hélène Panayotou et de la procédure révision miraculeuse, inattendu, ratée du « Omar m’tuer ». (21 juin 2011) : Réaction à ma divulgation : Sans faire rétablir la situation légale foulée aux pieds, ces truqueurs de la justice ont ordonnée une expertise de l’ADN sur le squelette de Ghislaine Marchal, charcutée, il y a vingt ans. L’avocat annonce déjà la victoire de l’innocentation de « l’Omar m’a tué », gracié par ce Chirac épargné avec sa clique des gangsters de la feue « Haute Cour de justice ». Mais, l’innocence est inattaquable de ce jouet de manigances frauduleuses, placé, comme de droit, dans le cadre du complot criminel du Rotary de la Chiraquie. Nenni pour les victimes des instigateurs du complot, les manœuvres frauduleuses, mises en scènes, interventions des tiers, bref, de l’escroquerie médias-judiciaire complexe, indivisibles.

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Le principe général du droit international (Pacte de l’O.N.U. et Convention de l’Europe) et du droit constitutionnel national « contra non valentem agere non currit prescriptio », la prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir, est consacré par la jurisprudence de principe de la Cour de cassation et de l’article 2234 du code civil applicable dans toutes les branches du droit.

« La prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 juillet 1961, B. 357, et, Crim. 25 novembre 1954, B. 352. La même solution s’applique en matière de presse pour les injures et les diffamations dont j’ai été copieusement abreuvé par une presse subventionnée : « La prescription en matière de presse est interrompue par des obstacles de droit ».Crim. 12 oct. 1993, B. 289.

L’autre principe du droit fondamental international et national relatif à l’équité impose le traitement égalitaire des justiciables par l’indemnisation intégrale des préjudices, notamment des préjudices moraux résultant du « fonctionnement défectueux de la justice ». Par l’entremise partisane du Président de la République Nicolas Sarkozy, quarante millions d’Euros en indemnisation des prétendus préjudices morales du fait des sombres procédures amicalement tripatouillées en sa faveur sont attribués à l’ancien ministre affairiste Bernard Tapi en sus d’un capital faramineux prélevé sur l’État.

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Evasion de haute sécurité. La vérité occultée.

Autres épisodes du complot judiciaire contre la sûreté de l’État par l’attentat à son régime constitutionnel de la démocratie égalitaire. Art. 86 C. Pén.

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(Les informations les plus intéressantes sur le complot par l’attentat aux intérêts économiques essentiels de la France se trouvent après les fastidieux exposés juridiques démontrant la justesse de la cause de la victime.)

Madame Hélène Panayotou, (divorcée Laik), propriétaire de deux boutiques des prêt-à-porter féminines à Toulouse et une autre à la Côte, a été victime des escroqueries ostensibles, tout à fait classiques des margoulins. La première de son frère, selon les psychiatres mégalomaniaques, (à l’instar tous les grands aigrefins irresponsables ayant réussi dans les bizness politisés des magouilles immobilières et du trafic de drogue), sortie de la prison bardée d’une licence en droit et de sa maîtresse.

La deuxième, plus significative, de son préposé de banque ayant vidé subrepticement son compte à son profit personnel. Malgré cela, son commerce n’était point en cessation des payements comme prétendaient fallacieusement les motifs de sa condamnation. Poursuivie en justice comme complice et la maîtresse (sic) de son frère qui l’a grugé sans vergogne, elle a consulté et constitué un de ces avocats paillards qui cherchait d’exploiter sa détresse à son divertissement de la « séduction » pour ne pas dire plus. Ses agressions repoussées par la furie, avec la rage du dédaigné, il s’arrangea que sa cliente fut jeté en prison. Là, sa révolte a été anesthésiée par des injections massives des neuroleptiques.

Ayant repris les esprits à la sortie de la prison, par Yves Monié de l’hebdomadaire « Le Meilleur », elle apprit la séquestration dans la forteresse psychiatrique de Cadillac le seul juriste compétent sur la place de Toulouse, disposé, sans ménager la susceptibilité de la corporation des moulins à vent, de tirer au clair l’escroquerie judiciaire ayant achevé sa ruine par la spoliation de toute sa marchandise et du contenu de sa caisse. Il a été évident qu’elle fut condamnée sur la base d’un dossier truqué, tronqué par l’avocat félon de tous ses moyens de défense justifiant conteste sa parfaite innocence. La révisons s’imposait.

Dans le déroulement rocambolesque de cette procédure de révision truquée par la police agissant sur ordre du procureur général, des faits nouveaux se sont produits en chaîne, imposant dans un état de droit la révision de son procès, avec la jonction de l’affaire devenue connexe et indivisible à celle du complot judicaire exposé par moi. Mais quoi qu’écrivent les historiens du bazar, la France, dans aucun moment de son histoire, a été un État de droit. Elle est, ce qu’elle a toujours été : un État de passe droits de la corruption et du trafic d’influence, comme tous les États de ce monde dont actuellement d’aucuns en sont acculés à la faillite ou s’en trouvent à la porte de la faillite. Cette affaire a eu pour seule effet du verrouillage de la profession d’avocat aux francs-tireurs de mon espèce avec le manquement de la gauche d’honorer ses engagements électoraux de supprimer ces corporations moyenâgeuses, contraire au Préambule de la constitution 1958, des auxiliaires de la justice et des professions privilégiées des notables.

 

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POURVOI EN REVISION CONTRE L’ARRET N° 1443 DU 10 DECEMBRE 1982 DE LACOUR

D ‘APPEL DE TOULOUSE ;(Copie n° 7 ci-jointe).

PIECES JUSTIFICATIVES DE LA REVISION CI-JOINTS :Evasion Emoi Juges

I.- De la révision de l’allénél2 de l’article 662 C.P.P. :

1° Jugement correctionnel de Toulouse n° 698/82 du 31 mars 1982 condamnant le préposé de la banque M.JIMBERGUES pour les faits qui nous ont été Imputés.

II.- De la révision de l’aliéna 4 de l’article 662 C, P.P. des faits nouveaux et pièces inconnus par la cour :

2° Jugement civil n° 612 du 4 mai 1981 du T.G.I. de Toulouse dans l’affaire ROYE cl PANA YOTOU. C’est la preuve de l’existence des biens dans la communauté légale avec notre époux, une des preuves de l’existence d’une surface financière réelle et sérieuse pour faire du commerce, par la vente de notre premier Immeuble

3° Acte notarié de la vente d’un autre Immeuble de la communauté légale à M. Cohen pour apurer le passif de la prétendue banqueroute frauduleuse. C’est une autre preuve de notre surface financière sérieuse et réelle inconnu par la Cour.

4° Extrait de registre de la S.A.R.L. REBECA de notre époux. Cette société est la continuation du fonds de commerce exploité en communauté avec notre époux. Nous avons droit aux parts sociales et aux bénéfices.

5° Enregistrement du témoignage de Mme Jeanne Simon: Preuve de la diminution frauduleuse de notre actif par des vols effectués par l’employée désignée par l’administrateur judiciaire de notre fonds de commerce. (En matière commerciale l’enregistrement est une preuve juridiquement admissible).

6° Fausse déclaration fait à la Police nationale par une des complices des auteurs principaux, par Mlle Martine MARQUIER, en usurpant notre Identité.

7° Arrêt précité de la Cour d’appel de Toulouse nous condamnant pour escroquerie pour fausse entreprise (absence de surface financière) et pour Chèques sans provisions.

A Monsieur ministre de la Justice, Garde de Sceaux.

13 Place Vendôme,

75015 PARIS

Madame Hélène PANAYOTOU, épouse LAIK, né le 2 juin 1943 à NICE, mère d’un enfant, séparée de fait et en Instance de divorce, garde de nuit de malades, demeurant à 20 Place Roger Salengro, 31 000 TOULOUSE,

a l’honneur d’exposer :

Victime d’une escroquerie et d’abus de confiance de la part du préposé de mon banquier, d’une employée de l’association des commerçants et de mon frère, je fus a tort condamné comme complice de leurs forfaits et pour banqueroute frauduleuse. Un Jugement correctionnel de Toulouse et les faits nouveaux, démontre non seulement la condamnation d’un autre pour les faits qui nous ont été Imputés mais encore impossibilité matérielle de commettre l’Infraction dont nous avons été déclarées coupable.

Inculpé à tort dans une affaire d’escroquerie, où j’étais en fait victime. J’ai été trahi par mon avocat Me SAEZ. Il s’est révélé qu’II avait déjà comme cliente dans la même affaire un des véritables protagonistes des Infractions poursuivies. Il a réussi à faire escamoter dans l’Instruction toutes les preuves qui m’innocentent, pour diluer la responsabilité de sa première cliente, Mme Annie COUSSINE.

Dès mon Inculpation, pour se livrer sans entraves à des manipulations frauduleuses de la procédure au profit du véritable auteur des Infractions, cet avocat me menaça sans ambages :

Hanté par une détention qui pourrait compromettre la morale et l’éducation de ma fille mineure Carole, je me suis tue devant cette avalanche d’Injustice s’abattant sur mol. Je n’al bénéficié d’aucune Instruction à décharge et presque rien à charge. Aucune preuve de mon innocence n’avait été présentée aux juges, aucune contestation des faux témoignages n’avait eu lieu.

– Surtout taisez-vous ! Ne dites rien si vous tenez à votre liberté ! Car le juge d’Instruction vous à dans le nez.

Aujourd’hui M.B.JIMBERGUES, employé de banque, vient d’être condamné pour avoir détourné la provision de mon compte chèque alors que j’étais condamnée pour chèques sans provisions. Une Infraction qui a perturbé l’exploitation de mon fonds de commerce ouverte que depuis trois mois.

Des pièces alors inconnues et des faits nouveaux établissent sans équivoque que mon commerce n’avait Jamais été en situation de cessation de paiement si je n’étais pas évincé de la gestion, et qu’il existait, contrairement à ce qu’affirment les juges, une réelle surface financière… qu’on m’a imputé à tort la banqueroute simple et frauduleuses.

A la vérification du dossier, un fait nouveau de première Importance a été découvert : Dans le dossier ligure une déclaration enregistrée par la Police Judiciaire de Toulouse : Une personne qui s’est fait passer pour mol. Ce fait entraînera l’annulation du dossier pour violation des droits de défense selon l’article 172 du Code de procédure pénale.

Par surcroit, nous réussissons à fournir la preuve que notre magasin avait été littéralement pillé par l’employé de l’administrateur Judiciaire. Ce fait et la perturbation de mon commerce par les Infraction dont j’ai été victime explique que le passif n’a pas pu être apuré pour l’instant.

À cela s’ajoute encore l’Incendie de l’annexe de mon commerce AUX-LECQUES dans le Var après mon dessaisissement : La destruction partielle de mon patrimoine, de la comptabilité et la récupération de l’autre partie par la gendarmerie locale. Ces biens dont nous sommes sans nouvelles seraient toujours déposés là-bas. C’est un autre fait nouveau démontrant l’absence de banqueroute frauduleuse. Car, mon fonds de commerce avait dégagé assez de bénéfices. J’aurais pu faire face aux échéances des prêts bancaires et désintéresser mes créanciers, nonobstant de l’escroquerie et de l’abus de confiance qui nous à grugé.

L’absence de l’Inscription au registre de commerce et d’une comptabilité conforme s’explique par l’ouverture encore récent du fonds de commerce. La régularisation de ses formalités était en cours. Il est totalement inexact que nous avons mené un tram de vie luxueuse (voitures telles que le Rolls Royce) pour obtenir nos prêts. Nous n’avons absolument rien à voir avec l’acquisition et l’usage de ces voitures. Et, nos prêts nous ont été accordés avant l’acquisition de ces voitures par les escrocs. Les affirmations de l’arrêt sur ce point sont totalement Inexactes, même pas prouvés par des simples présomptions.

I.- HISTORIQUE DE L’AFFAIRE.

Si la Police Judiciaire s’était donné la peine d’établir la chronologie des faits et rechercher les antécédents familiaux, la Justice se serait rendu compte que moi aussi j’ai été victime de l’escroquerie. Elle aurait du même coup confondu les véritables complices.

1°. Cadre familial et professionnelle.

Je suis la fille’ d’un honorable entrepreneur niçoise, résistant, chevalier de la Légion d’honneur, décoré de la Médaille militaire, cité, blessé de guerre, prisonnier évadé…

A l’âge de 18 ans, j’ai quitté le département des Bouches du Rhône pour m’installer à Toulouse. Mes deux frères Georges et Richard sont devenu pour moi des inconnus.

Il était inconnu à la cour que mon époux, Sylvain LAIK est un commerçant toulousain bien connu. Nous avions successivement exploité deux grands magasins de vêtements de prêt-à-porter. Nous étions en plus propriétaire d’Immeubles de rapport. Dans l’enquête policière, dans l’Instruction et dans les jugements, il est omis que nous avons pendant plus de 12 ans exploités deux Importants commerces de prêt-à-porter. Les établissements REBECA et le PETIT PARIS. Cette omission fait disparaitre les fondements de notre condamnation pour fausse entreprise en absence d’une surface financière.

Pour Incompatibilité d’humeur, mais sans discorde majeure, notre ménage à été séparée de fait. L’Instance de divorce pour consentement mutuel est pendante.

Au Centre Commerciale « Saint Georges », pour gagner ma vie, j »ai exploité une boutique de vêtements féminins au nom MESSALINE. La situation du fonds de commerce étant mauvaise. J’al vendu à Mme HAIMSON pour 67 000.00 F. Dans la même surface, j’ai ouvert le magasin CLEO, a un endroit plus commerçant. Contrairement à ce qui est prétendu dans l’enquête policière, nous avons exploité ces deux magasins successivement et non simultanément.

Durant l’été, Toulouse se vide de la clientèle. Pour la suivre, j’ai ouvert une annexe à mon fonds de commerce AUX-LECQUES (Var) dans un petit local de 6 m2, par un ban de deux mois, sous le nom de REGLISSE. Cette annexe saisonnière à notre fonds de commerce de Toulouse a été détruite par un Incendie diminuant quelque peu notre actif. Cet événement s’est produit après notre dessaisissement. Un stock de vêtements Invendu est toujours en dépôt à la gendarmerie du lieu.

Les banques SOCIETE BORDELAISE et l’U.F.B. me consentirent enta des prêts, compte tenu de ma fortune dans la communauté conjugale pour l’acquisition de ce fonds de commerce. Ces prêts ont été partiellement remboursés avant mon arrestation.

Mon honnêteté et ma compétence ne faisait de doute. C’est sur ces critères que Je fus élu présidente de l’Association du Centre commercial « Saint Georges » (A.C.C.C.). Responsabilités partagées avec :

– Vice-président : Monsieur Fernand DUJARDIN. Directeur du magasin « DANIEL HECHTER ».

– Trésorier :   Monsieur Robert PRIM, directeur de l’EUROMARCHE.

– Secrétaire   Monsieur Marc BELIN, Syndic de la Copropriété du Centre commercial Saint-Georges à Toulouse, agent Immobilier mandataire du promoteur.

Ce dernier m’imposa son salarié, la femme fatale : la secrétaire Mme Annie COUSSINE. Elle relevait du contrôle direct de M. R. PRIM et de M. BELIN. Ils confèrent délégation à leur secrétaire de tenir seule la comptabilité. Pour faciliter les opérations, elle me demanda de signer les chèques en blanc car ma seule signature ne suffisait pas pour l’encaissement.

En septembre 1977, après treize ans sans nouvelles, l’épouse de mon frère RICHARD me demanda de l’héberger avec son enfant.

Mon frère Georges, Je l’al revu en 1972 à mon mariage, en 1978 au chevet de mon père ; en avril 1979 JI est venu pour se faire dépanner provisoirement en sollicitant une aide morale et affective. J’ignorais totalement la vie que mes deux frères ont menée depuis ces années à Marseille et leurs condamnations. En aucun moment, mes deux frères s’immisçaient dans la gestion de mon commerce, et mol, je ne m’immisçais non plus dans la leur, si ce n’est que pour boucher les trous par des prêts obtenus par des manœuvres frauduleuses. Les allégations fallacieuses de la Police Judiciaires ne reposent que sur des vagues présomptions tirées de la filiation étayée par une fausse déclaration faite par un tiers usurpant mon nom.

2° Description succincte de l’escroquerie de M. Richard PANAYOUTOU, de sa maîtresse Mme Annie COUSINE, des préposés des banques.

Les auteurs principaux des escroqueries, dont j’ai été doublement victime, sont incontestablement mon frère Richard PANAYOTOU et sa maîtresse Mme Annie COUSINE.

Les experts psychiatres le décrivent comme un mégalomane souriant, Intelligent, présentant le profil de l’escroc qui sait utiliser la crédulité des victimes.

A cela s’ajoute encore ses connaissances poussées en Droit ayant éblouie le milieu Judiciaire de Toulouse. Licencié en Droit ses talents seraient maintenant exploités par un Illustre cabinet d’avocats.

Son génie lui a permis de dissimuler parfaitement ses antécédents délictuels et sa condamnation. Il avait explications à tout, étayés par un carnet de chèques d’une banque suisse pour simuler une couverture financière Importante. Il est cependant faux qu’II ait pu tromper efficacement les banques françaises par son faux nom et sa carte de visite. Aux banques, il s’est présenté comme mon frère pour abuser de mon crédit.

Pour faire démarrer son entreprise à Toulouse, Il me demanda une avance remboursable à très court terme. Pour des raisons fiscales, le virement en France de ses fonds en Suisse demandait un certain temps, affirma-t-II sans vergogne. Ultérieurement, toujours motivé par des retards des opérations de transfert, Il sollicita mon aide pour faire face à ses échéances les plus urgentes. Mais, contrairement à ce qui est affirmé dans l’arrêt, Jamais je n’avais accordé un don à mon frère. Ces transactions sont des prêts remboursables à court terme.

Sans me prévenir, Il louait à Paris une Rolls Royce. Un véhicule destiné à son usage exclusif, pour satisfaire sa mégalomanie, car mol, je ne savais même pas conduire. D’autre part, je disposais d’une fortune qui m’aurait permis l’achat d’une voiture de luxe avant ma rencontre malheureuse avec mon frère.

Il serait ridicule de vouloir admettre que les revenus de mon commerce versé à mon frère seraient un détournement de l’actif. Ce ne sont que des prêts remboursables à très court terme ayant entraîné la ruine de mon propre commerce.

Il prenait comme maîtresse la secrétaire de l’A.C.C.C. dont j’ai été la présidente, Mais répétons-le, cette personne placée sous la direction du délégué de gestion M. BELIN et du trésorier M. PRIM m’avait été Imposée par eux. Les articles 2, 8, 9, 10 et 11 des statuts conféraient à ces personnes le pouvoir de direction et à molle pouvoir de contrôle seulement. En fait, tous les pouvoirs ont été exercés par leur secrétaire. Pour faciliter le travail de son patron, elle m’a demandé de signer en blanc les chèques. Car, pour l’encaissement, deux signatures étalent exigées par la convention.

Ce sont mon frère et sa maîtresse qui sont les larrons profiteurs des escroqueries et falsifications de toute sorte. Ces opérations avalent lieu sous les auspices des employés des banques manifestement corrompus.

Le premier, M. J. JIMBERGUES, fermait les yeux en profitant au passage de l’aubaine : Il détourna mes recettes remises à l’encaissement pour approvisionner mon compte.

Le second, M. Paul LASCAR, recevait des cadeaux somptueux pour faciliter les manœuvres frauduleuses de mon frère, en lui conférant un crédit Imaginaire.

Il ressort sans équivoque que les responsables civils des escroqueries sont les banques et les employeurs de la secrétaire Mme Annie COUSSINE, étrangère à l’A.C.C.C., à savoir la société Immobilière représentée par M. BELIN et le Supermarché EUROMARCHE représenté par M. PRIM. Ce fait expliquera la tournure donnée à l’Instruction par les avocats.

3° Déroulement défectueux de notre défense lors de l’Instruction.

Une expertise Judiciaire de mon fonds de commerce et des signatures des chèques auraient démontré l’absence de la situation de cassation de paiements. Une telle expertise, acte de routine, aurait aussi très vite confondu les véritables escroqueries. Mais comme les responsables civils, ces promoteurs, ces banques et ces supermarchés ont pignon dorée sur rue, faisant marcher maint cabinet d’avocat…

Pour porter le bonnet, Il fallait quelqu’un d’autre de solvable. Et ce quelqu’un d’autre c’était mol : une femme seule, mère d’une fille mineure.

L’étalage de ma solvabilité dans la procédure aurait cependant empêché la mise en faillite de mon commerce et aurait rendu peu probable les Infractions d’escroquerie pour fausse entreprise, des détournements de l’actif de mon fonds de commerce, des chèques sans provisions…

Le premier souci de mon avocat fut donc de me réduire au silence :

– Taisez-vous, faites ce qu’on vous demande, car le Juge d’Instruction vous a dans le nez.

Au premier interrogatoire, mon avocat, au lieu de le contester, me convainquit que j’aurais été en situation de cessation de paiement. Certains de mes créanciers m’avalent accordé un crédit. Ils savaient qu’Ils étalent garanties par ma fortune Immobilière et par la présente de mon fonds de commerce. Le raisonnement de mon avocat : Vous n’avez pas payé les traites à l’échéance, vous étiez en situation de cessation de paiement ». Et par ce raisonnement simpliste, sans m’expliquer le porté de ce terme, Il me fit signer le premier interrogatoire du Juge d’Instruction. Alors, qu’une expertise de ma situation financière aurait prouvé le contraire, l’absence de la situation de cessation de paiement et le détournement de mes chèques mis à l’encaissement par la banque.

Le même scénario pour les chèques. J’ai contesté timidement devant le Juge d’Instruction l’authenticité de mes signatures sur les chèques. Là encore mon avocat passait l’éponge sur la procédure des articles 642 et suite du Code de procédure pénale.

Plus tard, Je fus jeté en prison et bourré par la contrainte par des médicaments neuroleptiques. De ce traitement Je ne me suis pas remise. Et les conseils de mon avocat faisaient douloureusement défaut, malgré les honoraires versés.

Le Juge d’Instruction BENSOUSSAN m’appris qu’une étrangère s’est « spontanément » présentée à la Police Judiciaire, usurpant mon Identité pour faire des fausses déclarations pour me faire apparaitre comme une complice de mon frère. (SIC 5 D 18 page 7 du réquisitoire définitif du 10 mars 1981 du Ministère public).

Quant à mon fonds de commerce, la vendeuse désignée par l’administrateur Judiciaire puisait sans gêne dans la caisse et brada à son compte le stock existant.

Ainsi l’Instruction dont j’ai bénéficié s’est limitée à quelques feuillets clairsemés. Des faits importants et les principales pièces prouvant mon innocence n’ont pas été soumis à l’examen des Juges de fond.

C’est en vain que j’ai recherché secours chez un autre avocat. Dans le secret de son cabinet tamisé, j’ai failli encore subir ses « hommages » séniles. Comme Je me suis débattue en cassant sa montre, Il m’envoya à l’audience son stagiaire pour faire acte de présence. Cela en exigeant des honoraires exorbitants.

Ce n’est que le troisième avocat, devant la Cour d’appel qui a pu empêcher ma condamnation à des années de prison ferme.

Il.- SUR LE JUGEGEMENT CORRECTIONNEL DU 31 MARS 1982 IMPUTANT A M, B. JIMBERGUES LES FAITS POUR LESQUELS JE FUS CONDAMNE.

Alors que les provisions de mon compte chèque furent détournées par l’employé de banque M. JIMBERGUES, j’essuyais avant lui une condamnation pour chèques sans provisions.

Cet employé de banque encaissait en son propre compte mes chèques remis à l’encaissement à la banque. Sans ces détournements Il n’y aurait eu chèques sans provision.

Les sommes détournées, dépassant largement le montant Imputé à la condamnation, font aussi partie de ma surface financière. Par cette condamnation le tribunal correctionnel de Toulouse reconnait Implicitement, qu’II m’avait à tort Imputé là une cessation frauduleuse de paiements entraînant la liquidation de mon commerce, pour ne pas dire le dépouillement.

Ce jugement, les faits nouveaux et les pièces inconnues par le Cour d’appel, démontrent que je n’al Jamais été en situation de cessation de paiement, que j’avais une surface financière réelle, nonobstant des multiples Infractions dont j’ai été victime.

III.- SUR LES FAITS NOUVEAUX ET PIECES INCONNUS PROUVANT L’ERREUR JUDICIAIRE.

Réduit au silence pendant l’Instruction, mon avocat à pu diriger l’Instruction dans une direction favorable à sa première cliente : Mme Annie COUSSINE, et ses employeurs, les grandes sociétés multinationales ayant pignon dorée sur rue.

Ce n’est que maintenant, qu’II m’est possible de présenter des faits et ces pièces prouvant mon Innocence.

1° Existence d’une surface financière et une entreprise réelle.

Mon Injuste condamnation est fondée sur des preuves fausses et des allégations erronées, comme par exemple l’affirmation à la page 9 du réquisitoire définitif :

« c -l’Inexistence des moyens financiers : »

« Les renseignements obtenus (…) permettent d’établir gue ces malfaiteurs (dont moi) ont créés toutes ces affaires commerciales sans disposer au départ de surface financière suffisante ».

Si cela est incontestable pour les autres personnages condamnés, enrichis frauduleusement par mes biens, les preuves nouvelles attestent que cela n’est pas le cas pour nous. Le ministère public est arrivé à cette conclusion parce qu’il Ignorait totalement la consistance de notre patrimoine ayant Justifié le crédit accordé par les banques. Notre compétence en matière de commerce avait aussi été confirmée dans l’exploitation de deux fonds de commerce totalement Ignorés dans la procédure Judiciaire.

La Cour Ignorait aussi la destruction partielle de notre patrimoine et une partie des pièces comptables par l’Incendie, et l’existence d’un stock évacué par la Gendarmerie AUX-LECQUES (Var).

Ces faits se sont produits durant l’Instruction, et après notre désossement de la gestion. La perturbation apportée à notre fonds de commerce, nouvellement crée par un Investissement Important, par l’Intrusion de malfaiteurs en cavale est la principale cause du passif non apuré.

Comme pour toutes les liquidations de biens par voie Judiciaire, mon fonds de commerce fut bradé à vil prix, des créances gonflées et des frais de Justice exorbitants ajoutées à mon passif. Le vol de ma caisse et d’une partie du stock après mon dessaisissement s’ajoute à mon passif. Quant à mon fonds de commerce laissé pour une bouchée de pain, le nouveau locataire paye le double au bailleur. Par l’enquête officieuse le promoteur constaté l’Important plus-value que mon activité honnête avait apportée à ce fonds de commerce.

Le dernier fondement de ma condamnation disparait. L’escroquerie par la soi-disant fausse entreprise n’est constituée que s’il y a appropriation frauduleuse de la chose d’autrui. Or, là encore, la liquidation des biens démontre que je ne me suis Jamais enrichi au détriment d’autrui. Au contraire, j’ai été appauvrie par des manœuvres frauduleuses. Ceux qui se sont enrichis sont dénoncé par le jugement contesté. Mes biens à mol proviennent de la communauté conjugale et de mes activités honnêtes avant l’escroquerie poursuivie. L’état actuel des faits démontrent sans équivoque que j’ai été, non pas auteur, mais victime de deux séries d’escroquerie : escroquerie à mon patrimoine et escroqueries au jugement.

Les faits nouveaux et documents inconnus par la Cour font ainsi disparaitre tous les éléments constitutifs des Infractions. L’élément légal de fausse entreprise d’abord disparait. Par la suite l’élément moral : L’Intention d’appropriation frauduleuse des biens d’autrui. A la lumière des documents inconnus par les Juges et des faits nouveaux, il est incontestable que nous serions en mesure de faire face aux échéances des emprunts et d’honorer nos créanciers, nonobstant de perte par les Infractions subis, si nous n’étions pas dessaisie de l’administration de notre fonds de commerce.

Quant aux 120 00.00 F prêtés à court terme à mon frère Indélicat, elles provenaient des recettes de mon magasin. C’est une partie de mon actif Jamais remboursé malgré la prospérité affichée de l’escroc remis en liberté surveillée et sa maîtresse. Il ne s’agit donc pas d’une libéralité, comme il est faussement affirmé dans l’arrêt de la Cour, mais un prix obtenu par la simulation des fonds en voie de rapatriement d’une banque suisse.

Le syndic nous a refusé de communiquer l’état des créances estimé gonflé. Néanmoins notre surface financière se révèle comme ceci :

Récapitulation calculée au taux de 1979.

ACTIF.                                 PASSIF.

Actif réalisé par le syndic………………………………………………….200 000,00F.

Passif du syndic……………………………………………………………………………………………..360 000,00F.

Prêt accordé à l’escroc……………………………………………………….120 000,00F

Détournements par la banque……………………………………………….41 000,00F.

Amende payée…………………………………………………………………….35 000,00F.

Droits restants dans communauté

(Minimum approximatif) ………………………………………………………50 000,00F.

Honoraires versés aux avocats……………………………………………….20 000,00F.

Marchandises volées……………………………………………………………30 000,00F.

Valeurs non récupérées dans annexe

AUX LECQUES (Var)………………………………………………………….20 000,00F.

____________________________

TOTAL ……………………………………………………………………………..521 000,00F………….360 000,00F.

Solde créditeur………………………………………………………………………………………………….161 000,00F.

Valeur des éléments immatériels :

  • Des fonds de commerce……………………………………………………..50 000,00F.
  • Manque à gagner (Année 1979) ………………………………………….70 000,00F.

C’est donc en Ignorant totalement notre situation financière que la Cour nous a condamnées sur des fondements Inexacts des pages 6 et 7 de l’arrêt,

2° L’escroquerie au jugement de Mlle Martine MARQUIER.

Un autre fait nouveau est la découverte de l’auteur véritable de la déclaration faite à la Police Judiciaire et rapportée et Imputé à mol sur la page 7 du réquisitoire définitif du procureur de la République sous S/C 5 D. 18. Ce document rapportant des faits faux a produit sur l’esprit des Juges une Impression décisoire.

Pour nous Imputer à tort la complicité aux Infractions de Richard PANAYOTOU, le ministère public prétendait avec succès :

– Et lorsqu’une enquête a été faite, elle (moi) s’est présentée comme étant Mademoiselle LAIK, concubine de ROUX-LACROIX, (alias PANAYOTOU), et affirmait que celui-ci faisait un voyage d’affaire en Italie…

Récemment l’Inspecteur BALLES de la P.J. de Toulouse m’affirmait que cette déclaration aurait été faite par téléphone.

L’escroquerie de Mlle Martine MARQUIER, l’usurpation de mon identité pour faire de fausses déclarations à la Police Judiciaire, est la preuve même que Je n’étais point une complice de mon frère, mais sa victime. Sinon, il n’aurait pas eu besoin de charmer une étrangère pour qu’elle effectue la besogne en mon nom.

L’absence des preuves des faits ayant entraînés mon Injuste condamnation, n’est pas ta seule tare de l’arr6t de la Cour d’appel de Toulouse. Il a encore fallu recourir à des actes de procédures truqués.

PAR CES MOTIFS nous avons l’honneur de vous demander, Monsieur le ministre de la Justice, de vouloir bien :

– Faire réviser de notre Injuste condamnation,

– Nous relever Immédiat de notre condamnation, notamment le paiement de l’amende.

A Toulouse le 4 juillet 1983.

Madame Hélène PANAYOTOU, épouse LAIK.

_________________

A Toulouse le 6 septembre 198.3. 1983

Monsieur le ministre de la Justice Garde de Sceaux

13 place Vendôme

75015 PARIS

OBJET : Réponses aux questions du Ministère public de Toulouse.

Référence : Mon pourvoie en révision du 4 juillet 1983.

Monsieur le ministre de la Justice,

Comme par suite de mon pourvoie en révision citée en référence, la Police judiciaire de Toulouse me convoqua à deux reprises pour m’interroger. Mais l’ambiance locale ne me semblait pas très propice à l’impartialité et à l’équité. À la première audience, j’ai souhaité que mes réponses sur les questions soient fidèlement enregistrées. . Ainsi, j’ai préféré prendre note des questions pour vous répondre directement. Mais j’avais l’impression que cette séance était réservée aux menaces et intimidations à peine voilées

1° Réponse sur l’incendie du local annexe à AUX-LELEQUES, (Var).

Dessaisie de la gestion de mon fonds de commerce, j’en ai été informé par la Gendarmerie Nationale du lieu. Je ne pouvais plus m’en occuper pour la raison suivante.

Le Président du tribunal de commerce de Toulouse m’autorisa de me rendre dans ma boutique, pour surveiller la gestion. Aujourd’hui mes suspicions sont prouvées : je me suis fait voler dans la caisse et dans les stocks.

Lorsque Je me suis rendue la première fois dans mon magasin, je me suis fait immédiatement arrêter par la P.J., informée par une délation anonyme. Dans ces conditions-là, il était rendu impossible de m’opposer à la dilapidation de mes biens, administrés par la Justice.

C’est après ce regrettable malentendu que Je fus informée par la- Gendarmerie des LEQUES de l’Incendie de mon local annexe.

Avant mon dessaisissement par la Justice, j’y exerçais mon activité pour les raisons déjà exposées dans mon pourvoie.

En plus, mon père mourant à l’hôpital de Marseille avait besoin de ma présence à son chevet.

Ainsi, une grande partie de ma comptabilité se trouvait dans le local sinistré. Mon livre Journal, un cahier brouillon, des factures… Seul l’Incendie permet d’expliquer la disparition de ces documents comptables.

2° Sur le témoignage de Mlle Marguier,

Pour l’Instant, elle seule sera en mesure de rétablir la vérité, des faits dont elle s’est vantée. A moins que la P.J. ait dépensé autant d’efforts pour l’interroger, comme elle en a dépensé pour me décourager.

Même si elle nie ses fanfaronnades d’avoir trompé la P.J., il est incontestable que cette déclaration ne provient pas de moi.

Selon les affirmations de la Police, cette déclaration avait été faite par téléphone, sans vérification de l’identité. Je m’appelle Madame Panayotou épouse LAIK, et non mademoiselle LAIK, maîtresse de Richard Panayotou, comme il est faussement affirmé par la déclaration de la Police judiciaire. Une vérification sommaire de l’identité du déclarant aurait permis de mettre ces choses au point.

En tant que sœur de l’inculpé, je n’aurais pas eu besoin de dissimuler mon Identité pour accréditer auprès de la pollce1une 1éclaratlon sur mon frère.

En espérant que la vérité soit rétablie sans « arrangements esthétiques », Je vous prie de croire, Monsieur le Ministre de la Justice, à mes respectueuses salutations.

Mme Hélène LAIK

20 place Roger Salengro

31000 TOULOUSE

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Extrait de la plainte de Peter Dietrich avec constitution de partie civile auprès des juges d’instruction, et par voie d’intervention dans les procédures de jugement citées en référence.

Deux inspecteurs du Commissariat « Remusat » de Toulouse se sont introduit aussi sec dans le domicile de Madame Hélène Laik-Panayotou:

– Madame, insistez auprès de votre ami qu’il adresse rapidos des sincères excuses à l’avocat général Dontenville  de la Cour de cassation. Faute de quoi, il le fera arrêter de nouveau pour outrage à magistrat. (Pour l’avoir mis en cause pour forfaitures à partir de la direction du ministère, justiciables par la Haute Cour de justice, récompensées par la Légion d’honneur).

Oui, oui, la France entière doit des excuses sincères à ces veinards du gabarit de l’avocat général Dontenville, heureux gagnants aux tombolas des examens universitaires et des concours administratifs pour exiger des excuses sous menaces judiciaires aux prétendus déments irresponsables. L’amoureux pansement de la Légion d’honneur, appliqué aux Champs Élysée sur la gravissime blessure d’amour propre, devant le tombeau du soldat inconnu, devant les régiments en « présentez-arme » dans lesquels j’avais servi, ne fut que justice. La France s’est enrichie d’un nouveau héros ; mon dossier de nouvelles infractions. Dans la magistrature, on se cramponne de plus à ce qu’on a le moins : à l’honneur.

*

*             *

Quant à l’affaire de ma bienfaitrice Hélène Laik-Panayotou, elle a été d’une simplicité enfantine pour quiconque reçu honnêtement à l’examen de la Capacité en Droit. N’en parlons pas des licenciés de l’avocasserie. Elle a sollicité la révision de son injuste condamnation du ministre de la Justice.

– Madame Laik, l’accosta l’inspecteur Bale, nous avons eu la mission du ministre de la Justice de vérifier l’exactitude des faits nouveaux allégués dans votre requête en révision. Vous pouvez me faire confiance, en échange d’un petit rendez-vous avec votre juriste en cavale, nous trouverons encore bien plus que ce qui est exposé dans votre requête pour vous innocenter ».

Effectivement, il en existait largement plus. Elle l’a trouvé plus tard elle-même. Ne voulant pas gober l’hameçon de la lâche traîtrise, sa première requête a été rejetée dans une décision non-motivée par un obscur fonctionnaire du ministère de la Justice.

*

*             *

S’élevait alors la clameur déchirante du côté de l’A.D.V., de l’association de défense de Monsieur Belhomme. On m’exhorta avec insistance de me sauver à l’étranger, sans perdre encore une minute. Des anciens légionnaires dans la dèche, cette fois, auraient été payés pour m’envoyer sans cérémonie dans un monde meilleur, alourdi de quelques balles dans ma vilaine tronche.

– C’est facile de vérifier l’exactitude de vos renseignements. Téléphonez donc au procureur de la République de Castres. Présentez-vous comme des amis du S.A.C. Informez-le confidentiellement que ce soir à 20 heures Dietrich rencontrera son amie Hélène Laik dans le restaurant Bouchon Lyonnais à Toulouse. Il est déguisé, totalement méconnaissable et muni de faux papiers.

Le soir, à l’heure exacte, Madame Laik a donné rendez-vous à un couple d’industriels en textile. À minuit, sur l’itinéraire du retour, ce couple a été pris en filature par plusieurs voitures. À un endroit discret, une des voitures déboucha en pleine allure. Par une queue de poisson osée, elle se mit à travers la route du devant. Une autre voiture bloqua l’arrière. Des rudes gaillards, dans le plus pur style des commandos, se ruèrent dehors, prenant position comme au cinéma… Alors un d’eux, le chef sans doute, après un émouvant suspens devant ce brave couple tremblotant, les mains sur la crosse de l’arme, prêt à dégainer, s’approcha… se rendit compte qu’on l’a souverainement amené en bateau tel un petit écolier.

– Nous venons de très loin, s’est lamenté le lendemain ce brave couple.

Le 24 juin 1983, se tenait à Paris le vaudeville judiciaire devant la Commission d’indemnisation statuant sur ma requête. Mon avocat Me Guy Lessourd, recommandé par Me Verges, traversa cette nouvelle milliasse de C.R.S. et de Gendarmes amenés par cars entiers, pour me dissuader de l’idée de faire usage de mon droit de l’article 149-2 C.pr.pén., l’audace de présenter personnellement mes observations à la Commission.

Dans la salle d’audience bourrée de policiers en civile, pleinement rassurée par le premier choix de l’auditoire, le héros de la Légion d’honneur tonnait avec sa grandiloquence habituelle :

– Personne ne peut affirmer avec certitude que Dietrich existe encore… et s’il existe, je le ferai arrêter sur-le-champ…

(Effectivement, j’ai déjà été officiellement déclaré, pour la spoliation de la succession de mon père, à l’administration suisse « personne disparue, ne donnant plus ses nouvelles »). (1)

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Réaction à Rue89 | 20/07/2011 | Pour sa primaire, le PS oublie sa « révolte » et cause comme Sarko.Par FRANÇOIS KRUG |.

20/07/2011| Modification et rediffusion de l’E-mail de sa campagne électorale. Ségolène Royal sera l’invitée de la télé ce mercredi 20 juillet à 18H00 où elle sera, hélas, bridée, muselée par les contraintes par ses propriétaires « du politiquement correcte » des mensonges par dissimulations de ces quelques vérités ci-dessous, de vous laisser patouiller dans l’ignorance sur le vrai profil des briguants de la présidence de la République.

 « La première de toutes les forces qui mènent le monde est le mensonge ». […]Pourtant ceux qui collectent l’information semblent y avoir pour souci dominant de la falsifier, et ceux qui la reçoivent de l’éluder. » (« La connaissance inutile » de Jean-François REVEL, Grasset, 1988). Car, « Le peuple insatisfait constitue une réserve d’énergie que manipulent les démagogues » (J.J. Antier).

En Angleterre, un seul des empereurs canailles de la finance mondiale est cité devant le Parlement pour déverser devant le public des mensonges sur ses forfaits d’espionnage électronique couverts par la hiérarchie policière. En France, ces malfaiteurs associés de bonne compagnie, se sont associés tout simplement pour concerter par leurs obligés d’élus soudoyés, la modification en catimini médiatique de la Constitution pour fermer au public les vrais débats devant Parlement ; pour modifier le Code de procédure pénale, et en cerise sur le gâteau, pour dépénaliser leur complot (feu article 86 c. pén) par un nouveau Code pénal: leurs attentats contre le régime démocratique de la France, contre ses intérêts économiques essentiels, et, même contre la Défense nationale, avec les chiens couchant de la magistrature cupide, corrompue et parjure.

Alors, les espionnages électroniques vont de bon train. En tout impunité sont concerté des rétorsions contre les informateurs, ou au moins, comme chez moi, pour les en dissuader, pour m’envoyer un commando de jeunes immigrés (dégonflés) en situation douteuse pour me casser la gueule avec des bâtons, baragouinant le seul mot français appris sans doute par les spires pour les circonstances : « salopard ! ». Par les heures de travail payés par le contribuable, sur les fichiers de mon ordinateur, les cyberspires s’y retrouvent mieux que moi, s’amusent de me détraquer les mots de passe de ma machine ou, carrément, de me couper le modem et le téléphone portable, jusqu’à ce que les ingénieurs de mon fournisseur réussissent de les remettre les choses en place. (Bof ! Ça vaut toujours mieux que de se faire casser ou voler les ordinateurs par les spires insaisissables, comme les journalistes encore mal stylés par le fric). [Illustré du programme informatique d’espionnage placé périodiquement au cœur du système].

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Réaction à LE POSTE 26/06/2011 en complément de la page 7. | L’affiche du film « Omar m’a tuer »!!!]. 20 ans après les faits, le film de Roschdy Zem expose les zones d’ombre de l’affaire Ghislaine Marchal. | DR| {p. 7 : ou plutôt occulte par la désinformation, les manigances de l’arrière-bazar politico-crapuleux « Chirac/Verges nous a tué »}.

Nulles, de nullité substantielle et d’ordre public, ce juteux marketing politique, avocassier et littérateur des procédures de fripouilles de propagande manipulatrice de l’opinion. La mélo-dramatisation « Omar m’a tuer » est en tous les points de vue une des escroqueries judiciaires combinatoires du Rotary et de ses acolytes de la Chiraquie du crime organisée. Nous y retrouvons réunis des indigents du « complot contre la sûreté de l’État », exposés dans les pages du blog et dans les constitutions supprimées de prévaricateurs, -revenant par des juges prévaricateurs, – avec l’intervenant. 1° en bas de filière des truqueurs, Thierry Jean Pierre et son émule Eva Joly propulsés au Parlement européen des archi-corrompus avoués par la pub de leurs forfaitures retouchées en héroïsme. 2° Un chef d’État, compromis dans des fraudes électorales monumentales du financement des campagnes par l’argent sale du grand banditisme, des élections truquées, entouré d’un gouvernement descriminels associés du légendaire « État gangster », dont Sarko-les-pots-de-vin. 3° L’instigateur en chef ès qualité ministre de la Justice est Edgar Faure, un exemplaire faisan du Rotary, trempé dans pas mal d’interlopes affaires étouffées. 4° Leur exécuteur vedette des tripotages, Maître Jacques Verges l’enfoiré, le plus roués des avocats félons. Avec son masque grimaçant de défenseur des droits de l’homme, les médias des Crésus pleins aux as, le firent passer en Saint Juda (sans  » s »), en frère en personne de Jésus, incorruptible défenseur Telstar « des causes perdues ». En pratique ce Judas (avec un « s »), selon ses propres aveux, fonctionne en saboteur chinnocents innombrables causes « des innocents qu’il n’a jamais défendus », sacrifiés sur l’autel du fric de Hermès, dieu grec des voleurs et des imposteurs, des discoureurs et des marchands.

Le capricant assassinat judiciaire avec ses hauts et ses bas, de « l’Omar m’tuer », quelle superbe opération commerciale ! Valait plus de 500’000 €, une seule minute à la télé, la vision de ces caboches phraseuses, divinisées sous leurs frocs noirs de moins paillards des temples d’Hermès. Les profiteurs en totalisaient plusieurs centaines partout en France. La pub intensive du justice-spectacle diffusé de la presse écrite ou sur les ondes, finit par remplir les cabinets des avocats des2)res des truands cossus d’or (p. 2), se laissant facturer sans sourciller l‘heure de travail à plus de 500€. Combien sont-elles, les victimes des magouilles roulées dans la farine des trompe-l’œil journalistiques, marchandées dans les coulisses contre des faveurs accordées aux criminels de haute vole, sous ces travestissements des droits de l’homme ?

Est incalculable les bénéfices de la vente des livres des littérateurs mis au pavois des médias enjôleurs, faisant écouler à prix fort n’importe quels fardages infectes. Sachant à quels saints se vouer, cet écrivassier « vu à la télé et au ciné » dans une affaire grand spectacle, s’est mis à quatre pour accréditer ses hypothèses vaseuses devant les complaisants médias réunies : Légion d’honneur en bandoulière sur le gilet vert brodé d’argent, sous les splendeurs de la coupole de l’Académie française des négriers Debré, Peyrefitte du Rotary, de l’as des falsifications et de la corruption Michel Droit, doté d’un paratonnerre des « bouffons de la République » (Arpaillange)… Oui, oui, braves jurées des assises, braves gogo-spectateurs du décor, laissez-vous ainsi convaincre ! C’est absolument incroyable : la faute d’orthographe (« tuer » ou lieu « tué »), la victime si cultivée n’aurait jamais admise, quand bien même qu’elle ait été abasourdie d’un coup de barre de fer sur l’occiput, en anorexie cérébrale par le saignement à blanc de plusieurs coups de couteaux ! Noblesse oblige !  Fidèle à sa coutume, l’Académie française vous en fiche le billet avec d’autres dépréciatives fadaises encore !

À l’instar des affaires liées de Hélène Panayotou sacrifiée aux mafieux par le maître félon Verges à Toulouse avec son compagnon Dietrich, la question de l’innocence de leur jouet démantibulé « Omar m’a tué » ne peut se poser dans un État de droit, car « la fraude vicie tout » dans les procédures judiciaires nulles par cet artifice combinatoire. La question qui se pose à la justice, c’est la culpabilité criminelle jamais démentie des auteurs de cet épisode du complot mediatic- politico-judiciaire. Les droits fondamentaux de la constitution imposent sans chichis dilatoires à ce que « Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis », et non décorés de la Légion d’honneur par des criminels associés de la gouvernance d’une existence « politiquement illégitime et constitutionnellement illégale », bien pire que Vichy en 1944.

1° octobre 2012. Blogs fin page 10. Précisions complémentaires sur l’opération manipulatrice des associations de défense des victimes de justice par l’opuscule « Omar m’a tué » de l’avocat starisé à cet effet Me Jacques Verges.

Il ne s’agit rien que d’un autre exemple concret des constatations des quatre universitaires cités (p.1) Fournier et Legrand « La Cinquième République présente cette particularité d’avoir normalisé le délictuel… » Christian De Brie et Pierre Charpentier : « La violation massive de la légalité sous la Ve République relève de l’entreprise organisée, demandant des complicités puissantes et délibérées et perde son caractère marginal, apparaît comme un fait politique d’une singulière dimension. […] Aujourd’hui, comme avant 1789, il ferait beau voir que ceux qui tiennent le glaive de la justice de se soumettre à la justice commune, surtout depuis qu’elle est rendue au nom des magnats et de la canaille, qu’en audience publique soient confondus et sanctionnés quelques-uns de nos gentils et doux seigneurs, fusent-il de grands rufians.

Ainsi, dans cette organisation de la criminalité judiciaire du grand banditisme, orchestrée à partir du ministère de la Justice par les hauts magistrats connus Dontenville, Le Gunehec et Marchi, (aussi Nadal-on-a-saccagé-la-justice de la Grande Loge nationale de France), dans l’instrumentalisation en assassin du jardinier Omar Raddad, chaque pion jouait à la perfection son rôle de soldat en plomb dans les manœuvres à Toulon dans le bourbier des grenouillages politico-judiciaires. But : renforcer l’image de marque de Me Jacques Verges en champion des chevaliers errants, d’incorruptible redresseur des torts. Ainsi, dans son opuscule « Omar m’a tué », insidieusement, le félon viscéral a été chargé d’anéantir l’argumentaire de son ancien client Dietrich sur la compétence exclusive de la Haute Cour de justice 1958, d’empêcher d’en faire des émules dans les associations de défense des victimes des escroqueries judiciaires, notamment à Bourges et à Toulouse. La fonction, dans l’organisation mafieuse de Verges, et de son rabatteur l’ex-juge Bidalou et de son cortège de grimauds, littérateurs de l’A.F, journaleux, animateurs doubles des associations de défense des victimes, taillée comme un costume sur mesure sur leur personnalité des pervers, est si pertinemment défini par Nietzsche : « Parasite, c’est une vermine, rampante, insinuante, qui se veut engraisser en vos recoins malades, meurtris ».

A.- Maquillage tendancieuse dans « Omar m’a tué » de l’affaire Dreyfus.

Le cheval de bataille de Verges dans la défense du jardinier Omar Raddad a été les expertises graphologiques dans l’affaire Dreyfus. Dans la chronologie du procès, Émile Zola écrit : « (10 août) : La cour d’appel, confirmant le jugement rendu à la requête des trois experts (Belhomme…) … » Nous y voilà ! Verges escamote le nom de l’expert le plus partisan, selon Zola, parce que à Toulouse, avec sa clique avocassière, au lieu d contester la compétence légale des juridictions des céans, le manipulateur a rendu risible l’autre expert-comptable Belhomme en lui fourrant dans la tête, malgré les avertissements sa banale affaire supercherie, que sa banale affaire serait d’importance nationale, comparable à l’affaire Dreyfus. Le seul facteur comparable avec l’affaire Dreyfus fut l’acharnement procédurier par des raisonnements d’une fausseté flagrante.

(Détails page 1 des blogs). Après la publication de l’adresse du juriste Dietrich par Le Meilleur, à la suite de la fusillade « anti-huissiers » à Toulouse, Belhomme et son associé Francis Germés sollicitaient son assistance salvatrice en conseiller juridique. Le dénominateur commun de toutes les affaire : la violation délibérée de la compétence légale des procureurs et juges, désireux de truquer et enterrer les dossiers, même avec les plaignants (Juby, p. 8). Pour débloquer la situation avec l’intervention avisée de l’ex-juge Bidalou, un nouvel coup d’éclat fut organisé dans le cabinet de l’expert-comptable. En authentique justicier, il devrait ensuite devenir le leader des associations de défense des victimes par la présidence de la confédération nationale déjà crée à cet effet.

Dans l’action combinatoire avec le dénigrement des médias, le procureur Jean-Louis Vuillemin (Rotary) de Castres, menaçait Belhomme de le faire passer aux assises pour tentative d’’assassinat des magistrats par « un malade mental », s’il aurait l’audace d’insister sur la violation de la compétence légale des articles 679 et suivants du Code de procédure pénale par lui-même et par des juges manifestement prévaricateurs, s’il ne désavouait pas publiquement son conseiller juridique Dietrich. Depuis-là, la contestation de la compétence légale et le nom de son auteur fut exclue dans l’argumentaire stérilisé de Belhomme. En exploitant sa couardise et en exacerbant son égocentrisme, l’expert-comptable dilapidait un pognon fou partout en France pour faire parler de son « explosive » affaire Dreyfus. Selon un informateur, une décoration lui aurait même été remise pour le ferrer dans ses divagations. Me Verges, « son traître », moyennant rémunération, lui garantissant un grand éclat médiatique pour son affaire Dreyfus.

Obsédé par Dreyfus, de l’affaire dont il ignorait les tenants et aboutissants, Belhomme publiait son opuscule « L’incroyable affaire Belhomme ». Une compilation des simulacres de ses anciens avocats félons, (dont d’un, il obtenait même le remboursement des honoraires (sic)), des lieux communs, non-argumentés des faits, des magistrats sur « la justice pourrie », attribuée d’autorité à son affaire… Mais plus un traitre mot sur les constructions juridiquement opérantes de son ancien conseiller Dietrich : d’’un argumentaire pertinent, incontestable. Aurait rendu son affaire explosive, si l’imprécateur essoré n’avait pas succombé au choc émotionnel des violences morales du procureur J.L. Vuillemin (Rotary), révélé en quoi consistait la « trahison » de son armada d’avocats, dont la star Verges : le manquement criminel à leurs obligations professionnelles de contester l’usurpation des juridictions de la compétence légale des articles 679 et suivantes du Code de procédure pénale pour l’obstruction aux poursuites congrues du juge Chauliac (Rotary). Par des délits d’imprudence, le juge a suscité l’accident meurtrier du fils Belhomme. L’héritière, sa fille, avec un avocat compétent et intègre, est toujours en droit de réclamer la restitution des honoraires, des réparations des incommensurables dommages matériels, des préjudices moraux subis par son père, de son épouse excédée et par elle-même, en rapport avec le pactole attribué à l’affairiste interlope Bernard Tapie en récompense de ses escroqueries des fonds publics.

La dernière manifestation connue du dindonné, à côté de la plaque, fut la subvention à Bourges à l’Éclair du Centre, joint à son « courageux et fidèle conseilleur avisé », l’ex-juge Bidalou et du malfaiteur en cours de jugement, le lieutenant-colonel Chalier, pour manipuler à leur perte les éditeurs, les époux Laborde-Hondet. (Blogs p. 5 et 6).

B.- Maquillage du blanchissement de l’ancien ministre de Justice Albin Chalandon dans le trucage de l’affaire Chaumet (Rotary) à Paris. (Page 3 des blogs).

Les éclaircissements congrus du juriste Dietrich aux époux Néron, fondateurs de l’association nationale des victimes, sur la responsabilité pénale du notariat, la démystification sériée de leur affaire contre le notaire Aucouturier (Rotary) et ses magistrats du Rotary associés aux escroqueries, a produit « l’hécatombe chez les notaires ». Comme naguère à Toulouse, a été éclipsée temporairement, l’influence néfaste du naufrageur Bidalou auprès de l’Association nationale de Défense des Victimes des Notaires. Pour débloquer à Bourges leur situation pétrifiée par des juges d’instruction successifs, Dietrich fit intervenir à Paris, à ses côtés, les époux Néron avec un exposé adapté au Q.I. des branquignols sur la compétence exclusive de la Haute Cour de Justice. Il fut entendu qu’ils exerceront à la lecture avant l’audience.

Le mercredi 23 janvier 1991, L’IDIOT INTERNATIONAL, directeur de rédaction Me Jacques Verges, annonçait l’intervention combinée sous le titre accrocheur « Chalandon, Absent ! » […] « Victime d’une escroquerie immobilière sous laquelle il a bien vite découvert les intérêts politiques [de Chalandon], l’adjudant-chef Peter Dietrich a quitté l’armé pour devenir un Combattant du droit. Nul doute qu’il saura mettre de l’animation dans ce procès renvoyé pour l’instant au 24 juin. P.L.

Alors, devant le tribunal de Paris, l’avocat félon parisien Me Guénin des Néron arriver en coup de vent : « Pas la peine de narrer aux juges des choses qu’ils refusent d’entendre », avertissait-il ses clients crédules, trahis dans tous les procédures à Bourges et à Paris. Devant la salle d’audience correctionnelle, l’ex-juge Bidalou interceptait les Néron timorés devant Dietrich : « Non, non, laissez tomber ça ! C’est beaucoup trop difficile pour vous. Soyez naturel. Cela fera beaucoup de plaisir aux journalistes ».

Tandis que le président ordonnait au juriste Dietrich de se taire, ces deux branquignols débiter des sottises devant un auditoire ricanant. La courte, mais précise contestation de Dietrich au tribunal correctionnel de la compétence légale pour juger un complot contre la sûreté de l’État des ministres, relevant de la compétence exclusive de Haute Cour de justice 1958, LIBERATION rapporte de la manière suivante : « … et même un Belge paranoïaque venu expliquer à la Cour que le procès Chaumet n’était que la partie émergée d’un gigantesque complot contre la sûreté de l’État ». Détails page 3 des blogs.

Dans son opuscule manipulateur, l’ancien avocat félon Me Verges, se sert de la défense d’Omar pour ruiner définitivement l’argumentaire sur le complot contre la sûreté de l’État de son client Dietrich, trahie insidieusement à répétions dedans, par les commentaires fardés par l’omission de la mise en cause de l’ancien ministre de la justice Albin Chalandon et le Milieu de la Côte de l’affaire Chaumet (Rotary) : « Pour Omar et pour nous tous. […] Le petit voleur récidiviste écope d’une peine de prison aussi lourde que celle qui frappe les frères, les joailliers indélicats de la place Vendôme ».

Et voilà, par une action combinatoire d’une parfaite coordination par le sommet, à son acolyte Bidalou remise à Bourges la direction du sabotage judiciaire devant les Assises des affaires criminelles du notaire Aucouturier (Rotary), et de l’ensemble du notariat. Bidalou victorieux dans L’IDIOT INTERNATIONAL du 20 mars 1991, signé Jacques Bidalou, sous le titre accrocheur NOTAIRES, NO FUTURE ! leur naufrageur sournois répète sans vergogne la proclamation à l’assemblée générale de l’association de défense des victimes des notaires : « … Samedi dernier à Bouzaïs, le magistrat retraité d’office Jacques Bidalou a relevé la chancellerie (Méhaignerie, Directeurs, conseilleurs ?) avait entrepris le processus de sa réintégration. […] Victimes des notaires, unissez-vous, la Guerre du droit aura bien lieu ».

C.- Dénigrement post-mortem de l’irréprochable juge d’instruction Henri Pascal, dessaisi des partisans du Rotary du dossier de l’assassinat sadique de la petite Brigitte Dewevre à Bruay-en-Artois.

Disposant, avec son acolyte Bidalou, de la totalité de la documentation sur la protection politico-judiciaire des actions criminelles du grand banditisme des membres du Rotary-club (P.M. Michel Debré), quel avocat n’en a pas été mieux informé sur le dessaisissement partisan du juge Pascal d’une affaire chargeant déjà des présomptions proches de la certitude, le notaire libidineux du Rotary, défendu par l’avocat de son Rotary ? Quel avocat n’était pas mieux informé que le félon Verges de Belhomme et de Dietrich sur la connection indubitable des réseaux du trafic d’influence du Rotary ayant déjà assuré les obstructions judiciaires de l’affaire du notaire F. Sery de Castres, du notaire et fils Aucouturier de Bourges et même du juge Chauliac du Rotary de Toulouse, mis en cause par Belhomme dans la provocation l’accident meurtrier de son fils et de ses compagnes ? Ça sautait aux yeux à toute personne impartiale, le juge Henri Pascal a été victime d’un coup monté à partir du ministère de la Justice, sans doute toujours des mêmes directeurs et conseillers du tonneau Dontenville, Le Gunehec, Marchi… Or, dans son opuscule, en abusant de la défense du jardinier Omar, Me Verges, avec sa réputation d’emprunt de l’incorruptible pourfendeur des torts de la « justice pourrie », s’acharne littéralement sur le brave juge d’instruction Herni Pascal, lavant de tous les péchés le notaire libidineux, ridiculisant les témoins à charge… présente aux associations de défense des victimes, auxquelles son opuscule sert d’ouvrage de référence, le notaire en victime de la justice comparable à Omar Raddad (Sic).

Avant son décès, Hélène Panayotou dans son appartement toulousaine a organisé une rencontre secrète entre l’ex-juge Henri Pascal, devenu avocat des parents de la jeune Brigitte assassinée à Bruay-en-Artois par un sadique et Dietrich. {Image sur les blogs}. Parmi les confidences sur les secrets de polichinelle de son dessaisissement de partialité politique de l’affaire par les « copains et coquins » du Rotary, il révélait l’obstruction à sa tentative de faire procéder à l’obligatoire enquête sociale complète, pour faire vérifier la véracité du commun renommé des débordements libidineuses du notaire, semblable à celle opérée actuellement sans ménagements contre Dominique Strauss-Kahn.

Par la subornation flagrante des témoins, la grande Star du barreau Me Jacques Verges, en dilatant, dans son opuscule ps 118 et suivantes : « Alors on va inventer que le notaire est un sanguin, on va lui reprocher les steaks de 300 grammes qu’il mange saignants à l’heure où le bon peuple meurt de faim. Puis on va chercher la femme, c’est-à-dire la prostituée, car chez les gendarmes, la femme est forcément une pute. Et on va découvrir des bordels clandestins… »

Ceci exposé, laissons la suite de l’analyse aux avocats des parents de la victime. En effet, l’affaire de Bruay-en-Artois ne peut être isolée du contexte général du complot politico-judiciaire, notamment à Bourges, Bobigny, Castres, Fréjus, Paris, Toulouse, Toulon… Étant frauduleuse le dédouanement et l’indemnisation du notaire, l’annulation dans l’intérêt de la loi de la totalité des procédures s’impose et sans laquelle, la situation légale ne sera pas rétablie.

D.- Maquillage de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice de 1944 pour juger le milicien Paul Touvier, et, implicitement, de René Bousquet, chef de la police du régime de Vichy.

Me Verges limite ses commentaires tronqués à Touvier : « Allons bon ! Se souvient-on du flot des commentaires parfois injurieux soulevé par l’arrêt de la chambre d’accusation de la Cour d’appel dans l’affaire Touvier ». Or, l’équipée de subversion judiciaire Verges/Bidalou connaissait parfaitement la teneur de la contestation de la compétence légale des interventions de Dietrich auprès du juge d’instruction de Versailles et auprès de cette cour, incompétemment saisie à l’instar des juridictions à Bordeaux.

Avocat de Dietrich à l’époque de l’annulation malicieuse, sur des bases non légales, de vingt ans de procédures d’instruction viciées de l’affaire Papon à Bordeaux ; par la récupération à tort et à travers de la coterie Le Gunehec de son argumentaire sur l’incompétence légale des articles 679 et suivants du Code de procédure pénale, Me Verges s’est bien gardé d’évoquer les motifs de l’assassinat de René Bousquet, (acquitté par la Haute Cour de justice 1944).  En ouvrant la porte de son appartement au tueur manipulé arrivé en Métro, le bonhomme à la mine anodin l’a flingué à bout portant pour empêcher le déroulement son procès devant les assises de Paris par l’incrimination légale « intelligence avec l’ennemi » des crimes contre l’humanité. C’est que cette fois, en répétition de l’affaire Chaumet, les tripoteurs s’attendaient à l’intervention publique, congrue et personnelle du juriste rabat-joie Dietrich. Par des menaces d’assassinat, elle lui a été rendu impossible à Bordeaux et trop dangereux à Versailles.

Répétons l’argumentaire incontesté, mais supprimé à Bordeaux par des forfaitures : la complicité de deuxième degré n’est pas punissable en droit français. La compétence exclusive pour juger le régime de Vichy de l’incrimination « intelligence avec l’ennemi » des crimes contre l’humanité relève aujourd’hui encore de la Haute Cour de justice 1944, toujours existante, selon la doctrine du professeur en droit Jean Foyer, ministre de la Justice silencieux à l’époque. Or, l’affaire Bousquet, Dietrich l’avait évoqué déjà devant le Conseil d’État, présent cette particularité, qu’il a été remplacé dans ses fonction de chef de la police au gouvernement de Vichy par le général d’honneur de l’S/S, (SS Oberführer), Joseph Darnand, assermenté à Hitler de faire « gicler le sang juif », selon le cri de guerre des S/S. En tant que fondateur de la Waffen S/S (*) française « Brigade Frankreich », sa responsabilité, avec celle du gouvernement Laval, s’étende même aux atrocités perpétrées en ex-Union soviétique du genre Oradour-sur-Glane en beaucoup plus grand. (*Arme S/S). Discours aux Waffen SS étrangers par le Reichsführer SS Heinrich Himmler : « Là où nous combattrons, chacun devra savoir que tuer un homme ne compte pas plus pour nous que tuer une poule. C’est la voie sûre vers la puissance totale ».  Cité par Sven Hassel dans « Kommando Reichsführer HIMMLER ».

Dès lors, en acceptant dans le gouvernement Laval un général S/S missionné par Hitler aux crimes contre l’humanité, la totalité du gouvernement de Vichy, avec le président Pétain, est devenu « complice de premier degré des crimes contre l’humanité. Avant de s’extasier avec un avocat en rollers sur le petit secrétaire de préfecture d’alors Papon… l’SNCF, une justice impartiale aurait même dû s’interroger sur le degré de complicité du père Edmond Giscard, escroc de haute vole du détournement massif des indemnisations de guerre, pour s’en voir récompenser par le Marechal Philippe Pétain de la plus haute décoration créée par lui.

La justice impartiale aurait dû s’interroger sur la légalité dans la République de l’attribution de la particule nobiliaire « d’Estaing », par des conseillers d’État d’une corruption et vénalité légendaire, à un de leurs Dupont-la-joie véreux. Mais la question reste toujours ouverte, puisqu’en pratique, la requête d’une enquête sociale « égalitaire » du juriste Dietrich demeure parfaitement fondée en qualité de partie civile constituée à Lyon contre le prospère frère Charles Giscard d’Estaing (Rotary). Détails page 4 des blogs. Comme l’a constaté le magistrat Serge Fuster (Casamayor), ancien juge du Tribunal militaire international de Nuremberg, les plus dangereux criminels des crimes contre l’humanité ont tous échappés à la justice.

Toujours, en abusant de la défense à Toulon du malheureux jardinier Omar Raddad, le saboteur de ces procédures Me Verges pose benoitement la question : « Saurait-on un jour la vérité sur la mort des ministres Boulin et Fontanet, sur celle du juge Renaud ? » … La réponse lui est répétée sur les blogs Dietrich, celle des différents auteurs avisés de la série édifiante de l’éditeur Alain Moreau dédaigné souverainement par ce Verges, accrédité par les truands pleins aux as en grand pourfendeur des mafieux de « la république des copains et des coquins » (Ponia) du feu Premier ministre Michel Debré (Rotary) avec sa gouvernance du Rotary, avec sa barbouzerie d’escarpes, sa French Connection… le fabuleux trésor d’Ali Baba planqué en Suisse… Toute cette canaille a été miraculée de la Haute Cour de justice 1958 par l’obstruction criminelle du félon Verges à l’accès ouverte par Mitterrand en 1981 de son client Dietrich, réduit en paria traqué.

Compte-tenu de l’enjeu électoraliste, de la manipulation massive par la tromperie des associations des victimes des escroqueries judiciaires en activistes politiques enragés au profit de leurs propres trompeurs, (voir page 10), les assassins les plus probables de Mme Marchal, employeuse du jardinier Omar Raddad, sont des barbouzes des services spéciaux « des gangsters d’État de l’État gangster ». La sophistication du procédé porte leur marque ainsi que le clip du tribun démagogique de Me Jacques Verges sur Net sur le thème « la justice est pourrie », colporté par les associations de défense des victimes sur leurs propres sites internet. Les voilà rabatteurs de ce maître félon pour lui faire confier par les dupes les dossiers politiques les plus sensibles.

Libye :

Sarkozy accusé de crime contre l’humanité par Dumas et Vergès (vidéos):

http://www.internationalnews.fr/article-sarkozy-accuse-de-crime-contre-l-humanite-par-dumas-et-verges-75663357.html

ethttp://www.dailymotion.com/video/xj362v_j-verges-vs-france24-radiomoscou_news#from=embediframe

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Renvoi du pétard mouillé à son auteur par l’avocat félon ayant tourné casque pour s’attaquer avec sa clique « Rouge-Brun » de « L’Idiot international », (2) dirigée, par le « soulaud » et écrivassière-suis-l’  injure », par le milliardaire (au Ferrari) rouge Jean Erden Hallier, au nouveau gouvernement de la gauche en se servant de leur cafard défroqué. (3) Avant de vider de son cabinet ses clients trahis, il s’est servi du travestissement de l’affaire Dietrich avec Bidalou pour compromettre le gouvernement de la gauche par un article incendiaire, intitulé « Terrorisme au quotidienne », (4) massivement diffusé en tract commenté par les associations de défense des victimes. « Jean-Edern Hallier a toujours aimé avoir sa bande. “Je dirige ce journal en monarque absolu […] Je commande impérialement mon armée.” […] L’idiot est une fournaise au service de la partie cachée de l’iceberg de Jean-Edern Hallier. Une équipe, une bande […], sous la direction de l’officier fou, » écrit Dominique Lacout. (6)

Puis le grand maître a pompé dans les exposés de Dietrich des constructions juridiques pour les faire appliquer avec succès au dédouanement fallacieux de la coterie mafieuse de ses adversaires. Avec des juges de « la bande de Bobigny », il s’est allié ensuite à la clique de Charles Pasqua. Leurs manigances ont été surveillées par des écoutes téléphoniques clandestines des gendarmes « anti-terroristes » du général Prouteau. (C’est en vain je revendiquais de ces écoutes la communication comme preuves, conformément aux principes de la jurisprudence la Cour de cassation ayant profité pour l’annulation des procédures chargeant des trafiquants de drogue).

Il ne fallait pas plus pour nous autres cocus de se faire éconduire par l’avocat Me Robert Badinter, le nouveau ministre de Justice traîné dans la boue par la récupération politique des associations de défense des victimes, dirigées par l’insinuant cafarde défroqué Bidalou. Tout de même pour ses trahisons des victimes de la délinquance, le maître félon a subi une petite sanction par le barreau du Bouche des Rhône dans l’affaire Vasarely c/Debbach, (7) se voyait obligé d’abandonner la défense d’un illustrissime imposteur. Avec toute sa clique subversive, lancée notamment à la télé par le bétonneur-promoteur enrichie par des affaires vaseuses Bouygues, (voir la page 1 du blog),  il a troqué avantageusement ces affaires des victimes contre des affaires beaucoup plus médiatiques des malfaiteurs de haute volé, tels que l’affaire de l’officier S/S Klaus Barbi à Lyon. Avec la joie d’humilier les contestataires avisés de leurs financiers, le précepte de leurs pervers brosses à reluire« Valorisez les crétins pour écraser les talents » devient « Accréditez les impostures pour travestir la vérité », à des gens-masse ayant perdu leur capacité de discernement par la dictature du mensonge. À l’instar de l’affaire Papon citée, elle a été jugée à Lyon par une juridiction hors-la-loi, légalement incompétente au vu et au su des avocats. En échange de l’affaire de Hélène Panayotou (ex Laik), le spéculateur a obtenu, par la pressions médiatiques du super-spectacle, la révision par des arguments tirés par les cheveux, pour ne pas dire du dernier ridicule pour un juriste,  du fameux procès d’un boucher condamné pour l’égorgement de sa patronne ayant eu encore la force de barbouiller avec son sang sur le mur le nom de son assassin « Omar m’a tué ».

Pour sortir mon amie sauveteur du marasme, lui permettre de remonter à Toulouse la boutique de prêt-à-porter féminine « Natacha et Elle », il ne me restait plus de lui céder ce qui restait de mes économies réalisées dans l’armée. Immédiatement, elle fut de nouveau acculée à la faillite par des escroqueries, dont celles des margoulins du prêt-à-porter, lui délivrant des camelotes invendables. Traités ses trois contentieux en bénévole ruiné, j’ai tout de même eu la consolation d’avoir réussi de l’en épargner. (8)

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Observation sur le document ci-dessous : Commandité par l’avocat général Henri Dontenville à partir de la direction du ministère de la Justice, le travestissement criminel (voir les détails légaux sur les pages 1 et 2 de mon blog) d’un raisonnement congru, juste et sensé. La simulation des fins de non-recevoir inadéquates. Le recours gracieux del’appréciation de la légalité d’un acte administratif (et non un recours en appréciation de la validité, à savoir de la nullité, comme il y est faussement allégué) est ouvert directement à tout citoyen, sans restrictions de ces fins de non-recevoir interpolés. Par cette escroquerie judiciaire, le recours gracieux informel est falsifié en recours contentieux formel. Au surplus, il a été démontré aux juges administratifs, même aux fossoyeurs du Conseil d’État,  l’absence au pénal de la saisine d’un magistrat instructeur légalement compétent, désigné par la Cour de cassation (Art 681 c. pr. pén.). Avec la complicité des avocats félons de la clique rouge-brun, alliée à présent celle de Charles Pasqua et à la « bande de Bobigny » des juges corrompus aussi par le despote  du Gabon Omar Bongo du Rotary,  l’affaire passa sans conteste, silencieusement à la trappe lors de la séquestration du demandeur.

Les « impartiaux » du beau linge aux grands besoins du Conseil (naufrageur) d’État se sont déjà avantageusement manifestés dans les années 1978 en rendant impossible des poursuites globales sous la qualification légale « association de malfaiteurs » devant la Haute Cour de justice, le complot contre la sûreté de  l’État des assassins, truands, trafiquants, proxénètes, faux monnayeurs, chevaliers d’industrie… du Service d’action civique (SAC) et son ombre « le Rotary club », sous la direction, entre autres, du futur ministre de l’Intérieur, chef de la Police Charles Pasqua. (9) (Par l’actuelle réorganisation, les suborneurs de ce gabarit corrompu sont aussi devenus les chefs de la Gendarmerie nationale). Dans la poursuite de l’ancien ministre et maire de Nice, gangster notoire du Rotary de la même moule avec ses accointances ostentatoires avec le S.A.C. et la Mafia, les carpettes sur cultivées du pouvoir n’ont pas hésité de démontrer leur solidarité des crapules sublimées du beau linge pour exercer la pression sur la justice par leur manifestation publique dans la salle d’audience.

Enfin, (voir page 4 du blog), ils ont couvert la criminalité judiciaire la plus monstrueuse de l’histoire avec l’écrasement par les concussions fiscales le contestataire intervenant dans la procédure. Comme l’ont écrit  les autres, (10) les gangsters de haut vol peuvent avoir confiance en la justice de leur pays. À ce sujet a précisé à l’époque Alain Jaubert :« Une notable partie des bénéfices des fraudes et du crime organisé servent en fait au maintien du même groupe d’hommes au pouvoir depuis 1958. Derrière des paravents de la démocratie, du suffrage universel, de la liberté d’expression, il s’agit de corrompre les hommes, de manipuler et de tromper l’opinion, d’intervenir au besoin par la force partout où ce pouvoir risque d’être menacé. (11) J’en ai fais les frais durant plus de vingt ans sous la férule de la corruption et du trafic d’influence de la justice toute entière. Avec le sabordage de la Haute Cour de justice menaçante, ce système des « gangsters de l’État gangster »(12)  ne cesse de se perfectionner pour rendre toute opposition sérieuse absolument impossible. Je n’ai qu’à reprendre mes billes pour trouver une autre activité. À  la réparation de mes dommages et préjudices subis, je n’ose même pas de rêver avec cette  « La politique se fait à coups de pied dans les couilles », selon la fine analyse de la pratique au quotidienne de Charles Pasqua. (Soudais Michel. WWW.Politis.fr  du 5 mai 2010).

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*     *

Avec les petits contentieux traités, avec les restes de ma modeste pension, pour mon ex compagne Hélène Panayotou, (ex Laik) sur les marchandises invendables dans une maison sérieux, frauduleusement introduit en France, j’ai introduit dans mon contentieux les fraudes des prêt-à-porter fabriqués au rabais à l’étranger et frauduleusement introduit en France pour ruiner son industrie de textile. À en croire à l’ouvrage ci-dessous reproduite « Mode in France, les dessous du prêt-à-porter » de Olivier Bardolle,[i] toutes les chemins remontent à Castres ou le député-maire Jacques Limouzy a laissé passer au secrétariat d’État la fraude si bénéfique au financement occulte des partis politiques en vue, aurait contribué à la ruine de l’industrie de textile de sa circonscription électorale. (Actuellement, ces procédés sont légalisés par sa clique « humanitaire », si bien qu’une bonne partie des textiles vendus en France sont fabriqués par des enfants esclaves de l’Asie, nos ouvriers jetés sur la paille au nom du principe de la maximalisation des profits par n’importe quel moyen des grandes finances internationales).

Pour amputer les institutions françaises de l’impôt, des taxes et des charges sociales, même l’armée française fait à présent fabriquer ses munitions défectueuses par les esclaves pakistanais dans les Émirats sur la Côtes des Pirates, dénomination toujours d’actualité. À Dubaï, « le trou noir de la criminalité internationale » où s’installent  dans le luxe tape-à-l’œil démesuré les requins de la grande finance internationale, se trouve tout à portée de main pour la réalisation de très belles affaires : les blanchisseries des l’argent sale, des  armateurs des pirates somaliens, les financiers de toutes les mafias du monde, des trafiquants des armes, de drogue et des blanches, des terroristes cosmopolites, des talibans… et sans doute aussi une succursale de Ben Laden. Dans ce paradis fiscal à toute épreuve, tout le monde ferme sa gueule, car la moindre manifestation de traitrise journalistique ou revendication syndicale est réprimée sans chichis judiciaires par des peines de prison suivie de l’expulsion sans ménagement.

La société française Total, doucettement, prend le même chemin de la félicité, en démantèlent ses prospères raffineries en France pour les faire fonctionner à moindre coût par des esclaves des Émirats du Golf, met sur la paille ses ouvriers métropolitaines.

Comme le prophétisa en 1981 Georges Marchais, secrétaire général du P.C., privé de plus en plus de ses ressources fiscales, avec des charges sociaux de plus en plus croissantes, une fonction publique et organisation politique de plus en plus corrompue ou circonvenue, il ne reste plus à cette pauvre France sous la dictature du mensonge « politiquement correcte », que de démanteler ses services publics, dont la justice et la police, avec l’armée pour ajourner sa faillite à la Grèce. Submergé par des immigrés improductifs, des assistés incultes, animés des sentiments hostiles à la culture occidentale, elle est promise à un très belle avenir avec sa justice archi-pourrie, fermant les yeux sur la criminalité économique et financière et du trafic de drogue de la haute, la plus pernicieuse, en persécutant par des forfaitures les dénonciateurs, plaignants et les témoins.

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Réaction à L’HEBDO SUISSE Par ats – Mis en ligne le 12.06.2011.  FMI: l’Égypte et les Émirats appuient la candidature de Lagarde. L’Égypte et les Émirats arabes unis (EAU) ont annoncé dimanche leur soutien à la candidature de Christine Lagarde au poste de directeur général du FMI. La ministre française des finances s’est de son côté dite « particulièrement confiante » sur ses chances d’être élue.

Réaction : Tous les escrocs déprédateurs du monde, réunissez vous autour de votre candidate idoine !

Document de conviction sur la qualification « complot contre la sureté de l’État, publié sur Facebook et transmis à:

 <Contact.Ca-versailles@justice.fr>, <csm@justice.fr>, <premier-ministre@cab.pm.gouv.fr>, <president@assemblee-nationale.fr>, <presidence@senat.fr>, <s.avocat.citoyen@gmail.com>, <syndicat.magistrature@wanadoo.fr>,

 Ne cherchez pas aux antipodes du Cote des Pirates du Golf ce qui est incité par des Cacique de nos gouvernements bakchichés en France. Depuis des années, est divulguée à l’attention de la justice française complaisante sur la page 7 des blogs la fabrication dans les Émirats du Golfe la munition défectueuse pour l’armée française. En diminuant fiabilité, efficacité et précision des fusils d’assaut, cette munition pourrie  expose aux dangers meurtriers les soldats, les employant dans les combats passés et actuels. Combien en ont péris déjà ? C’est encore une autre démonstration des turpitudes du gouvernement comploteur : dans l’attentat contre la sûreté de l’État, celle contre la Défense nationale narrés sur le Blog dietrichpeter.blogspot.fr. Juriste DEA. Criminologie. Sciences pénales. Adjudant honoraire. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant.

 MONDE –  le 13 Octobre 2013. Ce lundi dans l’Humanité : Le Qatar veut cacher ses chantiers de la honte.

Après s’être rendu dans un camp de travailleur, Pierre Barbancey, envoyé spécial de l’Humanité au Qatar, a été arrêté par la police de Doha pour « pratique illégale du journalisme, avant d’être relâché.
Dans son grand reportage, il nous raconte comment plus d’un million de salariés étrangers, esclaves des temps modernes, sont exploités pour la construction des infrastructures de la coupe du monde de 2022. Il y aurait déjà des centaines de morts…

Retrouvez ce lundi l’éditorial de Patrick Apel-Muler : La Plumpe dans la plaie

Journaliste indésirable au campement : le témoignage de Pierre Barbancey sur son arrestation

Kafala, ou comment les salariés deviennent esclaves de leur compagnie. Le reportage dans un camp de travailleur. Des ouvriers venus d’Asie, pris au piège d’un système qui les rend corvéables à merci.

Entretien avec Gilles Lefort, secrétaire général de la CGT de la construction, un des membres de la délégation syndicale internationale qui vient de se rendre au Qatar.

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Réaction au Le Nouvel Observateur. 25/05/11 à 15:17 et LE BIEN PUBLIC: Christine Lagarde officialise sa candidature à la tête du FMI. La ministre de l’Économie se dit « parfaitement tranquille » pour ce qui concerne l’affaire Tapie.

Réaction à Rue 89 : Ockrent, Lagarde : être une femme n’est pas une excuse.
Par DANIEL SCHNEIDERMANN | Fondateur d’arrêt sur images | 26/05/2011.

Réaction en ligne (p.11) à : MEDIAPART mercredi 25 mai 2011. PAR MICHEL DELÉAN.
P. 11 : Christine Lagarde a fait «échec à la loi», dénonce le procureur Nadal. [Qualifications pénales occultées : Crimes du complot (art. 68 c. pén) d’immixtion dans le pourvoir de suspension d’application des lois par une coalition de fonctionnaires » d’administrateurs (partiales) de justice se livrant à des escroqueries…|| Cette simulation de la poursuite d’une fieffée criminelle avérée sous une qualification fantaisiste, devant des juges disposés à toutes les compromissions, est qualifiée elle-même par la loi des mêmes incriminations résumées par « association de malfaiteurs » et « coalition de fonctionnaires », et dont la sanction première est la dégradation civique]. La loi est morte ! Vive les escrocs et fourgues des plus belles eaux ! À mort les vilipendés délateurs !

Mediapart publie de larges extraits du document par lequel le procureur général près la Cour de cassation a saisi la Cour de justice de la République du cas de Christine Lagarde dans le dossier Tapie. La ministre «a pris des mesures destinées à faire échec à la loi», écrit le procureur Nadal. Elle «a constamment exercé ses pouvoirs ministériels pour aboutir à la solution favorable à Bernard Tapie». Par ailleurs, son homologue de la Cour des comptes vient d’adresser deux réquisitoires à la Cour de discipline budgétaire et financière visant deux hauts fonctionnaires.

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Répétons-le, le fait de l’imposture historique est que le replacement subreptice de la Haute Cour de Justice de 1958, par la blanchisserie du Cour de Justice de la République, est « constitutionnellement illégale et politiquement illégitime » (Vichy 40/44). Devant la Haute Cour de justice, auraient comparu non seulement ce postiche sarkozyen de ministre prévaricateur Lagarde sous les qualifications criminelles sériées sur les pages 1 et 2 de mes blogs, mais également ses complices : non seulement Tapie, mais également toute cette racaille coalisée de la magistrature qui l’a couvert depuis des lustres avec les autres ministres criminels du plus gros calibre, tels que Aubry, Pasqua, Chalandon, Sarkozy, Longuet, Strauss-Kahn, Woerth… avec leurs associations de malfaiteurs de la haute finance déprédatrice et de la grande pègre dorée aux belles manières du Rotary, du crypto-S.A.C. de la Mafia…

Si la clique politique soudoyée, avec les combines criminelles de la caste judiciaire médaillée, s’est empressée de foutre en l’air la Haut Cour de Justice par le chambardement d’une juridiction fantôche, (qui s’est inaugurée par des crimes de suppression d’actes de procédures, des faux en écriture -de leurs auteurs- etc. etc.), c’est parce que Mitterrand, par la ratification du Pacte de ONU, a ouvert aux victimes -à moi- du crime politico-judiciaire organisé, l’accès à la Haute Cour de justice : « en toute égalité » avec membres du gouvernement et leurs procureurs de toutes mains sales.

Bien mieux, les victimes, ayant excercés la légitime défense (exclusive de toute faute) contre ces « gangster d’État de l’État gangster », trouvaient le droit « en tout égalité » de se justifier à l’audience publique devant le Parlement, dans la procédure de saisine de la feue Haute Cour de justice. Procédure dare dare remplacée par une commission de béni-oui-oui corrompus d’escrocs et de faussaires chevronnés, en échange de la Légion d’honneur, tripotant en secret les preuves et le droit sur la spoliation systématique de l’État et de ses citoyens.

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Citons pour en finir avec mes exposés par l’exemple actuel de la mise en circulation par les grandes finances internationales des valeurs boursières ou produits financiers dits « effets toxiques » basées sur aucune valeur réelle, à savoir de la monnaie de singe, des chèques en bois. Auteurs impudents de la « crise », la grande finance spéculant sur la connivence des gouvernements corrompus, ont ruiné l’économie mondiale, tout en réalisant des bénéfices mirobolants. Selon éditorialiste scientifique de « France Culture », Albert Jacquard,[ii] un de ces naufrageurs de l’économie mondiale, mécène de la camarilla Sarko, encaisse dix millions de dollars par jour. Il y a de quoi de noyauter tous les arsouilles de la justice avec les louangeurs des médias en prime, sans que ses comptes en ressentent les effets. Or, appelons le chat d’un chat. Il s’agit indubitablement des « manœuvres frauduleuses, des mises en scène destinées à spolier les biens d’autrui ». En termes juridiques « politiquement incorrects », il s’agit belle et bien d’une escroquerie gigantesque devant laquelle les justices « politiquement correctes », s’aplatissent comme des crêpes intéressées. Continuons appeler le chat d’un chat. (Voir page 2 du blog). Ceux de nous illustres gouvernants ni touche qui s’en font soudoyer pour financer leurs carrières politiques, sont clairement définis par la loi en « receleurs » ; s’ils ont facilité ces escroqueries par leur politique habituelle du trafic d’influence, alors ils sont des complices, « empruntant la criminalité des auteurs », comme disent les doctes criminalistes, constamment sourdes et aveugles en ce qui concerne les exploits des grands truands de cette envergure. Cherchez vous-même la clef de l’énigme. Moi, je me suis assez mouillé et ruiné. Les retombés me suffissent pour le reste de ma vie.


[i] Bardolle Olivier. Mode in France, les dessous du prêt-à-porter. Ed. Alain Moreau 1979.

[ii] Quelque chose comme Albert « Jacquard ».

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Roccard intérets économiques Toit Castres

Lundi 18 octobre 2010. Réaction sur Nouvel Obs au sujet de la paupérisation de la France. La France agonisse déjà de la corruption politique et du trafic d’influence « des gangsters de l’État gangster », larbins de la grande finance internationale qui ne cesse de s’enrichir sous le dos d’un peuple crétinisé, méthodiquement fourvoyé au suicide politique par leurs médias, s’apitoyant sur la misère de dix millions de morts par la faim organisé par les multinationales nichées chez nous, ne voyant plus leurs compatriotes qui en succombent devant leur porte. Ceux de la gouvernance et leurs commanditaires de la grande finance, pour lesquels la Constitution couplée au code pénal imposé « la punition » de la réclusion criminelle à perpétuité assortie de la dégradation civique, se pavanent en public avec la Légion d’honneur dans la boutonnière en se posant en « pédagogues » de la masse savamment manipulée par leur désinformation et intox.

Extraits du crédo politique des despotes de la grande finance internationale, du chanoine jésuite, Adam Weishaupt, professeur en droit et féru en philosophie et histoire politique de l’antiquité jusqu’à son époque.

« Envies, haines, disputes et guerres, privations, famines et propagation d’épidémies (Sida inconnue par l’auteur) doivent épuiser les peuples à un point tel que les hommes ne voient plus d’autres solutions que de se soumettre pleinement à la domination (des organisateur dissimulés).

« Il faudra déshabituer les hommes de penser par eux-mêmes : on donnera un enseignement basé seulement sur le concret et on occupera leur esprit à des joutes oratoires qui ne sont que des simulacres…

« Une éducation basée sur une doctrine mensongère et sur des enseignements erronés abêtira les jeunes, elle les pervertira et fera d’eux des dépravés…

« Pour dominer le monde, il faudra emprunter des voies détournées, chercher à démanteler les piliers sur lesquels repose toute vraie liberté – celle de la jurisprudence des élections, des la presse, la liberté de la personne et surtout de l’éducation du peuple – et maintenir le secret le plus strict sur tout ce qui est entrepris…

« Il faut choisir les chefs d’État parmi ceux qui sont serviles et soumis. […] Ainsi il sera possible (aux organisateurs dissimulés) de contourner de contourner les lois et de modifier les constitutions. (Torpillage de la Haute Cour de justice par eux).

« La vénalité des hautes fonctionnaires de l’État devra pousser les gouvernements à accepter des prêts extérieurs qui les endetteront et les rendront esclaves… Il faudra provoquer l’effondrement de l’économie monétaire des (non-privilégiés). »

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Réaction à Rue 89 30/07/2011 |. LA GAZETTE DE BERLIN. Elites : Aubry ne parle pas allemand, mais elle a fait l’ENA. Par ROMAIN RIVET. Cela ne m’étonne pas.

Fichier reçu par Courriel le 19 mai 2010.

ENA

Cette fameuse école qui fabrique son inverse ENA-ANE.

L’ENA est une école prestigieuse, selon ceux qui en sortent.

 

Pour tous les autres, c’est un sinistre ramassis d’escrocs, de crétins

et de bons à rien. Il faut hélas reconnaître que tous les énarques

connus correspondent généralement au descriptif ci-dessus.

Cet établissement, qui se donne le titre d’école pour sauver les apparences,

doit plutôt être assimilé à une secte particulièrement dangereuse.

L’enseignement qui y est pratiqué est l’apprentissage de l’enrichissement

personnel par techniques malhonnêtes, et l’expression par

la « langue de bois ». Certes, les énarques tentent de faire croire qu’ils étudient

des techniques de gestion de la nation, mais il suffit de constater leur incapacité

pour ne pas douter de leur totale nullité. Le problème est que ces parfaits crétins

occupent les places les plus élevées de la nation, tant sur le

domaine public (administrations), que privé, (grosses entreprises).

Il faut reconnaître une chose, c’est qu’il suffit de très peu de temps à un énarque

à qui l’on confie la direction d’une entreprise florissante pour la mener au bord

de la faillite, quatre à cinq années suffisent généralement.

Le problème est que ces prouesses coûtent très cher au contribuable et entraînent

dans les entreprises de nombreuses suppressions de postes.

Quant aux énarques coupables, ils perçoivent des indemnités énormes et retrouvent

vite un emploi grâce à leurs relations et au copinage …

Quelques exemples :

CREDIT LYONNAIS

VIVENDI France

TELECOMS ALSTOM

LA SOCIETE GENERALE

CREDIT LYONNAIS

Le Crédit Lyonnais fut longtemps une banque sans histoire.

Et puis, un jour, le gouvernement en place nomma à sa tête un copain énarque,

Jean Yves Haberer, un crétin notoire qui, en cinq ans, réussit à mener

cette banque florissante tout près du dépôt de bilan.

Certes, cet escroc fut questionné par la justice pour extorsion de fonds,

faux bilans financiers, etc.

Mais il n’en reste pas moins que ce sinistre individu,

protégé par les politiciens, a coûté 150 milliards de francs

aux contribuables. (francs lourds, bien entendu) !

Il ne faut pas oublier de préciser qu’après son licenciement

du Crédit Lyonnais, il fut nommé par le gouvernement :

Président du « Crédit National »

Vous pensez que c’est un gag?

Non, c’est malheureusement réel!

VIVENDI

Après divers parachutages en entreprises, Jean-Marie Messier,

J2M devenu au fil des temps Jl0M (Jean Marie Messier, Moi-Même,

Maître du Monde, Meilleur Magouilleur, Minable Margoulin),

s’est vu confier par les copains la Présidence de VIVENDI.

En un temps record, il parvenait à

mener cette entreprise prospère au

bord du dépôt de bilan, avec un passif de 30 milliards d’euros!

Il était contraint de démissionner, était mis en examen mais versait une caution

de 1.350.000 euros, une broutille pour lui.

Ensuite, il réclamait une indemnité de licenciement

de 20 millions d’euros …

A son départ, l’entreprise VIVENDI était ruinée. Un nouveau « copain »,

Jean-René Fourtou est nommé. Il s’empresse alors de se gratifier de

1 million d’options à un cours ridiculement bas. Résultat :

dix huit mois après son arrivée, il a réalisé une jolie plus-value

de 7 millions d’euros! Pendant cette période, le cours de l’action

a chuté de 75 % !

Incroyable, mais vrai !

FRANCE TELECOMS

Michel Bon, un énarque bien connu dans le monde des affaires

sous le pseudo de « Bon à rien », brillait par sa nullité dans toutes

les entreprises où il était placé par ses anciens camarades d’ENA.

Il passa ainsi chez « Carrefour », comme PDG, poste qu’il occupa assez peu, l’ensemble

des cadres ayant envoyé une lettre exigeant son renvoi

car il risquait de faire couler rapidement le groupe …

Puis il fut nommé Président de l’ANPE où il brilla par

son incroyable nullité …

Finalement, son copain d’ENA Alain Juppé,

conscient de son incurable incompétence,

le nomma PDG de France Télécoms.

Ce bon à rien, qui s’octroyait un salaire de 50.000 euros

par mois, a réussi à mener l’entreprise au bord du dépôt de bilan

avec une perte nette de 8,28 milliards d’euros, et un endettement de 60,7 milliards

d’euros L’action qui valait 28 euros en 1997, tombait à 6 euros …

Après ses prouesses, Michel Bon a été nommé récemment

Président de « L’Institut de l’Entreprise » …

ALSTOM

Alstom (ex Alsthom), 120.000 salariés, était un fleuron

de l’industrie française. Premier ou second rang mondial

dans les centrales électriques, le matériel ferroviaire

(TGV, métros), et la marine (paquebots).

Mais Suard avait un défaut impardonnable : il n’était pas énarque !

Une campagne de dénigrements et calomnies fut orchestrée

par l’énarchie gouvernementale qui aboutit à la mise en examen

de l’intéressé …

La direction était assurée par Pierre Suard, extrêmement compétent,

qui sut développer considérablement l’entreprise.

Peu après, en 1988, un énarque, Pierre Bilger était parachuté par copinage …

Celui-ci faisait alors preuve d’une incompétence rare !

Il s’empresse de faire rentrer dans l’entreprise des petits copains d’école,

la plupart des individus mal famés, à la recherche d’un emploi mirifique !

Il embauche ainsi :

Philippe Jaffré, énarque ancien président d’Elf et condamné

pour escroqueries diverses, Loïc Le Floch Prigent,

énarque ancien patron d’Elf lui aussi, condamné lui aussi,

et prend pour lieutenant Georges Chodron de Courcel, qui, par coïncidence,

porte le même nom que Bernadette Chirac, née Chodron de Courcel …

Bref, du beau monde …

Et un jour, c’est la surprise !

On découvre subitement qu’Alstom est au bord de la faillite

avec une dette de 5,3 milliards d’euros. Le cours de l’action

est passé de 32 euros à moins de 1 euro en deux mois !

Pierre Bilger est licencié avec un chèque de dédommagement

de 5 millions d’euros, rendu entre temps.

(ces gens-là ne passent pas par l’ANPE) …

Bof, c’est le contribuable qui paye !

Il est certain qu’à la lecture de tels avantages, on peut être tenté

de devenir énarque soi-même ! Mais, autant il est aisé d’entrer à l’ENA

avec du piston, autant c’est difficile sans une lettre d’introduction…

LA SOCIETE GENERALE

C’est tout nouveau, ça vient de sortir

Daniel BOUTON, énarque, inspecteur des finances directeur

d’une banque qui vient de subir 7 milliards d’€ de pertes, 2 Mds

suite des spéculations sur des produits dérivés

et 4,9 Mds par la « d’un employé indélicat », est toujours en place.

Mais cette fameuse dette, dont on évite de parler, quel est son montant ?

À la fin de l’année 2007, elle était

de 1.200 milliards d’euros !

C’est à dire environ 19.000 euros par français, ou encore près de 125.000 francs (lourds).

Un couple avec 3 enfants dont donc

95.000 € soit 625.000 francs

à l’étranger !

Voilà où l’incompétence, la filouterie, la

connerie des énarques a mené la France !

Ce monsieur renonce à son bonus 2007 et son salaire jusqu’en juin

pour aider à redresser la banque ! 0,25% du montant de la perte

subie par la banque ; ridicule, dérisoire !!

Son salaire 2006 3,4 d’€.

Il aurait vendu en 2007 pour 7 millions d’actions de sa banque ;

les plus-values potentielles sur stock-options détendus

en 2007 = 58 millions d’€ etc. etc.

Coupable……. sans doute.

Responsable…….. de rien.

Dans l’affaire de la Sté générale il est curieux de lire dans

la presse que le directeur de la Banque, le directeur de

la Banque, le directeur de l’Autorité des Marchés Financiers

et le Directeur d’Autorité des marchés Financiers et le

Directeur de la Banque de France, tous les trois énarques,

étaient au courant du « trou » depuis le dimanche 20

janvier. L’affaire n’a cependant été rendue publique que le 24 janvier…

Cherchez l’erreur !

A quoi servent les énarques ?

En ce qui concerne leur utilité pour la nation, la réponse est claire :

ils ne servent à rien.

Leur unique préoccupation est l’enrichissement de leur famille

et de tous les proches et copains. Ceci est admis depuis

longtemps et se vérifie quotidiennement.

L’une des seules choses enseignées à l’ENA est la « langue de bois »,

qui permet de répondre à toutes les questions

en formulant quelques généralités hors sujet.

C’est très utile pour ne pas avoir à donner son propre avis

et pour détourner la conversation de son idée de base.

L’enseignement qui leur est prodigué dans la secte ENA

est entièrement orienté dans ce sens. Ils apprennent à mentir

en gardant la tête haute et en affirmant leur intégrité. Certes, leurs multiples

forfaits les conduisent souvent à l’inculpation, mais une justice

trop souvent servile et à leurs ordres a pris l’habitude

de les blanchir en prononçant des non-lieux …

Certains vont même jusqu’à faire voter des lois interdisant toute

poursuite judiciaire à leur encontre à la fin de leur mandat, ceci au

grand dam de quelques politiciens intègres, non énarques,

écœurés par toutes ces pratiques scandaleuses!

C’est ainsi qu’on voit des politiciens soutenir a cause des dictateurs

et tyrans contre la rébellion de peuples désespérés, en envoyant

des troupes pour aider lesdits dictateurs, sachant bien

que quelques chèques de remerciement arriveront

à leur nom dans des paradis fiscaux …

L’action néfaste des énarques est catastrophique.

Depuis la création de L’ENA par un certain Michel Debré,

la France a perdu sa richesse et ses valeurs morales. La

maffia énarque a mis la main sur tous les postes clés

des secteurs publics et privés, et se livre à un pillage systématique.

C’est ainsi que petit à petit, la France est devenue

un pays sous-développé. Pour compenser toutes les richesses

volées sans vergogne, l’énarchie emprunte constamment

à l’étranger, ce qui augmente indéfiniment la dette extérieure du pays!

Un ménage honnête et sensé gère son budget et sait surveiller ses dettes.

Le tout est d’avoir quelques notions de gestion.

Pour ce qui est des énarques, la seule gestion qu’ils connaissent

est celle de leurs affaires privées. Non seulement ils ne se soucient

pas de rembourser la dette, mais ils empruntent

chaque année pour payer les intérêts!

Un Président a même répondu à quelqu’un qui se souciait

de cette dette, qu’il suffisait de vendre un

peu d’or des réserves de la Banque de France, sans savoir

que ces réserves représentent seulement 15% de la dette!

{En 2004, éphémère ministre des Finances, Sarko-les-pots-de-vin finissait effectivement de brader une grande partie des resserves d’or de la Banque de France pour remplir les caisses de l’État vidées par les flambeurs irresponsables, trafiquant des fonds publics sans payer des impôts appropriés à leurs revenus et leurs fortunes de l’argent sale dissimulés dans des paradis fiscaux}.

Et un premier ministre a dit qu’au besoin, on vendrait les trésors

du musée du Louvre!

Inutile de dire qu’ils sont tous les deux énarques!

Mais cette fameuse dette, dont on évite de parler,

quel est son montant ?

A la fin de l’année 2007, elle était de 1.200 milliards d’euros !

C’est-à-dire environ 19.000 euros par français,

ou encore près de 125.000 francs (lourds).

Un couple avec 3 enfants doit donc 95.000 € soit 625.000 francs à l’étranger !

Voilà où l’incompétence, la filouterie et la connerie des énarques a mené la France !

Et cette racaille ne cesse de proliférer impunément !

Il est triste de voir un pays riche et prospère comme la France,

réduit par l’ENA (créée en 1945) à l’état de pays sous-développé

et ruiné, ridiculisé aux yeux des pays voisins. La France, qui tenait

le premier rang est Europe, est maintenant bonne dernière !

Tout cela, les énarques s’en moquent éperdument,

ils ont des richesses largement suffisantes pour s’assurer un train de vie fastueux pour eux-mêmes et leur descendance !

Ce n’est pas eux qui rembourseront la dette qu’ils ont créée,

c’est le dernier de leurs soucis …

Pauvre France !

Fin.

RUE 89. | 30/07/2011 | LA GAZETTE DE BERLIN. Élites : Aubry ne parle pas allemand, mais elle a fait l’ENA. Par ROMAIN RIVET.
Aubri Delors ivre

Réaction à LE NOUVEL OBS le 03-02-2012 ACCUEIL > LE RÉVEIL POLITIQUE > Martine Aubry, bientôt à Matignon ?  Par Paul Laubacher. Au menu du réveil politique : des figurants accueillent Nicolas Sarkozy sur un chantier et la blogosphère voit la vie en rose.

Réaction. Une catastrophe nationale annoncée : le remplacement du choléra par la peste. Fin page 7 des blogs jamais démentis.

RUE 89. | 30/07/2011 | LA GAZETTE DE BERLIN. Élites : Aubry ne parle pas allemand, mais elle a fait l’ENA. Par ROMAIN RIVET. Cette Martine Brochen-Delors, cette typique Arnaque   de la décadence de la corruption, d’abord, s’autorise de se présenter aux élections, (à l’instar d’un Hitler), sous un pseudonyme trompeur pour arnaquer ses électeurs. Son véritable nom de son époux avocat pénaliste a véritablement très mauvaise presse chez la majorité de ses militants dupés. Fille cachotière de Jacques Delors, ancien ministre déprédateur de la finance en 1981, ancien membre du Conseil d’État, une de ces favorites de la haute société, excellait comme directrice d’une puissante société multinationale.

Le stratège désastreux de sa clique des radis roses est le député du Tarn, Paul Quilès. À peine passé ministre stipendié par le holding multinationale Laboratoires Fabre de Castres, avec Delors, la Terreur m’a bien fait comprendre
de qui il est l’homme de main. À peine élue, l’électeur dindonné retrouve cette clique pernicieuse en convive (tels que Pasqua) aux festins dans la somptueuse propriété du « monarque » Fabre à Castres pour marchander notre avenir. Le potard a réalisé de très bonnes affaires en écoulant, remboursé par la Sécu, ses perlimpinpins sans intérêt thérapeutique selon les experts ; par les dénigrements médiatiques de ma personne, son ami de cœur J. Limouzy du Rotary est réélu à Castres Député-Maire, passe président de la Haute Cour de justice, au lieu d’en être jugé avec ses coauteurs et complices du complot contre la sûreté de l’État.

Mitterrand cocufié, tous les engagements électoraux furent trahis : au lieu d’assainir la justice en commençant par la suppression du corporatisme délétère des estampeurs : avocats, notaires, huissiers, experts…, leur pouvoir fut encore renforcé. Pour m’empêcher de prendre personnellement en main les affaires comme avocat stagiaire, la nouvelle loi me barrait immédiatement l’accès au barreau, avec la couverture politico-judiciaire de mon arrestation illégale. Ensuite, les imposteurs des deux bords coalisés, passaient, main à la main, à la modification en douce de la Constitution pour s’assurer de leur impunité de là, par la suppression de la Haute Cour de justice, à des abrogations des dispositions salvatrices contre la prévarication judiciaire des articles 679 et suivants du Code de procédure pénale. Avec la caste mafieuse des Énarques « Aubry » -Sarko, la France est promise à un très, très bel avenir, car tous les voies de recours judiciaires sont irrémédiablement verrouillées.

Sans doute, avec les faramineux mannes africaines et proche-orientales, récoltées en dessous la table par la coterie mafieuse de Sarko-les-pots-de-vin, il appartient au surréalisme politico-judiciaire, des enquêtes ordonnées par les procureurs sur les ressources polluées des caisses noires éditées au financement occulte des élections des politiciens prosélytes de l’Islam. Pourtant, sont comme un fait parfaitement acquis, l’inondation de l’Occident par des pétrodollars des rois et princes tyranniques de l’Arabie pour la propagation de la Charia : entre autres, la permission des relations sexuelles avec des petits enfants, le « mariage jouissive » avec des fillettes à partir de 9 ans, leur lapidation pour adultère, l’application des mutilations pénales… la spoliation et l’assassinant des mécréants…, l’extermination des juifs par des méthodes dépassant les rêves les plus folles d’un certain Hitler. (Ps 12). Les effets de cette « laïcité positive », la violation du principe de la laïcité de l’État, sont singulièrement remarquables à Lyon. Bien des tribuns chauvins, des caciques moralisateurs, des imprécateurs des crève-la-dalle d’immigration, eux, se prosternent sans scrupules devant les pires des sacs-à-pognons enturbannés, déroulent obséquieusement devant eux le tapis rouge, font la gratte sur les plus viles des bakchichs et matabiches par leurs pognes d’irresponsables marchands des biens publics.

Elīna Garanča Avec couteaux B

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>>> E-mail à diffuser largement <<< Comme par hasard, [toute] la presse, servile, se garde bien d’en parler ! Blog : l’imputation d’alcoolisme à l’encontre de Martine Aubry n’est pas diffamatoire !

Ilana Soskin – publié le 20.10.2011, 16h54. L’auteur Ilana SOSKIN, avocat Associée Fondatrice, Soskin Avocats – 75003 Paris.

Par jugement en date du 17 octobre 2011, la 17ème chambre civile du Tribunal de Grande Instance de Paris a jugé que l’imputation d’alcoolisme faite sur un blog à l’endroit de Martine Aubry n’était pas diffamatoire. Cette décision est riche d’enseignements à plusieurs égards.

L’absence de diffamation.

Par jugement en date du 17 octobre 2011, la 17ème Chambre Civile du Tribunal de Grande Instance de Paris a jugé que l’imputation d’alcoolisme faite à l’endroit de Martine Aubry n’était pas diffamatoire.

Les passages poursuivis imputaient à Martine Aubry d’avoir « effectué trois cures de désintoxication par sevrage dans un établissement psychiatrique spécialisé dans le traitement des addictions. », l’auteur du blog précisant que « tous les médias sont au courant de ses problèmes d’alcoolisme ».

Il sera tout d’abord rappelé que la diffamation est définie par l’article 29 alinéas 1 de la Loi du 29 juillet 1881 comme « toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ».

Ainsi, il doit s’agir d’un fait précis susceptible de faire l’objet d’un débat contradictoire sur la preuve de la vérité.

Or, selon le Tribunal, si ces faits sont bien précis, les propos seraient « relatifs à un état pathologique » et ne seraient donc pas diffamatoires.

Notons que le Tribunal avait préalablement pris la précaution de rappeler que l’alcoolisme « se définit comme un abus de boissons alcooliques, déterminant un ensemble de troubles. Cet état est considéré comme une maladie et est évoqué comme tel dans l’article, qui précise notamment les traitements médicaux qui auraient été suivis » ; en conséquence, pour la 17ème Chambre, l’auteur des propos n’aurait pas cherché à décrire des comportements publics contraires à l’honneur ou la considération.

Tandem exemplaire DSK/Aubry : un violeur et une alcoolo ! Drôle de gouvernance à laquelle on a échappé.

http://www.pacte2012.fr/video.htmlExemple concrète de l’assassinat vindicatif du fils d’un flic honorable. Cette autre procédure truquée d’A à Z appelle mes observations sommaires suivantes :

1° S’agissant d’un meurtre en bande, avec préméditation et guet-apens d’une évidence factuelle certaine, le principe de la coactivité des auteurs est légalement applicable, quand bien même que l’action des uns et des autres avait été différente, mais complémentaires. La loi exige à ce que l’incrimination la plus grave soit appliquée. En pareille matière, la correctionnalisation étant illégale, constituant la forfaiture d’excès des pouvoirs si une des parties aux procès en est frauduleusement lésée.

2° Si cette évidence est escamotée, alors la loi impose le régime de complicité par aide et assistance etcetera. Les complices, selon la loi épousent la criminalité des auteurs principaux, à savoir la qualification légale de l’assassinat.

3° Dans l’hypothèse des trucages les plus extravagantes, comme dans l’espèce, il est impossible d’écarter « la responsabilité collective » d’une infraction en commune dont l’auteur précis n’a pas pu être déterminé. Il en va ainsi dans les accidents de chasse où plusieurs tireurs ont fait feu sur la victime, mais les armes efficientes n’ont pas pu être déterminées.

4° Il est de pratique commune que les victimes cherchent de suppléer à la carence de la police ou de la justice de lancer par la presse des appels à témoins. Quand une des témoins intimidés est encouragée de se présenter à la police ou à la justice complaisamment inactive, alors ce n’est point le sollicitant qui s’est fait coupable de subornation, mais ceux qui ont dissuadé d’une manière ou d’une autre les témoins de se manifester.

5° Dans cet ordre des circonstances, la menace d’un avocat de poursuivre la victime des trucages de la justice constitue l’infraction de violence morale à l’égard d’un plaignant en raison de son action en justice. En effet, selon les principes généraux du droit fondamental « ce qui est insupportable n’est pas de droit » et « la fraude vicie tout », rendent ces procédures absolument contraires au droit, nulle,  annulable dans l’intérêt de la loi à la demande du ministre de la Justice. (Art. 620 C. pr. pén).

6° L’annulation prononcée, comparaison fait aux annulations refusées des procédures hautement criminelles démontrées sur mes blogs, relève de la farce judiciaire. Pour les gangsters, la plus insignifiante erreur, vraie ou fausse, sans conséquences sur les droits de la défense, entraîne une nullité de complaisance, alors pour les victimes de cette criminalité, les juges noyautés peuvent avoir en toute impunité recours aux fraudes des droits de défense les plus grossiers.  À ce sujet, je tiens en attente d’une convocation officielle, une démonstration commentée éclatante en sus de ce qui est déjà démontré sur mes blogs.

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Bibliographie et références.

(1) Vormundschchaftbehörde Winterthur. Rechenschaftsbericht. Etat-Nr. : 9263 Eingang 20 Juli 1994.

(2)  Biffard Olivier et Plenel Edwy. « L’Idiot », laboratoire rouge-brun. Le Monde du 1 juillet 1993.

(3)  Son employeur Jean-Edern Hallier se définit comme « le maquereau le mieux payé de la France ». En tant que question préalable aux procès pénaux, ce problème doit être examiné sous l’angle de proxénétisme à la rédaction de l’Idiot international.

(5) Verges Jacques. Le terrorisme au quotidien. Le Matin de Paris du 21 déc. 1982. Contrairement de ce qu’il soutient pour noircir le ministre de l’Intérieur et le secrétaire d’État chargé de la sécurité publique, la Cour de cassation n’a rien annulé des procédures truquées et dont il n’a jamais revendiqué l’annulation pour me livrer sans défense aux forfaitures criminelles organisées par sa nouvelle coalition politique.

(6)Lacout Dominique, « Jean-Edern Hallier. Biographie. » Ed. Michel Laffon 1997, p. 86.

(7) Le Monde du 5 décembre 1994. « Affaire Vasarely : Me Verges est condamné d’abandonner la défense du doyen Charles Debbasch ».

(8) Tribunal de commerce de Nice Novembre 1984 : « Natacha et Elle c/ Stop Création.// Tribunal de commerce de Toulouse 1985 : « Natacha et Elle c/Loubens » …

(9) Rapport de la Commission d’Enquête sur les activités du Service d’Action civique, S.A.C. Ed. Alain Moreau 1982.

(10) Sarazin James. M.… comme Milieu… annuaire du crime en France. Ed. Alain Moreau 1978, et, Chairoff Patrice. B… comme Barbouzes. Une France parallèle celle des basses-ouvres du pouvoir en France. Ed. Alain Moreau 1978, etc. etc.

(11) Jaubert Alain, « Dossier D comme drogue ». Ed. Alain Moreau 1973, p. 510.

(12) Rougeot André et Verne Michel. L’affaire Yann Piat. Des assassins au cœur du Pouvoir. Ed. Flamarion 1997. Définition d’un général des services secrets de l’Armée.

(13)  Bardolle Olivier. Mode in France, les dessous du prêt-à-porter. Ed. Alain Moreau 1979.

(14)  Albert  Jacquard.

Censure canaille par la hyper-mafia de la grande finance internationale d’un blog, circonstancié, avisé, incontesté.

Aperçue des montants de l’indemnisation préalable à la restauration de la situation légale, légalité, dus de droit, revendiqués aux juridictions saisies d’un composant quelconque du « complot contre la sûreté de l’État par l’attentat à son régime constitutionnel de la démocratie égalitaire en matière judiciaire, fiscale, électorale… ».

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—–Message d’origine—–

From: Elizabeth – WordPress.com

Sent: Thursday, December 27, 2012 12:15 AM

To: peter.dietrich@sfr.fr

Subject: [WordPress #1415268]: 495@dietrich13.wordpress.com

Hi there,

Thank you for getting in touch.

Your site was flagged by our automated anti-spam controls. We have reviewed your site and have removed the suspension notice.

We apologize for this error and any inconvenience it may have caused.

Elizabeth | WordPress.com

Désolé Madame. Il m’est toujours rendu impossible de compléter ce blog, (Dietrich13, sans « P »), par des preuves factuelles de mon assassinat déjoué, et, la déclaration de décès à l’Administration suisse, dénoncée quelques années plus tard par un ami. Preuves édifiantes, incontestées, « supprimées » par la justice française avec son présentateur en raison de son importance internationale toujours plus explosive dans des affaires des trucages des procédures des crimes contre l’humanité (p. 4) en corrélation avec les escroqueries monumentales du banqueroute frauduleuse gigantesques dissimulées derrière le terme crise. Page 2 des blogs. Échantillons ci-dessous de la page 1.

[WordPress #1415268]: 495@dietrich13.wordpress.com

Hi there,

Can you try clearing your browser’s cache and, if necessary, restarting the browser?

http://en.support.wordpress.com/browser-issues/#clear-your-cache-and-cookies

Thank you!

Elizabeth | WordPress.com

 Chère Madame. Le placard du fichier joint, toujours depuis des semaines, s’affiche systématique pour m’empêcher la mise à jour du blog « dietrich13.wordpress.com, (sans « p ») sortie tout juste de la censure qui n’ose pas dire son nom. J’en ai tellement l’habitude… Tout mon système est placé sous contrôle, depuis l’Outre-Atlantique, par des indécrottables logiciels-espion. Il ne reste que de me résigner. Je m’en fous car les jeux sont faits pour moi.

Est-il possible d’empêcher les observateurs de penser qu’il s’agisse d’un micmac d’une aux juristes obstruction aux juristes de faire circuler dans les textes congrus les échantillons des documents produits sur la page 1 des pages effacées du blog jumelle « dietrichp13.wordpress.com » ?

Ceux de mes fameux adversaires « fund embezzlers » pleins aux as, du gabarit de l’ex-ministre des Finances D. Strauss-Kahn, disposés de verser un million de dollars/heure aux avocats à New-York pour monter de rideaux de fumée devant les révélations dans les pages de mes blogs, à combien sont-ils disposés de larguer pour saboter mes blogs ? Et, comparaison fait de la valeur réciproque des travaux, à combien la Justice doit-elle évaluer mon indemnisation ?

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Hi ! Hi ! Chère Madame. Vos remèdes miracles ont fonctionnés à l’envers. Mon blog est de nouveau censuré avec le placard vexatoire en fichier joint au courriel.

Mais, selon le dicton juridique « Ce qui abandonne ne vicie pas », à savoir, un moyen de preuve de la matérialité convainquant du crime organisé du grand banditisme ne peut rendre que la cause meilleure pour le dénonciateur. Ces manigances canailles de la coterie internationale de la hypermafia de la finance internationale valent certainement aveu irrévocable, selon le droit fondamental de la France. Mes constructions juridiques n’ont jamais été contestées en Justice. L’Amérique c’est l’Amérique.

Laissons donc ces blogs machinés sur WordPress dans l’état inachevables. Bisous. Point. Cela étaye encore mes autres revendications quant aux indemnisations de mes préjudices morales. Selon le droit interne de la France et celui du Pacte ratifié de l’ONU, ne suis-je pas en droit d’être équitablement traité sur un pied d’égalité avec notre brillant mercanti interlope Bernard Tapi-double-face ? Quinze millions d’Euros d’indemnisation pour quinze ans de divertissements joyeuses des escroqueries judiciaires ayant aboutis encore au détournement dans sa tirelire des plusieurs centaines de millions de fonds publics. Grâce aux entremises de nos ministres de Finances, des vedettes idoines du FMI, Dominique Strauss-Kahn et Christine Lagarde. Avec ce magot, ce beau monsieur « fund embezzler », a pu secourir la mafia. New-Yorkaise : renflouement par prise de participation de leur société de poker truqué sur internet, mise en difficulté par la condamnation d’un tribunal des céans.

Vous ne trouvez pas un peu juste ma revendication à la justice d’une indemnisation d’un taux triplé de ces 45 million d’Euros de complaisance avec un truand, comme l’exigerait le respect de l’équité et de l’égalité, de la moralité judiciaire et politique ?

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Veuillez-vous connecter sur le blog complété :

« Dietrich13.kazeo.com» ou « dietrich13.blogspot.fr».

En raison des défectuosités, ces pages ont été effacées en attendant de la suppression du blog par l’auteur.

Auf WordPress, die mangelhaften Blogs « Dietrichp13 » sind von mir ausgelöscht worden. dietrich13 vient être censuré par WordPress.

Sie können aber sich auf die vervollständigte Blog schalten:

« Dietrich13.kazeo.com »» ou « dietrich13.blogspot.fr ».

Depuis plusieurs années déjà, sur les huit différents blogs du juriste DEA, (sciences pénales, criminologie), Peter Dietrich s’instruit de dizaines de milliers universitaires, juristes, juges et procureurs, victimes et leurs avocats de la Chine, en passant par l’Afrique, l’Amérique, l’Océanie jusqu’en Island. Ces blogs contiennent des constructions, argumentaires juridiques et bibliographies universellement applicables aux escroqueries de haute vole et leurs escroqueries judiciaires pour s’assurer l’impunité, (page 2), des preuves irréfutées par des juridictions saisies, de ces pratiques, notamment dans les trucages des poursuites des crimes contre l’humanité. (Page 4). À l’heure actuelle, les blogs subsistants à la censure insidieuse recueillent 50 consultants par jour.

BoutIdé

Evasion Emoi Juges

EvasionRécit 2.

PaponAnnulation

Annularion 681 Nancy Toul

Facebook Finanzkriese

Article ci-dessus der blogs sur Facebook. Mein Kommentar im Der Spiegel 23/01/2012. Euro-Krise. Lagarde verlangt mehr Geld von Deutschland. Deutschland muss mehr für die Euro-Rettung tun, das verlangt IWF-Chefin Lagarde bei ihrem Besuch in Berlin: « Wir brauchen eine größere Brandmauer. » Damit unterstützt die Französin Forderungen aus Italien nach mehr Geld. Doch Kanzlerin Merkel blockt… Reaktion. Nach dem französischem elementaren Straffrechtbegriff, « Krise » ist eine trügerische Maske von “ Bankrott durch Betrug und Diebstahl in organisierter Verbrecherbande” nach, unter anderen, der Beschreibung von Michael Lewis. The Big Short. La Casse du siècle. Éditions Sonatine n° 053, sept. 2010 und meiner juristischen Auslegung für die Untersuchungsrichter gegen Lagarde und Strauss-Kahn. Kopie: Intro Seite 2 Blog dietrich13.wordpress.com. Jurist DEA. Kriminologie. Kriminalwissenshaften, jamais démenti mais assassiné. 

 Für die Politikwissenschaft, auf der Seite 4 befindet sich eine kurze aber erbauliche Beschreibung der Verfälschung des Nürenbergerischen Strafprozess 1945/46 und den Hochverrat des Englischen et Französischen Haupt Generalstab um die Invasion von Frankreich an 1940 zu erreichen und der Verfälschungen in den neulich französischen Strafprozessen der Komplizen der Verbrechen gegen die Menschheit. Verfälschungen immer weiterverfolgt an den französischen Gerichten, durch die Freimaurerei, den Rotary, und den Europäischen Menschenrechts Gerichtshof à Strasbourg mit der Verfälschung der geheimen Geschichte des Französischen und Britischen Hochverrat des zweiten Weltkrieg erzeugt hat mit den Verbrechen gegen die Menschheit.

 Seite vier der Blogs : Unterschlagene Beweise et Belegstücke kommentiert. Nach 1933, unter dem internationalen Einverständnis, die SS/SD (Sicherheitsdienst) organsierte, öffentlich, die vollständige Ausrottung, (Agronom Himmler), im dritten tausendjährigen Reich, der kulturellen politischen, militärischen, religiösen… Opposition. (Das Nazimodel, das zweite tausendjährige Reich, wurde gegründet durch die Vernichtung, für tausend Jahre, der europäischen Kultur, durch die bestialischen Barbaren des Frankenkönig Clodwig 1, geweiht für die massiven Massakers der galloromanischen Bevölkerung). Die aufgehäuften Knochenreste des Konzentrationslagers wie Dachau bezeugen es. Schon vor der schicksalhaften Jahre 1928, dieselben internationalen Finanzkräfte, (Seite 2), organsierten den zweiten Weltkrieg mit des Kriminalität gegen die Menschheit, organisiert mit der hohen Direktion des englischen, abgesetzten König Eduard VII, Herzog von Windsor, und seine Matha Hari, Hure eingeübt in den Bordells von Honkong und Kairo für die USA Geheimdienste. Das erste Opfer des internationalen Komplott, mit dem Beitrag der hohen Persönlichkeiten wie Joseph Kennedy, war das deutsche Volk. In Frankreich insbesondere, diese Aristokratien und Finanz Verschwörung organisierte den Hochverrat des Hauptstabs der alliierten französieren und englischen Streitmacht. Unter der Kontrolle von Herzog von Windsor Éduard, geradewegs mit Hitler, der Durchbruch der Maginotlinie in den Ardenne, die Vernichtung der französichen Lusftwaffe wurde oragnisiert… Die roumänische Armée, bis zu Stalingrad, wurde mit dem vortreflichen französchem Kriegsmateriel bewaffnet…

MarchiAnnulation

Liens entre entreprises. Bouygues

 

Liens entre entreprises.

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A la demande d’un râleur mécontent, transmission aux autorités compétentes du fichier joint de l’e-mail, complété par des documentés significatifs, annotés et déjà produits, contradictoire et non réfutés, à mainte reprise dans des différentes procédures citées, dont l’article annoté « DIETRCH JUSQU’AU BOUT DE SES IDEES ».

Bout d'idées.

La copie ci-jointe produite dans les blogs à la page 2, de ma carte d’identité du Moniteur national de la Protection civile, accrédite ma compétence d’enseignant dans principalement deux affaires.

1° Les construction défectueuses des pavillons à Castres à chaufferies à gaz naturel exposant encore les habitants à ces risques mortels des explosions ou des intoxications démontrés aux juges.Dietrich Moniteur national

« Les intoxications dues aux émanations de monoxyde de carbone sont la première cause de mortalité accidentelle par toxique en France. DUSSAUD Marianne, « Attention danger ! Regard n° 111, juin 1997, p. 44.

{LE BIEN PUBLIC le 08/02/2012. QUINCY-LE-VICOMTE – FAIT DIVERS. Info Bp : Intoxication mortelle au monoxyde de carbone. Le corps de Dominique Daudry, 52 ans, ancien maire de Quincy-le-Vicomte, a été découvert sans vie dans sa maison, ce matin, vers 7 h 20. Dans l’habitation se trouvaient également une femme âgée de 81 ans, inconsciente, qui a pu être ramenée à la vie par les pompiers, et un homme de 79 ans, qui souffrait d’une plaie à la tête après une chute due à un malaise. Les trois victimes ont été intoxiquées par du monoxyde de carbone, émanant sans doute d’une chaudière située dans le sous-sol de la maison. Les pompiers sont sur place, ainsi que les gendarmes}.

2° Mes témoignages « supprimés » (crime) par le juge d’instruction de Draguignan, ‑ du témoin empêché de se constituer partie civile ‑, sur l’invraisemblance du suicide des frères Saincené par le gaz de demi-combustion monoxyde de carbone CO d’une présence insignifiante dans les gaz d’échappement d’un moteur bien réglé, comme en l’espèce. Pas possible que les barbouzes les aient pu faire étouffer, asphyxier dans l’habitacle de leur voiture par le gaz de combustion complète dioxyde de carbone CO2, largement majoritaire des gaz d’échappement. Elle produit non pas l’anesthésie insidieuse, l’endormissement en douceur de l’empoisonnement du sang du CO. Les fumées du CO2 produisent chez les victimes des souffrances atroces, des vomissements et convulsions insoutenables. Au surplus, en présence d’un décès par l’étouffement par le CO2, les traces dans les globules rouges du sang du CO est absolument insignifiant.

Ainsi le fait de la « suppression » criminelle de ce témoignage significatif, aussi bien à Toulon qu’à Draguignan, accrédite de façon incontestable la thèse exposée dans le livre référencié L’AFFAIRE YANN PIAT. LES ASSASSINS AU CŒUR DU POUVOIR des André Rougeot et Jean-Michel Verne, notamment le trucage des analyses sanguines des deux suppliciés.

La connexité juridique et judiciaire de l’article 203 c. pr. pén., notamment dans le crime du complot, nous conduit en ligne directe à Toulon vers l’affaire manipulée Verges… Pardon « Omar m’a tuer », à présent rebaptisée « Omar m’a pousser. Les intouchables », notamment par le dénominateur commun : Maître Jacques Verges, le plus redoutable des truqueurs félons. Mi-page 7.

Dietrich RaportAptitude1

Drogue informatique suicide.

Message-ID: <D7BF368EF78645D689250B19DD1FD962@PCdehp>
From: Peter Dietrich <peter.Dietrich@sfr.fr> To: =?iso-8859-1?q?Assembl=E9e?= nationale
<president@assemblee-nationale.fr>, CA-VERSAILLES/CONTACT<Contact.Ca-versailles@justice.fr>, csm@justice.fr, Premier Ministre<premier-ministre@cab.pm.gouv.fr>, president@assemblee-nationale.fr, »Syndicat de la magistrature. » syndicat.magistrature@wanadoo.fr>,
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