Légitime défense politique.

Cour de justice de la République et Défenseur des Droits en France, truands, imposteurs et imbéciles: des fantoches.

Posted in Magouille by Dietrich13 on 23 novembre 2020

Cour de Justice de la République et Défenseur des Droits en France, truands, imposteurs et imbéciles: des fantoches.

courdejustice.courdecassation@justice.fr; Aux méchants Fantoches de la Cour de Justice de la République, ma création en remplaçant la Haute Cour de justice sabordée, n’ont pas encore remarqué que leur existence « constitutionnellement illégale et politiquement illégitime », un fonctionnement contraire aux droits fondamentaux. Mes provocations adressées aux fantoches en Défenseurs de Droit, s’applique aussi Guignoles incompétents, excroissances de la criminalité  judiciaire des parjures, des escroqueries judiciaires par des faux en écriture et des crimes de suppression des actes de procédures récompensés par des avancements à cette cour des fantoches de la république, des décorations de la Légion d’honneur, des pots-de-vin.

23/11/2020. A Monsieur François Heilbronnern vaillant Défenseur du Droit à la Marie du V° arrondissement de Paris , (et autres). Contacté par le formulaire du site du Défenseur du droit, et e-mail avec illustrations : Contact@defenseurdesdroits.fr.

Aucune université vous enseigne que la France n’a plus de constitution depuis qu’elle a placé sous le régime de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 le fonctionnement impérial de la justice organisé par Napoléon I après la trahison de la Première République avec son régime égalitaire. Alors que depuis des décennies, juste aux Chinois et aux Esquimaux, le monde entier s’informe sur mon blog https://dietrichp13.wordpress.com, vous ne cherchez toujours pas d’être informé que la justice parfaitement « hors-la-loi » avait soustrait de la feue Haute Cour de justice, toutes les grandes affaires qualifiées « complot contre la sûreté de l’État », « affaires plus truquées que les autres » (Casamayor*) ayant défrayé la chronique, et ayant relevé de sa compétence juridictionnelle exclusive sous peine de nullité générale et d’ordre public. (* Casamayor, pseudonyme de Serge Fuster, président de chambre de Cour d’appel, Professeur à l’École des Hautes Études, de l’Université de Vincennes à Paris. À VOUS DE JUGER, éditions Denoël 1981).

Vous pouvez vous convaincre sur la page intitulée « analyse rétrospective de ma vie depuis la naissance », que vous n’êtes que des lamentables fantoches parmi « les Bouffons de la République » en juges (Arpaillange), car, en raison de mon thème astro-numérologue prophétique, les services secrets de Roger Wybot, chef du DST, m’ont fait chercher en Suisse en 1976 lorsque j’avais juste 18 ans, m’ont fait former à mon insu en « commando d’actions spéciales » pour en juriste qualifié faire rétablir en France la situation légale qui n’existait plus depuis la Libération en 1944-1945. Depuis notre association, le défenseur des droits avec moi, est mon associée salvatrice, la chanteuse d’opéra de la Lettonie Elïna Garança, échappée pour vous avoir humiliée au massacre en 1976 à l’opéra national de Paris.

Et ces escroqueries judiciaires se poursuivent allégrement avec le passage aujourd’hui du Maître Nicolas Sarkozy, avocat des Mafias, en correctionnelle des affaires artificiellement morcelées pour dissimuler les qualifications criminelles dans le cadre du « complot contre la sûreté de l’État » historique d’une « coalition de fonctionnaires, concertant contre les lois et contre l’exécution des lois » liée au grand banditisme international et dont le doyen des juges d’instruction de Paris supprime depuis des années les dossiers des preuves irréfutables, paralyse la justice pour se faire décorer par la Légion d’honneur. Il ne fallait pas compter sur moi de m’abaisser devant des porcs pour saisir de ce complot ostensible les comploteurs mêmes en escrocs de haute volée notoire, passés par « les gangsters d’État », comme Baudis et le naufrageur de la Justice Toubon enrichie, qui me combattaient avec des coups tordus pour faire disparaître mes blogs parfaitement connus.

J’ai tenté de vous informer à ma façon en embellissant la maire du V arrondissement de Paris par le tag « NOSTRADAMUS CONTRE OPERA-VIRUS DIETRICH13.COM », justifié par le droit fondamental de la légitime défense politique. Mais le maire informé, en initié m’a repéré de loin pour me faire arrêter par la police. J’ai réclamé la comparution directe par un juge. Et revoilà, par des falsifications, je me suis fait séquestrer et droguer illégalement durant un mois en psychiatrie.

Puis, en me déclarant « personne dangereux », deux psychiatres m’ont prescrit un lavage de cerveau forcé. Ces initiés affirmaient sans vergognes, vouloir me faire oublier jusqu’à mon défenseur des droits Elïna Garanča. C’est naguère en président de la République, menacé par ma science, Nicolas Sarkozy a personnalisé la loi des internements et « soins » psychiatriques forcés, en la publiant au 1 août 2011, à la fête nationale suisse du franc-tireur « Guillaume Tell ». Les initiés ont tous compris : le franc-tireur visé par la loi scélérate s’appelle Peter Dietrich, évincé aujourd’hui par cette menace du procès parodique contre le comploteurs contre la sûreté de l’Etat pour réclamer en question préjudicielle le rétablissement de la situation légale avec des condamnations aux payements des dommages et intérêts.

J’ai faussé compagnie aux psychiatres par l’enregistrement d’un pouvoir en cassation. Immédiatement m’a été volée à mon domicile la lettre me taxant « personne dangereuse », car l’argumentaire ci-dessus que j’ai présenté à la Cour de cassation aurait dû déjà être appliqué à ma « défense à décharge » contre le complot contre la sûreté de l’État par la Haute Cour de justice, sous peine de nullité générale de d’ordre publique, selon la procédure du droit commun, depuis que Mitterrand a fait ratifier en 1980 le Pacte relatif aux droits civiles et politiques de l’ONU.

  • Déclarer recevable mon pourvoi en cassation dispensé de l’avocat, conformément à l’article 14,3, d, du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’ONU. « Toute personne ACCUSÉE d’une infraction, à droit en PLEINE ÉGALITÉ A SE DÉFENDRE ELLE-MÊME » ; cela même en cassation.
  • Dire et juger que les dispositions de l’article 9,3 : « Tout individu arrêté du chef d’une infraction pénale sera traduit devant un juge… »
  • Que : « la cause soit entendue ÉQUITABLEMENT », (art. 14,1), (e), « le droit à obtenir la comparution et l’interrogation des témoins à décharge », impose que soit informé à « charge et à décharge », sous peine de nullité générale de la procédure. En se refusant d’informer à décharge, les droits de la défense sont gravement violés.

Et comme je me justifie par la légitime défense aussi contre l’ancien ministre des finances Nicolas Sarkozy aujourd’hui en correctionnelle, contre celui qui a fait spolier la Banque de France de ses réserves d’or, j’aurais dû légalement, selon le droit fondamental, être convoqué pour faire interrompre ces parodies de justice intentées actuellement contre lui. Mais le Doyen des juges d’instruction de Paris veille au grain des mafias avec les « gangsters d’État » (*) intronisés en Défenseur des droits et leurs larbins placés à tous les leviers de commande de la Justice jusqu’au Conseil constitutionnel. ((*) Expression des généraux des services secrets bien au parfum). Si en compensation, on m’attribuait une Croix de Valeur militaire, pour chaque distinction de la Légion d’honneur attribuée par les « gangsters d’État » aux magistrats parjures et faussaires en récompense de leurs criminelles forfaitures, je serais aujourd’hui le soldat le plus décoré de la France.

Peter DIETRICH

Diplôme des Études approfondies de Droit privé

 de l’Université Sorbonne Panthéon de Paris.

Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie.

Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E.

Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant.

*           *             *

25 novembre 2020. Monsieur Gérard Grélat de Saint Amand Montront, vaillant Défenseur des Droits à partir de la Sous-Préfecture, lorsqu’un de vos collègues Défenseurs m’a menacé d’une plainte, d’autres m’ont insulté, j’ai changé sur mon blog le titre de mon article illustré, qu’un seul de vos homologues en France a consulté : En Défendeur des Droits en France, truands, imposteurs et imbéciles : des fantoches.

Si un seul de vous vous autres dans la circonscription du Tribunal de Grande instance de Bourges était à la hauteur, mes « dirigeants » n’avaient pas besoin de me manœuvrer dans votre commune, à Bouzais, pour sauver du massacre judiciaire les Néron manipulés à leur perte par la coterie journalistique se servant du « juge rouge » Jacques Bidalou pour accréditer leurs calomnies subversives contre le président de la République François Mitterrand. Les Néron, comme les autres victimes des escroqueries monumentales du notaire Aucouturier ne savaient pas que les sommes escroqués étaient destinés à financer la campagne électorale législative de Philippe Aucouturier, conseiller de Valérie Giscard d’Estaing, visant de remplacer Maurice Papon, accusé à tort et à travers des crimes contre l’humanité, pour protéger les vrais criminels. Mais c’est justement, à partir de votre préfecture, les Néron ont été persécutés.

Mon intervention à partir de Saint Amand Montrond suscité une massive campagne de désinformation et manipulation journalistique par la presse et la télévision. Pourtant, le compte rendu d’audience de la République du Centre me vilipendant avec mon déclinatoire de compétence présenté vous avez relevé que le tribunal statuait en « hors-la-loi » sur une affaire relevant de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice. La prescription ne court pas contre celui placé par les juges dans l’impossibilité d’agir, selon la jurisprudence de principe. Ma plainte contre le journal République du Centre est toujours en suspens.

Vous verrez sur mon blog, que mon intervention chez vous à Saint Amand Montrond, a suscité des assassinats en série, mon élimination judiciaire, par le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua, a conduit jusqu’au génocide de Rwanda. Parmi les assassinés avec son dossier qu’il m’a destiné brûle dans sa voiture : le général Jean Favreau. Mon élimination par les juges de Bourges est liée à l’affaire Pinochet et n’est pas encore finalisée par le massacre à la salle de concert Bataclan à Paris que j’ai suscité le jour magique du vendredi 13 selon la astro-numérologie magique qui dirige toutes en coulisse les actions politiques depuis de l’époque lointaine de Babylone.

Pour éliminer mon influence chez vous à Saint Amand Montrond, Charles Pasqua avec un vrai-faux passeport a exfiltré le lieutenant-colonel Yves Chalier, un militaire spécialisé dans la guerre psychologique, chez ses malfaiteurs associés au Brésil pour le recycler contre moi. Avec la présentation avantageuse par la presse qui m’insultait, Chalier comptait même se présenter aux élections chez vous, alors il était sous contrôle judiciaire par le juge d’instruction de Paris. Vous verrez sur mon blog, j’ai stoppé l’évolution vers un coup d’État judiciaire de cette bande d’imposteur avec les Néron de Saint Amand Montrond à l’audience publique devant le Tribunal correctionnel de Paris.

Mais Monsieur Gérard Grélat, avec vos tordus ou stupides acolytes dangereux en Défenseurs de Droit implantés par les « Gangster d’État » dans les mairies et préfectures, et qui ne veulent absolument rien connaître à cette musique judiciaire, consolez-vous vous donc de votre crétinisme organisé par les gogos-médias subventionnés avec le sublime art lyrique de mon associé en « Défenseur de Droit » :

« L’avant-goût de l’événement musicale sensationnel avec la participation du fantastique ténor Joans Kaufmann, de la splendide Elïna Garanča en Amneris, fille du Roi d’Egypte dans l’Opéra Aida de Verdi avec l’aussi splendide soprano Sondra Radvanosky en Aida son esclave. Ce fameux couple des étoiles d’opéra m’a déjà ravie dans l’opéra Roberto Devereux à la Met. A l’Opéra national de Paris les mois février et mars 2021, Elïna Garança y chantera les plus grands passages pour mezzo-soprano dramatique du répertoire de l’opéra.

« Ma gracieuse déesse enchanteresse Elïna Garanča, dans l’intégrale de son Album BEL CANTO m’offre les plus vives émotions par les merveilleux récitatifs des cantates et arias immortelles, accompagnés des plus illustres étoiles du firmament chantant de l’opéra, embellies par l’orchestration d’une musique chorale et instrumentale des captivantes polyphonies savoureuses. De la diva Elïna Garanča, la sublime et fluide voix mezzo-soprano bien meublée dans toute sa large tessiture, du haut cristallin de soprano, ondule ou vibre dans les bas de contralto aux sonorités tendrement veloutées, dans des tempos d’une fascinante souplesse et variations raffinées dans expressivité dramatique, dans les couleurs lyriques. La fascinante beauté de sa virtuosité vocale élevée aux divines splendeurs sonores offre des moments d’intenses émotions, sublimes en solo, en duo ou trio d’une fascinante et poignante sensibilité par la captivante harmonie de la soprano et du ténor et du baryton de grande classe. Peter, le Cavalier de Prose de Elïna, émerveillé. »

 Peter DIETRICH

Diplôme des Études approfondies de Droit privé

 de l’Université Sorbonne Panthéon de Paris.

Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie.

Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E.

Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant.

80, rue Voltaire

93120 LA COURNEUVE

E-Mail : kyburg13@outlook.fr

Blog http://dietrich13.com

Vous serez sans doute surpris quand je vous apprends que cet exposé s’appliquait aussi au juge d’instruction et à la Cour d’assise de Toulon tripotant l’affaire relative à l’assassinat de la députée Yann Piat, au TGI de Perpignan, avec l’ancien Procureur de Castres Vuillemin en Président, lors de mon intervention dans l’affaire Farran et son Rotary club.

Vous serez encore plus surpris quand je vous apprends que ces mafieux m’ont discrédité par personne interposée en imputant à l’adjudant-chef Benitez de la Légion étranger, avant de le « truci-suicider », son épouse et sa fille disparue et qui est liée aux disparus de Mourmelon imputés à l’innocent adjudant-chef Chanal, pour l’assassiner lorsque je suis intervenu. Voire les détails page 13 du blog.

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