Chante Pour le Prix Nobel du chant de la musique, la sublime Elina Garanča, Reine blanche sur « l’échiquier de Satan » de la guerre judiciaire et psychologique mondiale.
Chante Pour le Prix Nobel du chant de la musique, la sublime Elina Garanča, Reine blanche sur « l’échiquier de Satan » de la guerre judiciaire et psychologique mondiale.

De l’opéra « Le Barbier de Séville » le plus connu de Gioacchino Rossini, Diva doublée d’une talentueuse actrice, Elina Garanča pastiche d’une extraordinaire virtuosité d’humour la célèbre l’aria de la Rosine amoureuse « j’ai attendu une voix » (‘Una voce poco fa’). L’accompagnateur, le plus brillant de la Norvège, au piano Håvard Gimse en pimente l’inattendue présentation humoristique de l’aria d’amour avec l’attaque du récital de sa touche audacieuse au rythme entraînant.

Avec le plein épanouissement de sa beauté vocale du lyrique, Elina finit par moduler les couleurs douces de sa voix dans les sonorités du coquin moqueur aux intonations tendres. L’exquise grâce de la mimique faciale et l’élégance des gestes d’une grande actrice accomplie, harmonise avec les surprenantes expressions coquines de sa merveilleuse voix aux inépuisables adaptations, modulations et variations.
Humour surprenant dans le décor stylisé de la digne cérémonie du Prix Nobel de la Paix de 2007, devant un public sélect du grand monde cultivé ! Noblesse obliges. En chantant dans le style à ravir d’une coquine moqueuse, Elina toujours vêtu en concert d’une élégance témoignant de son goût raffiné en harmonie de la souplesse de la ravissante sculpture de sa délicate féminité galbée d’une beauté expressive, radiant vers l’auditoire choisi la chaleur d’une extraordinaire déesse du bel canto. Jeune fille, Elïna rêvait devenir une princesse. Aujourd’hui, la sublime déesse rentre dans l’Histoire en Reine.
Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté, et serait encore plus enchanté si la sublime Elina Garanča obtiendrait le Prix Nobel de la musique et du chant comme elle le mérite bien après avoir risqué sa vie en consentant de prendre la place pour les belligérants de l’ombre de la Reine Blanche sur « l’Échiquier du Diable » de la guerre judiciaire et psychologique mondiale.


Vendredi 13 octobre 2017. D’abord j’ai demandé à des membres de la Nobelprize.org de proposer mon associée salvatrice, la merveilleuse cantatrice lettonne Elina Garanča, pour le Prix Nobel de la Paix. Réflexion faite, je pense qu’il sera bien plus judicieux de la proposer pour le Prix Nobel du Chant et de la Musique et proposer pour le Prix Nobel de la Paix l’ancien président de la République François Hollande pour avoir organisé dans l’état d’urgence son sauvetage de l’assassinat dans la tentative du massacre au superlatif à l’opéra national de Paris au début 2016. Dans la guerre judiciaire et psychologique se déroulant sur le plan mondial, la merveilleuse cantatrice Elïna Garanča, par notre association, pèse plus lourd dans la balance que toute l’armée française.
Peter, son ‘Cavalier de Prose’, ébloui de toutes les magnifiques figures et mouvements de l’extraordinaire lyrisme de son adorable Fée salvatrice Elina Garanča avec la compagnie des plus fameux participants.
« En France tout fini par des chansons ».
(Beaumarchais).
Rwanda, depuis 1981. Génocide et Crimes contre l’humanité des surhommes nietzschéen fomentés et exécutés sous la protection des faussaires et escrocs, ‑ récompensés des plus hautes distinctions de la Légion d’honneur-, du Conseil constitutionnel, du Conseil supérieur de la magistrature, de la Cour de cassation, du Conseil d’État, toutes les manigances couvertes à coups de millions et millions de Dollars et Euros chez la Cour européenne des droits de l’Homme et le Haut-Commissariat des Nations Unis aux droits de l’homme. Preuves : https://dietrich13.wordpress.com.
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